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Participatif étudiant toulousain GRATUIT 15 juin 2013 www.facebook.com/diselomag de concert ! Gagnez vos places Quizz Vrai ou Faux ? Secrets de jeunesse Saurez-vous démêler le vrai du faux sur la jeunesse des people ? Entretien L’éveil Indien À la rencontre d’un grand voyageur, recueillir ses impressions sur l’éclosion de l’Inde

Diselo N°15

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Diselo, la magazine étudiant participatif toulousain !

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Participatif étudiant toulousainGRATUIT

n° 15juin 2013

www.facebook.com/diselomagde concert !Gagnez vos places

QuizzVrai ou Faux ? Secrets de jeunesseSaurez-vous démêler le vrai du faux sur la jeunesse des people ?

EntretienL’éveil IndienÀ la rencontre d’un grand voyageur, recueillir ses impressions sur l’éclosion de l’Inde

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rubrique

INFO CONCERT .COM

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Le printemps, le printemps… Il commence à sérieusement se faire désirer  ! Que cela ne tienne, nous sommes déterminés à profiter pleinement  ! Pour cela, Diselo vous propose, comme chaque mois depuis presque deux ans, de l’information et du divertissement  ! Nous sommes allés fureter du côté du monde du Base Ball, sport ultra populaire aux USA et qui reste confidentiel par chez nous. Une nouvelle rubrique va vous rapporter les faits insolites de par le monde : découvrez l’histoire pas ba-nale d’un chien qui restera fidèle à son maître envers et contre tout. Enfin, autre nouveauté, nous vous proposons un Quizz  ! Saurez-vous démêler le vrai du faux concernant la jeunesse des people  ? Enfin bon, on ne va pas faire le boulot à votre place, à vous de nous lire !

Petit aparté : Nous fêtons nos deux premières années le 12 juin prochain à la Cantine Numé-rique (23, rue d’Aubiusson, près du métro Ver-dier à partir de 19h). Il y aura de la musique, des stands associatifs et des surprises ! Ce sera gratuit et on vous y attend de pied ferme !

edito

édité par diselo  : 16, rue des Teinturiers 31300 TOULOUSESARL AU CAPITAL de 3000 € - N° SIREN : 535 243 786 RCS Toulousedirecteur de la publication : Cyrille Venaruzzorédacteur en chef : Cyrille Venaruzzo ils ont participé à ce numéro : Jolan Zaparty, Camille André, Mathieu Lemat, Matthieu Stricot, Paul Sailley, Adrien Raimbault, Cyrille Venaruzzoconception & réalisation : DISELO - impression : COREP

juin - N° 15

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ContaCt : CyrilleTél. 06 61 78 67 39 | [email protected]

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p 4

p 10

Entretien | 4-5L’éveil IndienJolan Zaparty et Camille André

A ta santé | 15GrignotageCyrille Venaruzzo

Le coin du Cinéphile | 13«Désiré» La genèse DupontelAdrien Raimbault

Coup de Projo | 17-19

Carte blanche à... | 12 Élodie Darmalingom

Quizz | 8-9Vrai ou Faux ? Secrets de jeunesseMatthieu Stricot

Système D | 14La voiture en toute libertéCyrille Venaruzzo

Insolite | 7Hachiko, la fidélité à toute épreuveMathieu Lemat

Dans les coulisses | 10-11du Stade Toulousain Base-BallPaul Sailley et Paul Sailley

p 7

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rubrique

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Entretien

À quand remonte votre rencontre avec l’Inde ?

C’était en 1995. Informaticien de métier, j’ai décidé de prendre un congé sabba-tique d’un an pour faire le tour du monde. J’ai vendu tous mes biens - sauf une dizaine de livres et de disques bien choisis - et je suis parti. Je n’ai pas fait un tour du monde complet mais j’ai voyagé de l’Egypte jusqu’aux Philippines, en passant par Tombouctou que j’ai rejoint en stop depuis Toulouse. En Inde, j’ai passé six se-maines dans le nord, sur le territoire du Ladakh. J’y suis ensuite retourné six mois entre 2000 et 2001 pour faire un tour du pays. J’ai écrit un livre suite à mes voyages en Inde, « Au beau milieu d’à-côté », qui n’est pas un guide touristique mais plutôt un carnet de voyages. J’y parle de mes rencontres, de mes premières impressions de touriste… En tant que guide conférencier, j’emmène des touristes en Inde de-puis 2005. Pour partager le virus !

L’essor de l’Inde, on le lit surtout dans les journaux. Est-ce que sur place, vous l’avez ressenti? Oui, au niveau démographique surtout. Il y’a de plus en plus de monde dans les

L’Eveil indien

L’Inde fascine. Qu’elle nous interroge ou qu’elle nous effraie, la patrie du Mahatma Gandhi éveille en nous tous les fantasmes. Pourtant, derrière les images figées de son folklore religieux, au-delà des luxurieuses façades de ses temples colorés, le pays se transforme. talonnant la Chine, l’Inde pour-suit son inéluctable essor... En grand connaisseur de l’Inde, Benoît Vidal, guide conférencier et globetrotter confirmé, nous rapporte quelques im-pressions.

Benoît Vidal

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Entretien

Par Jolan Zaparty et Camille André

grandes villes : plus de voitures et moins de vaches ! Les publicités pour des ob-jets informatiques sont partout. Si le coût de la vie augmente peu, en revanche, les chantiers se multiplient.

Quels freins perdurent face à cet essor de l’Inde ? D’abord, le désintérêt de l’Etat pour les populations paysannes. Dans la région du Bihar, au Nord du pays près du fleuve Gange, j’y ai découvert la vie dans les cam-pagnes. En Inde, la moitié des habitants sont des paysans, qui vivent avec moins d’un euro par jour. L’autre problème, c’est la pollution. On le sait, l’Inde possède l’énergie nucléaire - avec Areva, La France y construit des EPR depuis des années - mais les routes restent en mauvais état et il y a beaucoup de coupures d’électri-cité. Le pays possède un grand potentiel d’énergies et d’intelligences, freiné mal-heureusement par la misère, la pollution et le manque d’infrastructures. L’Inde est encore loin de la mutation écologique.

