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DOSSIER DE PRESSE NICOLAS BRIANÇON DIRECTION ARTISTIQUE DU 11 AU 30 JUIN 2018 FESTIVALDANJOU.COM

DOSSIER DE PRESSE - festivaldanjou.com · Le Festival s’ouvre pour deux soirées à un lieu emblématique de notre département : l’Abbaye de Fontevraud. C’est la promesse de

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DOSSIERDE

PRESSE

NICOLAS BRIANÇONDIRECTION ARTISTIQUE

DU 11 AU 30 JUIN 2018

FESTIVALDANJOU.COM

ÉDITOSCette année encore, le théâtre et le patrimoine composent une partition originale du Festival d’Anjou. De beaux répertoires, demagnifiques comédiens, la programmation 2018 sait nous mettre en appétit théâtral. Le Festival s’ouvre pour deux soirées à un lieuemblématique de notre département : l’Abbaye de Fontevraud. C’est la promesse de nouvelles émotions.Cette 69ème édition va enchanter les étoiles de l’Anjou avec ses comédiens prestigieux et ses répertoires variés.

Fidèle à sa réputation, le festival 2018 est un savant mélange de textes classiques et contemporains, d’auteurs, de comédiens et demetteurs en scène confirmés ou émergents, avec toujours pour fil rouge la constance de la qualité qui constitue la marque de notrefestival depuis 69 ans. Du classique au contemporain, du drame à la comédie, les plus grands auteurs se succéderont sur lesplanches, dans une programmation hors du temps où les époques se côtoient dans un savant mélange d’émotions et de talents :William Shakespeare, Marcel Aymé, Jean Racine, William Douglas Home, David Foenkinos, Olivier Bourdeaut…L’importance de cette rencontre culturelle entre le public et les comédiens s’est accrue au fil du temps pour devenir le 2ème festival dethéâtre de France. La passion autour du festival n’a cessé de s’accroître. Cela révèle la fidélité à un spectacle de qualité autour duthéâtre, élément fort de la culture angevine.

Plus que jamais, porté par un public fidèle et toujours plus nombreux, le Festival d’Anjou fait partie intégrante du patrimoine culturel denotre région. Premier événement théâtral ligérien, le Festival d’Anjou bénéficiera cette année du précieux soutien de la Région desPays de la Loire. Il vient compléter aussi celui de nos villes partenaires comme la ville d’Angers, l’Agglomération du choletais, etbientôt Saumur Val de Loire ainsi que celui de nos partenaires privés. Leur fidélité n’a d’égale que l’intérêt croissant démontré àl’égard de notre festival, prouvant qu’en Anjou nous savons conjuguer intérêts publics et privés au service des plus belles aventuresculturelles. Je n’oublie naturellement pas d’associer à mes remerciements tous ceux qui œuvrent à la réussite de cet évènement, avectoujours la même foi et le même enthousiasme : les équipes d’Anjou Théâtre bien sûr, mais aussi les bénévoles.

Très bon festival à tous !Christian GilletPrésident du Conseil départemental de Maine-et-LoirePrésident d’Anjou Théâtre

Chère S.

Est-ce parce que nous n’en finissons plus de sortir de l’hiver, que le rêve, plus fort encore cette année que d’autres, d’un Festivald’Anjou éblouissant me donne envie de dialoguer avec vous, de reprendre cette conversation dont j’ai l’impression depuis quinze ansqu’elle ne s’est jamais interrompue ?D’où vient cette année l’enthousiasme très particulier que j’éprouve à vous présenter la programmation de cette édition 2018.La soixante-neuvième?Comment accueillerez-vous ce que depuis des mois nous préparons, nous inventons, nous imaginons, dans la solitude de nosbureaux, en parcourant les théâtres, les festivals, les salles, petites ou grandes où nous cherchons la pépite, qui vous surprendra,vous enchantera, et vous donnera l’envie de continuer cette aventure avec nous ? Le bonheur est immense de vous présenter de grands spectacles de théâtre : Edmond – le spectacle aux cinq Molières - fait étapechez nous pour trois dates. Et une fantastique et extraordinaire Nuit des Rois de Shakespeare, pour renouer avec les très grandessoirées classiques du Festival ! Une sublime Histoire du soldat de Ramuz et Stravinski.Bonheur de présenter un concours des compagnies toujours plus exigeant.Bonheur de retrouver les amis et les habitués : Francis Huster, Jacques Weber, François Morel.Mais cette année encore, nous avons essayé de nous renouveler.Par exemple c’est la première année que la création du Festival sera la reprise d’un très grand classique de la comédie de boulevardcontemporaine : Le canard à l’orange de William Douglas Home, adapté par Marc Gilbert Sauvajon. Créé en France par Jean Poiret.Merveille de précision anglaise, perfection de drôlerie, de mécanique et d’intelligence. Mais aussi ce renouvellement se retrouve dans une programmation où nombreux sont les artistes qui vont fouler pour la première foisles planches du Plessis Macé, du Cloître Toussaint, des théâtres d’Angers, de Saumur, de Cholet, de Bouvet-Ladubay et nouveauté,là encore cette année, de l’abbaye de Fontevraud.Patrick Timsit dans son extraordinaire spectacle sur Le livre de ma mère le chef d’œuvre d’Albert Cohen. Anne Delbée qui présenteson Andromaque dans le cadre du concours des compagnies. Les équipes de Franito, petit bijou de drôlerie autour du Flamenco authéâtre de Cholet, ou d’ Une vie sur mesure extraordinaire moment, spectacle événement comme l’a été d’une certaine mesure« Les Chatouilles » présenté il y a deux ans, un de ces spectacles chocs et bouleversant qui laisse des traces indélébiles dans lamémoire des spectateurs. Et pour la première fois aussi, de la danse dans le cadre du Festival avec un Roméo et Juliette somptueux,mélangeant et faisant dialoguer danse contemporaine et danse traditionnelle espagnole, un bonheur de spectacle. Et puis,l’événement, le choc, sans doute LE Moment du Festival 2018… Celui dont on pourra dire, j’y étais ! Le fantastique spectacle surBarbara avec Gérard Depardieu (et au piano Gérard Daguerre)… Nous serons le seul festival à le présenter, et peut-être le seul endroiten France après le cirque d’Hiver à Paris, et des dates dans le monde entier. C’est une joie immense de vous présenter ce momentbouleversant et unique.Voilà… Je voulais vous dire tout cela alors que se profile à l’horizon mes derniers moments à la tête de ce Festival extraordinaire.Il n’est pas encore temps du bilan. Nous verrons l’année prochaine, à la fin de la soixante dixième édition. Mais je voulais vous dire cesoir tout de même, le bonheur intense que j’ai eu, que j’ai encore, à rêver avec vous, pour vous et grâce à vous !

Bon Festival 2018 !

Nicolas BriançonDirecteur artistique du Festival d’Anjou

LUNDI 11 JUIN 21H00CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

MARDI 12 JUIN 21H30CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

MERCREDI 13 JUIN 21H30CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

JEUDI 14 JUIN 21H30VENDREDI 15 JUIN 21H30SAMEDI 16 JUIN 21H30CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

VENDREDI 15 JUIN 21H30SAMEDI 16 JUIN 21H30ARÈNES DE DOUÉ-EN-ANJOU

LUNDI 18 JUIN 21H30MARDI 19 JUIN 21H30MERCREDI 20 JUIN 21H30CLOÎTRE TOUSSAINT, ANGERSSAMEDI 23 JUIN 20H30THÉÂTRE SAINT-LOUIS, CHOLET JEUDI 28 JUIN 20H30LE DÔME, SAUMUR

JEUDI 21 JUIN 21H30 CLOÎTRE TOUSSAINT, ANGERS

VENDREDI 22 JUIN 21H30CLOÎTRE TOUSSAINT, ANGERS

VENDREDI 22 JUIN 21H30SAMEDI 23 JUIN 21H30 ABBAYE ROYALE DE FONTEVRAUD

SAMEDI 23 JUIN 21H30 CLOÎTRE TOUSSAINT, ANGERS

LUNDI 25 JUIN 20H30 THÉÂTRE SAINT LOUIS – CHOLET

MARDI 26 JUIN 20H00THÉÂTRE BOUVET LADUBAY, ST HILAIRE - ST FLORENT

MARDI 26 JUIN 21H30MERCREDI 27 JUIN 21H30 CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

JEUDI 28 JUIN 21H30CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

VENDREDI 29 JUIN 21H30CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

SAMEDI 30 JUIN 21H30CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

LUNDI 18 JUIN 19H00GRAND THÉÂTRE D’ANGERS

MARDI 19 JUIN 19H00GRAND THÉÂTRE D’ANGERS

MERCREDI 20 JUIN 19H00GRAND THÉÂTRE D’ANGERS

JEUDI 21 JUIN 19H00GRAND THÉÂTRE D’ANGERS

VENDREDI 22 JUIN 19H00GRAND THÉÂTRE D’ANGERS

SAMEDI 23 JUIN 19H00GRAND THÉÂTRE D’ANGERS

MERCREDIS 13 / 20 JUINMARDI 26 JUIN

DIMANCHE 24 JUIN DE 10H À 18H CHÂTEAU DU PLESSIS MACÉ

RABELAISDe Jean-Louis BarrauLt

INCONNU À CETTE ADRESSE De Kressmann taÀLor

LE LIVRE DE MA MÈRE D’aLBert Cohen

EDMOND D’aLe5is miChaLiK

LA RAISON D’AYMÉ D’isaBeLLe mergauLt

LE CANARD À L’ORANGE De WiLLiam DougLas home

HOROWITZ, LE PIANISTE DU SIÈCLE De FranCis huster

EN ATTENDANT BOJANGLES D’apr:s oLivier BourDeauLt

L’HISTOIRE DU SOLDAT De stravinsKÀ et ramu7

LA RONDE D’arthur sChnit7Ler

FRANITO De patriCe thiBauD

MADAME MARGUERITEDe roBerto athaÀDe

LA NUIT DES ROIS De WiLLiam shaKespeare

1988, LE DÉBAT MITTERRAND-CHIRAC De JaC ues WeBer

ROMÉO ET JULIETTE De WiLLiam shaKespeare

DEPARDIEU CHANTE BARBARA De gérarD Daguerre et gérarD DeparDieu

LE POTENTIEL ÉROTIQUE DE MA FEMME D'apr:s DaviD FoenKinos

LE CERCLE DE WHITECHAPEL De JuLien LeFeBvre

ANDROMAQUE OU LE COMBAT POUR L’HUMANITÉDe Jean raCine

LA DERNIÈRE IDOLE D’héL:ne Franëois et emiLie vanDenameeLe

CLERAMBARDDe marCeL aÀmé

UNE VIE SUR MESURE De CéDriC Chapuis

SPECTACLES JEUNE PUBLIC

SUNDAYLa Journée FamiLiaLe Du FestivaL D’anJou

PROGRAMMEINAUGURATION

CLÔTURE

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DU 11 AU 30 JUIN 2018

CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

LUN 11 JUIN - 21H00

Mise en scènehervé van der meulen

Assistants à la mise en scèneJulia Cash

ambre DubrulleJérémy torres

ChorégraphieJean-marc hoolbecq

Avecétienne Bianco

Clémentine BillyLo c Carcassès

aksel Carrezghislain Decléty

inès Do nascimentopierre-michel Dudan

Délia espinat-Diefvalentin Fruitier

Constance guiouillierthomas Keller

nicolas Le Bricquirolivier Lugo

Juliette malfraymathias maréchal

ulysse menguepier-niccolo sassetti

Jérémy torresagathe vandame

Scénographie et accessoiresClaire Belloc

Costumesisabelle pasquier

Musique originalemarc-olivier Dupin

Maquillageaudrey millon

Chefs de chantJuliette épin-Bourdetpablo ramos monroy

Lumièrestéphane Deschamps

Son et régie généralearthur petit

Co-productionLe Studio d’Asnières et le Théâtre

Montansier de Versailles

Avec la participation artistique duStudio - Ecole Supérieure

de Comédiens par l’Alternance

NOTE DE L’AUTEUR

Ce qui me tentait surtout, c’était de servir la« théâtralité » de ce grand auteur qui composales situations et ses dialogues pour ainsi dire« à l’état brut ». Cependant pour rester fidèleà Rabelais et en donner un portrait qui ait deschances de lui ressembler, il fallait quel’entreprise fût folle. Il fallait le prendre danssa totalité. Il fallait extraire un spectacle deses cinq livres, de ses lettres, de sespronostications : de son œuvre en entier.Rabelais est né soixante-dix ans avantShakespeare. Son œuvre, quand onl’approfondit, est savamment construite.Nous espérons que le « jeu dramatique » quenous en avons tiré fera penser à Molière, LaFontaine, Alfred Jarry, Aristophane, Kafka, àla Renaissance, au Cirque de tous les tempset… à notre Epoque.Jean-Louis Barrault

