ActionréactionJournal d'Inser'Action n°134 septembre 2016 Editeur responsable: Freddy Giele/Inser'Action asbl, 48, rue St­François, 1210 St­Josse

Les vacances d'été à Inser'action pour les grands. P22­23

Et PLOUF dans l'eau P.25

Le sport pour tous. P.35

Woauww ça vole P.24

Dans ce numéro, l'année 2015­2016 en photos!

Sommaire

Edito

Permanence psychosociale

Horaire des activités éducatives

Inser'Action côté enfants

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Page 4 à 16

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Page 22 à 36

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Cours de français pour les parents de l'ecole des devoirsAllocation d'études

L'angleterre, cet Eldorado!La place de l'enfant dans la société actuelle.

Journée de clôture.L'année 2015­2016 en photos

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Les Vacances d’été à Inser’action pour les grandsWoauww ça vole...

Et PLOUF dans l'eau...A vos fourneaux, apprentis pâtissiers.

Les castors bricoleursIsrafil au kayak

L'été des juniorsUne merveilleuse journée au Boudewijnpark

A la découverte d'un...Parlons de l'atelier informatique du vendredi avec nos

jeunes et de la responsable de FobagraLe sport pour tous

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Edito

Bonjour à tous et à toutes.

Septembre est là et la rentrée scolaire dans ses bagages.

Dans ce mensuel, Ahmed évoque la différence entre l’éducation et les valeurs actuelles et cellesconnues durant notre jeunesse.

Marie vous explique pourquoi l’Angleterre est la destination souhaitée par la majorité desmigrants.

Coralie quant à elle, vous explique notre projet d’apprentissage du français qui débutera enseptembre pour les parents des élèves de l’école de devoirs. Elle vous dit également tout cequ’il faut savoir sur les bourses d’études.

Du côté des activités éducatives, Ali donne la parole à Israfil qui raconte sa découverte dukayak lors d’une sortie avec le groupe des grands durant les activités de juillet. Il vousexplique également le déroulement des journées sportives annuelles organisées par lacommune de Saint­Josse pour ses écoles primaires.

Engin raconte une activité réalisée avec nos castors durant l’été : la création d’unemontgolfière. Il vous donne explique également l’importance du milieu aquatique pour lesenfants.

Jessica vous transmet le compte rendu de deux activités réalisées par les castors cet été, d’unepart la confection de pâtisseries et d’autre part la réalisation d’un bricolage fait de bois, declous et de laine.

Sébastien, de son côté, nous fait un récapitulatif des différentes activités réalisées avec legroupe des grands durant ces trois semaines d’activités. Il nous fait également un résumé de cequi a été réalisé durant l’année à l’atelier informatique.

Asmaa vous explique la rencontre des juniors avec les otaries du Boudewijn seapark.

Enfin, Céline vous fait également un compte rendu des activités d’été des juniors. Elle vousfait aussi découvrir un parc méconnu sur Saint­Josse, le parc de la Reine Verte.

Je vous souhaite une bonne lecture.A bientôt à Inser’Action et bonne rentrée

SteveResponsable Pédagogique

Permanence psychosociale

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Cours de français pour les parents de l’Ecole de devoirs

Bonjour à tous,

Je ne sais pas si vous avez entenduparler de la nouvelle aventure danslaquelle Inser’action se lance à partirdu 19 septembre. Jessica, MmePonnet, volontaire à l’école de devoirset moi­même animerons un grouped’apprentissage du français. Ce groupeest destiné aux parents des enfantsfréquentant notre école de devoirs. Ceprojet répond à l’une des priorités dela cohésion sociale de la commune de Saint­Josse, cette priorité est l’apprentissage etl’appropriation de la langue française en tant que citoyen actif. Nous avons voulu cibler lesparents des enfants de l’école de devoirs car nous partons du constat que certains parents ontdes difficultés avec la langue, ce qui les empêchent parfois d’aider leurs enfants et cela peutrendre difficile la communication avec l’école et le suivi de l’enfant (mots dans le journal declasse, remarques, avis, etc.)

Par l’apprentissage du français nous souhaitons faciliter l’ouverture des participants àl’extérieur, leur émancipation et autonomisation ainsi que promouvoir la solidarité etl’entraide.

Nous espérons vraiment faciliter l’accès et la compréhension du système scolaire et del’apprentissage que reçoivent leurs enfants.

Il y aura 9 heures de cours par semaine, il y aura du temps consacré à l’apprentissage de lalangue et du temps pour l’appropriation de celle­ci via des visites extérieures, des jeux, destables de discussion etc.

Le groupe se compose actuellement de sept mamans, il reste encore 3 places au minimum etc’est également ouvert aux papas.

Les cours auront lieu les lundis, mardis et vendredis de 09h30 à 12h30 et seront variables detemps en temps en fonction des sorties organisées.

Pour une année scolaire (de juin à septembre), le prix est de 20€ .

Si vous êtes intéressé(es) et que vous souhaitez vous inscrire, n’hésitez pas à passer voirJessica.

Au plaisir d’embarquer dans cette nouvelle aventure avec vous….

Coralie

L'allocation d'études plus communément « bourse d'études », est une aide financière accordéepar la Fédération Wallonie­Bruxelles aux élèves de condition peu aisée, pour l'enseignementsecondaire ainsi que pour l'enseignement supérieur.

Toutefois, elles ne sont pas octroyées automatiquement et pour cela un formulaire dedemande doit être envoyé à chaque année scolaire.

ATTENTION : 

La législation relative aux conditions d’introduction et d’octroi des allocations est en cours demodification.  Du coup, le traitement des demandes ne commencera que lorsque les nouvellesconditions d'octroi seront connues et publiées au Moniteur belge.

Auparavant, pour bénéficier d’une allocation d’études dans l’enseignement supérieur, il fallaitrépondre à certains critères académiques de réussite. Dès la rentrée de septembre 2016, cescritères seront normalement supprimés. Il n’est plus impératif de réussir pour conserver sonallocation.

En ce qui concerne le critère socio­économique, il y aura aussi normalement du changement,la nouvelle méthode de calcul du plafond de revenus à ne pas dépasser pour avoir droit à uneallocation d’études se basera sur la globalisation des revenus du ménage dont dépendl’étudiant et donc plus uniquement sur l’avertissement­ extrait de rôle.

CHEMINEMENT D'UNE DEMANDE D'ALLOCATION D'ÉTUDES

Lorsqu'une demande via un formulaire « papier » est encodée par un gestionnaire dedossiers, un accusé de réception est envoyé par courrier postal à l’allocataire avec le numérode dossier.

Via un formulaire « électronique » l'accusé de réception est envoyé immédiatement par mail.

Si des renseignements complémentaires (annexes, attestations) sont nécessaires, legestionnaire de votre dossier vous contactera.

