19

DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin
Page 2: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 2/19

Sommaire La pièce Page 3 La mise en scène Page 4 L’auteur Page 5 Note d’intention de l’auteur Page 7 La comédienne Page 9 Note d’intention de la comédienne Page 11 Revue de presse Page 13 Contacts Page 19

Page 3: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 3/19

La pièce Sur un plateau de cinéma, une comédienne tourne un film sous l’œil attentif du réalisateur. Bienvenue dans le monde magique du septième art. Découvrez l’envers du décor, où pour raconter son histoire et se faire un nom, il faut en payer le prix, affronter ses démons au risque de se perdre définitivement…Ou d’en sortir différent ? Vous l’avez compris, à vous de jouer. Qu’avez-vous occulté, oublié, enterré, dans les coulisses de votre mémoire ? Que se passe–t-il quand les portes s’ouvrent sur votre hippocampe secret, muselé depuis trop longtemps ? Le jeu de la mémoire, un thriller sensoriel qui vous oblige à vous rappeler votre histoire.

Page 4: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 4/19

La mise en scène Le plateau est nu, seul un fauteuil « metteur en scène » occupe l’espace. Un cyclo blanc est tendu sur toute la surface du mur du fond. La comédienne évolue dans cet espace clos et dans les images projetées qui, quelquefois l’enveloppent. Ces images, pétries de ses souvenirs ou de ses fantasmes, viennent se mêler insidieusement à celles du film qu’elle tourne. Etrange mélange qui entraîne l’actrice dans un tourbillon douloureux. Le metteur en scène, omniprésent dans l’histoire, est une voix off. Il en est de même pour tous les autres personnages intervenant dans l’histoire. Toutefois, certains d’entre eux apparaissent parfois à l’écran. Le metteur en scène lui, n’est jamais visible. La bande son (bruits de plateau, gare, rue, chant) est une part importante du spectacle. Elle sert les ruptures de ton, et d’action. De même que la musique (originale).

Page 5: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 5/19

L’auteur Ça ne s’invente pas : Gérard Vantaggioli est « né le jour des Morts dans un quartier de Marseille qui s’appelle “Chutes Lavie” » ! Signe du destin ? À l’âge de cinq ans, Gérard arrive à Avignon. Il aura, parmi ses instituteurs, Paul Puaux. Plus tard, à Paris, il apprend le métier de photographe. Il se souvient alors du Festival d’Avignon et du choc, à douze ans, quand son grand-père l’avait amené dans la Cour d’Honneur. Il se remémore la voix de Jean Vilar. La graine théâtrale est déposée alors dans le jardin de son coeur. Il en a eu presque peur. Autre révélation : Silence, l’arbre remue encore, de François Billetdoux, avec Serge Reggiani. Là, il se dit : « Gégé, tu vas faire du théâtre ! » Il ajoute avec le recul : « Étant d’Avignon, avec la sensibilité que j’avais et avec Paul Puaux comme instituteur, je ne pouvais pas échapper au théâtre ». Un atavisme géographique et artistique, en quelque sorte. En 1973, il crée la compagnie Gérard Vantaggioli qui à ce jour, a produit et réalisé 31 spectacles dont 21 créations contemporaines. En 1982, il ouvre le Théâtre du Chien Qui Fume. Puis en 1999, il crée le Théâtre du Petit Chien. « L’image m’a toujours intéressé », dit-il. En même temps, il écrit. Et, bien sûr, écriture plus photo égale cinéma.

