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Découvrons Tuléar à travers ses rues Autrefois, Tuléar n’était qu’un tout petit village de pêcheurs Vezo. En 1656, sur la carte d’Etienne de Flacourt, gouverneur de la colonie française de Fort Dauphin, à l’emplacement de la ville de Tuléar, on trouve « Hivouron-Heroc ». On sait ainsi qu’au XVIIe siècle, les Vezo Voroneoke formaient déjà de petits hameaux dans les quartiers d’Ambohitsabo, et de Mahavatsy. Tuléar s’est développée dans la basse plaine du Fiherenana, non loin du Tropique du Capricorne. Le proverbe dit : « Sans le Fiherenana, il n’y aurait pas de Tuléar ». En effet, la région est semi-désertique et d’ailleurs, le fleuve est à sec pendant la saison sèche. A la fin du XVIIe siècle et surtout au XVIIIe siècle, Tuléar et la baie de Saint-Augustin vont devenir les principaux postes de traite des rois Masikoro du Fiherenana. La ville n’existe officiellement qu’en 1897, lorsque Gallieni, le gouverneur de Madagascar, ordonne le transport des services administratifs de Nosy Ve à Tuléar. Tuléar devient centre du cercle militaire français. Au moins 2000 habitants y sont recensés à cette date. Toliara devient, en 1903, la capitale de la plus grande, province de l’île puis, progressivement, son véritable pôle économique. Le premier plan d’urbanisme est mis en place en 1916. Les principales rues sont tracées. Des maisons sont construites par des Européens et des Indiens. En 1980, la ville comptait 60 000 habitants, et aujourd’hui plus de 200 000 habitants. Ainsi, elle occupe de plus en plus d’espace. Le centre-ville, où la construction en dur est plus marquée, bénéficie de tous les équipements et infrastructures modernes et suit un plan d’urbanisme prédéfini. Il connaît le débordement des marchands ambulants occupant les espaces publics et le long des trottoirs. Les quartiers fortement peuplés longent les axes de communication. Ces zones ont vu se développer des constructions en dur associées parfois à des maisonnettes précaires dépourvues de minimum de confort. Dans ces endroits, le développement se fait de manière anarchique et la voirie n’est pas revêtue. Il faut dire que seul le réseau de voirie du centre urbain est revêtu dans la commune. En périphérie, les voiries de type primaire, secondaire et tertiaire sont en état de délabrement. Nous pouvons alors, au travers des rues de Tuléar, découvrir les services et les activités, les différents aspects de la ville, ainsi que des éléments de son histoire.

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Découvrons Tuléar

à travers ses rues

Autrefois, Tuléar n’était qu’un tout petit village de pêcheurs Vezo. En 1656, sur la carte

d’Etienne de Flacourt, gouverneur de la colonie française de Fort Dauphin, à l’emplacement de

la ville de Tuléar, on trouve « Hivouron-Heroc ». On sait ainsi qu’au XVIIe siècle, les Vezo

Voroneoke formaient déjà de petits hameaux dans les quartiers d’Ambohitsabo, et de Mahavatsy.

Tuléar s’est développée dans la basse plaine du Fiherenana, non loin du Tropique du

Capricorne. Le proverbe dit : « Sans le Fiherenana, il n’y aurait pas de Tuléar ». En effet, la

région est semi-désertique et d’ailleurs, le fleuve est à sec pendant la saison sèche.

A la fin du XVIIe siècle et surtout au XVIIIe siècle, Tuléar et la baie de Saint-Augustin vont

devenir les principaux postes de traite des rois Masikoro du Fiherenana.

La ville n’existe officiellement qu’en 1897, lorsque Gallieni, le gouverneur de Madagascar,

ordonne le transport des services administratifs de Nosy Ve à Tuléar. Tuléar devient centre du

cercle militaire français. Au moins 2000 habitants y sont recensés à cette date.

Toliara devient, en 1903, la capitale de la plus grande, province de l’île puis, progressivement,

son véritable pôle économique. Le premier plan d’urbanisme est mis en place en 1916. Les

principales rues sont tracées. Des maisons sont construites par des Européens et des Indiens.

En 1980, la ville comptait 60 000 habitants, et aujourd’hui plus de 200 000 habitants. Ainsi,

elle occupe de plus en plus d’espace. Le centre-ville, où la construction en dur est plus marquée,

bénéficie de tous les équipements et infrastructures modernes et suit un plan d’urbanisme

prédéfini. Il connaît le débordement des marchands ambulants occupant les espaces publics et le

long des trottoirs.

Les quartiers fortement peuplés longent les axes de communication. Ces zones ont vu se

développer des constructions en dur associées parfois à des maisonnettes précaires dépourvues

de minimum de confort. Dans ces endroits, le développement se fait de manière anarchique et la

voirie n’est pas revêtue. Il faut dire que seul le réseau de voirie du centre urbain est revêtu dans

la commune. En périphérie, les voiries de type primaire, secondaire et tertiaire sont en état de

délabrement.

