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fi(NEZ UN BATEAU POUR PAIITIR UN AN fauxplafonds.lci, pas de vâi- grage en mousse mais un faux plafond encontreplaqué parti- cipant â€tivenent à unebonne isolation thermique. Et puis, même si le rouf estréâlisé en stratifié,le RM est d'abord un bâteâu en bois. C€luiutiliséici estun conFeplaqué rainuréde 4 nm d'épâisseur. Il estdécou- pé à la scie sâuteuse dans de dairesdelacoque),o déjàreçu leur peinture avant le pontâge, ilsont encore besoin de quelques âttentrons pour presenter une finition impec.able. D'unepart on reFend touslesdéîauts de peinture qui peuvent êtrevi sibles (enduits puis retouches de peinture).D'âutre pârlonâjou- te tousles hêbillages d'âcajou qui vont donner sa touche cha- l,es pièces en frene eten contre, plaqué arrivent déjà découpées et prêtes à poser au chântier, nais lesbaguettes et moùluies Eta\e no 10 f,esfinit'ions intérieure r Voici uenu le lemps des f nitions sous lepont Une étape à ne pas prendre à la légère :c'est d'elle quedependent non seulernent l'atpect final maLs aorssi le confort du bateau. Boiseries, peintu.re, sellerie... et notre RfuI ne ua pas tarder à rejoindre I'eau ! T€xt€ | Marine Chombart rle huwe. Photos: YreçRonzieret Init Marleline. câstillâge posé que grands panneâux qui ont préa- lablement reçu, âprès ladépose d'un apprêt âu pistolel, deux couches de (bise> teintée de chez Boéro, peinture âu fort pouvoir couvrant. Sa surface lé- gèrement sâtinée(peau de pêche) recouwe d'ailleurs I'en- semble des emménâgenents in, tâieus. Découpés selon des barits précis, les plafonds sont ensuite vissés afin de pouvoir êtle démontés. Fixé surdes tas- seâlrY,Ie fâux plafond se trouve ainsi àenvhon 2 cm soùs lepont de nanière à faireisolânt. Ce vide est bien prâtique âussi pour faire courir descâblages éle€- triquesou masquer les éqous de l'accastillage.Il sùffitd'un toumevis poury accéder. Hahillagle chic en aaatou læ.svis eles-Inêmes,desmodèles pour tôle eninox et à têtefrai- sée, sont masquées parull petit câbochon enplastique. Siles meubles misenplace lors dela construction (ils sont soli- _ LES P|ÀNCHERS DE AA Z _ Iracel découper eI Yemrt Les planchers font poaie des demiètes piè<es initollêes dons le boreau) pour ne ps êIre rsvés le temps dês ficvdux. Lew déioupe demoàde une atten ion lourè porlïcvlière afrn qu'il n'y oît aucun iev entre les dlfléren s Aéûents. bs plonchers sonl en slreo,ûf,oo7, un eP de 14 mm rc<ouverl d'un plocoge formica- Ce de;rnier est toinuiê sur la parlie visible. Un catlre ptocoge l9lmi<r' plus grossier, èst p,rêsen| sur t'dulrè fdce , on dit qv'il loît contrê-bdtdncement, êvitanl ou ploncher de se voiler. Dèt gobc.ih Aérclpés un peu .qrts tont plæés doû le boiæu. A l'ciàê d'unê àle qæ l'ù pose sv e detni*s, on hs rc{n'É'srùe p Écir'Éærr et on dêrriæ Ia lorme Êndlè dc chd(ltnê de. piè<e.. t04

e no 10 intérieures r - rm-asso.org

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fi(NEZ UN BATEAU POUR PAIITIR UN AN

faux plafonds.lci, pas de vâi-grage en mousse mais un fauxplafond en contreplaqué parti-cipant â€tivenent à une bonneisolation thermique. Et puis,même si le rouf est réâlisé enstratifié,le RM est d'abord unbâteâu en bois. C€lui utilisé iciest un conFeplaqué rainuré de4 nm d'épâisseur. Il est décou-pé à la scie sâuteuse dans de

dairesdelacoque),o déjàreçuleur peinture avant le pontâge,ils ont encore besoin de quelquesâttentrons pour presenter unefinition impec.able. D'une parton reFend tous les déîauts depeinture qui peuvent être visibles (enduits puis retouches depeinture).D'âutre pârl on âjou-te tous les hêbillages d'âcajouqui vont donner sa touche cha-

l,es pièces en frene et en contre,plaqué arrivent déjà découpéeset prêtes à poser au chântier,nais les baguettes et moùluies

