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Tous droits réservés au Tutorat Associatif Toulousain 1/35 CONCOURS PACES SEMESTRE II 2017-2018 MARAICHERS CORRECTIONS DETAILLEES REALISE PAR LE TUTORAT ASSOCIATIF TOULOUSAIN

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CONCOURS PACES

SEMESTRE II – 2017-2018

MARAICHERS

CORRECTIONS DETAILLEES

REALISE PAR LE

TUTORAT ASSOCIATIF TOULOUSAIN

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SOMMAIRE

UE3bis – Biophysique, Physiologie ................................................ 3

UE5 – Anatomie ............................................................................. 5

UE6 – Initiation à la Connaissance des Médicaments ................... 11

UE7 – Santé Publique ................................................................... 15

UE7 – SSH ................................................................................... 17

UE8 – Recherche .......................................................................... 20

UE8 – Petit Bassin ........................................................................ 24

UE8 – Tête et Cou ........................................................................ 26

UE8 – Odontologie ....................................................................... 28

UE8 – Pharmacie .......................................................................... 30

UE8 – UFP ................................................................................... 33

Remerciements ............................................................................. 34

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UE3bis – Biophysique, Physiologie

QCM 1 – ACD

B. Attention ∆P est constant ce qui permet aux alvéoles de ne pas se vider les unes dans les autres.

C & D. ∆P = σ/r. Donc en inspiration r augmente donc s augmente pour que ∆P reste constant et inversement.

E. Au contraire, plus il y a de surfactant, plus la tension superficielle est faible et inversement.

QCM 2 – ABCD

E. Pas obligatoirement.

QCM 3 – C

A. Le degré hygrométrique est de 1 donc l’eau ne s’évapore pas (on ruisselle) donc la chaleur de liquéfaction

est supérieure à celle de vaporisation.

B. Voir item A.

D. L’eau est à la température ambiante et le degré hygrométrique est de 1 donc l’eau s’évapore et se reliquéfie

instantanément sans perdre de chaleur. Donc l’eau restera à la même température.

E. L’ajout de sel augmente encore la température d’ébullition donc le flux de vaporisation diminuera.

QCM 4 – CE

A. Une viscosité élevée entraînera une vitesse plus faible.

B. D = v x S donc à débit constant v augmente quand la section diminue.

D. Dans les sections élargies la vitesse diminue donc la pression statique augmente.

QCM 5 – BE

A. L’acide benzoïque est un acide faible donc pH = 1/2 (pKa – log C) = 1/2 (4 – log 10-2) = 1/2 (4 +2) = 3.

C. pH = pKa + log ([Base]/[Acide]) = 3. Donc 3 = 4 + log ([Base]/[Acide]) soit log ([Base]/[Acide]) = 1 donc

[Base]/[Acide] = 10-1. Donc il y a 10 fois plus de forme protonée que déprotonée.

De toute façon le pH est inférieur à 7 donc il y a plus d’acide que de base.

D. On mélange plus de base forte que d’acide faible donc le pH sera forcément supérieur à 7.

QCM 6 – DE

A. B. Etat de déshydratation → besoin d’eau avec un minimum d’ions pour que l’eau diffuse du compartiment

hypoosmolaire vers le compartiment hyperosmolaire permettant ainsi la réhydratation.

C. Non on est dans la norme (environ 135-145 mmol/L).

QCM 7 – BCE

A. Pas forcément, le Ca2+ peut également induire une dépolarisation.

D. Non, les potentiels d’action ont une durée différente entre les différents types de cellules cardiaques par exemple.

QCM 8 – ADE

B. Une concentration élevée en Ca2+ intracellulaire induit une contraction plus importante.

C. Une augmentation du Ca2+ induira une contraction or le système cholinergique entraîne plutôt une

relaxation. L’effet de l’acétylcholine sera donc plutôt de diminuer la concentration intracellulaire de Ca2+.

QCM 9 – ABD

C. Excréter. Les réabsorber aggraverait l’alcalose.

E. L’hyperventilation conduit à une excrétion excessive de CO2 donc par extension la concentration en H2CO3

va diminuer ce qui va entraîner une alcalose.

QCM 10 – ABD

C. C’est vrai pour le muscle cardiaque (jusqu’à un certain point), pas pour le muscle squelettique.

E. L’ATP est utilisé par les muscles pour la contraction donc une diminution de l’ATP diminuera leur

contractilité.

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QCM 11 – ABE

C. Elle peut aussi être isotonique (avec un raccourcissement du muscle). C’est celle que t’utilises quand tu

soulèves de la fonte à la salle (*tousse*).

D. Les fibres musculaires de type IIb ont une fatigabilité importante quelle que soit le type de leur contraction.

QCM 12 – DE

A. Il faut un minimum de PPSE pour amener une contraction.

B. Un motoneurone = une unité motrice.

C. Même justification que la B.

QCM 13 – BCE

A. Non c’est une anomalie au niveau des portions myélinisées.

D. Ce sont des modifications de perméabilité au K+.

QCM 14 – BC

A. Sommation spatiale.

D. Dans les synapses inhibitrices aussi.

E. C’est une sommation comme pour les PPSE donc l’amplitude augmente avec 3 PPSI.

QCM 15 – BD

A. C’est une hormone peptidique donc elle est sous forme libre et pas liée à une protéine de transport.

C. Au contraire inhibe la sécrétion de vasopressine. C’est la diminution de la volémie qui entraîne la sécrétion

de vasopressine.

E. La corticolibérine est une hormone peptidique donc son récepteur est membranaire et pas cytosolique.

QCM 16 – BCE

A. Pas celle de l’adrénaline.

D. Il y a d’autres pics au cours de la nuit en fonction des phases du sommeil.

QCM 17 – DE

A. Elle est ressentie presque immédiatement.

B. C’est aussi le cas avec les hormones hydrophobes à récepteur intracellulaire.

C. Elle est plus longue dans les vésicules de sécrétion à cause des modifications post-transcriptionnelles

golgiennes.

QCM 18 – AB

C. Thermogénèse.

D. La fièvre est déduite de la température centrale.

E. L’individu de 25 ans a plus d’eau dans son corps que celui de 65 ans donc sa thermogenèse sera plus efficace.

QCM 19 – BE

A. Certains organes sont sacrifiés au profit d’autres (rein, foie… au profit des muscles) et d’autres ont un débit

sanguin constant (cerveau) en cas d’augmentation du débit cardiaque (par exemple lors d’un exercice

physique).

C. L’augmentation de la viscosité augmente les forces de cisaillement.

D. L’angiotensine II induit une vasoconstriction qui augmente la vitesse du liquide, mais le débit lui reste

constant (DC = FC x VES).

QCM 20 – ACDE

B. Au cours de la systole, le reste est vrai.

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UE5 – Anatomie

QCM 1 – BE

A. En position anatomique de référence la hanche n’est ni en flexion ni en extension.

C. L’hallux est plus médial que le pouce (il est plus proche de l’axe médian).

D. Le bras est plus proximal que l’avant-bras.

E. Vrai, le muscle droit de l’abdomen est situé dans la paroi antérieure de l’abdomen alors que le carré des

lombes est dorsal, situé en latéral de la colonne vertébrale.

QCM 2 – ABDE

A. Vrai, la cavité articulaire est délimitée par la membrane synoviale et le cartilage articulaire qui lui fait suite.

B. Vrai, la membrane synoviale double toutes les surfaces non recouvertes de cartilage.

C. Le cartilage articulaire n’est ni vascularisé ni innervé (il est nourri par le liquide synovial).

D. Vrai, par exemple le cartilage de l’extrémité proximale fémorale est plus épais que celui de l’extrémité

proximale humérale, car il y a plus de pression exercée.

E. Vrai, le tendon du chef long du biceps brachial passe à l’intérieur de la capsule de l’articulation scapulo-

humérale (il est donc intra-capsulaire) mais il passe à l’extérieur de la membrane synoviale (il est extra-

synovial). Comme la capsule articulaire est délimité par la membrane synoviale, alors si ce tendon est extra-

synovial, il est extra-articulaire.

QCM 3 – ABDE

A. Vrai, la mandibule s’articule avec les 2 os temporaux.

B. Vrai, la norma basilis est une vue postérieure du crâne, sans la mandibule.

C. L’arcade zygomatique est formée par la jonction entre l’os temporal et l’os zygomatique.

D. Vrai, c’est l’échographie transfontanellaire.

E. Vrai, le ptérion est formé par l’union de l’os sphénoïde, l’os frontal, l’os pariétal et l’os temporal.

QCM 4 – AC

A. Vrai, via les processus ptérygoïdes du sphénoïde.

B. La cloison nasale est formée par le cartilage septal et l’os vomer. Les os palatins délimitent les choanes

(orifices postérieurs des fosses nasales) et les parois latérales des fosses nasales.

D. Elle est délimitée par les muscles sterno-cleïdo-mastoïdiens.

Le trapèze délimite la région cervicale latérale en postérieur.

E. L’os hyoïde est au niveau de C4.

QCM 5 – B

A. Elles ne s’anastomosent pas, ce qui correspond à une vascularisation terminale. L’artère interventriculaire

antérieure se termine à l’apex du cœur.

B. Vrai, et la branche droite aussi. La partie membranacée correspond à la partie initiale (fibreuse) du septum

interventriculaire. Les faisceaux atrio-ventriculaires droite et gauche cheminent dans ce septum (qui est

d’abord fibreux puis musculaire) puis la branche gauche rejoint les muscles papillaires du ventricule gauche,

et la branche droite rejoint ceux du ventricule droit (en passant par le trabécule septo-marginal).

C. Les vasa vasorum vascularisent les vaisseaux de gros et moyen calibre. Les artérioles sont des vaisseaux de

petit calibre.

D. C’est une vascularisation de type terminale.

E. Ils sont reliés par trois faisceaux.

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QCM 6 – BCD

A. Il y a 4 orifices veineux au niveau de l’atrium gauche : ceux des veines pulmonaires supérieures droite et

gauche, et ceux des veines pulmonaires inférieures droite et gauche. C’est au niveau de l’atrium droit qu’il n’y

a que 3 orifices veineux (sinus coronaire, veine cave crâniale et veine cave caudale).

B. Vrai, le cœur est dirigé en avant, en bas et à gauche donc le ventricule droit est le plus antérieur, en regard

du sternum et des côtes.