Nous pouvons alors, au travers des rues de Tuléar, découvrir les services et les activités, les

différents aspects de la ville, ainsi que des éléments de son histoire.

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Route d'Antaninarenina

Xavier

La route d’Antaninarenina est en terre et sable et très abîmée. Elle porte le nom du quartier qu’elle

traverse. « Antaninarenina signifie « banc de sable aménagé ».

Cette route mène à la route d’Ifaty, à partir de la rue de l’Explorateur Bostard et du centre-ville. On y

trouve un lycée, le CITE, un « bazary » (marché), de petites épiceries et une borne fontaine.

Lycée d’Antaninarenina Hôtel-restaurant LE SAX’ APHONE

Chemin menant au CITE (Centre

d’Information Technique et Economique)

Atelier agro-alimentaire du CITE

Fokontany du quartier Borne fontaine

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A v e n u e d e B e l e m b o k a X a v i e r

L’avenue de Belemboka va vers le village de

Belemboka et Miary. Elle n’est qu’en partie goudronnée. Cette rue

contient un hôtel : le CAPRICORNE, et plusieurs

usines, en particulier une usine de coton.

Sur cette route on peut apercevoir quelques

maisons en dur et beaucoup d’autres en paille

(vondro). Quand il pleut, on y circule assez

difficilement sur la partie en terre.

Quelques services administratifs

Centre fiscal de Tuléar Palais de la région

De vieilles maisons encore habitées

Au début de l’avenue Cité des Ponts et Chaussées

Le collège Le Paon, au début de l’avenue

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Des usines

Usine de coton Savonnerie BAOBAB

L’hôtel Capricorne

La SNHU (Société Nouvelle des Huileries de

Toliara) a réuni en 1975 3 sociétés d’huileries. En

1982, elle a laissé place à la société INDOSUMA.

Des espaces cultivés bordent

l’avenue, en s’éloignant de la ville.

Habitat traditionnel

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BOULEVARD CAMPAN

Chaïsta

Le boulevard Campan commence à partir du restaurant

Corto Maltese à Tanambao sur la rue Raseta pour finir au

Boulevard Monja Jaona à Tsianengea.

Campan était un colon français. Consul par intérim à la fin du XIXè siècle, à Tananarive.

Corto Maltese, un restaurant italien Bâtiment moderne

Emplacement de l’ancienne Alliance française Terrain de tennis, près de l’ancienne Alliance française

Page 6: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Garage des Amis

Collège luthérien, à 50m du garage des Amis

Auto-moto école Hasina L’assurance MAMA (Mutuelle d’Assurance

Malagasy) ; début du quartier de Tsianengea)

CEG-Centre (ancienne Ecole Primaire)

Bd)Campan) Ecole primaire publique Godwin’s Mahatsereke

(ancienne annexe du CEG)

Page 7: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Tsianengea est un quartier de marchands antandroy.

Page 8: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Rue Carnot Mourtaza

La rue Carnot prend naissance près du tribunal et se

termine près de l’hôpital. Qui est Carnot ? Est-ce le

président de la République française mort en 1894 ou

un colon ?

Le Kily où la rue commence. Il sert

de rond-point

Le tribunal administratif, bâtiment récent

Juste en face du tribunal : Hôtel Bar

franco-malgache

Petite menuiserie et vente de meubles

Page 9: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

L’école EPP de Tanambao

Morafeno, une école pilote avec un

jardin scolaire et un centre

d’éducation et d’intégration des

enfants handicapés mentaux.

Croisement avec la rue Raseta.

Cimetière à gauche

Service de District de la Santé et

de la Protection Sociale. Toliara I

CHU de Tuléar (Centre

Hospitalier Universitaire)

Institut de formation

interrégional des paramédicaux

Page 10: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Route Edward Nestor Xavier

La route Edward Nestor est très longue. Elle

débute sur le boulevard Monja Jaona près de

l’Ecole Normale et se termine dans le quartier de

Mahavatse I.

Cette route est très abîmée. On y trouve

cependant un certain nombre de services.

Edward Nestor était un militaire (sergent).

Centre de santé de base niveau II Mahavatse I,

avec maternité

Marché de Mahavatse I

Ecole d’Application de l’Ecole Normale Ecole privée d’expression française La

Clairière. Panneau de clinique dentaire

Page 11: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Eglise de Mahavatse, œuvre de la communauté

salésienne ou Don Bosco

Centre Oratorio et installations sportives

Don Bosco

Collège Sacré-Cœur Mahavatse I

Snack-bar Zanzibar Service de l’Energie et des Mines

Dispensaire Notre Dame des Flots Maison ancienne, demeure du

directeur de la DREN

Centre de formation professionnelle Don Bosco

Saint-Jean Bosco ou Don Bosco (1815-1888).

