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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
DEPARTEMENT : GENIE CHIMIQUE
Mémoire de fin d’études
pour l’obtention du diplôme d’Ingénieur en Génie Chimique
Présenté par
RAZAFINDRAINIBE Haritiana
- PROMOTION 2002 -
ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION
DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES
DES LABORATOIRES DE CHIMIE
D’IVONTOVORONA
DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES
UNIVERSITE D’ANTANANARIVO ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
DEPARTEMENT : GENIE CHIMIQUE
Mémoire de fin d’études
pour l’obtention du diplôme d’Ingénieur en Génie Chimique
Présenté par
RAZAFINDRAINIBE Haritiana Membres de Jury :
Président : Monsieur RANDRIANOELINA Benjamin
Rapporteur : Monsieur RAHARIJAONA Tovo Robin
Examinateurs : Monsieur ANDRIANARY Philippe
Monsieur RAKOTOARIVONIZAKA Ignace
Monsieur RANDRIANA Richard
Date de soutenance : 19 Juin 2003
- PROMOTION 2002-
ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION
DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES
DES LABORATOIRES DE CHIMIE
D’IVONTOVORONA
DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES
« Recommande ton sort à l’Eternel, mets en lui ta confiance, et il agira ».
Psaume 375
REMERCIEMENTS
L’élaboration de ce mémoire n’aurait été possible sans l’aide précieuse de nombreuses
personnes. Je veux remercier et approuver ici tous ceux qui ont pris la peine de conseiller,
d’investir et de soutenir, en particulier :
- Monsieur RANDRIANOIELINA Benjamin, Directeur en exercice de l’Ecole
Supérieure Polytechnique d’Antananarivo ;
- Monsieur ANDRIANARY Philippe, Chef de Département Génie Chimique à l’ESPA
qui n’a cessé d’apporter sa contribution pour assurer une formation de qualité ;
- Monsieur RAHARIJAONA Tovo Robin, Enseignant Chercheur à la filière Génie
Chimique, qui n’a pas ménagé son temps pour me conseiller malgré ses nombreuses
occupations ;
- Monsieur RAKOTOARIVONIZAKA Ignace, Enseignant Chercheur au Département
Génie Chimique, qui a sacrifié son temps et a pris la peine de m’aider durant la
réalisation de cet ouvrage ;
- Monsieur RANDRIANA Richard, Enseignant Chercheur au Département Génie
Chimique, qui a la bonne volonté d’apporter son jugement à ce mémoire ;
- Monsieur RAZAFINDRAKOTO Joseph Roseluc, Ingénieur en Informatique
Industrielle, qui m’ a aidé dans le cadre de la conception et de l’élaboration de cet
ouvrage.
Je veux accorder une mention particulière à ma mère qui m’a encouragé à suivre mes
études, merci pour l’ éducation ainsi que pour le soutien moral.
Je ne veux pas oublier de remercier tous ceux qui m’ont aidé directement ou
indirectement lors de la réalisation de ce mémoire.
Enfin, je souhaite que la prospérité et la grâce de Dieu soient toujours avec vous.
R. Tiana
57
II NNTTRROODDUUCCTTII OONN GGEENNEERRAALL EE
L’Ecole Supérieure Polytechnique d’Antananarivo sise à Vontovorona dispose
des laboratoires de chimie. Dans quelques-uns uns de ses départements : départements de
Génie Chimique, département de Sciences des matériaux, département des mines,
département de Géologie.
Pour ces différents départements, la question suivante se pose : existe-t-il une
méthode de traitement informatique des gestions des données sur les produits chimiques
des différents laboratoires de chimie ? On sait que la gestion de ces produits est très
difficile sans une gestion informatisée.
Pour répondre à cette question, on a proposé le thème de mémoire de fin d’études
suivant : « Elaboration de système de Gestion des Données de produits chimiques des
laboratoires de chimie de Vontovorona » .
Pour ce faire, nos objectifs pourraient être multiples, mais en occurrence on peut
les singulariser par notre volonté intrinsèque de guider les utilisateurs et les responsables
de produits chimiques au sein de ce laboratoire.
Quant à la méthodologie, nous avons procédé à la gestion de base de données de
type relationnel sous Access version 2000.
