cours PENSEE ECONOMIQUE Théories Économiques contemporaines.docx

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cours PENSEE ECONOMIQUE Thories conomiques contemporaines

PENSEE ECONOMIQUE

Cet lment de module sadresse la naissance et lvolution des ides conomiques.

Les grandes ides ayant marqu le dveloppement de cette discipline sont la division de travail, la

thorie des valeurs, les thories de la croissance, lchange international, les thories de la

concurrence, les problmes de la surproduction, le dveloppement conomique.

Lorigine de ces ides, leurs volution et critique se regroupent dans des coles

depensesrelativement homognes.

LES MERCANTILISTES:(!",#"sicles$ considrs comme la ere cole bien que leur conomie

lmentaire, base sur laccumulation des mtau% prcieu%, le protectionnisme en interdisant les

importations & limitation de sorite de L'.

Lessor de lconomie dpend de la quantit accumul des mtau% prcieu%, alors tous les rapports

de )orces doivent *tre mobiliss pour certains ob+ecti)s

- rocuration de la navigation et de commerce e%trieur pour )avoriser le march

international.

- /ncouragement des importations de lindustrie en apportant de la matire ere bon march

et ta%ation des produits industrielles imports.

- 0tabilisation des salaires en matire de la croissance dmographique.

LES PHYSIOCRATES :(1" sicles$ cette cole a vu le +our en raction au mercantilisme, pour

but davantager lindustrie et le commerce au dtriment de lagriculture et aussi la sur2ta%ation de

cette dernire.

3ls ont d)endu le libralisme conomique et ils ont adopt le ((Laisse42)aire , laisse42passer$$.

Les physiocrates ont labor une thorie de production donnant une reprsentation de la )a5on

dont sopre la circulation du revenu national.

3ls d)inissent la richesse comme lensemble des biens de consommation annuellement reproduits

par le travail producti) de la socit.
http://www.cours-fsjes.com/2013/12/cours-pensee-economique-theories-economique.htmlhttp://www.cours-fsjes.com/2013/12/cours-pensee-economique-theories-economique.html


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Le r6le du capital dans laugmentation du revenu national est important, une terre bien cultive ave

un capital important (moyens de pdt"$ donne un revenu aussi important.

Lide phare du circuit conomique reprsente la )orce de cette cole, sa )aiblesse rside dans sa

limitation de la productivit lagriculture et dici elle se prcise dans lindustrie et le commerce.

LES CLASSIQUES :La pense classique reprsente la ere tentative de la systmatisation, la

diversi)ication et de%tension du champ de lanalyse conomique, elle a mis en titre les ob+ecti)s

principau% qui proccupent les conomistes la croissance, la dtermination des pri% (thorie de la

valeur$ la )ormation des revenus, lchange international, les crises et la menace de ltat

stationnaire.

7 La thorie de valeur elle sadresse au problme de la dtermination de la valeur, c8est22dire

comment se )i%ent les pri% des biens

'n estime que la valeur dchange (le pri%$ dun bien est dtermine par la quantit de travail

command quil contient.

'n distingue 9 sortes de valeurs

: La valeur dusage se rapporte lutilit pratique dun bien

: La valeur dchange la plus importante conomiquement, et qui se rapporte sur la possession

dun bien pour acqurir des autres biens.

our ;avid icardo Le%plication de la valeur des biens par leur co


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au% revenus des imp6ts prlevs par l/tat pour rmunrer les )onctionnaires, les capitalistes et les

rentiers pour rmunrer les domestiques et lensemble des bn)iciaires des revenus rmunrent

les pro)essions librales.

Les propritaires )onciers ont un revenu qui dpend selon les conditions de la production agricole

en tenant compte la qualit des terres cultivs.

7 La croissance conomique

@ Lenrichissement des nations est bas sur laccumulation du capital qui permet daugmenter la

productivit du travail et le nombre de travailleurs.

@ La croissance co est conditionne par une pargne abondante et la libert des changes

@ ;)avorablement des mercantilistes au niveau du protectionnisme vue que le capital (A$ est

dtourn vers lemploi le plus producti).

@ La C./ est achemine comme suit les A% se )orment et sinvestissent dans lagriculture qui

devient moins rentable puis sorienter vers les manu)actures et la )in ces A% seront attirs par le

commerce e%trieur.

