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(1) Reprise 4 300 € minimum de n’importe quel objet roulant pour l’achat d’une Opel Corsa, valable sur une sélection d’Opel Corsa en stock.Conso mixte gamme Corsa (l/100 km) NEDC : 5.0/6.4 et émissions mixtes CO2 (g/km) NEDC : 115/147.
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L'appel à projet lancé par la ville d'Épernay concernant une partie de l'esplanade Charles-de-Gaulle marque une nouvelle étape dans la restructuration du Jard. D'autres projets avancent en centre-ville. p. 4
Épernay dessine son futur
CHAMPAGNE
COMMERCE
FOOTBALL
SPECTACLES
Le bio à l'heure des vendanges p. 8 et 9
La directrice France de Carrefour se confie p. 10
Le Stade de Reims veut repartir du bon pied à Nantes p. 14
La saison du Salmanazar se dévoile p. 16
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Insoumis un jour... « La République, c’est moi ! ». En éructant cette phrase à un policier venu perquisitionner le siège de son parti il y a un an, Jean-Luc Mélenchon s’imaginait sans doute en Ro-bespierre ou en Fidel Castro, fendant l’injustice d’une ca-tilinaire qui marquerait les esprits. Captée par les journalistes du talk-show « Quotidien », qui en a fait ses choux gras pendant de nombreuses émissions, la colère de Jean-Luc Mélenchon a entaché son image, déjà brouillée auprès de nombreux électeurs de gauche qui se reconnais-saient dans ses idées mais redoutaient sa personnalité hé-gémonique et vitupérante. D’un point de vue judiciaire, cet enregistrement pourrait également faire du mal à Jean-Luc Mélenchon et cinq de ses proches qui comparaîtront les 19 et 20 septembre devant le tribunal de Bobigny pour rébel-lion, provocation et actes d'intimidation envers l’autorité judiciaire. Le député des Bouches-du-Rhône préfère mettre l’accent sur les quelques images calmes de cette perquisi-tion, lui qui reprochait à l’émission de Yann Barthès d’avoir fait « le jeu de la police politique » en diffusant une sé-quence coupée. Pourtant, le mal est fait et ce n’est sans doute pas « Quotidien » qui en est à l’origine, mais bien Jean-Luc Mélenchon en s’entêtant dans sa dénonciation des « procès politiques » alors que ses comptes de cam-pagne présidentielle présentent des irrégularités et que la loi n’interdit pas de perquisitionner des sièges de parti. Celui du PS l'a été en 2013, sous le mandat de François Hollande, et celui du MoDem, allié d’Emmanuel Macron, aussi, il y a deux ans. À l’issue de cette affaire, le capital de 7 millions d’électeurs, dont beaucoup de jeunes, que Jean-Luc Mélenchon avait réussi à réunir en 2017 autour d’un programme tourné vers la réforme des institutions, l’écologie et la redistribution des richesses, pourrait bien être dilapidé. Pas sûr que l’Insoumis se réconcilie de sitôt avec les médias dominants…
Simon Ksiazenicki
ÉDITO
Arno et Oxmo aussi à CharabiaLa programmation du festival Charabia, qui se tiendra du 26 novembre au 1er décembre à la Cartonnerie de Reims, est désormais complète. Grand Corps Malade (26 novembre), Vanessa Paradis (29 novembre) et Philippe Katerine (1er décembre) sont donc re-joints par Arno (28 novembre) et Oxmo Puccino (samedi 30 novembre). A ces têtes d'affiche s'ajou-tent les valeurs sûres de la chanson française que sont La Maison Tellier, Suzane, Tom Poisson et Davodka, mais aussi des artistes montants de la nouvelle scène représentée à Reims par Di#Se, Ia-ross, Melba, Lombre, 2th, Claire Faravarjoo, Matéo Langlois, Clara Ysé, Pandore et Glauque.
Ils ont enterré leurs slips pour la bonne cause
L'initiative, portée par la FDSEA et ses partenaires, a fait le buzz sur la toile et les plateaux télé. Intitulé « En terre ton slip », ce défi a fédéré les candidatures de 82 agriculteurs installés dans la Marne, l'Aisne, les Ardennes et l'Aube. Le principe ? Enterrer pendant deux mois un slip (100 % coton, sinon rien !) à quinze centimètres de profondeur dans leurs champs respectifs puis analyser, en fonction de sa détério-ration, la qualité et l'activité biologique des sols cultivés. Dix finalistes ont été distingués lors d'une cérémonie culot-tée à la Foire de Châlons. Les slips de bronze, d'argent et d'or reviennent respectivement à Nathalie Vignier, viticul-trice à Cramant, Christophe Duhal, agriculteur à La Croix-en-Champagne, et Romain Hénin, vigneron à Aÿ.
Bugatti a mis le Turbo au Royal ChampagneLe célèbre constructeur automobile français de voiture de luxe Bugatti fête cette année ses 110 ans et pour marquer le coup, 23 conducteurs des modèles Veyron et Chiron ont entrepris un Grand Tour 2019 reliant Milan (Italie), ville d'origine d’Ettore Bugatti, à Molsheim, lieu de naissance de la marque où sont encore ins-tallés son siège social et son usine d’assemblage. Un parcours de 2 000 kilomètres qui a emmené ce convoi à environ 70 millions d’euros à Monaco, Aix-en-Pro-vence, Paris et…Champillon. Les 23 pilotes ont ainsi fait étape, vendredi dernier, dans le petit village champenois et plus particulièrement à l’hôtel 5 étoiles du Royal Champagne. Les caméras de M6 ont immortalisé cette aventure et un sujet sera diffusé le 22 septembre, dans l’émission Turbo.
La Poule des champs affiche completPour sa 14e édition, qui se tient ce week-end, le festival d'Aubé-rive réunit une fois de plus une belle pro-grammation, riche d'artistes d'envergure nationale et de pépites de la scène régionale : Louis Bertignac, Barry Moore, Elements 4, Les Négresses Vertes, Skip The Use, Rouge Congo, Hubert-Félix Thiéfaine, Flying Orkestar... Un bien joli plateau qui a séduit les spectateurs puisque plus qu'aucun sésame n'est disponible. Ce sont ainsi plus de 6 500 persones qui sont attendues lors des deux jours du festival. Infos : lapouledeschamps.com.
Humeurs >> www.lhebdoduvendredi.comDu 13 au 19 septembre 2019
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L’hebdo du vendredi édité par la SARL BMDR Editions
Journal hebdomadaire gratuit d’information locale Siège social : 195, rue du Barbâtre à Reims
Tél. 03 26 36 50 13 Rédaction : [email protected]
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Directeur de la publication : Frédéric Becquet - [email protected] Edition Reims : Julien Debant, chef des éditions - [email protected]
Edition Châlons : Sonia Legendre - [email protected] Edition Epernay : Simon Ksiazenicki - [email protected]
Service commercial : Emilie Fressancourt - [email protected]
Fanny Chrapkiewicz - [email protected] Responsable diffusion : Alexandre Percheron - [email protected]
Administration : Martine Bizzarri Community Management : Dixie Bonnette - Infographiste : Anne Rogé
Parution le vendredi matin - Imprimé par l’imprimerie de L’Union
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Provenance du papier : Suéde. Les papiers utilisés sont certifiés PEFC/FSC. Taux de fibres recyclées : supérieur à 70%.
©Royal Champagne
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La ville d'Épernay cherche un promoteur immobilier pour construire des logements de standing sur le parking qui longe la rue Eugène-Mercier. Autour de l'esplanade Charles- de-Gaulle, les projets d'hôtels, de stationnement souterrain et de jardin public avancent également.