NOTE DU METTEUR EN SCÈNE

« Rabelais « le génial curé surréaliste »« Le grand rire de Rabelais est un phénomène uniquedans la littérature de tous les temps et, à côté de lui,Aristophane, Boccace, Molière font figure de croque-morts. »Marcel Aymé

[…] La nécessité qui me semble advenir aujourd’huide porter cette grande saga sur le plateau, n’est pasnon plus le fruit du hasard. En ces années du débutd’un siècle nouveau, - que tout un chacun pressentcomme témoin de bouleversements intenses -,l’immense appel d’air que suscite cette immensefresque me semble salutaire.

La boulimie qui caractérise les pages de Rabelais, lavolonté encyclopédique d’aborder tous les sujets,tous les thèmes, toutes les connaissances, … cetteboulimie – admirablement suggérée ici par Barrault -participe d’une recherche gourmande, et mêmegloutonne, d’un monde meilleur où tout serait mis enœuvre afin de trouver, pour l’être humain, un terrainfavorable à sa soif de joie, d’harmonie, de plaisir !A sa soif de curiosité bien évidemment : le voyage aune grande place dans cette œuvre ! A sa soif desavoir et de culture encore : toutes les sciences,toutes les matières encyclopédiques, et toutes lesformes littéraires – jusqu’à la poésie - y sontévoquées ! A sa soif de philosophie et d’humanisme !Soif ! le mot réapparaît sans cesse, et c’est par làqu’on en revient toujours à la « dive bouteille », lepoème le plus célèbre de cette œuvre titanesque.

Et tout cela dans un immense éclat de rire ! […]

Un vrai spectacle de troupe, alliant théâtre, danse etmusique. Une grande fresque qui saura osciller sanscesse entre le Rabelais « éternel rieur » et la figuredu sage et de l’humaniste.Hervé Van der Meulen

RABELAISDE JEAN-LOUIS BARRAULT

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INAUGURATION

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CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

MAR 12 JUIN - 21H30

Adaptationmichèle Lévy-Bram

Mise en scèneDelphine de malherbe

Assistante à la mise en scèneJo9lle Benchimol

AvecJean Benguigui

stéphane guillon

Lumièresmarie-hélène pinon

Costumesélisabeth tavernier

Sonmichel Winogradoff

Accessoiresphilippe plancoulaine

LA PIÈCE

« Inconnu à cette adresse » est un textemagistral, bouleversant. Dix-neuf lettres entredeux amis, un Allemand et un Juif américain,à l’heure de la montée du nazisme. Au fil dela correspondance, le ton s'assèche entre lesdeux amis. On assiste à l'idéologie fascistequi s'infiltre, à l'horreur qui arrive…

Qui est le bon, qui est le méchant ? Qu'aurions nous fait à leur place ?Le courage suffit-il à contrer le courant ?Et quand l'horreur advient, le pardon est-ilpréférable à la vengeance ?

CE QU’EN PENSE LA PRESSE

« une pièce d’une rare intensité. C’estbouleversant et transcendé par deuxformidables comédiens. Courez vite voirInconnu à cette adresse. » JDD

« inoubliable » Figaro

« une mise en scène toute en finesse duchef d’œuvre de Kressmann taylor.mémorable. Courez-y. » Figaroscope

« Inconnu à cette adresse 4 un texte choc.»L’Express

« une sorte d'ovni littéraire, une manière dechef-d’œuvre secret. » Le Nouvel Observateur

« on n'a qu'un seul désir, le faire lire. »Télérama

INCONNU À CETTE ADRESSED’APRÈS LE CHEF-D’ŒUVRE DE KRESSMAN TAYLOR

CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

MER 13 JUIN - 21H30

Mise en scèneDominique pitoiset

Avecpatrick timsit

En coréalisation avecLa Compagnie Pitoiset, Dijon

Accueil en résidence et créationà Bonlieu Scène nationale Annecy

les 19, 20 et 21 septembre 2017En tournée jusqu'au 15 avril

(du 21 décembre au 17 marsau Théâtre de l'Atelier - Paris)

La Compagnie Pitoiset-Dijon estconventionnée par le Ministère de la

Culture et de la Communication (DGCA)ainsi que par la Ville de Dijon

LA PIÈCE

De la rencontre de Patrick Timsit et deDominique Pitoiset, de leur estime mutuelleteintée de curiosité l'un pour l'autre, de leuradmiration partagée pour Albert Cohen, vanaître un chant de deuil, d'amour poignants,depuis le seul endroit au monde qui le fassepartager ainsi : depuis la scène. Deuil insenséet amour fou, hommage bouleversant aux« Mères de toute la terre ».

Un jour, un tout jeune comédien nomméPatrick Timsit a lu Le livre de ma mère. Il aaussitôt su que ce texte ne le lâcherait plus.Et vice-versa.Saison après saison, il l'a lu, relu, annoté,ruminé. Silencieusement ou à haute voix.Souvent seul et parfois en public. Commeune sorte de secret à demi partagé. Avec letemps, le jeune comédien a fait son chemin,gagné en stature, trouvé le succès. Mais ilgardait toujours ce livre dans un coin de satête et de son cœur.Il aura attendu trente ans.

NOTE D’INTENTION

« Les chapitres du Livre de ma mère sont commedes respirations. Albert Cohen écrit comme onrespire - c'est-à-dire quand il en a besoin (un besoinvital). Il n'exécute pas un programme, ne raconte pasune histoire. C'est plus une succession d'états qu'un

récit. Parfois une anecdote affleure, des incidentsremontent à la surface. Mais la mémoire de l'écrivainsuit ses méandres sans sacrifier aux nécessitésd'une histoire.Nous n'avons pas à être plus exhaustifs que lui.Nous allons nous laisser porter, Patrick et moi, par cecourant...Un petit homme, donc, un petit prince, aurait peut-êtredit sa mère, qui marche sur la vaste croûte terrestre.Il ne se regarde pas faire, il ne s'écoute pas parler.Cherchant ses mots, il s'adresse à nous. Evoquant samère, convoquant le public. Il peut le faire, il doit lefaire, parce qu'il est seul. Un cœur mis à nu, sanscaméras, sans miroirs, sans médiations. Sansnarcissisme. Et lucide, sans les facilités de lamisanthropie.Démuni, abandonné.Dépouillé.Dominique Pitoiset

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« patrick timsit et albert Cohen ne fontqu’un sur le plateau. Derrière ou devant ungrand bureau 8 qui pourrait être celui del’auteur de cette lettre poignante 8 lecomédien, la voix remplie de douceur,égrène les souvenirs de ce fils rongé par lechagrin du deuil. on découvre un autretimsit, plein d’émotion et de dignité. »Stéphane Capron – www.sceneweb.fr

LE LIVRE DE MA MÈRED’APRÈS ALBERT COHEN

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CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

JEU 14 JUIN - 21H30

VEN 15 JUIN - 21H30

SAM 16 JUIN - 21H30

Mise en scènealexis michalik

Assistante à la mise en scèneaida asgharzaden

Avecguillaume sentou

pierre ForestKevin garnichat

régis valléenicolas Lumbreras

eriq ebouaneyChristian mulot

pierre Benezitstéphanie Caillol

anna mihalceaChristine Bonnard

valérie vogtDistribution non-contractuellesusceptible de modifications.

DécorsJuliette azzopardi

Costumesmarion rebmann

CombatsFrançois rostain

Musiqueromaintrouillet

Lumièresarnaud Jung

LA PIÈCE

Décembre 1897, Paris. Edmond Rostand n'apas encore trente ans mais déjà deux enfantset beaucoup d'angoisses. Il n'a rien écritdepuis deux ans. En désespoir de cause, ilpropose au grand Constant Coquelin unepièce nouvelle, une comédie héroïque, envers, pour les fêtes. Seul souci: elle n'est pasencore écrite. Faisant fi des caprices desactrices, des exigences de ses producteurscorses, de la jalousie de sa femme, deshistoires de cœur de son meilleur ami et dumanque d'enthousiasme de l'ensemble deson entourage, Edmond se met à écrire cettepièce à laquelle personne ne croit. Pourl'instant, il n'a que le titre : Cyrano deBergerac.

NOTE D’INTENTION

Edmond ou la revanche du théâtreJ'ai depuis plusieurs années un rêve un peu fou :raconter au cinéma la triomphale et mythiquepremière de Cyrano de Bergerac en décembre 1897à Paris. J'avais consigné par écrit une ébauche derécit qui gonflait d'années en années.[…]Pensez-donc, pour Cyrano il n'y avait pas moins de100 personnes sur scène ! Impensable aujourd'hui.Voilà ce que je veux raconter : le triomphe de cettepièce, le plus grand triomphe théâtral français, ledernier aussi en quelque sorte. Un triomphe quepersonne ne voyait venir. Je développe pendant deuxans le scénario de cette grande fresque historique etparisienne. Mon Edmond devient un personnage, ilrencontre Coquelin, Volny, Sarah Bernhardt et bien

d'autres… Et soudain tout devient clair : Edmonddoit d'abord être créé là où Cyrano a été créé il y après de 120 ans : dans une salle de théâtre.J'en parle à Sébastien Azzopardi, lui aussi homme descène et chef de troupe. Il m'ouvre les portes duthéâtre du Palais-Royal dirigé par Francis Nani. Jeleur annonce 12 acteurs, ils ne cillent pas. BenjaminBellecour, producteur du « Porteur d’histoire » et du« Cercle des Illusionnistes » est de la partie lui aussi.Un vrai théâtre de troupe à l'ancienne.Une entreprise périlleuse, une folie financière. Mais« A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ».On a beaucoup parlé de Cyrano. Cette fois-ci, le héros, c'est Rostand. Ou pour lesintimes : Edmond.Alexis Michalik

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« Dans un joli décor, des costumesharmonieux, la troupe passe d’unpersonnage à l’autre avec virtuosité, ungroupe d’interprètes excellents et très biendistribués. […] mais surtout l’on se divertit.Du grand théâtre populaire. » Le FigaroScope

« Du théâtre populaire de haute qualité »Le Figaro

« il y a chez ce michalik une énergie, uneinvention et une jeunesse fantastiques… »Le Figaro magazine

« alexis michalik revient avec « edmond »qui retrace avec panache la création de« Cyrano de Bergerac » telle une épopéedébridée. un bijou… on rit beaucoup, ons’émeut aussi, devant l’écriture du chefd’œuvre. » Le Parisien magazine

EDMONDD’ALEXIS MICHALIK

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Molière du théâtre privé

Molière du comédiendans un second rôle :

Pierre Forest

Molière de la révélationmasculine :