Quels sont les rapports de l’Inde avec l’Occident ? Depuis l’époque de la colonisation, les Indiens apprécient globalement la France, bien plus que l’Angleterre. A l’inverse des Britanniques qui ont colonisé les villes, les Français se sont implantés dans des lieux où il n’y avait presque rien. Sous De Gaulle, la France n’a rien dit non plus lorsque l’Inde a réalisé ses premiers essais nucléaires. Les Indiens restent néanmoins un peuple assez fermé. Dans les trains, il y a encore des wagons réservés aux étrangers. Les gens de condition basse sont timides, ceux de hautes castes plutôt fiers.

On a beaucoup parlé de la femme indienne dans l’actualité, suite aux tra-giques affaires de viols dans le pays. Aujourd’hui, quelle est sa place dans la société ? Un texte sacré indien mentionne cette formule : « Le meilleur exemple de se re-présenter Dieu, c’est de regarder son mari ». La femme indienne n’est pas encore l’égal de l’homme, tout comme le système de castes divise les Indiens. Je pense encore qu’il vaille mieux être une femme en Iran qu’en Inde. Mais cela tend à évoluer avec la décentralisation du pays et sa libéralisation. On a vu des femmes de basse condition accéder au pouvoir dans certaines régions. On pourrait aussi parler de Sonia Gandhi - aucun lien de parenté avec le Mahatmata Gandhi -, la présidente du Parti du Congrès de l’Inde.

Qu’est- ce qui fait la force de ce pays, selon vous ? L’Inde est un pays qui absorbe beaucoup. Ils ont absorbé les musulmans, les anglais… Ils ont absorbé le communisme, peut être absorberont-ils le libéra-lisme ? Les Indiens possèdent une philosophie très sophistiquée, une richesse artistique qui va bien au-delà de Bollywood, une intelligence dans les techno-logies de communication... L’essor démographique du pays demeure aussi un atout. L’émancipation par rapport aux castes est une réalité. On l’a vu avec les manifestations récentes : doucement, les femmes se réveillent et de plus en plus d’Indiens prennent conscience de leur force.

«La France a une vision binaire de l’Inde  : soit elle ne pense qu’au yoga et à la spiritualité, soit elle s’arrête à la misère.» Aux yeux de Benoît Vidal, l’Inde est un pays trop fantasmé. Il donne quelques clés pour

mieux le comprendre. L’Inde, c’est un tiers de la superficie de l’Europe, mais deux fois plus peuplée. C’est aussi 23 langues officielles, 28 Etats, 6 gouverne-ments fédéraux, 1 territoire national... D’après Benoît Vidal, c’est un territoire qui n’a pas forcément d’unité. « Il y a une vraie décen-tralisation en Inde, les provinces sont très autonomes et il y a une frac-ture entre les mondes urbain et rural. Les villes qui avaient de l’argent se sont énormément développées, au détriment des campagnes ». L’Inde a beau être la 10e économie mondiale, elle reste l’un des pays les plus inégalitaires au monde. 30% de la population vivrait en dessous du seuil de pauvreté. «  Seuls 10% des Indiens sont salariés. Les autres ne peuvent pas avoir accès au système de santé, précise Benoît Vidal, à mes yeux, la pauvreté et la pollution sont les principales faiblesses de cet Etat.»Les inégalités ne sont pas qu’économiques. La modernité n’a pas effacé les traditions. Malgré l’émergence d’une classe moyenne plus importante, les femmes occupent toujours une place secon-daire et le système des castes reste en vigueur. Ce dernier divise la société en différents groupes aux devoirs et fonctions spécifiques. «Mais il existe quand même des évolutions, comme l’instauration de la discrimination positive, explique Benoît Vidal, Ce dispositif assure des places aux personnes issues de basse caste, dans les universités et dans la fonction publique»Au niveau international, malgré sa place incontestée de nouveau pays industrialisé, l’Inde reste discrète. « Dans le cas du conflit Sy-rien, on a entendu l’avis de la Russie, ou encore celui de la Chine, mais l’Inde ne s’est pas prononcée », note Benoît Vidal. Avec son rival et voisin chinois, l’Inde entretient des rapports tendus. « Il n’y a pas de crise militaire mais une vraie guerre économique, estime Benoît Vidal avant d’ajouter, l’Inde est jalouse de l’essor Chinois. Elle a fait le choix de la démocratie tandis que la Chine a opté pour un gouvernement autoritaire. Ca réussit mieux à la Chine donc des voix favorables à ce fonctionnement politique commencent à s’élever en Inde ».

L’Inde croquée par le voyageur

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s’affiche !

Mercredi12 juin 2013de 19h à 22h

à la Cantine Numérique

soirée

gratuite

Afin de fêter les 2 premières

années du magazine, nous vous

invitons à une soirée riche en sur-

prises !

Pour la première fois rédacteurs,

bénévoles, partenaires, créateurs

et lecteurs vont pouvoir se ren-

contrer et échanger sur le journal

Diselo. Des stands seront mis à

disposition pour les associations

étudiantes, pour découvrir leurs

actions et objectifs. Un buffet dî-

natoire est prévu à cet effet, ainsi

qu’un accompagnement musical,

assuré par Quali District.

Venez nombreux !

Nous attendons votre réponse,

en espérant vous retrouver

le 12 juin prochain !

Pour vous inscrire :Confirmez votre présence par mail : [email protected]

Allez sur ce lien : http://lacantine-toulouse.org/diselo-saffiche-12-juin-2013-19h00

Inscriptionjusqu’au 10 juin à midi

En Métro : Ligne B station François VerdierLignes A et B station Jean-JaurèsEn Vélo Toulouse : station en face de La CantineEn Voiture : parking Saint AubinMobilib’ : Station François Verdier (devant le 23 boulevard Carnot)Consulter les stations sur le site de Mobilib’

Lieu & Accès27 rue d’Aubuisson 31000 Toulouse

Le 1er rendez-vous !

www.facebook.com/diselomag

ConTACT : CyrilleTél. 06 61 78 67 39 | [email protected]

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Insolite

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Voici l’histoire vraie de Hachiko, le chien du professeur Ueno, enseignant l’agronomie à l’université de tokyo.

