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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE DEPARTEMENT : GENIE CHIMIQUE Mémoire de fin d’études pour l’obtention du diplôme d’Ingénieur en Génie Chimique Présenté par RAZAFINDRAINIBE Haritiana - PROMOTION 2002 - ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES DES LABORATOIRES DE CHIMIE D’IVONTOVORONA DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES

ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Page 1: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE

DEPARTEMENT : GENIE CHIMIQUE

Mémoire de fin d’études

pour l’obtention du diplôme d’Ingénieur en Génie Chimique

Présenté par

RAZAFINDRAINIBE Haritiana

- PROMOTION 2002 -

ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION

DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES

DES LABORATOIRES DE CHIMIE

D’IVONTOVORONA

DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES

Page 2: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE

DEPARTEMENT : GENIE CHIMIQUE

Mémoire de fin d’études

pour l’obtention du diplôme d’Ingénieur en Génie Chimique

Présenté par

RAZAFINDRAINIBE Haritiana Membres de Jury :

Président : Monsieur RANDRIANOELINA Benjamin

Rapporteur : Monsieur RAHARIJAONA Tovo Robin

Examinateurs : Monsieur ANDRIANARY Philippe

Monsieur RAKOTOARIVONIZAKA Ignace

Monsieur RANDRIANA Richard

Date de soutenance : 19 Juin 2003

- PROMOTION 2002-

ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION

DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES

DES LABORATOIRES DE CHIMIE

D’IVONTOVORONA

DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES

Page 3: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

« Recommande ton sort à l’Eternel, mets en lui ta confiance, et il agira ».

Psaume 375

Page 4: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

REMERCIEMENTS

L’élaboration de ce mémoire n’aurait été possible sans l’aide précieuse de nombreuses

personnes. Je veux remercier et approuver ici tous ceux qui ont pris la peine de conseiller,

d’investir et de soutenir, en particulier :

- Monsieur RANDRIANOIELINA Benjamin, Directeur en exercice de l’Ecole

Supérieure Polytechnique d’Antananarivo ;

- Monsieur ANDRIANARY Philippe, Chef de Département Génie Chimique à l’ESPA

qui n’a cessé d’apporter sa contribution pour assurer une formation de qualité ;

- Monsieur RAHARIJAONA Tovo Robin, Enseignant Chercheur à la filière Génie

Chimique, qui n’a pas ménagé son temps pour me conseiller malgré ses nombreuses

occupations ;

- Monsieur RAKOTOARIVONIZAKA Ignace, Enseignant Chercheur au Département

Génie Chimique, qui a sacrifié son temps et a pris la peine de m’aider durant la

réalisation de cet ouvrage ;

- Monsieur RANDRIANA Richard, Enseignant Chercheur au Département Génie

Chimique, qui a la bonne volonté d’apporter son jugement à ce mémoire ;

- Monsieur RAZAFINDRAKOTO Joseph Roseluc, Ingénieur en Informatique

Industrielle, qui m’ a aidé dans le cadre de la conception et de l’élaboration de cet

ouvrage.

Je veux accorder une mention particulière à ma mère qui m’a encouragé à suivre mes

études, merci pour l’ éducation ainsi que pour le soutien moral.

Je ne veux pas oublier de remercier tous ceux qui m’ont aidé directement ou

indirectement lors de la réalisation de ce mémoire.

Enfin, je souhaite que la prospérité et la grâce de Dieu soient toujours avec vous.

R. Tiana

Page 5: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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II NNTTRROODDUUCCTTII OONN GGEENNEERRAALL EE

L’Ecole Supérieure Polytechnique d’Antananarivo sise à Vontovorona dispose

des laboratoires de chimie. Dans quelques-uns uns de ses départements : départements de

Génie Chimique, département de Sciences des matériaux, département des mines,

département de Géologie.

Pour ces différents départements, la question suivante se pose : existe-t-il une

méthode de traitement informatique des gestions des données sur les produits chimiques

des différents laboratoires de chimie ? On sait que la gestion de ces produits est très

difficile sans une gestion informatisée.

Pour répondre à cette question, on a proposé le thème de mémoire de fin d’études

suivant : « Elaboration de système de Gestion des Données de produits chimiques des

laboratoires de chimie de Vontovorona » .

Pour ce faire, nos objectifs pourraient être multiples, mais en occurrence on peut

les singulariser par notre volonté intrinsèque de guider les utilisateurs et les responsables

de produits chimiques au sein de ce laboratoire.

Quant à la méthodologie, nous avons procédé à la gestion de base de données de

type relationnel sous Access version 2000.

Ce thème se justifie par le fait que la plupart de ces produits semblent faire l’objet

essentiel du manque à gagner sur l’utilisation des outils informatiques au niveau des

laboratoires à l’échelle universitaire et para-universitaire.

Ainsi, afin d’avoir une certaine compréhension sur ce sujet, nous avons procédé à

bras les corps sur les points ci après :

- la première partie est consacrée à la notion de base de données relationnelles

sous Access

- la deuxième partie est destinée à l’élaboration du logiciel Stock lab GC

- la troisième partie est vouée à l’application du logiciel élaboré

1

Page 6: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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PREMIERE PARTIE :

NOTION DE BASE SUR LE SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES

RELATIONNELLES

Page 7: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Avant d’élaborer le logiciel nécessaire à un traitement informatique de gestion de données

sur les produits chimiques, il nous faut avoir quelques notions de base sur les Bases de

données relationnelles.

II .. DDEEFFII NNII TTII OONN EETT OOBBJJEECCTTII FFSS DDEE LL AA BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS [[ 1100,, 1166 ]]

La base de données est un ensemble structuré et cohérent d’informations

mémorisées sur un support informatique et tenus à jour pour les besoins d’un ensemble

d’utilisateurs.

Les objectifs des bases de données sont de :

• centraliser l’information

• assurer l’indépendance donnée-traitement

• permettre des liaisons entre ensemble de données

II II .. LL EE CCOONNTTEENNUU DDEE LL AA BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS [[ 77,, 88 ]]

La base de données contienne les informations nécessaires au fonctionnement de

l’entreprise ou d’un service telle que la gestion comptable, la gestion commerciale, la

gestion de production, la gestion de stocks, la gestion clientèle…

Une base de données comprend six éléments appelés « objets » :

1- les tables pour le stockage des informations ou données ;

2- les formulaires et sous formulaires pour la saisie des données et qui sont créés à

partir des tables existantes ou utilisant certains champs.

3- les requêtes pour les calculs ou classement des données, les mises à jour, le

contrôle ou la suppression des données.

4/5- les modules ou macros utilisés par les requêtes ou les états à sortir : Fonctions

et procédures de calculs intermédiaires et assimilés... , recherches automatiques de données

et assimilés.

6- les états qui sont les résultats finaux à sortir à l’imprimante, à envoyer par

l’internet.

2

Page 8: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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II II II .. DDEEFFII NNII TTII OONN DD’’ UUNN SSYYSSTTEEMM EE DDEE GGEESSTTII OONN DDEE BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS

((SSGGBBDD)) EETT SSGGBBDDRR [[ 44,, 55 ]]

Un SGBD est un ensemble de logiciels qui fournit un environnement pour décrire,

mémoriser, manipuler et traiter des collections de données, assurer la sécurité, la

confidentialité et l’intégrité des données collectés.

Si ce Système de gestion de base de données est basé sur le modèle relationnel

CODD, il est appelé Système de gestion de base de données Relationnelles.

II VV.. SSTTRRUUCCTTUURREE DDEE SSYYSSTTEEMM EE DDEE GGEESSTTII OONN DDEE BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS [[ 44,, 55 ]]

Cette structure possède trois niveaux à savoir :

• le niveau interne représenté par la base de données physique, le système

d’exploitation de l’ordinateur.

• le niveau conceptuel représenté par le SGBD (le logiciel qui assure le bon

fonctionnement de la base de données).

• le niveau externe représenté par des programmes d’application et les

utilisateurs de la base de données.

Ces différents niveaux sont représentés dans la figure 1. Mais l’architecture est

exposée en annexe I.

Figure 1 : Les trois niveaux d’un SGBD

Groupe utilisateur 1

Groupe utilisateur 2

Groupe utilisateur n

Schéma externe 1

Schéma externe 2

Schéma externe n

Schéma conceptuel

Schéma physique

B.D physiques

Processus de modélisation

Monde

Niveau externe Niveau conceptuel Niveau interne

3

Page 9: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Cette structure est valable pour n’importe quel système de base de données

relationnelles ou non

Pour le SGBDR dont son élaboration est l’objet de notre tâche, il est important

d’avoir les notions suivantes :

• organisation des données

• nomenclature

• le démarche d’élaboration d’un SGBDR

IV.1. Organisation des données [ 8 ]

Les données sont organisées sous forme de tableaux à double entrer. Ces tableaux

sont appelés TABLES

Chaque table représente un ensemble ou une relation (au sens mathématique). La

table n’est autre que l’entité en MCD ou Modèle Conceptuel des Données.

Signalons que la performance de la base de données repose sur la structuration des

tables selon un modèle de données.

Exemple : Base de données « produits chimiques de laboratoire de chimie »

RefPROD DesPROD ForPROD CarPROD CondPROD QualPROD

RefPROD: Référence du produit

DesPROD : Désignation du produit

ForPROD : Formule chimique du produit

CarPROD : Caractères physico-chimiques du produit

CondPROD : Conditionnement du produit

QualPROD : Qualité du produit

IV.2. Nomenclature [ 9 ]

Champ ou attribut :

Chaque colonne dans la table est un champ, encore appelé un champ caractérisé

par un nom.

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Page 10: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Enregistrement ou n-uplet.

Chaque ligne dans la table constitue un enregistrement ou un n-uplet

Domaine :

C’est l’ensemble des valeurs que peut prendre un champ d’une table.

Clé primaire ou identifiant :

Une clé primaire est un ensemble minimum d’attributs qui permet de distinguer

chaque enregistrement de la table par rapport à tous les autres.

Clé étrangère :

Cette clé fait référence à la clé primaire d’une autre table. C’est un attribut non clé

primaire dans une table Tm et qui est clé primaire dans une autre table Tn .

Exemple : TABLE PRODUIT

RefPROD DesPROD ForPROD DensPROD CondPROD QualPROD MarqPROD

P 21 Chlorure de Césium CsCl 3,988 Flacon plastique Pour analyse PROLABO

P 22 Diphénylamine C12H11N 1,160 Flacon verre Pour analyse RIEDEL de HAЁN

RefPROD peut servir de clé primaire pour cette table car elle permet d’identifier

chaque enregistrement de la table ; aucun produit n’a la même référence.

Entité et occurrence :

Chaque entité est décrite par des champs. Chaque occurrence de l’entité est

définie par les valeurs de ces différents champs.

Exemple : l’entité PRODUITS a 7 champs

Le produit (P21, chlorure de Césium ; CsCl ; 3,988 ; flacon plastique, pour

analyse, PROLABO) est une occurrence de l’entité PRODUIT.

Association ou relation :

Une association met en relation deux entités. Une association n’existe que par les

entités qu’elle met en correspondance.

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Page 11: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Cardinalité d’une association :

Pour une entité A en relation avec une entité B, il s’agit du nombre d’occurrences

d’association que possède une occurrence de l’entité A avec l’entité B (voir annexe II :

modèle entité – association – cardinalités d’une association)

IV.3. Démarche de conception d’un SGBDR.

