La presse jeunesse

pour la Journée internationale des droits de l’enfant

DOSSIER DE PRESSE

avec l’

À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, le 20 novembre, l’éditeur de presse jeunesse Milan s’associe à l’Unicef france et propose à ses 4 millions de jeunes lecteurs de découvrir, comprendre et défendre les droits de l’enfant.

La problématique des enfants non scolarisés doit rester une priorité élevée et nécessite la mobilisation de tous. Aussi, au mois de novembre, les rédactions des magazines et sites Web de Toboggan, Picoti, Géo Ado, Champions, Julie, Manon, Mobiclic, ou encore 1jour1actu ont préparé pour leurs lecteurs de 0 à 15 ans des reportages, des jeux, des activités, des récits et des dossiers qui les sensibilisent aux droits de l’enfant, et en particulier celui d’aller à l’école.

Milan, éditeur auprès des enfants mais également au service des parents et des enseignants, met à leur disposition des ressources pédagogiques créées pour cette occasion, notamment une vidéo et un dossier spécial sur le site 1jour1actu.com, ainsi que des ressources pour animer en classe un débat autour des droits de l’enfant. Milan relaie aussi sur ses supports les outils pédagogiques proposés par l’UnIcEf france.

Au-delà de cet engagement rédactionnel fort, Milan participe à la mobilisation mise en place par l’UnIcEf france pour fêter la Journée internationale des droits de l’enfant. Des événements seront organisés dans vingt “Villes amies des enfants“*, notamment à Toulouse, où est installée l’entreprise Milan. Les collaborateurs de Milan s’engagent pour cette Journée en portant les couleurs de l’UnIcEf et en se mobilisant sur les réseaux sociaux.

* Les “Villes amies des enfants“ est une initiative lancée par l’Unicef france et l’Association des maires de france (AMf) en 2002. Son objectif : servir la cause des enfants à travers un réseau de collectivités dynamiques engagées à promouvoir des actions pour améliorer leur vie quotidienne, à développer la participation et l’écoute des enfants et des jeunes et à développer un esprit de solidarité internationale. chaque année, à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, les Villes amies des enfants organisent, avec l’Unicef et les enfants de leur ville, une grande manifestation.

Zoom sur les principaux magazines et contenus numériques Milan

en novembre

Dans Toboggan (5-8 ans), un dossier sur la liberté d’expression des enfants,

tout en BD et en témoignages. Pour les enseignants : 5 affiches illustrant

les droits de l’enfant à télécharger.

Dans Manon (6-9 ans), un récit émouvant “Les Petites Invisibles“, raconte la détermination

de trois fillettes africaines qui rêvent d’aller à l’école comme leurs frères.

Pour les enseignants : une fiche pédagogique pour travailler sur la discrimination filles-garçons.

Dans Julie (9-13 ans), un dossier “Plus d’un million d’enfants pauvres en france“,

qui part de la question d’enfant “ça fait quoi d’être pauvre ?“ et propose aux lectrices de

passer à l’action : “Et toi, que pourrais-tu faire ?“

Géo Ado (10-15 ans) est parti en Afrique à la rencontre des jeunes Béninois, accompagné

de six adolescents français, tous « Jeunes Ambassadeurs de l’UnIcEf ». Le reportage photo

suit leur découverte du Bénin tout au long de rencontres qui bouleverseront leur vie.

Pour les enseignants : un plan d’action de l’Unicef pour faire face aux situations

d’urgence, “Qu’est-ce qu’une situation d’urgence ?“, “comment s’organise l’aide

humanitaire.“

Dans champions du cE1 (7-8 ans), les lecteurs trouveront un quiz et des autocollants pour

devenir incollables sur leurs droits.Pour les enseignants : un jeu de l’oie

des droits de l’enfant.

Dans Picoti (9 mois-3 ans), un dossier pour les parents consacré à l’école maternelle

en france et dans différents pays du monde. L’école maternelle est le socle de notre système

scolaire, c’est pourquoi Milan s’est engagé à la soutenir à l’occasion de la dernière élection

présidentielle*.

Le numérique n’est pas en reste : Mobiclic (cD-ROM) propose un diaporama sur les écoles dans le

monde tandis que le site Web 1 jour1 actu.com  multiplie les sujets autour des droits de l’enfant.

Pour les enseignants : des outils multimédias (vidéo, fiches pédagogiques, etc.) pour organiser

des débats et des ateliers avec les élèves.

*Opération “J’aime ma maternelle“ en collaboration avec Enfant magazine.

Maître Renard et maître Corbeau, avocats à la cour

La maîtresse d’école

Ça, ça vous plairait, mais c’est un poil plus compliqué !