Une notification de la décision sera envoyée par courrier, dès que la demande aura été traitéedans le courant de l’année scolaire.En cas de contestation, une réclamation doit être adressée auprès de votre Bureau régionaldes Allocations d'Études par courrier recommandé dans les 30 jours qui suivent la notificationreçue par courrier.

Il faut savoir qu’environ 165.000 demandes annuelles sont traitées par ordre chronologique deréception. La priorité est donnée aux formulaires électroniques qui peuvent être déjàintroduits à partir de maintenant. 

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Allocation d’études

SUIVRE L'ÉVOLUTION DE VOTRE DEMANDE :

En appelant le Call Center au 02 413 37 37 et en encodant le numéro de votre dossier, vouspouvez suivre l’état d’avancement ou statut de votre demande, 24 heures sur 24 et 7 jourssur 7.

Sur le site internet, vous pouvez également suivre l’évolution de votre dossier.

En cas d'acceptation de votre demande d'allocation d'études, celle­ci sera verséeautomatiquement sur votre numéro de compte, c’est pourquoi il ne faut pas oublier de lerenseigner pour ne pas perdre de temps.

Si vous souhaitez plus d’informations n’hésitez pas à aller visiter lesite : http://www.allocations­etudes.cfwb.be/ ou à passer à la permanence d’Inser’action. Deplus, Ahmed et moi nous pouvons vous aider à remplir le formulaire papier ou le formulaireen ligne. Pour le formulaire électronique, il faut absolument vous munir de la carte d’identitédu chef de ménage pour les demandes du secondaire ainsi que de son code pin et pour lesétudes supérieures, c’est la carte d’identité de l’étudiant qui est nécessaire ou alors si vousdisposez déjà d’un compte citoyen Cerbère le nom d’utilisateur et le mot de passe sontnécessaires pour se connecter et pouvoir remplir le formulaire. Il faut également parfoisjoindre des attestations telles qu’une attestation d’invalidité à 66%, une attestation derevenus du CPAS, etc.

Coralie

Sources :http://www.allocations­etudes.cfwb.be/

http://bruxelles­j.be/etudier­se­former/enseignement­superieur/obtenir­une­allocation­detude­dans­lenseignement­superieur/

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Depuis le début de mon travail à Inseraction dans lecadre du projet d’accompagnement des MineursEtrangers Non Accompagnés (MENA), je n’aimalheureusement (ou heureusement) pas encore eul’occasion de croiser beaucoup de MENA lors demes rondes.

Néanmoins, j’en ai rencontré quelques­uns et parmi eux, unjeune égyptien de 16 ans que je vais appeler Elias.

Un matin j’ai reçu l’appel d’un travailleur social de Latitude Nord, un centre de jourqui accueille les personnes sans­abri. C’est un endroit où ils peuvent aller prendre un café lematin et être au chaud (quand il fait froid), Il y a également une permanence psychosocialequi assure un suivi pour les personnes qui le désirent. Parmi les sans­abri, il y a de plus enplus de personnes sans­papiers dont des MENA qui pour des raisons de sécurité rejoignentune bande d’adultes. Dans le cadre de notre collaboration, et comme ils ne peuvent pasaccueillir des MENA dans leur centre, ils me contactent lorsqu’il y en a un qui se présente àleur porte.

C’est ainsi que j’ai rencontré Elias. En discutant avec lui, avec l’aide d’Ahmed pour latraduction, il nous a confié que cela fait un an qu’il est sur le chemin de l’exil et qu’il a pourobjectif de se rendre en Angleterre. Il a ajouté qu’il sait très bien qu’il n’a aucune chanced’avoir les papiers là­bas, étant donné  qu’il vient d’un pays « en paix ». Mais il compteprofiter de son statut de mineur comme il le pourra. En effet, les mineurs de manièregénérale et donc aussi les mineurs étrangers non accompagnés bénéficient d’une protectionspéciale en Europe, on ne peut pas les renvoyer dans leur pays d’origine et ce jusqu’à leurmajorité. Ils sont donc traités comme les autres enfants, avec des droits mais aussi desobligations qu’ils doivent remplir comme l’obligation scolaire.

Elias n’est pas le seul jeune à vouloir rejoindre l’Angleterre à tout prix. « J’essaye tous lesjours de me rendre à Calais, pour aller en Angleterre ensuite » a confié Youssef (nomd’emprunt), un autre jeune du groupe d’Elias à Ahmed. MENA ou pas, d’autres migrantsnourrissent le rêve d’aller en Angleterre, ils rêvent de ce pays où d’après eux « tout estpossible », un véritable eldorado.

A la question de savoir pourquoi ils veulent aller là­bas, ils me répondent à l’unisson dans unanglais maladroit « England work, here no asile, no work ! », entendons : En Angleterre, il ya du travail, ici rien…

Mais est­ce que cet eldorado n’est­il pas au final un mythe, un piège gigantesque dans lequelils se jettent tous les yeux fermés et le cœur plein d’espoirs ? En général, les personnes quiquittent leur pays pour chercher une meilleure vie en Europe, choisissent comme terred’accueil l’Allemagne, la Suède, l’Italie, la France et la Hongrie mais rarement l’Angleterre.Mais alors pourquoi un tel attrait en particulier pour les personnes originaires d'Erythrée,d’Ethiopie, du Soudan et d’Afghanistan ?

L’Angleterre, cet Eldorado !

Les raisons sont nombreuses, la première étant que l’Angleterre bien qu’elle accueille peu dedemandeurs d’asile, elle y répond plus favorablement que les autres pays européens (39%contre 22% en France par exemple). Ensuite, ces migrants ont déjà une attache àl’Angleterre, soit par la langue, soit par la présence d’un membre de leur famille sur leterritoire britannique. Enfin, il y a du travail en Angleterre, le taux de chômage en 2015était de 5,6% et le pays est en pleine croissance économique. Par ailleurs, le fait qu’il n y a pasde carte d’identité nationale en Angleterre rend difficile le contrôle du travail au noir, bienque la législation britannique ait prévue différentes sortes de cartes permettant d’identifier lestravailleurs étrangers dont le "Biometric Residence Permit", permis de résidence de plus de 6mois, ou l’ « Application Registration Card" (ARC), carte de demandeur d’asile. L’existencede ces cartes n’empêche pas qu’il y ait beaucoup de manquements à la loi interdisant le travailau noir en Angleterre de la part de certains employeurs mais aussi de falsifications de cartesde la part des travailleurs.

Alors, bien que l’Angleterre semble être une terre promise, une terre où les migrants peuventexister et gagner leur pain sans craindre pour leur vie, y arriver relève d’une véritableaventure.