Figure 2 : Démarche de conception d’un SGBDR

VV.. UUTTII LL II SSAATTEEUURR EETT AADDMM II NNII SSTTRRAATTEEUURR DDUU SSGGBBDD [[ 33,, 1100 ]]

L’utilisateur :

C’est la personne accédant à la base de données à l’aide d’un programme

d’application qui est rédigé dans un langage acceptant les séquences d’instructions

permettant l’accès de la base de données, ou à l’aide d’un terminal en utilisant un langage

spécifique : Langage de Manipulation de Données LMD.

L’administrateur :

C’est le responsable de la base de données. Précisément, il est responsable de sa

création et de sa maintenance.

Il dispose d’on ensemble d’outils logiciels qui permettent de l’assister dans sa tâche.

Son rôle est de concevoir le schéma de la base de données et de décider les

techniques d’accès et des techniques variées d’implantation physique, et enfin d’établir la

liaison SGBD utilisateur.

Elaboration du Modèle Entité - Association

Passage au Modèle Relationnel

Implémentation sur le SGBDR cible

Niveau conceptuel

Niveau Logique

Niveau Physique

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Page 12: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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VVII .. CCOONNCCLL UUSSII OONN ::

Nous avons présenté très sommairement les quelques notions essentielles jugées

utiles pour une meilleure compréhension de ce que l’on appelle SGBDR qui est l’objet de

notre travail ultérieur. Ce travail sera concentré sur l’élaboration d’un logiciel d’application

pour la gestion des données de produits chimiques des laboratoire de chimie.

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Page 13: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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DEUXIEME PARTIE :

ELABORATION DU LOGICIEL D’APPLICATION SOUS PROGRAMMATION

ACCESS VERSION 2000

Page 14: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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II .. II NNTTEERREETT DDEE LL ’’ UUTTII LL II SSAATTII OONN DDEE PPRROOGGRRAAMM MM AATTII OONN AACCCCEESSSS 22000000 ::

Plusieurs outils de gestion de données d’une base informatisée peuvent être

utilisées tels que Visual Basic, Delphi, …. Mais plusieurs raisons nous poussent à choisir

le Microsoft ACCESS, parmi lesquelles il y a sa puissance et sa facilité d’utilisation ; on

n’a pas besoin de connaître son langage de programmation pour la construction d’une

application puissante. La présence du compagnon office peut guider l’utilisateur à tout

moment.

La version 2000 est plus performante et beaucoup plus améliorée par rapport aux

versions antérieures. Dans cette version, certaines fonctionnalités semblent absentes pour

gagner de l’espace disque et Access ne propose leur installation que lorsque nécessaire.

Microsoft Access 2000 apporte une flexibilité et un contrôle sur la conception des

champs (type de données, masque de saisie, tests de validités…)

Il offre aux concepteurs de bases de données des atouts considérables pour que la

saisie des données et l’affichage des objets soient attirants. Les assistants qui créent les

bases de données, des formulaires, et des états, en proposent des mises en forme agréables,

mais pour mieux faire, Access 2000 présente de nombreuses options de formatage, de mise

en page et de styles. On améliore l’aspect des formulaires et états par des choix judicieux

de polices, bordures, traits et couleurs, ainsi que par l’ajout d’effets spéciaux qui donnent à

certains objets un aspect 3D ou en relief.

II II .. LL EE RREECCUUEEII LL DDEESS DDOONNNNEEEESS [[ 77,, 1144 ]]

Après une phase de réflexion et d’analyse nous avons dressé le dictionnaire des

données correspondant aux informations relevées sur les documents de gestion ou lors de

l’analyse des postes de travail au moyen des interviews auprès des services de laboratoires

de chimie et des sociétés fournisseurs de produits chimiques.

Le dictionnaire des données renferme tous les codes champs utilisés, la légende

correspondante, son type (texte, numérique, monétaire) et la description (annexe III).

II II II .. PPLL AANNII FFII CCAATTII OONN DDEESS TTAABBLL EESS [[ 1144 ]]

Les tables constituent des éléments fondamentaux d’une base de données. La

planification consiste à dresser le nombre et le type de tables que contiendra la base de

données.

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Page 15: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Pour cette étude, nous avons créé 9 tables dont chacune ne contient que les

champs se rapportant à un sujet spécifique.

III.1. Spécifier les types de données et les propriétés de champs

En Access, on peut faire de choix entre 9 types de données (Annexe IV), formats

de champs pour définir le type de données acceptées par le champ. La sélection du type de

données constitue un test sur les données entrées pour qu’elles soient toujours correctes.

Apres avoir choisi un type de données, on définit les propriétés du champ. Ces

propriétés définissent l’aspect du champ, ainsi que son comportement par exemple le

nombre de décimales du champ. Une propriété, qui oblige l’utilisateur à entrer des données

dans le champ avant de le quitter, contrôler le comportement de ce champ. En mode de

création de table, Access nous offre la feuille de propriété pour une liste de propriété de

champ.

Le tableau de l’Annexe V expose les propriétés du champ texte.

III.2. Spécifier la clé primaire

En planifiant une table, on doit aussi identifier la clé primaire. Il s’agit d’un ou

plusieurs champs dont les valeurs identifient de manière unique chaque enregistrement de

la table.

La clé primaire simplifie le triage et la localisation des données à afficher. Par

convention, le champ désignant la clé primaire doit être gras dans la table.

II VV.. DDEEMM AARRRRAAGGEE DDEE LL ’’ AACCCCEESSSS [[ 1133,, 1144 ]]

Après avoir démarré l’ordinateur, des icônes apparaissent sur l’écran. Pour

démarrer Access 00, on a recours à deux méthodes :

Soit en déroulant le Menu Démarrer en bas de l’écran, puis sélectionner

Programmes et MICROSOFT ACCESS dans le Menu proposé

Soit en faisant un clic droit sur l’icône du bureau désignant le Microsoft

Access 00.

Lorsqu’on choisit de démarrer Access depuis le Menu Démarrer ou bureau, on

doit créer une nouvelle base de données ou ouvrir une autre déjà existante, on fait donc le

choix.

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Page 16: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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IV.1.Démarrage de ACCESS depuis le bureau :

Pour ouvrir une nouvelle base de données, on effectue un clic droit sur le bureau,

pointer sur Nouveau et cliquer sur base de données Microsoft Access . Pour ouvrir une

base de données existante, double cliquage doit être fait dans Explorateur Windows .

IV.2. Démarrage de Access depuis le menu Démarrer

• Cliquer sur le bouton « Démarrer » de la base des taches :

• Pointer sur « Programmes »

• Cliquer sur « Microsoft Access »

Mais pour ouvrir une nouvelle base de données

• Cliquer sur « Démarrer » ;

• Cliquer sur « Nouveau document office » ;

• Cliquer sur l’ongle « Général » ;

• Cliquer sur l’icône Nouvelle base de données ;

• Cliquer sur « OK » ;

• Saisisser le nom de nouvelle base de données ;

• Cliquer sur « Créer ».

VV.. CCRREEAATTII OONN DDEE LL AA BBAASSEE DDOONNNNEEEESS [[ 1122,, 1133,, 1144 ]]

Pour créer une nouvelle base de données, nous avons suivi les étapes suivantes :

• Sélectionner l’option « Nouvelle base de données » de l’écran d’ouverture de

Microsoft Access 00 (figure 3) ;

• Cliquer sur « OK »;

• Une boite de dialogue s’affiche. Dans la zone Nom de fichier, taper le nom

désigné pour la nouvelle base de données ( figure 4) ;

• Cliquer sur « Créer » et la nouvelle base de données est affichée dans une

fenêtre (figure 5).

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Page 17: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Figure 3 : Ecran d'ouverture de Ms Access 2000

Figure 4 : Boite de dialogue pour nommer la nouvelle base de données

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Page 18: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Figure 5 : Ecran d'ouverture d'une nouvelle base de données

V.1. Présentation de la fenêtre nouvelle base de données

Sur l’en tête de la fenêtre à gauche, la barre de titre affiche le nom de la base de

données ouvertes.

Sur la deuxième ligne se trouve la base des menus. Elle contient les menus qui

représentent les groupes de commandes liées.

En dessous, à gauche la barre d’outils base de données contient des boutons sur

lesquelles on clique pour exécuter les commandes.

A la base de l’écran, la barre d’état affiche des informations concernant les

éléments sur lesquelles on clique ou les actions exécutées.

V.2. Affichage la fenêtre base de données

Pour ouvrir la fenêtre Base de données, il faut cliquer sur le menu fichier, puis sur

le nom de la base de données.

Sur la deuxième ligne après la barre de titre s’affiche la barre d’outils de la fenêtre

base de données. La barre d’outils contient les boutons des commandes pour créer, ouvrir

et gérer les objets.

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Page 19: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

71

Après, vient la barre objets montrant la liste des types d’objets de la base de

données, à savoir : Tables, Requêtes, Formulaire, Etats, Pages, Macros et Modules. La

description de ces types d’objets est trouvée en annexe VI.

Un peu plus bas, la barre des groupes permet de grouper les objets de la façon

voulue, en créant des raccourcis aux objets de différents types.

V.3. Les tables

Les tables stockent des informations sur un sujet précis. Par exemple, la liste des

fournisseurs, leur adresse, leur téléphone, leur code postal. L’ensemble de toutes les

informations sur ces fournisseurs peut constituer une table. Les données de la table sont

organisées en colonnes appelées CHAMP et en ligne définie ENREGISTREMENTS.

On peut créer une table suivant plusieurs méthodes :

• En mode création ;

• En mode feuille de données ;

• Avec un assistant table ;

• En apportant des données d’une autre table ou des données d’un autre

programme.

La différence entre ces quatre méthodes est exposée en annexe VII mais pour la

réalisation de notre tache, nous avons choisi la création de table en mode création.

V.3.1. Création d’une table en mode création

Pour créer une table en mode création, il faut définir les champs de la table avant

d’y faire entrer les données, sans l’aide de l’assistant.

On suit les procédés suivants pour créer une nouvelle table :

V.3.1.1. Ouvrir une table

Dans la fenêtre base de données, cliquer sur tables dans la barre d’objets puis

double cliquage doit être effectué sur l’icône créer une table en mode création.

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Page 20: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Saisir des données :

• Dans la colonne Nom du champ, saisissez un nom du champ pour la première

colonne à créer ;

• Presser TAB, cliquer sur la flèche Type de données, puis sur le type voulu

pour le champ ;

• Presser TAB et taper la description du champ ;

• Presser ENTREE pour aller à la ligne ;

• On répète 3 à 6 fois ces étapes pour ajouter de nouveaux champs selon les

besoins.

• Fermer la fenêtre table ;

• Cliquer sur « OUI » pour enregistrer la table, la nommer et cliquer sur « OK »

Si aucune clé primaire n’est définie, une boite de dialogue permet de le faire.

V.3.1.2. Définir la clé primaire

La clé primaire identifie chaque enregistrement. Elle permet d’établir des relations

entre les tables.

Pour définir une clé primaire, cliquer sur le secteur de ligne du champ qu’on veut

utiliser comme clé primaire, puis cliquer sur le bouton clé primaire de la barre d’outils

création table. La figure 6 montre une table ouverte munie d’une clé primaire.

Figure 6 : Une table munie d'une clé primaire

14

Page 21: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

73

V.3.2. Création des relations entre les tables

On a besoin de créer les relations entre les données des tables distinctes pour des

formulaires ou des états.

