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TUTORAT ASSOCIATIF TOULOUSAIN Année universitaire 2017 – 2018 Correction du Concours S2 2018-2019 PACES Purpan Tutorat Associatif Toulousain @TAT_PACES tat_purpan Tous droits réservés au Tutorat Associatif Toulousain 1 /46

Correction du Concours S2 2018-2019 de... · 2020. 3. 31. · Correction du Concours S2 2018-2019 PACES Purpan ... lors d’un exercice ... augmentation de la concentration potassique),

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  • TUTORAT ASSOCIATIF TOULOUSAINAnnée universitaire 2017 – 2018

    Correction du Concours S22018-2019

    PACES Purpan

    Tutorat Associatif Toulousain @TAT_PACES tat_purpan

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  • UE 3bis : Biophysique/Physiologie

    QCM 1 : BCDA. Faux, il permet de diminuer la tension superficielle.E. Faux, la pression en O2 a bien diminué cependant la pression en CO2 a augmenté.

    QCM 2 : BCEA. Faux, seule la fraction libre est responsable d’une activité pharmacologique.B. Vrai, elles sont très hydrophobes (beaucoup d’iode) donc fortement liées aux protéines plasmatiques.C. Vrai, si un médicament est libre alors il peut passer le filtre glomérulaire (si sa taille le permet mais logiquement un médicament est suffisamment petit) et être éliminé.D. Faux, cela dépend de la diffusion de ce médicament, il peut ne pas franchir la barrière endothéliale et ne jamais se retrouver en intracellulaire.

    QCM 3 : ABCC. Vrai, c’est la mesure du delta cryoscopique.D. Faux, l'osmolalité plasmatique est responsable d’une augmentation du point d'ébullition.E. Faux, isotonie: pas de mouvement d’eau à travers une membrane physiologique tandis queiso osmolalité = même osmolalité

    QCM 4 : BCA. Faux, le conduit est horizontal, la pression de pesanteur ne varie donc pas le long du conduit.B. Vrai, car c’est un liquide parfait.C. Vrai, la viscosité d’un liquide parfait peut être considérée comme nulle.D. Faux, il n’y a pas de perte de charge car le liquide est parfait.E. Faux, ça aurait été le cas pour un liquide réel

    QCM 5 : ABA. Vrai, car elle est constitué d’un mono-acide faible et d’un sel de ce monoacide faible en quantité équimolaire.B. Vrai, on peut le déduire grâce a la formule : pH=pka+log(sel/acide), ici pH=pKa donc log(sel/acide)=0, donc sel/acide=1, la molarité du sel est donc égale à la molarité de l’acide.C. Faux, si l’on ajoute un acide fort, il sera tamponné par le sel pour devenir un acide faible, on aura donc une augmentation du nombre de mole d’acide faible.D. Faux, si l’on ajoute une base forte, elle sera tamponné par l’acide faible pour devenir unebase faible, on aura donc une diminution du nombre de mole d’acide faible.E. Faux, si l’on ajoute un acide fort, le sel va tamponner cet acide, le nombre de mol de selva donc diminuer. Si l’on ajoute une base forte, elle va être tamponné par l’acide pour devenir un sel de cet acide (base faible), le nombre de mole de sel augmentera donc.

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  • QCM 6 : BDEA. Faux, le point de contrôle n’est pas tout le temps modifié C. Faux, il n’est pas important, le rôle de la sudation aurait pu être compté comme importantD. Vrai, c’est un phénomène explosif n’ayant pas de point de consigne servant de régulation.E. Vrai, notamment grâce à l’augmentation du tonus musculaire et si besoin l’apparition de frissons.

    QCM 7 : ABC A. Vrai, cela fait partie de la réponse immédiate de diminution de la PaO2.B. Vrai, c’est un facteur aggravant.C. Vrai, c’est une réponse qui met quelques semaines a se mettre en place.D. Faux, lorsque la PaO2 réaugmente, on a rapidement une diminution de la sécrétion d’EPO(il n’y a pas à connaître le délai, mais un mois est beaucoup trop long)E. Faux, comme il sera encore habitué à une PaO2 faible, avec un fort taux de globule rouge, sa fréquence respiratoire sera plus faible qu’avant son départ.

    QCM 8 : ABEA. Vrai, causé par son insuffisance cardiaque, on a une augmentation de la pression hydrostatique en amont.B. Vrai, cela peut être causé par son hypertension.C. Faux, lorsqu’on est couché sur le dos, la zone ou la pression hydrostatique est la plus importante est la région lombaire.D.Faux, les oedèmes se logent non pas dans le compartiment plasmatique mais dans le compartiment interstitiel.E. Vrai, la pression hydrostatique est bien augmenté, la pression oncotique interstitielle est bien diminuée dû à la dilution des protéines interstitielles.

    QCM 9 : BCDA. Faux, son contenu total en eau est de 0,6 x 50 + 3 - 5 = 28.B. Vrai, le métabolisme basal augmente de 13% par degré supérieur à 37°C, ici il est donc augmenté de 13x3=39%.C. Vrai, dans ce contexte les pertes rénales sont réduites au minimum soit à 0,5 L/j.Ici, les apports hydriques sont de 0,8 L (eau endogène de 2 jours) + 3 L (boisson) = 3,8 L. Les pertes sont de 1 L sous forme d’urine (2j) et le reste X sous forme des pertes insensibles.On peut donc calculer ses pertes insensibles x sur les 2 jours : 3,4+x-1=-5 soit x = -7,4 L. Cela équivaut à  3,7 L de pertes insensibles par jour. Elles sont donc bien plus de 2 fois supérieures à la normale ( 1,4 L) .D. Vrai, la patiente effectue une thermolyse pour évacuer la chaleur, ses pertes cutanées sontdonc augmentées.E. Faux, son volume de diurèse s’est bien adapté, mais il représente seulement 0,5 L /j (minimum possible).

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  • QCM 10 : ACEA. Vrai, la concentration en bicarbonate est inférieure à 22 mmol/L.B. Faux, le pH artériel est inférieur à 7,36 il y a donc une acidémie.C. Vrai, on observe une PaCO2 inférieure à 36mmHg.D. Faux, TA=140-102-15=23 mEq/L, il est augmenté.E. Vrai, l’aspirine étant un acide, un surdosage entraîne donc une acidose métabolique pouvant entraîner une acidémie.

    QCM 11 : ACDEB. Faux, la masse du système, nerveux est supérieure à celle du système endocrine.D. Vrai, ces neurones produisent des neuros-hormones comme par exemple l’ocytocine. 

    QCM 12 : ABA. Vrai, il y a une inhibition de la boucle longue de rétrocontrôle ce qui entraîne une augmentation de sécrétion de CRH par l'hypothalamus.B. Vrai, l'augmentation de CRH induit au niveau de l'antéhypophyse la libération d’ACTH, deB-MSH et de LPH.C. Faux, le rythme nycthéméral de sécrétion de cortisol est contrôlé par l’horloge biologique et non par le cortisol lui même.D. Faux, les sécrétions de l’axe corticotrope sont soumises à un rythme circadien ainsi qu'à un rythme ultradien de basse fréquence.E. Faux, les analogues du cortisol sont aussi capables d’exercer un rétrocontrole sur l’axe corticotrope, ils n'entraîneront pas de levé de cette boucle.

    QCM 13 : AB A. Vrai, grâce à l’équation d’ Harris Benedict.C. Faux, le métabolisme basal est variable au cours de la vie, il diminue avec l’âge.D. Faux, cela entraînera une diminution du métabolisme basal.E. Faux, ce sont les dépenses contingentes qui augmentent lors d’un effort physique.

    QCM 14 : ABC D. Faux, ces concentrations sont responsables du potentiel de reposE. Faux, les canaux de fuite pour le Na+ permettent l’entrée de Na+ dans la cellule.

    QCM 15 : CEA. Faux, la tétrodotoxine inhibe les canaux sodiques voltages dépendants et non les récepteurs nicotiniques.B. Faux, ce sont bien les récepteurs muscariniques de type M3 qui provoquent la contraction du muscle lisse cependant ils provoquent la fermeture des canaux potassiques et non leur ouverture.D. Faux, les récepteurs activé pas la muscarines ne sont pas des récepteurs canalaires,de plus,ils agissent par le biais d’une protéine G sur un canal potassique seulement.

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  • QCM 16 : AEB. Faux, au motoneurone alphaC. Faux, la longueur du muscle constanteD. Faux, Déjà ils sont connectés indirectement grâce aux interneurones inhibiteurs et ils ce sont les fibres Ia qui se connectent aux motoneurones alpha par l’intermédiaire de ces interneurones inhibiteurs. On a Ia du quadriceps>interneurone inhibiteur>motoneurone alphadu semi-tendineux

    QCM 17 : ACEA. Vrai, c’est le système du stress.B. Faux, l’acétylcholine libérée se fixe sur un récepteur nicotinique au niveau du corps du deuxième neurone.C. Vrai, cette libération permet une vasoconstriction des vaisseaux, ce qui permet de limiter le débit sanguin aux simples besoins d’un muscle au repos.D. Faux, il provoque une mydriase au niveau de la pupille (dilatation).

    QCM 18 : BCDE

    1 2a 2b

    M1 35 30 35

    M2 65 30 5 5

    A. Faux, le muscles M2 contient plus de fibre de type 1, il est donc plus riches en mitochondries que le muscles M1.B. Vrai, le muscle M2 a un grand nombre de fibres de type 1, il est donc adapté pour ce type de fonction.C. Vrai, 35% pour M1 contre 65% pour M2.D. Vrai, le pourcentage de fibres de type 2a correspond au reste, ici c’est environ 30% pour les muscles M1 et M2.E. Vrai, la taille du soma des unités motrices de type 2b est supérieure à la taille du soma des unités motrices de type 1.

    QCM 19 : BDEA. Faux, il n’y a pas de cellules entraîneurs dans les muscles lisses multi-unitaires.C. Faux, pour les muscles striés squelettiques, le calcium provient uniquement du RE.

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  • QCM 20 : AC (selon la correction officielle) :A. Vrai selon la correction officielle, mais selon nous la question était mal posé, petit rappel de cours pour que ce soit clair. L’augmentation du cisaillement endothélial entraîne la production de NO dans l’endothélium qui diffuse dans le muscle lisse entraînant l’augmentation de la production de GMPc (donc dans la CML) qui a pour conséquences de diminuer la concentration de calcium intracellulaire et induire un relâchement des fibres musculaires lisses et donc une vasodilatation.B. Faux, la vasodilatation métabolique est causé par les modifications métaboliques locales lors d’un exercice (diminution de la PaO2, augmentation de la PaCO2, diminution du pH, augmentation de la concentration potassique), et non par l’augmentation du cisaillement de l’endothélium.D. Faux, lorsque le brassard à une pression supérieure à la PAS, il n’y a plus d’écoulement dans l’artère, elle est totalement comprimée.E. Faux, lorsque le brassard à une pression inférieure à la PAD, l’écoulement dans l’artère est redevenu laminaire.