Guillaume Sentou

Molière de l'auteurfrancophone :

Alexis Michalik

Molière du metteur enscène : Alexis Michalik

ARÈNES DE DOUÉEN ANJOU

VEN 15 JUIN - 21H30

SAM 16 JUIN - 21H30

Mise en scènegérard Jugnot

Assistante mise en scènetadrina hocking

Avecgérard Jugnot

isabelle mergaultanne-sophie germanaz

philippe Beglia

DécorsJean haas

LumièresJean-pascal pracht

CostumesCécile magnan

Vidéoolivier Louis Camille

MusiqueKhalil Chahine

Sonstéphanie gibert

LA PIÈCE

Isabelle Mergault signe une nouvelle comédiedésopilante, mise en scène par GérardJugnot. C’est elle-même qui donne laréplique à Gérard Jugnot et incarne…sa conscience.Aymé, un riche industriel, vient d’épouser unejeune femme, Chloé, de trente ans de moinsque lui. Aymé nage dans le bonheur : il aimeet se croit aimé ! Mais Chloé n’est intéresséeque par son argent… au point mêmed’engager un tueur pour se débarrasser dece mari crédule et hériter de sa fortune !Aveuglé par son amour, Aymé ne voit pas ledanger qu’il court. N’écoutant que son cœur,il n’entend plus sa raison…Et c’est justement parce qu’il ne l’entendplus, que la chose incroyable va se produire :la Raison d’Aymé va surgir en chair et en osdevant ses yeux !!… et elle est furieuse !Furieuse, de parler dans le vide ! Furieuse dene plus être écoutée ! La cohabitation ne vapas être de tout repos entre Aymé et cetteRaison autoritaire qui tente par tous lesmoyens de le sauver. Aymé se trouveconfronté à un choix capital : doit-il suivreson cœur ? Doit-il écouter sa raison ? Et aubout du compte, n’est-ce pas Chloé qui aurala solution ?

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« C'est isabelle mergault qui a écrit cettepièce pétillante dans le plus pur style duboulevard. et pour la première fois, lemetteur en scène, c'est Jugnot. 0moi je merégale tous les soirs, parce qu'il y a tout.on est dans le boulevard, on est dans lavaudeville, on est dans la clownerie parfois.il y a aussi un peu plus de choses qui ontdu sens vers la fin, donc vraiment c'est unelarge palette0, analyse-t-il. efficace, bieninterprété, juste ce qu'il faut pour emporterla salle. Dans la multitude de piècesproposées pour cette rentrée théâtrale,La Raison d'Aymé a déjà largementrencontré son public. » francetvinfo

LA RAISON D’AYMÉD’ISABELLE MERGAULT

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CLOÎTRE TOUSSAINTANGERS

LUN 18 JUIN - 21H30

MAR 19 JUIN - 21H30

MER 20 JUIN - 21H30

THÉÂTRE ST-LOUISCHOLET

SAM 23 JUIN - 20H30

THÉÂTRE LE DÔMESAUMUR

JEU 28 JUIN - 20H30

Adaptationmarc-gilbert sauvajon

Mise en scènenicolas Briançon

Assistant à la mise en scènepierre-alain Leleu

Avecnicolas Briançon

anne CharrierFrançois vincentelli

sophie arturalice Dufour

DécorsJean haas

Assistant décorateurBastien Forestier

Costumesmichel Dussarat

Assistante costumesaimée Blanc

Perruques et maquillagesmichèle Bernet

LumièreFranck Brillet

Musiquegérard Daguerre

Régisseurs sur la tournéeJean-Luc Bonchaud

Franck Brillet

Directeur de productionpierre-alain Leleu

LA PIÈCE

Hugh Preston est un animateur-vedette detélévision, marié depuis 15 ans à Liz qu’iltrompe avec de nombreuses maîtresses.Un vendredi soir, Hug dit à sa femme qu'ilsait qu'elle a un amant. Au pied du mur, elleavoue alors à Hugh sa liaison avec unhomme avec qui elle compte partir ledimanche matin suivant.Hugh offre à sa femme de prendre les torts àsa charge, et de se faire prendre en flagrantdélit d'adultère au domicile conjugal avec sasecrétaire, et invite l’amant à passer le week-end à la maison afin de régler les questionsdu divorce. Liz refuse cette propositionqu'elle juge incongrue. Mais lorsque Hugh luiavoue qu'il lui a tendu un piège et qu'il nesavait rien de sa liaison avec Brownlow, Liz,piquée au vif, accepte pour montrer à Hugh àquel point son amant est mieux que lui.Voici donc Liz (la femme), Hugh (le mari),John (l'amant), Patricia (la secrétaire deHugh), plus Mme Grey (la gouvernante) et uncanard récalcitrant, réunis pour un week-endau cours duquel Hugh, en joueur d'échecsqu'il est, va tout faire pour reconquérir sareine.

NOTE D’INTENTION

Monter le Canard à l’orange de William DouglasHome dans la merveilleuse adaptation de MarcGilbert Sauvajon, c’est tenter de renouer avec ce quela comédie de boulevard peut avoir de plusétincelant, de plus joyeux, de plus brillant.C’est plonger le spectateur dans un feu d’artificed’esprit et de drôlerie. Nous rêvons tous derécupérer un jour l’être que nous aimons et quis’éloigne. Mais qui pourrait le faire avec autant dejubilation que Hugh Preston ? Avec des délicatesseset des subtilités infinies, Home et Sauvajon nousentrainent dans un tourbillon étourdissant auquel jerêve de rendre justice. Nous avons hâte de nousmettre au travail. Nicolas Briançon

LE CANARD À L’ORANGEDE WILLIAM DOUGLAS HOME

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C R É A T I O NF E S T I VA L D ’ A N J O U

Une production du Festival d’Anjou, du Théâtre de Paris et de la compagnie Nicolas Briançon

CLOÎTRE TOUSSAINTANGERS

JEU 21 JUIN - 21H30

Mise en scènesteve suissa

AvecFrancis huster

Claire-marie Le guay (piano)LA PIÈCE

Francis Huster et Claire-Marie Le Guayinvitent le public à revivre le destinfantastique, déchirant et incroyable deVladimir Horowitz.

Derrière ces deux virtuoses, une juxtapositiond'écrans nous raconte en images, l'enfance,la vie, l'œuvre, les endroits parcourus, lesconcerts et fait revivre, au travers de films etde documents d'époque, la révolution russeet deux guerres mondiales qui incendièrent lavie déchirante du plus grand pianiste dusiècle.

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« un spectacle tout en nuance,sublimement joué aussi bien sur le plan dela comédie que sur le plan musical. »Le Figaro

« si le comédien fascine par son récithabité, la pianiste Claire-marie Le guaycaptive par ses interprétations desmorceaux les plus emblématiquesinterprétés en leur temps par horowitz.récits et exécutions au clavier alternentavec grâce sans jamais se phagocyter. etles amoureux de piano ont pu se régaler dujeu tout en subtilité de la pianiste. » Publik.art

HOROWITZ, LE PIANISTEDU SIÈCLELIVRET DE FRANCIS HUSTER

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CLOÎTRE TOUSSAINTANGERS

VEN 22 JUIN - 21H30

Adaptationet mise en scène

victoire Berger-perrin

Avecanne Charrier

Didier Bricevictor Boulenger

DécorCaroline mexme

Lumièresstéphane Baquet

Costumesvirginie houdinière

Musiquepierre-antoine Durand

ChorégraphiesCécile Bon

Collaboration artistiquegrégori Baquet

Assistante mise en scènephilippine Bataille

LA PIÈCE

Sous le regard émerveillé de leur fils, ilsdansent sur « Mr. Bojangles » de NinaSimone. Leur amour est magique,vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, iln’y a de place que pour le plaisir, la fantaisieet les amis.Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’estla mère, feu follet imprévisible et extravagant.C’est elle qui a adopté le quatrième membrede la famille, Mademoiselle Superfétatoire, ungrand oiseau exotique qui déambule dansl’appartement. C’est elle qui n’a de cesse deles entraîner dans un tourbillon de poésie etde chimères.Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père etfils feront tout pour éviter l’inéluctable, pourque la fête continue, coûte que coûte.L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.

NOTE D’INTENTION

Mon ami Geoffroy Williamson, dès le premier articleparu sur la sortie de « En attendant Bojangles », m’aannoncé que sortait là de l’ombre un écrivainprometteur et bourré de talent, son ami OlivierBourdeaut. J’ai immédiatement lu son livre, etcomme des milliers de lecteurs (300.000 à ce jour),j’ai été conquise.Folie, légèreté, poésie - humour, fous rires, intensité -gravité, tristesse, larmes : la vie, la vie, la vie, ceroman parle de la vie avec des personnages quiexplosent de vie et que l’on aime immédiatement.

Tout est théâtral dans cette histoire, les êtres bienentendu - y compris les animaux - mais aussi leursenjeux, leurs aventures, le tout dans une magnifiqueesthétique. À la lecture du roman m’apparaissentdes multitudes de couleurs, de formes, de dansesendiablées accompagnées de musiques et de sonsenvoûtants. Alors, en tant que femme de théâtre, jeressens le désir ardent de « mettre debout » ce textequi est encore couché sur le papier, en en faisantl’adaptation pour le spectacle vivant. Faire vivrecette histoire sur scène en donnant chair à ces êtres,en matérialisant leur environnement et en rythmantleur aventure.Victoire Berger-Perrin

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« 1 voir d’urgence. un incroyable petit bijoud’émotion. » Sylvain Merle, Le Parisien

« Dirigé par victoire Berger-perrin, victorBoulenger campe le gamin embarqué dansce tourbillon, aux côtés de Didier Brice,père éperdu d’amour, et d’anne Charrier,mère perchée qui navigue entre fantaisie etchagrin. C’est magnifique. » N.V.E, Marianne

« une pièce remplie d’humanité positive,jamais mièvre mais au contraire d’undynamisme rare. un cadeau de théâtre quel’on serait coupable de ne pas ouvrir. »François Varlin, Théâtral Magazine

EN ATTENDANT BOJANGLESD'APRÈS LE ROMAN D’OLIVIER BOURDEAUT

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ABBAYE ROYALEDE FONTEVRAUDCOUR SAINT-BENOÎT

VEN 22 JUIN - 21H30

SAM 23 JUIN - 21H30

Mise en scènestéphan Druet

Assistant à la mise en scèneet chorégraphies

sebastiàn galeota

Direction musicaleJean-Luc tingaud

Chefs d’orchestreolivier Dejours

Jean-Luc tingaudLo c olivier

(en alternance)

AvecClaude aufaure

Julien alluguetteLicinio Da silva

aurélie Loussouarnmalou utrecht

(en alternance)

L’orchestreatelier ostinato

Costumesmichel Dussarat

LumièresChristelle toussine

Peinture muraleLaurence Bost

LA PIÈCE

Un jeune soldat qui rentre chez lui enpermission rencontre le diable et lui vend sonviolon – c’est-à-dire son âme – en échanged’un livre qui prédit l’avenir et qui le rendratrès riche. Sa nouvelle condition d’hommelibre et fortuné finira-t-elle par lui être fatale ?