V.3.2.1. Spécification des champs communs

La relation est définie grâce à un champ existant entre les tables à relier. Il est

donc nécessaire de s’assurer que les deux tables avaient de champs communs avant de

créer la relation entre elles. Le champ commun peut être soit la clé primaire des deux

tables à relier, soit la clé primaire de la première table et clé secondaire de la deuxième.

V.3.2.2. Etablir les relations entre les tables

Une fois qu’on a spécifié le champ commun, on doit définir la nature de la

relation à créer. Il y a trois types de relation : un à un, un à plusieurs, et plusieurs à

plusieurs.

a) Relation un à un :

Chaque enregistrement d’une table est associé à un seul enregistrement d’une

seconde table et inversement.

b) Relation un à plusieurs :

Chaque enregistrement d’ une table est associé à un ou plusieurs enregistrements

d’ une seconde table, mais chaque enregistrement de celle-ci n’est associé qu’à un seul

enregistrement de la première.

c) Relation plusieurs à plusieurs :

Chaque enregistrement d’une table est associé à plusieurs enregistrements de la

seconde, et inversement.

V.3.2.3. Définir des relations de tables

Pour définir des relations de tables, on suit les procédés suivants :

1- Dans la fenêtre base de données, cliquer sur le bouton Relations de la barre

d’outils base de données, une boite de dialogue s’affiche (figure 7), 3 onglets apparaissent :

Table, Requêtes, les deux ; A droite, les deux options Ajouter et Fermer ; au centre de la

fenêtre se trouve la liste des tables et/ou de Requêtes à relier.

15

Page 22: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

74

2- Cliquer sur l’onglet Tables ;

3- Cliquer sur la table voulue ;

4- Cliquer sur « Ajouter ». La table / ou Requêtes sélectionnées apparaît dans la

fenêtre Relations ;

5- Répéter les étapes 3 et 4 pour chaque table à utiliser dans une relation, fermer

la boite de dialogue. Une fenêtre montrant les tables à relier apparaît (figure 8).

6- Cliquer sur le champ commun de la première table et faire le glisser jusqu’au

champ commun de l’autre table. Une nouvelle fenêtre s’affiche (figure 9). Cette nouvelle

fenêtre renferme deux colonnes représentant le nom du champ commun des deux tables à

relier ainsi que le nom de la table correspondante. A droite, s’affichent les quatre options :

OK, Annuler, Type jointure, Nouvelle relation… pour l’opération à appliquer à la relation.

En bas, la ligne Type de relation indique le type de relation possible à créer :

Appliquer l’ intégrité référentielle. Mettre à jour en cascade les champs correspondants,

Effacer en cascade les enregistrements correspondants.

7- Cliquer sur le bouton « Type jointure » pour spécifier son type.

8- Sélectionner la case « Appliquer l’intégrité référentielle ».

9- Cliquer sur « Créer » et on définit la relation entre deux tables (figure 10).

Figure 7 : Sélection des tables à relier

16

Page 23: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Figure 8 : Fenêtre montrant deux tables à relier

Figure 9 : Fenêtre de création de relations entre les tables

17

Page 24: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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Figure 10 : La relation créée entre deux tables

V.4. Les requêtes

Les requêtes permettent de répondre à des questions en faisant la sélection des

enregistrements, le triage et le regroupement des données de plusieurs tables.

V.4.1. Les différents types de requêtes

On a quatre types de requêtes :

• la requête sélection ;

• la requête Analyse croisée ;

• la requête Action ;

• la requête Paramètre.

V.4.1.1. La requête sélection

La requête sélection est la plus utilisée. Elle récupère et affiche des

enregistrements dans la fenêtre Table en Mode feuille de données.

V.4.1.2. La requête Analyse croisée

La requête Analyse croisée affiche des valeurs récapitulatives (sommes,

moyennes) d’un champ d’une table sous forme de colonne.

18

Page 25: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

77

Exemple pour faire sortir la quantité restante à propos d’un produit effectuer la

quantité livrée et la quantité utilisée comme en-tête de colonnes, le nom du produit comme

en-tête de ligne

Requête Quantité livrée Quantité utilisée Reste

Nom du produit

V.4.1.3. La requête Action

La requête Action réalise des opérations sur des enregistrements répondant à des

critères voulus.

On peut réaliser 4 types de requêtes Action réalisées sur une ou plusieurs tables :

• la requête Suppression ;

• la requête Mise à jour ;

• la requête Ajout ;

• la requête création de table.

a) La requête Suppression :

Elle permet de Supprimer les enregistrements correspondants.

b) La requête Mise à jour :

On utilise pour effectuer des changements afin de faire correspondre des

enregistrements.

c) La requête Ajout :

La requête Ajout ajoute de nouveaux enregistrements à la fin d’une table.

d) La requête création de table :

La requête création de table permet de générer de nouvelles tables pour les

enregistrements correspondants.

V.4.1.4. La requête Paramètres

La requête Paramètre permet d’afficher un message demandant une information

sur un critère de sélection.

Par exemple, au lieu de requête distinct pour trouver des informations sur le

danger d’un produit donné, une requête Paramètre demandera le nom du produit avant

l’exécution de la requête.

19

Page 26: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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V.4.2. Création d’une requête

On distingue deux types de création requêtes :

� en mode création ;

� par assistant.

V.4.2.1. Création d’une requête en mode création

Pour créer une requête en mode création, on suit les procédés suivants :

1- Dans la fenêtre base de données, cliquer sur requêtes dans la barre d’objets.

2- Cliquer sur Nouveau, Mode création, puis sur OK.

3- Sélectionner la table ou requête à utiliser.

4- Cliquer sur Ajouter.

5- Répéter les étapes 3 et 4 pour ajouter d’autres tables ou requêtes et cliquer sur

fermer.

La figure 11 représente la boite de dialogue pour la sélection des tables

nécessaires à la requête.

Les tables utilisées pour la requête sont affichées en haut de la fenêtre mode de

création d’une requête (figure 12) tandis qu’en bas, on trouve la grille de création.

6- Dans la fenêtre mode de création d’une requête, double cliquage doit être fait

sur les champs de la liste à inclure dans la requête.

7- Dans la grille de création, faire entrer des critères dans ces boites.

8- Cliquer sur la flèche de la boite triage et spécifier un ordre de triage.

9- Cliquer sur le bouton enregistrer, donner un nom et cliquer sur OK.

Figure 11 : Boite de dialogue pour la sélection de table nécessaire à la requête

20

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Figure 12 : Fenêtre en mode création d’une requête

V.4.2.2. Création d’une requête par assistant

La création d’une requête par assistant est la méthode la plus pratique car

l’assistant requête guide pas à pas et on peut répondre simplement à une série de questions.

a) Créer une requête simple par assistant :

Voici les procédés à suivre pour créer une requête simple par assistant :

• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Requête » dans la barre

d’objets et double cliquage doit être fait sur « Créer une requête à l’aide de l’assistant » ;

• Sélectionner une table ou une requête ;

• Cliquer sur « Suivant ».

• La figure 13 représente la fenêtre pour la sélection des tables, ainsi que des

champs nécessaires pour la requête.

• Dans la boite de dialogue final de l’assistant, saisir le nom de la requête.

• Sélectionner ouvrir « Requête » pour afficher les informations ;

• Cliquer sur « Terminer ».

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Figure 13: Boîte de dialogue pour la sélection de tables et des champs pour la requête par assistant

b) Créer une requête analyse croisée par assistant :

La requête analyse croisée permet de synthétiser le contenu de champs à valeurs

numériques.

Pour créer une requête analyse croisée par assistant, on suit les étapes suivantes :

• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur requêtes dans la base d’objets,

sur nouveau, sur assistant requête analyse croisée et sur « OK » ;

• Sélectionner la table ou la requête contenant les enregistrements à récupérer ;

• Cliquer sur « Suivant ».

• Sélectionner les champs pour les lignes de la requête analyse croisée ;

• Cliquer sur « Suivant » ;

• Sélectionner les champs pour les colonnes de la requête analyse croisée ;

• Cliquer sur « Suivant » ;

• Cliquer sur les champs dont les valeurs doivent être calculées et affichées pour

chaque intersection de ligne et de colonne ;

• Cliquer sur la fonction voulue pour le calcul à réaliser ;

22

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• Cocher la case « Oui », inclure les sommes des lignes, pour un total à chaque

ligne ;

• Cliquer sur « suivant » ;

• Donner un nom à la requête ;

• Indiquer si on souhaite voir la requête créée ou modifier la conception ;

• Cliquer sur « Terminer ».

V.5. Les formulaires

Les formulaires affichent les données provenant des tables ou des requêtes. Ils

sont conçus pour aider à faire entrer des informations facilement et avec précision : au lieu

de faire entrer les enregistrements dans une grille de lignes et colonnes en mode feuille de

données, on utilise un formulaire analogue à un formulaire papier. Il minimise les erreurs

de saisie.

Un formulaire peut contenir un sous-formulaire, dans ce cas le formulaire est dit

principal.

V.5.1. Les différentes manières pour élaborer un formulaire

On peut élaborer des formulaires par plusieurs manières, les plus utilisés sont :

• en mode création ;

• avec assistant formulaire ;

• avec les assistants formulaires instantanés.

La figure 14 montre la boite de dialogue pour la création d’un formulaire.

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Figure 14 : Boite de dialogue pour la création d’un formulaire

V.5.2. Création d’un formulaire en mode création

On peut créer un formulaire directement en mode création, sans passer par les

assistants selon le procédé suivant :

• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Formulaires » dans la barre

d’objets, puis sur « Nouveau » ;

• Cliquer sur mode « Création », sélectionner la table ou la requête voulue et

cliquer sur « OK » ;

• Si nécessaire, cliquer sur le bouton « Liste des champs » de la barre d’outils

pour ajouter un contrôle dépendant ;

• Sélectionner le champ à ajouter ;

• Faire glisser le champ à l’endroit souhaité dans le formulaire et relâcher le

bouton de la souris ;

• Créer de nouveaux contrôles selon les besoins en cliquant sur le bouton

approprié de la boite à outils ;

• Mettre en formes les textes du formulaire ;

• Enregistrer en cliquant sur la barre d’outils et nommer le formulaire.

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Page 31: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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V.5.3. Création d’un formulaire personnalisé à l’aide d’un assistant

Avec l’assistant formulaire, on doit spécifier le type de formulaire à créer et

l’assistant sert de guide.

Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Formulaire » dans la barre d’objets,

sur « Nouveau » et double cliques sur « Assistant formulaire ».

Cliquer sur la flèche déroulante pour choisir la table ou la requête nécessaires

pour le formulaire, et cliquer sur le nom qui convient ;

• Double cliquage sur les champs à inclure dans le formulaire ;

• Cliquer sur « Suivant » ;

• La boite de dialogue représentant la sélection des tables et des champs

nécessaires au formulaire est représentée par la figure 15.

• Indiquer la disposition et la position des informations sur le formulaire,

• On peut choisir entre colonne simple, tabulaire, fenêtre de données et justifié ;

• Cliquer sur « Suivant » ;

• Spécifier le style de formulaire, pour définir sa mise en forme et son

apparence finale. On peut faire le choix entre Bleu, Expédition, Fax, Grès, Industriel,

Mélanges, Papier de riz, Pierre, Standard, Sumi. Dans notre cas, nous avons choisi le

Papier de riz.