Page 6: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 6/19

Gérard Vantaggioli A écrit 2007 : Je t‘attendrai avec Patrick Coulais et Françoise Huguet 2003 : Les Clodos de ma rue avec le Mystère Arcadie 1998 : Le voyage de l’ange avec P. Alcamo 1995 : Je t’attendrai jusqu’à minuit avec P. Alcamo 1990 : Pierrot ou les temps oubliés avec Denis Manuel 1985 : La bande à FM co-auteur avec A.M. Ponsot, J.P. Cassely, J. Hansen 1984 : Le jeu de la mémoire avec M. Vitold 1982 : Maria A avec Pascale Diez 1977 : Voyage fantastique d’après J. Verne; co-auteur avec A. Morel A mis en scène : 2008 : Par coeur de Bernard Sorbier avec Anne Goyer 2006 : Mes Mots sont des mets, Mes Maux sont d’aimer de Bernard Sorbier avec Bernard Sorbier et Anne Goyer 2006 : Des Mots dans mon Vin de et avec Bernard Sorbier 2005 : Camargue Rouge de Jean Vilane avec Nicole Rieu et Jean Vilane 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin dans la tête de et avec Régis Gayrard. 1990 : Les plumes sergent major de et avec Régis Gayrard 1985 : Contes bariolés de A.Tchékov avec Michel Vitold et Teddy Bilis 1984 : Moi c’est l’autre de Philippe Madral avec J. Hansen et R. Guedj 1982 : Marquis de Sade d’après Sade 1978 : Poésie Phase 1 de Pierre Seghers 1978 : Poésie Phase 2 Poètes du XIXe 1976 : Les nuits de Gustave Fauchois de Bernard Girard

Page 7: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 7/19

Note d’intention de l’auteur A quoi ai-je donc pensé en écrivant le jeu de la mémoire? Si je le savais peut-être que je n’écrirais plus. Ce serait sûrement mieux ainsi. Je veux dire par là que lorsque l’écriture me prend, je vois toujours ou plutôt j’imagine, un homme, détaché de tout, assis (par force des longs jours), face à la mer, sans ne plus jamais rien dire, ni écrire (si l’idée lui en était venu un jour), là presque sans bouger, devant cette immensité toujours en mouvement, le regard (j’allais dire « vague ») porté au plus loin mais sentant l’écume à ses pieds et ainsi jusqu’au bout de sa vie. L’homme seul face à la mer. Et cette image revient chaque fois lorsque l’écriture me prend, avec son flot de questions. De l’essentiel de cette « action » d‘écrire, de l’utilité de cet « état ». Une raison de vivre ? Comme d’autres vont à la messe, au Temple, au casino ou au bistrot. Pour retenir l’instant ? Celui qu’il faut. Pour la mémoire. Comme une archive. Pour exorciser. Oublier. Paradoxe. Pour reculer l’instant ? Pour les seuls mots véritables. Les mots d’amour. La seule expression véritable qui justifie notre présence, qui justifie tout. Pour ne pas mourir tout à fait. Quoique. Voila. En 1981, quand je suis entré la première fois dans ce théâtre qui n’était pas encore théâtre, et que je me suis assis, sur une caisse je crois, au milieu de rouleaux de tissus éventrés, de vieilles machines à coudre, de paquets de rubans de couleur, de fils, d’aiguilles cassées, de déchets de toutes sortes, de toutes ces choses qui marquaient là le souvenir d’un atelier; qui fut surtout vers la fin du 19e une fabrique de garance, et qu’ainsi un peu perdu, regardant le jour, que laissait passer quelques vieillesses du toit, jeter sa lumière sur quelques pans de mur, j’ai cru entendre -j’ai imaginé entendre- les voix revenues des ouvrières et des ouvriers qui y avaient travaillé il y a longtemps. J’entendais des chants, des airs populaires joyeusement sifflés que je connaissais, mais ça c’est parce que ma mère chantait tout le temps les chansons de son époque et que j’adorais entendre sa voix. Je reprenais l’air reconnu, quelques paroles même me revenaient, mélancoliques : « un souvenir c’est l’image d’un rêve une heure trop brève qui ne veut pas mourir »…ou plus gaies « Avez-vous vu le joli chapeau de Zozo c’est un chapeau un papo rigolo »…et tragiques aussi « Et là-haut les oiseaux qui nous voit tout petits si petits tournent tournent sur nous et crient aux fous ! Aux fous ! » …