Ce thème se justifie par le fait que la plupart de ces produits semblent faire l’objet
essentiel du manque à gagner sur l’utilisation des outils informatiques au niveau des
laboratoires à l’échelle universitaire et para-universitaire.
Ainsi, afin d’avoir une certaine compréhension sur ce sujet, nous avons procédé à
bras les corps sur les points ci après :
- la première partie est consacrée à la notion de base de données relationnelles
sous Access
- la deuxième partie est destinée à l’élaboration du logiciel Stock lab GC
- la troisième partie est vouée à l’application du logiciel élaboré
1
58
PREMIERE PARTIE :
NOTION DE BASE SUR LE SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
RELATIONNELLES
59
Avant d’élaborer le logiciel nécessaire à un traitement informatique de gestion de données
sur les produits chimiques, il nous faut avoir quelques notions de base sur les Bases de
données relationnelles.
II .. DDEEFFII NNII TTII OONN EETT OOBBJJEECCTTII FFSS DDEE LL AA BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS [[ 1100,, 1166 ]]
La base de données est un ensemble structuré et cohérent d’informations
mémorisées sur un support informatique et tenus à jour pour les besoins d’un ensemble
d’utilisateurs.
Les objectifs des bases de données sont de :
• centraliser l’information
• assurer l’indépendance donnée-traitement
• permettre des liaisons entre ensemble de données
II II .. LL EE CCOONNTTEENNUU DDEE LL AA BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS [[ 77,, 88 ]]
La base de données contienne les informations nécessaires au fonctionnement de
l’entreprise ou d’un service telle que la gestion comptable, la gestion commerciale, la
gestion de production, la gestion de stocks, la gestion clientèle…
Une base de données comprend six éléments appelés « objets » :
1- les tables pour le stockage des informations ou données ;
2- les formulaires et sous formulaires pour la saisie des données et qui sont créés à
partir des tables existantes ou utilisant certains champs.
3- les requêtes pour les calculs ou classement des données, les mises à jour, le
contrôle ou la suppression des données.
4/5- les modules ou macros utilisés par les requêtes ou les états à sortir : Fonctions
et procédures de calculs intermédiaires et assimilés... , recherches automatiques de données
et assimilés.
6- les états qui sont les résultats finaux à sortir à l’imprimante, à envoyer par
l’internet.
2
60
II II II .. DDEEFFII NNII TTII OONN DD’’ UUNN SSYYSSTTEEMM EE DDEE GGEESSTTII OONN DDEE BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS
((SSGGBBDD)) EETT SSGGBBDDRR [[ 44,, 55 ]]
Un SGBD est un ensemble de logiciels qui fournit un environnement pour décrire,
mémoriser, manipuler et traiter des collections de données, assurer la sécurité, la
confidentialité et l’intégrité des données collectés.
Si ce Système de gestion de base de données est basé sur le modèle relationnel
CODD, il est appelé Système de gestion de base de données Relationnelles.
II VV.. SSTTRRUUCCTTUURREE DDEE SSYYSSTTEEMM EE DDEE GGEESSTTII OONN DDEE BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS [[ 44,, 55 ]]
Cette structure possède trois niveaux à savoir :
• le niveau interne représenté par la base de données physique, le système
d’exploitation de l’ordinateur.
• le niveau conceptuel représenté par le SGBD (le logiciel qui assure le bon
fonctionnement de la base de données).
• le niveau externe représenté par des programmes d’application et les
utilisateurs de la base de données.
Ces différents niveaux sont représentés dans la figure 1. Mais l’architecture est
exposée en annexe I.
Figure 1 : Les trois niveaux d’un SGBD
Groupe utilisateur 1
Groupe utilisateur 2
Groupe utilisateur n
Schéma externe 1
Schéma externe 2
Schéma externe n
Schéma conceptuel
Schéma physique
B.D physiques
Processus de modélisation
Monde
Niveau externe Niveau conceptuel Niveau interne
3
61
Cette structure est valable pour n’importe quel système de base de données
relationnelles ou non
Pour le SGBDR dont son élaboration est l’objet de notre tâche, il est important
d’avoir les notions suivantes :
• organisation des données
• nomenclature
• le démarche d’élaboration d’un SGBDR
IV.1. Organisation des données [ 8 ]
Les données sont organisées sous forme de tableaux à double entrer. Ces tableaux
sont appelés TABLES
Chaque table représente un ensemble ou une relation (au sens mathématique). La
table n’est autre que l’entité en MCD ou Modèle Conceptuel des Données.