• Cliquer sur « Suivant » ;

• Nommer le formulaire ;

• Indiquer si on veut l’ouvrir ou l’afficher en Mode création ;

• Cliquer sur « Terminer ».

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Figure 15 : Boite de dialogue pour la sélection de table et de champs pour les formulaires par assistant

V.5.3. Création d’un formulaire simple avec l’assistant formulaire

instantané

Avec les Assistants formulaires instantanés, Access crée un formulaire simple

comme colonnes, Tableau ou Feuille de données d’après la table ou la requête spécifiée

Les procédés suivants permettent de créer un formulaire simple avec l’Assistant

formulaire instantané :

• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Formulaires » dans la barre

d’objets, puis sur « Nouveau » ;

• Cliquer sur « Formulaire instantané : Colonne »

ou « Formulaire instantané : Tableau »

ou « Formulaire instantané : Feuille de données selon le besoin ».

• Cliquer sur la flèche déroulante pour choisir la table ou la requête nécessaire

pour le formulaire et sélectionner un nom de table ou de requête ;

• Cliquer sur « OK ».

Après un moment, Access crée un formulaire et l’affiche en mode formulaire

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V.5.5. Création d’un sous formulaire à l’aide de l’assistant

On doit créer un sous formulaire incorporé dans un formulaire principal au cas où

ce formulaire utiliserait le champ de plusieurs tables.

Access stocke les données appropriées dans chaque table sans que l’utilisateur

sache que plusieurs tables sont utilisées.

On utilise le sous formulaire pour afficher les données de tables ou de requêtes

ayant une relation UN à PLUSIEURS. Les données du formulaire principal proviennent de

la table représentant le coté « UN » de la relation et les données du sous formulaire

viennent de la table du coté « PLUSIEURS ».

Pour créer un sous formulaire :

• Cliquer sur « Formulaire » dans la barre d’objets dans la Fenêtre base de

données, et double cliquage sur le bouton « Créer un formulaire à l’aide de l’Assistant » ;

• Cliquer sur la flèche déroulante Tables/ Requêtes et sélectionner la table qui

apparaîtra dans le formulaire principal ;

• Sélectionner les champs de la table qui apparaîtront dans le formulaire

principal. On doit assurer l’existence de champ commun reliant une table Un à la table

Plusieurs ;

• Cliquer sur la flèche déroulant Tables / Requêtes et sélectionner la table qui

apparaîtra dans le sous formulaire ;

• Cliquer l’option « Affichage des données » pour la table un :

• Activer l’option « Formulaire avec sous formulaire » ;

• Cliquer sur « Suivant » ;

• Spécifier si le sous formulaire doit être sous forme Tabulaire ou Feuille de

données, cliquer sur suivant, cliquer sur « Suivant » ;

• Spécifier un style pour le formulaire ; cliquer sur « Suivant » ;

• Nommer le formulaire et le sous formulaire ;

• Spécifier si on veut ouvrir le formulaire ou le modifier en mode création.

• Cliquer sur « Terminer ».

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V.5.6. Modification d’un formulaire

En mode création, trois méthodes peuvent être utilisées pour modifier un

formulaire :

• à l’aide du pointeur ;

• à l’aide des grilles ;

• en utilisant la liste des propriétés.

� Modification à l’aide du pointeur :

Après avoir sélectionné la zone à modifier, par exemple le nom du champ, quatre

types de pointeurs peuvent se présenter :

• le pointeur texte ;

• le pointeur main : permet de déplacer le nom du champ ;

• le pointeur doigt : permet de déplacer le nom du champ ;

• les pointeurs flèches : permettent de modifier la dimension du nom du champ.

� Modification à l’aide des grilles

Les grilles sont utilisées pour bien aligner deux éléments, et pour avoir la même

dimension que ce soit sur le longueur, que sur la hauteur.

Pour l’utilisation :

• sélectionner les objets à modifier ;

• dérouler le menu format ;

• sélectionner, soit l’option taille, soit l’option alignement ;

• soit l’option espacement verticale ou Espacement horizontal.

� Modification en utilisant la liste des propriétés.

Cette méthode permet de faire une modification avec précision. Pour cette

modification :

• cliquer sur le menu Affichage ;

• cliquer sur l’option Propriétés et la liste des propriétés de l’objet sélectionner

apparaît, sinon ACCESS affiche la liste des propriétés du formulaire ou de la section en

cours.

28

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V.6. Les Etats

Les états sont destinés à l’édition des données sous forme de papier. Ils permettent

de regrouper des enregistrements selon certains critères. Ce sont des outils d’analyse des

tables.

V.6.1. Elaboration d’un état

Pour l’élaboration d’un état, on utilise surtout l’assistant tel qu’assistant- étiquette

pour créer rapidement des étiquettes, tandis que les calculs dans un état sont crées en mode

de création ainsi que la modification des propriétés.

V.6.1.1. Création d’un état pour étiquette

On suit les procédés suivants :

• Dans la fenêtre Base de données, cliquer sur « Etats » dans la barre d’objets,

puis sur « Nouveau » ;

• Cliquer sur « Assistant Etiquette » dans la boite de dialogue Nouvel état et

sélectionner la table ou requête à utiliser, cliquer sur « OK » ;

• Sélectionner un type d’étiquettes, et cliquer sur « Suivant » ;

• Spécifier le style de police et la couleur du texte de l’étiquette, cliquer sur

« Suivant » ;

• Cliquer double sur les noms de champs voulus dans la liste champs

disponibles. Saisir le texte à ajouter aux valeurs des champs, et cliquer sur « Suivant » ;

• Sélectionner un champ de triage, et cliquer sur « Suivant » ;

• Nommer l’état et choisir de prévisualiser ou modifier la conception des

étiquettes ;

• Cliquer sur « Terminer ».

V.6.1.2. Calculer dans un état

On peut insérer des calculs dans un état de la manière suivante :

• Créer un contrôle zone de texte en mode création et placer sur la zone où on

veut trouver le champ calculé ;

• Cliquer sur le bouton de propriétés de la barre d’outils, créer un état ;

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• Cliquer sur la boite de propriétés source contrôle spécifiant les données d’un

contrôle et cliquer sur le bouton « Générateur d’expression » ;

• Cliquer sur le bouton « Egal » ;

• Cliquer sur les boutons d’opérateur pour faire entrer les opérateurs à utiliser ;

• Cliquer sur « OK » pour insérer le calcul dans le champ ;

• Cliquer sur « Fermer ».

V.6.1.3. Modification des propriétés dans un état

On procède de la manière suivante :

• En mode création, sélectionner le control, la section, l’état concerné, et cliquer

sur le bouton Propriétés de la barre d’outils ;

• Cliquer sur l’onglet qui contient la propriété à modifier ;

• Cliquer sur la boite de la propriété à modifier ;

• Cliquer sur la boite de propriétés à modifier, puis effectuer et saisir

l’information ou l’expression à utiliser, choisir une valeur dans la liste de la boite de

propriétés, ou bien faire apparaître un générateur d’expression en faisant un clic sur les

boutons à droite de la boite de propriétés.

V.6.2. Les différentes sections dans un état

Un état est divisé en plusieurs sections telles que l’en-tête d’état, l’en-tête de page,

l’en-tête de groupe, le détail, le pied de groupe, le pied de page et le pied d’état.

V.6.2.1. L’en-tête d’état

C’est la section en haut de la première page de l’état, utilisé pour mettre le titre, le

logo de la société ou l’introduction.

V.6.2.2. L’ en-tête de page

Généralement utilisé pour insérer le numéro de page ou la date d’état.

V.6.2.3. L’ en-tête de groupe

Section utilisée avant chaque groupe d’enregistrement pour mettre des

informations par exemple le nom de l’utilisateur.

V.6.2.4. La section détail

Elle contient le corps principal de l’état.

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Page 37: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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V.6.2.5. Le pied de groupe

Section utilisée après chaque groupe d’enregistrements pour mettre des

informations par exemple le stock restant.

V.6.2.6. Le pied de page

En bas de chaque page, cette section sert de placer des explications de symboles

ou le numéro de page.

V.6.2.7. Le pied d’état

La section à la fin d’un état, on y met par exemple des informations

récapitulatives, le total d’un état.

Les sections d’ en-tête et pied existent par paires. Et pour sélectionner la section,

il suffit de cliquer sur son sélecteur, une boite à gauche du titre.

Un clic sur le sélecteur de l’angle supérieur gauche sélectionne tout l’état.

V.6.3. Imprimer un état

Pour l’impression :

• Cliquer sur « Fichier », et sur « Imprimer » ;

• sélectionner le bouton « Tout pour imprimer toutes les pages » ; mais pour

imprimer certaines pages, cliquer sur le bouton « Pages » et saisir les numéros de page

dans les zones « De » et « A ».

• cliquer sur « OK ».

V.7. Les Macros

Les macros sont constituées de commandes nécessaires pour accomplir des

opérations à automatiser. Cette automatisation de taches rend la base de données plus

efficace ou plus productive. Elles peuvent aussi s’exécuter à la suite d’une production d’un

événement.

V.7.1. Création et enregistrement d’une macro

Avant de créer une macro, on doit connaître les actions requises pour accomplir

les taches à automatiser. Puis on procède de la manière suivante :

31

Page 38: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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1- Dans la fenêtre Base de données, cliquer sur « Macros » dans la barre d’objets.

2- Cliquer sur le bouton « Nouveau ». La fenêtre de la nouvelle macro apparaît

figure 16.

3- Cliquer sur la flèche Action, puis sur une action et presser TAB et on dispose

de nombreuses actions.

4- Saisir un commentaire pour expliquer l’action.

5- Cliquer sur « Nom table » de la boite des Arguments de l’action et choisir une

valeur dans la liste déroulante.

6- Pour ajouter d’autres actions, cliquer sur le bord droit d’une nouvelle ligne

Action et répéter les étapes 2 à 5. La macro exécute les actions dans l’ordre de la liste.

7- Cliquer sur le bouton « Enregistrer » de la barre d’outils.

8- Entrer un nom pour identifier l’action de la macro.

9- Cliquer sur « OK ».

Figure 16 : Fenêtre d’une nouvelle macro

V.7.2. Exécution une macro

Pour qu’une macro réalise ses actions, il faut l’exécuter.

Pour cela, il existe deux moyens : la macro peut exécuter toutes les étapes en une

seule séquence, ou on la teste en lui demandant de s’exécuter pas à pas. La dernière est la

plus pratique, on suit les étapes suivantes :

32

Page 39: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

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1- Afficher la macro en Mode création de macro.

2- Cliquer sur le bouton « Pas à pas » de la barre d’outils.

3- Cliquer sur le bouton « Exécuter » de la barre d’outils. S’il n’apparaît pas,

cliquer sur « Outils », « Macro », sur « Exécuter une macro », cliquer sur la flèche

déroulante et cliquer double sur la macro voulue.

4- Cliquer sur « Pas à pas » pour exécuter la première action.

5- Répéter l’étape 4 jusqu’à ce que la macro se termine.

Si la macro ne peut réaliser une action, un message apparaît.

6- Cliquer sur « OK » pour fermer le message.

7- Cliquer sur « Arrêter » pour arrêter la macro.

V.7.3. Création d’une nouvelle macro pour un événement

Un événement est une action spécifique qui se produit sur un objet. Pour exécuter

une macro en réponse à un événement, il faut aller dans la feuille des propriétés.

Pour créer une nouvelle macro pour un événement :

• Double cliquage sur l’objet en mode création.

