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Ruxandra PETROVICI CURS LB. FRANCEZA Anul II, sem. 2 1

CursFranceza Anul II 2013-2014 Sem.2

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Franceza

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Ruxandra PETROVICI

CURS LB. FRANCEZA

Anul II, sem. 2

ManagementMots cl:

mangement n.m. = management

manager n.m. = managermanager vb. I-re groupe = a conduce

manager n.m. = administrateur, directeur, entraneur

management n.m. = administration, conduite, grance, gestion

managervb.=administrer, commander, conduire, contrler, coordonner, diriger, faire marcher, grer, gouverner, organiser, planifier, prvoir, rgir, rglementer, prescrire

Prenons le verbe diriger, synonyme du verbe manager:

Mode indicatif

Prsent

je dirige

tu diriges

il dirige

nous dirigeons

vous dirigez

ils dirigentPass compos

jai dirig

tu as dirig

il a dirig

nous avons dirig

vous avez dirig

ils ont dirigFutur simple

je dirigerai

tu dirigeras

il dirigera

nous dirigerons

vous dirigerez

ils dirigeront

Imparfait

je dirigeais

tu dirigeais

il dirigeait

nous dirigions

vous dirigiez

ils dirigeaintPlus-que-parfait

javais dirig

tu avais dirig

il avait dirig

nous avions dirig

vous aviez dirig

ils avaient dirigPasse simple

je dirigeai

tu dirigeas

il dirigea

nous dirigemes

vous dirigetes

ils dirigrent

Le management peut tre dfini comme action, art ou manire de conduire une organisation, de la diriger, de planifier son dveloppement, de la contrler (Thietart, 1980) ou comme art datteindre des objectifs laide des autres/grce aux autres/par lintermdiaire des autres.

Il y a diffrentes formes de management:

A. Le mouvement classique du management1.la thorie administrative (Henry Fayol) part de lhypothse quil existe une manire idale dorganiser le travail. Lentreprise est perue comme tant une grande machine gouverne par des lois universelles:

spcialisation des tches

standardisation des oprations

uniformit des procdures

limitation de la supervision et du contrle

centralisation de la prise de dcision

organisation par dpartement

2.le gestion scientifique (Taylor, Babbage, Gantt, Gilbreth) se propose de dfinir de faon trs prcise la manire selon laquelle les tches doivent tre organises:

rechercher la meilleure mthode pour raliser une tche

slectionner lindividu capable daccomplir la tche

le former la mthode particulire retenue

mettre en place un systme dincitation financire en fonction du travail ralis

sparer les tches de planification et dexcution entre le responsable et son subordonn.

les hommes sont considrs comme les adjoints des machines

leurs mouvements, leur fatigue, leur temps de rcupration, leur comportement sont perus comme pouvant tre analyss scientifiquement.

B. Le mouvement moderne1. la thorie de lquilibre organisationnel (Barnard, Simon, Merton) met laccent sur lchange dlicat entre les compensations (salaire, rcompenses matrielles ou psychiques) et les contributions (travail, dvouement).

2.les relations humaines (E. Mayo, Agyris, Mac Gregor, Likert, Maier) considre quil faut favoriser linteraction entre individus et la dcentralisation. De ce mouvement fait aussi partie la thorie de Mac Gregor (la thorie X et la thorie Y) et celle de Galbraith qui parle du degr dincertitude.

Les activits principales du management sont:

I. la planification (planificarea)

II. lorganisation (organizarea)

III. lactivation (activarea)

IV. le contrle (controlul)I. La Planification suppose de dfinir les tches, les articuler entre elles afin datteindre un objectif.

Mots cl:

planification n.f. = planificare

processus de planification n.m. = proces de planificare

plan n.m. = plan

stratgie n.f. = strategie

plan stratgique n.m. = plan strategic

budget n.m. = buget

De tout temps les hommes ont essay dimaginer leur futur, de faire des prvisions. La planification rpond cette proccupation. La planification est lorganisation selon un plan, selon un ensemble de dispositions adaptes en vue de lexcution dun projet. Il sagit de:

fixer les objectifs

dterminer les moyens et les ressources ncessaires pour atteindre les objectifs

dfinir les tapes franchir pour les raliser

La planification suppose de parcourir plusieurs tapes:

1. tapes prparatoires la planification:

a. le diagnostic de la situation cest--dire faire le point sur la situation laquelle on peut tre confront.

Prenons le cas dune entreprise qui sest fix comme objectif une croissance de ses ventes et selon la situation prsente elle a fait une prvision de cette croissance. Elle doit dfinir les causes de lcart et agir pour accrotre les ventes.

b. les alternativesimiter des autres:

vendre sur les marchs trangers

accrotre le nombre des vendeurs

innover

c. lvaluation des solutions dtermines dans ltape prcdente, faire un choix.

d. la dcision

Une fois la dcision prise il faut passer laction cest--dire:

dfinir les tapes permettant datteindre lobjectif

dterminer les moyens ncessaires-valuer le temps ncessaire

Ainsi, on pourrait donner les dfinitions suivantes:

la planification = processus qui commence par la formulation des objectifs et la dfinition de la stratgie des politiques et des plans dtaills pour les atteindre; qui permet llaboration et la mise en oeuvre des dcisions; qui comprend un nouveau cycle dtat, dobjectifs et dfinition de stratgies, mis en oeuvre en fonction de la performance ralise(Thietart, 1980).

le plan = engagement formel pour la mise en oeuvre dactions spcifiques (Thitart, 1980) .

la planification = ensemble de plans lis les uns aux autres et dont les dimensions diffrent (Thietart, 1980).