Signalons que la performance de la base de données repose sur la structuration des
tables selon un modèle de données.
Exemple : Base de données « produits chimiques de laboratoire de chimie »
RefPROD DesPROD ForPROD CarPROD CondPROD QualPROD
RefPROD: Référence du produit
DesPROD : Désignation du produit
ForPROD : Formule chimique du produit
CarPROD : Caractères physico-chimiques du produit
CondPROD : Conditionnement du produit
QualPROD : Qualité du produit
IV.2. Nomenclature [ 9 ]
Champ ou attribut :
Chaque colonne dans la table est un champ, encore appelé un champ caractérisé
par un nom.
4
62
Enregistrement ou n-uplet.
Chaque ligne dans la table constitue un enregistrement ou un n-uplet
Domaine :
C’est l’ensemble des valeurs que peut prendre un champ d’une table.
Clé primaire ou identifiant :
Une clé primaire est un ensemble minimum d’attributs qui permet de distinguer
chaque enregistrement de la table par rapport à tous les autres.
Clé étrangère :
Cette clé fait référence à la clé primaire d’une autre table. C’est un attribut non clé
primaire dans une table Tm et qui est clé primaire dans une autre table Tn .
Exemple : TABLE PRODUIT
RefPROD DesPROD ForPROD DensPROD CondPROD QualPROD MarqPROD
P 21 Chlorure de Césium CsCl 3,988 Flacon plastique Pour analyse PROLABO
P 22 Diphénylamine C12H11N 1,160 Flacon verre Pour analyse RIEDEL de HAЁN
RefPROD peut servir de clé primaire pour cette table car elle permet d’identifier
chaque enregistrement de la table ; aucun produit n’a la même référence.
Entité et occurrence :
Chaque entité est décrite par des champs. Chaque occurrence de l’entité est
définie par les valeurs de ces différents champs.
Exemple : l’entité PRODUITS a 7 champs
Le produit (P21, chlorure de Césium ; CsCl ; 3,988 ; flacon plastique, pour
analyse, PROLABO) est une occurrence de l’entité PRODUIT.
Association ou relation :
Une association met en relation deux entités. Une association n’existe que par les
entités qu’elle met en correspondance.
5
63
Cardinalité d’une association :
Pour une entité A en relation avec une entité B, il s’agit du nombre d’occurrences
d’association que possède une occurrence de l’entité A avec l’entité B (voir annexe II :
modèle entité – association – cardinalités d’une association)
IV.3. Démarche de conception d’un SGBDR.
Figure 2 : Démarche de conception d’un SGBDR
VV.. UUTTII LL II SSAATTEEUURR EETT AADDMM II NNII SSTTRRAATTEEUURR DDUU SSGGBBDD [[ 33,, 1100 ]]
L’utilisateur :
C’est la personne accédant à la base de données à l’aide d’un programme
d’application qui est rédigé dans un langage acceptant les séquences d’instructions
permettant l’accès de la base de données, ou à l’aide d’un terminal en utilisant un langage
spécifique : Langage de Manipulation de Données LMD.
L’administrateur :
C’est le responsable de la base de données. Précisément, il est responsable de sa
création et de sa maintenance.
Il dispose d’on ensemble d’outils logiciels qui permettent de l’assister dans sa tâche.
Son rôle est de concevoir le schéma de la base de données et de décider les
techniques d’accès et des techniques variées d’implantation physique, et enfin d’établir la
liaison SGBD utilisateur.
Elaboration du Modèle Entité - Association
Passage au Modèle Relationnel
Implémentation sur le SGBDR cible
Niveau conceptuel
Niveau Logique
Niveau Physique
6
64
VVII .. CCOONNCCLL UUSSII OONN ::
Nous avons présenté très sommairement les quelques notions essentielles jugées
utiles pour une meilleure compréhension de ce que l’on appelle SGBDR qui est l’objet de
notre travail ultérieur. Ce travail sera concentré sur l’élaboration d’un logiciel d’application
pour la gestion des données de produits chimiques des laboratoire de chimie.