C. Vrai, l’hématose est l’oxygénation du sang veineux, le sang va du cœur (VD) aux poumons par l’artère

pulmonaire, il est réoxygéné, puis revient au cœur (AG) par les veines pulmonaires.

La grande circulation permet l’oxygénation des organes.

D. Vrai, tandis que le ventricule gauche a une forme de pyramide à 2 faces.

E. Le cœur a une vascularisation de type terminale, il n’y a pas d’anastomose entre les artères coronaires.

QCM 7 – ADE

A. Le septum interventriculaire est fibreux dans sa partie initiale = partie membranacée, puis il devient

musculaire.

B. C’est le cas de la valve aortique. La valve pulmonaire est formée de deux valvules semi-lunaires postérieures

et d’une antérieure.

C. La base du cœur est en regard du poumon droit car le cœur est dirigé en avant, en bas et à gauche.

D. Vrai, par exemple l’artère ulnaire et l’artère radiale s’anastomosent par inosculation (= à plein canal) pour

former l’arcade palmaire.

E. Vrai, alors qu’à gauche il n’y a pas de trabécule septo-marginale.

QCM 8 – AC

A. Vrai, et le nasopharynx est en arrière des fosses nasales.

B. Le larynx est constitué de 5 cartilages distincts : épiglotte, cartilage thyroïde, cartilages aryténoïdes (x2), et

cartilage cricoïde.

C. Vrai, tandis que le poumon gauche n’en a que 2.

D. La trachée appartient au médiastin moyen.

E. Le nerf phrénique provient des 3ème, 4ème et 5ème nerfs cervicaux (surtout du 4ème).

QCM 9 – BC

A. Au moment de la déglutition, le laryngo pharynx est ouvert pour permettre le passage du bol alimentaire,

et l’épiglotte ferme le larynx pour protéger les voies aériennes des fausses routes. Le voile du palais (ou palais

mou) permet d’isoler les fosses nasales de la cavité buccale lors de la déglutition.

C. Vrai, l’isthme du gosier est délimité en avant par l’arc palato-glosse et en arrière par l’arc palato-pharyngien.

D. Elle se projette à droite de la colonne vertébrale.

E. Les appendices épiploïques sont uniquement sur le colon, fixés sur les bandelettes/ténias.

QCM 10 – BDE

A. Le diamètre du colon varie de 8 à 4 cm (8 cm au niveau du colon ascendant puis diminue progressivement).

B. Vrai, avec la veine porte et les canaux biliaires hépatiques.

C. Elles sont disposées verticalement (c’est les anses jéjunales qui sont disposées horizontalement).

D. Vrai, la voie biliaire principale correspond au conduit cholédoque.

E. Vrai, le tronc cœliaque naît en T12 et l’artère mésentérique supérieure en L1.

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QCM 11 – D

A. Le bord supérieur du rein droit est en regard du bord inférieur de la 11ème côte, il est un peu plus bas situé

que le rein gauche à cause du foie. En effet, le bord supérieur du rein gauche est en regard du bord supérieur

de la 11ème côte.

B. Le hile du rein droit est en rapport antérieur avec la partie D2 du duodénum. Les rapports postérieurs dans

l’espace rétropéritonéal sont les muscles psoas et carré des lombes.

C. Les pyramides rénales s’abouchent directement dans les calices mineurs qui eux-mêmes se jettent dans les

3 calices majeurs (supérieur/moyen/inférieur), qui se regrouperont au niveau du bassinet.

D. Vrai. En effet, les rapports postérieurs de la vessie chez l’homme sont l’uretère, le cul de sac recto-vésical

(Douglass), le rectum et les voies spermatiques avec les vésicules séminales.

E. L’urètre spongieux démarre en dessous du sphincter strié, donc après l’urètre membraneux qui correspond

à la partie de l’urètre traversant le sphincter strié, l’urètre spongieux est toujours entouré de corps érectile

spongieux.

QCM 12 – AE

A. Vrai. Le mésovarium correspond à l’amarrage du ligament large à l’ovaire. En fait, le ligament large

correspond au péritoine qui va venir se fixer sur l’ovaire qui est intra-péritonéal et porte le nom de mésovarium,

c’est donc un moyen de fixité de l’ovaire.

B. L’artère utérine (qui naît de l’artère iliaque interne) chemine au sein du ligament propre de l’ovaire (ligament

utéro-ovarien). L’artère ovarique (qui nait de l’aorte au niveau de L3) quant à elle, chemine au sein du ligament

suspenseur de l’ovaire.

C. Le ligament rond (qui part de la partie antérieure de l’utérus, passe dans le canal inguinal et va s’amarrer

dans les grandes lèvres) est un moyen de fixité de l’utérus.

Les moyens de fixité de l’ovaire sont le ligament lombo-ovarien, le ligament utéro-ovarien et le mésovarium

(ligament large).

D. Le myomètre est la couche invariable en dessous de l’endomètre. Au cours du cycle menstruel, c’est donc

l’épaisseur de l’endomètre qui varie et non celle du myomètre.

E. Vrai. En période hors grossesse, l’utérus est composé des trois parties : le corps, l’isthme et le col. Pendant

la grossesse, l’utérus est décomposé en corps, segment inférieur et col. Ainsi, le segment inférieur n’est visible

que sur l’utérus gravide et correspond à la zone de transition entre le corps et le col.

QCM 13 – C

A. Le testicule est recouvert sur son bord postérieur par l’épididyme.

B. Les artères testiculaires droite et gauche proviennent de l’aorte au niveau L3 (ceci est dû à l’origine

embryologique du testicule qui se forme en regard de L3, puis va migrer pour descendre dans le scrotum).

C. Vrai. En effet, le conduit déférent croise l’uretère en arrière de la vessie et il le fait en passant par-dessus

l’uretère, le conduit déférent surcroise donc l’uretère en retro-vésical.

D. Les canaux éjaculateurs droit et gauche viennent s’aboucher à l’urètre prostatique au niveau de la prostate,

et comme ils viennent de derrière (cf. trajet retro vésical avec abouchement en postérieur de la prostate du

canal déférent), ils s’abouchent sur la face postérieure de l’urètre prostatique.

E. Les corps caverneux se terminent juste avant le gland, le gland est formé par la réunion des corps spongieux

uniquement.

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QCM 14 – BCE

A. Les articulations costo-transversaire se font par synoviale ellipsoïde de la 2ème à la 6ème côte et par synoviale

plane de la 7ème à la 10ème côte. Ainsi, la dernière articulation costo-transversaire correspond à l’articulation

entre le tubercule costal de la 10ème côte avec le processus transverse de la 10ème vertèbre thoracique et se fait

donc par une synoviale plane.

B. Vrai. En effet, il existe trois muscles intercostaux (de l’extérieur vers l’intérieur) : intercostaux externe,

intercostaux interne et intercostaux intime.

D. La coupole diaphragmatique droite se projette en regard du 4ème espace intercostal et est située plus haut

que la coupole diaphragmatique gauche (à cause du foie) qui se projette en regard du 5ème espace intercostal.

E. Vrai. En effet, l’articulation sterno-claviculaire articule l’extrémité médiale de la clavicule qui est convexe

de haut en bas (dans un plan frontal) et concave d’avant en arrière (dans un plan transversal), avec l’incisure

claviculaire du sternum qui est ovalaire avec un grand axe transversal, il s’agit donc bien d’une articulation en

selle.

QCM 15 – ABCD

A. Vrai. En effet le diaphragme est constitué de muscles digastriques car ils ont une insertion lombale et une

insertion sternale ou costale et le centre phrénique sépare les deux chefs musculaires.

B. Vrai. Le ligament arqué latéral s’insère sur le processus transverse de L1 et sur la 12ème côte et permet le

passage du pédicule subcostal et du muscle carré des lombes.

C. Vrai. En effet le muscle transverse qui est un muscle profond, s’insère en arrière sur l’aponévrose dorsale

au niveau des vertèbres lombaires, en avant il s’insère également sur une aponévrose, c’est l’aponévrose

ventrale représentée par la ligne blanche.

D. Vrai. La lacune vasculaire est la partie médiale (en dedans du ligament ilio-pectiné) en dessous du ligament

inguinal. Comme son nom l’indique, la lacune vasculaire permet le passage des vaisseaux iliaques externes

(en plus de la branche fémorale du nerf génito-fémoral) qui vasculariseront le membre inférieur.

E. Le canal inguinal est situé au-dessus de lacune musculaire, l’anneau inguinal profond est d’ailleurs délimité

caudalement par le ligament inguinal.

QCM 16 – CDE

A. La colonne vertébrale mobile n’est composée que de trois courbures qui sont lordose cervicale, cyphose

thoracique et lordose lombale. La cyphose sacrale n’en faisant pas partie car le sacrum et le coccyx ne font pas

partie de la colonne vertébrale mobile.

B. Le foramen intervertébral est formé par la réunion de l’incisure vertébrale caudale d’une vertèbre et

l’incisure vertébrale crâniale de la vertèbre sous-jacente. Ainsi, l’incisure vertébrale crâniale limite la partie

caudale du foramen intervertébral.

C. Vrai. L’arc neural, constitué des pédicules en avant et de la réunion des lames en arrière, est en arrière du

spondyle qui constitue la partie statique de la vertèbre.

D. Vrai. En effet, le passage entre l’atlas (C1) et l’axis (C2), permet de passer d’un système à deux colonnes

sur l’atlas (par les masses latérales qui s’articulent avec les condyles occipitaux par une double ellipsoïde

associée), à un système à trois colonnes (une ventrale faite par la superposition des spondyles et deux

dorsolatérales faites par la superposition des processus articulaires).

E. Vrai. Le bourrelet marginal circonscrit la surface criblée positionnée sur les faces crâniale et caudale du

spondyle, et seront recouverts de cartilage.

QCM 17 – ACE

B. Attention il n’y a pas de disque intervertébral entre C1 et C2, c’est pourquoi on compte 24 vertèbres sur la

colonnes vertébrale mobile et seulement 23 disques intervertébraux.

D. Le nucléus pulposus en situé légèrement en arrière du disque intervertébral et non en son centre.

E. Compté vrai mais on le trouve plutôt faux. Le disque intervertébral au niveau des vertèbres cervicales est adhérent à la capsule des articulation unco-vertébrale mais pas à la capsule zygapophysaire car les articulations zygapophysaires se font par les pédicules qui sont séparés du spondyle par les pédicules.