• Cliquer sur l’onglet « Evénement ».

• Cliquer sur « Evénement » pour lui assigner la macro.

• Cliquer sur le bouton « Créer ».

• Double cliquage sur « Générateur de macro ».

• Nommer la macro

• Faire entrer les actions de la nouvelle macro, puis fermer la fenêtre MACRO.

Modification d’une macro : Pour la modification d’une Macro :

• Cliquer sur « Macros » de la fenêtre base de données ;

• Sélectionner le nom de la macro à modifier ;

• Cliquer sur « Modifier » ;

• Saisir les modifications souhaitées.

33

Page 40: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

92

VI. CONCLUSION :

La multiplicité des produits chimiques du laboratoire étudié, ainsi que leur

dispersion rendent difficile la recherche, et à cela s’ajoute la situation de stock et la

connaissance de ces produits.

Le SGBD nous aide à résoudre ce problème. Les usagers pourraient s’en servir

pour déterminer la quantité des produits restants, leurs propriétés physico-chimiques. De

plus, les fournisseurs et leurs localisations ont aussi été étudié.

34

Page 41: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

93

TROISIEME PARTIE :

PRESENTATION DE LA BASE DE DONNEES Stock.mdb ET APPLICATION DU LOGICIEL

ELABORE

Page 42: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

94

II .. PPRREESSEENNTTAATTII OONN DDEE LL AA BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS SSTTOOCCKK ..MM DDBB ::

La base de données élaborée regroupe toutes les informations ou données sur les

produits chimiques présents dans le laboratoire

Figure 17 : Structure globale de la base de données Stock.mdb

Les données sont soit de forme alphanumérique, soit de forme texte .

Nous avons effectué le travail sur un micro-ordinateur de type Pentium 2 dont

l’outil de travail est le MICROSOFT ACCESS version 2000 qui permet de gérer les bases

de données selon le type relationnel en utilisant les objets :

• Les tables ;

• Les requêtes ;

• Les formulaires ;

• Les états ;

• Les macros ;

• Les modules ;

• Les pages.

Nous avons déjà exposé ultérieurement la création de ces objets.

I.1. Organisation de la base de donnes

Nous avons conçu un Système de Gestion de Base de Données du type

relationnel. Pour ce faire nous avons stocké les données de la Base dans des tables à partir

desquelles :

• Les formulaires permettent de saisir plus facilement les données.

• Les états sont destinés à l’édition des données sous forme de papier.

• Les requêtes permettent à répondre à des questions.

• Les macros automatisent quelques tâches.

Données fournisseurs

Données utilisateurs

Données produits

Données dangers

Données livraison

Données utilisation

Données nomenclature

35

Page 43: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

95

La figure 18 montre le schéma conceptuel de ces données. Ce schéma comprend

sept entités : Produit, Fournisseur, Livraison, Utilisateur, Utilisation, Danger et

Nomenclature avec les liens « Effectuer », « Avec », « Concerner » et « Avoir pour » et

« Correspondre ».

A partir du schéma conceptuel, on obtient le schéma relationnel des données

(Figure 19). L’obtention du schéma relationnel est déjà expliquée à la deuxième partie.

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Page 44: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

96

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97

Figure 18 : schéma relationnel des données

I.2. Structure de la base de données

Les éléments du schéma relationnel nous permettent de bien concevoir la structure

de la base de données.

I.2.1. Les tables

Le modèle relationnel comprend sept tables principales et quatre tables

intermédiaires.

Tables principales :

• Table fournisseur

• Table utilisateur

• Table produit

• Table danger

• Table livraison

• Table utilisation

• Table nomenclature

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98

Tables intermédiaires :

• Table livraison détaillée

• Table utilisation détaillée

• Table attention

• Table budget

Les structures des tables sont présentées dans la figure 19

I.2.1.1. La table produit :

La table produits renferme les renseignements concernant chaque produit tels

que : la référence, la désignation, la formule chimique, la densité, la masse molaire, le

degré de pureté, le point de fusion, le point d’ébullition, le conditionnement, la marque, la

qualité, le type et l’unité des produits.

o La Référence produit :

La référence produits notée Ref PROD constitue le clé primaire pour la table

PRODUITS.

o Désignation :

Chaque produit possède un nom spécifique permettant de les distinguer aux

autres.

Généralement, ce nom est celui donné par la nomenclature des noms des produits

chimiques.

o La formule chimique :

Chaque nom correspond à une formule chimique bien déterminé et selon la norme

ISO

o La densité [ 6 ] :

Pour le solide et le liquide, c’est le rapport du poids d’un certain volume des corps

au poids de même volume d’eau distillée. Elle se désigne par un symbole tel que d425 qui

signifie : densité du corps à 25°C par rapport à l’eau prise à 4°C.

Mais pour le gaz : c’est le rapport du poids d’un certain volume de gaz au poids

du même volume d’air mesuré dans les mêmes conditions de température et de pression.

39

Page 47: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

99

o La masse molaire [ 6 ] :

C’est le poids de substance qui occuperait à l’état gazeux, 22.414 litres, à 0°C et

sous la pression de 760mmHg.

o Le degré de pureté [ 6 ] :

Le degré de pureté désigne la limite supérieure de la teneur en impuretés vis à vis

d’un réactif chimique ou physique donné. Il est exprimé en pourcentage.

o Le point de fusion [ 6 ] :

C’est la température à laquelle, sous une certaine pression, le liquide et le solide

sont en équilibre. Ce point est exprimé en « °C ».

o Le point d’ébullition [ 6 ] :

C’est dans cette condition thermique que la première goutte de liquide se

transforme en vapeur. Ce point est exprimé en « °C » comme celle du point de fusion.

o Le conditionnement :

Chaque produit doit être conservé dans un récipient soit en verre, en plastique, en

polyéthylène, en fer blanc et soit en aluminium.

Le récipient dépend de la nature et des caractéristiques physiques et chimiques du

produit. Rappelons qu’on doit choisir les récipients qui peuvent garder intact les qualités

du produit chimique.

o La marque :

Les produits de laboratoire portent surtout les marques :

-MERCK ;

-PROLABO ;

-LABOSI ;

-RIEDEL de HAËN ;

-PANREAC ;

- INTERKEM ;

Mais certains ont les marques :

-RAL ;

-SERLABO ;

-PIERRON ;

40

Page 48: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

100

-RPE (Reagente Pro Erba);

-BLB (Labo du Bois de Boulogne) ;

Ce sont des marques déposées et parfois de renommées internationales en matière

de produits chimiques.

o La qualité :

Dans le domaine de leur utilisation les produits sont employés pour l’analyse

chimique, la synthèse et les opérations de séparation comme extraction par solvant, et

adsorption.

o Le type :

Pour faciliter l’identification des produits du laboratoire, on les a rangé en trois

classes tels que les réactifs, les solvants et les produits d’usage courant.

Les réactifs regroupent les produits chimiques utilisables en petite quantité dans

les procédures d’analyse chimique.

On désigne par solvants ou dissolvants les substances capables de mettre une

autre en solution par un phénomène par lequel un corps placé au contact d’un autre

disparaît pour donner un ensemble plus ou moins homogène. Ce phénomène s’ appelle « la

dissolution ».

Les produits d’usage courant comme son nom indique renferment tous les

produits utilisés fréquemment.

o L’unité :

Si le produit est un solide, il est exprimé en gamme (g), mais millilitre (ml ) pour

le liquide.

I.2.1.2. La table FOURNISSEUR

La table fournisseur comprend les renseignements concernent chaque fournisseur

tels que : la référence, le nom, l’adresse, la boite postale, le numéro du téléphone fixe, le

numéro du téléphone portable, l’adresse E- mail et le fax du fournisseur.

On peut citer les principaux fournisseurs suivants :

- INTERKEM ;

- CNAPMAD ;

- Pharmacie centrale ;

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Page 49: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

101

- ICTA ;

- Technique et précision ;

- Techni-labo ;

- SOMAPHAR

- Mr Bouchet ;

- Mr Petit Jean ;

-Mr Giraud ;

- BAD.

I.2.1.3. La table LIVRAISON

Elle nous informe sur la référence, la date de livraison, et la référence fournisseur

du produit.

I.2.1.4. La table UTILISATEUR

On y trouve la référence, le nom, l’adresse et le numéro du téléphone de

l’utilisateur. Pour la référence, nous avons numéroté de UP 1 à UP 22 les enseignants et

responsables utilisateurs du laboratoire Génie chimique, rangé par ordre alphabétique

(Annexe VIII).

Pour les étudiants, on a adopté par année les références suivantes qu’il faut mettre

à jour annuellement à cause du passage des étudiants en classe supérieure :

De UE 3X : les étudiants en 3ème année Génie chimique.

De UE 4Y : les étudiants en 4ème année.

De UE 5Z : les étudiants en 5ème année.

De UE 6T : les étudiants en 6ème année ou les mémorisants.

Les lettres X,Y,Z et T sont remplacées par le numéro des étudiants

I.2.1.5. La table UTILISATION

Cette table illustre la référence, la date, le motif de l’utilisation et la référence de

l’utilisateur.

Comme motif d’utilisation, nous voyons sur cette table :

• les travaux pratiques (T.P) ;

• les mini- projets ;

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102

• les mémoires ;

• les recherches.

I.2.1.6. La table DANGER [ 15 ] :

Cette table contient les symboles et les libellés dangers. Les symboles danger

nous informent les précautions à prendre pendant l’utilisation et la manutention du produit.

On utilise les symboles suivants :

E : Explosif

C : Corrosif

F : Inflammable

F+ : Très inflammable

O : Comburant

T : Toxique

T+ : Très toxique

Xn : Nocif

Xi : Irritant

Pour plus d’explications sur les dangers voir annexe IX.

I.2.1.7. La table NOMENCLATURE :

Renferme les codes nomenclature et les libellés de ces nomenclatures.

I.2.1.8. La table LIVRAISON Détaillée

Cette table incluse la référence livraison, référence la quantité de produit livrée, le

prix unitaire hors taxe et taxe comprise.

I.2.1.9. La table UTILISATION détaillée

Elle renferme la référence des utilisations, référence produit, et quantité utilisée.

I.2.1.10. La table ATTENTION :

La table Attention regroupe la référence produit et le symbole danger.

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Page 51: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

103

I.2.1.11. La table BUDGET :

Cette table est constituée par les codes nomenclatures, les références du produit et

le montant du budget correspondant au produit d’une activité.

Les tables principales telles que : Fournisseur, Livraison, Utilisateur, Utilisation,

Produit, Dangers et Nomenclature possèdent une seule clé primaire. Tandis que les quatre

tables intermédiaires : livraison détaillée, utilisation détaillée, attention et budget possèdent

deux clés primaires.

Il s’avère impossible de représenter la cardinalité n, n. Les tables intermédiaires

sont nées grâce à ce type de cardinalité entre deux tables principales liées. Elles seront

donc des tables dont leurs clés primaires seront formées par deux clés étrangères des deux

tables principales.

I.2.2. Les relations

Nous avons relié deux tables ayant un champ commun. Nous avons décrit

précédemment qu’il y a 3 types de relation : un à un, un à plusieurs et plusieurs à plusieurs.

II II .. AAPPPPLL II CCAATTII OONN DDUU LL OOGGII CCII EELL EELL AABBOORREE SSTTOOCCKK LL AABB GGCC ::

II.1. Saisie des données

La saisie des données consiste à remplir tous les attributs de chaque table. On peut

faire de la saisie à partir du formulaire correspondant.