Eta\e no 10

f,es finit'ionsintérieures r

Voici uenu le lemps des f nitions sous le pontUne étape à ne pas prendre à la légère :c'est d'elle que dependent non

seulernent l'atpect final maLs aorssi le confort du bateau. Boiseries,peintu.re, sellerie... et notre RfuI ne ua pas tarder à rejoindre I'eau !

T€xt€ | Marine Chombart rle huwe. Photos : Yreç Ronzier et Init Marleline.

câstillâge posé que

grands panneâux qui ont préa-lablement reçu, âprès la déposed'un apprêt âu pistolel, deuxcouches de (bise> teintée dechez Boéro, peinture âu fortpouvoir couvrant. Sa surface lé-gèrement sâtinée (peau depêche) recouwe d'ailleurs I'en-semble des emménâgenents in,tâieus. Découpés selon des gâbarits précis, les plafonds sontensuite vissés afin de pouvoirêtle démontés. Fixé sur des tas-seâlrY,Ie fâux plafond se trouveainsi à envhon 2 cm soùs le pontde nanière à faire isolânt. Ce

vide est bien prâtique âussi pourfaire courir des câblages éle€-triques ou masquer les éqousde l'accastillage.Il sùffit d'untoumevis pour y accéder.

Hahillagle chicen aaatou

læ.svis eles-Inêmes,desmodèlespour tôle en inox et à tête frai-sée, sont masquées par ull petitcâbochon en plastique.Si les meubles mis en place lorsde la construction (ils sont soli-

_ LES P|ÀNCHERS DE AA Z _

Iracel découpereI Yemrt

Les planchers font poaie desdemiètes piè<es initollêes donsle boreau) pour ne ps êIre rsvésle temps dês ficvdux. Lew déioupedemoàde une atten ion lourèporlïcvlière afrn qu'il n'y oît aucuniev entre les dlfléren s Aéûents.bs plonchers sonl en slreo,ûf,oo7,un eP de 14 mm rc<ouverl d'unplocoge formica- Ce de;rnier esttoinuiê sur la parlie visible. Uncatlre ptocoge l9lmi<r' plus grossier,èst p,rêsen| sur t'dulrè fdce ,on dit qv'il loît contrê-bdtdncement,êvitanl ou ploncher de se voiler.

Dèt gobc.ih Aérclpés un peu .qrts tont plæés doû le boiæu.A l'ciàê d'unê àle qæ l'ù pose sv e detni*s, on hs rc{n'É'srùep Écir'Éærr et on dêrriæ Ia lorme Êndlè dc chd(ltnê de. piè<e..

t04

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b _Y , {

..-\è

Les dnslès d'hdbi ose de Io toblêà .ortes toni réalisa ddrc da blds

nô.quent ioiûeni

Les bos@|i.es en o.oio! qsiÉouwnt les .hdnts du <ôntftpldquè@nr .oliêès è la frn ée ld .orctru.don.

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On reporre ensvite,à I'àieè dè ld ûê6è.cle et det mdrquespriset tur lè gcborjr,

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P|on.heÉ une bdddeiointite en .@t'rhôu.

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stru.r!re dù bdredùer le phn her llorcquèI'ù tarche d6rus).Un d*dpêur thêmiq!ê

Page 3: e no 10 intérieures r - rm-asso.org

Ltt ilNrTr0Nt...d'acajou sont prépârécs surplace. L€ur rôle n'est pâs seulc'mcnt esthétique puisque sou-vcn1. I'âcajou vient recouwir lechânt du co.treplaqué pour leproléger. Et s'ils'agit parfois(seulemcnl> de fixer des bâ-guertes de bois sirnplencnt découpées à leurjuste longucur,certains meubles réclâment untravail particulier à cause deleurs angles arrondis.