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QCM 18 – CD

A. Si la surface articulaire crâniale zygapophysaire des vertèbres cervicales était orientée dans un plan sagittal,

cela voudrait dire qu’elle regarderait pleinement en médial (ou en latéral) et serait donc verticale, c’est-à-dire

inclue dans le plan sagittal. Or les surfaces articulaires crâniales zygapophysaires des vertèbres cervicales sont

orientées en haut et en dehors.

B. Au niveau des vertèbres cervicales, le spondyle est de forme rectangulaire et le foramen vertébral de forme

triangulaire. C’est seulement au niveau des vertèbres thoraciques que le spondyle et le foramen vertébral sont

de forme comparable (respectivement cylindrique et circulaire).

C. Compté vrai mais on le trouve plutôt faux, cf item 17 E.

D. Vrai. En effet, le ligament nucal est le prolongement crânial du ligament surépineux à partir de C7, il est

donc surépineux (sans être le ligament surépineux…).

E. L’amplitude de la flexion est de 110° contre 35° d’extension. Intuitivement, on peut plus se pencher en

avant que s’étendre en arrière, l’amplitude de la flexion est donc plus importante que celle de l’extension.

QCM 19 – D

A. Au niveau des vertèbres lombales, le processus mamillaire se situe en médial du processus accessoire, lui-

même en médial du processus transverse.

B. Au niveau des vertèbres lombales, le processus épineux est court, trapu et orienté horizontalement.

C’est au niveau des vertèbres thoraciques que le processus épineux est fortement oblique en bas.

C. Le muscle carré des lombes s’insère sur le bord inférieur de la 12ème côte et sur les processus transverses de

L1 à L5, jusqu’à la crête iliaque.

D. Vrai. L’isthmolyse (qui n’est pas une fracture) est en effet une rupture de liaison entre l’arc neural de L5 et

le sacrum.

E. L’amplitude de la flexion est de 110° contre 35° d’extension. Intuitivement on peut plus se pencher en avant

que s’étendre en arrière, l’amplitude de la flexion est donc plus importante que celle de l’extension.

QCM 20 – BD

A. La particularité des muscles lisses est d’être sous le contrôle du système nerveux végétatif et non somatique,

ils ne sont donc pas sous le contrôle de la volonté.

B. Vrai. Le raccourcissement étant proportionnel à la longueur des fibres musculaires (L = l), cf. diapo du

professeur Rongières « Puissance et déplacement ») et donc proportionnel à la longueur du muscle, plus un

muscle est long (à masse contractile et à jonction musculo-tendineuse égales), plus le raccourcissement sera

important.

C. Comme son nom l’indique, la contraction isométrique produit une force (sous forme de pression par

exemple en soulevant un objet), mais sans mouvement donc sans raccourcissement des fibres (l’objet ne bouge

pas).

D. Vrai. L’évasement épiphysaire des os longs des membres permet de mettre à distance les insertions

musculaires et ainsi d’augmenter le bras de levier (moment de force), c’est-à-dire augmenter la composante

dynamique du muscle.

E. Les jointures cartilagineuses (amphiarthroses) peuvent donner lieu à des symphyses (par interposition de

fibrocartilage) et synchondroses (par interposition de cartilage pur) comme au niveau des articulations

chondro-sternales. Ces articulations bougent relativement peu mais bougent tout de même !

QCM 21 – ABD

C. Le scaphoïde et le trapèze forment le bord latéral du carpe tandis que le triquetrum, le pisiforme et l'hamatum

forment le bord médical.

E. L'axe anatomique de la main passe par le majeur.

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QCM 22 – BCD

A. Le bord ventral de la clavicule présente une concavité vers l’avant dans sa partie latérale, une convexité

vers l’avant dans sa partie médiale.

E. Les ligaments trapézoïde et conoïde s'insèrent sur le processus coracoïde.

QCM 23 – ABC

D. Au niveau de l'extrémité distale du tibia, le sommet de la malléole latérale est plus distal que celui de la

malléole médiale.

E. Le sustentaculum tali se détache de la face médiale du calcanéus.

QCM 24 – AC

B. Il y a un ganglion relais par voie efférente. De même pour le système nerveux parasympathique.

D. Les axones commencent leur trajet dans la substance grise en partant des corps cellulaires.

E. Le segment d’axone est en dehors du cytoplasme de la cellule de Schwann, même pour une fibre myélinisée.

QCM 25 – ABCDE

QCM 26 – ABE

C. Le canal central est une cavité virtuelle, il n'y a donc pas de liquide dedans.

D. La corne latérale est enfouie dans la corne ventrale sur les segments cervicaux.

QCM 27 – AC

B. Le noyau du nerf facial (VII) est d'origine branchiale.

D. L'origine apparente du nerf optique est encéphalique.

E. Le nerf hypoglosse est MOTEUR de la langue.

QCM 28 – C

A. La partie triangulaire du gyrus frontal inférieur est limité en arrière par le rameau ascendant du sillon latéral.

B. L’insula limite la capsule extrême.

D. L'aire olfactive latérale ou aire olfactive primaire fait partie du lobe temporal.

L'aire olfactive secondaire ou médiale est à la jonction entre le cingulum et le frontal.

E. L'aire auditive primaire est située en dessous du sillon latéral.

L'aire visuelle primaire est située de part et d’autre du sillon calcarin.

QCM 29 – DE

A. Le tractus cortico-nucléaire se termine sur des neurones appartenant à la substance grise segmentaire (et

non supra segmentaire).

B. L’aire motrice primaire est l’aire 4 (gyrus pré central). Ses neurones se situent dans la couche V (pyramidale

interne) et non dans la couche IV.

Au contraire, pour les voies de la sensibilité : les neurones du gyrus post central (avec les aires 3, 1 et 2), se

projettent au niveau des couches IV et VI granulaires.

NB : les couches sont écrites en chiffres romains et les aires en chiffres arabes.

C. Dans la capsule interne, le tractus cortico-spinal est plus latéral que le tractus cortico-nucléaire.

QCM 30 – ABC

D. La mise en tension du tympan augmente la transmission de l’onde sonore.

E. Le relâchement du muscle ciliaire tend les fibres de la zonule ciliaire ce qui entraîne une diminution du

diamètre antéro-postérieur du cristallin et donc une diminution de la puissance de l'œil.

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UE6 – Initiation à la Connaissance des Médicaments

QCM 1 – AC

B. Les BPF ont pour but principal de garantir la qualité des spécialités pharmaceutiques. De plus ce n’est pas

parce qu’elles ne sont pas respectées qu’un médicament est falsifié.

D. La définition du médicament est extensive pour éviter les confusions et permettre plus de sécurité, il n’est

pas question de faire jouer la concurrence.

E. Les produits cosmétiques sont destinés à être mis en contact avec les diverses parties superficielles du corps

humain, une gélule ne peut donc pas être considérée comme produit cosmétique.

QCM 2 – B

A. Le produit est mis en contact avec les diverses parties superficielles du corps humain MAIS il est utilisé à

des fins diagnostiques, il s’agit donc d’un médicament.

C. Le RCP d’une spécialité générique ne comporte pas les modules 4 et 5, on retrouve également des études

de bioéquivalence pour la spécialité générique.

D. Le dossier d’AMM est allégé des modules 4 et 5 mais pas du module 3.

E. On parle de médicament falsifié lorsque l’on met en avant une INTENTION de ne pas respecter les

procédures.

QCM 3 – E

A. Seules les spécialités pharmaceutiques nécessitent une AMM avant commercialisation, il n’y a pas d’AMM

pour les DM.

B. Il n’est pas toujours nécessaire de faire un rappel de lot, cela ne concerne donc pas l’immense majorité des

cas.

C. Les compléments alimentaires ne sont pas sous tutelle de l’ANSM.

D. Du Code de la Sécurité Sociale (CSS).

QCM 4 – ABCD

E. Les substituts nicotiniques sont considérés comme des médicaments, par conséquent ils ne peuvent pas être

vendus dans les bureaux de tabac.

QCM 5 – ACD

B. Le fait que la prescription ne soit réservée qu’à certains spécialistes ne justifie pas le remboursement de la

spécialité.

E. Pas toujours.

QCM 6 – E

A. Il n’est pas indiqué dans l’énoncé que les manquements et non-conformités sont intentionnels.

B. Les manquements ont été mis en évidence chez un grossiste-répartiteur et non au laboratoire, les autres lots

provenant de ce laboratoire et étant passés par un autre grossiste-répartiteur sont donc conforme et non pas

besoin d’être rappelés.

C. Toutes les spécialités présentes dans cet établissement ne nécessitent pas une température de stockage

inférieure à 25°C. De plus, le problème ne vient pas de la qualité de la spécialité pharmaceutique mais de son

stockage il n’est donc pas question de suspendre l’AMM.

D. Comme le problème vient du stockage et non de la fabrication l’AMM ne doit pas être suspendue. De plus

lorsque l’on suspend l’AMM d’une spécialité pharmaceutique on ne suspend pas nécessairement celles des

spécialités du même groupe générique.

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QCM 7 – TOUT FAUX

A. L’UNCAM détermine le taux de remboursement après évaluation du SMR et de l’ASMR par la Commission

Transparence de la HAS.

B. Les prix peuvent être différents mais les taux de remboursement et donc de ticket modérateur sont les

mêmes.

C. La TVA est de 2,1 %, elle est toujours identiques quelle que soit la spécialité.

D. Pas toujours.

E. Toujours identiques.

QCM 8 – DE

A. La production l’IP3 et de DAG est faite à partir de phosphatidyl inositol.

B. L’AMPc se fixe sur les sous-unités régulatrices de la PKA libérant ainsi ensuite les sous-unités catalytiques.

C. β et γ ne se dissocient pas l’un de l’autre.

QCM 9 – BDE

A. L’IP3 n’active pas le récepteur, c’est la PKA qui active le récepteur à la ryanodine.

C. Les pompes Ca²+ ATPase (comme la pompe SERCA cf. physio) font rentrer le Ca²+ dans le réticulum

sarcoplasmique, donc on observe une diminution de de la concentration en Ca²+ dans le cytoplasme.

QCM 10 – ABCE

D. Le ligand endogène n’a pas de propriétés inhibitrices. Le ligand est un antagoniste ou un agoniste d’un

récepteur, qui lui est porteur de l’effet inhibiteur sur l’organisme.

