Couperin - 2e Livre

8/2/2019 Couperin - 2e Livre

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AUGENER

UNiVERSITY OF TORONTO

NOV 4 J968EDWARDJOHNSONMUSIC LIBRARY


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PREFACE.Franois Couperin (1668 1733) est, dans l'histoire musicale, le premier grand compositeur ayant crit

Spcialement et uniquement pour le clavecin. Les matres illustres, qui prcdrent Couperin Merulo, Frescobaldiet beaucoup d'autres s'occupaient autant de l'orgue que du harpsicorde ; tandis que Couperin, quoique matredans les deux instruments, crivait seulement pour ce dernier. Par consquent il doit tre considr comme le

prcurseur de l'art moderne duPiano. Scarlatti, Haendel et Bach sont au nombre de ses lves.

Couperin dita lui-mme ses uvres de clavecin Paris en quatre volumes. Le premier volume paruten 1713, le second en 1716-1717, le troisime en 1722 et le quatrime en 1730. Cette dition, en grand in-folio etgrave sur cuivre, fut considre comme le plus beau spcimen de musique imprime de l'poque. Cependant quoiquecorrige avec beaucoup de soin par l'auteur lui-mme, elle n'est pas entirement exempte d'erreurs.

Les manuscrits de Couperin ont ceci de particulier, que pour donner toute l'expression possible ses ides ilmarque avec une scrupuleuse prcision tous les moindres signes et tous les agrments en vogue cette poque. De l,une apparence plus complique que celle de tout autre compositeur contemporain : aussi une dition nouvelleprsentait une grande difficult, car elle ne pouvait avoir sa valeur complte qu' la condition de reproduire tous cesminutieux dtails.

En effet une dition imparfaite et dfectueuse des ouvrages de Couperin fut publie il y a quelque temps Paris. Cette circonstance surtout me fit concevoir le projet de rdiger de concert avec Johannes Brahms une ditionabsolument exacte, identique l'original, ayant l'avantage de restituer l'ancien matre sa physionomie primitive,pour la premire fois depuis l'dition publie par lui-mme. Grce ce travail, " Couperin le grand " peutmaintenant tre compris et apprci sa valeur relle par notre public musical.

Pour la reproduction exacte des agrments, de nouveaux types ont t confectionns, correspondant prcismentaux signes de Couperin. Malgr cela, l'original ne suffisait pas absolument comme modle la nouvelle dition : car

Couperin n'employait pas rr.oins de cinq cls diffrentes 1 i -ft varies

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chaque instant. De plus, il s'y trouve toute sorte d'abrviations et de signes de rptition, d'indications deplusieurs manires d'excuter la mme mlodie, mais aucune basse fondamentale etc., ce qui rend l'dition originalepeu intelligible aux pianistes modernes. Pour ces diverses causes la nouvelle dition dt donc subir une correctiondes plus consciencieuses comme nettet, comme perfection et comme simplicit. Au rsum la nouvelle dition mrite,plus mme que la magnifique dition originale, d'tre considre comme le reflet le plus exact des ides de l'auteur.

Le seul petit manque de clart existant encore, concerne la valeur des notes pointes, car Couperin ne met

jamais deux points. Toutesles fois, qu'il se

trouve un second point dans la musique, il faut le considrer commeune addition postrieure. Mais quelquefois il reste douteux si le point employ par le matre doit dnoter un doublepoint et si par consquent les trois notes suivantes doivent tre joues comme triolets ou non. Ainsi l'exemple suivanl

J .I I J J . JjJ Peut tre interprt parfaitement de deux manires : J J J J J J J J J J ou

Au lieu de changer la notation de Couperin nous prfrons confier la dtermination de lavaleur des notes la discrtion du pianiste, nous conformant ainsi la libert assez largequi tait accorde anciennement aux excutants pour la manire de dire les petites phrases

d'agrment. Il semble donc l'diteur qu'il doive plutt conserver intact le texte de l'original, afin que l'artistel'interprte d'aprs 6es propres lumires.

Les inscriptions explicatives (souvent assez singulires) ainsi que d'autres observations ajoutes dansl'original ont pour la plupart t copie d'aprs les expressions mmes du matre, pour conserver l'uvre sonaspect primitif.