De la rencontre de Stravinsky et Ramuz et deleur amitié naît en 1918 « une espèce de petitthéâtre ambulant » d’après un contepopulaire russe d’Afanassiev. Sept musicienset leur chef accompagnent trois comédiens.Le reste est mystère...Stéphan Druet

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« une reussite fascinante, on est rarementaussi heureux au sortir d’un spectacle. »Le Figaro hors-série

« un objet etrange et delicieux ! onzepersonnes jouant, lisant et dansant unefable sur une petite sce) ne, c’est du theatrede treteaux, celui-la) meme dont revait lesauteurs. De bien delectables retrouvailles. »Le Point

« il va sans dire que tous les artistes sontcomplices par leur talent de cet instantanede fraicheur qui emane du spectacle.La plupart des contes sont de boisdormant, celui de ramuz et stravinsky debois musical enchanteur. Ce spectacleensorcele devrait seduire aussi bien lesadultes que les enfants ! »Le Monde

L’HISTOIRE DU SOLDATDE RAMUZ ET STRAVINSKY

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CLOÎTRE TOUSSAINTANGERS

SAM 23 JUIN - 21H30

Mise en scèneJean-paul tribout

AvecCaroline maillard

marie-Christine LetortClaire mirande

Laurent richard5avier simoninalice allwright

(distribution en cours)

Costumessonia Bosc

Lumièresphilippe Lacombe

Décor et accessoiresamélie tribout

LA PIÈCE

10 scènes en duos s’enchaînent.À chaque tableau un couple se livre à un jeude séduction qui se conclu par un rapportsexuel, puis se sépare.

Une prostituée lève un militaire qui séduit unesoubrette laquelle couche avec le fils de sespatrons. Ce jeune homme a une aventureavec une femme mariée, celle-ci bénéficied’un retour de flamme de son mari, ledit marientraine une grisette dans un cabinetparticulier, la grisette se retrouvera dans lesbras d’un auteur dramatique qui fera laconquête d’une comédienne. La comédienneséduira un aristocrate qui se réveillera un peuplus tard au côté de la prostituée du premiertableau, bouclant ainsi la boucle, ou plutôt“la ronde”.

La pièce fut censurée en 1904 déclenchantun long scandale de plus de deux décennies.

NOTE D’INTENTION

Qu’est-ce que cette attirance des corps qui lesentraine tous ? Cette attirance des corps, moduléepar les règles du jeu social, selon qu’on estaristocrate ou prolétaire, homme ou femme, libre oupas, qui mène le monde ?

On peut bien sûr aborder le texte sous différentsangles: Freudien, social, vaudevillesque voiremédical (Schnitzler, médecin aurait pensé à lapropagation de la syphilis!).

Personnellement je m’inspirerai plutôt de la phraseambigüe qui ouvre “Le regard froid” de RogerVaillant : “L’amour est aussi un plaisir”.Je conserverai le contexte de cette période qui fit deVienne au tournant du 20ème siècle ce lieud’exception qui vit se croiser Zweig, Klimt, Schiele,Freud, Kokoska, Rilke, Strauss, Malher, Musil,Altenberg et tant d’autres.

Je voudrais parcourir avec joyeuseté la galerie depersonnages de Schnitzler, attester que, traversanttoutes les couches de la société et tous les âges dela vie, si les codes changent la quête du plaisir estidentique et sa réalisation voluptueuse.

Je tenterai de souligner la montée en force despersonnages féminins, car au cours des dix tableauxles hommes, mâles dominants au début, perdent peuà peu leur superbe au profit d’un basculement ducôté des femmes qui deviennent des sujetsagissants, des partenaires à part entière.

Dans mon spectacle il s’agira de plaisir et non desentiment, le sexe sera lucide mais gai. C’est la finde l’empire austro-hongrois, la première guerremondiale se profile à l’horizon on danse sur unvolcan, c’est “l’apocalypse joyeuse”.Jean-Paul Tribout

LA RONDED’ARTHUR SCHNITZLER

C R É A T I O N

THÉÂTRESAINT-LOUIS

CHOLETLUN 25 JUIN - 20H30

Mise en scènepatrice thibaud

Jean-marc Bihour

ChorégraphieFran espinosa

Musique originaleCédric Diot

Interprétationpatrice thibaud

Fran espinosa

Danse et chantFran espinosa

GuitareCédric Diot

Création lumièresalain paradis

Costumesnathalie Coutaud

DiffusionFatiha schlicht

ProductionDominique grimonprez

LA PIÈCE

C’est à travers des scènes de vie quotidienneque se joue l’histoire de la relation intense,chaotique et parfois étrange d’une Mamaespagnole et son fils, Franito, garçon sage etdocile prodige du Flamenco.Le virtuose du burlesque Patrice Thibaut,s’est associé au danseur Flamenco FranEspinosa, prix national de Flamenco enEspagne en 2007 et son guitariste pour unefusion improbable entre l’univers de Louis DeFunès et celui des maîtres du flamenco.

NOTE D’INTENTION

« Dès notre première rencontre, j’ai eu envie demonter un spectacle avec ce danseur et chanteuraussi talentueux qu’atypique qu’est Fran Espinosa.Ce qui m’a plu immédiatement chez lui, c’estl’alchimie entre son talent, son physique et sapersonnalité.Loin de l’image d’Épinal du danseur de flamencoélancé et ténébreux, Fran est comme sorti d’untableau de Botero. Son talent, sa joie de vivre, sonhumour et sa générosité séduisent immédiatement.[…]Loin de toute caricature, Franito est un hommageburlesque et tendre à l’art flamenco.Un art qui sublime ici les gestes du quotidien enévoquant ses thèmes forts que sont l’amouret la mort.Un clin d’oeil, aussi, à mes origines espagnoles et aupremier spectacle de flamenco que j’avais vu à l’âgede deux ans en Espagne, en 1966, avec maman ... »Patrice Thibaud

« J’ai rencontré Patrice Thibaud lors de la création deDon Quichotte du Trocadéro de José Montalvo en 2013.Il y avait très longtemps que j’avais envie de créer unspectacle qui allierait la comédie et le flamenco, etqui laisserait au second plan les facettes tristes etsombres du flamenco pour mettre au premier plan lajoie et la légèreté du quotidien, qui en font aussipartie. Patrice Thibaud m’a permis de réaliser enfince projet.[…]Je m’applique à jouer avec la musicalité et lesrythmes du flamenco en les décalant de ce qui sefait d’habitude, pour transmettre et procurer desémotions fortes aux spectateurs. Je pratique ladanse comme le peintre compose son tableau.Patrice, de son côté, fait de la pantomime comme undanseur et dessine l’espace comme un peintre. Nousne pouvions donc que nous entendre. Nous avionsdéjà une grande complicité au plateau et hors duplateau. Je crois qu’elle se ressent encore davantagedans Franito. »Fran Espinosa

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« Le duo, accompagné par le guitaristeCédric Diot, joue une partition à la foishilarante et émouvante, oá le gestechorégraphique rivalise de précision et deprofondeur avec celui de la pantomime etdu comique. résolument décalé, lespectacle est une rencontre du flamenco etdu rire. » Françoise Sabatier-Morel - Télérama

FRANITODE PATRICE THIBAUD

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THÉÂTREBOUVET LADUBAY

SAINT-HILAIRESAINT-FLORENT

MAR 26 JUIN - 20H00

Mise en scèneanne Bouvier

Avecstéphanie Bataille

LumièresDenis Koransky

Costumeselisabeth tavernier

Décorsemmanuel Charles

LA PIÈCE

Institutrice de CM2 atypique, MadameMarguerite se sent investie d’une missionvitale : vous apprendre l’essentiel del’existence.

Vous prenez place dans la salle de classe decette femme généreuse, déterminée etparfois un peu folle. Son cours estcomplètement baroque, tour à tour absurde,tragique, cynique et comique.

Vous n’avez pas le temps de vous remettrede vos émotions tant Madame Margueritevous fait rebondir d’une pensée à l’autre. Bienvenue dans le monde poétique,vertigineux et drôle de Madame Marguerite.

NOTE D’INTENTION

Stéphanie et moi-même avions envie d’unpersonnage fort, d’une figure féminine qui ait unpropos qui puisse avoir un écho aujourd’hui. J’aicontacté l’auteur qui nous a immédiatement faitconfiance. « Faites-le bien, c’est la seule façon d’êtreheureux » - « C’est avec des livres qu’on construitune nation ». Pour nous, ces deux phrases de lapièce reflètent l’essentiel de ce que nous voulonsmettre en avant. En d’autres termes : agissons bien

et en conscience, non par peur ou par calcul, c’est leseul moyen de vivre en harmonie. Et donnons unepriorité absolue à l’éducation : quoi de plusfondamental de nos jours... Le rôle de MadameMarguerite est un exceptionnel défi pour unecomédienne, tant le texte est riche en émotions et enruptures. Il est à la fois déstabilisant, bouleversant,puissant et inattendu : un rôle à la mesure deStéphanie Bataille aujourd’hui dans son harmonie etson engagement en tant que femme et comédienne.Anne Bouvier

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« Devant madame marguerite, qui leur lancedes regards culpabilisants, les spectateursse retrouvent d’emblée dans la peau desélèves qu’ils furent jadis. è…y stéphanieBataille, dans ce rôle d’une complexité folle,est remarquable. » Le Canard enchainé

« sous ses aspects à la limite de l'absurde,ce monologue très fin affirme que rien necompte plus dans la vie que le bonheur.Créé par annie girardot, il est assumé avecsuperbe par stéphanie Bataille. une relèvedigne de l'original. » Joëlle Gayot – La Vie

MADAME MARGUERITEDE ROBERTO ATHAYDE

CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

MAR 26 JUIN - 21H30

MER 27 JUIN - 21H30

AdaptationJude Lucas

Mise en scène Clément poirée

Avecmoustafa Bena bout

Camille BernonBruno Blairet

Julien Campani eddie Chignara matthieu marie

Laurent menoret morgane nairaud Claire sermonne

Scénographieerwan Creff

LumièresKévin Briard

Musiquestéphanie gibert

Costumeshanna sj–din

Assistante costumesCamille Lamy

Maquillage et coiffurepauline Bry

Collaboration artistiquesacha todorov

Régie généraleFarid Laroussi

Habillageemilie Lechevalier

LA PIÈCE

La douzième nuit du temps de Noël, ou Nuitdes Rois (Épiphanie), voyait traditionnellementculminer le désordre festif. Pour Shakespeare,c’est l’occasion d’une variation vertigineusesur le désir, ses leurres et ses caprices, que letravestissement et les quiproquos vont rendremanifestes. Le Duc Orsino soupire aprèsl’inaccessible Olivia, recluse dans le deuil…Survient, rescapée d’un naufrage, une jeunefille, Viola, convaincue de la disparition deson frère jumeau. Habillée en homme et sousle nom de Cesario, elle entre au service duDuc qu’elle se prend à aimer et qui lui confiedes messages pour la belle Olivia, laquelle àson tour, s’éprend de ce troublant page…Sur cette intrigue s’en greffent d’autres, toutaussi romanesques, dont Feste, le Fou,orchestre les facétieux dérèglements…jusqu’à une totale confusion des identités etdes sentiments. Amours désaccordées, au-delà des âges et des genres : qu’importe !Le bonheur, avec Shakespeare, c’est que lelabyrinthe des malentendus et desentourloupes dont le spectateur est, au fil dela pièce, le témoin amusé, mène à laréconciliation et donc à la joie.