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  • UE 5 : Anatomie

    QCM 1 : EA. Faible mobilité mais pas immobile (=jointure fibreuse).B. Revêtues d’os.C. Jointure cartilagineuse.D. Cartilage articulaire n’est jamais vascularisé, c’est la membrane synoviale.

    QCM 2 : BDA. Comblée par du cartilage.C. Contraction sans modification de la longueur des fibres.E. Ce sont des muscles puissants car le nombre de fibres musculaires pour un même volume est plus important.

    QCM 3 : CDEA. Les muscles lisses ne sont pas soumis à la volonté car ils sont innervés par le systèmenerveux végétatif.B. Les os longs sont triangulaires à la coupe.C. VRAI : isotonique = même tonus = pas de modification de longueur.

    QCM 4 : ABDE (correction à titre informatif)A. VRAI : l’olécrane est le gros relief osseux du coude.B. VRAI : le bord ventral du tibia, aussi appelé crête tibiale, est le gros bord osseux que tu sens sur la face antérieure de ta jambe.C. La fosse coronoïdienne de l’humérus n’est pas palpableD. VRAI : tu peux le palper en haut et en latéral de la cuisseE. VRAI : tu peux palper la tubérosité du naviculaire en médial du pied, c’est une petite bosse un peu en avant de la malléole médiale

    QCM 5 : BDEA. La trochlée humérale répond à l’incisure trochléaire de l’ulna. La fovéa (de la têteradiale) s’articule avec le capitulum.C. Le radius étant l’os latéral, son bord interosseux est le médial.Rappel : Les bords interosseux du radius et de l’ulna permettent l’insertion de la membraneinterosseuse (membrane inextensible reliant les 2 os).E. La styloïde radiale descend plus bas que l’ulnaire : la ligne les réunissant est donc bienoblique en bas et en dehors.

    QCM 6 : BCDEA. L’os lunatum appartient à la 1 e rangée des os du carpe. Il va s’articuler en avant avec lescaphoïde, le triquetrum, l’hamatum et le capitatum ; et en arrière avec le radius.Il ne s’articule donc pas avec le trapézoïde.

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  • QCM 7 : ABCD. La ligne spirale appartient à la face dorsale du fémurE. La face médiale du tibia est sous-cutanée et non la face latérale

    QCM 8 : AB. Le bord dorsale du fémur est nommé la ligne âpreC. L’angle d’inclinaison est environ 130°D. La fosse intercondylaire sépare les 2 condyles, la fosse acétabulaire appartient à l’os coxalE. L’extrémité distale est éjectée en arrière.

    QCM 9 : DEA. Tarse antérieur.B. Il s’articule avec le cuboïde, les 3 os cunéiformes et le talus.C. Arche médiale.

    QCM 10 : ADB. Non, la deuxième vertèbre cervical possède le processus odontoïde et non des crochets.C. Non, la 12ème côte ne s’articule qu’avec le spondyle de la 12ème vertèbre thoracique.E. Ce sont les branches des nerfs sacrés qui passent dans les foramens sacrés.

    QCM 11 : EA. C’est le ligament longitudinal DORSAL qui est en continuation avec le ligament occipito-axoïdien.B. Il n’y a pas de ligament jaune entre l’occipital et C2, donc absent sur l’atlas.C. Il le recouvre en ARRIÈRE !D. Ils sont latéraux, de part et d'autre du ligament de l’apex.E. VRAI : il a un aspect festonné plus large au niveau des disques.

    QCM 12 : ABCDEA. VRAI : ils sont tous les deux impliqués en l’extension du cou.B. VRAI : ils sont impliqués sur la rotation homolatérale de la tête.C. VRAI : le processus épineux de C2.D. VRAI : un même muscle transversaire épineux commence sur le processustransverse d’une vertèbre, et il finit sur les processus épineux des 4 vertèbressus-jacentes. Donc il s’insère sur 5 vertèbres différentes.E. VRAI : car l’oblique interne et externe du même côté réalisent des rotationscontraires.

    QCM 13 : ACDB. Car l’auvent costal contient les vraies côtes et les côtes flottantes donc de 1 à 10.C. VRAI : il y a la couches intime, interne et externe.E. Car elle est située entre la terminaison du scalène moyen et en arrière du tubercule ventral.

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  • QCM 14 : ADEB. Dans les veines il y a seulement 2 valves semi lunairesC. C’est la coronaire droiteD. VRAI : car il n’y a que 2 cuspides.

    QCM 15 : ACDA. VRAI : la petite circulation est la circulation pulmonaire.B. Un ganglion ou lymphonoeud reçoit en général plusieurs petits vaisseaux lymphatiques afférents mais un SEUL vaisseau lymphatique efférent sort du hile du ganglion.D. VRAI : les grosses artères élastiques, telle que l’aorte, ont des vasa vasorum qui sont des petits vaisseaux qui assurent leur vascularisation.E. L’atrium droit a trois orifices veineux (VCS, VCI, sinus coronaire), l’atrium gauche en a 4 (quatre veines pulmonaires).

    QCM 16 : ACDA. VRAI : en avant se situent les cavités cardiaques, en arrière on a l’oesophage.B. C’est la vibration des cordes vocales/glotte/repli vocal. L’épiglotte sert à ouvrir ou fermer le larynx.C. VRAI : le gauche en a que deux par contre.D. VRAI : elle débute en C6 et se termine en T5.E. La plèvre viscérale est accolée à la surface externe des poumons, et c’est al plèvres pariétale (externe) qui est accolée aux côtes et à la paroi thoracique.

    QCM 17 : BDA. L’oblique externe est superficiel. Le muscle abdominal le plus profond est le muscletransverse.C. C’est un muscle polygastrique à tendon intermédiaire.D. VRAI : Le lacune musculaire permet le passage du nerf fémoral (issu des racines L2-L3-L4).E. Le ligament inguinal est tendu entre EIAS et la symphyse pubienne.

    QCM 18 : BA. Le conduit submandibulaire se termine dans la cavité buccale en regard des incisives centrales.C. La sécrétion d’acide gastrique se fait au niveau du fondus (= grosse tubérosité) ou au niveau du corps de l’estomac.D. La papille duodénale majeure est située en-dessous de la papille duodénale mineure (cf. schéma).E. C’est le colon (ou gros intestin) qui est responsable de la résorption de l’eau (dans sa 1èremoitié).

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  • QCM 19 : BCDA. Le côlon sigmoïde est vascularisé par l'artère mésentérique inférieure.E. Le tronc spléno-mésaraïque est formé par la réunion de la veine mésentérique inférieure etde la veine splénique.

    QCM 20 : BCEA. Les calices majeures sont toujours au nombre de 3 : supérieure, moyenne et inférieure.D. L'urètre spongieux possède une partie fixe, la partie périnéale, qui est horizontale et une partie mobile, pénienne, qui est verticale.

    QCM 21 : AEB. Attention, les ovaires sont intra-péritonéaux et ne sont pas recouverts par le péritoine. contrairement aux autres organes du petit bassin qui sont sous-péritonéaux.C. Le segment inférieur est décrit lors de la grossesse uniquement.D. Il s’agit de l’angle d’antéversion.

    QCM 22 : ACDA. VRAI : la norma frontalis est bien la vue de face donc de position de référence.B. La fontanelle bregmatique est plus grande que la fontanelle lambdatique.C. VRAI : la croissance du desmocrâne est bien périostée et la croissance du chondrocrâne estcartilagineuse.E. Ce sont des articulations synoviales.

    QCM 23 : BDEA. La coupe coronale correspond à une coupe dans un plan frontal. Le sinus sphénoïdalest postérieur par rapport au sinus frontal. Par conséquent, si sur une coupe on a le sinusfrontal, on ne pourra pas avoir sur cette même coupe le sinus sphénoïdal.C. La région cervicale latérale est limitée par : le muscle sterno-cléido-mastoïdien enavant et le muscle trapèze en arrière.D. VRAI : pour rappel, la cloison nasale est constituée par : la lame perpendiculaire del'ethmoïde, le vomer et le cartilage septal.

    QCM 24 : ACEB. Les cellules de Schwann permettent la protection des neurones seulement au niveau du SNpériphérique.D. Le ganglion spinal est situé sur la racine dorsale (et non pas la branche dorsale quivient seulement après).E. VRAI : il est à la fois sensitif et moteur.

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  • QCM 25 : BCDA. Le septum médian est en dorsal, il poursuit donc le sillon médian et non la fissure médiane qui est en ventralB. VRAI : la motricité, qu'elle soit somatique ou viscérale est en position ventrale par rapportà la sensibilitéC. VRAI : les cordons dorsaux permettent de rejoindre la partie postérieure de la ME qui est sensitive, ils ne contiennent donc que des neurones afférents.D. VRAI : le code médullaire se termine au niveau de L2 à l’âge adulte. Ainsi au niveau de L2 il y a 10 nerfs spinaux donc tout ce qui se situe sous L2 contient moins de 10 racines spinales.E. La substance grise à une structure segmentaire (ce qui permet de la couper, le prof aime bien faire ca).

    QCM 26 : ACDA. VRAI : rostral = le plus crânial, le plus avancé, en direction du nez.B. La fovéa supérieure est en latéral de l’éminence médiane.C. VRAI : pour s’en souvenir on peut partir de l’image de la moelle épinière qu’on ouvre comme un livre.E. Le noyau dentelé appartient au néo-cervelet.

    QCM 27 : BCEA. Dolichocéphale signifie que le cerveau est plus long alors que brachycéphale signifie que le cerveau est plus court. B. VRAI : tous les sillons primaires sont en effet visibles sur la face médiale, même le sillon latéral et le sillon central qui naissent au niveau de la face médiale.C. VRAI : le lobe de l’insula est masqué par trois opercules ou replis : temporal, frontal et pariétal.D. Le claustrum est limité latéralement par la capsule EXTRÊME. Il est limité médialement par la capsule externe.E. VRAI : ces deux aires sont situées au niveau du lobe temporal sur la face latérale, en arrière du sillon latéral. L’aire de Wernicke est juste en arrière de l’aire auditive.

    QCM 28 : BCDEA. De la couche V.E. VRAI : elle débute au niveau du cortex, elle passe ensuite par différents noyaux (putamen,globus pallidus, thalamus) pour finir dans le cortex, d’où son nom : boucle cortico-sous-cortico-corticale.

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  • QCM 29 : ABDEA. VRAI : en effet les deutoneurones croisent la ligne médiane (décussent) dans la MA etrejoignent le tractus spinothalamique en se mettant en dedans de lui.C. L’ordre est : La sensibilité tactile protopathique (tact) en dedans et latempérature/douleur en dehors.D. VRAI : T10 = ombilic et pour information : L1 = pli de l’aineE. VRAI : voir un schéma du cerveau pour une meilleure visualisation.