Le 3me volume, publi en 1722 renferme des remarques crites par Couperin sur plusieures de ces pices :ces remarqi.es seront galement trouves leur place. Page 34 et 83 l'auteur renvoie l'excutant des "pices croises," la prface, expliquant que ces morceaux doivent tre jous sur deux claviers, c. . d. sur un clavecin deux claviers,ou dfaut, la basse serait joue une octave plus bas, ou bien la partie aigu une octave plus haut. Le compositeurrecommande aussi d'excuter avec deux Fltes, Hautbois, Violons, Altos, ou autres instruments une seule voix, sespices en forme de duos ; nouvelle preuve de la multiplicit des modes d'interprtation de cette musique et de lapossibilit de l'excuter de diverses faons.

Couperin ne runissait pas ses morceaux en forme de " Suites" selon l'usage de la plupart de ses contem-porains, mais il les runissait en collections plus larges, intitules "Ordres." Ainsi les 4 volumes contiennent entotalit vin^tsept ' Ordres," numrots rgulirement. L'influence des compositions de Couperin fut tout aussipuissante que celle de Corelli sur l'art de son poque, surtout sur les esprits des contemporains plus jeunes que lematre franais: Haendel et Bach.

Cette influence fut encore augmente par une Mthode de clavecin, nomme " L'Art de toucher le clavecin," etpublie par Couperin en 17 17, dont il parle plusieures reprises dans ces pices. Cette Mthode est le premier

ouvragepubli dans ce genre, ouvrage d'une importance reste encore aussi grande que celle des uvres dont elle renferme descommentaires pleins d'intrt.

Bergedorf prs Hambourg, Fr. CHRYSANDER.le 1er Novembre, 1888.

Prit ed in England


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PREFACE.Franois Couftrin (1668-1733) is the first great composer for the pianoforte known in the history of music.

The eminent masten, who preceded himMerulo, Frescobaldi and many others applied their art quite as much to theorgan as to the harpsichord ; whereas Couperin, though he played both instruments, wrote for the latter only. Hestands, therefore, at the commencement of the modem ge, and must be regarded as clearing the way for a new art.Among hisyounger contemporaries and in part his pupilswere Scarlatti, Handel and Bach.

Couperin published his four books of pianoforte works at Paris under his own name as publisher. The firstappeared in 1713, the second in 1716-1717, the third in 1722, and the fourth in 1730. This dition in large folio waaengraved on copper, and formed the most beautiful spcimen of printed music of that period. The press was correctedwith great care by the author, yet is not entirely free from errors.

Couperin's mode of writing music is very peculiar. It was his constant aim to set down the music withthe greatest possible fulness exactly as he played it on his instrument. Even the manifold embellishments are motaccuratcly indicated. AU this gives to his music-writing a more technical appearance than that of any other master ofthe period. For this reason, moreover. the engraving of this music, if accurately done, is excessively difficult.But an dition which did not reproduce the original signs exactly in ail dtail would be worthless for the knowledge ofCouperin's art.

Such a worthless, faulty and likewise very incomplte dition of Couperin's works appeared some time ago atParis. This it was which mainly induced me, in common with Johannes Brahms, to produce a really complte andfaithful dition, which, for the first time since the original dition prepared by Couperin himself, should introduce theold master again in his true form to the musical public of the prsent ge. " Couperin le Grand " can now again beeasily understood by every one and estimated at his full value.

To exhibit the various ornaments as clearly as the author himself noted them, new stamps hve been eut,corresponding exactly to Couperin's signs. But it is not possible in ail cases to take the original dition as a pattern for

the modem one. Couperin writes his music in no less than five clefs : feTu i^ ^fc^ihich are perpetually altemating. At the same time he employs ail possible abbreviations and indications of rptition,

and gives various modes of executing the same melody, but without addition of the ground-bass, &c. ; so that his ditionis positively illegible to a modem player. In thse points it was necessary to improve the old dition throughout inaccordance with the prsent demands of clearness, completeness and simplicity. Thus the prsent dition exhibits thecomposer's intentions far more clearly than the splendid original one did.