QCM 11 – CDE

A. Ce sont des agonistes

B. C’est faux, on utilise la testostérone notamment dans des traitements substitutifs.

QCM 12 – DE

A. Cela veut dire qu’un ligand se fixe à 2 types de récepteurs avec des affinités différentes.

B. /!\ Ce n’est pas avec une représentation de Scatchard !!

C. De la liaison spécifique, la liaison totale comprend aussi la liaison non spécifique qui est non saturable !

Sinon on peut aussi dire que le KD représente la concentration de ligand qui occupe 50 % de la population

totale de récepteur.

QCM 13 – ABDE

C. Les barbituriques sont des modulateurs allostériques et non pas des agonistes/antagonistes attention !!

QCM 14 – ABE

C. Diminution du taux d’angiotensine avec l’utilisation d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC).

D. Pour les topoisomérases c’est vrai (Irinotécan et Etoposide ciblent des topoisomérases et sont des

anticancéreux) en revanche pour les xanthines oxydases c’est faux, l’allopurinol cible une XO et est utilisé

comme antigoutteux.

QCM 15 – AD

B. La lanoline est un produit indéfini.

C La lanoline n’est pas un hydrocarbure, il s’agit d’une cire.

E. C’est un excipient liquide.

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QCM 16 – BCD

A. Les formes destinées à la voie oculaire sont : les collyres, les préparations pour lavage oculaire, certaines

préparations semi solides (pommades/crèmes) et les inserts. Un collutoire est destiné à la voie bucco-

pharyngée.

E. Une potion est destinée à la voie orale.

QCM 17 – BCE

A. Augmentation du lag time.

D. Augmentation de la valeur de Tmax.

QCM 18 – ACE

B. Vd est indépendant de la dose administrée.

D. Ce sont les médicaments avec une pharmacocinétique non linéaire qui ont un métabolisme saturable.

QCM 19 – ABE

C. Ils sont plus hydrophiles.

D. L’UGT1A1 appartient aux enzymes de phase 2.

QCM 20 – ABD

C. 25 % pour la morphine et quasiment 100 % pour les AVK.

E. 75 % pour la morphine et quasiment 0 % pour les AVK.

QCM 21 – CD

A. La biophase correspond au tissu ciblé par le médicament.

B. La quasi-totalité des médicaments peut passer car l’espace est assez grand.

E. C’est la lipophilie qui permet la diffusion intracellulaire passive des médicaments, si le médicament n’est

pas lipophile il a alors besoin de transporteurs.

QCM 22 – B

A. L’aténolol n’est pas substrat du CYP2D6.

C. Le captopril n’est pas substrat du CYP2D6.

D. Ce sont les hydroxylateurs rapides qui sont le plus exposés au effets indésirables de la codéine car le

CYP2D6 métabolise la codéine en morphine.

E. Les aminosides ne sont pas substrats du CYP2D6.

QCM 23 – CE

A. Css = R0 / CL donc CL = R0 / Css = 100 / 10 = 10 L/h

B. C’est T1/2 qui est égale à 5h.

D. 50 h correspond à 10 x T1/2, la totalité du médicament est éliminée à ce moment-là.

QCM 24 – AD

B. On n’administre pas de suspensions aqueuses par voir intra articulaire.

C. Pas de vincristine par voie intra rachidienne.

E. Il s’agit aussi d’une voie générale.

QCM 25 – ACD

B. Ces études sont réalisées avant l’accouplement mais il n’est pas nécessaire de tester les deux sexes.

E. Sur 3 espèces différentes.

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QCM 26 – DE

A. Elles permettent d’évaluer la tolérance.

B. Ce sont des individus malades (30 à 100).

C. Biais de confusion.

QCM 27 – ACE

B. Les médicaments sous surveillance renforcée sont : tous les médicaments autorisés dans l’UE depuis le 1er

janvier 2011, les médicaments biologiques (vaccins, dérivés du sang…), les médicaments dotés d’une AMM

conditionnelle et les médicaments sous études de sécurité post AMM.

D. La notion de QALY intervient dans les études de coût/utilité.

QCM 28 – ABCE

D. Faible niveau de preuve.

QCM 29 – ABC

D. Ce ne sont pas les plus fréquentes.

E. Les béta bloquants font partie des médicaments dont l’observance est mauvaise mais ils ne sont pas utilisés

comme produits dopants.

QCM 30 – ACD

B. L’étude ne se fait pas en aveugle il n’y a donc pas besoin de placebo.

E. C’est l’investigateur qui propose l’inclusion aux patients et non le promoteur.

QCM 31 – E

B. Une RTU.

C. Il n’est pas plus faible.

D. L’étude ne présente pas de biais d’attrition.

QCM 32 – ABE

C. Le consentement du patient n’est pas nécessaire.

D. Il s’agit d’une recherche non interventionnelle.

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UE7 – Santé Publique

QCM 1 – AC

B. Une admission en Affection de Longue Durée (ALD) peut être obtenue dans le cadre des ALD « hors liste »

ou encore des ALD « polypathologiques ».

D. C’est le cancer de la prostate qui a montré la plus grande progression du taux de survie à 5 ans avec + 22

pts.

E. La plus faible progression du taux de survie à 5 ans est celle du cancer du poumon avec + 4 pts.

QCM 2 – AE

B. Elle est dans la moyenne européenne et stable depuis 5 ans.

C. Environ 69% des Français déclarent être en bonne ou très bonne santé.

D. 15% des hommes déclarent une limitation fonctionnelle.

QCM 3 – ABDE

C. Le taux de prélèvements sociaux était de 33,4 % et le taux de socialisation des revenus de 38,8%.

QCM 4 – CD

A. Il était inférieur.

B. Il était inférieur.

E. Il était inférieur.

QCM 5 – BE

A. Il était supérieur.

C. Il était inférieur au taux de redistribution du Danemark.

D. Il était supérieur à celui du Royaume-Uni.

QCM 6 – AE

B. La DCS comprend les dépenses de prévention institutionnelle mais pas la CSBM.

C. Elle comprend bien les indemnités journalières.

D. La CSBM ne comprend pas les dépenses de gestion c’est la DCS qui les comprend.

QCM 7 – ABCDE

QCM 8 – ABE

C. Le reste à charge pour les ménages était d’environ 17% pour les médicaments.

D. Le reste à charge pour les ménages était d’environ 14% pour les soins ambulatoires (soins de ville)

QCM 9 – ABCE

D. A partir d’études de cohorte.

QCM 10 – AE

B. Les principales sources de pollution de l’air extérieur sont les sources mobiles.

C. Les phénomènes climatiques ont un impact direct sur la dispersion et la transformation des polluants de

l’air extérieur (vent, UV, …).

D. Il n’y a pas d’effet direct létal chez le sujet sain.

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QCM 11 – CE

A. Le 3ème âge correspond à l’âge de départ à la retraite.

B. En 2017 19,2% de la population avait 65 ans ou plus.

D. En 2017 les 75 ans et plus représentaient 9,1% de la population.

QCM 12 – BCE

A. La première cause du vieillissement démographique est la baisse de la natalité.

D. Il était de 3,8/1000.

QCM 13 – BDE

A. Les actions sur les taux de remboursement concernent la régulation budgétaire.

C. Il s’agit d’une mesure de régulation ciblée sur la demande.

QCM 14 – AD

B. Ils ne sont pas synonymes, ce sont des caractéristiques de l’accès aux soins et produits de santé

(disponibilité, accessibilité, acceptabilité, qualité)

C. Elles pilotent la politique de santé mise en place par le gouvernement et le ministère de la santé en région.

E. Il s’agit d’une régulation budgétaire.

QCM 15 – ABDE

C. Elle date de 2009.

QCM 16 – AE

QCM 17 – C

QCM 18 – ACDE

QCM 19 – A

QCM 20 – DE

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UE7 – SSH

Proposition de résumé

La notion d'hérédité est difficilement définissable scientifiquement : elle ne peut se réduire à l'opposition entre

l'inné et l'acquis, dont la dichotomie est réduite à un simple seuil temporel. Ce qui est transmis à notre

descendance est en fait un mélange complémentaire de variations génétiques, l'héritabilité, et de variations

épigénétiques, dues à l'environnement. Les progrès de la génétique moléculaire et du séquençage humain

permettent l'étude de ces variations génétiques sur des fratries. L'interaction gènes/ facteurs extérieurs explique

les variations phénotypiques (par exemple au niveau des fonctions cognitives), ainsi que la sélection

d'environnement en fonction des prédispositions génétiques. (102 mots)

Barème

Proposition de correction question 2 : Quelles sont les différences entre les notions d’innéité et d’héritabilité ?

Bien qu'intuitivement identiques et donc confondus par le grand public, les notions d'innéité (+1) et

d'héritabilité (+1) sont fondamentalement différentes (+0,5).

(def+1) Le mot inné fait référence à ce qui est présent dès la naissance (+0,5) ou le génotype (+1) cependant

certains caractères présentés comme « innés » ne se développement que bien plus tardivement comme par

exemple à la période de la puberté (+0,5). Pour cela, scientifiquement (+0,5) parlant le terme d'inné ne sera pas

utilisé (car bien trop peu précis) et sera remplacé par la notion d'héritabilité.

(def +1)L'héritabilité correspond à la fraction de variabilité du phénotype (+1) pouvant être associé à des

variations génétiques(+1). (ex +0,5) Ainsi par exemple le quotient intellectuel ne sera pas considéré comme «

inné » mais comme attribuable en partie à son héritabilité. Le considérer comme inné pourrait être rapproché

du fait d'être 100% héritable (+0,5), bien que ce ne soit le cas pour aucun phénotype. On voit ainsi que de

décrire un phénotype comme héritable est fondamentalement différent que de le décrire comme inné.