Prêtre italien qui a voué sa vie à l’éducation des jeunes

enfants issus de milieux défavorisés.

Il a fondé en 1954 la Société de Saint-François de Sales

plus connue sous le nom de Congrégation des

Salésiens.

Page 12: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

ArAben’ny fAhAleovAntenA (avenue de

l’indépendAnce)

Chaïsta

Araben ’ ny Fahaleovantena veut dire avenue de l’Indépendance. Cette avenue commence au croisement de

la place de l’OUA et s’arrête au cimetière indo-pakistanais.

Dans presque toutes les grandes villes de Madagascar, on remarque l’existence d’une avenue principale

portant le titre de Araben ’ ny Fahaleovantena.

Cette rue mène au centre-ville vers le sud et à Ifaty au nord. En allant vers le centre-ville, elle sépare le camp

Militaire à gauche de la cité de la gendarmerie à droite.

Ici se croisent les gens des différents quartiers (de l’Ouest, Tsianaloka ; de l’Est, Morafeno ; du Nord, Anketa ;

du Sud, Tuléar- centre).

Le Collège Notre Dame de Nazareth (NDN),

vieux de cent ans, contemple les mouvements

des voitures et des piétons le long de la rue.

En face du Collège Notre Dame de Nazareth,

la station-service Galana, côté réparation

des pneus

Page 13: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Pharmacie vétérinaire (Fivarotam-Panafodim-Biby) Hôtel Le Refuge, en face de la Cité de le

Gendarmerie

Lavage igloo de mille Anketa

Les dépôts de ciment d’Aftab

La Chapelle d’Anketa

Anketa est un quartier populaire

L’avenue de l’Indépendance s’arrête à cet

endroit, près du cimetière indo-pakistanais

Page 14: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Avenue de France

Sarah

Elle part d’à côté de la Poste sur le

boulevard Monja Jaona jusqu’au

port de Tuléar. C’est une rue très longue, dans laquelle on circule beaucoup. Elle est très animée.

Des hôtels

Beaucoup de boutiques anciennes et d’épiceries

Hippocampo

Chez Lala

L’Albatros

Page 15: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

La COPEFRITO (Compagnie de

Pêche Frigorifique de Toliara)

L’entreprise DHL

Le nouveau siège de l’ONG Bel Avenir et l’assistance alimentaire aux orphelins et

enfants vulnérables

Bâtiment en construction Distribution payante d’eau (borne fontaine) pour

les habitants qui ne sont pas abonnés à la JIRAMA

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Eglise orthodoxe Musée de la mer et IHSM (Institut Halieutique

et des Sciences Marines)

Direction Régionale de la Pêche Agence Portuaire Maritime et Fluviale (APMF)

Dispensaire Sisal Entrée de la zone portuaire

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Rue de France

Neylan

La rue de France commence au bord de la mer et se termine à la Place de

l’OUA. Elle porte ce nom depuis la période coloniale.

Il y a plusieurs bâtiments anciens et quelques services.

Maison datant des années 1920 Mosquée Bohra

Hôtel Saïfee, construit en 2005

Direction régionale du commerce

Salle Basia et entrée du collège de Nazareth Il n’y a pas beaucoup d’animation dans

cette rue

Page 18: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Rue Gambetta Lloyd

La rue Gambetta est une petite rue

où on trouve quelques bâtiments

anciens. Elle reste tranquille malgré

les commerces ici et là. Cette rue a

été baptisée depuis la colonisation

française. Depuis, elle n’a plus été

rebaptisée.

Cette rue prend naissance à la Place

de la République et finit sur le

boulevard Lyautey.

Léon GAMBETTA

Léon Gambetta, né le 2 avril 1838 à

Cahors et mort le 31 décembre 1882

à Sèvres, est un homme politique français républicain. Membre du Gouvernement de la défense nationale en 1870,

chef de l'opposition dans les années suivantes, il fut l'une des personnalités politiques les plus importantes des

premières années de la Troisième République et joua un rôle clé dans la pérennité du régime républicain en France

après la chute du Second Empire. Il a été président de la Chambre des députés (1879-1881), puis président du Conseil

et ministre des Affaires étrangères du 14 novembre 1881 au 30 janvier 1882.

A l’entrée de la rue, un commerce tenu

par une chinoise. C’est un bâtiment

ancien.

Bijouterie, et juste à côté, un commerce de

boissons alcoolisées, ouvert récemment.

Page 19: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

La mosquée indienne Khoja. En face de la mosquée, un bâtiment qui sert de

salle d’étude pour les enfants indiens Khoja.

Un peu plus loin de la première mosquée,

une seconde mosquée, qui appartient à la

même association que la première, Khoja

Bâtiment ancien qui a une architecture du

temps de la colonisation.