    QCM 30 : BDA. La contraction du muscle ciliaire augmente le diamètre antéro postérieur du cristallin et donc la puissance de l'oeil. Ce muscle est impliqué dans l'accommodation de la vision de loinou de près. Les muscles qui réagissent à l'exposition lumineuse sont les muscles constricteurs et dilatateurs de l'iris.C. La fovéa centralis est située au centre de la macula (zone qui concentre tous les cônes) et correspond au point d'arrivée des photons dans l'oeil.D. VRAI : on parle de réflexe stapédien.E. C'est la seule voie sensorielle qui ne comporte que deux neurones : le protoneurone traverse la lame criblée de l'ethmoïde par ses filets olfactifs et fait synapse avec le deutoneurone, qui est déjà dans le bulbe olfactif. L'information est alors traitée sans passer par un troisième neurone.

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  • UE 6 : Initiation à la Connaissance du Médicament

    QCM 1 : ACD B. La morphine se lie à un récepteur µ couplé à une protéine Gi, ceci entraîne une diminution de l’AMPc et une diminution de l’entrée de calcium dans la cellule. E. Le fentanyl a une puissance analgésique environ 50 à 100 fois supérieure à celle de la morphine.

    QCM 2 : BCE A. Les médicaments de thérapie génique sont autorisés par la Commission Européenne. D. Il n’y a pas de site endogène orthostérique sur le canal CFTR.

    QCM 3 : ADEB. C’est un récepteur à activité tyrosine kinase cytosolique. C. En thérapeutique, on utilise des érythropoïétines synthétiques (recombinantes) dont on peut différencier la structure avec l’EPO endogène par électrophorèse.

    QCM 4 : CEA. Les autopiqueurs sont des DM de classe IIa.B. Les pompes à insuline sont des DM de classe IIb.D. Elle est établie par le ministère chargé de la Santé.

    QCM 5 : ADE B. Le paracétamol inhibe le canal Ca2+ TRPA1. C. Le pharmacophore est la partie pharmacologiquement active d’une molécule, c’est la partie qui interagit avec la cible.

    QCM 6 : ADE B. L’extrémité C-terminale est intracellulaire et l’extrémité N-terminale est extracellulaire. C. La 3e boucle intracellulaire est très développée pour les classes A et B mais pas pour la classe C.

    QCM 7 : ADB. Ca se fait par l'hydrolyse du GTP sur alpha, c’est donc une activité GTPasique. C. L’activité antalgique du paracétamol passe par l’inhibition du canal TRPA1. E. Si le complexe se dissocie il y aura au contraire une diminution du signal BRET.

    QCM 8 : BDEA. Un me-too drug est un dérivé obtenu par hémisynthèse, avec quelques différences. Le médicament générique “copie-copie” quand à lui est une vraie copie d’un médicament principes après la fin du brevet de celui-ci.C. Les molécules touches sont obtenues lors du screening primaire, dont les tests doivent êtreéthiquement acceptable, elles ne se font pas chez les animaux.

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  • QCM 9 : ABCD E. Les bactéries E coli sont dépendantes de l’acide aminé Histidine pour leur multiplication.

    QCM 10 : BCE A. Ils interviennent lors des phases 0 et 1. D. Cet effet stabilisant de membrane s’effectue sur les canaux sodiques VOC et non ROC.

    QCM 11 : BCD A. La réglementation est sous la responsabilité du Ministère de l’Agriculture puis le projet derecherche animale est validé par un Comité d’Éthique de l’Expérimentation Animale (CEEA) et autorisé par le Ministère de la Recherche.E. L’antalgie est indispensable, en plus de l’anesthésie.

    QCM 12 : AE B. Il est interdit d’incorporer dans une même préparation des substances appartenant à certaines classes pharmacologiques: diurétiques, psychotropes, anorexigènes…C. Pour qu'une préparation magistrale soit prise en charge, elle doit répondre à 4 critères parmi lesquels l'objectif thérapeutique: "Seules les préparations poursuivant à titre principal une visée thérapeutique sont prises en charge, ce qui exclut les préparations à visée cosmétologique, comme les préparations à base de DHEA". D. Les préparations magistrales ne disposent pas d'AMM. Ce sont des médicaments préparés selon une prescription médicale destinée à un malade déterminé en raison de l'absence de spécialité pharmaceutique disponible disposant d'AMM.

    QCM 13 : BCDA. Mab = monoclonal antibody.E. Antagoniste des récepteurs AT1 de l’angiotensine II.

    QCM 14 : BDE A. Pas de compétition en transport passif donc pas de risque d’interaction. C. Le passage est passif pour les molécules

  • QCM 17 : CE A. Les “-formines” sont des médicaments de liste I, leur durée de prescription est donc limitée à 12 mois. B. Ce médicament ne peut pas être retrouvé sur tout type d’ordonnance. Les médicaments correspondant à une affection de longue durée (ALD) sont retrouvées sur des ordonnances bizones. D. Car c’est un médicament de liste I, donc à prescription médicale obligatoire (de même pour les listes II et les stupéfiants).

    QCM 18 : BD A. Car l’essai est randomisé (donc groupes identiques au début, donc groupes comparables). C. Un abaissement si faible en comparaison à l’autre médicament n’a aucun intérêt clinique.E. La mesure de la glycémie est un critère biologique et donc intermédiaire.

    QCM 19 : AB C. C’est un EI grave attendu. Une hypoglycémie causée par un médicament hypoglycémiant est un effet logique. D. C’est un EI attendu, il doit donc simplement être reporté dans le rapport annuel de sécurité, dans un délai d’un an +/- 60 jours. E. Ce n’est pas une phase I.

    QCM 20 : BCDEA. C’est le cas pour les essais croisés.

    QCM 21 : ACD B. C’est la phase 3 qui est une étude pivot. E. Le développement clinique dure 5 à 10 ans.

    QCM 22 : AD B. L’effet pharmacodynamique n’est pas proportionnel au pourcentage d’occupation de la cible. C. La CE50 concerne l’effet de la molécule, pas sa liaison. E. La désensibilisation dépend de la GRK.

    QCM 23 : EA. La résistance des bactéries dans le monde provoque 700 000 morts/an. B. La consommation des antibiotiques en ville se caractérise par une diminution de l’utilisation des quinolones et un usage important de la pénicilline. C. Il existe une disparité de la consommation d’antibiotiques avec une consommation plus élevée dans le Nord-Pas-de-Calais par exemple. D. Il s’agit au contraire d’une des consommations les plus élevées d’Europe.

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  • QCM 24 : DE A. L’automédication concerne les médicaments à PMF sans ordonnance ou non remboursables. B. En 2017, il a régressé du fait du relistage de certains médicaments, de la baisse du passage en officine et du décalage de l’épisode grippal. C. Le prix moyen d’un médicament en automédication est de 4,36€.

    QCM 25 : CA. La levée n’est pas définitive, l’AMM doit être réévaluée au bout de 5 ans et elle peut êtresuspendue ou retirée. B. Le SMR sert à déterminer le niveau de remboursement du médicament. L’AMM sert uniquement à lever l’interdiction de vente du médicament.D. Elle sert à lever l’interdiction à la vente d’un médicament à la vente d’un médicament, lemontant du remboursement par les systèmes d’assurance maladie est évalué par l’UNCAM grâce au SMR.E. C’est en 1995 que la 1ere AMM centralisée a été accordée par l’EMA.

    QCM 26 : CD A. Elle examine les dossiers de demande d’AMM qui sont en procédure centralisée.B. C’est le PRAC qui évalue la sécurité.E. Elle est aussi responsable de l’évaluation des médicaments à usage vétérinaire.

    QCM 27 : EA. Les patients aussi (via l'application VigiBIP par exemple).B. La pharmacovigilance surveille les effets indésirables des médicaments, elle n'est pas spécifique du mésusage.C. Elle concerne tous les médicaments du marchéD. Elle s'inscrit dans la phase IV de commercialisation.

    QCM 28 : B A. On parle du risque et non de l’incidence. L’incidence correspond au nombre de sujets ayant présenté l’événement sur le nombre de sujet total. Alors que le risque relatif correspond à l’incidence des exposés sur celle des non exposés.C. Il n’y a pas de comparaison par rapport au placebo.D. Le calcul du risque relatif est impossible dans une étude cas-témoins. E. N’ayant pas l’intervalle de confiance, on ne peut pas affirmer l’existence d’une associationstatistiquement significative.

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  • QCM 29 : DA. L’utilisation de bases de données dans une étude permet d’éliminer les biais d’attrition et de mémorisation. B. Le principal problème méthodologique des études observationnelles réalisées grâce au croisement de bases de données d’exposition aux médicaments est qu’on n’a pas de contact direct avec les patients ce qui entraîne des difficultés pour évaluer l’intensité des pathologies ou des facteurs associés. C. Dans cette étude il n’y a pas de contact avec les patients et les informations sur les patients sont obtenues à partir d’une base de données de prescription de médicaments. On nepeut réaliser uniquement que des études observationnelles. E. Les données sur des caractéristiques propres au sujet (consommation de tabac, alcool, taille, poids) ne sont en général pas disponibles. L’absence de ces données peut donc constituer un biais de confusion non négligeable.

    QCM 30 : CD A. Les médicaments (antalgiques, psychotropes), l’alcool ou encore le tabac peuvent entraînerune addiction. B. L’alcool et le tabac peuvent aussi entraîner une addiction. E. Selon le DSM-5, l’addiction sévère est définie quand une personne répond à 6 critères ou plus.

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  • UE 7 : Santé Publique

    QCM 1 : CEA. La part évitable de la mortalité prématurée en France est de 30%.La part évitable de la mortalité prématurée en France est trois fois plus importante chez les hommes que chez les femmes.B. VRAI : 20% consomment régulièrement et 10% quotidiennement.C. D’après la diapo du professeur Sandrine Andrieu de 2020 : « Chez les jeunes, les comportements d’alcoolisation ponctuelle importante (API) augmentent (16,2% en France, APImensuelles, 6 verres ou + en une seule occasion) ».E. VRAI : la mortalité des tumeurs = 29% alors que la mortalité des maladies cardiovasculaires = 24,2%.

    QCM 2 : ABCDEA. VRAI : obligation de déclarer la peste, le choléra, et la fièvre jaune.B. VRAI : en effet, elle concerne tous les pays et les personnes de tous âges.C. VRAI : une maladie émergente ou re-émergente peut être :

    ■ Infections nouvelles■ Ou réapparues■ Ou devenues résistantes aux médicaments■ Ou dont l’incidence a augmenté au cours des dix dernières années.

    D. VRAI : les infection nouvelles comprennent les réelles émergences (mutation ou variant), les reconnaissances de pathologies préexistantes et encore non diagnostiquées, mais aussi celles qui se passent de l’animal à l’homme.E. VRAI : pendant les épidémie, c’est une assistance technique.