Un matin de 1923, un panier arrive par train. C’est un cadeau pour le professeur Ueno de la part d’un ancien élève. Le chiot de pure race Akita a souffert du voyage. Le professeur le soigne et décide de le garder malgré la vive opposition de sa femme. Il le nomme Hachiko, Hachi pour les intimes. Le professeur et Hachi deviennent très vite inséparables. Chaque matin Hachi suit son maître jusqu’à la gare ; Shibuya Station. Le soir, le chien retourne à la station et y attend le retour de son maître. Ce rituel de-vient quotidien et attire la sympathie des usagers et des commerçants du quartier. Mais un jour, alors qu’il donne un cours à l’université, le professeur Ueno s’effondre brutalement. Il décède sur place, emporté par une hémorragie cérébrale. La veuve du professeur décide de quitter Tokyo et de retourner dans sa ville natale. Ne souhaitant pas s’encombrer d’un chien, elle abandonne Hachi à des familles maltraitantes. Hachiko finit par s’enfuir et devient chien errant. Tous les soirs il retourne à Shibuya Station en espérant le retour du professeur Ueno. Cinq années s’écoulent, Hachi est devenu la mascotte du quartier. Il attire l’attention d’un journaliste et devient rapidement une célébrité nationale. Lorsqu’elle découvre par la presse le sort de son chien, la veuve du pro-fesseur est prise de remords. Elle retourne à Tokyo et retrouve Hachi à la gare. Touchée par sa fidélité, elle décide de le reprendre avec elle. Méfiant, ayant peur de se faire à nouveau confier à des personnes mal-traitantes, Hachi s’enfuit et retourne à sa vie d’errance. Il refusera dès lors d’être adopté par une autre famille. Hachiko attendra neuf années à Shibuya Station. Suite à un cancer, il rejoindra son cher maître dans la mort à la fin de l’hiver de 1935.

Le corps de Hachiko, naturalisé, est exposé au Musée national de la nature et des sciences de Tokyo.

Le chien Akita a également inspiré deux films, «Hachiko», film de 1987 du réalisateur Japo-nais Seijiro Koyama avec Tatsuya Nakadai, et le remake américain sorti en 2009 sous le nom de «Hachiko a dog’s story» où Richard Gere inter-prète le rôle du professeur. Le réalisateur améri-

cain prend beaucoup de libertés et situe l’action dans l’Amérique des années 1990.

Hachiko : Une fidélité à toute

épreuve

ImmortaLIséaU mUséE Et aU cIné

HacHIko aUjoUrd’HUIUn symboLE dE fIdéLIté

Si Hachiko n’a pas oublié son maître, les Japo-nais n’ont pas oublié Hachiko. Au delà du quar-tier de Shibuya, la fidélité du chien a ému tout le peuple nippon. Il a également relancé l’engoue-ment pour la race Akita qui était en voie de dis-parition.

1923 - 1935

Par Mathieu Lemat

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Quizz

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Un peu d’interactivité pour votre grand plaisir. Diselo a décidé de créer une nouvelle rubrique, plus légère et décalée. après maintes réflexions et idées saugrenues, la rédaction a opté pour un quizz. Le thème : des anecdotes concernant la jeunesse de personnalités de tous bords, qu’elles soient historiques ou d’actualité. Mode d’emploi : déterminer si ces affirmations sont vraies ou fausses. À vous de jouer.

Vrai ou faux ? secrets de jeunesse

1 Pendant son adolescence, Gérard Depardieu a servi de garde du corps à des prostituées.

2 Doc Gynéco a vécu trois ans en Tchétchénie.

3 David Guetta a fait ses débuts en tant que DJ dans une discothèque de Cholet (Maine-et-Loire).

4 Michaël Youn est monté pour la première fois sur scène à l’âge de trois ans.

5 Nicolas Sarkozy a redoublé sa sixième.

6 Adolescent, Cauet jouait de l’accordéon dans des bals musette.

7 L’empereur romain Néron s’adonnait à des jeux sexuels à plusieurs, déguisé en animal.

8 Marylin Manson a travaillé comme journaliste dans sa jeunesse.

9 Courtney Love était stripteaseuse au Japon.

10 Le père de Carla Bruni est un grand nom de la mafia sicilienne.

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diselo mag | 9Par Matthieu Stricot

11 Snoop Dogg a débuté le chant dans une église baptiste.

12 Clara Morgane était vendeuse de glaces sur les plages marseillaises à l’adoles-cence.

13 Jimi Hendrix a commencé la guitare à l’âge de huit ans.

14 Lénine avait le statut de noble dans la Russie tsariste.

15 Vincent Macdoum est membre d’une famille de 16 enfants.

16 Winston Churchill est né dans des vestiaires.

17 Marylin Monroe devait son bégaiement à des violences parentales.

18 Le rappeur français MC Solaar s’appelle en réalité Claude.

19 Lady Gaga a étudié au Couvent du Sacré-Coeur à New York.

20 Zinédine Zidane a longtemps pratiqué le volley-ball avant de s’adonner au football.

21 Britney Spears est la fille d’un ouvrier californien.

22 A treize ans, Jeanne d’Arc affirmait avoir entendu les voix de St Rodrigue et de l’archange Gabriel.

23 Le père de l’acteur Sean Connery travaillait sur les chantiers.

24 Avant de devenir actrice, Audrey Tautou voulait étudier les singes.

25 Le père de Yannick Noah était footballeur professionnel.

1 Vrai : Vers ses 15 ans, il a fait office de garde du corps à des prostituées descendant de Paris jusqu’à la base américaine de Châ-teauroux-Déols, le jour de paye des GI’s.

2 Faux : Il a passé une grande partie de sa jeunesse entre Clichy et Sarcelles.

3 Faux  : Il a commencé par mixer au Broad, une boîte des Halles à Paris, à l’âge de 17 ans.

4 Vrai  : Il a également suivi des cours de piano quand il avait cinq ans.

5 Vrai : N’ayant pu passer en cinquième au lycée Chaptal (8ème arrondissement de Paris), il redouble sa sixième au Cours Saint-Louis de Monceau.

6 Faux : Mais il animait des soirées disco le week-end.

7 Vrai : « Personnellement, il prostitua sa pudeur à un tel point qu’ après avoir souillé presque toutes les parties de son corps, il imagina enfin cette nouvelle forme de jeu : vêtu d’une peau de bête féroce, il s’élançait d’une cage, se précipitait sur les parties natu-relles d’hommes et de femmes liés à un po-teau, puis, après avoir assouvi sa lubricité, se livrait, pour finir, à son affranchi Doryphore. » Extrait de Suétone, Vie des douze Césars.