À ton avis Minicricri

LA LIBERTÉ

D’EXPRESSION...C’EST POUVOIR TOUT DIRE...

SANS SE FAIRE PUNIR !

La liberté d’expression est le droit d’avoir ses propres idées et de les faire connaître.

Pour se faire une opinion et bien l’exprimer, il faut être instruit et informé. Voilà pourquoi vous allez à l’école !

Oui, c’est pour ça qu’on a besoin de l’histoire, de la géographie, des dictées…

D’accord, Minicricri, les enfants ont des droits, comme les adultes : le droit d’être informés...

... d’avoir une opinion et de la partager !

Oui, mais toute liberté a ses limites…

... et des classes découvertes !

Et tout le monde la respecte ?

Non, dans certains pays, on n’est pas libre de dire ce que l’on pense, on risque même la prison. On appelle ça la censure. Ah oui, elle est même citée dans la déclaration universelle des droits de l’homme.

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Avec

Nature :

La grue des marais

d’autocollants

et des modèles

d’origami

+ 2 pages

NOVEMBRE 2012 - N° 384

MISSIONJAPON !

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FICELLE 18:11:29 Septembre 18, 2012 TOBN0384P001.pdf

Autour de toi, sans le savoir, tu côtoies peut-être des enfants démunis. Mais comment vit-on dans ces conditions ?

oé a 10 ans. Elle va en classe, comme toi. Elle aurait bien aimé faire de la danse cette année et s’acheter un nouveau jean. Impossible : ses parents n’ont pas les moyens. Zoé fait partie des enfants pauvres, comme plus d’un million d’autres enfants en France. Pourtant, nous habitons dans le 5e pays le plus riche du monde !

Z Pauvreté = privationLa pauvreté, c’est un terme vague : où commence-t-elle ? L’Unicef* vient de faire une enquête sur la “privation”, une notion plus précise. L’idée ? Calculer combien d’enfants sont privés d’au moins deux éléments essentiels au développement, comme trois repas par jour, deux paires de chaussures

à la bonne taille, un coin pour faire ses devoirs, de quoi recevoir des copains, la pratique d’un loisir ou quelques vêtements neufs. Conclusion ? Un enfant sur 10 est en situation de privation, soit 3 enfants par classe !

Plus d’un milliond’enfants pauvresen France

je m’informe

actu

page 36

J’ai organisé une grande collecte de

livres !

Moi, je suis prêt à

donner mon pouic-pouic !* Unicef : Fonds des Nations unies pour l’enfance.

Le Secours populaire organise chaque été, dans toute la France, la Journée des oubliés

des vacances, pour les enfants qui ne peuvent pas partir au bord de la mer.

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clivres !

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FICELLE 09:56:49 Octobre 9, 2012 JULN0172P036.pdf

Ça fait quoi, d’être pauvre ?Tu t’imagines peut-être qu’il faut une grande catastrophe pour devenir pauvre. En réalité, c’est plus compliqué. La pauvreté arrive plutôt à petits pas, à la suite d’une série de difficultés : un parent a une santé fragile, sa famille ne l’aide pas beaucoup, il a un travail mal payé, n’a pas trop fait d’études… En soi, ce ne sont pas d’énormes problèmes, mais mis bout à bout, ils peuvent

faire basculer dans la pauvreté. Heureusement, cela peut n’être que passager, mais parfois, c’est long et difficile de s’en sortir. Le problème ? La pauvreté, c’est comme une double punition. D’abord, on manque de tout, de pain, de baskets ou de chambre pour soi. Mais en plus, ça complique la réussite scolaire, pile ce qui pourrait aider à s’en sortir. Imagine : tu arrives à l’école le ventre à moitié vide, sans les lunettes dont tu as pourtant besoin. Tu crois que tu serais forte en classe ?

Comment est–on aidé ?Heureusement, on ne reste pas sans rien faire. Le gouvernement aide les familles qui ont du mal, en donnant de quoi acheter les fournitures scolaires, de l’argent

pour le quotidien ou en proposant des loyers moins chers. En plus, diverses associations (les Restos du Cœur, le Secours Catholique, le Secours populaire, Emmaüs) offrent gratuitement à ces familles nourriture, vacances, jouets, livres, etc.