@ ;ans la ralit lvolution du commerce e%trieur et lindustrie engendrent le dveloppement de

lagriculture

@ our icardo la C/ demande un tau% de pro)it lev, si un A est rentable on aura un pargne

lev &B la C/ serait assure par laugmentation de lemploi et lamlioration de techniques de

production.

@ les dbouchs e%trieurs nin)luencent pas la C/, mais ils permettent davoir avec la m*me >t

de travail national une plus grande >t de biens trangers.

@ Le%portation des A% rduit lemploi lintrieur de l/tat.

@ La diminution du tau% de pro)it menace la C/ par contre elle est une loi )ondamentale pour

lvolution co.

@ Le dveloppement de machinisme et lagronomie amliore le rendement des terres surtout avec

le libre change des grains qui emp*che laugmentation des pri% et vite la diminution du tau% de

pro)it.

@ Le machinisme engendre le ch6mage diminution de lemploi & )aiblesse du rgime capitaliste

7 Le commerce e%trieur

@ Lorsquun pays achte de ltranger cela veut dire que ces produits sont moins chers

ltranger.


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@ La libert du commerce permettra de conqurir ltranger les dbouchs ncessaires

lindustrie.

@ Lorsquun produit dun secteur industriel dpasse la demande nationale, il doit *tre e%port.

@ >uand il ya une saturation de capitau% dans un pays, le%cdent doit se%porter vers le%trieur.

@ Le libre change avantage tou+ours le pays qui le pratique vue quil garantit lquilibre de la

balance des comptes.

@ Les pays d)icitaire (mois dor$ les pri% baissent stimule les / et )reine les 3D linverse les

pri% augmentent )reine les / et stimule les 3D.

LES SOCIALISTES :

@ Lapport des socialistes la pense co est domin par lanalyse mar%iste.

@ Le systme capitaliste est un mode de production )ond sur le%ploitation de la )orce de travail.

@ our eu% la socit se compose de 9 classes la classe ouvrire qui ne possde que sa )orce de

travail et la classe capitaliste qui possde les moyens de production et achte la )orce de travail des

proltaires ('uvriers$ et dirige la production.

@ Lconomie repose sur lchange de DEses dont la valeur reprsente la quantit de travail

dpense la production

@ Le travail est lunique source de la valeur, le capitaliste achte la )orce de travail de louvrier quil

paie sa valeur suivant les normes de lconomie capitaliste.

@ La di))rence entre le travail )ourni et le travail pay est appele plus value (L$.

@ Le pro)it du capital et la rente )oncire sont le%pression montaire de cette (L$.

@ Le%traction de (L$ e%prime le%ploitation de la )orce de travail pour le capital, les prlvements

ne sanalysent pas comme un vol.

@ Laboutissement de ce processus est la pauprisation de la classe ouvrire, les crises de

surproduction, et lentre dans l/tat stationnaire.

@ our les classiques, les prlvements obissaient au% lois naturelles, le (=F$ re5oit ce qui est

ncessaire sa subsistance, et le propritaire dune terre )ertile per5oit un loyer plus lev, suivant

lanalyse mar%iste le caractre historique (e%ploitation$ domine le caractre naturel.

;ans le parcours historique le (DA$ montrent des contradictions qui emp*chent son

)onctionnement

G La pauprisation de la classe ouvrire les travailleurs mnent une vie misrable, cela devient

insupportable et doit conduire la prise de pouvoir par le proltariat. Le progrs technique )era

chuter la demande de travail et laugmentation du ch6mage qui est une condition de le%pansion de

lco Ate.

Hrace lamlioration des revenus des =rs dans les pays industriels, la pauprisation nest que


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relative, ce qui )ait lidiologie rvolutionnaire ne sest gnralise la classe ouvrire une partie de

celle2ci sest m*me embourgeois.

'n relve la priphrie un proltariat au% conditions encore plus misrable que celui de

lIngleterre ou La Jrance au #" sicle et ces conditions qui attirent les (Ates$ et qui tendent le

DA dans ces rgions ou se pro)itent des conomies mergentes potentiellement concurrentes au%

conomies de centre qui ont aussi relev un certain retour la pauprisation dun c6t

laugmentation du ch6mage la diminution des salaire et la protection sociale et dautre c6t la

poursuite de laccumulation des capitau% et la hausse des pro)its

G Les crises de surproduction la cause des crises et linsu))isance de linvestissement (3$, l(3$

est e))ectu pour raliser des pro)its et non pas pour satis)aire les besoins des consommateurs.