8 Vrai : À 20 ans, il a été embauché comme journaliste au 25th Parrallel en Flo-ride... En exagérant un peu sur son CV.

9 Vrai : Avant d’être connue comme rockstar, elle était une stripteaseuse interna-tionale qui dansait au Japon, à Taiwan et en Alaska.

10 Faux  : Son père Alberto Bruni Tedeschi est un compositeur d’opéra et industriel de Turin. Mais Carla Bruni apprendra plus tard que son père biologique est en fait l’homme d’affaires Maurizio Remmert, avec qui sa mère avait eu une relation.

11 Vrai  : Calvin Cordozar Broadus Junior (de son vrai nom) a commencé à chanter pour l’église baptiste Golgotha Trinity à Los Angeles lorsqu’il était à l’école primaire.

12 Faux  : En 1993, âgée de 12 ans, Emma-nuelle Aurélie Munos (de son vrai nom) a dé-buté en tant que mannequin dans l’agence Amazone Line à Marseille.

13 Faux  : Son premier instrument de mu-sique était un harmonica. C’est son père qui le lui avait offert pour ses quatre ans. Jimi Hendrix a joué de la guitare à partir de ses 15 ans.

14 Vrai : Le père de Lénine était décoré de l’ordre de Saint-Vladimir, IIIème classe. Ce statut donnait accès à la noblesse hérédi-taire, que le futur Lénine a obtenu à l’âge de six ans.

15 Vrai  : Il est né en 1965 à Sainte-Lucie aux Caraïbes et a été élevé par sa grand-mère paternelle.

16 Vrai : Sa mère lui a donné naissance en 1874 dans les vestiaires du palais de Blen-heim, situé à Woodstock en Angleterre. C’est dans le même palais qu’il épouse sa femme en 1908. Deux anecdotes qui l’ont poussé à déclarer une réplique renommée : « C’est à Blenheim que j’ai pris les deux décisions les plus importantes de ma vie : celle de naître et celle de me marier. Je n’ai regretté aucune des deux ».  

17 Faux  : Selon le psychanalyste Michel Schneider, elle a commencé à bégayer après avoir été agressée sexuellement par son cousin Jack Monroe. Sa mère refusait alors de la croire.

18 Vrai : Claude M’Barali de son vrai nom.

19 Vrai : Stefani Joanne Angelina Gerrma-notta est entrée dans cette école catholique à l’âge de onze ans.

20 Faux : Mais il a pratiqué le judo jusqu’à l’âge de onze ans au centre social de Castel-lane à Marseille.

21 Faux : La chanteuse est née à McComb dans le Mississipi d’une mère auparavant institutrice et d’un père agent immobilier.

22 Faux  : Dans le jardin de son père, elle affirme avoir entendu les voix célestes des saintes Catherine et Marguerite et de l’archange St Michel lui demandant d’être pieuse, de libérer le royaume de l’envahis-seur et de conduire le dauphin sur le trône.

23 Vrai  : Joseph Connery (son père) était chauffeur d’engins sur les chantiers à Edim-bourg (Ecosse).

24 Vrai  : Elle aurait eu une vocation de primatologue avant son entrée au Cours Flo-rent. Mais sa passion pour les singes persiste encore et motive nombre de ses voyages et lectures.

25 Vrai : Zacharie Noah a même remporté la coupe de France de football en 1961 avec l’UA Sedan-Torcy.

réponses

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Le soft-ball, dans l’ombre du base-ballLe club compte plusieurs équipes dans plusieurs catégories d’âge. C’est aussi le cas au sein d’une autre discipline plus méconnue  : le Soft-Ball. Si le Base-Ball est réservé aux hommes, ce n’est pas le cas du Soft, sport mixte souvent considéré (à tort) comme une sous-marque du premier. Plus accessible et ouvert à un public plus large, le Soft reste très populaire dans les pays d’Amérique latine et aux États-Unis : en effet, la balle est plus grosse et le terrain est plus petit. Les bases sont plus rapprochées et le jeu est beaucoup plus rapide, car il y a moins de marge d’erreur pour les éli-minations. Quand des équipes sont face à face (et de niveau équivalent), il est très difficile de marquer des points. Tout se joue sur la charnière lanceur - catcheur, et l’adresse des frappeurs à la batte. Les coups sûrs doivent être efficaces. On a beau connaitre les rudiments du base-ball, de rapides coups d’œil au match se déroulant à nos côtés nous font vite prendre conscience de notre méconnaissance des règles de ce sport. Le jeu n’est pas si simple, comme le reconnait le président du club : « Il y a beaucoup de stratégies, selon le nombre de points, la position d’attaque ou de défense, le placement… Ce n’est pas toujours facile à comprendre pour les profanes. Le baseball est un sport vraiment très intéressant. C’est technique. Il y a des séquences de jeu que l’on joue à certains moments, d’autres non, selon si l’on est au bâton, ou en défense ».

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En arrivant sur le terrain d’entrainement de l’équipe du Stade Toulou-sain, nous avons eu la bonne surprise de constater qu’un match de haut niveau suivait son cours, entre le Pôle Rouen (la meilleure équipe française) et les « rouge et noir » section base-ball. Pourtant, rien ne le laissait paraître : ce dimanche, le public n’avait pas fait le déplacement pour assister à la rencontre. Un défaut de popularité dû à la différence de culture ? C’est certain. Mais pas seulement. Les Tigers ont beau fiè-rement porter les couleurs du stade, leur équipe ne dispose pas des mêmes moyens que leurs homologues rugbymens. En réalité, il s’agit d’un des plus faibles budgets des équipes de première division, comme nous le confirme le président du club, Laurent Cornuaille : « le fait d’être rattaché au stade toulousain, c’est surtout la revendication d’une iden-tité locale. Ça ne nous apporte pas de moyens financiers ». L’équipe fait en effet partie de l’omnisport stade toulousain, réunissant le rugby, la natation, le handball et le handisport. « Nous avons vraiment un tout petit budget. Cela nous permet tout juste de jouer. C’est difficile, car tout se joue sur le bénévolat. Ici ce qui nous manque, c’est l’éclairage. C’est vrai que c’est coûteux, mais ça nous aiderait à développer notre sport. Si nous avions plus de moyens, nous aurions plus d’adhérents. C’est mathématique ». Le club compte tout de même 140 adhérents, filles et garçons, de 6 à 60 ans.