The sole slight want of clearness which still remains is in the value of the dotted notes. Couperin never puts twodots ; wherever a second dot occurs in the music, it is to be regarded as an addition. But it is sometimes doubtfulwh-ther his dot dnotes a full double dot, and whether the three following notes are to be treated as triplcts ; for figures

such as may be played equally well as j S S J j J or as

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* Instead of arbitrarily altering Couperin's notation, we prefer to leave the dtermination 4 d m ' of the value of the notts to the discrtion of the performer : ail the more so because

s^^ 'w' small phrases of embellishment of this sort were in his time generally noteddown witii - very inaccu, aie mensuration, being treated by performers with great freedom. In such things, therefore, itis best for the editor simply to stick to the text, and for the player to make use of the freedom left to him.

Couperin's descriptive titles and other observations (often eccentric and quaint) are generally given in his ownform of letters, so as to prserve their look of antiquity.

The Third Book, which appeared in the year 1722, contains observations on several of the pices written byCouperin himself, which are given at their proper places. On pp. 34 and 83, with regard to the excution of the" pices croises," be refers to his prface, in which it is stated that such pices are to be played on two pianos, i.e., ona clavecin with two manuals ; otherwise, when the instrument has only one manual, either the bass must be put anoctave louer or the treble an octave higher. At the same time he recommends that thse pices be played as duets fortwo fltes, hautboys, violins, violas and other unitone instruments : a new proof of the many modes of interprtationof his music and the possibility of various kinds of excution.

Departing from the practice of most of the pianoforte composers of his time, Couperin puts his pices togetherinto larger groups not called " Suites " but ' Orders." The four books contain altogether twenty-seven of thse Orderswith a continuous numration. Thse compositions had as considrable an influence on their ge as those of Corelli,especially on Couperin's younger contemporaries Handel and Bach.

This influence was further heightened by a Pianoforte School, which Couperin published in 1717 with the title" L'Art de toucher le Clavecin," to which he frequently tefers in his pices of music. Il is the first printed work of itskind, and has, like the compositions for the elucidation of which it was written, a permanent value.

Bergedoif near Hamburg, Fr. CHRYSANDER.N'ov. 1. 1888.


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VORWORT.Francis Couperi* i6'5S-I733 ist der erste grosse Klaviercomponist, den die Musikgeschichte kennt. Die

bpihmten Meister vvelche ihm vorangingen Merulo, Frescobaldi und viele andere wandten ihre Kunst ebenso sehrandie Orgei, als an das Harpsichord ; Couperin dagegen schrieb ausschliesslich fur das Klavier, obwohl er ebenf.illsOiganist war. Er steht daher an der Spitze der modernen Zeit und ist als der Bahnbrecher einer neuen Kunstanzusehen. Seine jngeren Zeitgenossen und zum Theil seine Schler waren Scarlatti, Hndel und Bach.

Couperin gab seine vier Bcher Klavierwerke im eigenen Verlage in Paris heraus. Das erste Buch erschien imJahre 1713; das zweite 1716-1717; das dritte 1722; das vierte 1730. Dise Ausgabe in gross Folio ist durchKupferstich hergestellt und bildet das schnste mjsicalische Druckwerk der damaligen Zeit. Der Druck ist vom Autormit grosser Sorgfalt corrigirt, obwohl nicht fehlerfrei.

Hchst eigenthmlich ist Couperin's Notenschrift. Es war sein stetes Bestreben, die Musik in mglichsterVollkommenheit so aufzuzeichnen, wie er sie auf seinem Instrumente spielte. Auch die verschiedenen Verzierungensind von ihm aufs Genaueste angegeben. Durch ailes dises hat seine Notenschrift ein knsthcheres Ansehenbekommen, als die irgend eines anderen Meisters jener Zeit. Deshalb ist der Notenstich bei dieser Musik auch sou'iendlich schwierig, wenn er geniu sein will, und oh le eine bis auPs Kleinste genaue Wiedergabe der Original-Tonzeichen ist die Ausgabe fur die Kenntniss der Kunst Couperin's werthlos.

Eine solche werthlose, fehlerhafte und zugleich sehr unvollstndige Ausgabe der Werke Couperin's erschien voreiniger Zeit in Paris, was mich auch zunchst veranlasst hat in Gemeinschaft mit Johannes Brahms eine wirklichcomplte und originalgetreue Ausgabe zu Stande zu bringen, welche also seit der von Couperin

veranstahetenOriginaledition zum ersten Mal den alten Meister wieder in seiner wahren Gestalt dem musikalischen Publikum derGegenwart vorfhrt. Couperin le Grand " wird nunmehr von Jedermann leicht verstanden und nach seinem vollenWerthe geschtzt werden knnen.