NOTE D’INTENTION

Il y a dans La Nuit des Rois un entrelacs dequestions qui sont brûlantes pour moi. Sommes-nous condamnés à n’avoir de relation qu’avec l’idéequ’on se fait de l’autre ? Avec nos propres fantasmes ?La solitude est-elle un horizon indépassable ? C’estune pièce sur une humanité qui boîte, empêtrée dans

un idéalisme stérile. Et c’est aussi une comédieextraordinairement vivifiante sur le désir – monstrequi transcende les genres, les lois, les formes. Twelfth night - c’est le titre orignal – désigne ledouzième jour après Noël. […] La pièce est aussi lelieu d’un grand affrontement entre le Fou qui livre là,sans doute, son dernier combat et Malvolio, le fauxpuritain qui a pris sa place de guide spirituel auprèsdes puissants. C’est une lutte souterraine autant queprimordiale. Et comment ne pas reconnaître leportrait de notre époque qui voit elle aussi, commepar un pli de l’histoire, la horde des faux puritains detous poils supplanter les fous ? N’en déplaise auxesprits chagrins, La Nuit des Rois est aussi unegrande fable politique !Clément Poirée

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« avec justesse, modestie et une grâceinfinie, poirée et sa troupe d'amoureuxtransis réenchantent nos nuits d'hivermeurtries. » Philippe Chevilley - Les Echos

« uand le théâtre réchauffe le cœur […] onrit beaucoup des frasques de sir toby et deson compère crétin sir andrew régléescomme du Buster Keaton […] lescomédiens sont tous excellents. un régal. »Les Echos

« pour tenir la cadence de la partition etdonner à voir tout l’humour de l’auteur, ilfallait des comédiens à la hauteur. La trouperéunie par Clément poirée l’est à n’en pasdouter. ici, la drôlerie des situations et despersonnages est exploitée à plein par leurstalents respectifs. il faudrait tous les citer,tant ils nous régalent. vive cette nuit ! »Pariscope

LA NUIT DES ROISDE WILLIAM SHAKESPEARE

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CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

JEU 28 JUIN - 21H30

AvecJacques WeberFrançois morel

magali ronsenzweigNOTE D’INTENTION

« Vous avez tout à fait raison monsieur le PremierMinistre… »Ces phrases ont rejoint dans nos mémoires lesrépliques célèbres de notre littérature et plusparticulièrement de notre répertoire théâtral.Les débats sont des rituels réglementés et mis enscène. Ils traversent à leur manière les grandespréoccupations d’un peuple et de son histoire ;à distance on y retrouve la forme et les traits d’uneépoque.La confrontation idéologique, celle des caractères etde la pensée, l’excellence du dialogue honore unefois encore le fondement même de la démocratie,très vite la rumeur et les commentaires vontl’appeler : face à face ou duel, on parlera même demise à mort !Oui, il y a bien quelque chose de shakespearien dansce combat d’homme à homme, un Prince défie levieux Roi. De la mort de l’un, du triomphe de l’autredépend la destinée du royaume.De reprendre ces textes qui ont pesé dans notrehistoire, de ne surtout pas en imiter ses interprètesau charisme légendaire mais d’en redonner àentendre autrement la « pièce » ce n’est ni militant niexpérimental, c’est accompagner et questionner letemps traversé, c’est lui tendre son miroir.C’est aussi se rappeler aux moments si délicatsd’une élection présidentielle que les sujets déclaréset urgents aujourd’hui étaient déjà ceux d’hier ; enparticulier la fragilité de plus en plus manifeste de ladémocratie. Dès la naissance de la démocratieathénienne, Eschyle, Sophocle, Euripide, les premiersauteurs de théâtre semblent fabriquer un outil pourfaire réfléchir le citoyen sur la politique, pour faireœuvre de pédagogie. Toute l’histoire du théâtreoccidental est tributaire de cette origine et dans ce

Débat où se joue la plus haute fonction de l’état lelien devient transparent et immédiat entre la scèneet la cité. Ce débat fut « joué » et enregistré, il dort àprésent dans les archives de l’INA, nous le « jouons »et comme le disait Louis Jouvet : « Au théâtre onjoue, au cinéma on a joué ».Jacques Weber

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« sans imiter, Weber adopte la gestuellemesurée et la posture souveraine demitterrand, fait entendre ses intonations sicaractéristiques. C’est bluffant. il estprésident […] un face à face savoureux. »Le Parisien

« Weber est mitterrand. morel est Chirac.Les deux se refusent à la pure imitation.C’est dans l’attitude qu’ils revêtent lecostume-cravate de ces deux animauxpolitiques. François morel ne tombe doncpas dans la caricature vocale du premierministre, et bien heureusement, puisqu'elleest souvent hasardeuse. mais il colle auplus près à ses gesticulations, à ses brasdésarticulés et même à ses soupirs.Jacques Weber se laisse, quant à lui, aller àquelques mimiques propres au présidentmitterrand, mais ne le singe aucunement.il s'attarde plutôt à appuyer les petitespiques, à souligner les silences, pour faireressortir tout le comique naturel de ce texte. »Pierrick Geais - Vanity Fair

1988 LE DÉBATMITTERRAND-CHIRAC

CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

VEN 29 JUIN - 21H30

Chorégraphie et directionJean philippe Dury

Chorégraphie flamencosara Cano

emilio ochandoFabixn thomé

Avec la collaboration desdanseurs eBB

Artistes invitéssara Cano

Fabian thoméemilio ochando

MusiqueDavic guerra garc a

s. prokofiev

Lumièrespablo r. soeane

Beatriz Francos D ez

Costumesaleksandar noshpal

Dramaturgie et scénographieJean philippe Dury

Répétiteurset maîtres de ballet

andrea méndezBegoña uiñones

valentina pedica

AvecJean-philippe Dury

sara Canovalentina pedicaandrea mendez

martine BentsenBegoña uiñonesJosé luis magaña

Carmen CoyCristina pérèzmar a Dxtelopablo Fraile

emilio ochando

BALLET EN DEUX ACTES

La rencontre hautement passionnelle de ladanse classique et du flamenco.

Les danseurs du Ballet National d’Espagneincarnent fièrement les Capulet avec toute lagrâce de cette danse andalouse etrévolutionnaire, tandis que la virtuosité dessolistes de la compagnie Éléphant in theBlack Box donne vie aux Montaigu.

Danse flamenco et néoclassique s’opposent,à l’image de ces deux familles qui luttent.Deux chorégraphes s’approprient unrépertoire avec deux gestuelles et deux stylesjouant sur la symbolique, créant un genre àpart entière.

Une version résolument moderne de lapassion amoureuse qui insuffle à lachorégraphie une fougue et une puissanceémotionnelle rares. Une oeuvre brillante etvirevoltante !

ROMÉO ET JULIETTED’APRÈS WILLIAM SHAKESPEARE

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CHÂTEAUDU PLESSIS MACÉ

SAM 30 JUIN - 21H30

Avecgérard Depardieugérard Daguerre

LA PIÈCE

Comme une nécessité, Gérard Depardieu etGérard Daguerre se plongent dans lesouvenir de Barbara. La dame en noir amarqué la vie des deux hommes, amie, pourqui ils éprouvaient une immense admiration.Avec amour, respect et cœur, les deuxGérard, donnent à entendre les motssensibles de cette grande auteure etinterprète. Hors de toute imitation, ce récital s’estconstruit à l'instinct, dans l'émotion dumoment.

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« Ce n'est pas qu'un tour de chant qui nousest offert, mais une éblouissante tranche devie d'artiste. savamment construit, lespectacle gagne en intensité au fur et àmesures des titres. » Les échos week-end

« […] Depardieu a étonné. il a bouleversé.et il a triomphé. son hommage à Barbaraétait pourtant un pari à haut risque. parcequ'il n'est pas chanteur. u'il aborde là ununivers viscéralement féminin. et queBarbara est une figure si singulière dans lachanson et si fortement ancrée dansl'imaginaire collectif, qu'il est délicat de luirester fidèle sans la singer. mais de toutesces faiblesses, Depardieu a fait des forces.un tour de force, même, qui aura convaincuautant les adeptes de la chanteuse queceux qui ne la connaissent que de loin. »Valérie Lehoux – Télérama

« Depardieu rugit, susurre, éructe, caresse,on entend son souffle, ses peurs, soncœur... C'est puissant, prenant, poignant,maladroit parfois, juste toujours. Les deuxgérard ne réinterprètent pas Barbara, ilsvivent ses chansons, les habitent. en taillepatron. » Le Parisien

DEPARDIEUCHANTE BARBARA

CLÔTURE

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CONCOURSDES

COMPAGNIESEn 2005, le directeur artistique du Festival d’Anjou, Nicolas Briançon, crée le Concours desCompagnies. Son but est de présenter au public des talents, nouveaux ou confirmés, etd’apporter un soutien financier au travail de création mené par des troupes de théâtreprofessionnelles. Chaque année, cinq compagnies originaires de toute la France, voire del’étranger, participent à ce concours doté de 3 prix :

Le Prix Jean-Claude Brialy,d’un montant de 20 000 € offertpar le Cabinet Strego. Cettesomme est destinée à cofinancerla future création de la compagnielauréate, qui sera programméedans le cadre d’une prochaineédition du Festival d’Anjou.

Le Prix du Jury Jeune,de 5 000 € offert par l’imprimerieSétig. Ce Jury est composé decinq étudiants des Pays de laLoire.

Le Prix d’interprétation,doté de 1 000 € offert parl’entreprise Sturno. Attribué par leJury professionnel, il récompensele ou la meilleure comédien(ne)parmi les 5 spectacles présentés.Ce prix permet d’encourager lacarrière de professionnels duthéâtre et de faire découvrir denouveaux talents.

JURY PROFESSIONNEL 2018

Président du jury : Pierre Lescure

Journaliste, homme de radio et de télévision, fondateur, avec André Rousselet, de la chaînepayante Canal +, et actuel président du festival de Cannes.

PALMARÈS 2017

PRIX DU JURY JEAN CLAUDE BRIALYAutomne et Hiver par le Collectif Citron

PRIX DU JURY JEUNEAutomne et Hiver par le Collectif Citron

PRIX D’INTERPRÉTATIONetienne Launay pour son rôle dans Le jeu del’amour et du hasard

JURY JEUNE : APPEL À CANDIDATURES Qui ? Etudiants résidant dans la région des Pays de la Loire et ayant entre 15 et 30 ans.Quand ? Du 18 au 23 juin 2018 inclus. (Il est impératif que vous soyez disponibles tous les soirs de représentations quiauront lieu à 19h au Grand Théâtre à Angers.)Comment ? En envoyant avant le vendredi 20 avril 2018une lettre de motivation à l’adresse suivante : EPCC Anjou Théâtre, 49 bd du Roi René, BP 22155, 49021 Angers Cedex 2ou par mail à Violaine d’Aboville 4 v.dabovillezanjou-theatre.fr

GRAND THÉÂTRED’ANGERS

18 JUIN19H00

DURÉE : XHXX xx ans

Adaptationsophie accardLéonard prain

Avecsophie accard

Léonard BoissierJacques Dupont

Benjamin Lhommasana s merienne

Léonard prain

ScénographieBandine viellot

Lumièressébastien Lanoue

Costumesatossa

MusiqueCascadeur

LA PIÈCE

Après avoir collectionné, entre autres, lespiques apéritifs, les badges de campagneélectorale, les peintures de bateaux à quai,les pieds de lapin, les cloches en savon, lesbruits à cinq heures du matin, les dictonscroates, les boules de rampe d'escalier, lespremières pages de roman, les étiquettes demelon, les œufs d'oiseaux, les moments avectoi, les cordes de pendu, Hector est tombéamoureux et s'est marié. Alors, il s'est mis àcollectionner sa femme.