    QCM 3 : ACDEB. Le gain d’espérance de vie se fait surtout aux âges les plus élevés (pourrait être vrai chezles hommes uniquement mais il faut prendre en compte le gain d'espérance de vie chez les femmes ) :

    - Chez les femmes, 60% des gains d’espérance de vie ont lieu au-delà de 80 ans depuis 2012

    - Chez les hommes, les gains sont moins concentrés aux âges très avancés, observés dès50 ans.

    QCM 4 : DEA. La prévalence de la perte d’autonomie augmente régulièrement avec l’âge..B. 3 % des personnes âgées de 60 ans ou plus vivant à domicile sont dépendantes pour les activités de base de la vie quotidienne.C. Entre 2008 et 2015, la prévalence de la perte d’autonomie est globalement restée stable eta pu légèrement diminuer selon certains indicateurs, en particulier chez les plus âgés (75 anset plus)

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  • QCM 5 : BCEA. Le financement se fait par les impôts très majoritairement (population,entreprises)D. Il incite à la prévention / promotion de la santéRmq : Le système Bismarckien est le modèle allemand, socialisé, corporatiste, avec solidarité professionnelle

    QCM 6 : ABDEC. L’ARS régule l’offre de santé dans les secteurs ambulatoire, hospitalier et médico-socialD. VRAI : le PRS vise à déterminer les priorités des politiques de santé en région, au plus près des besoins de la population

    QCM 7 : BCDA. C’est la loi HPST datant de 2009 qui a conduit à la création des agences régionales de santé ARS.E. Un GHT couvre un bassin de populations allant de 100 000 à 2 millions de personnes.

    QCM 8 : ACDB. C’est le contraire : le secteur public comprend plus de lits et places que le privé, pour moins d’établissements.E. En cas de carence du service public, les missions du service public peuvent être concédéesau privé.

    QCM 9 : ABCEA. VRAI : en 2017, la CSBM représentait exactement 8,7% du PIB.B. VRAI : en effet, en 1950 la CSBM représentait environ 2,5% du PIB (voir graphique du cours) tandis qu’en 2017 elle représentait 8,7% du PIB.C. VRAI : en effet, la CSBM correspond aux soins hospitaliers (publics et privés) ainsi qu’auxsoins ambulatoires (= soins de ville, médicaments, autres biens médicaux, transports sanitaires).D. C’est la dépense courante de santé (DCS) qui comprend la CSBM ainsi que les dépenses des personnes âgées et personnes handicapées, les indemnités journalières, les dépenses de formation, recherche et subventions au système de soins, les dépenses de prévention institutionnelle, individuelle et collective et les coûts de gestion du système.

    QCM 10 : ACDB. Le patient paye le reste à charge qui est minime. C’est la Sécurité sociale qui finance la majorité des soins.C. VRAI : elle comprend la CSBM ainsi que les dépenses des personnes agées et personnes handicapées, les indemnités journalières, les dépenses de formation recherche et subventions au système de soins, dépenses de prévention institutionnelle individuelle et collective et les coûts de gestion du système.D. VRAI : plus il y a de personnes âgées entraînant donc plus de problèmes de santé, plus il y aura de la demande de soins de santé.

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  • E. Dans le domaine de santé, il n’y a pas de régulation par les prix. En effet, c’est le prescripteur qui va décider de la consommation des soins et le financement se fera par un tiers (assurance maladie, complémentaire). La confrontation directe entre du producteur et duconsommateur est exceptionnelle.

    QCM 11 : CA. Le risque vieillesse représente la principale part des prestations de protection sociale.B. Les mutuelles correspondent à des organismes de droit privé à but non lucratif.D. 1945 : mise en place d’une sécurité sociale. Elle a pour objectif d’être universelle mais il y a encore des régimes indépendants.E. Le remboursement des frais liés à une consultation médicale correspond à une prestation en nature.

    QCM 12 : BA. Il s’agit de l’ensemble des mécanismes de prévoyance collective qui permettent aux individus et aux ménages de faire face financièrement aux conséquences des risques sociaux, c’est-à-dire aux situations pouvant provoquer une baisse des ressources ou une hausse des dépenses.C. La sécurité couvre aussi le risque emploi.D. Les dépenses de protection sociale correspondaient à 34,1% du PIB en 2016.E. La sécurité sociale est principalement financée par la voie d’imposition de toute nature.

    QCM 13 : CEA. Ce n’est jamais le médecin du travail seul qui décide de la reconnaissance de maladies prises en charge au titre de maladies professionnelles. Il y a 3 dispositifs différents.B. La présomption d’origine signifie que le salarié n’a pas à faire la preuve du lien entre la pathologie et son origine professionnelle. C. VRAI : la leucémie fait partie des pathologies hématologiques, elle est prise en charge dans le tableau n°6 MPI lorsqu’elle est due à une exposition aux rayonnements ionisants, ou dans le tableau n°4 lorsqu’elle est due à une exposition au benzène.D. En 2016, il y a eu une hausse de 40 % des pathologies psychiques prises en charge comme maladies professionnelles par rapport à l’année précédente. E. VRAI : en 2016, la reconnaissance de maladies professionnelles a baissé de 4,3 % par rapport à 2015.

    QCM 14 : DEA. Le CSE a été créé en 2017, pour remplacer les CHSCT.B. C’est le CHSCT qui a été supprimé en 2017.C. Le CSE remplace le CHSCT depuis 2017, les délégués du personnel et les comités d’entreprise.D. VRAI : le CSE propose notamment des actions de prévention du harcèlement moral, du harcèlement sexuel et des agissements sexistes.E. VRAI : c’est exactement la phrase du cours.

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  • QCM 15 : ACDEA. VRAI : en effet on privilégie une prise en charge ou vie au domicile pour la personne handicapée quand c’est possible.B. L’hospitalisation à domicile se fait pour les soins de courte durée.C. VRAI : si la PH est dépendante.D. VRAI : différents professionnels de santé peuvent intervenir pour permettre à la PH de vivre au domicile.E. VRAI : les adaptations du domicile sont bien financées par la PCH.

    QCM 16 : BCEA. Le saturnisme est avéré quand la dose est supérieure à 50 microgrammes par litres.B. VRAI : également par la stagnation d’eau.C. VRAI : comme le dioxyde d’azote.D. Il est présent dans certains sous-sols.

    QCM 17: ACDEA. VRAI : au début, l’augmentation des dépenses permet une augmentation de l’espérance devie, mais au-delà d’un certain seuil, cette dernière est inutile voire nuisible. Les pays développés ont donc intérêt à limiter ce gaspillage.B. L’écart d’espérance de vie est soumis à de nombreux autres facteurs, comme par exemple l’exposition aux maladies.C. VRAI : en effet, L’HAS publie des recommandations de bonnes pratiques médicales dans lebut de limiter l'hétérogénéité de ces dernières, et donc améliorer la qualité des soins.D. VRAI : La régulation médicalisée s’applique selon une logique de besoin; on essaye de diminuer les actes inutiles et de promouvoir l’efficacité. Les professionnels de santé sont doncles premiers acteurs.E. VRAI : cette fixation à priori de l’enveloppe budgétaire correspond à un budget à priori, en faisant des hypothèses de croissance.

    QCM 18: ABE A. VRAI : en effet si les mesures de préventions primaires sont efficaces (par exemple se laver les mains), alors le nombre de personne qui tomberont malade va diminuer, et donc l’incidence chutera aussi.B. VRAI : tous les facteurs importants sont réunis (grave, fréquente, facteurs modifiables) pour mettre en place une prévention primaire efficace.C. Le dépistage est une prévention secondaire car il n’a pas pour but de diminuer l’incidencemais bien la sévérité d’une maladie .D. Petit piège, oui en général il ne faut pas que la maladie soit trop rare mais il existe quelques exceptions comme l'hypothyroïdie congénitale ou la phénylcétonurie.E. VRAI : le dépistage va permettre de prendre en charge le patient et de le soigner au plus vite, donc de diminuer potentiellement la sévérité de la maladie.

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  • QCM 19 : ABDA. VRAI : la létalité correspond aux cas de décès divisés par les sujets malades.C. Le risque attribuable RA est à différencier du risque attribuable en population RAP. Le RAcorrespond à la différence entre 2 incidences et le RAP est le nombre de cas de maladies quiseraient évités si on supprimait l’exposition au niveau de la population générale.E. La prévalence correspond au nombre de cas divisé par la population totale dont les cas existants. La prévalence est évalué à un instant donné et non sur une période. C’est le cas del’incidence où l’on divise le nombre de cas par les personnes-années.

    QCM 20 : BCDEA. Sensibilité (Se) = probabilité de présenter un test positif sachant que l'on est malade

    = P(T+/M+)On a Se=VP/(VP+FN)Ici VP=80 et FN=990D’où Se=80/(80+90)=0,47 donc 47%

    C. VRAI : valeur prédictive positive(VPP) est la probabilité d'être malade si on a un test positif = P(M/T+)On a : VPP=VP/(VP+FP)Ici VP=80 et FP=20D’où VPP=80/(80+20)=0,8 -> 80%

    E. VRAI : P=nb malades/(nb malades + non-malades)Ici : nb malades=80+90=170 et nb non-malades = 1000-170=830Ainsi P=170/(170+830)=0,17 -> 17%

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  • UE 7 : Santé Société Humanité

    Question 1 : Résumez-en 100 mots ce texte

    Proposition de correction   :

    De quoi ça parle : mode de peuplement des îles du Pacifique controversé, étudié via la culture Lapita diffusée sur 3 000km en seulement 10 générations, plusieurs théories s’opposent

    Matériel et méthodes : lutte entre savants généticiens et humanistes (rejetant les nouvelles technologies), apports majeurs de la paleogénomique, prélèvements sanguins

    Résultats : hypothèses = 1 : interactions et mélanges entre des austronésiens (agriculteurs) arrivés avec des pirogues etdes Papous (noirs) : infirmé par l’analyse du génome ancien (crânes)2 : vague successive de deux migrations, il y a 5 000 ans, avec les austronésiens d’origine asiatique et les Papous sans mélange entre les deux : mécanismes de causalité des échanges inconnus3 : proportion non nulle d’ascendance liée aux Papous chez les Lapita existence d’échanges minimes Discussion : autoriser de manière rétroactive l’utilisation d’échantillons sanguins préalablement prélevés sanguins

    Étudié via la culture Lapita, diffusée sur 3 000km en seulement dix générations, le mode de peuplement des îles du Pacifique est controversé. Résultant d’une lutte entre généticiens et humanistes (rejetant les nouvelles technologies), plusieurs hypothèses existent : 1. interactionset mélanges entre austronésiens (agriculteurs) arrivés en pirogue et des Papous (noirs), hypothèse infirmée par l’analyse du génome ancien (crânes) 2. Une vague successive de deuxmigrations (5 000 ans) avec les austronésiens (Asie) et les Papous sans mélange entre eux, cependant, mécanisme de causalité des échanges inconnus 3. Grâce à la Paleogénomique, proportion non nulle d’ascendance liée aux Papous. Reste le problème d’utiliser rétroactivement d’anciens prélèvements sanguins. 105 mots

    Barème (/10)   : (proposition de barème mais se référer surtout au résumé rédigé)• Culture Lapita 1• Mode de peuplement des îles du Pacifique 1 + controversé (porte à discussion) 0,5• 3 000km en 10 générations 0,5• Austronésiens agriculteurs d’Asie 1• Lutte entre généticiens et humanistes 0,5 • Interactions Austronésiens / Papous 1

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  • • Analyse du génome ancien (ou ADN ancien) 0,5• Vague de 2 migrations 1 + sans mélange 0,5 • Apports de la Paleogénomique 1• Proportion non nulle d’ascendance liée aux papous (ou mélanges minimes avec les

    Papous) 0,5• Problème posés par l’utilisation des prélèvements sanguins 1

    Question 2 :En dehors d’études portant sur les autosomes comment les chercheurs auraient-ils pu envisager les différentes composantes de ces populations et leur ancrage dans le temps ?