Les plans peuvent tre classs daprs:

la dure:

plan court terme

plan moyen terme

plan long terme

le domaine:

plan personnel

plan de production la nature:

rgle administrative mission dorganisation

le niveau:

plan de dpartement

plan dentreprise

les caractristiques: cot, degr de complexit

diverses: importance, formalisme

2. Le processus de planification suppose:

1. la formulation du plan stratgique

2. ltablissement des plans dactions moyen terme

3. la dtermination du budget

4. la rvision du plan gnral

3. Le budget est la traduction en termes montaires des objectifs des politiques et des programmes daction labors dans le cadre dun plan couvrant toutes les phases doprations et limit dans le temps. Si le budget prvu nest pas suffisant on peut prvoir des budgets additionnels ce quon appelle "rallonge budgtaire"

4. La rvision: il nest pas souhaitable que le planificateur soit aussi un valuateur

II. LOrganisation donne le support structurel ncessaire la mise en oeuvre du plan, elle tant la plus visible du management. Lorganisation, sur le plan formel va permettre:

de dfinir les tches accomplir

de regrouper les tches

dtablir les liens dautorit, de coopration, dinformation

concevoir des units de soutien qui permettront aux responsables de disposer dexpertises complmentaires

Il y a plusieurs formes dorganisation:

par produit (division machines-outils, vhicules industriels)

par fonction (dpartement finance, production, personnel)

par clientle (dpartement grand public, collectivits locales)

gographique (division nationale, internationale)

par processus de production (dpartement de fonderie, des presses, de montage)

temporelle (quipe de jour, de nuit)

On va retenir la classification suivante:

1. organisation par fonction qui suppose deregrouper les tches selon le critre de spcialisation et gnre des conflits entre dpartements

2. organisation par oprationsuppose de servir soit un projet, soit un produit, soit un groupe clientle et de mettre en oeuvre lensemble de leurs moyens pour servir les produits dont elles ont la charge.

3. organisation matricielle qui est prfrable pour la fluidit de sa forme (hpital)

Une organisation peut avoir une

1. structure dcentralise

2. structure centralise

3. structure coordonne

Ou on pourrait parler de:

1.organisations oprationnellesle line (engl.) chargs des oprations

2. organisations fonctionnelles le staff (engl.) units de services

III. LActivation signifie

donner vie lorganisation

animer les hommes

rsoudre les conflits, aider la ngociation

suivre et dvelopper lorganisation afin den faciliter son volution

Il y a cinq domaines majeurs de lactivation:

1. la motivation des hommes

2. le pouvoir, lautorit, linfluence

3. le conflit et la rsolution des conflits

4. le commandement

5. la transformation1. la motivation

a)la thorie classique considre que largent est llment le plus motivant, y compris le systme de bonus, les primes la productivit, lintressement des travailleurs aux rsultats de lentreprise

b)la thorie des besoins classifie les besoins en besoins

physiologiques: se nourrir, se vtir

de scurit: sabriter

sociaux: se faire des amis

destime: tre respect

dactualisation: se dvelopper

c)la thorie des deux facteurs suppose lexistence des

1. facteurs extrinsques = facteurs dinsatisfaction ou facteurs dhygine.

2. facteurs intrinsques= facteurs de satisfaction ou facteurs de motivation.

d)la thorie des pulsions suppose le dsir de tout homme de maximiser son plaisir ou minimiser sa peine.

e)la thorie des attentes insiste sur la prfrence dun individu pour un certain rsultat, sur le fait quune action donne sera suivie dun rsultat particulier.

f)thorie de lquit met en valeur le rapport entre le travail et la compensation.

2.le pouvoir est dfini comme la facult dun individu ou dun groupe dindividus de faire faire un autre individu ou groupe dindividus quelque chose quils nauraient pas fait sur le propre initiative.

3.les conflits / ngociation seront rsolus par la persuasion, la coopration ou la conciliation.

4. le style de commandement

Thietart, Le Management, PUF, 1980 p. 905. la transformation

On a essay plusieurs modalits de transformer les gens. On peut rappeler le T-Group, le groupe de confrontation, la mthode des 6 chapeaux de Bono, la programmation neurolinguistique.IV. Le Contrle suppose de vrifier si tout se passe comme prvu et de sassurer que les rsultats soient conformes aux objectifs.

Types de contrle

1.contrle classique suppose quon a de linformation suffisante et quon sait aussi qui est le responsable.

2.contrle cyberntique (units autocontrles)

3.contrle anticip les rsultats sont prdits et laction corrective mise en oeuvre avant que lopration soit entirement termine.