Le lamellê pottrIes anondis

Ainsi. pour habiller d'acâjou lâtable à cades,les angles sont1âillés dans des billes d€ boismâssit Les encêdrements desportes ou l'ârrondi qu; marqueI'accès au lit breton sont eux réa-lisés en lamellé collé. Cctte dernière technique permel d'obienirun bois jolimen.lrâvâillé enforme, mais elle demande enmnlrcpârtie beaucoup de temp6de mâin d'(Èùvre pour être réa,lisécPour cr fâire.phisieuls finesIattes d'acajou sonl encollées enforme dans un gabârit en âggloméré qui va mouler la pièce

-l à la forme désirée. Pourlimiter le tempsde tra-

te supporr dè ln .obh Au ffiê fsrmè un .ait.on qvid I'ovonrsse, è.trre s ttabiliré, dè æ tfrrct rM en ba. !

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Les motspour le dire...tMllé colu : Ècrj.nigse 9û,p€met d'obteîi. d6 plèr€s deboB couôes (b.re, bamb depont) m sùperloMt plsiemépdl*m <le bois que I on mh'tidr *nées mft eles ddsun 8âltarit pdddt le colâ8e.PrC ; l€ chloruÉ de pobahyle,mtièe pl"sdqùe impurlsiblq *ÉtrcùYe à bord dr6 les vrtgllesoù les ti$ùs d moblmût.Réswen e: dpriûêe dioùles/or, h ré.iùrce mctériæ

vail, les mises en torrne sont re-groupées Ainsi, au licu de tra-vâiller sur des bandes à lâ lârgeur de Ia piè€e final€, on enprépâre qùâtre d'un coup ll n'yâura plus ensùite qu'à découperdans le sens de lâ longueùr pourobtenir les quatre pièces ideniiqùes Sur lesfines feuilles d'âcâjou de l5/10 de millinèÎre, onétâle de la colle époxy chargécavec une spatule crantée, enayant pris soin de placer un plas-tique de prolcclion dans lemoule de manièrc à ce que lacolle ne s'étale pas parloul- llfâu1 compter une dizâine decouches superposées pour arri-verau résultâl fi nal.Une foislesépaisscun de bois et de collecumulées,on Incl cn place unmaximum de serre-joints (tousIes 5 à I cm), de manière à ce qrcl'enscmble ne gondole pas Inprcssion est maintenue pendântenviron 24 heureq le temps duséchâge définitit Lâ pièce obte-nue est ensuile rabotée pour éli-miner les surplùs de colle, pùis

elle est vemic âvânt d'être miseen place dâns le bâteâu-La finition ne conceme pâs qucles fêux plafonds ou I'hâbillâgedes meubles,C'estégalementlernonent d'installer les pièces dequincâillcrie (lringles dans lespenderies), ou dc mettre enplace la cuisine. k plân de bâvail de cet.e demière est réâliséen corian,une sorte de résine co-lorée qui est usinée après collâ-ge des târgues.

b table vienten denier

Leplan de la cuisine anive toutprêt au chantier.ll n'y â plus qu'àIe coller sur la partie haute desmeubless âvec ùne colle poly-uréthane redoulâble d'effi cacité. Enfin, les équipets dc lâ cùisine, fermés pâr unc poriecoulissante en plexigtâs, reçoi-vent leurs slissières en acajousoigneusement alignées avantd'ê1re elles aussi collées à la po-

lluréÎhâne. Poùr naintenir lespièces en place lc tcmp6 du col-lage, on utilise des gâbârits enbois appelés ( piges,, relâtivement souples et rentrés en forcequi plâquent I'acajousur la stluc-ture.f étâg&cintemédiairere-pose sur des tâsscâux fixés àchaque enrémi.é. Enfin,lâ 1âblecentrale est montée en demierde manière à faciliter la circulâlion à bord jusqu'à la fin de Iâconstruclion. Elle est à la foisposée sur lcs va.angues et fixéeà l'éponlillc. La table se €om-pose en fâit d'un supporl central.en forme de câisson (qui tâiloffice de bar),et d'un plateau enconlreplêqué habillé de frên€.Une fois la table posée,il ne resùeplus qu'à ncttre en place lescoussins : c'es1 id que le conTortse marie le mieux à I'eslhétiqùe.Soumis à un lraitement de chocet subissana une forte humidité,lâ fâbrietion des coussins etIna-lelâs doit faire appel à des ma-Îériâux âdéquats Nous sonmesallés suivre leurnaissance dans

lê ploreau .qtreI Ae Id tdhlè 4t ttê{'ouÉ N). rÆirs'en cstrer pècisè,|'@t su.I'éeon îne-