Le point de départ est Calais, qui est le plus grand port français pour le transport depassagers et d’où part le tunnel sous la Manche donnant un accès à l’Angleterre. Depuis 2015une barricade barbelée a été mise en place afin de limiter l’accès au port, et depuis lors lesmigrants se sont tournés vers le tunnel sous la Manche ; ainsi 1500 personnes ont tenté derejoindre l’Angleterre via le Tunnel en juillet 2015.

C’est une traversée très difficile qui nécessite plusieurs essais, car beaucoup de blessures(chutes, griffures dues au fil barbelé, brûlure à force de s’accrocher aux camions) surviennentet parfois des décès surviennent. Cela sans oublier les contrôles de police aux frontièresfrançaise et anglaise qui ont été intensifiés depuis la crise des migrants de 2015. Mais cela neles arrête pas, ils voient l’Angleterre comme leur dernière chance d’avoir une vie « normale ».

Alors l’Angleterre un eldorado, peut­être mais le chemin pour y parvenir est long et périlleux.

Marie

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La place de l’enfant dans la société actuelle.

Cet été, les assistants sociaux ont accompagné les éducateurs lors des sorties et activitésavec les enfants. J’ai donc accompagné les castors à l’extérieur du quartier, pour la premièrefois, en me remémorant les excursions auxquelles je participais à l’école primaire quandj’avais leur âge et en pensant qu’il serait question d’une partie de plaisir…

Je me souviens encore qu’il s’agissait de moments euphoriques où se retrouver avec lescamarades, en dehors du cadre rigide de l’école / école de devoirs / parents, était toujourssynonyme d’amusement.

Cependant, malgré le fait qu’il s’agissait d’une activité « extrascolaire », nous savions bienque nous étions sous la responsabilité et l’autorité d’adultes. Nous suivions scrupuleusementles règles et cela n’entravait nullement la bonne ambiance.

Ma première sortie avec les castors commence par la mise en place des groupes. Ensuite,nous devions marcher jusqu’à l’endroit où les enfants devaient se rendre. Je remarque déjàles difficultés que nous avions à garder le groupe sous le même rythme. Bien qu’ils soient dumême âge, certains n'avancent pas au même rythme que les autres en trainant derrièreconstamment et ne changent pas d’attitude suite aux remarques que nous leur faisons. Il endécoule une perte d’énergie considérable car nous devons constamment être derrière tout ensurveillant les autres.

La seconde difficulté consistait dans les tentatives incessantes de « canaliser » le groupedominant, le groupe des « perturbateurs ». En effet, la représentation de l’autorité que j’ai ensouvenir, ancrée en moi et à mon époque semble s’être envolée face aux nouveaux enfants quisont prêts à défier tout adulte quelle que soit sa position.

En effet, la sortie consistait en une forme de surveillance des « perturbateurs » qui en plusde fatiguer et défier les accompagnateurs, dérangeaient les autres petits qui voulaient justes’amuser sagement.

Cependant, devons­nous d’ores et déjà parler d’enfants roi s? Peut­on être certain qu’il s’agitd’un refus de toute forme d’autorité ? Ou s’agit­il d’enfants pour lesquels il n’est pas évidentd’extérioriser leur excès d’énergie à domicile et qui se laissent aller non­stop en dehors?

De toute façon, bien que je pense qu'il soit impossible d'identifier une cause généraleinduisant ce comportement, il est certain que nous sommes aujourd'hui face à des difficultéssans précédent dans l'exercice de l'éducationet de la transmission. Ces difficultés touchentles familles et les parents comme l'école et lesenseignants * (et bien évidemment, leséducateurs aussi ainsi que toute personneétant au contact de l'enfant dans sonquotidien).

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C'est comme si l'image que j'ai connue quand j'étais petit, celle de l'adulte responsablepouvant faire preuve d'autorité, se dissipe ou disparait. Aujourd'hui, cette figure d'autoritéqu'est le prof, l'éducateur, le parent ou l'adulte de façon générale n'est plus reconnue. Il enrésulte que la transmission (du savoir de façon générale : éducation, façon d'être, savoir vivre,règles, limites, traditions, ...) ne peut perdurer car elle suppose que soit reconnue l'autorité dela connaissance et de l'enseignant.*

Aujourd'hui, la valorisation de l'enfant prend de l'ampleur et celui­ci est mis sur le même piedd’égalité que l'adulte. L'exemple que je donne afin d'illustrer cette pensée est le suivant : Il ya quelques jours, une maman m'a affirmé que son fils a reçu un recommandé. Lorsqu'elle aété le chercher, la personne du bureau de poste a refusé de lui délivrer la lettre en prétextantque son fils (de moins de 14 ans) doit venir lui même récupérer le courrier qui lui estpersonnellement adressé. Nous pouvons déduire qu'il s'agit d'une mutation du lien social carnul ne pourra contester que les modes de régulation sociale ne fonctionnent plus commeauparavant dans nos sociétés.**

Le problème que nous vivons aujourd'hui est la volonté et l'ambition de faire d'abord place àl'épanouissement de l'élève avant tout apprentissage ­ alors que toute obligation risque d'êtrequalifiée de "violence" éventuellement "symbolique" – qui entre directement en conflit avecl'objectif de transmettre le savoir et de diffuser des modèles de comportements communs àtous*. Il en découle un défaut de transmission de ce qu'ont connu nos parents, de ce que j'aiconnu et de ce qui existait et assurait une certaine harmonie : un équilibre dans les relationsadultes/enfants.

Qui est à blâmer ? Certainement pas l'enfant car dans la société actuelle, nous sommes passésd'un modèle pédagogique qui privilégiait l'acte social de transmission à un modèlepédagogique centré sur l'activité individuelle de l'élève*.

Chers parents, sachez que l'éducation de vos enfants est la clé pouvant leur ouvrir la ported'un futur meilleur quitte à aller à l'encontre de l'individualisme prégnant dans notre sociétémoderne. Sachez également que les causes et conséquences du laisser aller consisteront unegrande confusion** : La disparition pure et simple (...) de toute hiérarchie et en fin decompte, de la légitimité. Il en découle que vous n'aurez plus de prise sur votre enfant et parconséquent, moins de transmission de valeurs qui faisaient notre société d'avant etcontribuait à l'équilibre de notre futur social.

*Séminaire avec Jean­Pierre LeBrun, Comprendre ce qui fait la difficulté de l'école aujourd'hui.** Lebrun J­P, La perversion ordinaire, Champs essais,2015.

Ahmed

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Chaque année, en fin d’année scolaire, nous organisons une journée rassemblantparents et enfants autour d’un repas et d’activités familiales.

Cette année, elle s’est déroulée le samedi 28 mai au bois des rêves, endroit bucolique àproximité d’Ottignies. Près de 70 parents et enfants ont répondu présents à notreinvitation.Un car était affrété pour emmener les personnes ne pouvant pas s’y rendre par leurspropres moyens.