Et toi, que pourrais– tu faire ?Tu aimerais agir toi aussi ? Tu peux ! Parles-en autour de toi, à tes proches ou dans ta classe. Tu peux aussi donner ce dont tu n’as plus besoin ( jeux, livres, vêtements en bon état). Mais surtout, “ouvre” ton regard sur les enfants qui n’ont pas les moyens d’avoir ton look ou tes loisirs. Avant de critiquer ou de se moquer de quelqu’un, sous prétexte qu’il n’a pas le dernier slim de chez Zaza, réfléchis : es-tu sûre que ça le rend moins intéressant que les autres ? •

En hiver, les petits “Père Noël verts” du Secours populaire donnent un coup de main au vrai Papa Noël…Merci à François Duchamp, chargé de mission Enfance pour Unicef France. page 37

Réalisation : Anne

Les enfants pauvres y ont droit aussi !Le 20 novembre, c’est la Journée des droits de l’enfant (pauvres y compris !). L’occasion d’en rappeler quelques-uns :• Tu as le droit à un niveau de vie décent. Si nécessaire, l’État devra aider tes parents.• Tu as droit à l’éducation. Tout doit être fait pour t’aider à fréquenter l’école.• Tu as droit à avoir des loisirs.

Regarde, j’ai réuni plein de vêtements

à donner !

Super ! Je viens avec toi !

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Novembre 2012 - N° 172

leblogdejulie.comg j

Des tests à faire ensemble

+ plein d’astuces pour

bien s’entendre !

DROITS DES ENFANTS

INSPIRE-TOI !

TEST

C’est quoi,

être pauvre ?

Les lectrices

font leur mode

Quelle aventurière

es-tu ?

AMIESi

mblePOUR LA VIE !DD

Tu viens

t’amuser

avec nous ?

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es fi lles posent les seaux par terre, et collent leur visage contre les planches.

Il y a assez d’espace pour voir l’intérieur de la classe ! Acha repère ses frères,

assis avec les autres élèves sur de vieux bureaux, et aussi le maître, qui écrit

au tableau. Fati chuchote :

— Vous comprenez les inscriptions blanches au tableau ? Il y a des boucles

et des traits, mais je ne sais pas ce que c’est !

— Moi non plus, répond Acha.

Kadija ramasse une pierre par terre, puis s’en sert comme d’une craie pour

recopier sur le bois les inscriptions qu’elle voit. Ses deux amies l’imitent très vite,

L

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et écrivent les lettres en s’appliquant ! Mais le temps passe rapidement, et elles

doivent reprendre leur chemin. C’est décidé, elles reviendront demain ! Durant

des jours et des jours, Acha, Fati et Kadija s’arrêtent sur leur trajet, et se cachent

derrière l’école. Elles écoutent le maître, et s’entraînent à recopier les lettres.

Les planches de bois sont maintenant remplies de signes et de traits : c’est leur petit

secret. Petit à petit, les amies commencent à reconnaître les chiffres et les lettres.

Plus les semaines passent, et plus elles restent longtemps à espionner la classe.

Si bien qu’un jour, elles mettent trop de temps pour rapporter l’eau à leurs parents.

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Reve et croque la vie !

tes héroïnes

Retrouvesseessee

RReeRRRR tteeee rrttttRRRR

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Princesseaventurière Tes jeux, ta recette et ta couronne à fabriquer

Reportage : À cheval avec Amy

Ta question : d’où vient l’arc-en-ciel ?

Ta belle histoire à lire

Génial !+ de 100 autocollants

N° 104Novembre2012

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Enquête

Les enfants de l’école de Zounta, une ville dans le sud du Bénin,

ont réservé un accueil royal aux Jeunes Ambassadeurs de l’Unicef.

“ON A RENCONTRÉ L

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É LES ENFANTS DU BÉNIN !”

35

BÉNIN

Humanitaire

6 ados français

sont partis au Bénin,

en Afrique, avec l’Unicef,

une association qui

s’occupe des enfants

du monde. Nathalie,

notre reporter, a suivi

leur aventure.

Louise, Claire, Romane, José-

phine, Loïc et Kévin ont entre 15 et

18 ans. Ils ont eu la chance de partir

au Bénin cette année. Jeunes Ambas-

sadeurs pour l’Unicef, ils agissent,

à leur niveau, pour sensibiliser la

population à la situation des enfants

dans le monde. En France, ils orga-

nisent des expos, des débats, des

flashmobs, etc.

Leur mission au Bénin ? Réaliser

un documentaire Web sur l’aide que

l’association apporte aux jeunes

Béninois.

Je les ai suivis. Ensemble, nous avons

parcouru le Sud du pays, pendant

1 semaine, à la rencontre des jeunes

Béninois. Une aventure très forte

en émotions !

Nathalie

Reporter

photographe

Le 20 novembre, c’est la journée

internationale des Droits de l’Enfant.