Page 8: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 8/19

J’ai même vu à un moment, tous ces travailleurs danser, rire de blagues bêtes, crier, et pleurer plus loin en silence, cachés dans un coin plus sombre de l’atelier. J’ai entendu le silence quand tout devenait immobile la nuit venue déjà lorsqu’ils étaient partis. Là j’étais seul assis sur ma caisse, une ampoule éclairait l’espace, un décor de cinéma. Peut-être Marcel Carné allait-il sortir de quelque part, allumer une cigarette et s’asseoir dans son fauteuil en attendant que les lampes à arc claquent de tous leurs feux. Alors j’ai rêvé une femme, surgit d’on ne sait où, qui semblait morte de trouille, qui cherchait un téléphone, ou une fenêtre éclairée dans la rue noire. Elle glissait en silence le long des murs, seule sa respiration trahissait son angoisse, elle heurtait un bidon, une bouteille qui roulait ou une poubelle. Elle ne bougeait plus. On entendait très loin une voiture venir. Un homme planqué dans une alcôve guettait. La voiture approchait. Elle, l’inconnue, ne fit qu’un pas, et surgit de l’ombre, et là je l’ai vu… -Dans mon rêve ou dans ce décor déglingué et tailladé d’ombres ?- Elle était belle. Et dans ses yeux, l’espace d’un instant, j’ai vu ! Un moment fugitif. Une vie dans cet éclair. Des trains, des autos, des gares désertes, des armes, de fausses photos, des papiers signés, officiels, des mots murmurés, des étreintes, des souvenirs, des appels, puisqu’elle avait écrit sur le mur « L à la croix de T je t’attend ». Ce que je sais aussi c’est qu’elle attendait un enfant. Ça j’en suis sûr. Alors soudain, une voix résonna autrement dans l’espace clos; c’était peut-être celle de Marcel Carné, à moins que ce ne fut celle de René Clair, de Renoir ou de Von Stroheim: elle répéta la voix : « COUPEZ ! ». Alors en riant, j’ai éteint la lampe, rendu le vieux décor aux ombres qui traînait et je suis rentré chez moi, j’en savais assez pour continuer la suite de l’histoire.

Gérard Vantaggioli

Page 9: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 9/19

La comédienne Après de nombreuses années en tant que danseuse à la Royal Shakespeare Cie à Eindhoven, Stéphanie Lanier apprend son métier de comédienne chez Jean-Laurent Cochet où elle est reçue avec un premier prix classique. Elle commence sa carrière théâtrale avec Jean-Pierre Hané (Les XV Tréteaux) dans Les fausses confidences (Marivaux) et La maison Tellier (d’après Maupassant) au Théâtre Mouffetard et en tournée. Elle joue ensuite sous la direction de Michelle Marquais dans Honorables canailles aux côtés de Philippe Clévenot et Jean-Paul Roussillon, au Théâtre de l’Athénée et en tournée. Elle travaille également avec Jacques Seiler, Emmanuel Rey, Anne-Marie Lazzarini… Son intérêt pour la création contemporaine l’amène à travailler en Macédoine sous la direction de Nika Kosenkova (Théâtre de Moscou) dans un texte de Jordan Plevnes Dernier homme, dernière femme, au Théâtre de Sköpje ; en Autriche, elle met en scène La cagnotte, adaptée de Botho Strauss, à la Schauspiele d’Innsbruck, qui tournera plusieurs mois. Elle participe à la naissance du Festival d’Arlempdes en jouant Brindosier de Protée (Paul Claudel) mise en scène par Emmanuel Ducasse. Elle a joué deux créations écrites et mises en scène par Olivier Brunhes, Aziou Liquid et Rêve d’A et travaille régulièrement

Page 10: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 10/19

avec Joël Dragutin au Théâtre 95, notamment dans La spectatrice. On la retrouve aussi dans de grands succès parisiens : Monsieur Amédée avec Michel Galabru et Bernadette Lafont, mise en scène de Jean-Pierre Dravel ; Knock avec Fabrice Luchini, mise en scène de Maurice Bénichou. On a pu la voir dans La nuit de Valognes d’Eric-Emmanuel Schmitt, mise en scène de Régis Santon et Désillusion parlementaire de Nathalie Detrois, mise en scène de Philippe Brigaud (Petit Hébertot). A la télévision, elle a tourné avec Frédéric Berthe, Michaël Perrotta, Laurence Katrian, Etienne Dahesne, Manuel Poirier…. Au cinéma, elle tourne avec Philippe Le Guay, Olivier Marchal, Etienne Chatilliez.