C ’est sans doute le projet d’urbanisme qui va le plus intéresser les Sparnaciens dans les années à venir. Évoquée depuis bien
des années, la transformation du Jard a débuté au début de l’année 2018, en même temps que les travaux d’installation du ballon captif. L’attraction touristique est le premier étage d’une fusée qui en comporte plusieurs et sont liés entre eux. L’autre dossier qui a connu un coup d’accélérateur ces dernières semaines s’appelle « poche du Jard », une dent creuse qui sert de parking le long de la rue Eugène-Mercier. Sous ce nom peu élégant se cache un terrain de 2 500 m2, détenu par la ville d’Épernay, qui a lancé, le mois dernier, un appel à projets pour un futur programme de 60 à 80 lo-gements de standing et des locaux d’activités au rez-de-chaussée. Mise à prix : 638 000 € « La ville veut faire reconstruire cette poche du Jard, explique le maire Franck Leroy, avec un bâti-ment qui proposerait de l’accession à la pro-priété. Il y a une forte demande de logements de standing à Épernay qui fait qu’aujourd’hui, les gens vont habiter à Reims ou ailleurs. Je suis per-suadé qu’un projet de qualité intéressera du monde. » Les promoteurs immobiliers ont jusqu’au 18 octobre pour déposer leurs dossiers qui devront notamment répondre aux attentes de la ville : harmonie urbaine et architecturale (pas
plus de deux étages avec combles), exemplarité énergétique et environnementale, mixité généra-
tionnelle, besoins en station-nement... La ville choisira le candidat idéal le 29 novem-bre et le planning prévoit une vente au printemps prochain,
puis une phase opérationnelle qui débuterait en 2021. La poche du Jard n’est pas le seul dossier qui in-téresse la ville puisqu’un bureau d’études travaille également sur la construction d’un parking sous l’esplanade Charles-de-Gaulle. « On a rendez-vous la semaine prochaine pour connaître ses conclusions », ajoute le premier édile. Si ce projet est à l’étude, c’est parce que les places de station-
nement du Jard ont vocation à disparaître. En effet, entre la sous-préfecture et la place de la Ré-publique, deux hôtels doivent prochainement s’implanter. « Le dossier est un peu complexe car il prévoit un parking souterrain qui serait géré par la ville et des hôtels au-dessus qui appartien-draient à des privés », concède Franck Leroy. Le maire révèle également que le groupe qui sou-haite ouvrir un autre hôtel de luxe, sur l’ancien palais de justice, est encore à la recherche d’in-vestisseurs. Un début d’année, la société AZA, qui exploite la Villa Eugène, un hôtel 5 étoiles de l’avenue de Champagne, avait racheté une partie de l'ancien palais de justice. En face de ce bâtiment inoccupé, un dernier projet complète le tableau du futur Jard d’Épernay : la
construction d’un parc paysager. « À l’origine, la plateforme minérale du Jard a été créée pour ac-cueillir l’ancien Viteff qui se tient aujourd’hui au Millesium, détaille Franck Leroy. On veut que le Jard devienne un grand jardin public qui permet-tra aux Sparnaciens d'en profiter mais aussi de combattre les îlots de chaleur urbains, qui s’ag-gravent avec les canicules. » Épernay renouerait alors avec son histoire puisqu’au début du XXe siècle, le Jard accueillait un jardin public, une pro-menade et un kiosque à musique. « Cela peut aller relativement vite. Dès qu’on aura les pre-miers éléments pour le parking et les hôtels, on lancera un appel à projet pour le jardin public, livre le maire d’Épernay. Tous ces dossiers sont les éléments d’un même puzzle qui s’assemblera peu à peu dans les années à venir. » L’équipe mu-nicipale actuelle et ses successeurs ont du pain sur la planche.
Simon Ksiazenicki
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Dans les années à venir, le Jard doit redevenir ce qu'il était au XXe siècle : un lieu de promenade végétalisé. © Épernay Agglo Champagne
Projet
Nouvelle étape pour l'aménagement du Jard
60 à 80 logements de standing
Pas de changement pour la fête foraine Ce vendredi 13 septembre, sur l’esplanade Charles-de-Gaulle, ouvrira pour deux semaines la fête foraine de la rentrée, l’une des plus impor-tantes de la région. Évoqué depuis de nombreux mois, le déménagement au Millesium n’est pas en-core d’actualité. « Rien n’a été arrêté, on s’attend donc à être là au moins jusqu’en 2021 », estime Laurent Horneck, secrétaire de l’association Dé-fense et organisation des fêtes foraines de Cham-pagne-Ardenne (Doffca). Le maire d’Épernay, avec qui le forain entretient « un bon dialogue », n’est pas aussi catégorique. « Ça ne bouge pas pour cette année mais le dossier va nécessairement évoluer car plus les projets de réaménagement du Jard vont avancer, plus l’espace de la fête foraine va se restreindre, évalue Franck Leroy. On ne peut pas conserver le Jard dans un état médiocre uni-quement pour quelques jours de fête par an. D’un autre côté, on ne veut pas non plus porter atteinte à la fête foraine puisqu’on lui propose un autre es-pace de qualité (Le Millesium). »
C ela fait bientôt douze mois que le pro-gramme national Action cœur de ville a été signé en mairie d'Épernay, un dispo-
sitif imaginé par l'État et ses partenaires pour per-mettre à 222 villes françaises de taille moyenne de développer leur centre-ville. Un projet vaste et complexe que l’État et ses partenaires ont sou-haité rendre plus concret avec un chiffre : 5 mil-liards d’euros. Pour bénéficier d’une partie de cette enveloppe, qui sera distribuée sur la période 2019-2024, chaque ville doit d’abord établir un diagnostic afin d’identifier ses forces, ses fai-blesses et ses objectifs. La ville d’Épernay s’y est attelée en embauchant une chef de projet qui pi-lote le dispositif Action cœur de ville. « Pour compléter le diagnostic global sur le centre-ville, actuellement mené par un bureau d’études, nous organisons trois journées de concertation avec les habitants d’Épernay, les 27, 28 et 29 septem-bre, explique Jennifer Chevasson, en charge du dossier « Épernay, Centre-ville du futur ». Nous souhaitons constituer un panel représentatif de l’ensemble de la population sparnacienne qui permettrait de connaître ce qui fonctionne bien et ce qui peut être amélioré en centre-ville dans les domaines du commerce, des déplacements et
de l’habitat. » L’inscription à ces rendez-vous de concertation – qui ressembleront à ce que la ville a mené, l’an passé, sur le dossier du futur quartier Berges de Marne – se fait sur internet (epernay-centreville.fr). La restitution des échanges est pré-
vue pour novembre. Enfin, la phase de déploie-ment du plan Action cœur de ville, c’est-à-dire des actions concrètes, doit démarrer en mars pro-chain.
S.K
L'un des principaux défis du centre‐ville d'Épernay : accroître l'offre d'habitat. © l'Hebdo du Vendredi
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Yvan Attal au cinéma Le Palace Le cinéma Le Palace d'Épernay a convié le réali-sateur et acteur Yvan Attal à venir présenter, le vendredi 20 septembre, à 19 h 30, son dernier film, « Mon chien stupide » (2019, 1 h 45). Dans ce long-métrage, le comédien campe un quin-quagénaire au bout du rouleau qui voit un gros chien mal élevé débarquer dans sa vie de famille. La séance sera précédée d’une présentation du film par Yvan Attal. Les préventes sont possibles directement aux caisses du Palace. Tarifs : 5 à 9,50 €. Infos : le-palace.fr. Déambulations historiques dans les rues d'Épernay Le service des archives municipales d'Épernay organise des déambulations historiques dans les rues de la ville. Il donne rendez-vous aux personnes intéressées ce samedi 14 septembre, à 14 h, à la halle Saint-Thibault pour une visite guidée sur les traces de l'hôtel de ville d'Épernay, avant que celui-ci s'installe dans l'avenue de Champagne, en 1919. Réservations : 03 26 55 72 00. Une bourse pour les étudiants « méritants » Pour la 16e année consécutive, les étudiants d’Épernay pourront bénéficier de la bourse Réguron-Garrigues, du nom de cette professeure qui fit don de sa fortune, à sa mort, en 1999, afin de créer une bourse « pour les étudiants méritants ». Ainsi, chaque année depuis 2003, la Ville attribue des dotations, allant de 330 à 780 €, à de jeunes Sparnaciens qui ont moins de 26 ans et sont non-redoublants lors de l’an-née de l’allocation et en deuxième année d’études. La Ville a également ajouté un critère, à savoir que l’impôt sur le revenu soumis au barème (ligne 14 de l’avis d’impôt) soit inférieur à 900 €. Les dossiers, téléchargeables sur epernay.fr, doivent être dépo-sés avant le vendredi 18 octobre au Point information jeunesse d’Épernay, 5, place Bernard-Stasi. Une commission se réunira ensuite le vendredi 4 novembre pour étu-dier les demandes.
EN BREF
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Patrimoine
Quand les greniers cachent des trésorsA deptes de projets mettant en
avant l’histoire de leur ville, les membres de l’association
Épernay Patrimoine proposent un nou-veau rendez-vous, Trésors cachés, tré-sors partagés. Ce samedi, à la médiathèque Simone-Veil, ils invitent les Sparnaciens à faire connaître leurs objets et souvenirs liés à la ville, son histoire et ses différentes activités. « L’idée c’est que les gens qui ont des lettres, livres, photos, cartes postales ou tout autre objet lié à l’histoire d’Éper-nay nous les apportent pour qu’on les scanne, les photocopie, les photogra-phie ou même les conserve pour ceux qui veulent nous les confier, explique Bruno Duteurtre, président d’Épernay Patrimoine. Le problème, c’est que souvent, quand les gens disparaissent, les descendants vident les maisons et balancent tout à la benne. On veut garder une trace de tous ces objets afin de mieux connaître la ville d’Épernay, dans un objectif de sauvegarde du patrimoine. » Pour cette session, Épernay Patrimoine espère rassembler des objets qui ont trait l’histoire du sport à Épernay pour mettre sur pied une exposition, en partenariat avec les archives municipales. Grâce à Trésors cachés, trésors partagés et d’autres collectes, l’association a d’ailleurs déjà remis plus de 3 mètres linéaires de documents aux archives d’Épernay, qui en comptent environ 1 kilomètre. « Sans cela, ils auraient sans doute été perdus », assure Bruno Duteurtre qui ne compte pas s’arrêter là avec son association. Laquelle fêtera, l’an prochain, ses 10 ans.
S.K
4 Trésors cachés, trésors partagés, samedi 14 septembre, à 10 h, à la médiathèque Simone-Veil, 1, rue du Professeur-Langevin, Épernay. Entrée libre.
L'association Épernay Patrimoine cherche des objets ayant rapport avec l'histoire sportive de la ville. © DR
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À Chigny-les-Roses, Pascal Mazet a débuté sa conversion au bio en 2009. Par conviction mais aussi pour proposer un vin de haute qualité. Un mode de production plus exigeant qui s'accorde bien avec une petite surface comme la sienne.