    Proposition de correction   :

    En dehors d’études portant sur les autosomes, les chercheurs auraient pu envisager les différentes composantes de ces populations et leur ancrage dans le temps grâce à des méthodes de déterminisme génétique simple et de déterminisme génétique complexe.Premièrement pour ce qui est des études de déterminismes génétique simple c’est-à-dire l’étude de l’ADN, de ses produits primaires (ARN) et secondaires (protéines) les chercheurs auraient pu avoir recours à la paléogénétique (chromosomes autosomaux, Y, mitochondrial) en analysant les marqueurs mitochondriaux pour l’étude de la lignée maternelle (transmis de la mère à se descendance) à savoir les trois zones hypervariables H1, H2 et H3 du génome mitochondrial et les marqueurs du chromosome Y pour l’étude de la lignée paternelle à savoir les régions variables pseudoautosomales terminales le fragment spécifique SRY qui se transmet de père en fils. Ou bien en analysant les paléo protéines (notamment retrouvés dansles « fluides biologiques ») qui varient moins vite que l’ADN de par leur code génétique redondant mais pour lesquelles 1/3 présentent des variabilitésL’étude des différentes composantes de ces populations serait basée sur la variabilité, la transmission des marqueurs de génération en génération, l’étude de la filiation se faisant grâce aux mutations dans les régions non essentielles du génome. Tandis que leur ancrage dans le temps serait évaluée grâce à l’horloge moléculaire permettant de dater le paléo ADN en fonction des variations en comparaison d’ADN actuel. La paléogénétique permet l’analyse d’ADN jusqu’à 500 000 voire 700 000 ans, l’étude des paléo protéines est possible en deçà d’un million d’années Egalement, les chercheurs auraient pu avoir recours au déterminisme génétique complexe c’est-à-dire l’interaction entre le génome et les facteurs environnementaux à travers l’étude de l’anatomie, de la physiologie, du comportement …La physiologie comparée consistant à analyser les caractéristiques physiologiques du fossile (comme les caractéristiques de la bipédie) et l’anatomie comparée consistant à comparer un fossile (« crâne de Lapita ») à un autre fossile, à des restes humains contemporains ou à des grands singes contemporains pour apprécier la parenté donc la composante et l’ancrage dans le temps de cette population Lapita. Ces deux méthodes d’étude sont réalisables pour des fossiles antérieurs à 1 million d’années.

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  • Pour finir ils auraient pu étudier la culture de cette population notamment à travers des « céramiques » retrouvées, la culture étant l’ensemble des formes acquises de comportements qu’un groupe de sujet transmet à ses enfants en comparant les éléments culturels de cette population Lapita avec ceux de populations déjà connues et ancrés dans le temps.

    Barème (/10)   : • Déterminisme génétique simple 0,5 + définition 0,5

    • Marqueurs mitochondriaux 0,25 + explication (préciser et faire le lien avec les composantes de la population et l’ancrage temporel) 0,75

    • Marqueurs du chromosome Y 0,25 + explication (préciser et faire le lien avec les composantes de la population et l’ancrage temporel) 0,75

    • Horloge moléculaire 0,5 + définition 0,5• Notion de variabilité (mutation, variation …) 1• Paléo protéines 0,25 + explications (préciser et faire le lien avec les composantes de la

    population et l’ancrage temporel) 0,75• Déterminisme génétique complexe 0,5+ définition 0,5• Physiologie comparée 0,25 + explications (préciser et faire le lien avec les

    composantes de la population et l’ancrage temporel) 0,75• Anatomie comparée 0,25 + explications (préciser et faire le lien avec les composantes

    de la population et l’ancrage temporel) 0,75• Étude de la culture 0,25 + explications (préciser et faire le lien avec les composantes

    de la population et l’ancrage temporel) 0,75

    Question 3 : Quels sont les principes éthiques à discuter dans le cadre des collections concernant des restes humains

    Proposition de correction   :

    D’après le rapport des « révisions des lois de bioéthique » de 2010, la bioéthique ne saurait être définie comme étant seulement l’éthique du vivant. Elle implique aussi de définir ce queles vivants doivent s’interdire de faire avec les corps des morts, ces dépouilles qui portent la mémoire du défunt. Les collections concernant des restes humains peuvent dans plusieurs cadres différents : le culte des reliques, la préservation de témoignages de l’histoire (Pompéi).Elle comprend aussi des spécificités liées à la manière dont ces collections ont été recueillies (séparer les têtes des corps dans le seul but de les exposer).

    Ainsi, les collections concernant des restes humains doivent respecter des principes éthiques. Tout d’abord, il faut se demander si l’on considère un reste humain comme un sujet ou un objet. En effet, le corps étant inanimé il a perdu sa personnalité juridique (car considéré

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  • comme une chose). Cependant, il appartient toujours au genre humain ce qui implique qu’il ne peut pas y avoir d’appropriation du corps. Cette non patrimonialité du corps est par ailleurs mentionnée dans l’art. 16-1 du Code Civil « ... Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l’objet d’un droit patrimonial... ». Il faut également respecter le principe matriciel de dignité humaine qui est un principe supérieur de portée universelle.

    D’autre part, il est nécessaire de prendre en compte la dimension culturelle de ces restes et leur humanité. Cela revient en premier lieu à préserver la dignité des corps en respectant lesdépouilles exposées : ambiance de recueillement, pas de mise en scène (exemple de la momiede Toutankhamon lors de sa découverte). De plus, les restes n’ont des valeurs symboliques différentes : celle d’un crâne est plus important que celle d’un fémur, il faut donc le prendreen compte lors de l’organisation d’expositions. Une notion plus récente est celle de la contemporanéité et de la parenté. En effet, avec le développement des analyses génétiques il est parfois possible de retrouver la famille des dépouilles présentes dans des musées. C’est le cas par exemple des corps d’indiens de certaines tribus d’Amazonie : les descendants demandent à récupérer les corps. De plus en plus d’importance est accordée au respect du devoir des peuples envers leurs morts.

    Enfin, il faut parvenir à trouver un compromis entre la valeur scientifique, la valeur culturelle, sociale, etc des restes humains dont on dispose. Ces différentes dimensions doivent donc être considérées à chaque fois qu’il est question de collections concernant des restes humains et cela malgré l’universalité du patrimoine dont elles font partie.

    Barème (/10)   : • Définition de bioéthique appliquée aux restes humains 1,25• Objets ou sujets 0,5• Culte des reliques + témoignage de l’histoire 0,5• Mode de recueil des collections 0,5• Perte de personnalité juridique 1• Non patrimonialité 1• Respect du principe de dignité 1• Dimension culturelle et humanité 1• Valeur symbolique différente 0,5• Contemporanéité / parenté 0,5• Devoir des peuples envers leurs morts 0,25• Universalité du patrimoine 0,5• Compromis 0,5

    Syntaxe / orthographe : 1

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  • UE 8 : Tronc Commun Recherche

    QCM 1 : CDEA. Faux, en regardant la figure a, on voit que les trois courbes se superposent, il n’y a doncpas de différence d’affinité pour le récepteur entre les trois composés testés B. Faux, on parle dans l’énoncé de cellules transfectées, et seulement pour la figure a de membranes isolées ce qui n’est au contraire pas précisé pour la figure b C. Vrai, on voit dans la figure d, qu’en présence d’AG il y a une augmentation de l’IP3 qui représente le mécanisme d’action de Gaq (PLC béta qui transforme PIP2 en IP3 + DAG) de plus, on nous indique dans la figure b que UBO, l’inhibiteur de Gaq, bloque la mobilisation de Ca2+ intracellulaire, mais qu’au contraire la mobilisation est présente avec l’AG, ce qui nous montre bien que la mobilisation de Ca2+ induite par l’AG passe par la voie de signalisation GaqD. Vrai, un agoniste inverse a pour définition une activité intrinsèque inférieure à 0, et nous voyons bien dans les figures c et d qu’en présence de 13d au contact des cellules exprimant le R, les activités, soit la mobilisation du Ca2+ et la production d’IP3, sont toutes deux inférieures à 0 E. Vrai, on voit que l’activité maximale (de 100%) est obtenue avec l’AG, tandis qu’en présence YIL on a une activité mais qui esr comprise entre 0 et 100, il s’agit donc d’un agoniste partiel

    QCM 2 : BA. Faux : C’est l’inverse ! La longueur d’onde ne sera présente que lorsque vos deux sous-unités seront accrochées l’une à l’autre. Lorsqu’elles se dissocient elles dépassent les 100 A de distance et donc vous aurez une diminution puis une disparition de la longueur d’onde Y.B. Vrai : Lorsque vous regardez les schémas a et b vous pouvez noter une augmentation sur votre courbe ce qui signifie que votre protéine G que ce soit la Gq ou la Gi se dissocie. Doncpar conséquent vos sous unités et . α βγC. Faux : Effectivement YIL permet la dissociation de Gq en revanche elle ne permet pas la dissociation de la protéine Gi. Sur le schéma b vous pouvez noté que votre courbe YIL est quasiment superposée à celle de Veh qui vous sert de référence. Cela démontre donc qu’YIL n’est pas responsable de la dissociation de Gi. D. Faux : Vous remarquez que YIL et AG sont tous deux responsables d’une augmentation significative de la quantité ingérée. Ces effets ne peuvent donc pas correspondre à l’activationde la protéine Gi car comme vous l’avez vu précédemment uniquement AG est en capacité d’activer la protéine Gi, YIL n’a pas d’effets sur celle-ci. En revanche la protéine Gq elle pourrait être impliquée car AG et YIL peuvent dissocier Gq. E. Faux : Cela n’est pas compatible avec Gi car vous voyez sur le graphique une différence significative entre Veh et YIL, Veh et AG ainsi qu’entre Veh et 13d. Or sur votre courbe b vous voyez que YIL, 13d et Veh ont quasiment les mêmes effets sur la dissociation de Gi. Ils ne sont donc pas tous compatibles avec une voie de signalisation Gi seul AG est compatible dans ce cas car il présente une forte diminution de la vidange gastrique ce qui est en adéquation avec son effet sur la protéine Gi.