Ancien restaurant « L’Oriental »

Page 20: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Rue du Gouverneur Campistron Mourtaza

Marcel Campistron est un diplomate français, né le 12 novembre 1901 à Madagascar et

décédé le 27 novembre 1945 en Tunisie.

En septembre 1940, Marcel Campistron est administrateur de la

région du Sine-Saloum à Foundiougne au Sénégal, quand la flotte

anglo-française du Général de Gaulle se présente devant Dakar,

dans le cadre de l’opération « Menace ». Le Général écrit avoir

envoyé son représentant Claude Hettier de Boislambert « par les

coulisses ». Ce dernier sera ainsi reçu par Marcel Campistron, qui a

rejoint secrètement la France libre et participe à la préparation de

l’opération à Dakar et ses environs, ainsi que son adjoint Antoine

Bissagnet.

Après l'échec de l’opération, les trois hommes doivent fuir la

répression des Vichystes. Boislambert et Bissagnet seront arrêtés.

Campistron réussit à gagner la Gambie. Il laisse derrière lui son épouse et ses six enfants

désemparés. Il est reçu à bord du Westernland par le Général de Gaulle, nommé auprès du

Gouverneur de l’AEF en octobre 1940, puis chargé de différentes missions en Afrique et au

Levant sous le pseudonyme de « Galbert ». Il est chargé en particulier de visiter les camps

de prisonniers français détenus par nos alliés, pour les rallier à la cause de la France Libre.

Il y réussit pleinement.

En mars 1941, le Général Catroux lui confie la réorganisation de la Sûreté au Levant. Il est

condamné à mort par Vichy. En 1943 il est affecté dans l’océan Indien, et, à la fin de la

guerre il est Directeur du Cabinet du Gouverneur de Madagascar De Saint Mart. Sur les

instances de ce dernier, il refuse provisoirement sa mutation de retour sur le Sénégal.

Il meurt lors d’une mission en France, dans l'accident d’avion du 27 novembre 1945 sur les

pentes du mont Zaghouan, en Tunisie. Cité à l’ordre de la Nation le 20 janvier 1946, il est

nommé Gouverneur à titre posthume.

Caisse d’Epargne de Madagascar, au début de la rue

Page 21: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Station TOTAL

Lycée privé Les Roitelets

BANK OF AFRICA (BOA)

L’ancien CIMELTA (gros ouvrages

métalliques et matériel électrique).

Tropical Hôtel, en face de la Caisse d’Epargne en

lente rénovation

Appartements

Boutique Orange Restaurant et magasins

Page 22: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Rue Henri Martin et rue Lars Jakubsen Röstvig)

La rue Henri Martin prolonge la rue Lars Jakubsen Röstvig. Cette dernière commence sur le boulevard Lyautey et

se termine au croisement de la cathédrale luthérienne. La rue Henri Martin est quant à elle prolongée par la rue

Victor Hugo.

1- Rue Lars Jakubsen Röstvig

2- Rue Henri Martin

Lars Jakubsen Röstvig (1846-1936) fut

missionnaire sur la côte ouest à la fin du XIXè

siècle.

Il est né en Norvège et fut pasteur en 1874 et

envoyé sur la côte ouest de Madagascar. Il ouvrit

la station de Tuléar avec A. Valen.

Il épousa Martha Serine Olsen, fille d’un

commerçant norvégien qui venait de s’installer à

Tuléar.

En 1899, Röstvig fut nommé surintendant de la

NMS (Missions norvégiennes luthériennes) pour

la côte ouest et il exerça cette fonction jusqu’en

1911, date de son retour définitif en Norvège.

Immeuble AIR MADAGASCAR

La rue longe la cathédrale luthérienne Début de la rue, près du boulevard

Lyautey : Ets Safy (vente de meubles)

Fin de la rue : centre-ville et commerces

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RUE LEDA ALBERT Fanambinantsoa

Cette rue commence à partir de la rue Edward Nestor, au rond-point où se trouve le collège

Esaka et se termine sur la RN dans le quartier de Sanfily. C’est l’ancienne rue de l’Ecole

Ménagère.

Leda Albert est un ancien maire de Tuléar, qui a été par ailleurs Secrétaire d’Etat à la Fonction

publique. Sur cette rue il y a des entreprises, des écoles, un lycée et différents services.

Collège Ezaka

« Vola mahasoa »

C’est une institution de micro-finance

Début de la rue, au rond-point

Page 24: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Petite EPP qui s’appelle « Petit

Lycée »

Lycée Laurent Botokeky, en face

de l’EPP Petit Lycée

Autre école et divers services Scène de rue

Page 25: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Ces deux rues portent le nom de lieutenants français. La rue Lieutenant Chanaron prolonge la rue Lieutenant de

Bridiers.