D ouze coupeurs s’activent dans les vignes du champagne Pascal Mazet, à Chigny-les-Roses, Ludes et Am-
bonnay. Celles-ci, un peu moins feuillues et abondantes que leurs voisines, ressemblent aux 34 000 hectares de l’AOC, à la différence près qu’elles sont certifiées viticulture biolo-gique. Une aventure débutée il y a 10 ans. Comme chez beaucoup de récoltants-manipu-lants, l’histoire du champagne Pascal Mazet est une affaire de famille. À l’origine, le ma-riage de Catherine, fille de vignerons et de Pascal, fils de paysans, en 1981, à une époque où l’agriculture biologique n’est encore qu’un concept porté par quelques associations pay-sannes. « On n'en parlait pas beaucoup, on mettait surtout en avant la haute technologie, sourit Pascal Mazet, installé à Chigny-les-Roses. Quand j’ai vu les doses de produits de synthèse qui étaient mises dans les vignes, je me suis dit qu’on empoisonnait les sols. »
D’une culture raisonnée, le champagne Pascal Mazet débute son engagement pour obtenir la certification Agriculture biologique (AB) en 2009. Les deux hectares situés à Chigny-les-Roses, Ludes et Ambonnay sont alors conver-tis selon le règlement de l'Union européenne et sont, depuis, contrôlés chaque année. « Ce cahier des charges exclut tous les engrais chi-
miques et produits de synthèse », explique Oli-vier Mazet, le cadet de la fratrie qui travaille à l’élaboration des cuvées. De plus, tous les produits utilisés dans l’élaboration du cham-pagne doivent être certifiés bio et seuls certains addi-tifs sont autorisés. Néan-moins, contrairement à une idée reçue, quelques pesticides sont acceptés pour combattre les maladies, notamment le souffre et le sulfate de cuivre. Si l’Union européenne autorise l’utili-sation de 4 kg de cuivre par hectare et par an, en moyenne, la famille Mazet en consomme à peine 2 kg par hectare et arrête le traitement au début du mois de juillet, quand certains voi-sins continuent à appliquer des produits de synthèse jusqu’au mois d’août. « Ça nous
oblige à être beaucoup plus vigilants et à sur-veiller les vignes, notamment lorsqu’il pleut car c’est à ce moment-là que se développent le mildiou et l’oïdium, détaille Olivier Mazet qui représente la quatrième génération. Mais ça fait la différence sur la qualité du vin qui est plus complexe car la plante a consommé plus de choses et a puisé plus loin dans le sol. » Si les baies sont de meilleure qualité, le ren-dement est en revanche moins élevé et la charge de travail plus importante. Le cadet de la famille l’assure : « On atteint rarement le rendement maximum », qui est de 13 500 kg de raisins cueillis à l’hectare, en moyenne, sur les 10 dernières années. Pas un problème pour la maison familiale. Avec seulement 15 000 bouteilles commercialisées chaque année, le champagne Pascal Mazet fait figure de produit haut de gamme, avec un premier prix à 23,90 €. Chaque vin est vieilli au mini-mum 5 ans en cave et depuis quelques années, grâce au travail entrepris par le jeune Olivier, ingénieur de formation et anglophone, plus de la moitié de la production part à l’étranger (Italie, Japon, États-Unis). « Le rendement plus faible de nos vignes ne nous pose pas un problème car on ne fait pas la course à la quantité, on cherche des vins de qualité. Les
gens ne veulent plus d’un champagne qui ressemble à tous les autres et vien-nent désormais chercher la patte du viticulteur »,
abonde son père. La Champagne peut-elle adopter cette stratégie tout en répondant à une demande mondiale de plus de 300 millions de bouteilles ? Pour le moment, 2 % des vigno-bles de la région sont cultivés selon des prin-cipes biologiques.
Simon Ksiazenicki
Viticulture
Le champagne Mazet a misé sur le bio
« Une différence sur la qualité du vin »
Une longue attente pour un champagne bio Comme pour les autres cultures, la certification en viticulture biologique ne peut être accordée qu’après une période de conversion des vignes de 3 ans. C’est donc la quatrième vendange après le démarrage de la conversion qui sera certifiée. En comptant les deux années de vinification qui sont ensuite imposées par l’appellation Champagne avant la commercialisation, un domaine démarrant une conversion en 2019 ne pourrait vendre un champagne bio qu’en 2024, au plus tôt.
Pascal et Olivier, les troisième et quatrième générations du champagne Mazet, se sont lancés dans le bio en 2009. © l'Hebdo du Vendredi
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Champagne
Le groupe Facebook des vendanges racheté
L e groupe Facebook « Em-plois vignes et caves en Champagne » est bien
connu des demandeurs d’emploi et des professionnels. Lancé en 2016 sous le nom de « Vendanges en Champagne » afin de mettre en relation viticulteurs et coupeurs de raisin, il compte aujourd’hui plus de 18 000 membres et est quasi-ment devenu une plateforme dé-diée à l’emploi et la formation dans les vignes, au-delà même de la période des vendanges. Devant l’ampleur prise par ce groupe Fa-cebook, son fondateur Christophe Lévy a été victime de son succès. « Nous avons permis l’embauche de plusieurs milliers de personnes, en majorité des saisonniers. Béné-voles, nous en tirons certes la satisfaction d’avoir pu rendre de nombreux services mais cette activité est chronophage et le recrutement n’est pas notre métier », explique ce spécialiste du numérique qui a cédé l'activité à l’entreprise rémoise Ter’Informatique, filiale de la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles (FDSEA). Celle-ci administrera donc le groupe Facebook et pourra renvoyer ses membres vers Wizi Farm Mission, sa plateforme gratuite destinée à l'emploi. « C'est une solution plus professionnelle car elle permet aux agriculteurs, viticulteurs et éleveurs de la France entière d'y inscrire précisément leurs besoins et aux demandeurs d'emploi leurs compétences, qualifications, expériences ou encore centres d'intérêt. L'algorithme va ensuite faire correspondre les meilleurs profils, détaille Jean-Baptiste Vervy, PDG de Wizi Farm. Le vivier de ce groupe Facebook va nous permettre de faire connaître notre plateforme et de gagner de nouveaux utilisateurs. »
S.K
Le groupe Facebook « Emplois vignes et caves en Champagne » compte plus de 18 000 membres. © l'Hebdo du Vendredi
Champagne
Le SGV aura sa boutique en 2020
L a fin de l'été sonne le glas du bar du Syndicat général des vignerons de la Cham-
pagne (SGV), ouvert depuis le 26 avril à Epernay. Il fermera ses portes ce dimanche 15 septembre, après avoir écoulé environ 4 100 bouteilles issues de 24 adhérents du syndicat, pour un chiffre d'af-faires estimé à 122 700 €, en baisse de 3 % par rapport à 2018. « Avec la météo délicate qu'on a connue, notamment la pluie puis la canicule, on préfère comparer cette année à 2017. Nous sommes alors à + 13 % », retient Clotilde Chauvet, membre du bureau du SGV, qui se dit satisfaite de cette quatrième année d'ouverture du bar éphémère, dont l'objectif est de faire connaître la marque collective Champagne de Vignerons et les 4 300 producteurs de toute l'appellation. Vingt-quatre d'entre eux se sont relayés durant toute la durée de l'opération pour servir flûtes et bouteilles dans la cour du SGV. Avec une gamme de prix uniformisée (6 € la coupe et 25 € la bouteille de brut, 8 et 35 € pour du millésimé), qui a dû être légèrement augmentée pour correspondre à celle des maisons voisines. « On l'a fait en bonne intelligence », assure-t-on au SGV. L'an prochain, pour la cinquième édition du bar éphémère, les vignerons disposeront d'un atout supplé-mentaire. Une salle de réunion adjacente d'environ 60 m2 va prochainement être transformée en espace de vente et de dégustation qui proposera au moins 100 cuvées, avec des rotations. Les travaux démarreront au mois d'octobre et la boutique pourrait ouvrir au printemps prochain. Quand les beaux jours reviendront, l'espace de dégustation s'installera dans la cour. On pourra alors dire que le bar éphémère est devenu per-manent.