Barème (/10)

− Inné 0,5 pt

− Acquis 0,5 pt

− Opposition/ Dichotomie incohérente, insuffisante 0,5 pt

− Définition/ Étude scientifique 0,5 pt

− Hérédité 1pt

− Étude de fratries/ Étude de jumeaux 0,5 pt

− Inné/Innéité (+1) définition (+1)

− Différence (+0,5)

− Naissance (+0,5)

− Puberté (+0,5)

− Génotype (+1)

− Science/Scientifique/Scientifiquement (+0,5)

− Héritabilité (+1) définition (+1)

− Variabilité génétique (+1)

− Phénotype (+1)

− Inné =100% héritabilité (+0,5)

− Exemple de phénotype (+0,5)

− Héritabilité/ Variation génétique 1 pt

− Environnement/ Variation épigénétique 1 pt

− Complémentarité/ interaction 0,5 pt

− Technique de génétique moléculaire, séquençage 1pt

− Phénotype 1 pt

− Fonctions cognitives 0,5 pt

− Épigénétique 1 pt

− Sélection 0,5 pt

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Proposition de correction question 3 : Qu’est-ce que l’environnement humain? Donnez en une classification en l’explicitant.

L’environnement est représenté par le milieu dans lequel l’Homme se développe et où il vit. Il est

d’abord utérin, puis physique (climat, altitude), biologique, culturel et social. L'environnement va permettre à

un médecin d'orienter un diagnostic ; c'est pourquoi il faut faire un interrogatoire du patient.

Le premier environnement est donc utérin, dans la période qui précède la naissance, c'est là que va se

faire le développement de l'embryon puis du fœtus, ce n'est pas un environnement imperméable : il est en

relation avec la mère via la barrière placentaire. L'environnement, au travers des sons, va déjà conditionner le

fœtus pour l'apprentissage d'une langue.

Vient ensuite l’environnement physique, subdivisé en trois catégories : macro-environnement, méso-

environnement et micro-environnement.

Le macro-environnement physique correspond aux grandes zones climatiques liées à l’altitude, la latitude...

Ces zones climatiques sont importantes pour des adaptations, mais à l'exception de l'altitude, elles ne sont pas

très informatives. L'altitude est quelque chose auquel on n'échappe pas. À l'inverse, être soumis à la chaleur

est relatif, on peut par exemple rajouter une climatisation.

Le méso-environnement physique correspond au milieu local dans lequel l’Homme vivra. Chez l’Homme, ce

milieu peut être rural, urbain...

Le micro-environnement physique renvoie directement au milieu dans lequel évolue le sujet. C'est un élément

qui est assez culturel. Par exemple, en milieu urbain un sujet peut être sédentaire ou être actif et changer de

lieu.

L’Homme est inclus dans un ensemble vivant : l'environnement biologique (biocénose).

La biocénose est constituée par le groupe humain dans lequel l'individu est inclus, par les animaux qui

l’entourent; mais il ne faut pas oublier les parasites, les bactéries et les virus qui peuvent être à l’origine de

maladies épidémiques ou endémiques : il faut prendre en compte le microbiote. Le microbiome représente les

micro-organismes et leur génome vivant en harmonie dans ou sur un organisme animal ou végétal (hors

pathologie). Chez l’Homme, il constitue quasiment un organe en soi ; par exemple, ils nous aident à digérer

certaines plantes, d’autres synthétisent des enzymes, d’autres protègent notre peau.

La culture est un autre élément environnemental important : il s’agit de l’ensemble des formes acquises

de comportements qu’un groupe de sujets transmet à ses enfants. C’est un réseau de signification (par exemple

le langage) qui, lorsqu'il est partagé par plusieurs sujets, devient une culture. La culture est, entre autres, tout

ce qui est transmis en-dehors de la génétique. Les réseaux de signification, de la même manière que la culture,

sont stables au cours du temps mais ils peuvent évoluer (exemple de la langue : vocabulaire, intonations...).

D'autres espèces animales, telles que les chimpanzés ou les orangs-outans, ont une culture développée

cependant, c'est chez l'Homme qu'elle a le plus d'impact.

L’Homme a aussi un environnement social et familial, ce dernier comprend ses conditions de vie et de

travail, son niveau de revenu, sa formation et les groupes sociaux dont il fait partie. L’environnement familial

est d’une importance pour tous, et d'une importance majeure pour les enfants. Aucun enfant, jusqu'à l'âge de 6

ans, ne peut être laissé seul et survivre.

Enfin on peut parler de l’environnement médical, qui est lié à l’environnement social, familial et

culturel. Il existe encore dans toutes les sociétés des différences d'accès aux soins qu’il faut prendre en compte.

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Barème (/10)

Question pas très difficile, pour faire la différence au concours, recrachez votre cours clairement en structurant +++++ ! <3

− Définition 1,5pt

− Environnement utérin 0,5pt + explication 0,5pt

− Macro-environnement physique 0,5pt + explication 0,5pt

− Méso-environnement physique 0,5pt + explication 0,5pt

− Micro-environnement physique 0,5pt + explication 0,5pt

− Environnement biologique 0,5pt + animaux 0,25pt + parasites/bactéries/virus 0,25pt +

microbiote/microbiome 0,25pt

− Culture 0,5pt + définition 0,5pt

− Réseau de signification 0,25pt + langage 0,25pt + stable au cours du temps et évolutive 0,25pt

− Environnement social et familial 0,5pt + définition 0,5pt

− Environnement médical 0,5pt

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UE8 – Recherche

1 : A 2 : ACD 3 : BE 4 : ACD 5 : ACD

6 : BD 7 : ABD 8 : AC 9 : ABE 10 : ABDE

11 : ABD 12 : AC 13 : ACE 14 : AD 15 : ACD

QCM 1 – A

On part de pβglobine (4900 kb) et on utilise BamH1, on va donc cliver entre les bases 3600 et 4600 pour

obtenir l’ADNc codant la βglobine (1000 pb). pRH est lui ouvert au niveau de la base 820 pour pouvoir recevoir

l’ADNc de la βglobine ; attention on utilise une enzyme de restriction donc l’ADNc peut s’insérer dans les

deux sens (5500 pb). L’ADNc de la βglobine est inséré entre un promoteur eucaryote et un terminateur.

A. Vrai : Le gène de résistance à la kanamycine est exprimé dans les cellules procaryotes ; attention les

bactéries transformées sont résistantes à la kanamycine mais n’expriment pas la βglobine.

B. Faux : Le clonage n’est pas orienté car on utilise une seule enzyme de restriction ; l’insert peut donc s’insérer

dans les 2 sens.

C. Faux : Il est de 5500 pb.

D. Faux : Cf correction de l’item A.

E. Faux : pRH contenant l’ADNc de la βglobine ne contient pas de gène de résistance à la zéocine (c’est le

pβglobine qui le contient).

QCM 2 – ACD

Les clones bactériens sont sélectionnés à l’aide de la kanamycine car le promoteur exprimant le gène de la

kanamycine est procaryote ; mais attention, le clone n’exprimera pas l’ADNc pour la βglobine. D’après le

premier schéma est les enzymes de restrictions on peut construire le tableau suivant :

Enzyme de restriction Sans insertion d’ADNc

pour la βglobine

Avec insertion d’ADNc pour la βglobine

Dans le bon sens Dans l’autre sens

EcoR1

1 site de restriction :

• 1 fragment de 5500pb

2 sites de restrictions :

• 1 fragment de 520 pb

• 1 fragment de 4980 pb

2 sites de restrictions :

• 1 fragment de 520pb

• 1 fragment de 4980 pb

BamH1

1 site de restriction :

• 1 fragment de 5500pb

2 sites de restrictions :

• 1 fragment de 1000 pb

• 1 fragment de 4500 pb

2 sites de restrictions :

• 1 fragment de 1000 pb

• 1 fragment de 4500 pb

Hind3

1 site de restriction :

• 1 fragment de 5500pb

2 sites de restrictions :

• 1 fragment de 210 pb

• 1 fragment de 5290 pb

2 sites de restrictions :

• 1 fragment de 810 pb

• 1 fragment de 4690 pb

On voit que :

- EcoR1 clive au milieu de l’ADNc de βglobine : elle indique donc si l’insertion à fonctionnée mais elle

n’indique pas le sens d’insertion.

- BamH1 clive aux extrémités de l’insert : elle indique donc si l’insertion a fonctionné mais elle

n’indique pas le sens d’insertion.

- Hind3 indique si l’insertion à fonctionnée elle indique le sens d’insertion.

A. Vrai : Sans plasmide on aurait un seul fragment.

B. Faux : EcoR1 ne permet de connaitre l’orientation de l’insert (seul Hind3 le permet).

C. Vrai : Les fragments obtenues avec les différentes enzymes de restrictions permettent de montrer que le

l’insert est fixé et dans le bon sens, le plasmide 4 permet donc la transcription de la protéine souhaitée.

D. Vrai : On voit avec la colonne H que les 2 fragments correspondent à l’orientation de l’insert dans le bon

sens.

E. Faux : La protéine synthétisée est cytosolique ; elle n’est donc pas retrouvée dans le surnageant.

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QCM 3 – BE

A. Faux : La transgénèse additive se fait sur la cellule œuf.

B. Vrai : Le gène codant pour la puromycine possède un promoteur eucaryote constitutif.

C. Faux : Les souris gestantes ne sont pas résistantes à la puromycine et ce sont des chimères donc même les

souriceaux possédant des cellules transfectées ne survivraient pas forcément à la puromycine.

D. Faux : Le transgène est exprimé dans toutes les cellules portant le transgène.

E. Vrai : La transgénèse sur cellules ES induit la formation de chimères, toutes les cellules de l’individu n’ont

pas toutes le transgène.

QCM 4 – ACD

A. Vrai : Le gène que l’on veut implanter doit avoir une forte homologie avec les zones en aval du promoteur

d’intérêt.

B. Faux : La transgénèse CRISPR/Cas9 se fait uniquement sur le zygote.

D. Vrai : Cas 9 est une endonucléase qui réalise une cdb à 3 nucléotides de la séquence PAM.

E. Faux : La GFP est exprimée dans les tissus où la Rnd1 était exprimée (cerveau et foie).

QCM 5 – ACD

A. Vrai : Les taxoïdes antitumoraux étaient testés via un Test-tubuline.

B. Faux : Le DAB-III est le substrat pour des hémisynthèses de substances cytotoxique.

D. Vrai : La tubuline est thermo sensible : elle polymérise à 37° et dépolymérise totalement à 4°C.

E. Faux : La recherche s’oriente vers les taxoïdes non multi drug resistants (MDR) et administrables par voie

orale.

QCM 6 – BD

Si NKP joue un rôle important dans la cancérogénèse, alors les transferts de cations sont nécessaire à la survie

des cellules cancéreuses.