NOTE D’INTENTION

L'écriture de David Foenkinos me touche avecnotamment la drôlerie des situations. Dans Lepotentiel érotique de ma femme, sous couvertd'absurde, il nous décrit cette névrose qu'est lacollectionnite. Tout peut être sujet à la collection,chacun peut trouver "sa nourriture fantasmatique".Il n'y a pas uniquement un texte léger, amusant,décalé, il y a aussi le romantisme de la rencontreentre Hector et Brigitte, teinté d'une ironiebienveillante. Les personnages de David Foenkinossont des anti-héros des temps modernes ! Il aime lesclichés et comme il le dit lui-même "leur existenceest primordiale, c'est la frontière du ridicule

nécessaire au comique". David Foenkinos crée undétachement entre le "je" narratif et lespersonnages qui s'exécutent en parallèle : c'est trèsthéâtral dans le genre.Les images sont très cinématographiques : il y plusd'une trentaine de changements de lieux. Pourobtenir cette rapidité d'exécution, avec BlandineVieillot, notre scénographe, nous avons imaginé troisespaces scéniques mis côte à côte tout en restantindépendants et bien identifiés grâce à la lumière deSébastien Lanoue. Cela peut faire penser à troispetites maisons de poupée dans lesquelles lesacteurs vont évoluer : on passe de la salle à mangerdes parents à l'appartement d'Hector puis chezMarcel et Laurence en un claquement de doigt, en unchangement de lumière !Je souhaite que le public soit amusé tout en étantému, ce que j'ai pu ressentir moi-même à la lecture !C'est donc avec bonheur que je tâche, avec toutel'équipe, de monter pour la première fois un romande Davis Foenkinos au théâtre !Sophie ACCARD

CE QU’EN DIT LA PRESSE

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C O M PA G N I ED E S D R A M AT I C U L E S

LE POTENTIELÉROTIQUE DE MA FEMMED'APRÈS DAVID FOENKINOS

CONCOURSDES

COMPAGNIES

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GRAND THÉÂTRED’ANGERS

LUN 18 JUIN - 19H00

Adaptationsophie accardLéonard prain

Avecsophie accard

Léonard BoissierJacques Dupont

Benjamin Lhommasana s merienne

Léonard prain

ScénographieBandine viellot

Lumièressébastien Lanoue

Costumesatossa

MusiqueCascadeur

LA PIÈCE

On dit souvent qu’il existe des hommes àfemme, on peut considérer qu’Hector est unhomme à... objet. De badges de campagneélectorale en thermomètres, en passant parles dictons croates, Hector collectionne tout,depuis toujours. Cette dépendance le rendmalheureux et l’exclut de toute vie sociale,il prend alors une résolution majeure : arrêterles collections. Jusqu’au jour où il rencontreBrigitte qui va provoquer chez lui unenouvelle passion tout à fait inattendue…

NOTE D’INTENTION

L'écriture de David Foenkinos me touche avecnotamment la drôlerie des situations. Dans Lepotentiel érotique de ma femme, sous couvertd'absurde, il nous décrit cette névrose qu'est lacollectionnite. Tout peut être sujet à la collection,chacun peut trouver "sa nourriture fantasmatique".Il n'y a pas uniquement un texte léger, amusant,décalé, il y a aussi le romantisme de la rencontreentre Hector et Brigitte, teinté d'une ironiebienveillante. Les personnages de David Foenkinossont des anti-héros des temps modernes ! Il aime lesclichés et comme il le dit lui-même "leur existence

est primordiale, c'est la frontière du ridiculenécessaire au comique". David Foenkinos crée undétachement entre le "je" narratif et lespersonnages qui s'exécutent en parallèle : c'est trèsthéâtral dans le genre.Les images sont très cinématographiques : il y a plusd'une trentaine de changements de lieux. Pourobtenir cette rapidité d'exécution, avec BlandineVieillot, notre scénographe, nous avons imaginé troisespaces scéniques mis côte à côte tout en restantindépendants et bien identifiés grâce à la lumière deSébastien Lanoue. Cela peut faire penser à troispetites maisons de poupée dans lesquelles lesacteurs vont évoluer : on passe de la salle à mangerdes parents à l'appartement d'Hector puis chezMarcel et Laurence en un claquement de doigt, en unchangement de lumière !Je souhaite que le public soit amusé tout en étantému, ce que j'ai pu ressentir moi-même à la lecture !C'est donc avec bonheur que je tâche, avec toutel'équipe, de monter pour la première fois un romande Davis Foenkinos au théâtre !Sophie Accard

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C O M PA G N I E C ’ E S T- PA S - D U - J E U

LE POTENTIELÉROTIQUE DE MA FEMMED'APRÈS DAVID FOENKINOS

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GRAND THÉÂTRED’ANGERS

MAR 19 JUIN - 19H00

Mise en scèneJean-Laurent silvi

Avecstéphanie Bassibeypierre-arnaud Juin

Ludovic LarocheJérôme paquatte

nicolas saint-georges

Décorsmargaux van Den plas

Corentin richard

Costumesaxel Boursier

Lumièreséric milleville

Musiqueshervé Devolder

LA PIÈCE

Quand une intrigue à la Agatha Christierencontre les experts ! Mêlant le rire au suspens, une enquêtepolicière qui lance Conan Doyle, BramStocker ou encore Bernard Shaw sur lestraces de Jack l’Eventreur dans l’atmosphèredu Londres de 1888. Une aventure captivantejusqu’à la dernière seconde !

NOTE D’INTENTION

Jack l’éventreur est aux yeux de tous une légende dumal, un mythe. Mais il est aussi un concept, celui ducrime parfait : cette pierre philosophale que tous lesauteurs de roman policier, par l’intermède de leurhéros, n’ont eu de cesse, au fil du temps, de prouverson inexistence. A la fin du XIXème siècle, à cette époque où l’Hommecréa l’ère de l’industrialisation qui devait tout rendrepossible, où la vie devait être plus légère et plusfacile, plus juste, plus heureuse en somme, unhomme s’inscrit en faux. Il baptise l’époque modernepar ses actes monstrueux, rappelant à l’Homme cequ’il est et d’où il vient, et qu’il ne pourra effacer -même en s’aidant de toutes les machines et lesinventions sorties de sa tête - l’injustice.

C’est ce à quoi vont devoir se confronter, dansLe Cercle de Whitechapel, les grands artistes de cetemps, à savoir Doyle (Sherlock Holmes), BramStoker (Dracula) et Shaw (Pygmallion), nousmontrant à quel point l’agitation intellectuelle etculturelle dominait le monde. Adeptes du spiritismeou experts en esprits machiavéliques, tout est bonpour stimuler les petites cellules grises et trouverenfin la vérité. Ils seront aidés par la belle Mary Lawson, docteur enmédecine, provocatrice et femme libre ainsi que parSir Herbert Greville, homme influent dans tous lesmilieux, à la fois craint et vénéré, s’érigeant contre lemal et le crime. Afin de percer le mystère de Jackl’éventreur et de mettre fin à ses meurtres, ilsfondent un groupe secret, unique, réunissant les plusgrands cerveaux de Londres, Le Cercle deWhitechapel.». Jean-Laurent Silvi

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« Foncez voir cette pièce è…y L’intrigueporte les spectateurs en haleine jusqu’à ladernière seconde. une vraie bonne soirée ! »France Net infos

C O M PA G N I E L E R E N A R D A R G E N T É

LE CERCLE DE WHITECHAPELDE JULIEN LEFEBVRE

CONCOURSDES

COMPAGNIES

GRAND THÉÂTRED’ANGERS

MER 20 JUIN - 19H00

Mise en scèneanne Delbée

AssistantDavid gravenhorst

Avecemilie Delbée

valentin Fruitiermicka9l Winum

Laure portierJean-Claude Jay

esther moreauLarrio ekson

stanislas perrinarthur Campardon

Scénographevincent Lievore

Dominika griesgraberabel orain

CostumesChristian Lacroix

mine Barral vergez

Musiquepatrick najean

Lumières etrégisseur généralabdénor mezlef

LA PIÈCE

Les restes d’un mur éventré. Un mur demarbre blanc. Un plateau de cendres noiresd’où émergent des sculptures à moitiérenversées, décapitées. La civilisation a étédétruite. La guerre a fait son œuvre.Pyrrhus doit épouser Hermione, la fille du roide Sparte Ménélas et d'Hélène, mais il tombeamoureux d’Andromaque, sa captive, veuved’Hector tué pendant la guerre de Troie.Oreste, ambassadeur des Grecs, vientdemander en leur nom la mort du filsd’Andromaque, redoutant que celui-ci puisseun jour vouloir se venger de la défaite deTroie. Mais le réel motif de ce déplacementpour Oreste est de revoir Hermione dont il estépris. Andromaque et son enfant, seretrouvent au centre de l’arène fumante.Andromaque telle une lionne qui défend sonpetit va résister jusqu’au bout avec sesseules armes : La parole.

NOTE D’INTENTION

Pourquoi remonter Andromaque ?Je l’ai mise en scène des dizaines de fois, j’ai joué lerôle-titre que je transmets aujourd’hui.Atteindre enfin LA mise en scène à laquelle je n’aicessé de travailler au détour de chaque vers dupoète de vingt-huit ans qui osa jeter ce brûlot enplein XVIIème siècle.Cette pièce, essentielle car elle fait entendre JeanRacine comme le poète ultime d’aujourd’hui.Le plus contemporain qui nous hurle avec toutel’insolence de la jeunesse l’urgence de nousredresser, de vivre debout, et de sauver telleAndromaque cette humanité en déshérence engluéedans la dérision, l’imbécillité consentie et le méprisde l’autre au service des modes.Enfin la Tragédie ! Cela devient rare sur les plateauxde théâtre. La Tragédie, le témoignage incandescentde l’être humain qui se dresse même solitaire pourdire non à la Barbarie. Car la Tragédie n’est pastriste. Au contraire elle est l’acte lumineux d’unerenaissance.[J’ai réuni] neuf acteurs fous de Tragédie que j’ai leprivilège de faire travailler. Une nouvelle générationde tragédiens, une jeunesse avide de démesure, defolies, de Racine. Témoignage d’une transmission quifait partie de l’histoire du théâtre.Anne Delbée

C O M PA G N I E A N N E D E L B É E

ANDROMAQUE OU LECOMBAT POUR L’HUMANITÉDE JEAN RACINE

CONCOURSDES

COMPAGNIES

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GRAND THÉÂTRED’ANGERS

JEU 21 JUIN - 19H00

Mise en scèneet scénographie

hélène Françoisemilie vandenameele

Écriture physiquestéphanie Chêne

Avecpierre-François garel

Création lumièreétienne exbrayat

Création sonorethomas Beau

Machinerieet régie générale

manu vidal

Cette création bénéficie de l’aide àla production de la DRAC Île-de-

France et du soutien de laSPEDIDAM. Le spectacle est co-produit par le Théâtre Les Hallesde Sierre (Suisse). Résidence de

création à l’Espace André Malrauxd’Herblay, au Fracas-CDN deMontluçon et à la Faïencerie-

Théâtre de Creil. Avec le soutiendu Théâtre du Rond-Point, deLilas en Scène, de l’aide Paris

Jeunes Talents, de la Mairie deSaint-Ouen et de PROARTI.

LA PIÈCE

Il parle pour reculer le moment de sa mort.L’impuissance intime et personnelle.La dépendance à la scène.Parler de la difficulté d’être dépossédé desoi-même. De son image et du prix à payer.Le chanteur est l’homme le plus photographiéen France, sa vie médiatique a rattrapé sa viepersonnelle. À travers cette extrêmeexposition, il devient la victime d’unecondition trop visible, perd son humanité etdevient alors une pure extériorité. Il n’est plusque célébrité et s’adonne à un sentiment devanité, de vacuité. Soumis à ce sentiment deperdition, de déréalisation, de déperson-nalisation ; lui est un autre, une image.Il s’agit de questionner l’idole et saconstruction à travers le regard de ceux quiregardent. Ce sont bien les regards du publicqui construisent l’idole au même titre que lareprésentation n’existe que par la présence etle regard des spectateurs. La dernière idolec’est l’histoire dérisoire, drôle et pathétiqued’un homme qui s’est créé son propremasque qu’il n’arrive plus à enlever.

NOTE D’INTENTION

La dernière idole est une fiction inspirée denombreuses lectures et de rêves autour d’une figurecélèbre. Nous l’avons élaborée à partir de notreimaginaire et de faits réels.