Dès 11h30, parents et enfants ont été accueillis par notre équipe secondée par legroupe des ainés qui avait préparé un barbecue gourmand dans le but de récolter desfonds pour leur projet de voyage.Au menu, brochettes, kefta et merguez mais aussi légumes grillés, des pommes deterre, des boissons,… un régale…Sur place, une grande plaine de jeu était disponible pour les petits comme pour les plusgrands où toboggans, balançoires et autres jeux étaient présents.

Après le repas, une balade digestive dans le bois était proposée mais peu ont réponduprésents. En effet, les femmes préféraient danser tandis que les enfants s’encouraientde rejoindre l’espace de jeux.Après de bons moments de rigolade, l’heure du thé arrive. Nous rassemblons lestroupes pour ce dernier moment tous ensembles. En effet, le moment du départapproche, le car arrive. Certains membres d’Inser’action accompagne les parents lorsdu trajet de retour tandis que les autres et les ainés rangent le lieu qui nous aaccueilli…

Une très belle journée…

Au plaisir de vous y revoir.

Steve

Journée de clôture 2016

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Et maintenant, avant de passer du coté des activités éducatives, je vous propose departager avec nous les souvenirs d'une belle année passée avec vos enfants...

Un camp avec les castors et les grands...à Botassart

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Les activités: De septembre à juin...

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L'hiver, le carnaval...

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Voici le calendrier du mois de septembre 2016

Ce calendrier reprend les horaires des activités éducatives du mois,affichez­le à un endroit bien visible afin de ne rien rater

des activités de votre enfant.

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Horairedes activités éducatives

SEMAINE 1Jeudi 01/09/2016A.M.O ouverte mais pasd'activité ni d'EDD.

Vendredi 02/09/2016A.M.O ouverte mais pasd'activité ni d'EDD.

Samedi 03/09/2016AMO Fermée

SEMAINE 2Lundi 05/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H30 Secondaire

Mardi 06/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H30 Secondaire

Mercredi 07/09/2016JUNIORS (4­6 ans)De 13H30 à 18H00CASTORS (7­12 ans)De 13H30 à 18H00Activités éducatives, sortiesculturelles, visites…

Jeudi 08/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireNATATION (à partir de 4ans)De 16H30 à 19H00

Vendredi 09/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireJEUX DE SOCIETE (10­18ans)De 17H00 à 19H00INFORMATIQUE (10­18ans)De 17H00 à 19H00THEATREDe 17H00 à 19H00 (10­18ans)

Samedi 10/09/2016CASTORS (7­12 ans)De 13H30 à 18H00GRANDS (13­18 ans)De 13H30 à 18H00Activités éducatives, sortiesculturelles, visites…

SEMAINE 3Lundi 12/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H30 Secondaire

Mardi 13/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H30 Secondaire

Mercredi 14/09/2016JUNIORS (4­6 ans)De 13H30 à 18H00CASTORS (7­12 ans)De 13H30 à 18H00Activités éducatives, sortiesculturelles, visites…

Jeudi 15/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireNATATION (à partir de 4ans)De 16H30 à 19H00

Vendredi 16/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireJEUX DE SOCIETE (10­18ans)De 17H00 à 19H00INFORMATIQUE (10­18ans)De 17H00 à 19H00THEATREDe 17H00 à 19H00 (10­18ans)

Samedi 17/09/2016CASTORS (7­12 ans)De 13H30 à 18H00GRANDS (13­18 ans)De 13H30 à 18H00Activités éducatives, sortiesculturelles, visites…

SEMAINE 4Lundi 19/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H30 Secondaire

Mardi 20/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H30 Secondaire

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Mercredi 21/09/2016JUNIORS (4­6 ans)De 13H30 à 18H00CASTORS (7­12 ans)De 13H30 à 18H00Activités éducatives, sortiesculturelles, visites…

Jeudi 22/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireNATATION (à partir de 4ans)De 16H30 à 19H00

Vendredi 23/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireJEUX DE SOCIETE (10­18ans)De 17H00 à 19H00INFORMATIQUE (10­18ans)De 17H00 à 19H00THEATREDe 17H00 à 19H00 (10­18ans)

Samedi 24/09/2016Journée annuelle desmontées!

SEMAINE

Lundi 26/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H30 Secondaire

Mardi 27/09/2016AMO ferméeFête de la CommunautéFrançaise

Mercredi 28/09/2016JUNIORS (4­6 ans)De 13H30 à 18H00CASTORS (7­12 ans)De 13H30 à 18H00Activités éducatives, sortiesculturelles, visites…

Jeudi 29/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireNATATION (à partir de 4ans)De 16H30 à 19H00

Vendredi 30/09/2016EDD15H30­17H Primaire17H­18H00 SecondaireJEUX DE SOCIETE (10­18ans)De 17H00 à 19H00INFORMATIQUE (10­18ans)De 17H00 à 19H00THEATREDe 17H00 à 19H00 (10­18ans)

Samedi 31/09/2016CASTORS (7­12 ans)De 13H30 à 18H00GRANDS (13­18 ans)De 13H30 à 18H00Activités éducatives, sortiesculturelles, visites…

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Inser'Action côté enfantsLes Vacances d’été à Inser’action pour les grands

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Comme vous le savez, chaque année, Inser’action organise des activités durant lesvacances d’été pour le bien être de vos enfants.

Ces activités permettent ainsi de sortir de la commune de Saint­ Josse et aussi d’ouvrirl’esprit vers d’autres horizons par le biais d’animations éducatives. Cette année, le groupe desgrands a bénéficié d’un transport quasi quotidien. Bien entendu, il s’agit de la camionnettedont nous disposons depuis quelques années sans oublier le chauffeur qui se prénomme Ali.Un transport bien utile qui nous a permis de nous évader à plus de 100KM de Bruxelles.Trois semaines d’activités avec plus de 13 grands dont 8 sont venus de l’extérieur, c'est­à­dire qu’ils ne participent pas aux activités du samedi.

Parlons un peu du déroulement de ces trois semaines de vacancesLe lundi 04 juillet, nous commençons en force par une initiation à la course d’orientationdans les bois de Watermael­Boitsfort sur le thème de Kho Lanta. Nous avons placé desbalises dans le bois avec des couleurs différentes, les jeunes avaient pour missions deretrouver les balises ainsi qu’un objet en s’aidant d’une carte et d’une boussole. Nous nechômons pas à Inser’action car le jeu dura plus de 4 heures où tout le monde avaient lamotivation pour recevoir une récompense à la fin du parcours.

Le mardi 05 juillet, une petite visite au domaine de Chevetogne, un domaine avec desanimations kayak ou barque mais aussi du Mini­golf sans oublier le petit train qui nousemmène faire le tour du domaine.

Le mercredi 06 juillet, encore un domaine, mais celui de Blaarmersen près de Gand. Lesjeunes se sont baignés dans le lac, nous n’étions que 6 vu que ce fût le jour de la fête l’Aïd(Fin du ramadan).