Cet te journée marque la date

anniversaire de la Convention des droits

de l’enfant du 20 novembre 1989, un

traité international qui incite les pays

à respecter vos droits. À cette occasion,

l’Unicef et Milan, l’entreprise qui édite

Géo Ado, te proposent ce reportage.

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www.geoado.com

Le magazine de notre planète

EXPLORE L’AMÉRIQUE SAUVAGEAVEC PARKER, RANGER JUNIOR

N° 117nov.

2012

Voile Samantha autour du monde Australie Au secours du koala

Vertige Des ados un peu dingos

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Ce sont les jeunes

qui sauveront le monde !

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Presse junior

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Le 20 novembre 1989, la plupart des pays ont signé la Convention des droits de l’enfant : un texte qui permet de mieux respecter et protéger les enfants. Depuis, chaque année, le 20 novembre, c’est la Journée des droits de l’enfant.

Decouvre les droitsde l’enfant

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DÉCORE TES CAHIERSAVEC TES AUTOCOLLANTS DES DROITS DE L’ENFANT P. 16.

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Dans de nombreux pays, les droits des enfants ne sont pas respectés. ÉCRIS de quel droit il s’agit sous chaque illustration.

2

À l’aide de la page 10, COCHE le droit qui n’est pas écrit dans le texte des droits de l’enfant.

1a. J’ai le droit de donner mon avis. b. J’ai le droit de regarder la télévision tous les soirs. c. J’ai le droit de jouer, de rire et de rêver.

Le droit d’avoir un abri.

C D

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SUR LES DROITS DE L’ENFANT

Championdes questions

Solutions : n° 1/b ; n° 2 B. Le droit de manger à sa faim, C. Le droit de vivre en paix, D. Le droit d’être protégé contre les mauvais traitements.

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FICELLE 09:31:04 Octobre 2, 2012 CE1N0038P001.pdf

À l’occasion de la Journée

internationale

des droits de

l’enfant, dont le

droit à l’éducation

fait partie, Picoti

fait un petit tour

d’horizon de

certains systèmes

préprimaires

du monde.

Marquée par une histoire

longue (qui a commencé avec

la création des salles d’asile

au début du XVIIIe siècle)

et une culture forte, l’école

maternelle française porte bien

son nom : elle se revendique

comme la passerelle entre le

milieu familial et le milieu sco-

laire, c’est-à-dire un lieu des

apprentissages primordiaux,

qui essaye également de

garder le côté « maternant »,

dont les jeunes enfants, entre

3 et 6 ans, ont encore besoin.

Publique, gratuite et laïque,

accessible à partir de deux

ans et demi (à condition que

l’enfant ait acquis la propreté

et sous réserve d’une place

disponible), l’école maternelle

française est souvent montrée

comme un modèle. Mais alors,

à quoi ressemblent les systèmes

de scolarisation préprimaire

dans le reste du monde ?

En Allemagne, chaque enfant,

entre 3 et 6 ans, a droit à une

place au Kindergarten (jardin

d’enfants). Bien qu’elle ne soit

pas obligatoire, les parents ap-

portent, en général, une contri-

bution fi nancière quand ils dé-

cident d’y mettre leur enfant.

Dans son mode de fonctionne-

ment, ce jardin d’enfants res-

semble à nos crèches : jeu libre,

discussion, sorties, lecture…

les éducatrices encadrant les

enfants sans rien imposer. Le but

est de faire du Kindergarten

un espace de découverte par

le jeu et d’initiation à la vie en

collectivité.En Angleterre, l’école est obli-

gatoire à partir de 5 ans.

Entre 3 et 5 ans, les enfants

peuvent aller dans des écoles

maternelles, payantes ou non,

être placés dans des crèches

ou des garderies. Les activités

artistiques, sociales, linguis-

tiques, civiques, scientifi ques

et technologiques, les mathé-

matiques et la religion sont

privilégiées et encadrées par

des enseignants spécifi que-

ment formés.

En Espagne, l’école est obliga-

toire à partir de 6 ans. Avant,

les enfants de 1 à 6 ans peuvent

aller à l’école maternelle,

divisée en deux cycles et qui

L’école maternelle

à la française

Chez nos voisins

européens

école et petite enfanceDOSSIER

2

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FICELLE 13:48:06 Septembre 10, 2012 PICN0277P506.pdf

3

ressemble parfois plus à une

garderie qu’à une véritable

école. L’identité et l’autonomie

personnelle, la communica-

tion, la découverte de l’environ-

nement physique et social sont

les apprentissages visés en

priorité. La dernière année de

maternelle prépare à l’école

primaire en abordant les

apprentissages fondamentaux

tels que l’écriture, la lecture,

l’arithmétique…

En Italie, l’école est obligatoire

à partir de 6 ans. Avant, les

écoles de l’enfance accueillent

les enfants de 3 à 5 ans, voire

2 ans et demi si des places sont

disponibles. Elle est facultative

et souvent payante.