4.contrle "a posteriori"

5.contrle oprationnel

6.contrle stratgique (contrle de projets)

Le processus de contrle suppose:La perception

1. slection du standard et fixation de son niveau

2. comparaison entre le rsultat observ et le standard

La raction

3. action corrective

Organisation du contrle

Face la raction des hommes au contrle, pendant la mise en oeuvre du contrle il faut faire attention la variation de la performance et aborder plutt lapproche participative.

Alors, le manager soccupe de la planification, de lorganisation, de lactivation et du contrle.

Henry Mintzberg dans son ouvrage Le Management, 1992 considre que les rles du manager sont:

Il y a plusieurs types de dirigeants:

1.PDG autoritaire cest le chef, celui qui donne des ordres, qui interdit ou autorise.

2.PDG timide cest celui qui maque dassurance, qui sexcuse en permanence, qui a toujours peur de dranger.

3.PDG conseilleur cest lami, toujours prt conseiller, suggrer, proposer, donner des avis.

4.PDG rleur cest le rouspteur permanent, celui qui nest jamais content, jamais daccord, qui narrte pas de sa plaindre, de dsapprouver.

Note de service

Le Directeur des Editions Scientifiques Legrand l'attention de Messieurs les Chefs de Service.

Les statistiques publies par notre service de comptabilit pour le deuxime trimestre de l'anne en cours (Avril-Mai-Juin) montrent un flchissement assez important de nos ventes l'exportation. La baisse, extrmement rgulire,a commenc au milieu du trimestre pour atteindre 7,4% par rapport au trimestre correspondant de lanne dernire.Cette dgradation ne peut en aucun cas s'expliquer par une baisse saisonnire de la demande qui se produit gnralement au cours de lt. Il est peu probable qu'elle puisse tre le rsultat de la concurrence trangre puisque, dans le cas de notre production, personne ne peut entrer srieusement en comptition avec nous.J'aimerais que chacun d'entre vous ouvre une enqute qui nous permette de trouver les causes de ce ralentissement et me fasse des suggestions qui nous mettent en mesure d'y porter remde. Je souhaite recevoir l'ensemble de vos rapports avant la fin de ce mois.Sans tre pessimiste, je pense que nous devons agir trs rapidement pour faire face cette mvente ; pour rtablir l'quilibre du produit de nos ventes, je propose qu'un effort accru soit fait pour procder une relance de nos exportations ds maintenant bien que nous soyons en t, priode habituellement la moins favorable.D'avance, je vous remercie.Le 10 juillet 1977l'anne en cours = anul n curs

flchissement = scdere

la baisse = scdere

atteindre = a atinge

dgradation = degradare

saisonnier, saisonnire = sezonier,sezonier

concurrence = concuren

concurrencer = a concura

tranger,trangre = strin,

ralentissement = ncetinire

mvente = vnzare proast

accru, e = crescut,

relance = relansare

ds maintenant = din acest moment

d'avance, je vous remercie = v mulumesc de pe acum

La consommationMots cl:

Consommer vb. = a consuma

Consommation n.f. = consumConsommateur n.m. = consumator

Consommer cest utiliser des biens ou des services dans le but de satisfaire un ou des besoins. Alors consommer cest manger, se loger, se vtir, se chauffer, se soigner, suivre des cours lcole, aller au cinma, au thtre chez le coiffeur, faire du sport, voyager.

Les consommateurs peuvent tre, soit les mnages soit les entreprises.

Pour pouvoir tre consommateur, il faut avoir quoi consommer (les produits) et aussi avoir les moyens pour se procurer les produits dont on a besoin.

On peut consommer:

des biens (matriels): biens durables: automobile

biens non-durables: pain, fruits

des services(immatriels): - blanchisseur, teinturier, mdecin,

- compagnies dassurance, banque

des services et des biens gratuits: enseignement, entretien des rues

des services et des biens acquis sur le march

Les produits sont les rsultats de la production dune entreprise. Ils seront gnralement vendus un grossiste qui les stocke et puis ils arriveront aux clients par lintermdiaire dun dtaillant. Un grand rle est aussi jou par le marketing: la promotion et bien sr le prix qui influencent vivement la consommation.

La consommation:1.On va distinguer la consommation finale, la consommation intermdiaire et la consommation de capital fixe (ou amortissement).

La consommation est dfinie comme lusage dun bien pour satisfaire un besoin.

La consommation finale est lusage dun bien (ou valeur des biens) destin satisfaire directement les besoins.

La consommation intermdiaire est lusage des biens utiliss par lentreprise pour produire et qui disparaissent, sous leur forme initiale, au cours de lactivit de production. Ces biens (matires premires nergie, produits semi-finis) sont incorpors aux produits fabriqus par lentreprise.

La consommation de capital fixe est dfinie comme lutilisation de biens durables au cours du processus de production (gnralement value par le montant des amortissements).

2. On fait aussi la diffrence entre la consommation marchande et la consommation non-marchande (vandabil) ou hors du march (nevandabil).

La consommation marchande est la consommation de produits (biens ou services) offerts par les entreprises sur le march moyennant un prix couvrant leurs cots de production et leurs assurant un profit suffisant. Elle dpend de la perspective du profit et du niveau des revenues des mnages.