Cette pièce affirme notre désir de mettre en scènenotre écriture. Nous sommes touchées par leshistoires qui partent du réel et tendent vers la fiction.Nous sommes sensibles aux contours quand ils sontflous, quand le vrai côtoie le vraisemblable.Nous aimons nous amuser avec l’horizon d’attentedes spectateurs. Travailler un matériau que tout lemonde connaît nous permet de nous affranchir,d’une certaine manière, des évènements réels, de lesrapprocher de nous et d’en dire quelque chose denouveau. Nous avons voulu écrire une fiction sur letemps qui passe, une vanité contemporaine. La pièceparle d’une vieille rock star qui a peur de mourir,de son acharnement à remplir le vide. Nous noussommes inspirées de la vie de Johnny Hallyday, maisici, nous l’appelons juste : Le chanteur.L’histoire d’une idole. Raconter sa vie, inventer savie. Il parle pour remplir le vide.Plus il remplit ce vide, plus le vide se fait grand.Hélène François et Emilie Vandenameele

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« pierre-François garel […] est parfait. […]Le spectacle des deux côtés du miroir.Jusqu’au noir final. Bravo. »Gérald Rossi, L'Humanité.fr

« pierre-Franc/ ois garel est prodigieux.superbe acteur, véritable bête de scène. »Regarts

G R O U P E A C M

LA DERNIÈRE IDOLED’HÉLÈNE FRANÇOIS ET ÉMILIE VANDENAMEELE

CONCOURSDES

COMPAGNIES

GRAND THÉÂTRED’ANGERS

VEN 22 JUIN - 19H00

Mise en scèneet adaptation

Jean-philippe Daguerre

Assistant mise en scènemariejo Buffon

Avecannie Chaplin

ou isabelle de Bottonguilaine Londez

marijo BuffonFlore vannier-moreau

grégoire BourbierFranck Desmedtantoine guiraud

hervé haineromain Lagarde

Collaboration artistiqueLaurence pollet-villard

DécorFrank viscardisimon gleizes

Accessoires Déborah Durand

CostumesCorinne rossi

LA PIÈCE

Le comte de Clérambard étouffé par lesdettes réduit sa famille à manger du chat et àtricoter des pullovers qu’il vend pour sauverles murs de son château. Après avoir tué lechien du curé pour le manger, Saint Françoisd’Assise lui apparaît et lui confie un livre sursa vie qui va changer la sienne…

NOTE D’INTENTION

Le chef-d’œuvre théâtral de Marcel Aymé resteaujourd’hui d’une universalité sans faille que ce soitpar son style, sa construction dramaturgique et biensûr son sens puisque la réflexion religieuse présentetout au long de la pièce est un formidable écho ànotre société en excès ou en manque de foi. Maisau-delà du brio intellectuel de l’auteur c’est avanttout la maitrise burlesque de l’œuvre quiimpressionne. La comédie passe ici par toutes lescouleurs… l’humour est noir et le rire jaune…et même si la vie n’est pas toujours rose dans cemonde terrifiant et délicieusement cocasse, l’amourreste toujours présent qu’il soit bénit par Dieu…s’il existe… ou par les Hommes… quand ilsessayent d’exister. Misant sur le nombre et la qualitédes interprètes, la beauté et le réalisme descostumes en se contentant d’un minimum de décorsqui laisse s’envoler l’imaginaire des spectateurs,je propose un Théâtre emballé dans un rythme très

soutenu, bannissant les principes de conversations"naturalistes". Toujours en quête d'une justesseirrationnelle provoquée par un jeu presque excessif àla limite de l’outrance, je cherche à balayerconventions et faux semblants avec une belleallégresse... au service de l'écriture de Marcel Ayméqui est à mon goût la plus belle du Théâtre Françaisdu Vingtième siècle.Jean-Philippe Daguerre

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« un spectacle original sur un très beautexte de marcel aymé. Des acteurs sincèreset généreux, une mise en scène nerveuse etefficace. Bref, un très bon moment. » RFI

« La vivacité du propos et les quiproquos encascade èah, la séance chez la Langouste,hilarante...y en font un formidable comiquede boulevard extrêmement réussi »Culture-tops

« un spectacle remarquable de bout enbout qui amuse tout en balayantconventions et faux semblants avec unebelle allégresse […] un pur régal d auxcomédiens irrésistibles […] tousimpeccables ! » Reg’Arts

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CLÉRAMBARDDE MARCEL AYMÉ

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GRAND THÉÂTRED’ANGERS

SAM 23 JUIN - 19H00

Mise en scènestéphane Batlle

Avecaxel auriant-Blot LA PIÈCE

Loin d’être idiot ou attardé, Adrien Lepageest juste... différent.

À mi-chemin entre Forrest Gump et BillyElliot, ce gamin, beau de naïveté, vit unepassion défendue pour la batterie.Qu’importe les adultes violents, lescamarades moqueurs, les professeursexaspérés, tant qu’Adrien a la batterie à offriren partage.

À travers un regard pur, que seuls les enfantssont capables de porter, sa vie n’est querythme, son monde, émerveillement.Avec beaucoup de candeur etd’enthousiasme, il fait de son triste quotidien,une vie lumineuse gorgée de musiques.Le récit est aussi drôle que bouleversant.

CE QU’EN DIT LA PRESSE

« un vrai spectacle coup de cœur qui nouscharme, nous porte et nous transporte...1 ne pas rater ! » Pariscope

« 1 la fois touchant et poétique, drôle ettroublant. 1 découvrir sans tarder. » Télérama

« un concentré délicat d’humanité » Le monde

« on est scotché » Le point

UNE VIE SUR MESUREDE CÉDRIC CHAPUIS

REMISEDES PRIXDU CONCOURS

DES COMPAGNIES

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CENTRE CULTURELRENÉ D’ANJOUBAUGÉ EN ANJOUMER. 13 JUIN - 10H ET 15H

DURÉE : 50 MN

C O M PA G N I E P L U M E S

PAS UN MOTEN POCHEÉCRITURE ET MISE ENSCÈNE CIE PLUMES

Danse, chorégraphie : marie penverneJeu, écriture : Fabien DoneauGuitare, composition : David pichaudBatterie, percussions : Fabien eckertRégie et création lumière : patrick touzardIllustration, animation vidéo : sylvain De La porteFabrication décors : nicolas mauboussin

Imaginez un monde, un pays, où les mots ne sont pasgratuits. Une ville où pour parler il faut payer, acheterles syllabes sorties de l'usine. Dans les ruelles decette cité, deux personnages vont se croiser.Archimède le clochard et l'ouvrière. Lui cherchequelques mots à se mettre sous la dent pour lui parler,et elle, rêve de voyages et de phrases pour quitter sonpetit meublé. Mais comment communiquer quand onn’a pas les mots ?

SALLE DU PETIT PRINCEVILLEMOISANVAL D’ERDRE AUXENCEMER. 13 JUIN - 15H ET 17H

DURÉE : 50 MN

C O M PA G N I E ΠI L D U D O

LE ROYAUMEDE MIRPOUDE STANISLAS SAUPHANOR

Mise en scène : stanislas sauphanorAvec : stanislas sauphanor, virginie BrochardLumière : angélique guillotChargée de production : Julie penaud @ Julie georget(La Boîte à Ju)Visuel : marc BarotteEn partenariat avec l’échappée Belle

Il était une fois l'histoire du plus gigantesque royaumequi n’ait jamais existé. Ce royaume était dirigé par unroi exceptionnellement bête, capable de promulguerdes lois toutes plus absurdes les unes que les autres.Après avoir renvoyé sa femme, il décide d'organiserun grand concours pour trouver une nouvelle reine.Celle qui sera choisie sera la belle Dina…

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CENTRE CULTURELLÉOPOLD SEDAR SENGHORLE MAY-SUR-EVREMER. 20 JUIN - 10H

DURÉE : 55 MN

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WAYNAKDE CATHERINE VERLAGUETET ANNABELLE SERGENT

Mise en scène : annabelle sergentAssistée de : hélène gay Interprétation : elisa ruschke et Beno t seguin Scénographie et vidéo : olivier Clausse Création lumière : erwan tassel Création sonore : régis raimbault et Jeannick Launay,oolitheCréation costume : thérèse angebault

Lili et Naji, deux adolescents que tout sépare, seretrouvent dans un lieu au bord du monde. Elle est née sur le sol français, lui sur un sol enguerre. Ils se toisent, se cherchent, se calculent. Dans ce temps suspendu de la rencontre, la mémoirede Naji resurgit par fragments, bousculant Lili sur savision du monde, l’éveillant à la réalité de la guerrejusqu’alors lointaine. À travers la confrontation des deux adolescents,Waynak aborde les conflits qui secouent le monde, etquestionne également notre regard occidental.

LE CARRÉ DES ARTSVERRIÈRES-EN-ANJOUMER. 13 JUIN - 10H ET 15H

THÉÂTRE EN BOISBRAIN SUR L’AUTHIONLOIRE-AUTHIONMER. 20 JUIN - 10H ET 15H

DURÉE : 45 MN

C O M PA G N I E S P E C TA B I L I S

LA MAISON ENPETITS CUBESDE KENYA HIRATA

Mise en scène : odile Bouvais Avec : régis huet, Cécile schletzer, olivier algourdin Scénographie et décors : Bruno Cury Création musicale : olivier algourdin Costumes : michelle amet Création lumières : patrick touzard Film d'animation : simon astié Production : samuel d'aboville Visuel : marc Barotte

Dans une ville où l'eau ne cesse de monter, sedressent des maisons un peu particulières : chaquefois qu'une maison est immergée, son habitantconstruit un nouvel étage au-dessus. Au fil du temps,la ville a été désertée par ses habitants et aujourd'hui,seul un vieil homme résiste encore et toujours à lamontée du niveau de la mer. Un jour, une maladressel’incite à plonger dans les étages inférieurs. Chaquepièce lui chante alors sa petite musique du passé.

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SALLE GENE KELLYTHÉÂTRE SAINT-LOUISCHOLETMAR. 26 JUIN10H30 / 15H00 / 18H00

DURÉE : 33 MN

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ÉVIDEMMENTDE KAZUO IWAMURA

Adapté et largement inspiré par « Les réflexions d’unegrenouille » de Kazuo iwamuraJeu : thérèse angebault et Francesca sorgatoMise en œuvre : anne speilmannRéalisation décors : thérèse angebault et Francescasorgato, anne speilmann et roberta praochiaRéalisation costumes : Julie BeaumierAccompagnement production/diffusion : paulineBontempsAccompagnement à l’administration : marie Leduc

Juchée sur une branche, à l’ombre d’un feuillage, ouparcourant les chemins, une petite grenouilledécouvre le monde qui l’entoure avec son amiesouris. Par de courts dialogues au ton ludique, toutest prétexte à observer, s’interroger et comprendre.En pleine nature, les deux compères notent lesressemblances et les différences de leurenvironnement, vont à la rencontre des autresanimaux et apprennent à mener une réflexion.Le terrain d’exploration est vaste …

SUNDAY

Pour cette 4ème édition, la journée familiale du festivalse déroulera au château du Plessis Macé.Le dimanche 24 juin, de 10h à 18h.

Une belle journée festive et conviviale pour petits etgrands, à vivre en famille ou entre amis autour despectacles, de rencontres, d’ateliers, de visites,d’animations dans un cadre idyllique offrant desespaces de détente et de farniente.