La rue Lieutenant de Bridiers commence au boulevard Monja Jaona et arrive à la place du Marché. De cette place

part la rue Lieutenant Chanaron pour finir sur la rue Sacré-Cœur.

I- Rue Lieutenant de Bridiers

Rue Lieutenant de Bridiers

&

Rue Lieutenant Chanaron

Cédric

Début de la rue près de la poste et du magasin

Horizon Mécanique

L’hôtel « TOLY HOTEL TRANSIT »

Foyer Agakhan Salon de thé et cybercafé

Page 26: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

II- Rue Lieutenant Chanaron

Banque BNI Service des Domaines

Magasin Candy et cybercafé La cathédrale luthérienne

(Fiangona loteranana)

Maisons anciennes, de la période coloniale

Page 27: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Le boulevard lyautey Kévin

Ce boulevard est en bord de mer. Sur ce boulevard bordé de cocotiers, il y a des hôtels, l’Alliance française,

le marché des coquillages, des boîtes de nuit (Tamtam Café et le Zaza Club). Les deux hôtels les plus

connus dur ce boulevard sont : l’Amazone Hôtel et le Palétuvier.

On y trouve également des restaurants, en particulier un avec un terrain de pétanque : Le Bœuf. La

Cascade est un restaurant à l’abandon, laissé par deux Français.

Différents services peuvent être observés : la société Auxima, la Banque Centrale de Madagascar,

WWF, une agence immobilière. Un grand jardin a été aménagé : le Jardin de la Mer. Au bout de

l’avenue, un petit espace de culte en plein air a été aménagé.

Certains n’hésitent pas à utiliser ce boulevard pour les courses de motos et autres engins, parfois la nuit.

Il est plutôt endommagé actuellement, notamment devant l’Alliance française où le passage est impossible.

Des bâtiments anciens datent de l’époque de la colonisation française, donnant un aspect particulier à cette

avenue.

Le boulevard Lyautey est très fréquenté par les touristes, et par la population locale en général.

.

Louis-Hubert LYAUTEY (1854-1934)

Se destinant à la carrière militaire, il

entra à Saint-Cyr en 1873. Il fut envoyé

en Algérie. En 1894, Lyautey quitta la

France pour le Tonkin, puis pour

Madagascar en 1997, où il partit avec

Gallieni.

Devenu colonel, en 1900, il parvint à

pacifier la région et à favoriser le

développement économique.

En 1903, il fut appelé par le gouverneur

général Jonnart, en Algérie.

En 1912, il devient le premier résident

général de France au Maroc.

Il fut fait en 1921 maréchal de France.

Il publia « Dans le sud de Madagascar,

pénétration militaire, situation

politique et économique » (1903).

Le boulevard bordé de cocotiers et deux hôtels

« Grotte » dédiée à Marie et espace de culte

Page 28: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

La Banque Centrale de Madagascar

Un ancien bâtiment parmi tant d’autres. Le panneau portant le nom du boulevard

Vers le port ; point de départ pour Anakao

Page 29: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

La rue du Marché La rue du marché commence au boulevard Philibert Tsiranana en plein centre-

ville et se termine sur boulevard Monja Jaona, à proximité de la poste.

Sur la rue du Marché il y a, comme son nom l’indique, un grand marché (Bazary

Be) qui est très célèbre, des magasins et le Commissariat central de police.

Magasins au début de la rue

TOLY HOTEL TRANSIT

Quincaillerie et bureau de change Bijouterie

Marché

Commissariat central de police

Page 30: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Rue Marius Jatop Marin

La rue Marius Jatop s’appelait auparavant rue du Commerce. Cette rue du Commerce passait devant

l’hôtel Plazza Sud et arrivait jusqu’au quartier Mahavatse. Maintenant, cette partie de la rue du

Commerce fait partie du boulevard Lyautey.

Beaucoup de bâtiments anciens datant de l’époque coloniale donnent sur la rue Marius Jatop. La rue

commence sur le boulevard Monja Jaona et se termine sur la rue Sacré-Coeur. On voit l’ancienne

quincaillerie Amiraly, l’école maternelle Les Diablotins, des bars à l’emplacement de l’ancien Magro, la

mosquée DAWOODI BOHRA MASJID TULEAR.

Entrée de la Résidence (ancienne préfecture)

)préfecture)

Bars à l’emplacement de l’ancien Magro

Mosquée DAWOODI BOHRA MASJID TULEAR Ecole Maternelle Les Diablotins

Ancienne quincaillerie Amiraly Maison ancienne

Page 31: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Boulevard Monja Jaona (ancien boulevard

Gallieni) Sarah

Tuléar est une grande ville. On arpente le

grand boulevard Monja Jaona qui va de

l'hôtel L’Escapade au bord de mer. Là,

on arrive sur le boulevard Lyautey qui

longe la mer.