S.K
L'espace de dégustation de la boutique remplacera le bar éphémère qui a fêté ses 4 ans cet été. © l'Hebdo du Vendredi
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Épernay et Fada N'Gourma se sont redit « oui »
Vendredi dernier, à l'occasion des Es-cales africaines, le festival dédié au ju-melage entre Épernay et Fada N'Gourma, les deux villes ont renou-velé un partenariat qui fête, cette année, ses 40 ans. Une lettre d’inten-tion a été signée par les deux maires, Franck Leroy et son homologue burki-nabé Jean-Claude Louari, et par les responsables des jumelages, Marie Choquet et Hubert Thiombiano, dans les salons de l'hôtel de ville, prolon-geant ainsi la coopération entre les deux villes. Ce document prévoit de développer les échanges entre les
crèches et les écoles des deux com-munes, la coopération entre les ser-vices municipaux, les échanges entre jeunes Fadalais et Sparnaciens, les bourses scolaires pour les enfants de Fada N’Gourma et envisage égale-ment un projet de réhabilitation de la-trines et de puits dans la ville burkinabée. Emmaüs remet le couvert à Tours-sur-Marne
Les compagnons et les amis d'Emmaüs de Tours-sur-Marne organisent une grande vente consacrée aux objets de vaisselle ce samedi 14 septembre, de 14 h à 17 h 30, dans leurs locaux du 6, rue Saint-Antoine. L'occasion de
trouver un grand choix de couverts, d'assiettes, de bols, de verres ou en-core d'accessoires de cuisine à petits prix. Comme chaque deuxième sa-medi du mois, les stands mercerie et rétro seront ouverts à la vente et des objets consacrés aux vendanges et à la rentrée des classes seront également proposés. Infos : 03 26 58 61 81. Collecte de sang à Épernay L’Etablissement français du sang (EFS) organise une collecte à Épernay, au sein de la Maison des arts et de la vie associative, le mardi 17 septembre, de 10 h 30 à 13 h et de 14 h 30 à 18 h 30. Le don de sang ne dure que 45 minutes, dont seulement 10 pour le prélèvement. Une collation sera servie à son issue. Pour faire un don, il est nécessaire d’être en bonne santé, âgé de 18 à 70 ans et de peser au moins 50 kg. Infos : dondesang.efs.sante.fr. Manifestation interdite au dépôt pétrolier de Vatry La préfecture de la Marne a pris un ar-
rêté pour interdire la manifestation prévue le lundi 16 septembre, devant le dépôt pétrolier de la Société fran-çaise Donges-Metz de Nuisement-sur-Coole, plus communément appelé dépôt pétrolier de l'aéroport de Vatry. Issu du mouvement des Gilets jaunes, le collectif marnais du Soleil vert, qui avait déposé une déclaration de ma-nifester au préalable, prévoyait de mettre en place un barrage filtrant et de bloquer les camions-citernes. La préfecture justifie cet arrêté par le fait qu’elle ne pourrait pas assurer la sé-curité des utilisateurs et des manifes-tants. Ces derniers s’exposent donc à des sanctions pénales.
EN BREF
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Marie Cheval, la directrice exécutive France des hypermarchés Carrefour, a passé une journée à la Foire de Châlons. L'occasion pour cette native d'Aÿ, fille de la défunte figure champenoise Pierre Cheval, de vanter la nouvelle stratégie mise en place par le groupe français.
Pourquoi êtes-vous présente à la Foire de Châlons ? Carrefour est un partenaire important de la Foire. Je suis venue voir l’hypermarché de Châlons, par-ler de la production locale et signer des accords avec nos partenaires locaux. À la Foire, on a par exemple rencontré notre producteur de salades pour l’hypermarché de Châlons. Dans le Grand Est, Carrefour représente 313 magasins et 6 000 collaborateurs et travaille avec 1 000 parte-naires agricoles et 220 PME. C’est normal pour moi d’être présente à un événement aussi impor-tant pour la région. Quel avenir pour les hypermarchés Carrefour ? L’hypermarché reste un mode de distribution pré-pondérant puisque 53 % des Français y font leur courses. Mais ils sont très challengés (concurren-cés) par les géants d’internet et les magasins spé-cialisés. On doit donc faire évoluer notre modèle. On vient d’inaugurer, à Dijon, un nouveau concept d’hypermarché où la surface est réduite, la ligne de caisse a disparu et on propose une « fresh ave-nue » à l’entrée. On y trouve une ambiance de mar-ché, des kiosques de repas, la boucherie, la boulangerie, la poissonnerie, etc. C’est aussi le plus
gros magasin bio de la région avec plus de 3 000 références. Enfin, il y a une zone événemen-tielle qui bougera au gré des saisons. On veut pro-poser des magasins plus simples, tournés vers l’excellence alimentaire, très événementiels et an-crés dans leurs territoires. Quelle est la nouvelle stratégie de Carrefour concernant l'alimentaire ? La transition alimentaire est désormais inscrite dans nos statuts. Nos clients veulent des meilleurs produits, plus de traçabilité, plus de local, moins de plastique. Pour cela, on s’appuie notamment sur notre Filière qualité Carrefour, qui date de 1992, on signe de nouveaux accords et on propose plus de produits bio. Le bio, c’est une demande forte des clients. Notre objectif, d’ici 2020, est d’accom-
pagner 500 exploitations vers l’Agriculture biolo-gique et leur offrir des débouchés. On accélère ce qu’on avait déjà entrepris car on est le premier dis-tributeur de produits bio en France. Comment peut-on concilier la transition écologique avec la consommation de masse ? Notre enjeu, c’est d’arriver à démocratiser les pro-duits de qualité que demandent nos clients. On le fait avec la Filière qualité Carrefour qui concilie une garantie de traçabilité et d’expertise avec une production à grande échelle puisqu’on travaille avec 18 000 producteurs à travers la France. On a des parts de marché fortes en France, c’est donc notre responsabilité de proposer une offre de qua-lité au meilleur prix.
L'UFC-Que choisir a dénoncé, le mois dernier, les marges importantes de la grande distribution sur les fruits et légumes bio. Qu’en pensez-vous ? L’enquête a été faite sur une période très courte et a donné une image erronée des marges que réali-sent la grande distribution. Nos produits bio sont tout à fait accessibles. On le voit bien car nos clients plébiscitent ces rayons-là.
Propos recueillis par Simon Ksiazenicki
Interview
« Carrefour doit faire évoluer son modèle »
Marie Cheval, native d'Aÿ, a été nommée directrice exécutive de Carrefour l'an passé. © l'Hebdo du Vendredi
« Pas l'intention de fermer » le Carrefour d'Épernay Interrogée sur la situation de l'hypermarché d'Épernay, la directrice exécutive du Groupe Carrefour a expliqué sa stratégie. « On n’a pas l’intention de fermer le magasin d’Épernay. Nous testons divers modèles. Pour les maga-sins en difficulté, dont Épernay fait partie, nous avons adopté le modèle Rebonds. On fait évo-luer les rayons, on rationalise certains assorti-ments, on change certaines choses. À Épernay, on a refait les alentours du magasin. L'objectif est de donner à ces hypermarchés une nouvelle dynamique. »
« Expérience bio » au Carrefour de Tinqueux L'hypermarché de la cité aquatintienne dispose désormais d'un tout nouvel espace de 450 m2, situé au cœur du magasin et baptisé « Expé-rience bio ». Plus de 3 400 références y sont disponibles contre moins de 2 000 auparavant, dont 700 produits frais et plus de 100 en vrac. À ces denrées alimentaires viennent également s'ajouter divers produits dits « écoresponsables
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Les chiffres restent à consolider, mais la 73e Foire de Châlons s'achève sur une note plutôt positive du côté des exposants, habitués comme nouveaux. Beaucoup espèrent revenir l'an prochain.
U ne bonne entente entre exposants, des animations et des conférences thématiques par centaines, une
météo radieuse, des concerts survoltés, une ambiance détendue et propice aux achats : la Foire de Châlons a réuni, cette année encore, tous les ingrédients d'un rendez-vous réussi. Et si le nombre de visiteurs accueillis pendant ces onze jours n'est pas officialisé, le commis-saire général de l'événement, Bruno Forget, l'assure : « On a fait mieux que l'an dernier et on a tenu nos promesses. » Dans la catégorie des exposants historiques : Régis Fliniaux, pa-tron du champagne éponyme, présent à la Foire depuis 50 ans et trois générations. « C'est devenu une tradition familiale qu'on perpétue avec mes deux filles, confie-t-il. Nos ventes augmentent tous les ans, on atteint en-core un nouveau record cette année. Ce qui fait le succès de la Foire, c'est d'abord sa convivialité. » Meilleur ouvrier de France fro-mager et gérant du restaurant Terre des sa-veurs, le parisien Eric Lefebvre a fait sa
vingtième Foire. Il a servi environ 5 500 cou-verts avec son équipe. « La conjoncture éco-nomique et le moral des consommateurs sont au beau fixe, concède-t-il. Sans oublier que les vendanges démarrent après la Foire cette année. Je réalise 3 % de mon chiffre d'affaires à Châlons. Il n'y a pas de petits événements. »
Jean-Christophe et Alexis Charlet, père et fils, figurent parmi les locaux de l'étape. Et les températures caniculaires ont boosté leurs ventes de piscines. « Les contacts noués ici re-présentent un potentiel de 30 % de notre chif-fre annuel. Nous avons des ventes sur place, mais c'est un surtout un gage de visibilité. » Comme eux, bon nombre d'exposants revien-nent systématiquement chaque année. Malgré l'évolution des tarifs. « On voit des visiteurs issus d'autres départements et qu'on ne tou-cherait pas autrement, expliquent Franck Guyot et Jean-Christophe Rennesson, conces-sionnaires automobiles châlonnais. Les véhi-cules d'occasion ont mieux fonctionné cette année. La Foire, c'est notre treizième mois. Les clients sont détendus, on a même quelques achats « coup de cœur ». Et si les prix « Foire » ne sont pas toujours possibles, on propose ici des avantages qu'on ne fait pas le reste de l'année. »
Beaucoup de professionnels saluent également la sécurité déployée aux quatre coins du site. A commencer par le Shop & Bières Sacobri qui, un an après son ouverture au centre-ville de Châlons, a fait le pari de la Foire. Verdict ?