La consommation hors march peut tre:

a. lautoconsommation

consommation des lgumes de son jardin

suivi des leons des enfants par les parents

prparation des repas, mnage, lavage, repassage

utilisation du logement dont on est propritaire

b. le troc

change de services entre voisins

changes entre coliers, pensionnaires, prisonniers, soldats

changes entre colons loigns des centres urbains et de leurs rseaux bancaires

c.la consommation des services non-marchands cest--dire la consommation de services fournis en dehors du march par les administrations publiques ou par des associations (enseignement, consultation dans une centre de Protection Maternelle et Infantile, service de police, activit dun centre culturel, entretien des routes, clairage public)

La consommation non marchande dpend des sources de financement: impts, cotisations sociales.

3. Un bien ou un service peut tre consomm par un seule personne consommation individuelle (aliments, coupe de cheveux) ou par un grand nombre de personnes sans que la consommation diminue celle des autres consommation collective (cours, programme de tlvision, voyage en train, visite dans un muse).

Les revenus

Dautre part, il faut avoir largent ncessaire pour acheter les produits dont on a besoin ou on a envie, cest--dire avoir un revenu qui nous permette lachat. La consommation dpend: du revenu prsent (venitul actual), des revenus futurs (veniturile ulterioare), du revenu relatif (venitul relativ) et du niveau des prix (nivelul preurilor).

Ainsi le niveau de consommation dpend du niveau de vie.

On peut mesurer le niveau de vie par:

1) Indicateurs quantitatifs: consommation alimentaire, quipement en biens durables.

2) PIB (produit intrieur brut) = PIB / habitant (nombre dhabitants du pays)

Du point de vue de lindividu le niveau de vie est influenc par le revenu.Le revenu primaire est le revenu li la participation lactivit de production.

- revenu du travail (le traitement, la solde, le salaire, le cachet, lhonoraire, la commission)- revenu de la proprit (le fermage, lintrt, le loyer, le dividende)

- revenu mixte (bnfice de lentrepreneur individuel, lhonoraire)

Le revenu disponible est le revenu la disposition de son titulaire aprs payement des prlvements obligatoires et encaissement des revenus sociaux.

Le revenu social de transfert est le revenu obtenu sans contrepartie (allocations familiales protection sociale, services publiques) et attribu en fonction de critres sociaux.

Du point de vue de la collectivit:- nulle socit ne peut consommer plus quelle produit

- elle peut sendetter pour maintenir son niveau de vie- un pays peut prlever sur son patrimoine.

Le niveau de vie moyen dpend du niveau de production du pays et de la modalit de rpartition. Pour avoir un revenu il faut travailler, entreprendre, investir.

Le nombre de demandeurs demplois est dtermin par la population totale (structure par ge), ge de retraite, dure des tudes, nature des tudes, qualification professionnelle.

Loffre demplois des entreprises dpend du progrs technique, de la dure du travail, du niveau des salaires, de la nature des postes de travail, du niveau de la demande que reoivent les entreprises.

Loffre et la demande se confrontent sur le march du travail. Les offres et aussi les demandes sont diffrencies.

La monnaie

La monnaie est un bien qui assure la fois les fonctions dintermdiaire dans les changes, dinstrument de mesure des valeurs et de rserve de valeur.

Avant la cration de la monnaie on utilisait le troc, cest--dire lchange des marchandises contre dautres marchandises. Rarement un vendeur pouvait trouver un acheteur qui lui fournisse en change exactement les biens dont il avait besoin. Alors il devait de nouveau vendre ce produit pour qu la fin il puisse obtenir les biens qui lui taient ncessaires. Alors on a cherch un bien qui puisse tre chang pour nimporte quel produit. On a cre "la monnaie". Plusieurs biens on servi de monnaie: le sucre, le btail mais surtout les mtaux prcieux, facilement divisibles, aisment stockable pour de longues priodes. Les premires monnaies avaient la valeur de la matire qui les constituait. Aujourdhui la valeur des monnaies est suprieure la valeur dchange des matires premires qui les constituent.

Diffrentes formes de monnaie:

1) monnaie divisionnaire: pices mtalliques

2) monnaie papier: billets de banque

3)monnaie scripturale: ensemble des montants sur les comptes vue des banques et des chques postaux.

Quelque fois on se pose le problme de savoir combien de monnaie il y a dans un pays. On parle alors de Masse montaire (mas monetar). Au sens troit la masse montaire est constitue par les disponibles montaires: pices et billets de banque et dpts vue. Au sens large la masse montaire est la monnaie au sens troit plus certains placements.

LInflation (inflaia) est la hausse durable (creterea constant) et autoentretenue (autontreinut) du niveau gnral des prix.

La banqueLa banque est un organisme:

A.o on dpose largent (on fait des dpts rapportant un intrt). La banque remet un carnet de chques pour rgler les comptes.Ainsi les banques attirent ce qui constitue leur matire premire.

B.qui accorde des crdits, cest--dire prt de largent remboursable une chance donne. Le dbiteur, cest--dire la personne qui a obtenu un crdit dune banque doit rembourser le nominal du crdit augment des intrts. La banque accorde des crdits aussi des personnes physiques et aux agents conomiques qui ont besoin de capitaux pour se dvelopper.