Le jeudi 07 juillet, une journée détente dans une activité sportive qui demande de laconcentration. En matinée nous avons fait du Mini­Golf aux Etangs Mellaerts et l’après­midi du Pédalo.

Et voici le dernier jour de la semaine, nous terminons ce vendredi 8 juillet par une journéeen Mer du Nord où la météo ne fut pas très clémente malheureusement. Pas de panique,nous louons pour chaque jeune des cuistax pour une balade d’1/2 heures le long de la digue,cool Raoul on s’éclate.Nous entamons notre deuxième semaine d’activités au sein de la salle Mandela. Une sallequi se trouve Rue Verte bénéficiant d’un terrain de sport ce qui nous a permis de l’exploiterpour des jeux d’échauffement musculaire et d’étirement. Une matinée sportive avantd’entamer un mini tournoi de foot.

Le mardi 12 juillet, nous avons passé la journée dans un domaine. Encore une fois me direz­vous... En Belgique nous avons la chance de bénéficier de plusieurs domaines dont celui deNekkerspoel. Il s’agit, d’un vaste domaine avec plusieurs lacs artificiels mais aussi desterrains de jeux pour enfants. Quelle chance que nous avons eue. Beau temps, soleil et tout leplaisir des jeunes de se baigner mais aussi de jouer au sein de la plaine de jeux.

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Le mercredi 13 juillet, l’activité qui servira à tous mais aussi pour les camps. En ce jour,nous avons pris le chemin de Neder­Over­Heembeek pour une initiation en coursed’orientation avec des professionnels. Lecture de carte et surtout orientation avec uneboussole. Malheureusement la journée commença sous la pluie et se termina également sousla pluie. Je ne vous dis pas l’envie de prendre une bonne douche chaude en fin d’activité.

Le jeudi 14 juillet, rien à dire. La perfection d’une piscine qui se trouve à La Louvière« Point d’eau » Plusieurs toboggans en rajoutant une aire de surf et bien entendu unepiscine à vague.

Déjà vendredi ! Un peu d’effort les jeunes. Tous dans la peau d’un coureur du tour deFrance. C’est parti pour une randonnée vélo jusqu’à Woluwe et précisément aux ateliersVoot pour apprendre les bases élémentaires de la réparation de son vélo (gonflage des pneus,réparation d’un pneu crevé,…).Que c’est triste, voici la dernière semaine d’activités.

Le lundi 18 juillet, nous prenons la route vers Braine le Château pour un rallye touristique,un parcours de 5 km en pleine nature qui a permis à chacun de s’orienter vers unedestination inconnue en répondant à des questions.

Mardi 19 juillet, journée caniculaire et fantastique, prétexte idéal pour se rafraichir audomaine de Huizingen bénéficiant d’une vaste piscine et de toboggan à l’extérieur. Du coup,cette journée nous a laissé des traces de bronzage.

Anvers, Antwerpen en néerlandais, pour une visite de cette fabuleuse ville flamande. Noussommes le mercredi 20 juillet, il est 10H au départ de Saint­Josse où chacun s’hydrate déjàcar la chaleur nous accompagne pour ces derniers jours d’activités. Une fois arrivés surplace, nous visitons l’un des plus hauts buildings d’Anvers pour monter jusqu’au dernierétage pour une vue panoramique de la ville.

Vendredi 22 juillet, les jeunes ont pu découvrir une activité méconnue de certains. Il s’git duKayak où nous entamons la descente de la Lesse sur 8km.

Une bonne entente dans l’amusement et l’humidité avec une température agréable où ce nefut pas une corvée de tomber dans l’eau.

Voilà, la fin du petit aperçudes 3 semaines d’activités,j’espère que vos vacancesfurent agréables et voussouhaite à tous uneexcellente rentrée scolaire.

A très bientôt au sein de nosactivités

Sébastien

Durant la préparation des trois semaines d'activités du mois de juillet, j'ai eu l'idée de réaliseravec le groupe des castors un bricolage.J’ai eu une idée un peu particulière qui, selon moi, pourrait plaire à tous les enfants.

En effet, j’ai fait quelques recherches et je suis tombé sur un super bricolage : unemontgolfière. Le résultat était vraiment splendide !

Pour la réalisation, il me fallait:

Des ballonsDe l’héliumDu papierDe la ficelleDes ciseauxDe la colleDu papier crépon

Dans un premier temps, on a réalisé la base d’une montgolfière c’est­à­dire la « nacelle ».Cela consistait à faire un pot en papier. Par la suite, les castors ont décoré le pot en papiergrâce aux papiers crépon de différentes couleurs. Ils étaient libres de choisir les couleurs.

Ensuite, grâce à l’hélium on a gonflé les ballons et à l’aide des ficelles on a rassemblés lanacelle et le ballon. Nous avons placé une ficelle supplémentaire pour que la montgolfière nes’envole pas. Certains parmi les castors ont même décoré leur ballon.

A la fin de la journée, les enfants étaient vraiment contents de se trimbaler avec leur propremontgolfière.

« Les habiletés que les enfants développent lorsqu'ils participent à des activités de bricolagecomptent parmi les habiletés essentielles pour la vie et le succès dans le monde du travail »,affirme le Dr Steven Feldgaier (pédopsychologue).

Il est essentiel de prévoir tous les matériaux à utiliser afin que les enfants stimulent leurimagination. Les enfants ont besoin de temps et de patience pour s'adapter, comme pourtoutes autres activités. Même si les enfants ratent leur bricolage ce n’est pas un problème, ilfaudra avoir beaucoup depatiente et d’espace pourpouvoir recommencer celui­ci.

Engin

Woauww ça vole…

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Durant le mois de juillet, Inser’action a proposé diverses activités aux enfants avec plusieursgroupes d’âge différents. Personnellement, je me suis occupé des castors (groupe 1). Ce sontdes jeunes qui ont entre 7 et 11 ans. J’ai planifié plusieurs activités différentes afin que lesenfants puissent toucher à diverses choses. Ona fait du bricolage, de la cuisine et une sortieculturelle. Une des activités consistait à serendre à la mer, plus précisément à« Ostende » et dansplusieurs domainescomme « Huizingen », « Nekkerspoel » et« Hofstade ». La mer et les endroits avec unepiscine ou un plan d’eau accessible étaientl’une des activités pour lesquelles les enfantsétaient impatients d’y participer. Dans cetarticle, je voudrais expliquer l’importance ducontact entre les enfants et l’eau.

Je trouve que de se rendre à la mer est une occasion pour les enfants de s’amuser tout endécouvrant de nouvelles sensations. C’est un espace de découvertes fabuleuses ! On yappréhende son corps et ses capacités, on y expérimente toutes sortes de sensations parexemple, le liquide, la douceur, la chaleur, la sensation d’être mouillé. Les castors ont aimémanipuler le sable. Ils ont notamment creusé des trous, laissé filer les coquillages entre leursdoigts, fait des châteaux, etc...