« On a organisé des concerts chaque jour et on a même parfois manqué de place, dixit Alexandre Sanciet, l'un des trois co-gérants. On mise sur la scène locale. Les retours des musiciens sont positifs. La belle surprise, c'est que le bar du centre a lui aussi très bien fonc-tionné, notamment grâce aux exposants qui rentraient en ville après leur journée à la Foire. » Rendez-vous l'an prochain ? « Evi-demment. On a déjà plein d'idées en tête pour faire encore plus fort. » Même enthousiasme de la part de Joé et John, vendeurs hors pair des fameux balais autonettoyants, ou encore d'André, concepteur de lampes torches, lui aussi nouvel exposant. « Mes objectifs sont at-teints, mais le bouche à oreille fera son œuvre sur le long terme, glisse-t-il. Echanger avec les visiteurs, ça me permet aussi de cerner leurs besoins et d'imaginer d'autres inventions sur-mesure à l'avenir. » Du côté d'Equip'Agro, Rémi Maupin, le directeur de Sopema, semble ravi. « J'ai repris l'entreprise en janvier. Nous avons eu de très bons contacts, de quoi tra-vailler jusqu'en mars. Huit ventes ont égale-ment été conclues sur place. » Soit l'équivalent de 500 000 euros de chiffre d'affaires. « Nous sommes spécialisés dans le travail du sol et avons remporté le « Châlons d'or » du salon, qui valorise l'innovation agricole. » Une vé-ritable vitrine.
Sonia Legendre
Événement
Une 73e Foire de Châlons au beau fixe
Sécurité optimale et objectifs atteints
Une foire « agricole, commerciale et sociétale » À l'heure des discours de clôture, le patron de la Foire, Bruno Forget, a rappelé l'ADN de cet événement : « promouvoir notre territoire et en être fier. La Foire est le fruit d'un enthousiasme, d'une envie et d'une vision partagés. » Bien au-delà des clivages politiques. « C'est une Foire agricole, commerciale, mais aussi sociétale. On y a abordé des sujets phares comme la formation et l'emploi, les droits des femmes, le handicap, la lutte contre l'homophobie, etc. » Sans oublier les enjeux de la profession et du monde agricoles, « qui sont autant de réponses aux questions environnementales. » Salué par le préfet de la Marne, Denis Conus, comme étant « l'âme » d'une Foire « pleine d'humanisme, de générosité et de tendresse », Bruno Forget a annoncé une édi-tion « encore plus belle et au service de notre territoire » l'an prochain. Rendez-vous du 28 août au 7 septembre 2020.
L'affluence était au rendez‐vous de cette 73e Foire, notamment le week‐end. © l'Hebdo du Vendredi
Un gage de visibilité
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L'événement châlonnais souhaite prendre un « virage environnemental ». Si les progrès sont visibles, il reste du chemin à parcourir.
A u coup d'envoi de la Foire de Châlons, Bruno Forget, son commissaire général, assurait que l'événement se devait
« d'être plus respectueux de l'environnement ». Les portes du Capitole sont désormais fermées et le bilan « vert » de la Foire est mitigé. Il n'est évi-demment pas question d'évoquer ici la propreté des allées, somme toute plutôt bien entretenues. Pour se débarrasser de leurs déchets, visiteurs et exposants avaient à leur disposition 150 bacs de 660 litres, disposés un peu partout sur le site et gérés par l'entreprise Lustral. À ce dispositif s'est ajoutée la mise en place de 30 poubelles dédiées exclusivement à la collecte du verre. Et pour encourager les visiteurs à jouer le jeu, la Foire les a aussi invités à partici-per à un « clean-up challenge ». L'opération a duré le temps du pre-mier week-end de l'événement et s'est conclue par le ramassage d'un peu plus de 70 sacs pleins de mégots et de gobelets. Une première encoura-geante, mais la véritable marge de progression en matière environnementale se situe ailleurs. La Foire, ville dans la ville de plusieurs milliers d'habitants, ne propose, hormis donc pour le verre, aucune solution de tri au public. Canettes
en fer, journaux en papier ou encore restes de nourriture achèvent ainsi leur courte vie dans les mêmes poubelles, avant de prendre la direction du centre de déchets de La Veuve où ils seront, au mieux, incinérés. Pour les exposants, la donne est différente. Ils peuvent profiter des tournées des agents de Lustral pour se débarrasser propre-ment de leurs cartons. Avec leur petit véhicule, les collaborateurs de cette société ont sillonné en permanence les allées pour que la Foire brille comme un sou neuf, avec souvent des montagnes de cartons dans leur remorque. Une opportunité loin d'être saisie par tous, beaucoup se contentant de les jeter dans les bacs classiques, où ils sont souillés par les autres déchets. « La journée, on ramasse beaucoup de cartons qu'on retire des bacs pour qu'ils ne débordent pas », indique l'un des salariés de Lustral. Et après ? « Logiquement, on les met dans une grande benne dédiée aux cartons et aux palettes, mais si on
devait trier à chaque fois, on n'y arriverait pas, alors parfois, ils terminent dans la benne dédiée au tout-venant. » À ces problématiques
de tri s'ajoute le côté commercial de la Foire de Châlons qui entraîne les exposants dans une course à la séduction et à la rentabilité à tous crins. Il y a d'un côté ceux qui veulent vendre un produit ou un territoire et qui distribuent à cet effet toutes sortes de petits cadeaux. Des goodies qui finissent souvent au fond d'un tiroir ou pire, directement à la poubelle. De l'autre, il y a les res-taurateurs qui multiplient les emballages en pa-
pier, plastique et carton, sans parler des restes de nourriture qui, faute de solution comme le com-postage, terminent dans les poubelles. Ainsi, même un café pris sur une terrasse de la Foire est servi dans un gobelet, certes en carton, mais à usage unique. Quant aux sacs plastiques, dont on bannit l'usage dans les commerces, ils sont dis-tribués à l'entrée de la Foire par milliers sous pré-texte de contenir un journal et un magazine. Que ces fameux sacs et autres contenants soient constitués de matières 100 % recyclables ou bio-
dégradables ne changent pas grand-chose, car ce sont bien des milliers de déchets qui pourraient être facilement évités. « Les poubelles, c'est tou-jours un sujet compliqué sur les foires, raconte cet exposant, habitué de ce genre d'événement. À Marseille, par exemple, sous prétexte du risque d'attentat, il n'y a pas de poubelle. » Un contre-exemple qui ne doit pas faire dévier la Foire de Châlons de sa trajectoire vers un avenir plus du-rable.
Julien Debant
Foire de Châlons
La Foire « verte » peut mieux faire
A l'exception du verre, aucune solution de tri pour des milliers de visiteurs
Bruno Forget : « On a du boulot et on en a conscience » Le commissaire général de la Foire, souhaite que l’événement « se mette au vert ». Une volonté qui a commencé à se traduire dans les faits, mais qui doit être renforcée lors des prochaines éditions. « Il y a eu de grands efforts réalisés par rapport à il y a quelques années, explique Bruno Forget, mais pour devenir un modèle, il faut une prise de conscience partagée. Prenons l'exemple du gas-pillage alimentaire, on sensibilise les exposants, mais on ne peut pas les forcer à jouer le jeu. C'est une question d'éducation mais aussi de mauvaises habitudes à changer. Dans les pays scandinaves, ils seraient sans doute fous de voir ces comportements, tant ceux des exposants que du public. On a du boulot et on en a conscience. Et ce n'est pas une question d'idéologie mais de pédagogie. Si on s'y met tous, organisateurs, exposants, public et médias, on arrivera à proposer une Foire res-pectueuse de l’environnement. »
Malgré la présence de 150 bacs, le tri des déchets, à l'exception du verre, n'est pas proposé aux visteurs. © l'Hebdo du Vendredi
Dans les bacs, toutes sortes de déchets se mélangent, si bien qu'ils terminent tous leur course dans la benne des déchets ménagers. © l'Hebdo du Vendredi
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Après la trêve internationale, le Stade de Reims retrouve le chemin des terrains, dimanche, à Nantes. Face à un adversaire qui lui ressemble, le club champenois devrait aligner un onze proche de celui qui a débuté la saison.
L orsque Reims se déplace à Nantes, cela fait rarement des étincelles. Depuis 2013 et le retour des deux clubs dans
l’élite, les Champenois ne se sont jamais im-posés à la Beaujoire et n’ont inscrit qu’un seul but en quatre confrontations. C’était le 18 oc-tobre 2014 et Diego Rigonato avait répondu à Johan Audel (1-1). Autre temps, autre mœurs ? Pas si sûr, tant les deux formations semblent à nouveau proches cette saison. Comme les Rémois, les Canaris de Christian Gourcuff réalisent un bon début d’exercice (deux victoires, un nul face à Marseille, une défaite face à Lille) malgré une équipe profon-dément remaniée depuis le départ de Vahid Halilhodzic. Entretiendront-ils la même dyna-mique sans leur meilleur joueur, Valentin Ron-gier, parti à Marseille au lendemain de la fermeture du mercato estival ? Christian Gour-cuff, qui a dénoncé dans ce transfert « la dé-rive du football professionnel » et la « déstabilisation » de son club, trouvera sans doute à ce départ des réponses collectives, lui qui a toujours été influencé par le jeu « à la nantaise ». Le recrutement low-cost et sans
éclat de son club l’y obligera sans doute. Son homologue rémois David Guion a, lui, réalisé un mercato plutôt copieux. Contraint d’aligner le même onze de départ depuis le début de la saison, avec une réussite cer-taine (deux victoires, un nul, une défaite, comme… Nantes), le coach champe-nois aura désormais plus de possibilités. Il a pu voir quelques recrues à l’œuvre lors d’un amical face à Nancy, disputé le jeudi 5 sep-tembre (défaite 1-2), et notamment les jeunes
Dario Maresic et Dereck Kutesa, arrivés dans les derniers jours du mois d’août. Le défenseur et le milieu de terrain ont disputé l’intégralité
de la rencontre, ce qui laisse planer peu de doute sur leur présence en Loire-Atlan-tique, ce dimanche. Si le grand absent de ce début de saison, Mathieu Cafaro, n’a
pas participé à cette rencontre amicale, l’an-cien toulousain a repris l’entraînement collec-tif mercredi. Remis de sa blessure au genou, il devrait néanmoins être trop juste pour le dé-
placement à Nantes, comme Tristan Dingomé, victime d’un coup sur la cuisse. De son côté, l’attaquant grec Anastasios Donis, dernière re-crue du mercato, sera sûrement forfait puisqu'il souffre d’une entorse de la cheville, contractée lors de sa première séance collec-tive. Finalement, il devrait y avoir peu de mo-difications dans le onze de départ de David Guion. On ne change pas une équipe qui gagne.