C.qui gre les moyens de paiement. Les banques assurent leurs clients la libre disposition de moyens de paiement ncessaires des transactions (chques, cartes de paiement et de crdit, virement).

Les montants inscrits dans les comptes des banques ne sont pas quivalents aux montants des billets dposs par les clients des banques. Les banques peuvent crer de la monnaie parce quelles accordent des crdits.

Les banques peuvent accorder des crdits suprieurs aux dpts parce que:

1)les dpts prsentent une certaine stabilit, gnralement les retraits ne reprsentent quune faible partie du total des dpts. En plus, on assiste lextension la gnralisation des rglements par chque, carte bancaire, ou virements fait qui a entran la rduction des transactions payes en billets ou en pices.

2)en cas de besoin, les banques peuvent se procurer des liquidits en recourant au march montaire (changer des crances sur des clients contre des liquidits en payant un taux de rescompte) ou au rescompte auprs de la Banque Nationale.

On peut classer les banques:

1) selon leur statut juridique:

banques en socit anonyme, banques dites AFB (Association franaise des banques), comme BNP, Socit gnrale ou CIC

banques mutualistes comme Crdit agricole, Crdit mutuel ou Banques populaires

les institutions financires spcialises (caisse de dpts, Crdit foncier, CEPME)

Il faudrait y ajouter les Caisses dpargne et les services financiers de la Poste.

2) selon leurs mtiers:

banques de dpts

banques daffaires (banques spcialises dans la clientle des entreprises et dans lintervention sur les marchs; elles se concentrent sur les oprations de conseil et certaines oprations boursires)

banques de march, spcialises dans les activits sur les marchs financiers, marchs o schangent les valeurs mobilires (actions et obligations).

Services bancaires:- ouvrir un compte bancaire qui sert au: retrait en espces, rglements des dettes, envoi au crancier

virement de compte compte automatique ordre donn une fois pour toutes avec des chances priodiques pour le versement des salaires, pour le paiement des quittances de gaz, lectricit, tlphone, eau, radio, tlvision.

- carte de crdit; de paiement.

- paiements de dpannage permet le retrait dans des siges autres que celui o est tenu le compte

- lettres de crdit et accrditifs, chques de voyage qui facilitent les transferts pour se procurer des moyens de paiement ltranger

- crdits: court terme (jusqu deux ans), moyen terme (le dlai de remboursement, max. 7 ans), long terme (10-15 ans)

* garanties / sans garantie: crdit en blanc

crdits lexportation

crdit-bail: mobilier et immobilier

crdits par signature

crdits personnels

crdits la consommation

assurance vie

crdits pour les jeunes (prt tudiant, dcouvert autoris, compte dpargne logement)

crdits pour les entreprises

Le chque bancaire

Aprs avoir ouvert un compte bancaire, la banque doit nous remettre un chque bancaire.

Le chquier ou carnet de chques contient un certain nombre de chques qui sont forms de deux parties : un volant qui reprsente ce que l'on appelle gnralement un chque , et le talon ou souche, qui reste dans le chquier et permet la vrification des oprations.

Le bnficiaire du chque peut tre le tireur lui-mme; il libelle son chque en crivant Payer l'ordre de moi-mme. Si le libell indique Payez l'ordre du porteur, le chque, appel chque au porteur, est payable toute personne qui le prsente l'encaissement. Mais, trs souvent, les chques sont nominatifs, c'est--dire que l'on dsigne le nom du bnficiaire sur le chque : Payez l'ordre de Monsieur Grard. Si le chque est barr, Monsieur Grard ne pourra pas l'encaisser directement. C'est sa banque qui le fera pour lui. Si le chque ne porte pas la mention non ordre, Monsieur Grard pourra endosser le chque.

videmment, pour tirer un chque, il faut avoir un compte qui offre un solde crditeur, c'est--dire avoir un dpt suffisant la banque. Si l'on tire un chque sans provision c'est--dire si l'on n'a pas assez d'argent en compte pour couvrir le montant du chque, on est dcouvert . Celui qui n'a pas l'accord de la banque pour tirer un tel chque est passible des peines prvues par la loi. C'est pourquoi les titulaires de comptes bancaires doivent approvisionner leurs comptes. Dans le cas ou un chque disparat, soit parce qu'il a t perdu, soit parce qu'il a t vol, le tireur, prvenu, fait opposition ce chque. Personne ne peut alors l'encaisser.

Le chque n'est pas le seul moyen d'changer de l'argent en vitant la manipulation d'espces. L'ordre de virement est une autre forme de transfert des sommes de compte bancaire compte bancaire. En ce cas, le tireur remet l'ordre de virement sa banque.

La banque envoie rgulirement, gnralement tous les mois, un extrait de compte qui permet au titulaire du compte de vrifier l'ensemble des oprations effectues au cours du mois.

Les effets de commerce

Les vendeurs accordent souvent un crdit certains clients. Ils permettent ces clients de payer les marchandises qu'ils achtent aprs un dlai plus ou moins long, en effectuant des rglements terme. Ces dlais de paiement favorisent les ventes car les clients peuvent obtenir immdiatement la marchandise et rpartir les efforts financiers que cause l'achat en talant les paiements sur plusieurs mois.