Figure A : Les adénocarcinomes mammaires humains, avec des cellules MDA-231 n’exprimant pas le

récepteur des œstrogènes ont statistiquement un taux d’ARNm de NKP/actine inférieur aux cellules YS1.2.

Cette différentes n’est pas démontrée entre les cellules pII et YS1.2.

Figure B : La première chose à vérifier dans un western-blot est qu’il y a bien autant d’actine dans toutes les

tests. On peut donc en déduire qu’il y a plus de protéines NKP dans les cellules MDA-231 puis MCF-7 puis

pII puis YS1.2 et enfin MCF10A (qui correspond à des cellules saines. A première vue les cellules saines

semblent exprimer que peu la protéine NKP

Figure C : On peut voire que l’activité de NKP dans les cellules d’adénocarcinome mammaires humains,

l’activité de NKP est supérieure aux cellules MCF10A saines.

A. Faux : Il y a une différence significative entre MDA-231 (n’exprimant pas le récepteur aux œstrogènes) et

YS1.2 (exprimant le récepteur aux œstrogènes) mais pas entre YS1.2 et pII (n’exprime pas non plus le

récepteur). Même s’il y avait une différence significative entre pII et YS1.2 ont ne pourrait pas l’affirmer car

ont ne connait pas le taux relatif d’ARNm de NKP/actine pour les cellules MCF-7 (qui expriment aussi le

récepteur aux œstrogènes).

B. Vrai : On peut le voir sur la figure B (pas la C attention, la figure C rapporte l’activité pas l’expression du

gène). La bande de NKP dans les cellules saines et très claire contrairement aux autres.

C. Faux : Les cellules YS1.2 (exprimant le récepteur) expriment moins NKP que les cellules MDA-231 qui

n’expriment pas le récepteur.

D. Vrai : On peut voir sur la figure C que l’activité des cellules YS1.2 est significativement supérieure à celle

de MCF10A (on n’a démontré la supériorité d’acticité que par rapport à la cellule saine).

E. Faux : Avec l’ensemble des figures, on démontre l’augmentation d’expression et d’activité de NKP dans

les cellules cancéreuses mais le récepteur aux œstrogènes ne semble pas influencer NKP.

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QCM 7 – ABD

A. Vrai : Pour tester l’action d’un gène, il faut modifier son expression (soit l’augmenter, soit la diminuer).

B. Vrai : On va pouvoir ainsi comparer les différences entre une souris sauvage et une souris modifiée.

C. Faux : On peut comparer des données pour des populations comparables, on va donc devoir étudier

l’insuffisance cardiaque de souris de même âge pour voir l’incidence de l’âge sur la pathologie et de même

sexe pour voir l’incidence du sexe.

D. Vrai : L’échographie permet l’analyse de la fonction cardiaque, il faut ensuite comparer les échographies

entre les souris sauvages et les souris modifiées (dont l’expression de la protéine candidate est modifiée).

E. Faux : Avant de passer chez l’Homme il y a un certain nombre d’étapes : il va notamment falloir étudier

les effets indésirables sur au moins 2 espèces différentes.

QCM 8 – AC

A. Vrai : Les bactéries sont des procaryotes, donc le vecteur est utilisé pour exprimer la DsRed.

B. Faux : On n’est pas ici sur une colonne échangeuse de cation (pH < pI ⇒ protéine chargée + ).

Les protéines exclues de la colonne sont des protéines ne possédant pas d’étiquette 6(His) qui peut se fixer

sur la colonne de Nickel (qui est un ion métallique).

C. Vrai : La fraction éluée contient plusieurs bandes, la bande la plus épaisse (donc celle contenant le plus de

protéines) possède une masse moléculaire d’environ 30 kDa.

Les autres bandes sont assez faibles, on considère donc qu’elle se sont peut fixer sur la colonne car moins

affines, on considère donc la bande de 30 kDa comme correspondante à la DsRed.

D. Faux : Aucun protocole ne permet une pureté de 100% !!! En plus ici on voit clairement d’autres bandes

dans la fraction éluée.

E. Faux : La forme native est la forme conformée de la protéine, elle fluoresce dans le rouge.

Or l’électrophorèse a été réalisée en présence d’un agent réducteur, donc seule la structure primaire de la

chaine protéique est maintenue.

QCM 9 – ABE

A. Vrai : Le SSX2 du tétramère est reconnu par le TCR.

B. Vrai : Cadran supérieur gauche = positif au marquage du tétramère mais négatif à celui de PD1 -> le TCR

reconnaît le SSX2. Il n’exprime pas PD1 sinon on aurait le marquage anti-PD1.

C. Faux : La partie inférieure droite du cadran montre que certains lymphocytes expriment PD-1 mais sont

négatifs au marquage du tétramère donc pas spécifiques du SSX2.

D. Faux : La sélection de lymphocytes T spécifiques de SSX-2 par une tumeur va augmenter le taux de

lymphocytes sélectionnés dans le tissu tumoral mais aussi dans le reste du corps (ex : le sang).

E. Vrai : Les tétramères sont les détecteurs spécifiques de TCR pour une protéine, ici SSX-2, les lymphocytes

marqués par le tétramère seront donc spécifiques de SSX-2.

QCM 10 – ABDE

A. Vrai : les cellules tumorales sont marquées au Cr radioactif donc lors de leur destruction, le chrome est

relâché et détecté par cette technique.

B. Vrai : en absence d’inhibiteurs le pourcentage de lyse diminue donc PD-1 inhibe la lyse : c’est un

récepteur inhibiteur des LT CD8.

C. Faux : En absence d’anticorps la lyse diminue, cela insinue que la lignée tumorale exprime un ligand de

PD1 qui inhibe la lyse.

D. Vrai : En absence de d’anti-PD-1 (carrés blancs), le taux de lyse est d’environ 40%.

E. Vrai : D’après la courbe avec les carrés noirs, on peut voir que l’utilisation d’anticorps monoclonaux anti-

PD-1 on un effet cytotoxiques sur les cellules tumorales étudiées.

QCM 11 – ABD

A. Vrai : On analyse les caspases 3 dans les LT CD8, on étudie donc leur mort par apoptose.

B. Vrai : Les caspases 3 et 7 sont les effectrices activées par voie intrinsèque et extrinsèque.

C. Faux : Cette expérience permet d’évaluer le pourcentage de cellules en apoptose.

D. Vrai : En bloquant l’avancée dans le cycle cellulaire (diminution du taux de cellules en phases S/G2/M) il

y a une augmentation de la mort cellulaire.

E. Faux : les souris déficientes en TNF ont leur LTCD8 qui arrêtent de proliférer ce qui n’est pas observé

chez les souris sauvages.

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QCM 12 – AC

A. Vrai : On peut voir qu’au début la charge virale est maximale mais qu’elle diminue temporairement après

en présence de siVHB, le siVHB est donc responsable de la non-expression de l’ARN .

B. Faux : Les shRNA sont transcrits dans le noyau par les polymérases II ou III.

C. Vrai : Cette maturation est réalisée par DICER.

D. Faux : L’extinction de l’expression n’est pas efficace : au bout de 12 jours elle a augmenté de 60%.

E. Faux : les shRNA agissent sur les ARN et non sur le gène.

QCM 13 – ACE

A. Vrai : Ce sont différents anticorps issus d’une même classe IgG2a, ils sont donc isotypiques.

B. Faux : ils ont des idiotopes différents : les épitopes sont propres aux anticorps, ici ils reconnaissent des

antigènes différents comme leurs effets sont différents.

C. Vrai : Les anticorps dirigés contre les anti-CTLA-4 induisent 30% de rejets, c’est donc moins que les anti-

PD-1 qui induisent 50% de rejet.

D. Faux : Ce sont les ANTI-PD1 et les ANTI-CTLA4 qui permettent les rejets des mélanomes.

E. Vrai : L’association des 2 anticorps induit 90% de rejet du mélanomes donc plus que les 2

indépendamment.

QCM 14 – AD

A. Vrai : Le pouvoir rotatoire décrit dans la littérature a été obtenue à 20°C.

B. Faux : 36 = 40 x 90/100. L’excès énantiomérique est donc de 90%.

C. Faux : Le pouvoir rotatoire de B et C est supérieur à celui de D, donc la proportion d’énantiomère

dextrogyre est plus élevée dans les solutions B et C.

D. Vrai : L’HPLC est une chromatographie en conditions chirales qui permet de séparer 2 énantiomères.

E. Faux : [α] = α / (l x c) donc si la concentration diminue, la valeur de [α] augmente.

QCM 15 – ACD

A. Vrai : Il faut connaitre les différents termes désignant les énantiomères.

B. Faux : Deux énantiomères peuvent avoir la même activité pharmacologique, voire l’un avec une activité

réduite ou nulle voire même dans certains cas des effets opposés et dangereux.

C. Vrai : La résolution correspond à l’obtention d’un composé énantiopure à partir d’un mélange racémique.

D. Vrai : Un catalyseur chiral ne formera qu’un seul énantiomère, il permettrait ici de ne former que

l’énantiomère R.

E. Faux : La cétone ne contient pas de centres chiraux, elle n’est donc pas considérée comme un « pool »

chiral.

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UE8 – Petit Bassin

QCM 1 – AE

C. Le coccyx est la partie la plus caudale de la colonne vertébrale et s’articule avec le sacrum.

D. Le ligament arqué renforce la symphyse pubienne en dessous.

QCM 2 – BE

A. La tubérosité iliaque est située en latéral de l’os iliaque et donc en DEHORS du premier foramen sacré.

C. Le ligament interosseux s’insère sur la tubérosité sacrale et la tubérosité iliaque, il unit donc l’os iliaque au

sacrum.

D. La grande ouverture sciatique est limitée par la grande échancrure sciatique en avant, le ligament sacro-

épineux en bas et le ligament sacro-tubéral en arrière.

QCM 3 – CE

A. Le ligament sacro-épineux sépare la grande ouverture sciatique de la petite ouverture sciatique.

B. Le psoas quitte le grand bassin en passant sous le ligament inguinal dans la partie supérieure du canal

inguinal.

D. Le muscle coccygien est situé en dedans du ligament sacro-épineux.

QCM 4 – AE

B. Le muscle transverse du périnée est situé entre 2 branches ischio-pubiennes et passe en arrière et en avant

du vagin. La face latérale de la fosse ischio-rectale est limitée par le muscle obturateur interne.