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  • QCM 3 : ADEPour la compréhension de ce QCM, seule l’étude des figures est nécessaire.

    A. Vrai : Pour répondre à cet item il faut se fier à la figure A. En effet, on remarque que letaux de l’isoforme HK1 dans le vecteur contrôle (AdßGal) est similaire au taux d’HK1exprimé par le vecteur exprimant l’hexokinase 2 (AdHK2).

    B. Faux : Pour répondre à cet item il faut se fier à la figure B. On remarque que lorsqu’onexprime de manière plus importante de l’HK2 (AdHK2), l’activité de l’HK2 augmente, et cecide manière significative, par rapport à une expression normale de l’HK2 dans les cellules(AdßGal). On a expression HK2 ➚ (AdHK2) = activité HK2➚C. Faux : Pour répondre à cet item il faut se fier à la figure C, et considérer que les résultatsde l’état basal (vehicule). On remarque qu’à l’état basale, plus on exprime HK2 (AdHK2), moins on aura la production de radicaux libre (la production de radicaux libre est représentée par le % de cellules DCF), en comparaison à une expression normale d’HK2 (AdßGal), et ceci de manière significative (représenté par l’astérisque *). Donc, l’activité HK2,empêche la production de radicaux libres. On a expression HK2 ↗ (AdHK2) = radicaux ↘libresD. Vrai : Pour répondre à cet item il faut se fier à la figure C, et considérer que les résultatsinduit par l’inhibition de la voie des pentoses phosphates (DHEA). On constate que lorsqu’on inhibe la voie des pentoses phosphates, les cellules AdHK2 ne régule plus négativement la production de radicaux libres. Donc, on en déduit, que la voie des pentoses phosphate module la production de radicaux libres observées dans les cellules AdHK2. E. Vrai : Ceci est la conclusion de toutes les expériences effectuées. En effet, on remarque que l’HK2 induit une diminution de la production de radicaux libres, donc il pourrait être unprotecteur du stress oxydant dans la cellule.

    QCM 4 : BCA. Faux : le succinate induit l’expression de HIF-1 seulement en présence de fumarate, et lorsque ce dernier s’accumule. En effet, on remarque qu’il y a induction de l’expression de HIF-1 seulement quand la fumarate hydratase est inhibée, soit quand il y a une accumulationde fumarate. Donc la capacité d’induction de la succinate est « dépendante » des concentrations en fumarate.B. Vrai : cf. item A.C. Vrai : on observe sur la figure B, que lorsqu’on ajoute du 2-OG en présence de fumarate (20 mM), il n’y a plus d’expression de HIF-1, contrairement à la seule présence de fumarate (20 mM) qui induit l’expression de HIF-1.D. Faux : le N-oxalylglycine (50 mM) a un effet inhibiteur de l’activité prolyl-hydroxylase supérieur à celui observé pour le fumarate a la même concentration. En effet, on remarque que pour la même concentration, on passe d’une activité prolyl-hydroxylase de 45 à 20 (fMole/min) pour le N-oxalylglycine, alors que pour le fumarate on passe de 45 à 35 (fMole/min).

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  • E. Faux : le fumarate et le succinate n’ont pas le même pouvoir inhibiteur sur l’activité prolyl hydroxylase. En effet, pour une concentration de 50 mM, le succinate fait passer l’activité prolyl-hydroxylase de 45 à 40 (fMole/min), alors que pour le fumarate on passe de 45 à 35 (fMole/min).Rappel : lorsqu’on souhaite comparer le pouvoir inhibiteur de différentes molécules, on regarde la position de leur courbe respective par rapport à l’axe des abscisses et celle qui estle plus proche de l’axe des abscisses inhibe plus fortement que les autres.

    QCM 5 : BCEA. Faux : les Lentivirus sont des rétrovirus capables d’infecter aussi les cellules QuiescentesC. Vrai : après transfection des particules virales recombinantes, le génome quelles contiennent s’intègrent de manière aléatoire dans le génome nucléaire.D. Faux : une fois que la cellule est infectée et que le génome des particules virales est intégrée à l’ADN, celui-ci peut être exprimé (ex= gène de la beta globine dans le traitement d’une bêta thalassémie ) mais pas produire de nouvelles particules virales.

    QCM 6 : ACA. Vrai : il est précisé dans l’énoncé qu’un SDS PAGES est réalisé, c’est une condition dénaturante qui détruit la structure quaternaire des protéines et donc fait disparaître les épitopes conformationnels. C’est donc forcément un même épitope séquentiel qui est reconnu par l’anticorps anti X sur les deux composés différents. B. Faux : on constate que le western blot réalisé à l’aide d’un antisérum anti protéines phosphorylées ne reconnaît aucune protéine de poids correspondant à X dans un tissu hépatique normal et qu’il reconnaît la forme de 50kDa dans le tissu hépatique MAI+. Il n’existe donc pas de protéine X phosphorylée dans le tissu hépatique normal. C. Vrai : (cf item précédent). Une bande apparaît à 50kDa dans les tissu hépatique MAI+. D. Faux : l’anti X reconnaît un épitope séquentiel (cf A : conditions dénaturantes). E. Faux : à première vue on peut penser que cet item est vrai, cependant, en y regardant deplus près on se rend compte que c’est la protéine X phosphorylée (50kDa) qui est reconnue par un auto-anticorps présent dans le sérum MAI+. (Pour cet item la réponse est donnée dansl’énoncé du QCM qui suit donc il faut bien lire cela arrive souvent, il faut quand même vérifier que l’hypothèse du QCM suivant est la bonne).

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  • QCM 7 : ABDEA. Vrai : si on clarifie l’énoncé :

    - immunoprécipitation chez le sujet sain et le sujet malade avec un anticorps anti X : on se retrouve avec la protéine X et/ou Xp.

    - immunotransfert (=western blot = immuno-empreinte) avec un anticorps anti Xp sur ceque l’on a isolé avec l’immunoprécipitation : s’il y a une bande c’est forcément Xp (c’est la référence).

    - immunotransfert avec sérum patient malade sur ce que l’on a isolé par immunoprécipitation : s’il y a une bande pour le même poids que celle de l’immunotransfert précédent c’est forcément Xp => cela veut dire que le patient présente des auto-anticorps spécifiquement dirigés contre Xp.

    - immunotransfert avec sérum de patient sain sur ce que l’on a isolé par immunoprécipitation : contrôle (si c’est positif : problème de manip ++).

    B. Vrai : le fait que le sérum de patient malade (qui contient des auto anticorps dirigés contre Xp) ne reconnait aucun composé signifie que le tissu hépatique normal ne contient pasle composé Xp. C. Faux : Le test qu’on veut développer dans ce item est le suivant : faire un SDS PAGES avec des protéines hépatiques normales (donc pas Xp). Et ensuite réaliser un immuno-transfert avec les potentiels auto-anticorps séparés par billes magnétiques du sérum du patient. le problème c’est que quoi qu’il arrive la cible des autoanticorps n’est pas présente sur le SDS PAGES donc même si le sérum du patient contient des auto-anticorps, ils ne se fixeront pas sur le SDS PAGES. D. Vrai : le principe de l’ELISA indirecte est de présenter sur une surface un antigène, de faire passer un sérum de patient sur cette surface, et de révéler la fixation de l’antigène du patient grâce à un anticorps anti anticorps humain. Les conditions sont remplies.E. Vrai : le Dot Blot consiste à greffer au fond d’un puit un antigène puis d’ajouter un anticorps couplé à une enzyme et de constater un changement de densité optique couleur … s’il y a des anticorps. Si on greffe au fond du puit un extrait de protéines solubles du foie malade il contiendra la protéine Xp (condition nécessaire au bon fonctionnement du test), ensuite si le sérum du patient contient des anticorps anti Xp il se fixeront et cela sera visiblepar DO.

    QCM 8 : ABDA. Vrai : l’aspirine inhibe la cyclooxygénase (COX) nécessaire à la formation de TAX2 à partir de l’AA, or la figure 1B montre que les plaquettes du patient 1 ne produisent pas de TXA2 après stimulation par de l’AA. B. Vrai : la thromboxane synthase est une enzyme nécessaire à la transformation de l’AA en TXA2 (voir A) C. Faux : la PLA2 du patient 1 est active car on observe une production d’AA libre après stimulation par le collagène. D. Vrai : Chez le patient 2 : PLA2 inactive car absence de production d’AA après stimulationpar le collagène et pas d’agrégation plaquettaire après stimulation par l’U46619 (analogue stable du TXA2) donc possible perte de fonction du récepteur TXA2.

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  • E. Faux : La cyclooygénase est nécessaire à la production de TXA2 après stimulation par l’AAprésente chez le patient 2 (Figure 1B)

    QCM 9 : CDA. Faux : l’ADP entraîne une baisse de la production d’AMPc, il stimule donc un récepteur couplé à la protéine Gi. B. Faux : L’adénylate cyclase est active chez le patient 3 car on observe une production d’AMPc après stimulation par la PGI2. C. Vrai : dans la figure 2A : absence de diminution de la production d’AMPc après stimulation par l’ADP chez le patient 3 et Figure 2B : absence de sécrétion de PDGF chez ce patient donc le sécrétât n’entraîne pas de phosphorylation de PDGF-R ni de recrutement de la PLCy1. D. Vrai : pas de réponse après la stimulation d’ADP. E. Faux : cette figure montre que le PDGF-R est phosphorylé sur tyrosine. QCM 10 : ADA. Vrai : on voit sur la figure B qu’on passe d’une variation de concentration d’AGL de 100% à 0 minute à plus de 200% à 10 minutes. B. Faux : si l’invalidation du gène de l’AQP-7 inhibait la lipolyse dans les cellules adipeuses,on n’aurait une variation nulle (qui resterait à 100%). Or, pour le glycérol, cette variation estseulement diminuée (on va jusqu’à 150%) et pour les AGL, elle n’est même pas diminuée (onatteint les 200%). On ne peut donc pas dire que cela inhibe.C. Faux : il y a une augmentation du glycérol (on passe de 100% à 150%), elle est seulementdiminuée.D. Vrai : la diminution de la perméabilité des adipocytes au glycérol peut expliquer qu’après une activation de la lipolyse, une quantité réduite de glycérol passe dans le milieu extracellulaire.E. Faux : le chlorure de mercure inhibe les aquaporines. On serait dans le même cas qu’avecune souris KO pour AQP7. Le glycérol ne pourrait plus sortir, mais les acides gras libres continueraient de diffuser à travers la membrane sans l’aide des AQP.