Page 11: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 11/19

Note d’intention de la comédienne Quand j’étais petite et que la danse était tout pour moi, je brûlais mes pieds à conquérir cette terre que je ne connaissais pas pour toucher enfin l’essence de la vie. Il me semblait évident qu’à force de la rythmer, de la questionner dans une transe sacrée, j’allais racheter et contenir une réponse, j’allais réveiller les morts et les ramener sur terre, j’allais briser le silence et participer à la création du monde : la vraie parole germerait enfin pour supplanter celle qu’on m’apprenait et à laquelle je ne croyais pas. Se taire et laisser danser les ancêtres, se taire et s’oublier. Plus tard, bien plus tard, le théâtre est venu à moi : une évidence, et comme au sortir de l’enfance, le prolongement d’une nouvelle voie pour affirmer l’étrange, l’insondable, l’inexprimable mystère. Oser le partage : partager ses outils avec les autres – danser le mot… Et puis il y a eu le texte « Le jeu de la mémoire » de Gérard Vantaggioli. Une déflagration… Une nouvelle retentissante : un auteur vivant qui fabrique du réel à partir de l’irréel. Un auteur, qui de ses deux mains, nous plonge dans sa passion pour le cinéma, l’art du truqué, du beau, du glamour pour raconter l’insupportable et sublime histoire de la condition humaine. Notre histoire : une pérégrination douloureuse et joyeuse, joyeuse et douloureuse mais qui vaut d’être vécue. Gérard Vantaggioli veut que La Femme et à travers elle, la Diva, la Vamp, la Chipie, la Coléreuse, la Tendre, la Furie, la Sexuelle, la Pythie, la Dévoreuse, existe et s’exprime. Parce que l’on renaît forcément quand on a affronté son monstre, parce que notre histoire mérite que l’on se rappelle.

Page 12: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 12/19

Je découvre le Jeu de la mémoire et je veux chausser mes pieds comme avant, je veux m’inviter à la révolte car c’est une pièce qui dit non : la comédienne dit non à son réalisateur tyrannique et paternaliste ; en même temps elle dit non à la routine de cette vie centrée autour de son travail et de sa carrière, mais qui l’étouffe puisque sans amour. Elle s’invite à se rappeler, à lâcher prise. Gérard Vantaggioli invite le spectateur, le nomade à stopper sa caravane, à s’asseoir un instant sur l'herbe verte et folle du souvenir. Se rappeler le premier baiser, la première main tendue, le premier mot d’amour, la première larme, le premier adieu, la première mort. Eprouver le cœur bondissant, le flux et le reflux du sang qui bat dans les tempes, coupe le souffle, rosit les joues, inonde le bas-ventre, chavire les jambes, tremblotte les mains – éclatement du corps. Rendre à la terre, au ciel et aux astres la part qui nous est dévolue : être humain, n’être rien puis renaître à nouveau. Ressusciter dans la dignité retrouvée, l’homme qui dans son entier peut danser à nouveau mais de sa danse symbolique, la sienne, qui ne ressemble à aucune autre et parle à tous.

Stéphanie Lanier

Page 13: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 13/19

Revue de Presse

Page 14: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 14/19

Page 15: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 15/19

Page 16: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 16/19

Page 17: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 17/19

Page 18: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 18/19

Page 19: DOSSIER MEMOIRE WEB - ID Production · 2003 : Hier sera un autre jour avec Guy Pierauld et Pascal Métayer 2003 : Les Clodos de ma rue avec Le Mystère Arcadie 1993 : Un petit moulin

Le jeu de la mémoire 19/19

Contacts Production Diffusion Lycoprod ID Production Laurent Preyale Isabelle Decroix 5 Boulevard Poissonnière 5, rue de Turbigo 75002 Paris 75001 Paris 01 48 87 11 32 01 42 87 96 60 06 86 08 57 77 06 16 28 82 77 [email protected] [email protected] www.lycoprod.com www.idproduction.org