Même si en terre toulousaine le lien peut paraitre évident, les lettres d’or « St » ne riment pas toujours avec rugby ! Diselo s’en est rendu compte au détour d’une balade dans la zone verte des argoulets. L’équipe du Stade toulousain section base-ball s’y entraîne depuis 1991. Reportage au cœur d’un sport adulé outre-atlantique, et des plus confidentiels en France.

Dans les coulisses dustade toulousain

basE-baLL

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élite et sportifs de haut niveauL’équipe Senior du Stade Toulousain évolue en première division, aux côtés de 6 autres clubs (Beaucaire, Montpellier, Rouen, Paris, Savigny et Sénar). À Toulouse, les joueurs sont tous amateurs. Ce n’est pas le cas de toutes les équipes. Rouen, par exemple, salarie quelques joueurs évoluant dans des championnats étrangers d’une qualité de jeu bien supérieure. Y’a-t-il un avenir professionnel dans le base-ball en France ? Oui, mais les places sont chères. Le club toulousain collabore avec le Pôle France, basé au Creps à Rangueil. Ces classes accueillent des jeunes sou-haitant faire de ce sport leur métier en obtenant un diplôme d’animation physique avec une spécialisation base-ball. Plus rares, d’autres joueurs rêvent de jouer à l’étranger. Le meilleur joueur du Stade Toulousain y est parvenu l’année passée : Andy Paz joue aujourd’hui en Californie au club d’Oakland. La fierté de la communauté latino locale, très présente au sein du club  : «  Il y a des Vénézuéliens, des Dominicains, des Mexi-cains… Beaucoup jouent dans l’équipe, d’autres sont dans nos équipes régionales. C’est un sport qui est vraiment très pratiqué au Mexique. Des joueurs professionnels gagnent très bien leur vie là-bas ». Le match se termine. En partant, on ne peut s’empêcher de penser à l’anonymat de certains rugbymens du Stade Toulousain, si l’idée de jouer au Mexique leur traversait l’esprit…

diselo mag | 11

Dans les coulisses

Photos et texte par Paul Sailley

Mardi 4 juin

FRANK FAIRFIELD(usa-folk)

P.A.F : 6 €

WHITE MYSTERY (usa-hozac record) r’n’r glam

DEGREASERS(usa-swamp punk)

P.A.F : 5 €

Lundi 17 juin

5 Place Saint-Pierre

HAPPY HOURS 19H-22H

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Carte blanche à...

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« La femme dans l’Art a souvent été représenté comme une allégorie de ce que l’artiste, l’homme, la société attendent qu’elle soit.

Quant à moi je cherche plus à représenter la beauté féminine à travers un état ressenti par celle-ci qu’à représenter une catégorie de femmes.

Ici j’ai voulu dépeindre l’état d’apaisement, de plénitude. Son air calme, ses yeux clos illustrent presque un état méditatif. Elle semble sereine.

La représentation des bulles de savons en peinture est souvent symbole de fragilité et de brièveté. Ce sont des beautés éphémères qui n’émerveillent qu’un moment. Elles sont également symbole de jeunesse.

Aussi, j’ai désiré figer un moment qui ne dure pas toujours, figer cette jeunesse et cette beauté qui un jour fânent.

Cela pourrait être un constat affligeant, mais ici, cette femme n’est aucunement attristée. Aucune inquiétude n’émane d’elle.

L’utilisation du noir et blanc plutôt que de la couleur est une habitude prise il y a maintenant sept ans, depuis que je travaille le portrait et le nu féminin. Les contrastes clair/obscur et la manière de travailler le dégradé me permettent de mieux retranscrire l’émotion. Chose difficile pour moi avec la couleur. Je travaille toujours d’après des photos. Dans un souci de réalisme, je cherche à représenter le plus fidèlement possible le modèle mais en accentuant le contraste du noir et blanc de la photo originale.

Je ne souhaite pas créer du beau. Je souhaite uniquement représenter ce que je trouve beau dans ce qui est déjà créé dans l’humain.

Ma créativité ne dépend pas de ce que je peux inventer, mais de ce que je peux capter et mettre en avant sur la toile. Tout est déjà là, à la portée de mon regard. Il ne me reste qu’à observer. »

de la plénitude féminine

Darma

Peinture à l’huile sur toile 46 cm x 65 cm

élodie darmalingom

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Le coin du Cinéphile

La genèse dupontel

✆ 05 62 88 91 88125, route de Narbonne - 31400 TOULOUSEFax : 05 62 17 08 43 | [email protected]

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COREP est spécialisé dans l’impression de thèse depuis plus de 35 ans.

Réactivité, Qualité, Conseils...

Désiré : Sortie 1994, réalisé par Albert Dupontel, avec Albert Dupontel, Philippe Uchan, Eric Elmosnino

désiré au menu dans cette rubrique : Une aventure périlleuse jusqu’aux premiers films de tous vos réalisateurs connus, qui chacun à sa manière, amorce le génie qui s’en suivra.

Par Adrien Raimbault

ciner, couper le cordon ombilical, et d’autres manœuvres inconnues qui paraissent bien superflues.

Alors que le docteur et son assistante attendent tranquillement dans une autre pièce, dos à la mère, le compte à rebours sur l’écran leur dit que le bébé ne va pas sortir, la mère tente de les prévenir à grands cris que l’estimation de temps de la machine n’est pas bonne, et que le bébé est sur le point de naître. Manque de chance, la pièce est baignée d’une chaleureuse musique heavy métal répétitive, que le docteur avait mis pour la calmer, les empêchant maintenant d’entendre ses hurlements de détresse. Et son cher mari attentionné n’a pas non plus pris conscience de la situation car il est trop occupé à filmer sa propre tête en gros plan.Et là, c’est le drame ! Le bébé sort expulsé de l’utérus et glisse de façon burlesque sur la table d’opération, sans que les machines puissent faire leur travail. Tout cela pour tomber in extremis dans la caisse couffin.