La principale artère de Tuléar a porté le

nom de Boulevard Gallieni

jusqu'en 1999. Cette année-là,

elle fut rebaptisée boulevard Monja

Joana et sa statue fut érigée sous les

palmiers-dattiers, près du Marché des Coquillages.

- Monja Joana, une des principales figures politiques de Madagascar, n'est pas né à Tuléar mais

à Amboasary près de Fort-Dauphin, dans l’Androy. Parti travailler à pied dans les grandes

plantations du Nord de Madagascar, il se convertit au christianisme. Il revient ensuite dans la

région de Tolagnaro, à Manambaro, où il travaille à la mission luthérienne. Agé de 25 ans, il

intente un procès au Français chef de poste d’Antanimora... et il gagne.

Page 32: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Son choix est fait : il se lance dans la défense de la paysannerie. Engagé en 1939 dans les forces

françaises, il ne peut rejoindre la France. Démobilisé quelques mois après l'armistice franco-

allemand de 1940 et déjà très craint par l’administration coloniale, il est mis en résidence

surveillée à Manakara, puis condamné en septembre 1946 et emprisonné jusqu’en 1950. On le

considère cependant comme un des principaux inspirateurs des évènements sanglants de 1947.

En 1958, il fonde un nouveau parti, le MONIMA (Madagasikara Otronin'ny Malagasy) dont il

reste le chef jusqu’à la fin de sa vie. Maire de Tuléar, de 1959 à 1961, il revendique la paternité de

la grande insurrection d'avril 1971 qui touche le Sud malgache où il est aimé et respecté. Depuis

Tuléar, il participe de près ou de loin à toute la vie politique malgache de 1955 à 1994. Il est

même blessé par balle en mars 1992 lors d’un affrontement avec les forces de l'ordre. Sous la

IIème République, il été membre du Conseil Suprême de la Révolution (CSR), puis député dans

une circonscription de Tananarive.

Un de ses fils, Monja Roindefo, lui succédera alors et deviendra premier ministre en 2009.

- Joseph Simon Gallieni est né le 24 avril 1849 à Saint-Béat en Haute-Garonne et est mort le 27 mai 1916 à Versailles. Il était militaire et administrateur colonial français. Il a exercé une grande partie de son activité dans les opérations de colonisation menées par la France, laissant une empreinte profonde sur l'histoire de la colonisation française. Il termine sa carrière pendant la Première Guerre mondiale.

Promu général de brigade, il est envoyé en 1896 à Madagascar en tant que Gouverneur général. À la méthode diplomatique de son prédécesseur le général M. Laroche, il préfère une méthode plus brutale. Il instaure le travail forcé des indigènes.

La cour royale, foyer de résistance patriotique contre l'impérialisme français, est mise en interdit. Deux ministres, dont le patriotisme est avéré, sont traduits sommairement devant un tribunal, condamnés et exécutés. Le premier ministre Rainilaiarivony est renversé et exilé. La nouvelle reine, Ranavalona III, plus patriote que jamais, est prise en flagrant délit de correspondance avec les opposants à l'occupation, perd son trône et prend le chemin de l'exil à Alger.

En huit ans de proconsulat, Gallieni pacifie la grande île, procédant à sa colonisation. Au total, la répression qu'il mène contre la résistance du peuple malgache à sa colonisation fera entre 100 000 et 700 000 morts pour une population de 3 millions.

Le long du boulevard Gallieni, on peut trouver :

Des hôtels et des restaurants :

L’hôtel Mahayana Sharanji L’hôtel L’Escapade

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Des bâtiments publics :

Direction Régionale de l’Education Nationale (DREN)

Le restaurant La Maison Le restaurant La Bernique et boutiques

La poste

L’hôtel de ville

Un cinéma Lycée technique

Ecole Normale

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Rue Montagnole (et prolongement vers le marché) Fanambinantsoa

La rue Montagnole va de la BOA sur la rue du Gouverneur Campistron à l’hôpital principal. Cette rue

est très animée.

Marché du centre-ville Le magasin Rémi

CNaPS (Caisse Nationale de Prévoyance

Sociale). Délégation régionale de Tuléar.

La pharmacie de Tanambao

Le dispensaire luthérien Salfa Elèves du collège devant l’hôtel-restaurant

Croix du Sud, fréquenté pour le karaoké du

vendredi

Page 35: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Rue n° 14 Steve

Cette rue commence au stationnement de taxi-brousse de Sanfily et se termine à la JIRAMA. Comme

certaines rues de Tuléar, elle porte seulement un numéro.

Sur cette Rue N° 14, on trouve un marché, une école privée, quelques hôtels, une pharmacie, l’ADES

(Association pour le Développement de l’Energie Solaire), un petit bijoutier, un petit garage pour les cyclo-

pousses et un stationnement de bus dans la rue.