    QCM 11 : ADEA. Vrai : en cas de jeûne, la lipolyse est activée (comme le corps manque de ressources, il va les puiser dans le tissu adipeux), on a donc une libération de glycérol et d’AGL dans la circulation sanguine.B. Faux : on voit en effet que pour les souris sans aquaporines 7, la mobilisation de glycérol est bien diminuée, cependant celle des AGL n’est pas significativement diminuée. On ne peutdonc pas affirmer que la mobilisation des triglycérides adipocytaires est moindre en l’absencedes AQP-7.C. Faux : à 0h, la différence de glycémie n’est pas significative tandis qu’elle l’est à 18h. Onvoit que la glycémie baisse de façon plus importante chez les souris sans aquaporines 7.

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  • D. Vrai : on a vu qu’en période de jeûne, il y a une stimulation de la lipolyse. Cette lipolyseentraîne la libération de glycérol afin de produire du glucose. Or, sans AQP7, les adipocytes libèrent moins de glycérol (car la perméabilité est diminuée) et donc moins de glucose est produit.E. Vrai : d’après ces expériences, on peut conclure que les aquaporines 7 ont un rôle dans lepassage du glycérol : ce sont donc des aquaglycéroporines.

    QCM 12 : BA. Faux : en regardant la première figure on voit que la phosphorylation de l’histone H3 n’apas lieu après un traitement par palbociclib ou G1T28 (inhibiteurs de CDK4) mais aussi aprèstraitement par RO-3306 qui est lui un inhibiteur de CDK1 ne touchant donc pas CDK4. Donc cette phosphorylation n’est pas dépendante de CDK4.B. Vrai : ici, de la même manière on voit que la phosphorylation de la protéine RB est toujours effectuée après traitement par RO-3306 mais pas après traitement par palbociclib ou G1T28 ; on peut donc en déduire que cette phosphorylation est dépendante de l’activité de CDK4.C. Faux : en regardant la deuxième figure on voit que le traitement par inhibiteurs de CDK4 bloque effectivement le cycle en phase G1, cependant sur la première figure on voit bien qu’il n’y a pas d’accumulation de cycline B, il y a même une diminution de celle-ci vu que le signal est diminué.D. Faux : en regardant la deuxième figure, on voit que G1T28 bloque le cycle cellulaire en phase G1, il touche donc les CDKs concernant cette phase mais pas ceux de la phase mitotique.E. Faux : en regardant la deuxième figure, on voit que le traitement par RO-3306 bloque le cycle en phase G2 et pas en mitose.

    QCM 13 : ABA. Vrai : la phase de contrôle d’entrée en mitose est la phase G2, or on voit sur la deuxièmefigure que le palbociclib agit au niveau des kinases de la phase G1 (qui est plutôt une phase de contrôle de l’entrée en phase S). Donc il n’agit PAS sur le contrôle de l’entrée en mitose.B. Vrai : ces 3 traitements vont bloquer le cycle cellulaire que ce soit en phase G1 ou G2, cequi va donc empêcher l’entrée en mitose ainsi que tout le déroulement du cycle et donc empêcher la prolifération de ces cellules.C. Faux : comme pour l’item 12.C on voit bien qu’il n’a pas d’accumulation de cycline B avec l’inhibition de CDK4.D. Faux : ici, comme pour l’item 12.A, on voit bien que le traitement par RO-3306 n’entraîne pas la phosphorylation de l’histone H3 (vu qu’il y a une diminution du signal donc une diminution de celui-ci). De plus avec la deuxième figure on voit bien aussi que ce traitement empêche les cellules d’entrer en mitose.E. Faux : les cellules bloquées en phase G2 sont celles traitées par RO-3306(figure 2), traitement où la protéine RB est toujours phosphorylée (figure 1) donc FAUX.

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  • QCM 14 : BDEA. Faux : on ne voit qu’une seule bande sur le western-blot des protéines du lysat cellulaire (ou de la membrane plasmique), même après action du SDS-PAGE, nous ne pouvons donc pas mettre en évidence une structure multimérique (on pourrait avoir un résultat différent si on ajoutait du beta mercaptoethanol à notre lysat cellulaire).B. Vrai : (figure 1A) bande beaucoup plus fine au bout de 4h (comparé au contrôle).C. Faux : (figure 1A) il y a une petite réduction de la bande au bout d’un prétraitement de 30min à l’EGF (comparé au contrôle) mais cela reste infime, nous n’avons pas “une réduction très prononcée du contenu cellulaire total en EGF-R”.D. Vrai : on voit bien une réduction importante de la bande (figure 1B) au bout de 30min deprétraitement à l’EGF (environ 80%, la figure n’est pas précise mais le pourcentage paraît être cohérent donc item vrai).E. Vrai : suite à une exposition prolongée à l’EGF, endocytose et dégradation cellulaire vontinduire une diminution du nombre d’EGF-R, c’est ce qui explique les résultats obtenus sur lafigure 1.

    QCM 15 : ABDEA. Vrai : si on avait plusieurs types de récepteurs à l’EGF, nous n’aurions pas une droite mais un tracé reliant 2 droites ayant 2 pentes différentes.B. Vrai : Kd = Bmax/y = 100/0,25 = 400pM = 400.10^-12 M = 4.10^-10 M.C. Faux : l’affinité ne change pas (les deux droites gardent la même pente, le Kd calculé est le même avec les deux droites), c’est le nombre de récepteurs qui change.D. Vrai : La liaison maximale (Bmax) est de 100 pM.100pM = 100 pmol/L = 100.10^-3 pmol/mL = 100.10^-3.10^-12 mol/mL = 100.10^-15 mol/mL = 100 fentomol/mL.E. Vrai : on a donc une liaison maximale à 100.10^-15 mol/mL (dans notre énoncé on fait l’expérience sur 1mL donc pas besoin de changer cette unité).Par contre, on a mis 10^6 cellules, on veut le nombre total d’EGF-R par cellule donc il fautfaire : 100.10^-15 / 10^-6 = 100.10^-21.Ensuite on applique la formule n = N / Na.Donc N = n x Na = 100.10^-21 x 6.10^23 = 600.10^2 = 60 000.Le nombre total d’EGF-R à la surface des fibroblastes contrôle est donc bien voisin de 60 000récepteurs par cellule.

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  • UE 8 : Spécialité Tête et Cou

    QCM 1 : ADB. Les sinus ethmoïdaux se drainent dans les fosses nasales au niveau des méats supérieur et moyen.C. La fossette trochléaire se situe au niveau de la face exocrânienne de la partie orbitaire de l’os frontal et non de l'ethmoïde.D. VRAI : Le vomer s'appuie en haut sur la crête sphénoïdale inférieure. E. Le clivus correspond à l’union du dorsum sellae du corps du sphénoïde avec la partie basicranienne de l’os occipital antérieure au foramen magnum. La lame perpendiculaire de l'ethmoïde s’unit en arrière avec le jugum sphénoïdal du corps du sphénoïde et ne peut doncpas s’unir avec le dorsum sellae.

    QCM 2 : ACB. Le méat acoustique interne correspond à un canal dans le rocher qui permet le passage des nerfs facial (VII) et cochléo-vestibulaire (VIII). Il ne débouche pas dans le tympan. L’aération de la caisse du tympan est réalisée par la trompe auditive qui le relie au nasopharynx. La trompe auditive est en partie formée par la partie médiane de l’os tympanal.

    D. Le processus styloïde se situe sur la face postéro inférieure du rocher du temporal. Il ne peut donc pas participer à l’ATM située bien plus en avant. C’est une zone d’insertion musculaire et ligamentaire.E. L’apex du rocher se situe au milieu de la base du crâne. Il s’unit INCOMPLÈTEMENT avecle sphénoïde et l’os occipital, formant ainsi le foramen déchiré (attention, le foramen déchiréest borgne : il est fermé par une membrane fibreuse). L’apex pétreux ne peut donc pas être “en contact” avec les processus clinoïdes postérieurs (contact = contact direct).

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  • QCM 3 : ABCDC. VRAI : Par ses masses latérales.D. VRAI : Par la lame perpendiculaire.E. Le méat supérieur est situé en dessous du cornet supérieur. La partie des fosses nasales située au dessus des cornets supérieurs correspond au toit des fosses nasales.

    QCM 4 : ABDB. VRAI : Il existe bien une suture fronto sphénoïdale : le bord antérieur des petites ailes du sphénoïde s’unit avec la partie orbitaire de l’os frontal.C. La suture inter-nasale correspond à la suture entre les deux os nasaux. Si on reprend le schéma au niveau de la correction de la question 8 : on voit les os nasaux représentés en bleu clair et le vomer lui représenté en bleu foncé. Or on voit très clairement que les os nasaux n’ont aucun rapport avec le vomer. Les rapports antérieurs du vomer sont les cartilage septal et la lame perpendiculaire de l’ethmoïde.D. VRAI : Cf question 1E.E. Le ptérion correspond à la région temporale qui réunit les os temporal, frontal, sphénoïde et pariétal. La suture temporo zygomatique forme quant à elle l’arcade zygomatique.

    QCM 5 : AA. VRAI : Le nerf abducens (VI) passe dans la fissure orbitaire supérieure au niveau de l’étage moyen.B. Le nerf facial (VII) passe dans le méat acoustique interne situé sur la face postéro supérieure du rocher et donc au niveau de l’étage postérieur de la base.C. Le nerf accessoire (XI) quitte le crâne par la partie antérieure du foramen jugulaire (entre l’os temporal et l’os occipital) tandis que le nerf hypoglosse (XII) quitte le crâne par le canalde l’hypoglosse (en avant du foramen magnum)D. La crête du rocher correspond à son bord supérieur. Le nerf vague a un rapport avec le bord postérieur du rocher car il passe par la partie antérieure du foramen jugulaire.E. Le chiasma optique est en rapport avec la face supérieure du corps du sphénoïde.

    QCM 6 : AA. VRAI : Par le pied de la cloison nasale, cad par la suture palatine médiane.B. La face jugale du maxillaire correspond à la face antéro latérale. Le processus ptérygoïde est en contact avec la face postéro latérale du maxillaire, cad la face infra temporale pour former la suture ptérygo-maxillaire.C. Le canal palatin postérieur se situe sur la suture palatine médiane au niveau de l’os maxillaire.D. La glande lacrymale se loge dans la fossette lacrymale de la face orbitaire de l’os frontal et n’est donc pas en rapport avec l’os lacrymal.E. Le canal infra orbitaire traverse la face orbitaire du maxillaire.

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  • QCM 7 : ADEB. Dans un plan sagittal, le ramus est orienté en haut et en arrière tandis que la surface articulaire condylienne est orientée en haut et en avant.C. Le muscle masséter s’insère au niveau de la face latérale de l’angle de la mandibule.

    QCM 8 : ACB. Attention la fissure orbitaire inférieure correspond au fait que le bordpostérieur de la face orbitaire du maxillaire et un petit peu du palatin ne s’accole pas directement à la grande aile du sphénoïde en arrière. Cela crée donc un espace en arrière duplancher orbitaire : la fissure orbitaire inférieure. Dans cette espace passe le nerf infra-orbitaire, le V2.D. Le processus crista galli est endocrânien, il sert d’insertion aux méninges. Il ne participe en aucun cas à la cloison nasale qui ne se compose que de 3 éléments : la lame perpendiculaire de l’ethmoïde, le vomer et le cartilage septal.

