Upload
ngoduong
View
215
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
Question 1 :
Analyser, à l’aide de vos connaissances, l’ensemble des expériences décrites dans le document A.
En quoi, les expériences A1 et A2 sont-elles complémentaires ?
Dans une démarche expérimentale, quelle fonction joue le document A1 par rapport au document A2 ?
Deviendra le fruit
Deviendra une graine
Après double
fécondation
Question 1 :
Analyser, à l’aide de vos connaissances, l’ensemble des expériences décrites dans le document A.
En quoi, les expériences A1 et A2 sont-elles complémentaires ?
Conclusion :
Formation des graines à l’intérieur du pistil
transformé uniquement en présence des
étamines.
Résultats :
Expérience d’ensachage du pistil de la fleur du
coquelicot (pas contact pollen-pistil) :
pas de graines produites
Expérience de pollinisation artificielle (dépôt
de pollen sur le pistil) : production de graines
Conclusion :
Transformation du pistil en fruit (capsule) et
des ovules en graines due au pollen.
Fonction : mettre en
évidence l’importance
des étamines dans la
formation des graines
Fonction : préciser les
modalités de cette
transformation via le pollen
et son dépôt sur le pistil
Question 1 :
Dans une démarche expérimentale, quelle fonction joue le document A1 par rapport au document A2 ?
Fonction :
Poser un problème scientifique.
Résultats de l’expérience de castration
Comment les étamines- à distance du pistil-
peuvent-elles induire la formation de graines ?
+ Hypothèse : Les étamines produisent du
pollen qui, par gravité en tombant sur le pistil
(Pois) ou, en étant transporté par des insectes
(Coquelicot), peut être responsable des
transformations décrites.
Fonction : Tester l’hypothèse.
Manipulation 1 : expérience témoin (pistil
isolé des étamines donc du pollen par un
sachet)
Manipulation 2 : expérience « échantillon »
dans laquelle le pollen est déposé
manuellement sur le pistil.
Question 2 :
Décrire les étapes de la germination de la graine présentée sur le document B. Préciser le type de germination, justifiez.
- Imbibition de la graine : Réhydratation des différents tissus = Reprise de la respiration +
synthèses ET gonflement de la graine + éclatement du tégument (Passage vie ralentie à vie
active)
- Apparition de la racine par le tégument déchiré (1er signe observable de la germination)
- Surrection de la tige feuillée.
Rôle de la racine : Ancrer la plante au sol et absorber l’eau et les minéraux.
Indicateur de l’achèvement de la phase de germination : apparition des 2 premières feuilles
vertes. A ce stade : épuisement de l’ensemble des réserves de la graine par la plantule .
Plante autonome et autotrophe grâce au démarrage du mécanisme de la photosynthèse.
Germination de type « épigée » : développement de l’hypocotyle entraînant les cotylédons au-
dessus du sol (haricot, …).
Question 2 :
Quelles conditions doivent être réunies pour qu’une graine germe ?
Graine formée :
- d’une plantule (future plante à l’état miniature)
- d’un ou de deux cotylédons contenant des réserves nutritives,
- ensemble entouré d’un tégument.
Pour germer, une graine :
- ne doit pas être trop vieille (avoir conservé son pouvoir
germinatif)
- doit être dans des conditions favorables
§- d’humidité,
§- de température
§- d’oxygénation.
Lumière : pas un facteur de germination hormis quelques
exceptions (semences de laitues, par exemple).
Automne : saison favorable à la germination pourtant la plupart des graines ne germent pas-
En dormance : phase pendant laquelle la graine est en vie ralentie (déshydratation réduit les
activités métaboliques de la graine) – protège la plantule des rigueurs de l’hiver et du gel.
Pouvoir germinatif acquis après le passage de la période de froid
(certaines espèces, dormance en été : protection contre la sécheresse).
Question 3 :
A partir du document C, déterminez les facteurs qui influencent la répartition des espèces arborées au niveau du
territoire.
Répartition des espèces arborées, au niveau du territoire, liée :
- à l’altitude :
§- forêts de plaine à dominante feuillus
§- forêts de montagne évoluant de la forêt mixte (étage montagnard) à la forêt de
conifères (étage subalpin)
- à la latitude : forêt méditerranéenne clairsemée/ forêt tropicale dense
- à la nature du sol : garrigue sur sol calcaire et maquis sur sol siliceux
- à l’action de l’Homme : forêt des Landes de Gascogne
Question 3 :
A partir du document C, déterminez les facteurs qui influencent la répartition des espèces arborées au niveau du territoire.
Altitude et la latitude ciblent le facteur
« température ».
Répartition des végétaux en relation avec un
gradient de température :
Espèces feuillues puis, peu à peu, espèces
conifères plus résistantes au froid, à mesure que
la température s’abaisse avec l’altitude.
En montagne, décalage de la répartition de la
végétation en fonction de l’orientation donc de
l’ensoleillement :
Limite végétation feuillue > côté adret (versant
sud) par rapport au côté ubac (versant nord).
Ensoleillement facteur « température »
+ durée de l’ensoleillement
production végétale.
Question 3 :
A partir du document C, déterminez les facteurs qui influencent la répartition des espèces arborées au niveau du territoire.
Sous des latitudes différentes mais à température élevée :
Forêt méditerranéenne / forêt tropicale.
Facteur « l’humidité » explique la différence de densité entre les 2 végétations.
Sous même latitude et même température :
Forêts méditerranéennes de maquis / garrigue.
Facteur « nature de la roche-mère » discrimine les végétaux :
§- par la composition en minéraux disponibles (sols siliceux / sols enrichis en calcium)
§- par la disponibilité de l’eau : sols calcaires très perméables, pauvres en eau.
Facteur « humain » : détermination de la nature d’un peuplement végétal pour raisons
économiques
Question 3 :
En utilisant la photographie de la coupe de tronc d’arbre présentée sur le document D, précisez :
Quel âge avait cet arbre ?
Quelle est la partie du tronc fabriquée en 2012 ?
Quelles informations nous apporte la comparaison de l’épaisseur de la zone pointée avec celle immédiatement à son
intérieur ?
Question 3 :
En utilisant la photographie de la coupe de tronc d’arbre présentée sur le document D, précisez :
Quel âge avait cet arbre ?
Quelle est la partie du tronc fabriquée en 2012 ?
Quelles informations nous apporte la comparaison de l’épaisseur de la zone pointée avec celle immédiatement à son
intérieur ?
21 ans.
Cerne le plus externe est de 2012.
Epaisseur du cerne pointé > à celle du cerne à son
intérieur (notamment la zone claire constituée de
vaisseaux de grand diamètre abondants au printemps
lorsque la pluviométrie est forte).
Cernes conduisent la sève brute venant du sol.
Donc :
- climat, cette année-là, beaucoup plus humide que
l’année précédente
- existence d’une relation entre humidité du sol et mise
en place des vaisseaux conducteurs.
Rappel sur la croissance en longueur des plantes vivaces :