En seulement 15 minutes Dupontel arrive parfaitement à décrire tous les travers de cette société future totalement déshumanisée, cynique, sans plus aucun repère moral ou religieux, et en fin de compte, complète-ment absurde d’automatismes et de capitalisme. La force de ce court métrage, c’est d’être aussi riche sur le fond que sur la forme. Dupontel nous livre un concentré de bêtise ordinaire, distillé dans une atmosphère futuriste qui arrive à être ringarde du point de vue des valeurs qui y sont prônées.Sans parler de la qualité de l’esthétique qui arrive toujours à être mise en valeur malgré la crasse trop hygiénique, qui se dégage de ces lieux très structurés.

L’histoire est un cycle éternel, et les protagonistes de celle-ci le sont également, au sens où ils restent humains, terriblement humains. C’est indéniable, il y a bien un style et un univers Dupontel, qu’on ne retrouve nulle part ailleurs.

Deuxième séance : le cas Dupontel, intéressant, il l’est !Son premier film en tant qu’acteur réalisateur est un court-métrage : Désiré, tourné en 1994.L’intrigue débute avec une vue plongée dans l’uté-rus de Mme Jacquinot, le 5 Juin 2050, à travers les yeux du futur bébé à naître. Puis le plan s’enchaîne dans un hôpital futuriste, section accouchements, rempli de machines incompréhensibles en tous genres, censées améliorer les conditions d’accou-chement. Directement, le décor est planté. Les doc-

teurs beaucoup trop confiants, montrent à la mère à l’aide d’un manne-quin morbide de bébé comment va se passer l’accouchement.Le bébé devra sortir du ventre de sa mère de façon chronométrée, puis avancer sur un tapis roulant où différentes machines vont le laver, le vac-

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Système D

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mobilib’ la voiture en toute liberté

avec à ce jour environ 700 abonnés dont une part grandissante de professionnels, le service d’autopartage toulousain ne cesse de se développer depuis sa création en mars 2009. Mobilib propose des voitures en libre-service louées à l’heure. Ce système permet l’accès à une voiture en multipropriété sans avoir les inconvénients liés à l’achat, le stationnement et à l’entretien de celle-ci. Mobilib dispose à ce jour de 17 stations et 36 véhicules répartis partout en ville, généralement près des stations de métro.

Quelques chiffresUn véhicule partagé par 20 abonnés équivaut à 8 véhicules de moins dans les rues. Mobilib permet donc à la ville de respirer en évitant plus de 288 véhicules avec son parc de 36 voitures. Lorsque le choix de l’autopar-tage est fait, les autopartageurs parcourent 41% de kilomètres en moins en voiture. Alors que la dernière étude5 de l‘Observatoire Société et Consommation (ObSoCo) rapporte que 83 % de Français qui s’accordent autour de l’idée qu’« aujourd’hui, l’important c’est de pouvoir utiliser un produit plus que de le posséder », 52 % aspirent à consommer mieux, parmi eux 30 % voudraient consommer moins mais mieux, l’autopartage fait figure de précurseur parmi les nouvelles pratiques de consommation collaborative et l’offre de Mobilib devrait séduire encore beaucoup de ce nouveau type de consommateurs.

Mobilib, c’est une voiture seulement quand j’en ai besoin !Depuis le 27 avril, Mobilib compte 17 stations à son actif. Les deux der-nières nées sont celles du Pont des demoiselles et du Canal du Midi. La station du Pont des demoiselles se situe au croisement de l’allée des de-moiselles et de l’avenue Crampel. Elle accueille une Clio et une Twingo, et elle est accessible par bus (ligne 10-78-80).

La station du Canal du Midi se trouve au croisement de l’avenue Dewoitine et du boulevard de l’embouchure. Une Clio et une Twingo y sont à votre disposition. Elle est desservie par les lignes de bus 15-70 et le métro ligne B, station Canal du Midi.

L’autopartage, largement plébiscité par ses usagers pour son aspect pratique et les économies qu’il permet de réaliser permet un réel chan-gement de comportement par rapport aux déplacements, impliquant une liberté d’action. D’une part, l’autopartageur n’a pas à supporter les coûts liés à la possession d’un véhicule. D’autre part, l’usager organise ses déplacements à sa convenance, en fonction de ses besoins et en vient à utiliser davantage les modes de transports durables (transport en commun, vélo, marche à pieds, autopartage…) pour faire moins de kilomètres envoiture. Il participe ainsi au désengorgement de la ville et au respect de l’environnement.

Par Cyrille Venaruzzo

Station Marengo

Plus d’info : www.mobilib.fr

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en partenariat avec la mGEn fILIa / EffIcIEncE santE

Le grignotage reflète souvent un déséquilibre alimentaire global. De plus en plus fréquent dans nos sociétés « développées », il traduit une façon de vivre déstructurée dans laquelle les 3 principaux repas ne jouent plus leur rôle habituel. Soit ils ne sont pas assez copieux, d’où une sensation de faim entre les repas, soit ils sont trop riches en sucres simples, d’où une hypoglycémie réactionnelle et une fringale.

Aujourd’hui, le grignotage fait partie de nos vies. Tout nous y encou-rage : la facilité à se procurer des produits prêts à consommer, les horaires déstructurés, l’effacement des repères habituels (3 repas par jour…). Le grignotage s’immisce dans notre quotidien, insidieusement… Une barre chocolatée par ci, une viennoiserie par-là, des chips, un soda, quelques cacahuètes avalées en dehors des repas histoire de combler un « petit creux »… Nous sommes tous des grignoteurs ! Soumis à un rythme de travail soutenu, à des horaires élastiques, nous avons tendance à dés-tructurer notre alimentation. Et comme de son côté l’offre alimentaire se multiplie et se diversifie, les occasions de grignoter ne manquent pas !

Trop sucrés, trop riches en graisses « cachées », les produits de grigno-tage grignotent insidieusement notre capital santé. Constituant un ap-port conséquent en sucres et lipides, ils remettent en cause notre équi-libre alimentaire.

Il doit bien exister des solutions pour ne plus céder à la tentation et cra-quer sur le premier snack venu ? Et bien oui : elles sont simples de bons sens et accessibles… Il suffit d’en prendre conscience !

• Veillez à prendre des repas complets et équilibrés (en particulier le petit déjeuner),

• Trompez l’envie de manger avec un grand verre d’eau,

• Programmez un petit en-cas régulier dans l’après-midi à heure fixe (lai-tage, fruit) pour éviter de craquer sur n’importe quel aliment,

• Retrouvez petit à petit un rythme de prises alimentaires régulier.