Umdie mannigfaltigen Maniren ebenso deutlich erscheinen zu lassen, wie der Autor sie selber gegeben hat,sind neue Stempel geschnitten, welche Couperin's Zeichen genau entsprechen. Aber nicht in allen Stcken kann derOriginaldruck fur die moderne Ausgabe ein Vorbild sein. Zur Aufzeichnung seiner Musik gebraucht Couperin nicht

weniger als fnf Schlssel

w T*? V^J die unaulhrlich wechseln. Dabei bedient

er sich aller mglichen Abkrzungen und Repetitions-Hinweisungen, giebt verschiedene Ausfhrungen derselbenMlodie, aber ohne Hinzufugung des Grundbasses u. s. w., so dass sein Druck fur den modernen Spieler geradezuunleserlich ist. Hierin musste der Orginaldruck berall nach den jetzigen Anforderungen an Deutlichkeit,Vollstndigkeit und Einfachheit verbessert werden. Die gegenwrtige Ausgabe legt daher die Inteiuionen des Corn-

ponisten den heutigen Spielern weit deutlicher dar, als der erwhnte prachtvolle Originaldruck.

Die einzige kleine Undeutlichkeit, welche bestehen bleibt, betrifft den Werth der punctirten Noten. Couperinsetzt niemils zwei Punkte. Wo in der Musik ein zweiter Punkt steht, ist eralsZusatz anzusehen. Es ist aber mitunterzweifelhaft, ob sein Punkt ein vollgltiger Doppelpunkt sein soll, und obdie drei lolgenden Noten als Triolen anzusehen

sind, denn Figuren bei ihm wie ^^Z knnen ebensowohl als ' ; i ' ; ;_ " *^ 3 * ' ^** - - r* * ^ J

^"T^ n"^^^2 g 65 ?' 6 ! 1 werden. Statt Couperin's Aufzeichnung willkrlich zu ndern, berlsst J m J J * T3T3 man die Werthbestimmung lieber dem Gutdnken des Spielers. Es kann solches

vj^ v^ix um so leichter geschehen, weil dise kleinen ausschmckenden Figuren zu jenerZeit allgemein senr ungenau mensurirt aufgezeichnet wurden, da man gewohnt war, sie von dem Ausfhrenden mitgrosser Freiheit behandelt zu sehen. In solchen Dingen wird es also richtig sein, dass der Herausgeber sich einfachan den Text hait, der Spieler dagegen von der ihm zustehenden Freiheit Gebrauch micht. Couperin's erklrende undsonderbare Ueberschriften und sonstige Bemerkungen sind meistens in seiner Schreibart gegeben, um auch in dieserHinsicht das alterthmliche Ansehen zu wahren.

Das dritte Buch, welches im Jahre 1722 erschien, enthlt bei mehreren Stcken Bemerkungen von Couperin,die an Ort und Stelle mitgetheilt sind. Seite 34 und 83 weist er hinsichtlich des Vortrages der ,, pices croises" aufsein Vorwort hin, in welchem gesagt wird, dass solche Stcke auf zwei Klavieren.d. h. auf einem Clavecin mit zwei Manualenzu spielen sind, oder, falls das Instrument nur ein Klavier hat. der Bass entweder eine Octave tiefer, oder der Discanteine Octave hher genommen werden muss. Zugleich empfiehlt er dise Stcke als Duette fur zwei Floten, Oboen,Violinen, Violen und sonstige einstimmige instrumente: ein neuer Beweis von der Mehrdeutigkeit dieser Musik, und derMglichkeit verschiedenartiger Ausfhrung derselben.

Abweichend von den meisten damaligen Klaviercomponisten fgt Couperin seine Stcke nicht als ,, Suiten,"sondern als " Ordres " zu grsseren Gruppen zusammen. Die vier Bcher enthalten zusammen sieben und zwanzigsolcher Ordres in fortlaufender Zhlung. Dise Kompositionen haben auf die damalige Zeit ebenso bedeutend gewirkt,wie die von Corelli, namentlich auch auf die jngeren Zeitgenossen Handel und Bach.