La lettre de change, ou traite, et le billet ordre , sont les deux effets de commerce couramment employs pour les rglements terme.

Lorsque le tireur, c'est--dire le vendeur, signe une lettre de change il demande au tir, c'est--dire l'acheteur, de lui payer une certaine somme une certaine date ou chance. Le tireur est alors lui-mme le bnficiaire. Mais il peut aussi demander au tir de payer la somme un autre bnficiaire que lui-mme. Si le tireur a contract une dette envers quelqu'un, il peut la faire payer directement son crancier par le tir qui a contract une dette envers lui. Evidemment, demander au tir de payer n'est pas suffisant. Il faut que le tir accepte de payer, c'est--dire qu'il signe l'acceptation de payer la somme due la date prvue. Si le tireur n'est pas sr de la solvabilit du tir, il peut demander des garanties de paiement. Le tir fait avaliserla lettre de change, c'est--dire qu'il demande un tiers, ou plus rarement au tireur lui-mme, de s'engager payer l'effet l'chance, aux lieux et place du tir en cas de dfaillance de celui-ci. L'avaliseur, c'est--dire le garant, peut signer directement la lettre de change sous la mention bon pour aval. Il peut aussi donner son aval par un document spar. La domiciliation de la lettre de change, c'est--dire le lieu o elle est payable, est souvent une banque ou un compte-courant postal.

Grce sa souplesse d'utilisation, la lettre de change est trs souvent utilise, contrairement au billet ordre. En signant un billet ordre, l'acheteur s'engage payer une certaine somme au vendeur, le bnficiaire, une certaine chance. Le billet ordre ressemble donc une reconnaissance de dette. La lettre de change, comme le billet ordre sont soumis au droit de timbre. Les deux documents peuvent tre endosss. Comme leur dlai de paiement est long, ils peuvent tre endosss plusieurs fois.

Ces deux effets de commerce peuvent tre ngocis c'est--dire vendus une banque avant la date d'chance. La banque escompte les effets proposs. Il est vident qu'une somme due terme est augmente d'intrts. Lorsqu'elle escompte les effets de commerce, la banque retient un agio qui comprend les intrts de la somme due jusqu' la date d'chance, une commission, c'est--dire le prix du service rendu, le change de place lorsque l'effet est payable ailleurs qu' la banque elle-mme, et un certain nombre de frais, selon le type d'effet.

Risques bancaires:

1) risque de signature, insolvabilit dun emprunteur

2) risque dilliquidit

3) risque de march, li aux fluctuations des taux de change, des cours de Bourse.

Dans ce contexte, le crise dune banque peut entraner des problmes pour les autres banques: on parle de leffet chteau de cartes ou leffet domino.

Pour financer son activit, une entreprise a deux possibilits:

soit elle cherche ses capitaux la Bourse finance directe (entreprises anglo-saxonnes)

soit elle passe par des intermdiaires financiers finance intermdie (France, Allemagne, Japon).

Lchange

Beaucoup de socits taient autarciques, cest--dire replies sur elles-mmes, cest--dire elles neffectuaient que de rares changes avec dautres socits. Ctait le cas de pays de lEst, des pays communistes.

Aujourdhui on a du mal concevoir des pays qui naient pas des rapports commerciaux avec les pays voisins et les pays du monde entiers.

On parle dchanges internationaux ou dchanges extrieurs.

Quand une entreprise vend des marchandises ltranger ou dit quelle exporte, quelle fait des exportations. Quand elle achte des marchandises trangres, ou dit quelle importe, quelle fait des importations. Comme suite aux importations et exportations, les entreprises doivent faire des changes montaires. Mais ce ne sont pas les seules oprations qui impliquent lchange. On fait appel aux changes montaires quand on voyage, quand on vent investir dans un autre pays.

Le rapport auquel schangent deux monnaies est appel taux de change (rat de schimb). Lorsque le taux de change est fix par ltat ou peut parl de taux de change fixe (rat de schimb fix).

Quand les autorits montaires dcident de modifier la parit des monnaies on parle de rajustement montaire.

Quand ltat dcide de modifier la valeur de la monnaie, on parle de rvaluation.

Aujourdhui on ne peut plus parl de taux dchange fixe. Le taux dchange rsulte de la confrontation sur le march financier des demandes et des offres. On parle alors dun taux dchange flottant (rat de schimb variabil).

Pour quantifier les oprations avec des devises ou tablir la balance de paiement qui est document comptable qui rassemble les transactions avec ltranger. Elle est tablie en regroupant les oprations de nature semblable (Sous-balances).

Alors on distingue des transactions courantes et des mouvements de capitaux, (balance commerciale et balance des invisibles) alors une balance des transactions courantes et balance des capitaux ( long et court terme).

La balance commerciale peut tre quilibre ou non quilibre. Le taux de couverture exprime le rapport entre la valeur des exportations et la valeur des importations.