Bref, soyez vigilant en période d’examens, et soignez votre alimentation !

Par Cyrille Venaruzzo

GrignotageÀ ta santé

la petite faiblesse qui vous perdra ?

Un paquet de biscuits apéritif = 6 à 7 cuillères à soupe d’huile ! alors pour vos apéritifs, choisissez de préférence :

• des légumes à croquer (40 kcal) plutôt que des chips ou des cacahuètes (180 kcal),• un verre de jus de tomate (60 kcal) plutôt qu’un jus de fruit sucré (120 kcal),• un alcool doux moins calorique qu’un alcool fort.

Ennemi n°1 : l’apéritif entre amis

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Coup de Projo

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Dans ta Fac

avant-première : le nouveau site internet du tIGEr forumLa 1ère semaine de juin sera désormais la semaine du TIGER Forum, sommet économique mon-dial lancé par TSE. Derrière l’acronyme TIGER se cachent les compétences fortes qui ont fait de TSE un des meilleurs centres de recherche en économie du monde : « Toulouse - Industry - Globalisation - Envi-ronment - Regulation ». L’ambition du TIGER Forum est de devenir un rendez-vous mondial de la science économique, réputé pour son excellence scienti-fique et sa capacité à donner des clés de compréhension des grands enjeux du moment. Sur une initiative de Marc Ivaldi, chercheur à TSE, TIGER est conçu comme un forum où vont se croiser les plus grands économistes du monde, autour de manifestations scientifiques, de tables rondes ouvertes sur la société, de moments symboliques ou de rencontres culturelles.

Du 5 au 8 juin 2013 - Arsenal, Manufacture des Tabacs - entrée libre

Les journaux féminins : de l’espace privé à l’espace publicLe journal intime a longtemps constitué un espace privilégié de construction identitaire et d’affirmation de soi pour des femmes privées d’accès à toute autre forme d’expression écrite. Aujourd’hui, la valeur historiographique de tels récits est tout à fait acquise ; les rendre publics participe d’un travail de réparation visant non seulement à réévaluer la place des femmes dans l’histoire, mais à contribuer au renverse-ment de perspective proposé par Bourdieu : « la politisation du domestique ». Cette journée sera l’occasion d’examiner le rôle précurseur à cet égard de Mass Observation. Ce programme innovateur, créé en 1937, a lancé une ambitieuse collecte de données sur la vie quotidienne des Britan-niques employant une diversité d’outils, parmi lesquels les journaux intimes.

Le 24 mai - Université de Toulouse II-Le Mirail : Salle du Château (10h - 16h) Entrée libre

O�re Valable du 15 mai au 17 juin sur présentation de ce numéro

L’UPs fête l’Europe et les femmes scientifiques L’université Toulouse III - Paul Sabatier reçoit l’exposition des Chemins Buisson-niers « Les femmes dans les Arts et les Sciences...vers de nouvelles histoires » réalisée à partir des œuvres de Gilles Grimaud, peintre, illustrateur. Pour une majeure partie d’entre nous, la première femme scientifique est Marie Curie. Les femmes artistes ne sont visibles qu’à partir de la moitié du XXe siècle pour la peinture ; elles sont davantage connues comme muses, inspiratrices ou épouses. Celles que vous rencontrerez au fil de cette exposition sont toutes des héroïnes. Elles ont bousculé les préjugés de leur temps par leur insolence, leur passion et leur génie. Vous découvrirez aussi qu’elles doivent souvent leur reconnaissance à des hommes, savants ou artistes, avec lesquels elles ont colla-boré et qui considéraient les femmes comme leur égal.

Du mercredi 22 mai au vendredi 24 mai dans le hall du bâtiment administra-tif - Entrée libre

18 000 emplois d’avenir professeur seront recrutés d’ici 2015Vous êtes étudiant boursier ? Vous vous destinez à l’en-seignement ? Découvrez le dispositif « emplois d’avenir professeur » (EAP). Accessible dès la licence 2, ce disposi-tif aide de nombreux étudiants boursiers à devenir ensei-gnants en leur proposant un parcours professionnalisant et en les accompagnants financièrement. Le dispositif permet d’entrer progressivement dans le métier. Un em-ploi à temps partiel sera confié au sein d’une école ou d’un établissement sco-laire, sur une base moyenne de 12 heures par semaine. Cette durée peut varier au fil de l’année en fonction des contraintes de formation et des examens uni-versitaires et, en fin de parcours, des concours. Vous serez encadré et conseillé par un tuteur qui vous suivra tout au long de votre formation au métier de pro-fesseur. Les étudiants recrutés dans le cadre d’un EAP bénéficient d’un revenu mensuel de 900 euros en moyenne.

Plus d’information et dossiers de candidature : www.education.gouv.fr

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A Toulouse

apéros concerts au mandalaA partir du joli mois de mai… Du jeudi au samedi à 18h ! Avec les beaux jours, les apéros-concerts du Mandala, sont un rendez-vous paisible et convivial des fins de journées. Sur la terrasse adossée au Mandala, un lieu vivant et verdoyant, l’ambiance est chaleureuse. On peut y venir entre amis, en amoureux, en famille ou en solo… Des apéros-concerts aux accents divers pour le plaisir de tous : de la musique qui swingue, qui chante, qui groove, et qui voyage !

Accessible par la « coulée verte » (promenade parallèle à la rue des Amidon-niers), la terrasse du Mandala est un espace idéal pour apprécier quelques notes autour d’un verre et de quelques tapas à l’heure de l’apéro.

Du jeudi au samedi à 18h - Le Mandala (23, rue des Amidonniers)Participation libre

j’étais, je suis, je seraiDans le cadre d’une résidence financée par le programme national «Culture-santé», Sé-bastien Lange est intervenu pendant 4 ans auprès de femmes détenues au centre de

détention de Seysses et suivies par les équipes du service médico-psycholo-gique régional du Centre Hospitalier Gérard Marchant. «J’étais, je suis, je serai» est le résultat de leur travail, portant sur la création de cartes géographiques peintes et sonorisées. Les contraintes de la détention avec son temps comme uniforme et l’instabilité des personnes en souffrance, ont imprimé leur rythme à la réalisation de ces topographies intimes, naïves et complexes, qui peu à peu dessinent des portraits dont l’anonymat se dévoile au risque du malaise. Ainsi sont nées au fil des mois et d’un rituel immuable, les œuvres et confidences de celles qui ont accepté de se livrer.