Au Danemark, l’école n’est

obligatoire qu’à partir de 7 ans.

Avant, les enfants, dès 6 mois,

peuvent fréquenter le jardin

d’enfants, puis une classe pré-

scolaire appelée « classe du

jardin d’enfants », à 6 ans.

Le jardin d’enfants a pour but

l’épanouissement des petits

grâce au jeu libre, aux jeux de

rôle, le tout en développant

des relations privilégiées avec

les adultes. La classe du jardin

d’enfants prépare les enfants

à devenir des élèves, et donc

à travailler, à vivre en groupe

et à suivre des règles de vie

plus structurées que ce qu’ils

ont pu connaître jusqu’alors.

Aux États-Unis, l’école est obli-

gatoire à partir de 5, 6, 7 ou

8 ans suivant les États. Avant

cet âge, les enfants peuvent être

scolarisés dans le système privé

payant, mais il existe, dans

certains États, des programmes

de scolarisation précoces dans

le public.Au Canada anglophone, l’école

est obligatoire à partir de

5 ans. Avant, et à partir de

3 ans, les enfants fréquentent le

Kindergarten. Dans la province

du Québec, l’éducation pré-

scolaire est partagée entre la

prématernelle, pour les enfants

de 4 ans, et la maternelle pour

les enfants de 5 ans, qui ne

sont pas obligatoires.

Au Japon, les enfants sont

accueillis à l’école maternelle

(peu sont publiques) de 3 à

5 ans. Le port de la blouse ou

de l’uniforme est obligatoire.

De l’autre côté de l’Océan

Et puis…

La maternelle en FranceGratuité : oui

Pédagogie : cinq

domaines de compé-

tence :• s’approprier

le langage, • découvrir l’écrit,

• devenir élève,

• agir et s’exprimer

avec son corps,

• découvrir le monde.

Encadrement :

professeurs des écoles

École obligatoire :

oui, à partir de 6 ans

e

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L’Unicef, chargé de veiller au respect des droits de l’enfant partout dans le monde, s’appuie en france sur un accord-cadre signé avec le ministère de l’Éducation nationale pour accompagner les enseignants et les acteurs de l’éducation dans leur mission de sensibilisation aux droits de l’enfant et pour renforcer la citoyenneté et la solidarité chez les jeunes. L’association a notamment la mission de faire connaître la convention internationale des droits de l’enfant et ses principes auprès des enfants et des jeunes. Pour cela, l’Unicef france met à la disposition des parents, des enseignants et des éducateurs, des supports pédagogiques téléchargeables gratuitement en ligne dans la rubrique dédiée à l’éducation de son site internet. www.unicef.fr

L’Unicef, partenaire privilégié

Toutes les ressources pédagogiques sont à télécharger sur le site dédié aux enseignants milan-ecoles.com

Tous ces magazines sont en vente au mois de novembre chez les

marchands de journaux.

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ilan

Pre

sse

∞ Partenaire depuis vingt ans de la campagne « Pas d’école, pas d’avenir ! », initiée par la Ligue de l’enseignement, avec Solidarité laïque.

∞ Partenaire de Solidarité laïque pour la campagne « Un cahier, un crayon ».

∞ en mettant, tous les ans, à la disposition du centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information (cLeMi) quelque 27 000 magazines, dans le cadre de la Semaine de la presse et des médias dans l’école.

∞ Édite en partenariat avec l’Unicef france, le livret du jeune citoyen, remis par certaines mairies à la naissance de l’enfant pour lui faire connaître ses droits et ses devoirs.

∞ Soutient l’association Lire et faire lire, afin de donner le goût de la lecture à tous les enfants.

∞ Relaie chaque mois dans ses magazines les actions menées par Éco-école afin de sensibiliser les enfants au développement durable au sein des établissements scolaires.

contact PresseDorothée tardif

01 74 31 65 77

06 77 46 74 68

dorothee.tardif@bayard-presse.com illu

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Éditeur de journaux, sites Web et livres pour la jeunesse (Toboggan, Toupie, Wapiti, Julie...) et de magazines de territoires, Milan est l’éditeur engagé pour tous les enfants. Ses rédactions ont développé depuis plus de trente ans un savoir-faire éditorial reconnu par la communauté éducative et le monde enseignant, dont il est un partenaire historique.

engagé pour l’éducation dans le monde et l’éducation à la solidarité

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