Echanges internationaux1. Environnement de lentreprise

LEntreprise est en relation avec:

Autres entreprises (biens et services, paiement)

Institutions financires (prts, remboursements des emprunts; dpts dargent, intrts)

Administrations publiques et prives (services gratuits ou presque, impts et cotisations)

Mnages (travail, salaires)

Le reste du monde (importations, exportations)

2. Commerce extrieur

a.types de socits

En ce qui concerne le commerce extrieur, les tats peuvent mener une politique protectionniste (protecionist) ou une politique libre-changiste (de liber schimb).

Les tats qui veulent protger leurs entreprises nationales de la concurrence trangre ont plusieurs solutions: 1. limiter la quantit de marchandises trangres importes, on dit alors que les importations sont contingentes, 2. taxer les produits lentre du territoire en prlevant des droits de douane trs levs, 3. exiger que le bien pntrant sur le territoire corresponde certaines normes trs prcises, trs difficilement tre respectes. Pouss lextrme le protectionnisme conduit lautarcie.

Les socits autarciques neffectuaient que de trs rares changes avec les autres socits; ce qui tait consomm tait produit par les membres de la socit.

Au contraire, les pays qui suppriment totalement les entraves aux importations pratiquent une politique de libre change.

Dans les socits dchange chaque pays achte et vend ltranger des marchandises, cest--dire fait des changes internationaux ou changes extrieurs Les changes internationaux sont:

- les exportations = ensemble des biens vendus ltranger par les agents conomiques dune notion, source de recettes (ncasri) provenant de lextrieur

- les importations = ensemble des biens achets de ltranger par des agents conomiques dune notion, source de dpenses (cheltuieli) lextrieur qui devront tre payes

b. enregistrements comptables

Pour quantifier les oprations donnant lieu entres et sorties de devises, les diffrents Etats du monde tablissent, une balance de paiements (balan de pli) = document comptable qui retrace lensemble des transactions avec ltranger ayant une incidence montaire.

La balance de paiements est tablie en distinguant:

1. les transactions courantes (tranzacii curente)

- balance commerciale ( balan comercial) =(exportations; importations)

-balance des invisibles (balana schimburilor de servicii) = (ngoce, services, transferts)

2. les mouvements de capitaux (micri de capital)

- balance des capitaux long terme (crdits commerciaux, emprunts, investissements directs)

- balance des capitaux court termeLa Balance commerciale peut tre:

quilibre si le taux de couverture = 100%;

dficitaire si taux de couverture < 100%

excdentaire si le taux de couverture > 100%

taux de couverture = valeur des exportations x 100

valeur des importations

La comptabilisation se fait en tenant compte du montant des importations CAF (cot, assurance, frt), et du montant des exportations FAB (franco bord)

(FAB valeur du produit sa sortie de lusine majore du cot de transfert jusqu la frontire du pays exportateur)

(CAF valeur FAB majore du cot de transport et des assurances jusqu la frontire du pays importateur)

La Balance des invisibles il y a des transactions qui procurent les devises sans passage de biens matriels aux frontires, ce sont les invisibles (transferts, dividendes, salaires, autres revenus, transfrs ltranger).

La Balance des mouvements de capitaux sorties de capitaux: prts, investissements

entre de capitaux: emprunts ltranger, investissements trangers en France

c. documents du commerce international

1. la facture pro forme = facture servant de devis indiquant ce que le prix demand couvre prcisment en termes demballage, de transport et dassurance sur la base des incoterms.

2. le connaissement (conosament) = accompagne la marchandise durant son transport. La personne qui dtient ce document est rpute propritaire des produits. Lacheteur peut procder lenlvement (preluare) de la marchandise ds quil a effectu le paiement et obtenu en change le connaissement.

3. le certificat dorigine (certificat de provenien) = mane (provine de la) dune autorit qualifie (consulat, poste) et atteste lorigine gographique dune marchandise.

4. le crdit documentaire (credit documentar) = technique de rglement dune opration commerciale dans le droulement de laquelle lintervention dun banquier mandataire de limportateur et la transmission de document reprsentatif de la proprit (ex. connaissement) apportent la scurit aux deux parties.

Prsenter son entreprise

1. prsenter les donnes matrielles:

- implantation

- historique

- superficie

- nombre douvriers et demploys

- production (nature, qualit, emballage, capacit de traitement)

- transport

- relations commerciales

2. prsenter les donnes de gestion

- types de socits

- organigramme

- CA

- situation lexportation

3. prsenter les donnes de fabrication pour un produit : - type: de marque, identifi la marque du client

- composition et fabrication

- caractristiques: physiques, chimiques, bactriologiques

- conditionnement- emballage- habillage

4. prsenter les donnes de commercialisation

- prix- quantits: par livraison, au total

- dates, rythmes, nombre de livraisons

-conditions de paiement: modalits de paiement: crdit documentaire, assurance crdit, factoring; dlais

CONTRAT DE MARCH

Rfrence:- Commission interne des marchs

- Autorisation ministrielle

Vendeur:

Acheteur:

2. OBJET DU MARCH

3. SPCIFICATIONS

- CONDITIONNEMENT: conformment au cahier des charges

- MARQUAGE ET IDENTIFICATION: conformment au cahier des charges

- COMPOSITION ET CARACTERISTIQUES: conformment au cahiers des charges

4. PRIX DU MARCH

Soit un march dune valeur globale de ............................................