Du 23 mai 2013 au 13 juillet 2013Les Abattoirs - Infos : www.lesabattoirs.org

GULL au connexion LiveGULL, aka Nathaniel Rappole, est originaire de Vir-ginie. Déjà connu de nos services pour avoir tenu la guitare dans le groupe mathrock Ultra Dolphin il mène depuis peu un nouveau projet dans lequel il joue seul guitare, batterie et chant, balançant des loops digitaux et vocalises psychédéliques sous un

masque home made doté d’un micro. Pendant tropicaliste noise de Lightning Bolt ou bruitiste de Yeasayer, GULL propose à la fois une impressionnante per-formance scénique et un univers musical voyageur et totalement trippé. Tour-nant sans cesse aux USA, s’arrêtant où bon lui semble pour jouer dans la rue et poser ses amplis et sa batterie (branchés sur un groupe électrogène), il semble presque reprendre la musique à sa source originelle.

Mardi 28 Mai - 20h au Connexion Live (rue Gabriel Péri) - 6/8 euros

Pas bêtes ces insectes !Dans le cadre de la Fête de la nature du 22 au 26 mai 2013, l’espace EDF Bazacle vous pro-pose de découvrir les abeilles, les fourmis et les araignées à travers des conférences ani-

mées par le CRCA, Centre de Recherches sur la Cognition Animale. Pour les plus jeunes, l’association Macadam Bimbo proposera un atelier de fabrication de petites bestioles à rapporter à la maison !

Du 22 au 26 mai 2013 - Entrée libre - Infos horaires : www.bazacle.edf.com

Une contre-histoire de l’Internet à UtopiaSi Internet n’est pas encore un minitel 2.0, un supermarché géant wireless, ou même une annexe commode des agences de renseignement gouver-nementales ou même privées, c’est parce qu’Internet fut construit sur les cendres encore fumantes des feux de joie de la contre-culture des années 60. Si l’armée délaissa ce projet de réseau appe-lé alors ARPANET dans les années 80, c’est la société civile qui s’en empara pour construire l’Internet d’aujourd’hui… Venez assister à une projection unique sui-vie d’une rencontre avec les auteurs du film Jean-Marc Manach et Julien Goetz.

Jeudi 6 juin - 20h30 à Utopia Toulouse

05 62 21 51 78 - www.theatredupontneuf.frTHÉÂTRE DU PONT NEUF - ESPACE DE CRÉATION

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LE DECHRONOLOGUE

17 + 18 MAI - 21H00LE DÉCHRONOLOQUEConcert de théâtre

24 + 25 MAI - 21H00LUMENUM’BRADanse contemporaine

31 MAI + 1ER JUIN - 21H00CRI DU COQ ! Contorsion, danse et mime

07 + 08 JUIN - 21H00HORLA(S). REPAS DE FAMILLEDanse, théâtre

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Et ailleurs

blagnac La face cachée de la lune

Paru en 1973, The dark side of the moon a marqué durablement l’histoire de la production musicale mondiale et de nombreuses générations. Concept artistique novateur, succès commer-cial sans précédent, ce disque propose une multitude de directions de recherches sonores et d’expérimentations, pui-sant notamment son inspiration dans la musique contemporaine électroacous-tique. Reconstituer sur scène un véritable studio d’enregistrement, retrouver le son des instruments d’origine (synthétiseurs analogiques, guitares…), réaliser en « live » ce que les Pink Floyd n’ont pu faire à l’époque (parties de synthèse sur séquenceur, effets spéciaux…), tel est le projet fou et exigeant de Thierry Balasse, musicien contemporain qui s’est entouré d’artistes très pointus issus de la pop, du jazz ou de la musique contemporaine. Il propose une réflexion extrêmement précise sur le son, bien éloignée des propositions variétisées des « tribute band ».

Le 21 et 22 mai - 20h30 à Odyssud - tarif moins de 26 ans : 16 €

Un instant jazz à cugnauxDiversifier et s’ouvrir aux esthétiques mu-sicales, tel est l’objectif de ce programme 100% jazz et musiques improvisées. Le Combo de l’EMEA s’illustre dans un réper-toire alliant jazz traditionnel et influences musique du monde ; les élèves de l’atelier d’improvisation s’expriment tour à tour librement, construisant ensemble un dis-

cours musical qui prend sens au fur et à mesure.

Dimanche 16 juin - 17 h au Théâtre Paul Eluard - Entrée libre

cugnaux

Groundation à tournefeuilleUn reggae jazzy, lourd, puissant et hyp-notique ! Considéré comme le meilleur groupe de la scène reggae actuelle, les virtuoses californiens reviennent sur les scènes européennes avec un 7ème album : «Building An Ark» (sortie Mars 2012). Groundation est un groupe

complètement à part dans le reggae. Les neufs membres de ce combo pos-sèdent un noyau de fans hardcore qui les soutiennent dans tout ce qu’ils peuvent entreprendre. Effectivement, Groundation ne laisse personne indif-férent, une belle preuve de leur spécificité. Leur reggae pur souche, mâtiné de somptueuses colorations jazzy a abouti à la création d’un son unique et puissant que l’on pourrait définir comme du «reggae progressif».

Vendredi 24 mai - à partir de 20 h au Phare - tarif étudiant 19 €

tournefeuille

ramonville Qui sommes-je ?Un clown hors d’haleine se ré-veille dans l’étrangeté d’un spec-tacle qu’il ne reconnaît pas. Il se retrouve dans le monde de la do-mestication, au cœur d’un labo-ratoire social où «on» atrophie les sens et les désirs. Livré nu comme un nouveau-né, affublé ici d’une serpillière en guise de perruque et d’une couche-culotte vouée à

finir en morceaux, il n’a rien perdu de son sens de l’humour vache… Où qu’il trimballe sa voix fluette d’enfant dans un corps massif d’adulte, le pouvoir de fascination exercé par Ludor Citrik est toujours intact. Dans le cadre de Cara-vane de Cirque, en partenariat avec La Grainerie.

Le vendredi 31 mai - 20h30 au Centre Culturel de RamonvilleTarif étudiant : 5€50

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