La programmation complète de cette journée seracommuniquée ultérieurement

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La JournéeFamiLiaLe

Du FestivaL

CHÂTEAU DU PLESSIS-MACÉ

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DIMANCHE 24 JUINDE 10H À 18H

LE FESTIVAL C’EST AUSSIACTIONS ÉDUCATIVES

Des temps de médiation et d’actions culturelles sontorganisés tout au long du festival, à destination desjeunes scolarisés (primaire, collège, lycée, centred’apprentissage). Des parcours sur mesure sontélaborés selon leur niveau et les objectifs pédagogiquesdes enseignants. Ils se composent de répétitionspubliques, rencontres professionnelles etreprésentations. A l’initiative de Véolia, un partenariatest mis en place avec les Maisons Familiales Rurales(MFR) afin de sensibiliser une centaine de jeunes authéâtre en rendant accessible « l’envers du décor » duFestival d’Anjou. Sur le même format, des partenariatssont menés avec le Centre de Formation d’Apprentis(CFA) de la Chambre de Commerce et d’Industried’Angers, les lycées Bergson, Joachim du Bellay, …Des moments intergénérationnels seront égalementproposés autour du spectacle LA MAISON EN PETITSCUBES

ACCESSIBILITÉ

Le Festival d’Anjou cherche à être accessible à tous,quelles que soient les contraintes liées au plein air et àla configuration de certains sites historiques.Les personnes à mobilité réduite sont invitées à informerles chargés de billetterie de leurs besoins en termes deplacement, des places en bas de gradin étant réservéesà cet effet.Pour les personnes malentendantes, des bouclesmagnétiques individuelles et des casques de renfortsonore sont disponibles à l’accueil des spectacles.Le spectacle ROMEO et JULIETTE est sans paroles,il est donc naturellement accessible aux personnessourdes ou malentendantes. Les personnes mal ou non voyantes peuvent bénéficierde trois représentations en audiodescription :EDMOND, samedi 16 juin, LE CANARD A L’ORANGE,le mercredi 20 juin à Angers et le jeudi 28 juin à Saumur.Cette action est financée grâce au groupe Allianz etl’Association De Prévoyance Santé (ADPS).Pour la première année, une lecture du spectacleWAYNAK de la Cie Loba suivie d’une rencontre avec lescomédiens seront organisées en milieu hospitalier.

MÉDIATION CULTURELLE

Le Festival d'Anjou propose chaque année, dans lecadre de la Charte Culture et Solidarité initiée par la villed'Angers, une sélection de spectacles à un tarif trèspréférentiel. D’autres partenariats sont en coursd’élaboration, notamment avec le servicegérontologique du CCAS de la Ville d’Angers,l’Association des Paralysés de France, etc …

Contact : Violaine d’[email protected]

INSTANTS DÉGUSTATION

Un espace de dégustation installé dans l’enceinte duchâteau du Plessis-Macé permet aux spectateurs dedécouvrir les produits de nos partenaires : BouvetLadubay, Les Caves de la Loire, QK Confiseries etAnne Benoît Chocolats.

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CYCLE CINÉMA

En parallèle des spectacles du Festival, et faisant suiteà la première édition du Cycle Cinéma avec « Brialy faitson cinéma » l’année dernière dans le cadre des 10 ansde la disparition de Jean Claude Brialy, des projectionsde films avec la complicité du Festival Premiers Plans,des Cinémas Les 400 coups et de plusieurs cinémas dudépartement, sont proposées pour redécouvrir lafilmographie de Gérard Depardieu, présent pour cette69ème édition avec son spectacle en clôture du Festival.

LIBRAIRIE - SÉANCES DE DÉDICACES

Pour la 6ème année, le Festival d’Anjou propose auxfestivaliers un espace libraire chaque soir dereprésentation, avec vente d’ouvrages en lien avec laprogrammation et de possibles séances de dédicacesavec les auteurs.

VILLAGE VISITATION GARE ACADÉMIE

Pour la 3ème année, à l’initiative d’une centaine decommerçants, le Village du Festival d’Anjou anime lequartier Gare-Visitation-Académie à Angers.Dynamique et convivial, ce quartier s’associe au festivalet propose de faire gagner 100 places de spectaclesde la programmation 2018.Tous les commerces associés à cet événement mettrontà disposition de leurs clients un bulletin. Chacun estinvité à le remplir et le redéposer chez les commerçantspartenaires à partir de début mai. Le tirage au sortdésignant les gagnants aura lieu le jeudi 17 mai quartierVisitation à partir de 19h30 lors d’une soirée animée etconviviale.

RENCONTRE FORUM…

Moments privilégiés pour les spectateurs, cesrencontres après spectacle sont l’occasion deprolonger certaines soirées du festival enéchangeant sous les étoiles avec les comédiens et lemetteur en scène. Elles sont animées notamment parNicolas Briançon et la journaliste Nathalie Renoux (M6).Avec le soutien de la FNAC Angers et de RCF.

GA R E A C A D É M

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VIS

ITATION

1 800 000 €70 entreprises mécènes ou partenaires

30% de recettes billetterie30% de recettes partenaires

40% de soutiens institutionnels

ContactAnne-Françoise Floch

[email protected] 41 24 88 77

MÉCÈNES

ILS NOUS ACCUEILLENT

En 2017•12 Mécènes

• 2ème source de financement du Festival d’Anjou

• 620.000 € HT de recettes partenaires privés

• 68 entreprises partenaires financiers

• 40 entreprises partenaires hors financiers

• 3000 personnes accueillies en soirées

PARTENAIRES INSTITUTIONNELS

ANJOU MOTORS - CONCESSIONNAIRE

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Et aussi le Petit théâtre de Bouvet Ladubay (Saint-Hilaire Saint-Florent)

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bILLETTERIE ET TARIFS

LOCATIONS ET RÉSERVATIONS

Tous les modes de réservation sont ouvertsà partir du samedi 19 mai 2018 à 8h.Renseignements au 02 41 88 14 14

• Au guichet du festival au Grand Théâtre d’AngersLe samedi 19 mai de 8h à 18hLe lundi 21 mai de 10h à 18h

Puis du mardi au samedi :Du 22 mai au 9 juin de 12h à 18hPuis du 12 juin au 30 juin de 12h à 17h

• Par Internet : www.festivaldanjou.comChoix du placement et paiement en ligne sécurisé(3D secure)

• Les soirs de spectacle, sur site, à partir de 18h00 auGrand Théâtre d’Angers, à partir de 19h30 au Châteaudu Plessis Macé, au théâtre Saint-Louis de Cholet et auDôme de Saumur et à partir de 20h30 aux Arènes deDoué-en-Anjou, à l’Abbaye Royale de Fontevraud et aucloître Toussaint.

• Magasins Fnac, Carrefour, magasins U, Géantdisposant d’un espace billetteriewww.fnac.com et depuis l’application la Billetterie Fnacspectacles (vente de billets, hors abonnements et forfaitfamille ; tarif préférentiel Adhérents FNAC)

• Par correspondance grâce au formulaire de demandede réservation que vous trouvez dans le dépliant duFestival d’Anjou ou sur le site internet du festival à partirdu 7 mai 2018.Attention : ces demandes ne sont traitées qu’à partir dusamedi 19 mai, dans leur ordre d’arrivée, parallèlementaux autres modes de réservation et dans la limite desplaces disponibles.

LES TARIFS

Tarif plein 32 €

Tarif réduit 16 €(personne présentant une carte d’invalidité à 80% et son accompagnateur, jeunesen service civique, scolaires, étudiants, dem. d’emploi, bénéficiaires du RSA)

Tarif groupe 29 €(+ de 10 personnes ou détenteurs de la Carte CEZAM)

Forfait famille 68 €(2 adultes + 1 enfant scolaire ou étudiant)

Abonnement 2 spectacles et + 28 €/spect.

Tarif «dernière minute étudiants » 8 € / spect.Sur site, le soir des représentations(dans la limite des places disponibles)

Tarif spectacles Jeune Public 7 € (tarif unique) Un goûter est prévu à l’issue de la représentation

SundayChâteau du Plessis Macé 5 € (tarif unique)

Tarif spectacle de clôture 40 € (tarif plein)

Depardieu chante Barbara 25 € (tarif réduit)

PASS CONCOURS DES COMPAGNIES

Ouvre droit à une place pour chacun des 5 spectaclesengagés dans le Concours des Cies.

Tarif plein 60 € (soit 12 € / spect)

Tarif réduit 50 € (personne présentant une carte d’invalidité à 80% et son accompagnateur, jeunesen service civique, scolaires, étudiants, dem. d’emploi, bénéficiaires du RSA)

Clôture du Concours des Cies 28€ le samedi 23 juinTarif préférentiel pour les détenteurs du pass Concours desCompagnies

ACHETEZ VOS BILLETS ET ABONNEMENTS EN LIGNE

Anjou Théâtre s’est doté d’une plateforme de réservation de billets plus facile, plus ergonomique.Il est désormais possible d’acheter des abonnements sur Internet, de choisir sa place sur le gradin,

mais aussi d’imprimer ses billets sous forme d’E-tickets.

La billetterie accepte les Chèques Vacances.

Le nouveau Pass Festival du Pass culture Sport proposé au 15-19 ans de la Région Pays de la Loire (mise en vente en avril 2018)donne le droit à une place tarif réduit pour un spectacle dans la limite des places disponibles.

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NAVETTE

Une navette, au départ de la place de l’Académie àAngers, est mise à votre disposition avant chaquespectacle ayant lieu au Plessis Macé, à Doué-la-Fontaine et à Cholet (exclusivement sur le spectacledu 25 juin).Tarif plein : 5 € (A/R)Gratuit pour les personnes présentant une carted’invalidité à 80% et son accompagnateur, jeunes enservice civique, scolaires, étudiants, dem. d’emploi,bénéficiaires du RSA.Information et réservation obligatoire auprès de labilletterie.

RESTAURATION

Situé au château du Plessis Macé, le restaurant« L’Avant-scène » est ouvert aux festivaliers chaque soirde représentation, de 19h30 à 21h.Un service de restauration rapide vous est égalementproposé aux Arènes de Doué-en-Anjou,de 19h30 à 21h15.

VENIR EN ANJOU

2 axes principaux en voiture

Paris – Angers : A11 (3h)Nantes – Angers : A11 (45 min)Cholet – Angers : A887 Saumur – Angers : A85

Par le train :Pars – Angers : TGV Atlantique direct (1h30)Lyon – Angers : TGV direct (4h)Lille – Angers : TGV direct (3h15)

MÔME N’ THÉÂTRE :ACCUEIL POUR LES ENFANTS

Les parents qui assistent aux représentations vendrediet samedi au château du Plessis Macé peuventbénéficier d’un dispositif de prise en charge de leursenfants âgés de 5 à 10 ans pendant le spectacle(sur réservation uniquement - nombre de places limité).Ces derniers participent à des animations leurpermettant de découvrir le théâtre et le festival.

Participation de 2 € par enfant.

INFOS PRATIQUES

Directeur de la Publication : Martin Morillon Directeur Artistique du Festival d’Anjou : Nicolas Briançon Coordination éditoriale : Ronan Pichavant Rédaction : Louise Robert et Anne Loiseau, avec la collaboration de toute l’équipe d’Anjou Théâtre. Visuel de couverture / création graphique /conception : Carré de Lune © Jean-Claude Hermaize, Vincent Fribault, Imprimé par Sétig Abelia - Angers - Labellisé Imprim’vert - 400 ex.

Anjou Théâtre - Licences d’entrepreneurs de spectacles Cat 1 : 1-1103481 / Cat 2 : 2-1103482 / Cat 3 : 3-1103483

CONTACTPRESSE

Ronan Pichavant

02 41 24 88 7006 19 15 32 14

[email protected]

nous vous informonsque le dossier de presse, le teaser

ainsi qu’un ensemble de photographiessont mis à votre disposition

sur le site internet du festival.

www.festivaldanjou.com

anjou théâtre - ï" boulevard du roi renéBp 22qíí - ï"2q angers cedex 2

tél. 4 2 ïq 2ï (( - email 4 festivaldanjouzanjou-theatre.fr

FESTIVALDANJOU.COM