Tout cela est très enrichissant et demande un travail d’équipe. Ce qui a permis de rapprocherles enfants.

A côté de cela, il faut bien évidemment que l’enfant soit en sécurité, protégé des risques liésau soleil. Il est indispensable de mettre la crème solaire adaptée à la peau des enfants.

Je pense que les sorties à la plage permettent également de faire comprendre aux enfants quenous ne pouvons pas faire tout ce que nous voulons et que les éducateurs ne sont pas là poursatisfaire leurs caprices. A travers cela, les jeunes découvrent que le monde n’est pas à leurdisposition, et qu’il y a des règles à respecter, car une petite inattention peut provoquer, parexemple, la noyade de l’enfant.

Encore une autre activité à faire à la mer est de rouler en « cuistax ». Les castors ont raffoléde circuler avec ce moyen de transport. Le cuistax permet de faire de belles promenades lelong de la digue. Ils aiment surtout passer au volant et conduire en toute liberté. C’était unechouette expérience !

La météo n’a pas eu de conséquence négative car quoi qu’il en soit les enfants adorent être encontact avec l’eau. Prenons comme exemple, le jour où nous nous sommes rendus à Ostende:il a fait venteux mais les enfants étaient tous excités à l’idée d'entrer dans l’eau et s'en sontpleinement réjouis.

Que ce soit à la mer ou à la piscine, le contact avec l’eau est toujours bon pour ledéveloppement de l’enfant. Donc n’hésitez pas à profiter du beau temps et faire de activitésaquatiques en famille.

Engin.

Et PLOUF dans l’eau…

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Durant nos activités du mois de juillet, nous avons réalisé avec le groupe 2 des castors unatelier pâtisserie.

Pour cet atelier, nous avons décidé de réaliser deux types de biscuits différents. Tout d’abord,des petits sablés et ensuite des cookies aux pépites de chocolat au lait.

Pour la réalisation de ces pâtisseries, nous avons procédé de la manière suivante, nous avonstout d'abord dressé une liste des courses à devoir faire avec les quantités exactes. Nous avonsfait nos courses dans un centre commercial où nous nous sommes imposé un budget de 50€maximum. Les castors devaient se débrouiller dans le magasin afin de trouver tous les bonsingrédients avec les quantités exactes mais ils devaient également faire attention à ne pasdépasser notre budget. Et je dois direqu’ils se sont vraiment bien débrouillés.Ensuite, nous sommes revenus à l'atelier etle groupe a été divisé en deux avec danschacun cinq castors. Il y avait dans chaquegroupe, un éducateur qui supervisaitl'atelier.

Une fois nos petites mains bien propres,nous avons commencé à préparer les deuxpâtes différentes. Hop hop hop, on sorttous les ingrédients du sac.Il nous fallait ensuite trouver la balance.Surprise : pas de balance pour peser lesingrédients « CATASTROPHE !!! »Car tout bon pâtissier sait que pour qu'une pâtisserie soit bien réussie il faut impérativementle bon dosage.

Pas de panique, faisons appel à nos connaissances et ce, même si nous sommes en vacances. Etoui, nous avons dû appliquer la règle de trois afin de savoir quelle quantité de sucre, de farineou même de beurre il nous fallait.

Ouf ! Nous y sommes arrivés. Nous pouvons enfin commencer à réaliser nos biscuits pourensuite les enfourner.

Durant la cuisson des biscuits, j'ai demandé aux castors de se mettre par deux. Un jeune del'atelier sablé avec un autre de l'atelier cookies. Je leur ai distribué deux feuilles sur lesquelles,ils devaient indiquer les ustensiles et les ingrédients que l'on a utilisés ainsi que lesdifférentes étapes pour la préparation de la pâte.

Ding, C'est prêt ! Nous pouvons enfin les déguster et vu la quantité de biscuits, nous avons pufaire des petits sachets que les enfants ont pu rapporter à la maison afin de les faire goûter àpapa et maman.

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A vos fourneaux, apprentis pâtissiers.

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Voici quelques mots des castors le lendemain de l'atelier :

Hamanalla : « J'ai bien aimé car on a pu goûter la pâte et on en a mis partout ! »

Yassine : « C'était chouette d'aplatir la pâte avec les mains et de faire des belles formes. Moij'étais dans le groupe des sablés. »

Mohammed : « Les biscuits étaient très bons et ma maman a dit Mmm... c'est bon ! »

Tasnime : « Quand je suis rentrée, j'ai partagé mes biscuits avec mon frère et lui il a préféréles sablés. »

Merci à tous…

Jessica

Lors de la préparation des trois semaines d'activités pour les grandes vacances, j'ai eu l'idéede réaliser avec le groupe des castors un bricolage. Mais cette fois­ci, je voulais sortir un peude cette idée que nous avons tous d'un bricolage où nous faisons directement le lien avecl'utilisation de colles, ciseaux etc.

Pour une fois, je voulais que les castors puissent utiliser d'autres matériaux. Des matériauxdont ils n'ont pas l'habitude, voire jamais utilisés. Je voulais également que le résultat soitressemblant une petite œuvre d'art comme toutes celles que nous avons déjà pu voir dans lesdifférents musées que nous avons visités avec eux.

Durant plusieurs jours, j'ai fait quelques recherches et je suis tombée sur un super bricolage :une toile à base de clous et de fils de laine tendus. Le résultat était vraiment magnifique !En fouillant un peu plus, j'ai regardé le matériel nécessaire à la réalisation de celui­ci et il mefallait :–De la laine de couleur–Des clous à tête plate et pas trop longs–Un marteau–Une planche en bois (assez épaisse)–De la peinture blanche et noire–Un pinceau

Je n'avais pas réalisé le bricolage à l'avance. Je l'aidonc fait en même temps que les jeunes. Nousl'avons conçu étape par étape et j'ai trouvé que decette manière, les castors étaient beaucoup plusappliqués. Ils se souciaient de savoir s'ils avaientcorrectement réalisé ce qu'on leur avait demandé.

L'étape de la mise en peinture s'est vraiment super bien déroulée.Ensuite nous avons distribué les clous et les marteaux mais pour cette étape là, nous avons euquelques soucis car tous les castors ne parvenaient pas à clouer correctement sur la plancheen bois.Le temps passait et certains de nos castors n'avaient pas encore réussi à placer un seul clou.J'ai donc décidé de changer mes plans pour ceux qui n'y parvenaient pas. Ils ont terminé leurtoile à l'aide de peinture de plusieurs couleurs et de cotons tiges pour donner malgré tout unpetit effet sur la toile.