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PORTES EI TABLE

Baguettes et vernis,es por|€s des meubtes sont en ffêne er reçoîy]ent @ enco,dre.nenten ocojou. Cel'€ tou.he prdrique èl esthêricue demande un assezlono trovoil de frnition. te oltàteou de to,oble du carrê recoitte ,;ême tr.,i|€,ment, mais Zons les chornières en étain <hiomê !

te. bdg@ties sont bilelté* à Idn .hinê oour c$srer un .hn Ae <o|oæparlah qlond eles se reiéisnqt,

dê l é'po,xy

ta tuhtê de lo boaue'|e ù a.aiouqui se <de sur Ie plâreu en hê;eretoir des poinrt de.oIè polylréthûe---

yæsûbldgê ar nonuel et det e.eiointv'Eûqr ercuitè sérudtq le .o dge

lE t,€mit àe Ênition Aoérc fZ 8625 6r.pplhuê cu pisroler. Awnr Aè repasst unèdeuxièhe.ou.he, lc turfs.e est de n wupon éÆ lègèftmenr do pdpier dê gmin 32O,h premiêft ..ehe ,aisûr lever les pæsds bok. lE rour æ faîr q à peineuæ ios.næ, le vernis sérh.n tnè5 vite.

lcs rlclicrs dc Marinc Scllcric,qui tourn i l nombrcdcchant icrsrochelais. donl Fora Marinc.Un coussln c'csl d abord de lânrousse I El lo'sque l on parledu confor l de cct te denr ière,dcux parrnrù1rcs vmt à trcndrcen complc : lépâisscur du màtériau bien sûr,Inâis aussi lc lypcde mousse utilisé. Pour lcscous-sios inté.ieurs on ulilisc dc lâmousse PU (potyuférhane) ouHR (haulc résilience). Pouf lePtJ.on praconiscra des densilésde l8 à40 kCm'.Avcc ùnedensilé de 24 kgi nr' on a unc nDusse d enlrée dcganmc.cellc qucl on ùlilise four les dossiers et Iescoùchrgcs d cnlanls, sa laibledensilé ne convenant pas pourun couchâ8c rdullc. On prétérerâ âlors du 34 kCm',quioltrcdavantâgc de tcmrcla. Lr mousse HR.pluschère,cst dc mcillcure qualité. Elle a surrour 1 âvantagede ne passe déformcravcctc te'n$. Ilans l'ensemble. cesmoùssesn a imentpasl eau,c 'estpour cc la qù i l est toujours

cet en odltfiût de portereotirê en ldnetlê

est tubôrê pôvr êliûihèrl4 .oulures de .ô e.

Le rrcitemût des .hantsdes boiseies temohne bietde Id cudhté éês È;iriût,

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LIi FINITION' INTTRIIURISùùn i l l ! i l ! rL r r \ . .h . r lù \ . r r1 t1 , , \ù r l ' i \ . , 1 , . \ . f r i s \ùùrsL l tn r , r L . | , \ \ r , i . . r ( 1 . r r i l l ( n r :| ( i r r u f t r i l . I r \ r ) f c o r l l l i l ùl 1 r ( f r \ u r ù . ù f i L i u ' s . l l l l i l\ r !Lu I ' t t , ( ju r i . \ . .u \ \ n \ t \[ ] r ! ! r ! r . f ù ù L ù L r l i \ f r r . .. r r r $ ! r I r l ,u t r . \ . rhL . i f . l l ù1 . !tn t r f I L r \ r lLL i ! ( r r r r r l | r \ l f i rù .O ù l . i r i l r . l ! . r o i \ J ù n .. r .us t r . t l l ' L t \ i ! r f r r rù \ . r r f rr . f t 1 { n r . i f \ ! !L t l . f rn ! r it l f \ f r l i r f rùù f \ t r \ r rL r r f (L f

PAs A PAs

9iège de table à corles ou de borre,Ies étrrpes de lo lobrtcarion de <ecoussin nous monhent les teahnidues ermatériaux employê en sellerie màrine,

C'est à Ddrtir dês cotes dire.tehentrelèvés sû le Lôteou aue I'on trd.epuis que l'on dé.ôupe les scborirs.