    E. Si on regarde dans une coupe sagittale le toit des fosses nasales on remarque une forme ellipsoïde de celle-ci, comme un arc. Tous les os ne se situe pas dans un même plan. Par exemple la lame criblée n’est pas dans le même plan horizontal que la face inférieuredu corps sphénoïdal.

    QCM 9 : ACB. Le muscle mylo-hyoïdien est innervé par le nerf homonyme, le nerf mylo-hyoïdien, branche du nerf mandibulaire, V3.C. VRAI : Mais attention à bien différencier l’innervation du ventre antérieur qui est assurée par le nerf mandibulaire (V) et le ventre postérieur dont l’innervation est assurée par le nerfVII, nerf facial. Tout cela est en lien avec l’origine embryologique du muscle digastrique, 1erarc pour l’antérieur et 2 ème arc pour le ventre postérieur.D. Attention, la nuque débute au niveau du corps vertébral, tout ce qui est en avant de ce corps n’appartient pas à la nuque, hors la lame prévertébrale englobe aussi des muscles appartenant à la région cervicale et non à la région de la nuque. On ne peut donc pas dire que la lame prévertébrale délimite la région cervicale ventrale de la nuque qui se situe plus postérieurement. E. Ils ne sont pas tous innervés par le nerf mandibulaire : le muscle digastrique par exemple dont un de ces corps est innervé par le (VII), mais encore le génio-hyoïdien qui est innervé par l’hypoglosse (XII).

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  • QCM 10 : BA. Il est en miroir du masséter. Il a une origine dans la fosse ptérygoïde, entre la lèvre médiale et latérale du processus ptérygoïde du sphénoïde. Ses fibres vont jusqu'à l’angle de lamandibule, ses fibres sontobliques vers l’arrière.C. Le muscle élévateur de l’angle de la bouche ou muscle canin est plus profond que le muscle élévateur de la lèvre supérieure. Essayez de le voir dans le schéma. D. Le muscle frontal faisant parti du muscle épicrânien est un muscle peaucier, il est donc naturellement innervé par le VII, nerf facial.E. Ce muscle est horizontal et possède 2 faisceaux. Il se fixe sur la grande aile du sphénoïde (faisceau supérieur) et la face latérale de la lèvre latérale du processus ptérygoïde (faisceau inférieur). Il se termine sur le disque articulaire au dessus du condyle mandibulaire et permetde le protéger et non pas sur le processus coronoïde.

    QCM 11 : CEA. Si on prend un schéma on voit que les deux parties du digastrique sont reliées par un tendon. Mais attention ce tendon n’est pas directement fixé à l’os hyoïde. Le tendon glisse dans une poulie fibreuse qui est elle directement fixée à l’os hyoïde.B. Le masséter ne possède pas qu’un seul faisceau : Il a un faisceau superficiel antérieur, oblique vers l’avant et un profond et postérieur dont les fibres sont plus verticales.D. Si les muscles infra-hyoïdiens prennent un point fixe sur l’os hyoïde alors ils sont inspirateurs accessoires. Car ils permettent d’élever / agrandir la cage thoracique.

    QCM 12 : ABC. La loge carotidienne est traversée par l'artère carotide commune et non pas l’interne ou l’externe. Accompagnant l’artère carotide commune on retrouve la veine jugulaire interne et le nerf vague (X) au niveau de l’angle dièdre de ces deux éléments vasculaires. D. L’arcade veineuse jugulaire est une anastomose entre les deux veines jugulaires antérieures.E. L’artère carotide interne ne donne ni de collatérale au cou ni à la base ce qui permet de bien la distinguer de l’artère carotide externe.

    QCM 13 : TOUT FAUXA. Attention le nerf hypoglosse a un orifice propre pour sortir de la base du crâne . Il s’agit du foramen hypoglosse en dehors du foramen magnum.B. Le plexus cervical est formé de l’union de plusieurs rameaux ventraux des nerfs spinaux C1, C2, C3, C4. Ils s’anastomosent les un aux autres.C. L’entrée du canal carotidien se situe à la face postéro-inférieure de l’os temporal. A cet endroit c’est la carotide interne qui entre dans ce canal et cette même artère sortira à l’apexdu rocher de l’os temporal pour continuer son chemin, au dessus du foramen déchiré puis ense plaquant sur la face latérale du corps du sphénoïde.D. Le rameau externe du nerf accessoire a un trajet très long dans la région cervicale, il croise la veine jugulaire interne, et assure l’innervation motrice du sterno-cléido-mastoïdien qu’il traverse, et du trapèze. Pas de l’omo-hyoïdien.

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  • E. Le nerf vague a un trajet principalement vertical. Il ne surcroise pas la veine jugulaire interne (VJI) car en effet il se situe dans l’angle dièdre formé par cette dernière et l’artère carotide. Avec la carotide en dedans et la VJI en dehors.

    QCM 14 : BCEA. Le cloisonnement oro-nasal est un événement plus tardif que la fusion des bourgeons faciaux.D. Les cellules de la crête neurale sont des cellules d’origine ectodermiques.

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  • UE 8 : Spécialité Petit Bassin

    QCM 1 : BDEA. Faux : Elle est immobile.C. Faux : Elle est située dans la concavité postérieure de la surface auriculaire.

    QCM 2 : ACEB. Faux : Le ligament arqué est un ligament de la symphyse pubienne.D. Faux : L’épine sciatique donne insertion au ligament sacro épineux. Le ligament sacro-tubéral s’insère sur le bord latéral du sacrum.

    QCM 3 : BCEA. Faux : Le muscle piriforme quitte le petit bassin en traversant la grande ouverture sciatique. D. Faux : Le paramètre est une zone graisseuse située entre la face latérale de l’utérus et la paroi osseuse du petit bassin.

    QCM 4 : ABDC. Faux : La contraction du faisceau pubo-rectal de l’élévateur de l’anus détermine la fermeture du sphincter. C’est son relâchement qui favorise la défécation. E. Faux : La fosse ischio-anale est limitée en haut et en dedans par le muscle élévateur de l’anus.

    QCM 5 : BCEA. Faux : L’artère iliaque interne naît en regard de L5 – S1 !B. Vrai : Effectivement, et c’est le cas pour l’artère ovarique droite ET gauche.C. Vrai : il ne faut pas confondre : le tronc dorsal donne la glutéale supérieure (ainsi qu’une artère ilio-lombale et des branches sacrales) alors que le tronc ventral donne la glutéale inférieure (et bien d’autres) !!!D. Faux : L’artère obturatrice quitte le bassin par le foramen obturé, c’est-à-dire par le canal obturateur, et est accompagnée du nerf obturateur également ! Donc pas par le foramen infra-piriforme !E. Vrai : L’artère pudendale vascularise bien les corps érectiles étant donné qu’elle donne l’artère dorsale du pénis ou du clitoris, selon le sexe.

    QCM 6 : ABDA. Vrai : Il faut retenir que le drainage lymphatique suit vraiment le trajet du drainage veineux !! Vu que l’ovaire gauche est drainé par la veine ovarique gauche, et que celle-ci sejette dans la veine rénale gauche, alors il en est de même pour le drainage lymphatique ! Pour la veine ovarique droite, le drainage lymphatique serait donc au niveau de la veine cave inférieure, car la veine se jette dedans !

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  • B. Vrai : Sur le plan artériel, la vessie est vascularisée par 2 branches, la vésicale supérieure et inférieure. La supérieure provient de l’artère ombilicale, et l’inférieure de l’artère vaginale.Mais les artères ombilicale et vaginale proviennent elles-mêmes de l’artère iliaque interne ! Etant donné que les veines suivent la même organisation que les artères, alors les veines vésicales se drainent également par la veine iliaque interne !!!C. Faux : on a toujours soit AUTANT de veines que d’artères (pour les gros troncs / veines notamment), soit PLUS de veines, mais jamais moins !!!D. Vrai : La veine rectale inférieure se draine vers la veine pudendale, qui elle-même se draine vers la veine iliaque interne, qui rejoint la veine iliaque externe pour former la veine iliaque commune, et celle-ci fusionne avec la veine iliaque commune contro-latérale pour former la veine cave inférieure, donc c’est bien le système cave ! A noter qu’on aurait pu remplacer « veine » par « artère » ici et ce serait resté juste, car les veines suivent la même organisation que les artères… E. Faux : De la même manière que l’artère obturatrice provient du tronc antérieur de l’artèreiliaque interne, la veine obturatrice se draine également dans la veine iliaque interne, et nonpas externe !!!

    QCM 7 : ACDB. Faux : C'est le parasympathique qui contracte le détrusor pour assurer la vidange vésicale.E. Faux : Le nerf rectal inférieur est un des 3 nerfs issus du nerf pudendal donc il vient du plexus pudendal et pas hypogastrique.

    QCM 8 : AB. Faux : Au stade de follicule primordial l'ovocyte mesure 30 microns dans un follicule de 40 microns, on peut donc le voir (car la résolution du microscope optique est de 0,2 microns).C. Faux : Au cours de la folliculogenèse l'ovocyte augmente de taille.D. Faux : Les thèques se forment à partir des cellules du stroma proche de la membrane basale, qui à son contact, se différencient. Au niveau de la thèque interne, ce changement s'associe en plus à une plus grande vascularisation.E. Faux : Les cavités sont au niveau de la granulosa.

    QCM 9 : ABCEA. Vrai : Un seul follicule arrive au stade de follicule mûr (7j avant l’ovulation). À ne pas confondre avec le stade tertiaire tardifs (14 jours avant l’ovulation) où 5 follicules arrivent à ce stade.B. Vrai : Ces androgènes seront transformés en œstrogènes par une aromatase dans les cellules de la granulosa.C. Vrai : l’ovulation se fait lors du 14ème jour du cycle, la folliculogenèse se termine lors del’ovulation : les 14 derniers jours de la folliculogénèse correspondent au 14 premiers jours ducycle.D. Faux : Le follicule reste dans l’ovaire et devient le corps jaune. Seul l’ovocyte II est expulsé.

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  • E Vrai : La LH stimule la lutéinisation de la granulosa en grandes cellules lutéales contenant de nombreuses vacuoles lipidiques. La LH stimule également la lutéinisation de la thèque interne en petite cellule lutéales.

    QCM 10 : ABCDEA. Vrai : Pour rappel, la sécrétion apocrine correspond au mode de sécrétion au cours duquelle produit de sécrétion est expulsé avec une partie de la cellule.B. Vrai : Il y a une couche compacte en surface et une couche spongieuse en profondeur.C. Vrai : Les cellules de la couche intermédiaire sont ovales, contiennent des vacuoles remplies de glycogène et ont une chromatine claire.D. Vrai : Cette zone est sensible aux infections par le papillomavirus (HPV)