Simon Ksiazenicki
4 Nantes - Reims, dimanche 15 septembre, à 15 h, au stade de La Beaujoire et sur beIN Sports.
Un champion olympique attendu au centre équestre de Reims Le cavalier de saut d’obstacles Pierre Durand, numéro un français de 1986 à 1990, champion d’Europe en 1987 et champion olym-pique à Séoul en 1988, animera un stage les 28 et 29 septembre au Centre équestre de Reims. Quelques places sont encore dis-ponibles. La participation à ce stage équestre est réservée aux ca-valiers possédant, a minima, le niveau Galop 7 et capables de sauter 1,05 m. La carrière de Pierre Durand a inspiré le film « Jap-peloup » de Christian Duguay, porté à l’écran par Guillaume Canet. Cavaliers, ou non, pourront le rencontrer le samedi 28 septembre de 17 h 30 à 18 h 30. Renseignements et inscriptions au Centre équestre de Reims, 16 avenue du 29 août 1944 à Tin-queux, et par téléphone au 03 26 83 93 08 ou par mail à [email protected].
Basket-ball : le RBF en amical à Witry-les-Reims Après deux victoires aux dépens de Sainte-Savine (93-48) et Namur (69-64), le Reims Basket Féminin poursuit sa préparation avec deux rencontres au programme ce week-end. L'équipe en-traînée par Julien Pincemin a d'abord rendez-vous ce vendredi 13 septembre dans le Nord, sur le parquet de Saint-Amand (LFB), puis le lendemain à Witry-les-Reims, à 18 h, à l'occasion de la venue de Calais (LFB).
EN BREF
Football L1 (5e j.) : Nantes (7e) - Reims (6e)
Reprendre les bonnes habitudes
Basket-ball - Préparation
Dernier test face à l'Elan Chalon
A lors que l'équipe de France a réussi le tour de force d'éliminer les Etats-Unis (89-79), mer-credi, au stade des quarts de finale de la Coupe
du monde, la République Tchèque de Blake Schilb a été éliminée par l'Australie (70-82). Une déception pour le joueur du CCRB et sa sélection, qui a fait le bonheur des Bleus, qui en plus de se qualifier pour le dernier carré, ont donc validé leur billet pour les Jeux olympiques de Tokyo en 2020. Loin du tumulte de la compétition mon-diale qui se tient en Chine, ses coéquipiers du Cham-pagne Châlons-Reims Basket achèvent de leur côté leur préparation. Entamée mi-août, celle-ci se conclut ce sa-medi 14 septembre par un dernier match amical sur le parquet de l'Elan Chalon, avant le coup d'envoi officiel de la saison de Jeep Elite, prévu le vendredi 20 septem-bre, face à Pau-Orthez dans la salle de Châlons-en-Champagne. Lors de cette ultime répétition, Cédric Heitz et ses joueurs tenteront de conclure sur une bonne note une campagne estivale bien débutée, avec trois suc-cès pour commencer, mais qui s'est ensuite un peu com-pliquée. En effet, lors des quatre tests suivants, Châlons-Reims n'a obtenu qu'une seule victoire face à
Gries (91-76), perdant dans le même temps ses matches au Portel (81-64), face à Paris Basket (75-78) et à Nancy (79-74).
J.D
Cafaro de retour à l'entraînement
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Touché à la cuisse, Tristan Dingomé est incertain face à Nantes. © l'Hebdo du Vendredi
Jean‐Baptiste Maille et ses partenaires jouent un dernier match amical, samedi, à Chalon‐sur‐Saône. © l'Hebdo du Vendredi
3 147 spectateurs pour la balade des Lyonnaises Le premier match disputé au XXIe siècle par la section féminine du Stade de Reims au stade De-laune a réservé un beau spectacle aux 3 147 spec-tateurs présents en tribunes. Les sextuples championnes d’Europe lyonnaises ont infligé un sévère 8-3 à des Rémoises qui font le dur appren-tissage de la D1 mais qui ont néanmoins eu le mé-rite de réagir aux deux buts encaissés lors des deux premières minutes. Avant la rencontre, l’entraî-neuse Amandine Miquel nous avait confié : « Je préfère perdre 8-2 que prendre 4-0 sans avoir rien tenté. » Contrat rempli. Ce samedi 14 septembre, le Stade de Reims se déplace à Marseille, lui aussi promu et qui vient de remporter son premier match face à Guingamp.
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Ce week-end À venirLOISIRS DU VENDREDI 13 AU DIMANCHE 29 SEPTEMBRE FÊTE FORAINE - ÉPERNAY
La fête foraine revient à Épernay avec près de 90 métiers au cœur du centre-ville. De 15 h à minuit, sur l’esplanade Charles-de-Gaulle, Épernay. DIMANCHE 15 SEPTEMBRE BROCANTE - ÉPERNAY Le comité de quartier les Roses blanches organise, sur les espaces verts situés en face du parking de la Ferme de l’hôpital, une brocante ouverte à tous. De 6 h 30 à 17 h 30, devant la Ferme de l’hôpital, 35 bis, rue Louise Auban-Moët, Épernay. Infos : 06 22 77 31 48. BALADE EN FORÊT - GERMAINE Le Parc de la Montagne de Reims organise une balade en forêt ponctuée d’observations naturalistes et d’explications variées. Prévoir une tenue adaptée. De 14 h à 16 h 30, au départ du Cerf à 3 pattes, 1, rue de Cour-tagnon, Germaine. Gratuit. Infos : parc-montagnedereims.fr. RUGBY : ÉPERNAY - COMPIÈGNE Le Rugby Épernay Champagne reçoit l’équipe de Compiègne l’occasion de la 1re journée du championnat de Fédérale 3. À 15 h, au stade Paul-Chandon, allée de Cumières à Épernay. Payant.
THÉ DANSANT - ÉPERNAY L’association Danse-Passion 51 organise un thé dansant avec l’orchestre de Benoît Przybyla. À 15 h, au Palais des fêtes d’Épernay. Tarif : 13 €. Infos : 03 26 64 01 81, 06 75 75 88 65 et [email protected]. SPECTACLES DU VENDREDI 13 AU DIMANCHE 15 SEPTEMBRE REGALIA Le nouveau spectacle son et lumière de la cathédrale Notre-Dame de Reims, conçu par Moment Factory. A travers une scénarisation en plusieurs actes, le public est invité à revivre l’émotion et la ferveur de la journée du Sacre d’un roi. Tous les jours à 21 h 15 et 22 h - Gratuit Façade de la cathédrale, Reims EXPOSITION JUSQU’AU SAMEDI 12 OCTOBRE « PORTRAITS DE L’ÉTRANGER » - ÉPERNAY À travers de l’iconographie et des documents d’archives (photographies, dessins, cartes postales, documents d’identité..), cette exposition retrace l’histoire de femmes et d’hommes venus du monde entier pour fuir le conflit, travailler ou combattre en France entre 1914 et 1918. Du mardi au samedi, à la médiathèque Simone-Veil 1, rue du Professeur Langevin, Épernay. JUSQU’AU MERCREDI 30 OCTOBRE « LES 100 ANS DE L’HÔTEL DE VILLE » ÉPERNAY Sur les grilles de l’hôtel de ville situées avenue de Champagne, cette exposition raconte l’histoire de ce bâtiment où siègent les élus municipaux à travers une dizaine de panneaux. Tous les jours, sur les grilles de l’hôtel de ville, 7, avenue de Champagne, Épernay.