7
65
DEUXIEME PARTIE :
ELABORATION DU LOGICIEL D’APPLICATION SOUS PROGRAMMATION
ACCESS VERSION 2000
66
II .. II NNTTEERREETT DDEE LL ’’ UUTTII LL II SSAATTII OONN DDEE PPRROOGGRRAAMM MM AATTII OONN AACCCCEESSSS 22000000 ::
Plusieurs outils de gestion de données d’une base informatisée peuvent être
utilisées tels que Visual Basic, Delphi, …. Mais plusieurs raisons nous poussent à choisir
le Microsoft ACCESS, parmi lesquelles il y a sa puissance et sa facilité d’utilisation ; on
n’a pas besoin de connaître son langage de programmation pour la construction d’une
application puissante. La présence du compagnon office peut guider l’utilisateur à tout
moment.
La version 2000 est plus performante et beaucoup plus améliorée par rapport aux
versions antérieures. Dans cette version, certaines fonctionnalités semblent absentes pour
gagner de l’espace disque et Access ne propose leur installation que lorsque nécessaire.
Microsoft Access 2000 apporte une flexibilité et un contrôle sur la conception des
champs (type de données, masque de saisie, tests de validités…)
Il offre aux concepteurs de bases de données des atouts considérables pour que la
saisie des données et l’affichage des objets soient attirants. Les assistants qui créent les
bases de données, des formulaires, et des états, en proposent des mises en forme agréables,
mais pour mieux faire, Access 2000 présente de nombreuses options de formatage, de mise
en page et de styles. On améliore l’aspect des formulaires et états par des choix judicieux
de polices, bordures, traits et couleurs, ainsi que par l’ajout d’effets spéciaux qui donnent à
certains objets un aspect 3D ou en relief.
II II .. LL EE RREECCUUEEII LL DDEESS DDOONNNNEEEESS [[ 77,, 1144 ]]
Après une phase de réflexion et d’analyse nous avons dressé le dictionnaire des
données correspondant aux informations relevées sur les documents de gestion ou lors de
l’analyse des postes de travail au moyen des interviews auprès des services de laboratoires
de chimie et des sociétés fournisseurs de produits chimiques.
Le dictionnaire des données renferme tous les codes champs utilisés, la légende
correspondante, son type (texte, numérique, monétaire) et la description (annexe III).
II II II .. PPLL AANNII FFII CCAATTII OONN DDEESS TTAABBLL EESS [[ 1144 ]]
Les tables constituent des éléments fondamentaux d’une base de données. La
planification consiste à dresser le nombre et le type de tables que contiendra la base de
données.
8
67
Pour cette étude, nous avons créé 9 tables dont chacune ne contient que les
champs se rapportant à un sujet spécifique.
III.1. Spécifier les types de données et les propriétés de champs
En Access, on peut faire de choix entre 9 types de données (Annexe IV), formats
de champs pour définir le type de données acceptées par le champ. La sélection du type de
données constitue un test sur les données entrées pour qu’elles soient toujours correctes.
Apres avoir choisi un type de données, on définit les propriétés du champ. Ces
propriétés définissent l’aspect du champ, ainsi que son comportement par exemple le
nombre de décimales du champ. Une propriété, qui oblige l’utilisateur à entrer des données
dans le champ avant de le quitter, contrôler le comportement de ce champ. En mode de
création de table, Access nous offre la feuille de propriété pour une liste de propriété de
champ.
Le tableau de l’Annexe V expose les propriétés du champ texte.
III.2. Spécifier la clé primaire
En planifiant une table, on doit aussi identifier la clé primaire. Il s’agit d’un ou
plusieurs champs dont les valeurs identifient de manière unique chaque enregistrement de
la table.
La clé primaire simplifie le triage et la localisation des données à afficher. Par
convention, le champ désignant la clé primaire doit être gras dans la table.
II VV.. DDEEMM AARRRRAAGGEE DDEE LL ’’ AACCCCEESSSS [[ 1133,, 1144 ]]
Après avoir démarré l’ordinateur, des icônes apparaissent sur l’écran. Pour
démarrer Access 00, on a recours à deux méthodes :
Soit en déroulant le Menu Démarrer en bas de l’écran, puis sélectionner
Programmes et MICROSOFT ACCESS dans le Menu proposé
Soit en faisant un clic droit sur l’icône du bureau désignant le Microsoft
Access 00.