Le marché de SAKAMA

L’hôtel « AZIZAN »

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École privée Oceane Hannah School L’ADES (association pour le développement

de l’énergie solaire)

Le bijoutier Siteny Garage pour cyclo-pousse.

Stationnement de bus dans la rue Ankilifaly (tamarinier sacré)

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Boulevard Philibert Tsiranana Qui est Philibert Tsiranana ? Matéo

Philibert Tsiranana, né le 18 octobre 1910 et décédé le

16 avril 1978, fut le premier président de la République

malgache, entre 1959 et 1972. Pendant douze ans, la

République de Tsiranana connaît une stabilité

institutionnelle qui tranche face aux troubles politiques qui

secouent l’Afrique francophone à la même époque. Cette

particularité participe à la construction de sa popularité,

attribuant à Philibert Tsiranana une réputation d'homme

d’État remarquable. Usé sur le plan physique et politique, il

connaît une fin de mandat plus que mitigée. L'image populaire

d'un bienveillant maître d’École qu'il affiche publiquement,

dissimule aussi une grande fermeté, voire un penchant pour

l’autoritarisme. Il demeure toutefois une figure politique

malgache de premier plan et reste connu dans son pays comme le « Père de

l’indÉpendance ».

Ici, venant de se

faire élire président

Tribunal de Première Instance ;

Cour d’Appel Nouveaux bâtiments

Le boulevard Philibert Tsiranana

commence à partir du carrefour où il y

avait le Magro et se termine à l’Alliance

française, sur le boulevard Lyautey.

Sur cette rue on trouve beaucoup de

bâtiments bien connus comme le tribunal

ou le CEDRATOM, un camp militaire, des

écoles. Le boulevard traverse le centre-

ville où se concentrent de nombreux

commerces et des services.

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Collège La Pépinière Station-service Galana

Commerces divers Office du Tourisme

Central Hôtel Place du Marché

Les arcades du centre-ville

Le CEDRATOM (Centre de Documentation et de

Recherche sur l’Art et les Traditions Orales de

Madagascar), ancien hôtel de ville de Tuléar

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Rue Raseta Cédric

La rue Raseta se trouve dans le centre-ville de

Tuléar. Elle commence au rond-point de la place de

la République (près de la pharmacie Mozambique)

et se termine à la rue « N°14 ».

Elle se poursuit par la Route de l’Université. On

l’appelle aussi souvent la « Rue des Italiens », en

raison de la présence d’entreprises appartenant à

des Italiens dans cette rue.

Le nom de la rue vient du nom d’un médecin, le

docteur Joseph Raseta », qui fut l'un des grands

acteurs de l’histoire de Madagascar et qui la mena

à son indépendance. Il fut député.

Des restaurants chinois/japonais/malgache

Docteur Raseta (1886-1979)

En 1922, il s’établit comme

médecin libre à Tuléar.

Il fut élu à l’Assemblée

constituante en 1945. Il

fonde en 1946 le

Mouvement démocratique

de la rénovation malgache,

dont il devient président.

En 1963, il crée un nouveau

parti, le FIPIMA, l’Union

nationale malgache.

Candidat aux élections

présidentielles contre

Tsiranana, il est battu.

Il était l’allié de Monja

Jaona.

Il a été nommé grand officier

de l’ordre des combattants

de la révolution malgache

par la Seconde République

de Didier Ratsiraka.

Flash Vidéo et magasin Baobab

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Archinfo(cybercafé) et la pharmacie Meva La glacerie La Gelateria

Un magasin de pièces pour véhicules L’hôtel Eden, actuellement fermé

Le collège « Houssen Mémorial School » A proximité du marché de Sakama

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Divers magasins

Le cimetière

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Rue ravalitera Nahim

La rue ravaLitera traverse Le quartier d’andaboLy.

Elle prolonge la rue refotaka depuis le carrefour

vers miary.

Cette rue se termine au fameux stade (« kianja »)

maitre kira, dont la capacité est de capacité est de

5000 places.

Bruno Ravalitera est né en 14 avril 1950 à Tuléar. Ancien

footballeur malgache, il est mort en 1977 à Fianarantsoa. Il a le

même âge que Michel Kira.

A l’âge de 20 ans il a commencé à jouer au football dans le club

civil Korennian. Il a participé à la coupe de Madagascar plusieurs

fois.

En plein match contre la sélection de Manakara, il a reçu un choc

mortel sur la poitrine : deux côtes fracturées ont touché son

cœur et Ravalitera s’est éteint sur le champ.

Michel Kira (Maître Kira) est un célèbre footballeur,

figure emblématique et légende vivante du football

malgache. Né le 7 avril 1950, il a joué pendant 15

ans dans l’équipe nationale, de 1968 à 1983. Il a

remporté la coupe de championnat de Madagascar 4

fois.