La saisie des données comprend :

• Saisie des données produits avec la formule chimique, les propriétés physico-

chimiques correspondantes, les fournisseurs, les dangers, le type, la marque, les prix

(HT,TC).

• Saisie des données fournisseurs dans sa table fournisseur ;

• Saisie des Utilisateurs de produits chimiques ;

• Saisie des Dangers qui peuvent avoir exister ;

• Saisie du type d’utilisation existant ;

Notons bien qu’avant de donner une nouvelle référence à une donnée (N-uplet), il

faudrait bien vérifier son absence antérieure dans la table pour éviter la redondance.

44

Page 52: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

104

II.2. Exploitation de la base de données

Les responsables du laboratoire, les enseignants et les étudiants pourraient utiliser

la base de donnée par trois possibilités d’exploitation, à savoir :

• la mise à jour des données ;

• l’interrogation de la base ;

• la production

II.2.1. La mise à jour des données

Par jour, on peut créer des nouvelles données, les remplacer et les éliminer si

besoin.

Pour faire les opérations, on doit parcourir au formulaire.

II.2.1.1. Création de nouvelle donnée

Il s’agit de faire la saisie d’une nouvelle donnée dans la base de donner une

nouvelle référence et de compléter les renseignements vides sur le formulaire ouvert.

II.2.1.2. Remplacement des données

Cette opération consiste à corriger les erreurs d’une table. Le remplacement ne

change pas les relations entre toutes les tables et les données des autres tables non-

modifiées.

II.2.1.3. Elimination des données

L’élimination des données est de supprimer les données inutiles non- disponibles.

Ces données sont obtenues par des faux renseignements ou la redondance des données

dans la table ;

Après avoir supprimé la référence d’une donnée, tous les N-uplets correspondant

dans les autres tables sont aussi éliminés automatiquement.

II.2.2. L’interrogation de la base

Le SQL (Structured Query Langage) est le langage de base de données que l’on

utilise pour l’interrogation, la mise à jour et la gestion des bases de données relationnelles.

Le fonctionnement du SQL dépend des liens entre les tables, d’où l’importance de

la structure et de l’organisation de la base de données.

45

Page 53: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

105

II.2.3. La production

Cette troisième possibilité d’exploitation de la base de données désigne l’édition

des données sous forme de papier. Elle se présente par les états qui permettent d’imprimer

ces données.

II.3. Le menu général

Le menu général est une fenêtre personnalisée mettant de nombreuses

fonctionnalités à la disposition des usagers par un simple clic. Cette option sur le menu

général ouvre des formulaires pour afficher ou entrer des données, des requêtes ou des

états pour voir des sous ensembles de données ; il comporte aussi du bouton pour ouvrir la

base de données. La figure 20 montre le menu général de notre base.

Sur ce menu général, il existe cinq fonctions :

• Fichiers

• Articles

• Etat

• Mouvement

• Budget

Figure 19: Le menu général

- Fichiers : il comprend les dangers, les fournisseurs, les utilisateurs qui peuvent

avoir exister.

46

Page 54: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

106

- Articles : il est constitué par les produits présents associés aux dangers qu’ils

peuvent provoquer.

- Mouvements : cela désigne tous les mouvements d’entrée et de sortie de chaque

produit. Tous ces mouvements doivent être enregistrés à tous moments pour savoir la

quantité de stock exacte.

- Etat : il renferme le tableau de bord de chaque produit ; il représente aussi la

récapitulation globale du stock ainsi que les fiches de stock pour voir le détail du stock .

- Budget : c’est une fonction supplémentaire que nous avons inventé car

normalement le produit surtout le produit courant pour chaque activité du laboratoire doit

être lié à son propre budget.

II.3.1. Maintenance des éléments de la fonction fichiers :

Dangers (figure 21):

- cliquer sur « Danger » de la fonction fichiers.

- le formulaire Danger est ouvert, on y trouve dans 2 colonnes tous les symboles

et les libellés correspondants.

- cliquer sur la flèche en bas de la barre de défilement pour voir la totalité de

l’information concernant le Danger.

Figure 20: Maintenance des dangers existants

47

Page 55: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

107

- Cliquer sur le bouton « Etat » pour faire sortir la Fenêtre Etat des dangers

existants (figure 22).

- Quitter l’état.

- Cliquer le bouton « Fermer » pour quitter la fiche Danger.

Figure 21 : Fenêtre montrant l ‘état des dangers existants

Fournisseurs (figure 23):

- Cliquer sur le bouton « Fournisseur » de la fonction fichiers.

Même application que le Danger pour ajouter de nouveaux fournisseurs, ainsi que

pour faire sortir l’état des fournisseurs.

Figure 22: Maintenance des fournisseurs existants

48

Page 56: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

108

Utilisateurs (figure 24) :

Sa maintenance est identique à celle des Dangers et des Fournisseurs existants.

Figure 23: Maintenance des utilisateurs existants

II. 3. 2. Maintenance de la fonction Article :

Nous venons de dire précédemment que cette fonction représente les produits et

les Dangers qu’ils peuvent provoquer.

Produits (figure 25) :

- cliquer sur le bouton « Produit », et le formulaire correspondant s’ouvre.

- on peut ajouter de nouveaux produits dans la dernière ligne précédée

d’asterisque

Figure 24: Maintenance des produits

49

Page 57: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

109

Dangers correspondant à un produit (figure 26) :

Le danger fait état des produits et les dangers ainsi provoqués.

Ceci est utilisé pour chercher les dangers liés à un produit, ainsi que pour faire

rentrer les dangers correspondants à un produit.

Un produit peut être associé à plusieurs dangers. La flèche déroulante au niveau

du danger est utilisée pour ajouter les autres dangers correspondants à un produit.

Figure 25: Maintenance simultanée des produits avec les dangers

II. 3. 3. Maintenance de la fonction mouvement :

Dans cette fonction, il y a deux boutons relatifs à la livraison et l’autre à

l’utilisation.

Livraison (figure 27):

Cliquer sur le bouton « Livraison » et le formulaire livraison s’ouvre. Remplir sur

le cadre référentiel de la livraison, la date, le fournisseur que l’on choisi parmi la liste

déroulante.

Puis on passe dans le tableau détail. On ne fait pas la saisie du produit, le nom du

produit est déjà introduit par l’intermédiaire de la table Produit et apparaît

automatiquement dans la requête Livraison. Il suffit de faire le choix parmi la liste

déroulante.

50

Page 58: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

110

Faire la saisie de la quantité, du prix unitaire hors taxe, du prix unitaire à taxe

comprise. L’Access calcule automatiquement le prix total taxe comprise.

Figure 26: Maintenance de la livraison (Entrée)

Utilisation (figure 28) :

Cliquer sur « Utilisation », ainsi le formulaire s’ouvre.

Remplir le cadre de Référence, la date et le motif de l’utilisation, ainsi que

l’utilisateur en faisant un choix parmi la liste déroulante.

Dans le tableau détail, on peut faire le choix sur le produit correspondant utilisé.

La quantité utilisée fait également l’objet d’une saisie à part entière.

Figure 27: Maintenance de l’utilisation (sortie)

51

Page 59: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

111

II. 3. 4. Maintenance de la fonction état :

Tableau de bord (figure 29) :

Comme son nom l’indique, ce tableau de bord représente le tableau de bord de

chaque produit. Par un simple clic sur ce bouton, ce tableau renferme 6 colonnes

singularisant la référence, la désignation, la quantité, le dernier achat, le prix unitaire hors

taxes et le prix unitaire à taxes comprises sur chaque produit. Il facilite bel et bien la

visualisation et la configuration des prix des produits.

Figure 28 : Tableau de bord des produits

Fiche de stock (figure 30) :

Cet état représente la récapitulation globale des stocks. Elle renferme la référence,

la désignation, la date, la référence de la livraison (origine) ou de l’utilisation (destination),

le fournisseur ou l’utilisateur, la quantité entrée, la quantité sortie correspondant à un

produit ainsi que la quantité existante.

52

Page 60: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

112

Figure 29 : Fiche de stock d’un produit (cas du trichloroacétique)

II.3.4. Maintenance de la fonction budget :

Nomenclature et budget :

Le bouton nomenclature indique les abréviations correspondantes aux activités du

laboratoire en y faisant un simple clic (figure 31).

Figure 30: Maintenance de la nomenclature

53

Page 61: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

113

Après avoir cliquer sur le bouton « Budget », nous connaissons le budget lié au

produit de chaque activité du laboratoire (figure 32).

La dernière ligne précédée d’asterisque est réservée pour l’extension.

Figure 31: Le budget annuel lié au produit de chaque activité du laboratoire.

II II II .. CCOONNCCLL UUSSII OONN ::

Au terme de cette dernière partie de notre travail, en guise de conclusion, nous

pouvons dire que les essais de simulation du logiciel élaboré nous paraissent satisfaisants

sur le plan opérationnel de l’outil en question et surtout sur le plan des résultats cherchés et

cela malgré la complexité du traitement des données sur les produits chimiques des

laboratoires.

54

Page 62: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

114

CCOONNCCLL UUSSII OONN GGEENNEERRAALL EE

Au terme de cette étude, différentes idées pratiques ont été évoquées en long et en

large du présent travail. Sommes toutes, elles répondent aux questions de savoir sur la

fonctionnalité et l’opérationnalité du logiciel élaboré .

En effet, les problèmes qui se posent ne sont autres que l’éparpillement spatial

ainsi que le volume peu maîtrisé des produits chimiques. Ainsi, les utilisateurs et les

responsables du laboratoire ont du mal à organiser tout un système par lequel on peut

visualiser ces produits.

Quant aux objectifs, ils pourraient être multiples, mais on peut les synthétiser par

la conception d’un logiciel Stock Lab G.C apte à faciliter les travaux des utilisateurs dans

le cadre de feuilletage qu’ils veulent faire. En outre, ces utilisateurs peuvent effectuer,

selon leurs besoins et demande, une visualisation de la quantité de stock.

A priori, la capacité de ce logiciel est visible sur le menu général par un simple

cliquage en fonction des buts envisagés. Mais tout dépend de l’aptitude à la manipulation

et la pratique des utilisateurs. Pour ce faire, nous avons adopté toute une méthodologie qui

se résume par l’exploitation de l’Access version 2000 afin d’avoir une certaine précision,

une fiabilité et une faisabilité vis à vis des bases de données en main. Le système y afférent

est le stock.mbd.

Enfin, nous pensons et nous espérons bel et bien que le présent ouvrage constitue

un document de base aux utilisateurs de laboratoires pour une raison de facilitation d’accès

au feuilletage des informations pour le renseignement d’un tel ou tel produit.

55

Page 63: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

115

BBII BBLL II OOGGRRAAPPHHII EESS

1. Jeffry BYRNE, Easy MICROSOFT ACCESS 2000, See it done, do it yourself.

2. Claude CHRISMENT, Mise en œuvre des bases de données, principes

méthodologiques, édition EYROLLES, 1990.

3. CNTEMAD (Centre National de Télé- Enseignement de Madagascar)/ CNED

(Centre National d’Enseignement à Distance- France), Cours de programmation,

première année Informatique de Gestion, 1998-1999.

4. COPEMED, Formation Système de Gestion de Base de Données – Access, Manuel I

et Manuel II, Partie 1 à Partie 6.