Lorsqu’on choisit de démarrer Access depuis le Menu Démarrer ou bureau, on
doit créer une nouvelle base de données ou ouvrir une autre déjà existante, on fait donc le
choix.
9
68
IV.1.Démarrage de ACCESS depuis le bureau :
Pour ouvrir une nouvelle base de données, on effectue un clic droit sur le bureau,
pointer sur Nouveau et cliquer sur base de données Microsoft Access . Pour ouvrir une
base de données existante, double cliquage doit être fait dans Explorateur Windows .
IV.2. Démarrage de Access depuis le menu Démarrer
• Cliquer sur le bouton « Démarrer » de la base des taches :
• Pointer sur « Programmes »
• Cliquer sur « Microsoft Access »
Mais pour ouvrir une nouvelle base de données
• Cliquer sur « Démarrer » ;
• Cliquer sur « Nouveau document office » ;
• Cliquer sur l’ongle « Général » ;
• Cliquer sur l’icône Nouvelle base de données ;
• Cliquer sur « OK » ;
• Saisisser le nom de nouvelle base de données ;
• Cliquer sur « Créer ».
VV.. CCRREEAATTII OONN DDEE LL AA BBAASSEE DDOONNNNEEEESS [[ 1122,, 1133,, 1144 ]]
Pour créer une nouvelle base de données, nous avons suivi les étapes suivantes :
• Sélectionner l’option « Nouvelle base de données » de l’écran d’ouverture de
Microsoft Access 00 (figure 3) ;
• Cliquer sur « OK »;
• Une boite de dialogue s’affiche. Dans la zone Nom de fichier, taper le nom
désigné pour la nouvelle base de données ( figure 4) ;
• Cliquer sur « Créer » et la nouvelle base de données est affichée dans une
fenêtre (figure 5).
10
69
Figure 3 : Ecran d'ouverture de Ms Access 2000
Figure 4 : Boite de dialogue pour nommer la nouvelle base de données
11
70
Figure 5 : Ecran d'ouverture d'une nouvelle base de données
V.1. Présentation de la fenêtre nouvelle base de données
Sur l’en tête de la fenêtre à gauche, la barre de titre affiche le nom de la base de
données ouvertes.
Sur la deuxième ligne se trouve la base des menus. Elle contient les menus qui
représentent les groupes de commandes liées.
En dessous, à gauche la barre d’outils base de données contient des boutons sur
lesquelles on clique pour exécuter les commandes.
A la base de l’écran, la barre d’état affiche des informations concernant les
éléments sur lesquelles on clique ou les actions exécutées.
V.2. Affichage la fenêtre base de données
Pour ouvrir la fenêtre Base de données, il faut cliquer sur le menu fichier, puis sur
le nom de la base de données.
Sur la deuxième ligne après la barre de titre s’affiche la barre d’outils de la fenêtre
base de données. La barre d’outils contient les boutons des commandes pour créer, ouvrir
et gérer les objets.
12
71
Après, vient la barre objets montrant la liste des types d’objets de la base de
données, à savoir : Tables, Requêtes, Formulaire, Etats, Pages, Macros et Modules. La
description de ces types d’objets est trouvée en annexe VI.
Un peu plus bas, la barre des groupes permet de grouper les objets de la façon
voulue, en créant des raccourcis aux objets de différents types.
V.3. Les tables
Les tables stockent des informations sur un sujet précis. Par exemple, la liste des
fournisseurs, leur adresse, leur téléphone, leur code postal. L’ensemble de toutes les
informations sur ces fournisseurs peut constituer une table. Les données de la table sont
organisées en colonnes appelées CHAMP et en ligne définie ENREGISTREMENTS.
On peut créer une table suivant plusieurs méthodes :
• En mode création ;
• En mode feuille de données ;
• Avec un assistant table ;
• En apportant des données d’une autre table ou des données d’un autre
programme.
La différence entre ces quatre méthodes est exposée en annexe VII mais pour la
réalisation de notre tache, nous avons choisi la création de table en mode création.
