7/26/2019 Conduites d'Inhibition
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Plan de la question
I. IntroductionBiologiquement, lhomme reste un tre adapt laction
(scrtion dadrnaline,vasoconstriction priphrique, tachycardie.). La
uite ou le com!at sont les deu"seules rponses !iologiques une
agression. La vie sociale a introduit une troisi#mevoie $ la
soumission m#re du stress au sens !iochimique du terme et conduit
terme lpuisement et la dpression.
II. Dfnition%ar d&nition, linhi!ition se traduit par une
di'cult voire une impossi!ilit agir. lsagit dun processus
physiologique, acti et rversi!le de reinage et de suspension
temporaire dune onction par une autre.l sagit dun concept issu
de la physiologie puis de la neurophysiologie et en&n de
lapsychiatrie.
III. EpidmiologieLe pourcentage de patients ugs inhi!s est de
*+,-./* des cas sont des emmes, dont l0ge est suprieur 12ans.Lan"it
est invaria!lement dcrite, la dpression prsente dans *1- des cas et
atteintles 34- che5 les patients les plus inhi!s.
IV. Pyschopathologiea. Point de vue
Linhi!ition est une renonciation une onction, motive par le ait
que sone"ercice provoquerait de langoisse.
!. Point de vue gntiqueLinhi!ition e"prime un con6it
intrapsychique li linterdiction surmo7que de voirnoncer et/ou
ver!aliser des pulsions inconscientes de source se"uelle.
c. Hypothse de sublimationLinhi!ition est comme une ormation
ractionnelle lagressivit inconsciente etdes antasmes sadiques qui
la nourrissent.
V. miologiea. Inhibition intellectuelle
8rquente che5 les enants et les adolescents, notamment les
surdous.
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!es conduites d"inhibition
I. ntroductionII. :&nition
III. ;pidmiologieIV. %yschopathologieV. raitement
VIII. =onclusion