5. Claude DELOBEL et Michel ADIBA, Bases de données et systèmes relationnels,

DUNOD informatique, 1982.

6. Clément .DUVAL et Raymonde DUVAL, Dictionnaire de la chimie et ses

applications 3ème édition, Technique et documentation, 1978.

7. GALACSI, Conception de base de données du schéma conceptuel aux schéma

physiques, DUNOD informatique Paris, 1989.

8. GARDARIN Georges, Maîtriser les bases de données : modèles et langages, Paris

EYROLLES, 1993.

9. Claude JAULT, Les bases de données relationnelles ou libre accès aux informations,

les éditions d’organisation Paris, 1986.

10. Catalogue MERCK, Réactifs, Diagnostica, Produits chimiques, 1995.

11. MICROSOFT ACCESS user’s Guide, Relational Database Management System for

windows, Microsoft corporation, 1992.

12. Jean François SEHAN, Formation rapide de notions de base ACCESS 97, DUNOD

Paris ,1997

13. RANDRIANASOLO Baovola, Elaboration d’un Système de Gestion de Base de

Données comme guide en Géologie Appliquée. Conception d’un programme en

MICROSOFT ACCESS. Version 97, 1999.

14. RATSARAZAFY Fara, cours de Sécurité et environnement, 5ème année Génie

Chimique, Département Génie Chimique ESPA, 2001- 2002.

15. RATSIMBA Marie Hanitriniaina, RAZAFINARIVO Noroanja Vololomboasary,

Organisation et sécurité dans un laboratoire de chimie : Etude du cas de

Vontovorona, 1999 16. Annuaire officiel Télécom Malagasy, édition 2001 - 2002 17. Hand Book of Chemistry and Physics, Weast 49 th

edition, The Chemical Rubber CO., 1968- 1969.

56

Page 64: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

116

ANNEXE I

ARCHITECTURE D’UN SGBD

57

Page 65: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

117

Cette figure fait apparaître trois principaux éléments:

• Le noyau du SGBD, c’est le logiciel qui assure le bon fonctionnement de la

base de données.

• Le système d’exploitation de l’ordinateur sur lequel le logiciel du SGBD a été

construit.

• Les différents schémas : externe, conceptuel et physique qui sont stockés sous

forme de catalogues internes obtenus à partir des description fournis au système de base de

données.

Explication de l’architecture :

Supposons que le programme d’application écrit à partir du schéma externe 1

lance un ordre de lecture d’une donnée ou d’un groupe de données.

(1) La demande de lecture est envoyée au SGBD.

(2) La demande est analysée à l’aide du schéma externe pour d’une part vérifier

par exemple que l’utilisateur qui a écrit ce programme a bien le droit d’accéder à la

donnée, et d’autre part transmettre les caractéristiques de cette donnée à partir du catalogue

concernant le schéma externe 1.

(3) Le SGBD consulte le schéma conceptuel et en déduit le type logique de

données à extraire.

(4) Le SGBD consulte le schéma physique et en déduit l’enregistrement physique

à lire.

(5) Le SGBD transmet l’ordre de lecture ou système d’exploitation.

(6) le système d’exploitation reçoit l’ordre et l’analyse en consultant certains

paramètres du schéma physique, puis lance l’ordre de lecture au contrôleur des unités

périphériques qui gère la base de données.

(7) Les données recherchées sont transmises dans une zone de mémoire appelée

tampon système.

(8) Le SGBD sélectionne parmi l’ensemble des données reçus dans son tampon

seulement celle qui est nécessaire au programme d’application, il effectue toute

transformation nécessitée par la correspondance « schéma externe – schéma conceptuel »

et transmet ce données dans le tampon du programme d’application.

58

Page 66: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

118

(9) Le SGBD informe éventuellement le programme d’application de déroulement

anormaux qui aurait pu se produire lors de l’opération de lecture afin que celui-ci réagisse

si une telle situation se présentait.

(10) Le programme d’application dispose de la donnée demandée et peut par

conséquent passer à l’opération suivante.

Le principe qui vient d’être présenté concernant une demande de lecture serait

analogue à une demande de l’écriture ou de mise à jour. En particulier, une demande de

mise à jour commence par une opération de lecture, puis ensuite d’écriture.

Ce que nous venons de décrire concernait un seul programme d’application, dans

la majorité des cas, nous aurons au même instant plusieurs programmes d’application qui

se dérouleront en parallèle. Il appartiendra au SGBD de les gérer et plus particulièrement

de détecter le cas où différents programmes souhaitent accéder à la même donnée.

59

Page 67: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

119

ANNEXE II

MODELE ENTITE – ASSOCIATION CARDINALITES

D’UNE ASSOCIATION

Le modèle conceptuel de données Entité – Association repose sur la perception du

monde réel sous forme d’un ensemble d’objets « Entités » associés au moyen d’un

ensemble d’« Association » entre ces objets.

Un modèle Entité – Association a pour objectif de favoriser le dialogue avec les

utilisateurs, de représenter les ensembles de données et leurs liens sémantiques.

Ce modèle est représenté sous forme de diagramme du type :

La cardinalité est toujours du type (min, max) dont la cardinalité minimale

représente le nombre de fois minimum qu’une occurrence d’Entité participe à une relation

tandis que la cardinalité maximale, c’est le nombre de fois maximum qu’une occurrence

d’entité participe à une relation.

Dans ce cas, on trouve les cardinalités du type (1, n) et (1, 1) mais il est aussi

possible d’avoir le type (n, n).

Un fournisseur effectue un ou plusieurs livraisons et une livraison est effectuée

par un et un seul fournisseur.

Fournisseur

RefFour NomFour AdrFour

Livraison

RefLIV DatLIV QuantLIV

Effectuer (1, n) (1, 1)

60

Page 68: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

120

ANNEXE III

DICTIONNAIRE DES DONNEES

CODE CHAMP LEGENDE TYPE Descriptions

Ref prod

Design prod

For prod

Dens prod

M prod

P prod

Pf prod

Pe prod

Cond prod

Marq prod

Qual prod

Typ prod

Unit prod

Ref four

Nom four

Adr four

B.P four

Tel .four

GSM four

Référence produit

Désignation produit

Formule chimique

produit

Densité du produit

Masse molaire du

produit(g)

Degré de pureté du

produit(%)

Point de fusion du

produit(°C)

Point d’ébullition du

produit(°C)

Conditionnement du

produit

Marque du produit

Qualité du produit

Type du produit

Unité du produit

Référence fournisseur

Nom du fournisseur

Adresse du

fournisseur

Boite Postale

Numéro téléphone

fixe du fournisseur

Numéro téléphone

Texte

Texte

Texte

Numérique

Numérique

Numérique

Numérique

Numérique

Texte

Texte

Texte

Texte

Texte

Texte

Texte

Texte

Numérique

Numérique

Numérique

Clé primaire

Clé primaire

Page 69: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

121

E mail four

Fax four

Ref liv

Date liv

Quant liv

Puht prod

Putc prod

Ref utlsr

Nom utlsr

Adr utlsr

Tel utlsr

Ref utlst

Dat utlst

Motif utlst

Quant utlst

Symb dan

Lib dan

Codenom

Montbudg

Libnom

portable

Adresse E mail du

fournisseur

Fax du fournisseur

Référence livraison

Date de la livraison

Quantité livrée

Prix unitaire hors taxe

du produit

Prix unitaire taxe

comprise du produit

Référence utilisateur

Nom de l’utilisateur

Adresse de

l’utilisateur

Numéro téléphone de

l’utilisateur

Référence de

l’utilisation

Date de l’utilisation

Motif de l’utilisation

Quantité utilisée

Symbole du danger

Libellé danger

Code nomenclature

du produit

Montant du budget du

produit

Libellé nom du

produit

Texte

Numérique

Texte

Date/heure

Numérique

Monétaire

Monétaire

Texte

Texte

Texte

Numérique

Texte

Date/heure

Texte

Numérique

Texte

Texte

Texte

Monétaire

Texte

Clé primaire

Clé primaire

Clé primaire

Clé primaire

Clé primaire

62

Page 70: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

122

ANNEXE IV

TYPES DE DONNEES

Type de données Description

Texte Limité à 255 caractères alphanumériques. Utilisé pour tous les

textes courants ne nécessitant pas de calculs comme noms,

adresse, numéro de téléphone etc…

Mémo Limité à 64000 caractères alphanumériques. Réservé pour les

notes et les remarques qui risquent de dépasser les 255

caractères du type texte

Numérique Nombre entier ou en virgule, des nombres permettant des

calculs, à l’exception des valeurs monétaires

Date/heure Date et/ou heure pour les années 100 à 9999. stocké sous une

forme numérique particulière. On peut faire des calculs à partir

de ces champs

Monétaire Valeur numérique monétaire utilisée dans des calculs jusqu’à

quatre décimales

Numéro auto Compteur de 1 en 1 mis à jour par ACCESS. Ne peut

apparaître qu’une seule fois dans la table. Un champ de ce type

est généralement utilisé comme clé primaire

Oui/non Champ ne portant que deux états comme oui/non, vrai/faux,

activé/désactivé…

Objet OLE Objets d’une autre application qu’ACCESS (par exemple,

feuille de calcul Excel) lié ou incorporé dans une table

ACCESS.

Un champ de ce type est utilisé pour stocker des images, des

sons, des feuilles de calcul, de graphique…

Lien hypertexte Chemin vers un autre document ou adresse d’une page Web

sur Internet.

63

Page 71: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

123

ANNEXE V

PROPRIETES DU CHAMP TEXTE

CHAMP ACTION

Taille du champ Désigne les limites du nombre de caractères du champ

Format Définit l’aspect d’affichage lors de la consultation à l’écran

Masque de saisie Spécifie un format ou modèle dans lequel entrer les données

Légende Indique le nom exact et sans abréviation du champ.

Utilisé dans les formulaires

Valeur par défaut Spécifie une valeur insérée automatiquement pour les

nouveaux enregistrements

Valide si Vérifie si la saisie est correcte

Chaîne vide autorisée Spécifie si le champ permet une chaîne de longueur nulle

Indexe Indique si Access tient à jour un index des valeurs du champ

64

Page 72: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

124

ANNEXE VI

OBJETS DE LA BASE DE DONNEES

OBJETS Description

TABLES Des grilles contenants des informations sur un sujet

précis

REQUETES Questions que l’on pose à une base de données pour

déterminer des informations particulières

FORMULAIRES Fenêtre permettant de saisir des informations plus

facilement et avec précision

ETATS Récapitulatifs d’informations, conçus pour être lisibles

et accessibles

MACROS Séries de commandes stockées exécutant une action.

Permettent d’ automatiser une suite d’opérations

répétitives.

MODULES Programmes que l’on écrit à l’aide de Microsoft Visual

Basic, permettent de réaliser des opérations très

complexes en utilisant les seules fonctionnalités d’

ACCESS

PAGES

Fichiers au format HTML distinct de la base de données

Access, à placer sur le Web pour faciliter le partage de

données. Permettent de publier des formulaires comme

pages web.

65

Page 73: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

125

ANNEXE VII

METHODES POUR CREER UNE TABLE

METHODES DESCRIPTION

CREATION On spécifie le type de données de chaque champ, on attribue

une table pour les champs texte et numérique, puis on

établie la clé primaire et on enregistre la table

ASSISTANT TABLE Le type de données et les autres propriétés sont prédéfinis.

Et on sélectionne les champs de tables exemples appropriées

au type de B.D crée.

