2

Click here to load reader

DOSSIER : Q.C.M

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: DOSSIER : Q.C.M

DO

SSIE

R

d le type de greffon utilisé encas de pontages n’a eu aucuneinfluence sur la survie despatients diabétiques.

e seules des endoprothèses coro-naires conventionnelles ontété utilisées dans le brasangioplastie.

4.

En cas d’angioplastie avec implanta-tion d’une endoprothèse coronaireconventionnelle, les facteurs identi-fiés comme favorisant la resténoseintrastent sont :a un faible diamètre de l’artère

< 3 mm.b une allergie vraie à l’aspirine.c une longueur de lésion à

traiter de 25 mm.d le diabète.e une hypo-HDL cholestérolémie.

5.

L’étude du sous-groupe des patientsdiabétiques de ARTS nous a apprisque, en cas d’angioplastie parrapport à la chirurgie chez despatients pluritronculaires :a même avec l’emploi des stents

non actifs, il existe unesurmortalité.

b il existe un risque accrud’infarctus du myocarde.

c il existe un risque accru deMACCE.

d on observe 41,1 % denécessité de nouvellesrevascularisations à trois anscontre 8,4 % en cas depontage (p < 0,05).

e on obtient un taux derevascularisation complète plus important.

6.

L’angioplastie avec stent non actifcomparée à l’angioplastie au ballonseul, puis l’angioplastie avec stentactif vs stent non actif a montré :

a un bénéfice en termes dediminution de mortalité.

b l’absence de bénéfice entermes de diminution demortalité.

c un bénéfice en termes deréduction du risque d’infarctusdu myocarde.

d l’absence de bénéfice entermes de réduction du risqued’infarctus du myocarde.

e un bénéfice spectaculaire entermes de réduction de laresténose et de la nécessité de revascularisations répétées,y compris chez le diabétique.

7.

Chez le patient diabétique, onconstate : a une survie identique à celle

des non diabétiques aprèsrevascularisation de lésionspluritronculaires, quel qu’ensoit le mode.

b une survie identique à celledes non diabétiques aprèsrevascularisation de lésionspluritronculaires, uniquementen cas de pontages.

c un taux de MACCE identiqueaux non diabétiques aprèsrevascularisation grâce àl’emploi de stents actifs.

d que l’équilibre glycémique n’aaucune influence sur le pronos-tic après revascularisation.

e qu’un contrôle glycémiqueoptimal après angioplastiepermet de diminuer le taux derevascularisation du vaisseaucible à un niveau quasiidentique à celui des nondiabétiques.

8.

En France, les stents actifs inscrits àla liste des produits et prestationsremboursables en cas de diabètesont :

1.

Les sujets diabétiques, par rapportaux non diabétiques :

a ont deux à quatre fois plus derisque de développer uneinsuffisance coronarienne.

b développent des lésions coro-naires plus souvent diffuses,pluritronculaires et/ou attei-gnant le TCG.

c ont un pronostic identiqueaprès revascularisation.

d sont moins exposés au risqued’infarctus du myocarde.

e ont un pronostique identiquequel que soit leur équilibreglycémique.

2.

Parmi les mécanismes physiopatholo-giques liant diabète et athérosclé-rose, on identifie :a une libération excessive d’aci-

des gras libres par le tissuadipeux.

b l’activation d’un ensemble desystèmes aboutissant à ladysfonction endothéliale.

c une diminution de productionde facteur tissulaire.

d une diminution de la synthèseendothéliale de NO.

e l’inhibition d’un grandnombre des systèmes d’activa-tion plaquettaire.

3.

Dans l’essai randomisé BARI :a il n’y a pas eu d’analyse de

sous-groupe de patientsdiabétiques.

b on a observé une surmortalitéà cinq, sept puis dix ans en casd’angioplastie par rapport à lachirurgie.

c les sujets diabétiques ont untaux de survie supérieur toutau long du suivi en cas de trai-tement par chirurgie.

Q.C.M.

23AMC pratique � n°171 � octobre 2008

Page 2: DOSSIER : Q.C.M

Q.C.M.

DO

SSIE

R

24

10.

Dans les récents registres publiés par Park, et al., et Yang, et al., en 2008, comparant angioplastieavec stents actifs et chirurgie depontages chez les pluritronculaires,on observe :a des taux de survie similaire

pour ces deux stratégies, mêmeaprès ajustement sur le diabète.

b un taux de mortalité supérieuren cas d’angioplastie.

c un taux de MACCE supérieuren cas de diabète.

d une nécessité de revascularisa-tions répétées supérieure encas d’angioplastie, sauf chezles diabétiques.

e une nécessité de revascularisa-tions répétées supérieure encas d’angioplastie, y comprischez les diabétiques.

1.Réponses : a, b, c.

2.Réponses : a, b, d.

3.Réponse : c.

4.Réponses : a, c, d.

5.Réponses : c, d.

6.Réponses : b, d, e.

7.Réponse : e.

8.Réponses : a, b, c, d, e.

9.Réponse : e.

10.Réponses : a, c, e.

a le Cypher® libérant du sirolimus.

b le Taxus® libérant du paclitaxel.c l’Endeavor® libérant du

zotarolimus.d le Xience V® libérant de

l’everolimus.e le Promus® libérant de

l’everolimus.

9.

Dans ARTS-II, à un an, l’emploi destents actifs délivrant du sirolimus encas d’angioplastie a permis, chez lespatients diabétiques :a une réduction de la mortalité

par rapport au bras angioplas-tie avec stent non actif deARTS.

b une réduction de la mortalitépar rapport au bras chirurgiede ARTS.

c une réduction des infarctus dumyocarde par rapport au braschirurgie de ARTS.

d une réduction de la nécessitéde nouvelles revascularisationspar rapport au bras chirurgiede ARTS.

e une réduction de la nécessitéde nouvelles revascularisationspar rapport au bras angioplas-tie avec stent non actif deARTS.

AMC pratique � n°171 � octobre 2008