SPECTACLES MARDI 17 SEPTEMBRE PRÉSENTATION DE LA SAISON LE SALMANAZAR Le Salmanazar organise sa soirée de présentation de la saison 2019-2020. L’occasion de découvrir les spectacles et concerts qui ponctueront la programmation du Salma-nazar et de profiter, le temps d’une soirée, de la présence de quelques-uns de ces artistes. À 19 h, au théâtre Gabrielle-Dorziat. Entrée libre. Infos : lesalmanazar.fr. DIMANCHE 22 SEPTEMBRE PRÉSENTATION DE LA SAISON ENFANT MJC D’AŸ Spectacle pour enfant « La Forêt en bois » (11 h), suivi de la présentation des spectacles, d’un apéritif et d’un repas (12 h), d’un atelier créatif (14 h) et d’une balade contée à Bouzy (16 h). À 11 h, à la MJC d’Aÿ. Entrée libre. Infos : mjc-ay.com. conférences DIMANCHE 22 SEPTEMBRE « LA RÉVOLTE DES COSSIERS CHAMPENOIS » ÉPERNAY Une conférence proposée par Thierry Delmotte pour (re)découvrir la révolte des vignerons champenois en 1911. Une lutte qui s’est traduite par l’occupation militaire des vignobles par 60 000 soldats. À 15 h, à la médiathèque Simone-Veil, 1, rue du Professeur Lan-gevin, Épernay. Entrée libre. Infos : mediatheque.epernay.fr. SAMEDI 28 SEPTEMBRE « HISTOIRE ET BIENFAITS DU CHANT AVEC LA PERSONNE ÂGÉE » - DORMANS L’Ehpad de Dormans organise une conférence-débat sur « Histoire et bienfaits du chant avec la personne âgée et dans le cadre de la maladie d’Alzheimer et troubles appa-rentés », avec la professeure de chant Olivia Begyn. La
conférence sera suivie d’un atelier chant. À 10 h, à l’Ehpad de Dormans, 29, rue des Moussiaux. Infos : 03 26 51 01 48 et ch-epernay.fr. LOISIRS SAMEDI 21 SEPTEMBRE OPÉRATION DE NETTOYAGE - ÉPERNAY Le comité de quartier La Villa organise un ramassage des mégots sur les trottoirs et au bord des routes, dans le cadre du World CleanUp Day. Rendez-vous à 10 h, sur le parking du foyer Vaxelaire, impasse Hémart, Épernay. Infos : facebook.com/cqlavilla.epernay. VENDREDI 27 SEPTEMBRE LES APÉROS DE LA HALLE - ÉPERNAY Un rendez-vous gourmand qui propose d’associer un brasseur et un producteur de champagne à un commer-çant de bouche du marché. Dégustations payantes. De 18 h à 20 h, à la halle Saint-Thibault d’Épernay. Infos : 03 26 53 54 68. SAMEDI 28 SEPTEMBRE FORUM DES ASSOCIATIONS - ÉPERNAY À l’occasion de la cinquième édition du forum des associations, plus de 50 associations présenteront leurs activités aux participants. Des démonstrations rythmeront la journée. De 10 h à 18 h, au Palais des fêtes d’Épernay, parc Roger-Menu. Infos : epernay.fr. DIMANCHE 29 SEPTEMBRE EXPOSITION DE CHAMPIGNONS DORMANS Exposition de champignons, plantes et baies toxiques réalisée en collaboration avec la MJC de Dormans, l a Société mycologique de Reims (SMR) et celle de Château-Thierry (SMCTO). De 10 h à 18 h, à la salle des fêtes de Dormans, 28, avenue de Paris. Infos : 06 79 03 82 46 et mjc-dormans.fr.
Le Salmanazar présentera au public sa saison, ce mardi 17 septembre. Pour cette cuvée 2018-2019, la diversité franchira à nouveau les portes du théâtre Gabrielle-Dorziat avec des spectacles, des concerts, du cirque... Et de nombreuses nouveautés.
Des têtes d'affiche Comme chaque année, Le Salmanazar a pro-grammé quelques têtes d’affiche qui promettent de remplir la grande salle du théâtre Gabrielle-Dor-ziat. C’est d’abord Sophia Aram qui reviendra à Épernay, trois ans après son dernier passage. Dans « À nos amours » (21 novembre), son quatrième seule-en-scène, l’humoriste reviendra sur l’affaire Weinstein avec le regard drôle et acide qui a fait son succès. L’autre grand nom de cette saison se nomme Jacques Gamblin qui présentera « Je parle à un homme qui ne tient pas en place » (6 décem-bre). Nommé aux Molières 2018 dans la catégorie « seul(e) en scène », ce spectacle raconte l’histoire d’amitié entre le comédien, qui se mue en conteur et en danseur, et son ami Thomas Coville, naviga-teur qui fait le tour du monde à la voile. Une véri-table performance théâtrale. Enfin, Victoria Thierrée-Chaplin, troisième fille de Charlot, fera son retour à Épernay à travers « Bells and spells » (12 mars), un spectacle poétique en apesanteur qu’elle a mis en scène pour sa fille, Aurélia.
Des nouveautés Une page se tourne du côté des résidences artis-tiques puisque Fabien Joubert et sa O’Brother Company ont achevé leur col-laboration avec le Salmanazar. Deux nouveaux metteurs en scène seront donc accueillis pour trois ans : Chloé Brugnon et Léo Cohen-Paperman, déjà montés sur les planches du théâtre sparnacien, dans le passé. Ils présenteront chacun un spectacle et participeront aux lunches théâtre et aux ateliers prévus tout au long de la saison. Côté musique, le flûtiste Joce Mienniel démarrera sa deuxième année de rési-
dence. Il animera le tout nouveau festival Au fil des mondes (du 28 au 31 janvier), quatre jours de rencontres culturelles et musicales exotiques. Joce
Mienniel et ses musiciens joueront « Un jour de blues à Bamako », un concert de blues métissé. Deux autres créations du flûtiste seront également au
programme (3 mars et 4 juin), sans oublier des lunches musique. De l'éclectisme D’autres concerts résonneront dans le théâtre Ga-brielle-Dorziat avec notamment le premier clari-
nettiste solo de l’Orchestre de Paris, Philippe Ber-rod (17 octobre), mais aussi Patrice Fontanarosa (13 février), maître soliste du violon ou encore le pianiste champenois Jean-Philippe Collard (26 mars), également directeur artistique des Flâ-neries musicales de Reims. Côté théâtre, les ama-teurs de vaudeville seront comblés avec une soirée « Trois pièces en un acte » consacrée à Anton Tchekov (10 décembre), mais aussi du Georges Feydeau avec « Dormez je le veux ! » et « Mais n’te promène donc pas toute nue ! », jouées la même soirée (17 mars). La tragédie shakespea-rienne ne sera pas oubliée avec « Jules César » (11 février), tandis que « Ni les chiens qui boitent, ni les femmes qui pleurent » (4 février) permettra de revivre le destin hors norme de l’artiste fémi-niste Frida Kahlo. Le détail de ces spectacles et de bien d'autres sera à retrouver, durant toute la saison, dans l’Hebdo du vendredi.
Simon Ksiazenicki
Spectacles
Lumière sur la saison du Salmanazar
Le théâtre Gabrielle‐Dorziat accueillera une trentaine d'événements divers et variés cette saison. © l'Hebdo du Vendredi
La saison commence dès mardi L’association Le Salmanazar organise sa soirée de présentation de la saison à venir ce mardi 17 septembre, à 19 h, au théâtre Gabrielle-Dorziat. L’occasion d’en appren-dre plus sur la programmation, de rencon-trer des artistes et se renseigner sur les abonnements, qui seront ouverts le lende-main. Soirée gratuite, réservation conseil-lée. Infos : 03 26 51 15 99 et [email protected].
Sophia Aram et Jacques Gamblin
Cinéma
LE PALACE
33, boulevard de la Motte - Épernay - 03 26 51 82 42 Du 13 au 17 septembre 2019
C'EST QUOI CETTE MAMIE ?! ven 14:15, 18:15 dim 10:45, 14:30 lun 18:15, 20:30 mar 20:30 ÇA, CHAPITRE 2 ven 14:00 , 17:15 , 20:30 sam 14:00 , 17:30 , 20:45 dim 10:30 , 17:00 , 20:00 lun 14:00 , 17:15 , 20:30 mar 14:00 , 17:15 , 20:30 COMME DES BÊTES 2 sam 14:15 , 17:45 dim 14:30 , 17:15 DEUX MOI ven 18:15, 20:45 sam 14:15, 17:30, 20:00, 22:15 dim 10:45, 14:30, 17:15, 20:15 lun 14:00, 18:15 mar 14:00, 18:15 FÊTE DE FAMILLE ven 14:15, 20:30 sam 20:15, 22:15 dim 10:30, 20:15 lun 14:15, 20:30 mar 14:15, 18:15 FOURMI ven 18:15 sam 17:45 dim 17:15 lun 14:15 mar 18:15 INSÉPARABLES ven 14:15, 18:30 sam 20:30, 22:30 dim 10:45, 17:00 lun 18:30, 20:45 mar 14:15, 18:30, 20:45 LA VIE SCOLAIRE ven 14:00, 18:15 sam 17:45 dim 20:00 lun 14:00, 20:30 mar 14:00, 18:15 LE ROI LION ven 20:45 sam 14:00 dim 14:15 MUSIC OF MY LIFE ven 18:30 (VO), 20:45 sam 14:00 , 17:30 (VO), 20:00 , 22:15 dim 10:30 , 14:15 , 17:00 , 20:15 (VO) lun 14:00 , 18:30 (VO), 20:45 mar 14:00 , 18:30 , 20:45 (VO) ONCE UPON A TIME... IN HOLLYWOOD ven 14:00 (VO), 20:30 sam 14:00 , 20:45 dim 14:15 , 20:00 (VO) lun 17:15 mar 20:30 (VO) THALASSO ven 14:15 sam 14:15, 20:30 dim 10:30, 17:15 lun 14:15 mar 20:30 UNE FILLE FACILE ven 20:30 sam 17:45, 22:30 dim 14:30, 20:15 lun 18:30 mar 14:15
Sorties >> www.lhebdoduvendredi.comDu 13 au 19 septembre 2019
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Le festival Itinéraires revient pour une 21e édition qui fera la part belle à la culture des années 20, à travers douze rendez-vous programmés dans des petites villes et villages de la Marne. Ce samedi, direction Sept-Saulx pour un bal jazz.