Finalement, avec l'utilisation de la peinture, le résultat n'était pas si mal et les castors se sontbien amusés tout en laissant libre cours à leur imagination.

Et pour les castors qui sont parvenus à terminer le bricolage initial, ils étaient vraiment trèscontents de leur toile et très satisfait de leur travail.

« Ça n'a pas été facile, mais j'y suis quand même arrivé ! » Voici la phrase d'un de nos castors !Et à ça, j'ai juste envie de lui répondre : « bravo et beau travail » !

Jessica

Les castors bricoleurs

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Israfil au kayak

Via cet article, je souhaitais qu’un jeune puisse vous raconter lui­même une activité réaliséeavec le groupe des grands, à savoir celle du Kayak à Durbuy.

Bonjour peux­tu te présenter?

Je m’appelle Israfil, j’ai 13 ans, je suis à l’école des devoirs où je côtoye régulièrement Jessica ainsi quele reste des bénévoles. Je suis quelqu’un de sportif, qui aime particulièrement le football, ce qui occupeune grosse partie de mon temps.

Avais­tu déjà fait du kayak auparavant ?

Non, c’était la première fois pour moi et d’ailleurs, je n’étais pas à l’aise au départ, j’avais beaucoupd’appréhension.Ca m’a rassuré d’être avec toi, Ali, qui a pris le temps de m’expliquer le fonctionnement du kayak, l’eauétait peu profonde, nous étions équipé d’un gillet de sauvetage, cela rassure.

Peux­tu, aujourd’hui, nous dire quels sont les principes de bases pour le kayak ?

Le kayak flotte sur l’eau mais il peut se remplir de l’eau qui s’accumule tout au long de la balade, pasd’inquiétude, il suffit de se mettre sur le côté et retourner le kayak afin d’évacuer l’eau, et c’est reparti.Au départ on reçoit une pagaie, une sorte de rame, qui vous permet d’avancer. L’important c’est d’êtresynchro, et de se motiver en criant gauche, droite, gauche, droite… ça aide pour avoir un bon rythme.La personne qui se trouve derrière dirige soit à gauche ou à droite en fonction du parcours.

Quel souvenir gardes­tu de cette activité ?

J’ai participé à beaucoup d’activités au sein d’autres associations, mais aucune ne nous avait permis defaire du kayak, ce fut une réelle découverte avec un mélange de peur, d’excitation et d’appréhensionpour finir par du bonheur.Je tiens à remercier Inser’action pour cette journée et de m’avoir initié au kayak

Avec plaisir à bientôt.

Ali Abba

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L'été des juniors.

Et oui...Septembre pointe déjà son nez.

Au terme de cet été, voici déjà une nouvelle année qui se profile,une nouvelle année que j'espère, pour chacun d’entre vous, riche de découvertes, d'amusementet de solidarité à travers notamment Inser’action.

Et pour adoucir le début de cette nouvelle année, entre autre scolaire, qui commence, je vouspropose de revivre quelques activités très estivales avec nous.

L’été fut animé chez les juniors qui ont pu participer à un panel d’activités très différentes lesunes des autres.

Lors de ces trois semaines, nous avons visité plusieurs musées, celui de l’eau, des personnagesde bandes dessinées et celui du jouet, nous avons aussi visité plusieurs parcs à Bruxelles et endehors de la ville où nous avons proposé des jeux en tous genres allant des jeux d’eau au jeude piste en passant par la chasse au trésor.

Nous sommes passés voir notre Côte belge, notre Brabant wallon en visitant le musée de l’eauqui se trouve aux abords du lac de Genval. Nous avons passé une belle journée au domaine deBlaameersen en Flandres.

Et lors de ces trois semaines, les juniors ont pu passer une journée avec les castors et puis uneaussi avec les grands pour retrouver un peu les grands­frères et grandes­sœurs.

Les juniors ont aussi cuisiné de petits biscuits aux épices, profité de la piscine et des lacsextérieurs et pour terminer en beauté, nous avons passé une journée au parc d’attractionBoudewijn Seapark où nous avons vu un spectacle joué par les otaries du parc et faire un bonnombre d’attractions.

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Moi, j’ai envie de retracer un peu plus en détail notre journée à Genval,Nous allions au musée de l’eau. Le musée se situe à deux pas du lac dont nous avons fait letour complet en passant par l’école de voile.Nous avons pris notre pique­nique sur une belle pelouse face au lac avant d’aller passerl’après­midi au musée.En arrivant, nous avons été accueillis chaleureusement et invités à nous installer dans un petitlocal où on a découvert à l’appui de plusieurs petits jeux, le cycle de l’eau.Nous avons aussi appris que l’eau pouvait avoir trois états :L’état gazeux, la vapeur, l’état liquide c'est­à­dire l’eau à proprement parler et enfin l’étatsolide, la glace.

Après une petite pause, une animatrice du musée a familiarisé les enfants avec l’expression« eau potable » avant de montrer l’exposition au groupe.On a pu prendre conscience qu’il y a quelques siècles, l’eau était très rare chez nous aussi, onfaisait d’ailleurs appel à un porteur d’eau quand on en avait besoin. C’était lourd et doncéprouvant pour les porteurs qui amenaient l’eau au village.Nous avons aussi découvert et même essayé les lave­linges de l’époque qui fonctionnaient à lapompe et à la manivelle.

Et puis, nous avons terminé l’après­midi au musée en musique. Les enfants nous ont joué unconcert d’instruments utilisant de l’eau.J’espère que cette visite restera un beau souvenir d’excursion pour les enfants.

Je vous souhaite à tous une belle rentrée et nous mettons tout en œuvre pour qu’ellesoit la plus belle en nos locaux pour vos petits loups.

Céline.

Mon nom est Asmaa, je suis une nouvelle employée à Inser’action, j’y ai commencé en tant quebénévole à l’école des devoirs. J’ai eu la chance de pouvoir commencer les activités cet été avecles Juniors. Je n’ai pas préféré une journée plus qu’une autre car je trouve que tous les joursétaient exceptionnels avec les enfants.

Mais si je devais parler d’une journée en particulier, j’évoquerais le dernier jour où noussommes partis tôt au Boudewijnpark. Le parc était magnifique, il y avait beaucoup d’activitéspour les enfants, entre 2 et 12 ans, que même nous en tant qu’adultes pouvions apprécier touten encadrant les juniors. Il y avait des bancs pour se reposer, beaucoup de places pour sedivertir, des spectacles de dauphins, des jeux d’intérieur ainsi que des jeux aquatiques.