La surproduction survient vue que la construction des quipements obit la recherche des pro)its

plus qu la rponse au% besoins des humains.

G La tendance la baisse des tau% de pro)it la baisse des pro)its dcouragera laccumulation

des capitau% et signalera lentre de l/tat stationnaire, le = va peser sur la composition organique

du A si le tau% de L reste inchang le tau% de pro)it baisse ncessairement quand le A investi

par (=rv$ augmente.

Le maintien du tau% de pro)it e%ige daugmenter la L e%traite de chaque =F.

&BLe commerce e%trieur peur ralentir cette baisse en donnant des occasions de )aire dimportants

pro)its. Les e%portations acclrent laccumulation du A et donc le = ce qui va relancer la tendance

a la baisse des tau% de pro)it.

&BLes dbouches e%trieurs +ouent le r6le de%utoire pour le%cs de production et de capitau%.

CE QUI RESTE DE MARX :

La +ustice des vues elle est avre pour le dveloppent de la production de masse, la concentration

des /Eses, le r6le de technologie et en)in laccumulation du capital

ar e%emple au% /K entre 9 et 9MMMon remarque une )orte croissance et la rduction de

larme de rserve des ch6meurs, ce qui diminue la pro)itabilit des /Eses.

Le co


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&BLe duopole qui se distingue par un pri% in)rieur celui du monopole

&BLaugmentation du nombre de producteurs engendre le cas de la concurrence marque par

laugmentation de la production et la baisse des pri%

G Iu niveau de la production (roductivit Darginale$

&BLe principe de la variation des proportions de )acteurs et la substitution )actorielle est pos.

&BLa productivit marginale des )acteurs dt Dg& >t de A (le travail est constant$.

&B dt Dg de =& >t de = (capital est constant$

G Iu niveau de la consommation (Ktilit Darginale$

&BLa philosophie de Rentham qui pr6ne la ma%imisation des plaisirs et la minimisation des peines

&BA. Denger parle de la satis)action des besoins que de ma%imisation des plaisirs.

&BLa consommation nous procure le plaisir dun bien en contrepartie du sacri)ice par le paiement

de son pri%

&BKne o))re de travail et lobtention du salaire reprsente la c6t plaisir ou +ouissance, et le))ort

)ourni et la )atigue cest le c6t sacri)ice.

&BConcernant lchange des biens on sacri)ie une unit de son bien qui rapporte plus que lunit

de bien change avec lautre partie ('n parlant donc de lutilit$.

=horie de la Faleur

G Critique de la thorie de la valeur travail

Les ides des noclassiques visaient combattre la thorie de la valeur travail

&BLe travail ne peut *tre la cause de la valeur car la dpense de travail prcde le moment ou le

bien est consomm.

&Bour les noclassiques, cette loi manque de gnralit elle sapplique seulement au% ob+ets

base de travail.

&BLe rapport pri% quantit de travail nest pas vident.

&BLutilit et la raret remplacent cette loi e% (le diamant$

&BLa valeur che4 les noclassiques est re)lte par la valeur du produit et che4 les classiques la

valeur est re)lte par sa valeur en travail.

G La nouvelle =horie de Faleur

&Bla nouvelle interprtation de la valeur dchange est donne partir de lutilit marginale, donc

lutilit marginale baisse en )onction de laugmentation de la quantit, vu que chaque augmentation

satis)ait un moindre besoin.

&BLa consommation tend normalement se procurer des quantits des besoins telles que les

rapports des utilits des biens acquis soient gau% au% rapports de leurs pri% (/% # lait, pain$.

&BLa thorie noclassique de la consommation a+oute que lindividu adapte continuellement ses

achats au% pri% de telle sorte que la satis)action quil obtient soit ma%imise.

G Critique de la nouvelle loi de valeur


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Cette loi +usti)ie le changement qui intervient les rapports des pri% des biens.

/% changement du rapport de pri% des produits industriels au% produits agricoles

/%plication par 9 coles

- /cole Classique baisse du co

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