Il est le seul joueur dont le nom a été attribué, de

son vivant, à un stade.

Stade Maître Kira Longo hôtel

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Rue Rebiby (Rue de la Voirie)

Lloyd

La rue de la Voirie a été baptisée à l’époque de la colonisation française, puis rebaptisée

depuis la IIè République, rue « Rebiby ». Mais l’attachement à « rue de la Voirie » reste

toujours fort.

La rue de la Voirie (ou Rebiby) et ses alentours

Rebiby, gouverneur de Toliara

(1898-1918).

Il est le fils de Tompoemana, roi

Masikoro, du Royaume du

Fiheregna (entre les fleuves Onilahy

et Mangoky). Tompoemana avait

accepté avec amertume de négocier

avec les Français en 1898. Il meurt

en 1899.

Rebiby est nommé gouverneur du

Fiheregna en 1901. Il décède en

1918.

Un restaurant : l’Esterel

Un hôtel : Le Sani Hôtel

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Une entreprise industrielle : MUREX

La direction régionale de la décentralisation

La direction régionale du contrôle des

dépenses engagées

Un établissement municipal : la caserne des

pompiers

Un établissement de santé : le dispensaire

de la Fraternité

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Rue refotaka (ancien Bd Branly) Nahim

La rue Refotaka porte le nom d’un roi mahafaly. Elle commence à l’avenue Monja

Jaona et se termine au carrefour où commence l’avenue de Belemboka.

La rue refotaka passe

devant le college

français Etienne De

Flacourt.

le centre médical betesda,

juste à côté du collège

L’ageNce de PMu de tuLéar,

En face du centre médical

eMPLaceMeNt de L’aNcieN MagrO,

détruit en février 2009

L’OMit, uN disPeNsaire (organisa-

Tion médicale inter entreprises)

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RN 7 Steve

Quartiers traversés

Stationnement des

taxi-brousse

Pharmacie Zanatany

La RN 7 est une grande artère au sud

de a ville, en direction de l’aéroport.

Elle traverse plusieurs quartiers.

La circulation devant la station de

taxi-brousse n’est pas aisée.

Cette route s’appelait autrefois

« Route d’Intérêt Général ».

Un grand nombre d’activités peuvent

être observées le long de cette voie.

La quincaillerie Zanatany Station de taxi-brousse

Hôtel-restaurant CHEZ ALAIN, vers la droite

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Trajectoire est un vendeur de

motos et de quads

L’hôtel « ANALAMANGA »

L’hôtel-restaurant « VICTORY »

Hôtel « La RESIDENCE ANKILY »

Station Jovenna Clinique Saint-Luc

Marché de Sanfily Scouts devant le magasin FDC, spécialisé

dans les vitres et l’aluminium

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Rue Sacré-Cœur

Neylan

La rue Sacré-Cœur va de l’avenue de l’Indépendance au front de mer.

Dans cette rue, on peut voir notamment des écoles catholiques et plusieurs

entreprises,

Le Sacré-Cœur est une dévotion au Cœur

de Jésus-Christ, en tant que symbole de

l’amour divin.

La tradition catholique a toujours associé le

Sacré-Cœur aux actes de réparation dédiés

au Christ.

Agence SALAMA de Tuléar. C’est une

centrale d’achats de médicaments

essentiels et de matériel médical de

Madagascar.

« Palais Junior », un magasin de

jouets et de meubles

Page 49: Découvrons Tuléar à travers ses rues - histegeo.org

Hôtel Dera Hôtel Ambary

Hôtel Lovasoa Pharmacie Fiherena

Petits commerces CEG-Institut islamique de Madagascar

Collège Sacré-Coeur

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Rue Vaguier

Xavier

Elle commence à partir de l’usine STAR et se termine sur l’avenue de l’Indépendance (Route d’Ifaty). C’est une rue

très fréquentée. On y rencontre un grand nombre d’activités et de services.

Marchands de pièces de vélos

Les services de la JIRAMA

Ecole primaire Les Diablotins Internat du Collège français

L’usine STAR, aujourd’hui fermée SUD CONFORT fabrique et vend des meubles

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Le restaurant LA COLOMBIA Le marché de Sakama, près de la JIRAMA : vente

de volailles

Vente de légumes, près de la JIRAMA Petit restaurant (hotely) et coiffeur au

marché DE SAKAMA

Collège privé Les Moineaux Place des Officiers de la Garnison de Toliara

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Marin

Rue Victor Hugo La rue Victor Hugo est au centre-ville (Bazary Be) et se situe entre le boulevard Philibert Tsiranana (Central

Hôtel) et la rue du Gouverneur Campistron. On y trouve beaucoup de commerces et un hôtel.

Le nom du grand écrivain français a été donné à la rue depuis la période coloniale.

CENTRAL HOTEL

Nombreux petits

commerces

Quelques immeubles