5. DELAI DEXECUTION ET VALIDIT DU MARCH

( Les livraisons sont prvues comme suit:

- 1re livraison: .

- 2me livraison: ..

- 3me livraison: Chaque livraison comprend: ......................

Toutefois, des retards dordre technique pouvant survenir, un dlai de franchise est accord, la condition quil nexcde pas dix jours.

En outre, ce march restera valable concurrence des quantits prvues et jusqu la date de la dernire livraison.

6. CONDITIONS DE RCEPTION ET DE LIVRAISON

Le fournisseur sengage livrer les quantits prvues aux dates sus indiques.

La livraison effective sentend le jour darrive de la marchandise au port de dbarquement.

A la rception sengage prendre toutes les dispositions pour procder au dchargement et lacheminement des fournitures vers ses dpts, et ce aprs accomplissement des formalits douanires obligatoires et obtention du certificat dagrage par les autorits comptentes.

7. CONDITIONS DE PAIEMENT ET PNALITS DE RETARD

- ouverture de crdit documentaire irrvocable et confirm par la banque avant chaque expdition pour le montant de .........livraison payable .............................. (nombre de jours) .......................

Le retard de livraison (aprs le dlai de franchise): pnalit de retard 1% par jour sur la valeur cot et fret de la livraison concerne.

8. RSILIATION ET PROCDURES CORRESPONDANTES

Le prsent contrat devra tre scrupuleusement respect par les deux parties.

A dfaut, chacune delles se rserve le droit de le rsilier, dans le cas dun manquement grave aux clauses et conditions pouvant engendrer un prjudice certain. La partie qui prend linitiative de la rsiliation doit aviser lautre partie contractante dune manire expresse et lui signifier avec exactitude les motifs dment prouvs de la rsiliation.

9. RGLEMENT DES LITIGES

Tout litige provenant de lapplication du prsent contrat sera rgl lamiable.

Dans limpossibilit, les tribunaux seront seuls comptents.

10. LANGUE CHOISIE

Dans tous les cas, linterprtation du prsent contrat de march se fera sur la base du seul texte existant et rdig dans la langue franaise11. DATE DE CONCLUSION DU MARCH

Le prsent march est conclu en autant dexemplaires que de parties le .................

SIGNATURE DES PARTIES CONTRACTANTES:

Le vendeur

Lacheteur

3. Investissement direct ltranger peut tre dfini comme une opration par laquelle un investisseur base dans un pays (pays dorigine) acquiert un actif dans un autre pays (pays daccueil) avec lintention de la grer.

LIDE recouvre trois formes doprations: 1. participation au capital, 2. rinvestissement sur place des bnfices dune filiale implante ltranger, 3. les prts court ou long terme entre la socit mre et sa filiale.

4. Firmes multinationalesFirmes transnationales les entreprises dont le sige social se trouve dans un ou plusieurs autres pays, par lintermdiaire de succursales ou de filiales dont la stratgie et la gestion sont conues au niveau dun centre de dcision unique.

Types de firmes multinationales1. qui utilisent les matires premires qui nexistent pas ou peu sur le march national (firmes ptrolires ou alimentaires)

2. qui exploitent un avantage de position sur plusieurs marchs nationaux (secteur lectronique ou chimique)

3. qui recherchent des dbouchs sur les marchs extrieurs (firmes pharmaceutiques)

4. qui privilgient lexportation comme facteur de croissance

Exemple grile:J'aimerais que chacun d'entre vous . une enqute qui nous permette de trouver les causes de ce ralentissement et me .. des suggestions qui nous mettent en mesure d'y porter remde.Variante:

1. ouvre, fasse2. ouvrez, faire

3. fasse, ouvre

Rspuns adevarat 1.

Le protge le produitVariante:

1. conditionnement

2. positionnement3. marqueRaspuns adevarat 1...est un bien qui assure la fois les fonctions dintermdiaire dans les changes, instrument de mesure des valeurs et rserve de valeur.Variante:

1. Les pices2. La monnaie scripturale3. La monnaieRspuns adevarat 3...suppose de dfinir les tches, les articuler entre elles afin datteindre un objectif.Variante:1. La planification

2. Le contrle

3. La motivation

Rspuns adevarat 1.

style de commandement

centr sur le subord.

Autorit du suprieur

Libert d'action du subordonn

tyle de commandement

centr sur le sup.

le dirigeant laisse le groupe libre de choisir tant que certaines contraintes sont respectes

le dirigeant dfinit les limites et demande au groupe de prendre une dcision

le dirigeant prend les dcisions et les annonce

le dirigeant "vend" ses dcisions

le dirigeant prsente ses ides et demande l'avis de chacun

le dirigeant prsente une decision prt changer

le dirigeant prsente le problme, obtient des suggestion et prend sa dcision

Autorit formalise et statut

Rles interpersonnels

( le symbole

( le leader

( l'agent de

liaison

Rles lis l'information

( observateur actif

( diffuseur

( porte-parole

Rles dcisionnels

( entrepreneur

( rgulateur

( rpartiteur de

ressources

( ngociateur

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