C. Il participe à la formation du sphincter anal INTERNE.

D. Elles croisent la ligne médiane en arrière du vagin et en avant du rectum.

QCM 5 – AD

B. L’artère iliaque externe vascularise le membre inférieur, l’artère iliaque interne vascularise les régions du

pelvis.

C. C’est le tronc ANTERIEUR.

E. Les veines utérines se drainent vers la veine iliaque EXTERNE.

QCM 6 – ACD

B. Le nerf ilio-hypogastrique provient de L1.

E. La lésion du nerf pudendal a des effets sur la continence vésicale volontaire.

La motricité vésicale involontaire est quant à elle gérée par le plexus hypogastrique.

QCM 7 – BCDE

A. La limite supérieure de la glande mammaire est inconstante. Les limites sont généralement T3 (supérieure)

et T7 (inférieure) mais ceci n’est pas applicable à tout individus, le seul point fixe est le sillon sous-mammaire.

QCM 8 – ABDE

C. La folliculogénèse dure 120 jours (environ 4 mois).

QCM 9 – ACD

B. L’aromatase contenue dans les cellules de la granulosa permet la transformation des androgènes en

œstrogènes et non l’inverse !

E. S’il y a eu fécondation les cellules lutéales vont produire de la progestérone.

Le corpus albicans est une cicatrice de tissu collagène s’il n’y a PAS eu fécondation et donc il va dégénérer.

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QCM 10 – ABCD

E. L’épithélium de l’endomètre repose sur une membrane basale qui repose sur un chorion, celui-ci est à

prédominance cellulaire. La médullaire est un tissu conjonctif lâche.

QCM 11 – DE

A. L’épithélium est cylindrique SIMPLE.

B. Après la ménopause, l’endomètre s’atrophie et mesure de 3 à 5/10ème de mm.

C. Les artères endométriales commencent à s’enrouler à la FIN de la phase proliférative (5e-14e jour).

QCM 12 – DE

A. Le début d’enroulement des glandes poursuit le début d’enroulement des artères, en fin de phase

PROLIFÉRATIVE.

B. Les vacuoles de sécrétion sous nucléaires correspondent à des vacuoles de glycogène.

C. Le produit de sécrétion des cellules épithéliales est excrété par sécrétion apocrine.

QCM 13 – BD

A. Le mucus cervical a un rôle de barrière. Il devient plus fluide seulement durant l’ovulation pour permettre

le passage de spermatozoïdes.

C. Attention, le frottis cervical n’est pas un traitement !! C’est un examen de dépistage pour détecter des lésions

et mettre ainsi en place un traitement.

E. Pendant la grossesse le canal galactophore se divise et donne plus de lobules.

QCM 14 – ACE

B. Le tissu conjonctif du lobule correspond à du tissu conjonctif lâche appelé tissu palléal.

D. Ce sont les cellules épithéliales lactantes de l’alvéole qui sécrètent le lait.

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UE8 – Tête et Cou

QCM 1 – AD

B. Face antérieure du corps de sphénoïde, l’éthmoïde est devant le sphénoïde anatomiquement.

C. L’éminence arquée est bien un relief de la face latérale cérébrale du rocher qui correspond à l’impression

des canaux semi-circulaires (on ne voit que ça comme explication au fait que ce soit faux).

E. Le sillon chiasmatique appartient à l’étage antérieur, c’est le tubercule de la selle turcique qui délimite

l’étage antérieur de l’étage moyen.

QCM 2 – ABE

A. Le chiasma optique appartient à l’étage antérieur, la selle turcique à l’étage moyen et le clivus à l’étage

postérieur.

C. Ce sont les artères carotides internes.

D. C’est un relief du bord postérieur du rocher.

QCM 3 – ACE

A. A ne pas confondre avec le nerf cochléo-vestibulaire .

B. Il passe par la fissure orbitaire supérieure qui communique avec l’étage moyen.

D. Le nerf ophtalmique passe par l’incisure supra-orbitaire et donc par aucun étage de la base du crâne.

QCM 4 – ABE

C. Ce sont les lames verticales.

D. Les os zygomatiques s’unissent aux os temporaux, maxillaire, frontal et sphénoïde.

QCM 5 – BDE

A. Sur un plan frontal.

C. Le vomer s’unit au cartilage septal, à l’éthmoïde, au sphénoïde et au maxillaire (par la suture palatine).

E. Par l’épine nasale de l’os frontal.

QCM 6 – BD

A. La ligne oblique interne sépare le corps de la mandibule en deux.

C. Il est au niveau des prémolaires.

E. Orienté en haut et en arrière.

QCM 7 – ADE

B. Lentille biconcave.

C. Le ligament dorsal du disque s’insère sur la fosse mandibulaire.

QCM 8 – ABCD

E. La fosse ptérygo-palatine se situe en avant du processus ptérygoïde.

QCM 9 – BC

A. Par le bord ventral des muscles SCM.

D. Par le nerf facial pour le ventre postérieur et par le nerf mandibulaire pour le ventre antérieur.

E. Il est sensitif attention !

QCM 10 – DE

A. L’innervation est assurée par le VII.

B. C’est le muscle ptérygoïdien qui a cette terminaison, le temporal se termine sur le processus coronoïde.

C. Il passe par le foramen stylo-mastoïdien.

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QCM 11 – ACE

B. Il se termine au niveau de l’angle interne de la mandibule.

D. C’est la contraction unilatérale.

QCM 12 – BD

A. L’axe viscéral est vascularisé par les collatérales de l’artère carotide externe.

C. Artère thyroïdienne supérieure.

E. Attention c’est l’origine qui est différente !

QCM 13 – ACDE

B. Le conduit lymphatique se termine dans le confluent jugulo-subclavier droit.

QCM 14 – AD

B. Non d’où le développement des arcs branchiaux.

C. Du 2e arc.

E. La fusion des bourgeons est antérieure (7ème semaine) au cloisonnement oronasal (9ème semaine).

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UE8 – Odontologie

QCM 1 – BDE

A. Pas d’apposition physiologique d’émail pendant la vie, l’apposition se fait uniquement avant l’éruption.

C. Le cingulum est présent au niveau des incisives et canines.

QCM 2 – ACDE

B. Face mésiale = vers l’avant de la cavité buccale (le plus près du point inter-incisif).

QCM 3 – ABCE

D. 25 = prémolaire, le pont d’émail se trouve sur les molaires maxillaires.

QCM 4 – ABC

D. Voile du palais abaissé.

E. Epiglotte relevée.

QCM 5 – CE

A. Tonicité minimale.

B. Cuspides d’appui.

D. Distoclusion de la première molaire maxillaire (mésiocclusion de la première molaire mandibulaire).

QCM 6 – BCDE

A. Composante mésenchymateuse : papille primitive.

Composante épithéliale : organe de l’émail.

QCM 7 – CD

A. Les pré-odontoblastes se différencient à partir des cellules de la papille primitive.

B. Epithélium adamantin interne.

E. A partir des cellules de l’épiblaste stomodéal.

QCM 8 – ACDE

B. Fibroblastes issus du follicule fibreux.

QCM 9 – D

A. Moitié cervicale.

B. Plus minéralisé.

C. Pas d’odontoblaste mais des cémentoblastes à la surface.

E. Non voir item C.

QCM 10 – AB

C. Inactive : dure au sondage.

D. Si car les sucres sont apportés par l’alimentation.

E. Faux, il peut y avoir des douleurs.

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QCM 11 – ADE

B. 5 stades (de 0 à 4).

C. Lésion proximale.

QCM 12 – ABCDE

QCM 13 – E

A. Restauration indirecte.

B. On utilise une restauration directe.

C. De regarder l’inflammation de la gencive.

D. La parodontite s’accompagne d’une alvéolyse mais pas la gingivite.

QCM 14 – BCDE

A. Caractéristique de la grossesse (épulis gravidique).

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UE8 – Pharmacie

QCM 1 – ABD

C. Les endospores sont des formes de résistances. Elles sont présentes quand les conditions environnementales

sont défavorables.

E. Les endospores résistent à l'ébullition.

QCM 2 – ACD

B. La repousse est retardée en absence de CO2. Une bactérie lithotrophe ne peut pas se passer de CO2 pour se

multiplier. Or, ici, la bactérie arrive quand même à se multiplier sans CO2 (la pousse est juste retardée), donc

elle n’est pas lithotrophe.

E. L’atmosphère est normale. Cela signifie que l’on retrouve de l’oxygène dans l’atmosphère donc la bactérie

n’est pas anaérobie stricte.

QCM 3 – AD

B. Les bactéries ne possèdent pas de mitochondries.

C. Les virus n’ont pas de ribosomes.

E. Les ribosomes sont dans le cytoplasme des bactéries.

QCM 4 – C

A. Bacille gram négatif.

B. Bacille gram positif.

D. Bacille gram négatif.

E. Coque gram positif.

QCM 5 – ABD

C. Une contamination peut conduire à un résultat faussement positif.

E. Pour la culture virale, les cellules utilisées doivent être permissives aux virus.

QCM 6 – B

A. Cf. item B : Un ADN viral intégré au génome de la cellule hôte et capable de produire des virions.

C, D & E. Cf. item B.

QCM 7 – ABCDE

QCM 8 – A

B. La capsule est polysaccharidique mais la capside est protéique.

C. La capsule est inconstante alors que la capside est constante.

D. La capsule est visible en microscopie optique mais pas la capside.

E. On ne retrouve pas de capsule chez les virus.

QCM 9 – BDE

A. L’autoclavage et les procédés UHT sont deux procédés différents. Le procédé UHT consiste en un passage

à plus de 135°C pendant moins de 5 secondes : il permet d’améliorer la conservation des produits laitiers.

L’autoclavage permet la stérilisation : c’est un passage à plus de 120°C pendant plus de 20 minutes et dans au

moins deux atmosphères différentes.

C. La pasteurisation a été inventée par Louis Pasteur, comme son nom l’indique.

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QCM 10 – BCE

A. On ne fixe pas l’échantillon lors d’un examen direct à l’état frais, puisque son but principal est la mise en

évidence de la mobilité.

D. L’échantillon n’est pas forcément liquide: un examen direct à l’état frais nécessite soit une goutte de

l’échantillon (si liquide), soit une goutte d’une suspension réalisée à partir de cet échantillon (ici, solide).