Erhht wurde dise Wirkung noch durch eine Klavierschule, die Couperin als " L'Art de toucher le Clavecin "

1717 verrfentlichte und auf welche er in seinen Musikstcken mehrfach hinweist. Dieselbe ist das erste gedruckteWerk dieser Art und gleich den Kompositionen, zu deren Erluterung sie geschrieben wurde, von bleibender Bedeutung.

Bergedorf bei Hamburg, Fr. CHRYSANDER.Nov. 1. 188S.


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TABLE DE PIECES.

Second Jlivre.Page

Sixime Ordre 104

Les Moissonneurs 104. _ Les Langueurs -Tendres 106. Le Gazouillement108. _La Bersan 110. Les Baricades mistrieuses 112 Les Bergeries 115.La Commre 118. Le Moucheron 120.

Septime Ordre 122

La Mnetou 122. _ Les petites ges: La Muse Naissante 125; L En fan.

tine 126; L'Adolescente 126; Les Dlices 128. _ La Basque 130. La Chaz132._ Les Amusemens 135.

Huitime Ordre &9La Raphale 139. _ L'Ausonine 142. _ Premire Courante 143. _ SecondeCourante 144. _ Sarabande l'Unique 146 ._ Gavotte 147. _ Rondeau 148. -Gigue150 Passacaille 152. _ La Morinte 159.

Neuvime Ordre 160

Allemande deux Clavecins 160. _ La Rafrachissante 165. Les Charmes167._ La Princesse de Sens 170._:L'Olimpique 171. _ L'insinuante 173 LaSduisante 174 Le Bavolet.flotant 176. -Le Petit_deiiil, ou les trois Veuves178 Menuet 179.

Dixime Ordre 180

La Triomphante 180. _ La Mzangre 190. _ La Gabrile 192. _ La Nointle192. _ La Fringante 195. _ L'Amazone 197. _ Les Bagatelles 198.

Onzime Ordre 200

La Castelane 200. _ L' Etincelante ou la Bontemps 202. _ Les Grces. Na_turles 204. _ La Ze'nobie 206. _ Les Fastes de la grande et ancienneMnestrandise. 1 Acte; Les Notables, et Jurs 208; 29 Acte: Les Vi.leux, et les Gueux 209; 3 Acte: Les Jongleurs, Sauteurs, et Saltinbanques

210; 4? Acte: Les Invalides 210; 5? Acte: Dsordre, et droute de toutela troupe 212.

Douzime Ordre 214

Les Jumels 214. _ l! Intime 216. -La Galante 217._ La Coribante 218.

_

La Vauvr 220. -La Fileuse 221.- La Boulonoise 223 L'Atalante 224.

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explication des Agremens, et des lignes,

Signe.1Pinc simple.

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83/129


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DIXIME ORDRE.Jta triomphante.

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Fanfare.Fort gayeraent.

TROISIEMEPARTIE.

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rri^rcif^fQuoy que les valeurs du dessus ne semblent pas si raporteracte cilles de la basse; il est d'usage de le marquer ainsi.

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Pour toucher cette pice, H faut repousser un des Claviers du Clavecin, ter la petite octaue, poser la main

droite sur le Clavier d'en "haut, et poser la gauche sur celui d'enbas

On peut jouer cette pice deux Violes; deux dessus de Violons; et mme deux Fltes, pour vii que lesecond dessus de Flte prenne les finales en hault.



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202

Ji'fitincelante ou la Sontems.

Trs vivement.

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204

PREMIEREPARTIE.

J!es Qracez-JJaturles.

Suite de la Bout fin s.

Affectueusement sans lenteur.

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D'une lgret gracieuse, et lie.

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2o8

Marche.

Mes Castes

de la grande et ancienne

Mxnxstrxndxsx.

Premier Acte.

Les Notables, et Jurs Mxnxstrxndxnrs.

Sans lenteur.

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Second Acte.

Les Vileu.T, et les Gueux

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210

Lgrement

Troisime Acte.

Les Jongleurs, Sauteurs; et Saltinbanques-.

avec les Ours, et lesSinges.

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Cet Air

se joue

deux fois.

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Les Invalides: ou gens Estropis au service de la grande

Mxnxstrxndxsx.

Les Disloqus.

Les Boiteux.

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214

DOUZIEME ORDRE.Xes Sumles.

Affectueusement

PREMIEREPARTIE.

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Documents

Couperin - 2e Livre