A près quatre années passées à s’inté-resser au Centenaire de la Grande Guerre, le festival Itinéraires, im-
pulsé par le département de la Marne, sera consacré aux Années folles. Les douze dates de ce rendez-vous, programmé du 14 sep-tembre au 20 octobre, investiront des petites villes et des villages du département pour of-frir des formes de spectacles diverses tels des concerts, du théâtre, de la littérature ou en-core du cinéma. L’objectif du festival est de mettre en avant la diversité du patrimoine marnais en proposant des rendez-vous éclec-tiques pour tous les publics. Pour l’ouverture d’Itinéraires, direction le parc de loisirs Gri-nyland de Sept-Saulx, entre Reims et Châ-lons, où le groupe marnais Jazzus Cotton Band ressuscitera les bals des années 20. Avec une clarinette, un saxophone, une trom-pette, une guitare, une contrebasse et une batterie, ces amateurs de l’âge d’or du jazz reproduiront les standards des grands com-positeurs et interprètes de l'époque tels Benny Goodman, Cole Porter, Luis Prima, Django Reinhardt, Cab Calloway, Duke El-lington ou encore Count Basie. Les amateurs apprécieront. Et pour que l’immersion dans les « Roaring Twenties » (« années 20 rugis-santes ») soit encore plus complète, des ini-tiations au charleston et au foxtrot, ces danses ultra-dynamiques nées aux États-Unis après la Première Guerre mondiale, seront proposées par le professeur rémois Daniel
Bourdon. Le lendemain, à 17 h, la pianiste Fanny Azzuro et le récitant François Castang livreront un spectacle original en l’église Saint-Laurent de Givry-en-Argonne. Les deux artistes emmèneront le public sur les traces des compositeurs de la première moi-tié du XXe siècle (Poulenc, Satie, Ravel, Gershwin...), entre musique et lecture, pour un spectacle poétique au sein d'un bel édifice restauré en 2001. Deux ambiances résolu-ment différentes !
S.K
4 Festival Itinéraires, du samedi 14 septembre au dimanche 20 octobre. Tarif : 7 € par spectacle (gratuit pour les moins de 16 ans). Infos : 03 26 69 40 89, marne.fr et facebook.com/FestivalItinerairesMarne.
Festival
Les Années folles s'emparent de la Marne
Le premier rendez‐vous du festival Itinéraires aura lieu avec Jazzus Cotton Band, à Sept‐Saulx. © DR
Le programme du festival l Jazzus Cotton Band (bal jazz) : samedi 14 septembre, 20 h, Grinyland, Sept-Saulx. l Le Pari des années 20 (lecture-concert) : dimanche 15 septembre, 17 h, église Saint-Laurent, Givry-en-Argonne. l Joséphine Baker, Paris mon amour (music-hall) : samedi 21 septembre, 20 h, Orangerie du château, Montmirail. l Musidora (ciné-concert) : dimanche 22 septembre, 17 h, La Spirale, Fismes. l Tribute to Hot club (jazz manouche) : samedi 28 septembre, 20 h, Cabaret Eq’art, Mœurs-Verdey. l Trio Talweg (musique classique) : dimanche 29 septembre, 17 h, église Notre-Dame, Sermaize-les-Bains. l Kiki de Montparnasse (spectacle musical) : samedi 5 octobre, 20 h, espace culturel, Mailly-Champagne. l L’Apparition des lucioles (spectaclefamilial) : dimanche 6 octobre, 17 h, péniche Night and day, Courcy ; samedi 12 octobre, 11 h et 16 h, péniche Night and day, Sillery. l La Tête de l’enfant (conte) : dimanche13 octobre, 14 h, 15 h et 17 h, église Notre-Dame, Pontfaverger. l #AnnéesFolles (spectacle musical) : samedi 19 octobre, 20 h, salle Wogner, Vertus. l Les Chœurs des années folles (chœur et orchestre de l’Opéra de Reims) : salle Napoléon III, Mourmelon-le-Grand.
SAMEDI 14 SEPTEMBRE
CHÂLONS-EN-CH. - BOURSE AUX LIVRES 9h-12h - Salle du CCTT, cité Tirlet, rue de la Charriere TINQUEUX - VIDE-MAISON 9h-19h - 21, rue Anatole France
DIMANCHE 15 SEPTEMBRE
ANGLURE - VIDE-GRENIERS A partir de 6h - Centre du village COURCY - VIDE-POUSSETTES 9h-15h30 - Salle des fêtes, rue de la République COURGIVAUX - VIDE-GRENIERS A partir de 7h - Rue du Capitaine Vaillant COURTISOLS - VIDE-GRENIERS A partir de 7h - Rue des Fossés EPERNAY - VIDE-GRENIERS A partir de 6h - Ferme de l'Hôpital, Rue Louise Auban Moët
REIMS (CROIX-ROUGE) - VIDE-GRENIERS A partir de 8h - Parking en face de la maison de quar-tier Billard, rue Pierre Taittinger REIMS (SAINT-REMI) - VIDE-GRENIERS A partir de 6h30 - Esplanade Fléchambault REIMS (CENTRE) - VIDE-GRENIERS A partir de 8h - Coursives Chabaud, du 40 au 46, rue Chabaud TAISSY - VIDE-MAISON 9h-18h - 4, allée du Parc TINQUEUX - VIDE-MAISON 9h-19h - 21, rue Anatole France SARRY - VIDE-GRENIERS A partir de 6h - Centre du village SERMAIZE-LES-BAINS - VIDE-GRENIERS A partir de 6h - Autour de la salle des fêtes VAL-DE-VESLES - VIDE-GRENIERS A partir de 7h - Place René Viellard
Chiner
BÉLIER du 21.03 au 20.04 La semaine sera pour vous propice à la méditation et aux bonnes résolutions. Il vous faudra faire le point avec vous-même pour vous libérer des in-fluences néfastes. TAUREAU du 21.04 au 20.05 Vous serez porté(e) par de nouveaux courants, avec aussi des remous qui commenceront à se faire sentir dans votre quotidien. Il conviendra de veiller à ne pas faire trop de vagues. GÉMEAUX du 21.05 au 21.06 Votre forme reviendra, mais vous allez devoir changer certaines habitudes alimentaires ou autres mauvaises habitudes de vie pour obtenir de bons résultats. CANCER du 22.06 au 22.07 Abordez la semaine sous un angle nouveau, en rythmant programme et journée. Sans oublier de marquer des pauses pour vous permettre de mieux vous régénérer. LION du 23.07 au 22.08 Un imprévu d’ordre personnel viendra égayer votre semaine en ne vous laissant pas une minute à vous. Côté cœur, vous conjuguerez le verbe aimer à tous les temps. VIERGE du 23.08 au 22.09 Vous avez le devoir de penser un peu plus à vous. Libérez vos cinq sens et faites de votre bien-être une exigence. Vous réaliserez combien cela peut être une source de bonheur.
BALANCE du 23.09 au 22.10 Vous pourrez élargir votre cercle relationnel, ce qui vous permettra de suivre de nouveaux créneaux. Il conviendra tout de même de ne pas dépasser les limites imposées. SCORPION du 23.10 au 22.11 Petite baisse de régime. Plus chaton que lion, vous aurez envie de ronronner cette semaine. Sur le plan personnel, cela se traduira par un besoin de repli sur soi. SAGITTAIRE du 23.11 au 22. 12 Le Soleil soutiendra vos actions avec des surprises qui vous propulseront en haut de l’affiche. Vous ferez ce que vous aimez, vous aimerez ce que vous ferez. La star, ce sera vous. CAPRICORNE du 23.12 au 20.01 Des opportunités vous permettront de développer un potentiel insoupçonné. C’est une semaine plu-tôt fructueuse qui est devant vous, parfois là où vous ne vous y attendrez pas ! VERSEAU du 21.01 au 19.02
Vous hésitez sans doute sur l'orientation à privilé-gier pour vous sentir en harmonie avec vos at-tentes profondes ! Vous continuerez de développer vos liens à un niveau plus profond.
POISSON du 20.02 au 20.03
Aujourd’hui, gardez bien les pieds sur terre ; sa-chez combiner rigueur et inspiration et, au lieu de poursuivre des chimères, suivez vos aspirations vé-ritables.
Benoît Melvhille
Vendredi
16° 23°
Samedi
16° 25°
Dimanche
12° 25°
Vendredi Samedi Dimanche
Lundi
13° 25°
Bonne Bonne Bonne
Démarchage téléphonique sur produits financiers : attention !
Alors que le consommateur n’est engagé par l’offre d’un démarcheur téléphonique qu’après l’avoir reçue et signée par écrit ou par voie électronique, cette réglemen-tation ne s’applique pas aux démarchages téléphoniques des produits financiers (as-surance, mutuelle, banque). Prononcer un simple oui au cours de la conversation peut vous engager comme une signature. Il convient donc d’être particulièrement vigilant et prudent lorsque vous recevez de tels appels, soit en déclinant clairement l’offre, soit en demandant l’envoi d’une version papier de l’offre.
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