Je me souviens de quelques moments bien précis qui m’ont touchés, tel que le show desotaries, les enfants étaient si éblouis sans compter que cela éveillait leur curiosité, et lespoussait à participer au spectacle, en aidant les otaries à retrouver les clefs du trésor enfuitdans la piscine. Il y avait aussi le moment où nous sommes allés faire une attraction tousensemble dans un bateau pirate, à chaque montée et descente je les entendais hurler de joie,« Madame, j’ai l’impression de pouvoir voler ». Nous avons aussi fait les autos­tamponneuses,les enfants étaient si heureux de pouvoir conduire car « je suis grande Madame je peuxconduire seule » disait Dina. Tous ces bons moments m’ont fait réaliser que les enfants ont pufaire travailler leur imagination et profiter de ce dernier jour tout en beauté.

Les activités terminées, je n’attends qu’une chose c’est de pouvoir de nouveau passer du tempsavec eux ainsi que de pouvoir leur apprendre de mes expériences et d’en apprendre d’avantagesur eux.

Entretemps je me prépare à vous recevoir en septembre et vous dit à bientôt les petits loups.

Asmaa

Une merveilleuse journée au Boudewijnpark

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D’un parc si méconnu…

Connaissez­vous le parc de la reine verte ?Ce « petit parc vertical » se trouve pourtant dans le quartier près de chez nous…Plusprécisément au numéro 126 de la rue verte.

Si je vous en parle, c’est justement parce que les juniors l’ont découvert cet été.

Ce parc qui a pourtant été inauguré en 2007 est tout à fait méconnu des habitants du quartierde la reine ainsi que des riverains. Ce qui fait peut­être de lui un lieu si paisible.

Les juniors ont donc découvert ce parc durant les activités à l’occasion d’une pause entre unatelier cuisine et un jeu de rôle.

Ce parc est un véritable poumon vert, il est une vraie source de repos et d’amusement pour lesplus petits.Le parc évolue au rythme du quartier et l’on peut voir régulièrement de nouveauxaménagements visant à améliorer sa convivialité.

De nouvelles plantations sont apparues autour de la pièce d’eau et des modules de jeux ont étéinstallés dans le bac à sable.Et pour les plus grands, il y a désormais un superbe agoraspace équipé d’un goal et d’unpanneau de basket pour les amateurs.

On y voit aussi un magnifique panorama sur l’Atomium et l’église de Laeken.

Mais ce n’est pas fini, vous y trouverez aussi un restaurant social et une équipe d’animationsociale appelée « l’atelier des petits pas » qui propose des ateliers en tout genre.

Je vous invite donc à vous laisser guider par vos plus petits pour aller y faire une petite balade,une pause ou carrément un pique­nique.

« A mesure que les années passent, chaque quartier, chaque rue d’une ville évoque un souvenir,un rencontre, un moment de bonheur » P.Modiano.

A bientôt,Céline

A la découverte d'un...

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Comme vous le savez les cours d’informatique ont lieux chaque vendredi de 17H à 19H au seinde l’espace numérique Sapiens : rue du Mérinos N°1 dans la commune de Saint­Josse. Depuisle début de l’année ce sont, en moyenne, 7 jeunes entre 8 et 13ans qui suivent chaque vendredil’atelier avec enthousiasme. Nous donnons rendez­vous aux jeunes à l’atelier d’Inser’action etpuis nous marchons jusqu'à la salle Sapiens qui se trouve à 15 minutes à pieds.

Akram, Ilias, Mohamed, Aiman, Yasmine, Hind et El Yazid sont nos informaticiens en herbe.Nous avons consacré le début de l’année aux bases de l'informatique et ensuite nous avonsbossé sur des programmes comme Movies Maker.Movies Maker est un logiciel de montage vidéo où l’on insère des images, des vidéos maisaussi des textes. Ilias nous explique qu’il aimerait créer un jeu, ce qui ne fût pas possible maisnous avons tous ensemble appris à jouer en réseaux. Vers le milieu de l’année grâce à Michaelnotre compositeur musical et instructeur nous avons créé notre propre partition musicale etnous l’avons transposée sur CD. Durant ces sessions, chacun a eu la liberté de créer son proprestyle via un logiciel qui contient des partitions mais aussi des instruments tels que trompette,guitare, flûte, tambour, … Pour terminer en beauté le CD est disponible à inser’action pourceux qui ont suivi les cours durant l’année.

L’atelier dès le mois de septembre débutera en force avec tout d'abord, une nouvelle recruechez les instructeurs, il s'agit de Janel sans oublier Michael qui continue son travail avec nous.

Ecoutons un petit mot également de Valérie Fontaine : Je m’appelle Valérie, j’ai 46 ans et jesuis la coordinatrice de Fobagra depuis plus de 8 ans. Je gère les formations du personnel.Celui­ci a régulièrement besoin d’être formé! Mais l’offre de services en ce domaine est sichère… Fobagra propose des solutions professionnelles à des prix accessibles. Pour tout vousdire c’est aussi une asbl engagée dans la lutte contre le fossé numérique. Elle s’est spécialiséedans l'accès et la formation à l’informatique.Notre stratégie est de développer des partenariats avec les acteurs socio­éducatifs commeInser’action mais aussi l’insertion socioprofessionnelle, l’alphabétisation, l’éducationpermanente, les formations en alternance, …

Nous donnons rendez­vous en ce début du mois de septembre pour un nouveau programmequi sera remis au plus vite à ceux qui suivent l’atelier.Au programme : une initiation à l’informatique mais aussi la création d’un avatar pourensuite l’imprimer sur un tee­shirt sans oublier l’utilisation d’une tablette.

A très viteSébastien

Parlons de l’atelier informatique du vendredi avec nos jeunes et de la responsable deFobagra.

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Comme chaque année, la commune de Saint­Josse a organisé deux journées sportives pour sesécoles primaires.

Nous y avons été invités, afin d’y tenir un stand baseball. Pour l’ensemble des jeunes cela restetoujours une découverte, même si le mot baseball est connu de tous. Il reste cependant unsport encore méconnu car très peu de jeunes ont l’occasion de le pratiquer.

Ainsi notre stand rencontre assez souvent un franc succès, au travers de cette discipline ellerassemble un large public de tout âge et elle combine course, stratégie et jeu d’équipe.

Après tout, cette journée reste un moment convivial où l’ensemble des jeunes sont réunis pourun même but, faire du sport sans pour autant avoir cet esprit du gain car en soit participer à cetype d’événement permet ainsi d’en sortir largement gagnant.

Les jeunes ont l’occasion de voir une autre facette de leurs professeurs qui pour la plupartparticipent activement aux différents stands. Cela nous a également permis de rencontrer desacteurs de terrain comme des éducateurs de rue, des moniteurs en salle de sport, deséducateurs des différentes institutions publiques, et pouvoir mettre un nom sur un visageparfois méconnu et vice versa. Cela s’avère être enrichissant. Les éducateurs eux­mêmes ontl’occasion de rencontrer les professeurs et de discuter plus longuement des différentesquestions que soulèvent le travail social.

Une belle expérience.

Je vous dis à bientôt,Ali

Le sport pour tous.

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