FEUILLE DE

DONNEES

Le type de données, la taille correspondant aux entrées sont

assignés automatiquement par Access

IMPORTER UNE

TABLE

On peut utiliser les données utilisées par une autre B.D

Access. Avec les données importées, les noms des champs

et les types de sonnées sont conservés

66

Page 74: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

126

ANNEXE VIII

Liste par ordre alphabétique des enseignants et des techniciens utilisant le

laboratoire Génie Chimique de Vontovorona et les références correspondants

Référence Noms des enseignants

UP 1 Andriamandranto Daniel

UR 2 Andrianarison Edouard

UR 3 Andrianary Philippe

UR 4 Elisoamiadana Philippine

UR 5 Raharijaona Tovo Robin

UR 6 Rahoasa Robert

UR 7 Rasolondramanitra Jocelyne

UR 8 Ravelomanantsoa Nicole

UR 9 Rasoanaivo Philippe

UR 10 Rakotondramanana Samuel

UR 11 Randriana Richard

UR 12 Rakotoarivonizaka Ignace

UR 13 Randrianoelina Benjamin

UR 14 Razafimandefitra André

UR 15 Rabibisoa Daniel

UR 16 Rakotomamonjy Pierre

UR 17 Rajoelinirina Vezulah

UR 18 Ratsarazaka Fara

UR 19 Ranaivosamoelina Nelson

UR 20 Robinson Fidy

UR 21 Téchnicien N°1 ( T1): Andriamalala Mbola Prosper

UR 22 Téchnicien N°2 (T2): Rakotoandrianomanana José

UR 23

67

Page 75: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

127

ANNEXE IX

EXPLICATION DES DANGERS DES PRODUITS CHIMIQUES .

Danger

s

Propriétés Exemples

Corrosifs (C) Provoquent la brûlure de la peau ou des yeux ou

de la voie respiratoire en cas de contact ou de

projection.

H2SO4, HCl, NaOH

Irritants (Xi) Provoquent une réaction inflammatoire, des

manifestation de chaleur, de rougeur et de douleur.

Ils piquent les yeux, la gorge, le nez, la peau.

Hydrazine

dichlorhydrate,4 –

methoxyacetophenone

Inflammables

(F,F+)

Peuvent brûler les yeux et la peau.

Ils sont irritants, corrosifs et nocifs souvent

mortels

Sodium amide,

Acetylacetone

Comburants (O) Présentent des réactions fortement exothermiques

lorsqu’ils sont en contact avec d’autre substance

c’est à dire favorisant la combustion en dégageant

de l’O2 ;

incompatibles avec les matières inflammables ou

combustibles.

O2, H2SO4, Cl2

Toxiques et

nocifs (T,T+)

(Xn)

Entraînent la perte des connaissances et même la

mort.

Cyanure de

Potassium, KCN, P, As

68

Page 76: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

TTAABBLL EE DDEESS MM AATTII EERREESS

REMERCIEMENTS

LISTE DES FIGURES

INTRODUCTION GENERALE ...........................................................................................1

PREMIERE PARTIE : NOTION DE BASE SUR LE SYSTEME

DE GESTION DE BASE DE DONNEES RELATIONNELLES

I. DEFINITION ET OBJECTIFS DE LA BASE DE DONNEES - ...............................2

II . LE CONTENU DE LA BASE DE DONNEES ...........................................................2

I II. DEFINITION D’UN SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES

(SGBD) ET SGBDR ............................................................................................................3

IV. STRUCTURE DE Systeme de gestion de base de donnees .......................................3

IV.1. Organisation des données .........................................................................................4

IV.2. Nomenclature ..........................................................................................................4

IV.3. Démarche de conception d’un SGBDR. ..................................................................6.

V. UTILISATEUR ET ADMINISTRATEUR DU SGBD -............................ .................6

VI. Conclusion : ...................................................................................................................7

DEUXIEME PARTIE : ELABORATION DE LOGICIEL

D'APPLICATION SOUS PROGRAMMATION ACCESS 2000

I. INTERET DE L’UTILISATION DE PROGRAMMATION ACCESS 2000 :.. ........8

II . LE RECUEIL DES DONNEES ...................................................................................8

I II. PLANIFICATION DES TABLES ...................................................................... ........8

III.1. Spécifier les types de données et les propriétés de champs.......................................9

III.2. Spécifier la clé primaire ............................................................................................9

Page 77: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

IV. DEMARRAGE DE L’ACCESS ...............................................................................9

IV.2. Démarrage de Access depuis le menu Démarrer .................................................10

V. CREATION DE LA BASE DONNEES ..................................................................10

V.1. Présentation de la fenêtre nouvelle base de données .............................................12

V.2. Affichage la fenêtre base de données ....................................................................12

V.3. Les tables ...............................................................................................................13

V.3.1. Création d’une table en mode création ............................................................13

V.3.2. Création des relations entre les tables .............................................................15

V.4. Les requêtes ...........................................................................................................18.

V.4.1. Les différents types de requêtes ......................................................................18

V.4.2. Création d’une requête ....................................................................................20

V.5. Les formulaires ......................................................................................................23

V.5.1. Les différentes manières pour élaborer un formulaire ...... .............................23

V.5.2. Création d’un formulaire en mode création .......... .........................................24V.5.3. Création d’un formulaire personnalisé à l’aide d’un assistant .......................25V.5.3. Création d’un formulaire simple avec l’assistant formulaire instantané........26

.V.5.5. Création d’un sous formulaire à l’aide de l’assistant ...................................27

V.5.6. Modification d’un formulaire ........................................................................ 28

V.6. Les Etats ...............................................................................................................29

V.6.1. Elaboration d’un état ......................................................................................29

V.6.2. Les différentes sections dans un état ..............................................................30

V.6.3. Imprimer un état .............................................................................................31

V.7. Les Macros ...........................................................................................................31

V.7.1. Création et enregistrement d’une macro ........................................................31.

V.7.2. Exécution une macro ......................................................................................32

V.7.3. Création d’une nouvelle macro pour un événement .......................................33

Page 78: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

TROISIEME PARTIE: PRESENTATION DE LA BASE DE DONNEES

Stock.mdb ET APPLICATION DU LOGICIEL D'APPLICATION

I. PRESENTATION DE LA BASE DE DONNEES Stock .mdb : --..........................35

I.1. Organisation de la base de donnes .........................................................................35

I.2. Structure de la base de données .............................................................................38

I.2.1. Les tables .........................................................................................................38

I.2.2. Les relations .....................................................................................................44

Page 79: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

II. APPLICATION DU LOGICIEL ELABORE Stock lab GC : ........................44

.II.1. Saisie des données .............................................................................................44.

II.2. Exploitation de la base de données .....................................................................45

II.2.1. La mise à jour des données ...........................................................................45

II.2.2. L’interrogation de la base .............................................................................45

II.2.3. La production................................................................................................46

II.3. Le menu général .................................................................................................46

II.3.1. Maintenance des éléments de la fonction fichiers :......................................47

II. 3. 2. Maintenance de la fonction Article : ..........................................................49

II. 3. 3. Maintenance de la fonction mouvement : ..................................................50

II. 3. 4. Maintenance de la fonction état :................................................................52II.3.4. Maintenance de la fonction budget : ............................................................53

III. CO NCLUSION : ........................................................................................................54

CONCLUSION GENERALE ..........................................................................................55.

BIBLIOGRAPHIE

ANNEXES

Page 80: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

LL II SSTTEE DDEESS FFII GGUURREESS

Figure 1 : Les trois niveaux d’un SGBD ................................................................................................................3Figure 2 : Démarche de conception d’un SGBDR ................................................................................................4Figure 3 : Ecran d'ouverture de Ms Access 2000 ---..............................................................................................10Figure 4 : Boite de dialogue pour nommer la nouvelle base de données .............................................................10Figure 5 : Ecran d'ouverture d'une nouvelle base de données -.............................................................................11 Figure 6 : Une table munie d'une clé primaire......................................................................................................13Figure 7 : Sélection des tables à relier -.................................................................................................................15

Figure 8 : Fenêtre montrant deux tables à relier...................................................................................................16 Figure 9 : Fenêtre de création de relations entre les tables..................................................................................16Figure 10 : La relation créée entre deux tables.....................................................................................................17

Figure 11 : Boite de dialogue pour la sélection de table nécessaire à la requête ................................................19 Figure 12 : Fenêtre en mode création d’une requête ............................................................................................20

Figure 13: Boîte de dialogue pour la sélection de tables et des champs pour la requête par assistant ! .............21

Figure 14 : Boite de dialogue pour la création d’un formulaire .........................................................................23

Figure 15 : Boite de dialogue pour la sélection de table et de champs pour les formulaires par assistant..........25Figure 16 : Fenêtre d’une nouvelle macr...............................................................................................................31 Figure 17 : Structure globale de la base de données Stock.mdb ..........................................................................33Figure 18 : Schéma conceptuel des données..........................................................................................................35Figure 19 : schéma relationnel des données-.........................................................................................................36Figure 20: Le menu général ...................................................................................................................................44Figure 21: Maintenance des dangers existants .....................................................................................................45Figure 22 : Fenêtre montrant l ‘état des dangers existants....................................................................................46Figure 23: Maintenance des fournisseurs existants ..............................................................................................46Figure 24: Maintenance des utilisateurs existants.................................................................................................47Figure 25: Maintenance des produits.....................................................................................................................47Figure 26: Maintenance simultanée des produits avec les dangers ......................................................................48Figure 27: Maintenance de la livraison (Entrée)...................................................................................................49Figure 28: Maintenance de l’utilisation (sortie) ..................................................................................................49Figure 29 : Tableau de bord des produits..............................................................................................................50Figure 30 : Fiche de stock d’un produit (cas du trichloroacétique)......................................................................51Figure 31: Maintenance de la nomenclature .........................................................................................................51 Figure 32: Le budget annuel lié au produit de chaque activité du laboratoire. ....................................................52..

Page 81: ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES DE

NOM : RAZAFINDRAIBE

PRENOMS : Haritiana

TITRE DU MEMOIRE : « ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION

DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES

DES LABORATOIRES DE CHIMIE D’IVONTOVORONA »

NOMBRE DE PAGES : 56

NOMBRE DE FIGURES : 32

RESUME

La présente étude est essentiellement consacrée à l’élaboration d’un logiciel

relatif au stock.Lab.GC. Cet outil peut répondre

efficacement aux besoins et à la demande des utilisateurs du laboratoire Génie

chimique de Vontovorona .

Ses caractéristiques sont la facilité d’utilisation et d’extension dans le cadre

technico- technologique. Il s’agit d’un atout par excellence pour mieux visualiser des

renseignements importants qui se rapportent aux produits existants.

Effectivement, ces produits sont quantitativement volumineux. Ainsi, leur recherche

qui se veut être rapide, précise se retarde de temps en temps. De cette acception, nous avons

été enclin de concevoir et d’élaborer sérieusement ce type de logiciel.

A notre avis, de par la sérénité conceptuelle que nous avons pensée, finalement cet

ouvrage a vu le jour.

Mots clés : Bases de données, tables, relations, produits, utilisateurs, fournisseurs, dangers,

budgets.

Adresse de l’auteur : M me RAZAFINDRAINIBE Haritiana

Logement 1816 cité des 67 Ha Nord- Est.

Antananarivo (101)

Rapporteur : Monsieur RAHARIJAONA Tovo Robin