QCM 11 – BDE

A. Nous parlons ici des bactéries. La virémie est définie comme la présence d’un virus dans le sang d’un

individu. Les bactéries diffusent généralement grâce au chimiotactisme permis par les appendices externes.

C. La colonisation fait partie de la première étape de l’infection : pénétration dans l’organisme.

QCM 12 – ABD

C. Les cellules de primo-explantation sont des cellules provenant directement d’organes animaux ou humains, elles

ne doivent pas être confondues avec les cellules issues de lignées continues, en général cancéreuses.

E. L’effet cytopathique peut être confirmé par la recherche d’antigènes viraux, de la biologie moléculaire ou

des techniques d'agglutination.

QCM 13 – E

1 mL contenant 100 000 bactéries/mL contient 100 000 bactéries. Il est dilué dans 99 mL : on se retrouve avec

100 000 bactéries/100mL, soit 1000 bactéries/mL. 5 heures correspondent à 300 minutes, soit 15 périodes de

20 min. Comme il y a un temps de latence de 20 min avant la première multiplication, on se retrouve avec 14

doublements. En effet : 300 = 1*(temps de latence) + 14*(temps de doublement). Le nombre initial de bactéries

est donc multiplié par un facteur 214. Comme nous avions 1000 bactéries = 103 bactéries au départ, on se

retrouve avec 103 * 214 bactéries.

QCM 14 – C

On a 100 colonies dans 100 μL, soit 1000 colonies/mL = 103 colonies/mL. La sixième dilution correspond à

un facteur de dilution de 106. Dans la suspension initiale, il y avait donc: 103 * 106 = 109 UFC/mL.

QCM 15 – AC

B. Elles possèdent 30 arêtes, pas moins.

D. Elles possèdent 12 sommets, donc 12 pentons, pas plus, pas moins.

E. Idem D.

QCM 16 – DE

A. Des colorations cellulaires sont également possibles.

B. Seules les cellules permissives sont sensibles.

C. Dans les cellules résistantes, il n’y a pas de récepteur permettant la pénétration du virus. Il ne pourra donc

pas se multiplier sur des cellules résistantes.

QCM 17 – ABD

C. Le corps des cestodes est aplati (ce sont des helminthes, des vers plats).

E. Il en existe. Par exemple, les cellules à flamme convergent en un canal transversal qui sera commun à tous

les anneaux.

QCM 18 – E

A. D est le flagelle.

B & C. B est le noyau.

D. A est le Blépharoplaste.

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QCM 19 – BC

A. Ils sont retrouvés dans les urines et dans les selles, mais ils n’y sont pas pondus.

D. C’est une fois que les adultes sont matures qu’ils atteignent les plexus veineux recto-coliques pour que la

femelle y ponde ses œufs.

E. La phase d’invasion dure entre 5 et 6 semaines.

QCM 20 – AC

B. La schizogonie hépatocytaire est cliniquement muette. Les symptômes décrits ici sont ceux de la

schizogonie érythrocytaire.

D. Lors de la schizogonie érythrocytaire, on ne retrouve que des différenciations, mais pas de phase sexuée.

E. La conjugaison est un phénomène sexué.

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UE8 – UFP

QCM 1 – BCDE

A. L’hPL est détectable dès la 3e semaine et est maximale à terme.

E. L’item E est considéré comme vrai dans la correction du concours, or nous n’avions pas noté cette information dans nos cours respectifs si celle-ci s’avère vraie. Nous ne pouvons donc pas vous assurer de la véracité de cet item.

QCM 2 – ABCD

E. Les dNK présentent une inhibition de la cytotoxicité envers le trophoblaste.

QCM 3 – ADE

B. Le premier arc aortique est amené à disparaître. En revanche, les 3e arcs aortiques seront à l’origine des

carotides internes.

C. Les aortes ventrales se développent crânialement pour former les artères carotides externes.

QCM 4 – BCDE

A. Avant 20 SA (semaine aménorrhée), la composition du liquide amniotique est identique à celle du sérum

fœtal. C’est après 20 SA que sa composition est proche de celle de l’urine fœtale.

QCM 5 – AC

B. Dans la môle hydatiforme complète, il n’y a pas d’hématies fœtales.

D. C’est l’inverse, le risque d’évolution vers une maladie gestationnelle persistante pour une môle complète

est de 15 à 20% contre 0,5 à 3% pour une partielle.

E. Le taux d’hCG doit être surveillé pendant 12 mois (attention le cours 2019 change sur ce point là : une môle

hydatiforme complète nécessite une surveillance hebdomadaire du taux d’HCG jusqu’à négativation, puis, une

fois par mois pendant 6 mois).

QCM 6 – BE

A. Les artères spiralées naissent des artères basales, elles-mêmes issues des artères radiaires.

C. À la 7e semaine de développement, la partie endométriale des artères spiralées subit un envahissement par

des cellules cytotrophoblastiques.

D. Il y a augmentation du débit selon r4 pour permettre le développement fœtal.

QCM 7 – AB

B. Le contenu de la chambre intervilleuse se renouvelle lentement 2 à 3 fois par minutes ce qui correspond

bien à toutes les 20 à 30 secondes.

C. Il n’y a pas de mélange entre les sangs maternel et fœtal.

D. Le cordon ombilical s’insère sur la plaque choriale du placenta.

E. Le sang de l’espace sanguin fœtal se renouvelle toutes les 8 à 10 secondes alors que celui de la chambre

intervilleuse se renouvelle 2 à 3 fois par minute.

QCM 8 – AB

C. Le tissu conjonctif villositaire contient habituellement des cellules macrophagiques fœtales : les

macrophages de Hofbauer.

D. L’épaisseur de la membrane d’échange varie entre 2 et 5 micromètres.

E. La barrière materno-fœtale a une origine exclusivement fœtale.

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Remerciements pour ce semestre aux :

Tuteurs UE3bis

Alice BELLEGARDE, Agathe BERGERE CASSARD, Marie BOUTEILLER, Noémie CAJA, Mario DE LA FUENTE

Joane DELAMBRE, Maxime FAU, Nicolas GARCIA, Thomas GOUJON, Jana HALLAL, Louise MARAVAL

Mathilde NICOLAS, Déborah PRATS, Emma RACAUD, Clément VAUCORET, Manon VILLALBA

Ainsi qu’aux RMs UE3bis Anaïs BELKACEMI et Valentin BADELLINO

Tuteurs Anatomie

Emma ANGELE, Camille AVET L’OISEAU, Adam BENCHEKROUN, Clara BERTHELON, Quentin BLANCHARD

Louis BOULET, Thomas CASTE, Léa COGNARD, Bixente CHALLET, Alice CHATEAUMINOIS

Lilian GERVASONI, Eléonore KERMORGANT, Laura MAILLET, Raphaëlle MANSUY, Nicolas RAYMOND

Clara TREGANT, Rosalie VAISSIERE

Ainsi qu’aux RMs Anatomie Juliette FARNARIER et Eva REGNAULT

Tuteurs ICM

Dorine BALMIGERE, Melissa BARASC, Antoine CANTET, Inès CAZENAVE, Axel CHERDO, Manon COMENGE

Aurélie CROSNIER, Ludovic DELHOM, Gaspard FERRER, Lucie FILLASTRE, Tanguy FOISSAC, Elise GAUBERT

Mathilde LAYUS, Lou MOMPART, Laurent OURLIAC, Kévin PERREL, Juliette SILO, Amélie RUFFAT

Ainsi qu’aux RMs ICM Maëlle DENIS-JUNG et Sarah BRICE

Tuteurs Santé Publique

Lucie CHAFFURIN, Philémon COURTY, Emma FERSTER, Lucie JOLIVET, Christophe FOURAUX

Lucie GABRIEL, Nadège HESSLOEHL, Lisa RAMIERE-VERGER, Alex LUQUE, Marie BILLY

Ainsi qu’aux RMs Santé Publique Lise DEBIN et Lucas ESCUDIER

Tuteurs SSH

Marine BAUDEAU, Théo BOUCHERIE, Chloë POUZENC, Emilie ERBIN, Bastien EYDOUX

Théo GIELEN, Julie GUITTARD, Romane MEYERFELD, Océane POLICE, Janet ZSANI

Ainsi qu’aux RMs SSH Sarah CABANIE et Quentin LE DUFF

Tuteurs Recherche

Gauthier ABELLAN, Widad AZID, Sacha AFFRE, Eva BARRAILLE, Alexis BERNARD, Sarah BEVIA

Sidonie CAMBIER, Mathieu CUJIVES, Ophélie CUMER, Marie KAMMERER, Céline LAROCHE

Margaux LAUGA, Mathilde PLANTIE, Sophie PANOZZO, Amaury QUENDERFF, Lorrène ROYER, Carla VIALA

Ainsi qu’aux RMs Recherche Gabin DIJS et Lorraine SALANIE

Tuteurs Petit Bassin

Pauline COSTA, Margaux DELLA-LIBERA, Pauline DESSE, Clément JEANJEAN, Marie GENDRE

François MARCEAU, Amélie POIRE

Ainsi qu’aux RMs Petit Bassin Rébecca LANEELLE et Tiffany SERIN

Tuteurs Tête et Cou

Charles ACHARD, Marie CABOULET, Faustine COSTES, Hugo FOURESTIER, Tim GROOVAERTS

Laurie HAMECHER, Gabrielle SAGON

Ainsi qu’aux RMs Tête et Cou Juliette GIRARD et Adam COHEN

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Tuteurs Odontologie

Lorie CHOUPAS, Maëva COSTE, Guillaume DUBARRY, Pierre LEJEUNE, Marine MACOUIN

Lucie MECKIES, Elodie NICOLAS

Ainsi qu’aux RMs Odontologie Yann GERMAIN et Simon HERNANDEZ

Tuteurs Pharmacie

Ines BENMAHNANE, Amélie BONNEFOUS, Florimond DEREUX-GRIDEL, Oscar LAPICOREY, Anna MARCHE

Andres VALLE, Wendy HY

Ainsi qu’aux RMs Pharmacie Camille GARRAY et Aurélien STRÖNOCK

Tutrices UFP

Louise BASSE, Emma BUENO, Emeline BUGNARD, Maël CLEVENOT, Fanny DELHOMME

Ainsi qu’aux RMs UFP Hermine CHEMINEAU et Fanny FERRIERES

Tendresse, amour et tutorat,

Courage