{

E

I{Tilt

I

réolisês en Mylol perûefienrdire<tèûent sur Id môu.sè

-.lLr:-'

i m pu tre s. ible le xîérieu.).2 et 3- lnoussè HR de 37er 40 ks/m' (.ou.hose). 4 et5- M.usse PU de 24 ks/m"(.oussins, .ou.hdse).6-Mousse à .equte Iermées

l l hL t f r i t r lù . . lL ! r ( ! i lù l r. i , i ! r . . \ 1 . . . r ! 1 i l s r ù i l ' r fl f j r ù L r j r t . \ 1 \ { \ L r ) 1 r , , l . L \ ù sL r l ) ( r r , l . \ l J r f u r . ( o . r f r t\ t r1 l . \ i ! . !1 . r1 r l . lù ru r t r \1 ( j i rL . . r \ i r r l !L r r fe l r ' r$ .o i lr r r r r ' t , l t r n t r i i . ù i , L n L r , [ ]f r . , , r r l ! I J \ ( . | ù ' r L s s r L . if \ r ! . f r r ù ! r r l r r i l a \ t L r L r i i\ i r t , i I r ! rù ic l l t i .L rLU , .1 l . rr l t , \ (L ! h l r i !$ .1 . . r . r t r .L r \ f .L f r . rL r t t , t r l ' i J t , l . r i [ ù .û . : ).n \ t r t r . f1 i r i l r i ù r ) no l l rs : . : .t n i i n . L f ù i t r n r l L r , . , a ù l o i r

| . r r r 1 1 r . d . t r r l r . r r N t l ) ( i û ri \ ! r r h . u $ t . l r l ' L \ l , i . , f i . l !. ù ' r f f ! ! ! r r f lù ' r . rL . I i \

\ù i r Ûr I r , r r r ' . r r r . f . I r . .r f t l . . L , i l r r r $ r l ù f r( rr kk l :.l ltu ir Stlhr.i lttri.

Let blo<. dè ûousse se dê<oupent trèssimplèment à l'dide d'une perirc s.ie

Lo .outurièrc reporte sù Iè tissu li.i un PVC.ôtelè) le d6sin du gdbdrit. r .ompisles in.i.iôns gui norquenr l4 plis du rissu.

La dê<oope dès tissus s'effe.tvemonuellement, en .oivônt Ie dessi;dve. une bonne pairc de <isèoux.

Don. I,e .ôs d'un sièse de barrc lbatèdùà moteùr)ôu de roble à .ortes/ Iè.ou.tinesr solidaire (.o é) d'une ossise ên cP.

Le solon qui viendû habi er les ansletest dè.oupè ddns une so.te àe don+isseprc.he de I'ol.dnrdro.

1 0 8

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Uh ion souplè en pldstique4r glitsé dons Ie galoncvonr que .elui.i toil.ousu durou àe I'dssitê-

I t

Puis on @ud cu niveou du solq les R pldtes-bandÉ >dùi v.nt lorûq lê rov du .ôùssln. On voit Ieù lc.eintêrie!re eenddnt ld .ôùt!re,

On <ommen e por <oudrc Ie solod, ud.entiûètrc à I'iûrerieur dù bôrd du rissusùôérieûr de I'assise.

Pour èvirer quê la mousse ne glisse à I'interieur de n hossse,.efiè denière est êliè à I'dssise en CP aar dèut bondesde nôn-rissê ôgrdtèès sû le bois,

Le tru. du pô : un filû û polydne 4t glissê turlc mous3è pôu. to.il;tet la mkè èn pla.e de h houtse.

Côu..id têtôùræ, Ie dèbùd des olores-bûdet 3t ûboftù 5û leCP. Le dqdpeur thûmîqæ pemet de limiw les suèpaiswq,

on dgtule lès pldrês"bondes svrlè îônd en CP en .ûmèn cntpdr 14 .oift poù hien rendæ.

Une fois l'entetble des dsruIes poséès,Ie turylut de ,is3u èst soignêuseûanl

On masa@ Ie CP dve. du nonaisté.Une bonde dè .ô.he'dgrcfe èsr miseù plo.è lùs dù dqnier asrchse.

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