V.3.1. Création d’une table en mode création
Pour créer une table en mode création, il faut définir les champs de la table avant
d’y faire entrer les données, sans l’aide de l’assistant.
On suit les procédés suivants pour créer une nouvelle table :
V.3.1.1. Ouvrir une table
Dans la fenêtre base de données, cliquer sur tables dans la barre d’objets puis
double cliquage doit être effectué sur l’icône créer une table en mode création.
13
72
Saisir des données :
• Dans la colonne Nom du champ, saisissez un nom du champ pour la première
colonne à créer ;
• Presser TAB, cliquer sur la flèche Type de données, puis sur le type voulu
pour le champ ;
• Presser TAB et taper la description du champ ;
• Presser ENTREE pour aller à la ligne ;
• On répète 3 à 6 fois ces étapes pour ajouter de nouveaux champs selon les
besoins.
• Fermer la fenêtre table ;
• Cliquer sur « OUI » pour enregistrer la table, la nommer et cliquer sur « OK »
Si aucune clé primaire n’est définie, une boite de dialogue permet de le faire.
V.3.1.2. Définir la clé primaire
La clé primaire identifie chaque enregistrement. Elle permet d’établir des relations
entre les tables.
Pour définir une clé primaire, cliquer sur le secteur de ligne du champ qu’on veut
utiliser comme clé primaire, puis cliquer sur le bouton clé primaire de la barre d’outils
création table. La figure 6 montre une table ouverte munie d’une clé primaire.
Figure 6 : Une table munie d'une clé primaire
14
73
V.3.2. Création des relations entre les tables
On a besoin de créer les relations entre les données des tables distinctes pour des
formulaires ou des états.
V.3.2.1. Spécification des champs communs
La relation est définie grâce à un champ existant entre les tables à relier. Il est
donc nécessaire de s’assurer que les deux tables avaient de champs communs avant de
créer la relation entre elles. Le champ commun peut être soit la clé primaire des deux
tables à relier, soit la clé primaire de la première table et clé secondaire de la deuxième.
V.3.2.2. Etablir les relations entre les tables
Une fois qu’on a spécifié le champ commun, on doit définir la nature de la
relation à créer. Il y a trois types de relation : un à un, un à plusieurs, et plusieurs à
plusieurs.
a) Relation un à un :
Chaque enregistrement d’une table est associé à un seul enregistrement d’une
seconde table et inversement.
b) Relation un à plusieurs :
Chaque enregistrement d’ une table est associé à un ou plusieurs enregistrements
d’ une seconde table, mais chaque enregistrement de celle-ci n’est associé qu’à un seul
enregistrement de la première.
c) Relation plusieurs à plusieurs :
Chaque enregistrement d’une table est associé à plusieurs enregistrements de la
seconde, et inversement.
V.3.2.3. Définir des relations de tables
Pour définir des relations de tables, on suit les procédés suivants :
1- Dans la fenêtre base de données, cliquer sur le bouton Relations de la barre
d’outils base de données, une boite de dialogue s’affiche (figure 7), 3 onglets apparaissent :
Table, Requêtes, les deux ; A droite, les deux options Ajouter et Fermer ; au centre de la
fenêtre se trouve la liste des tables et/ou de Requêtes à relier.
15
74
2- Cliquer sur l’onglet Tables ;
3- Cliquer sur la table voulue ;
4- Cliquer sur « Ajouter ». La table / ou Requêtes sélectionnées apparaît dans la
fenêtre Relations ;
5- Répéter les étapes 3 et 4 pour chaque table à utiliser dans une relation, fermer
la boite de dialogue. Une fenêtre montrant les tables à relier apparaît (figure 8).
6- Cliquer sur le champ commun de la première table et faire le glisser jusqu’au
champ commun de l’autre table. Une nouvelle fenêtre s’affiche (figure 9). Cette nouvelle
fenêtre renferme deux colonnes représentant le nom du champ commun des deux tables à
relier ainsi que le nom de la table correspondante. A droite, s’affichent les quatre options :
OK, Annuler, Type jointure, Nouvelle relation… pour l’opération à appliquer à la relation.
En bas, la ligne Type de relation indique le type de relation possible à créer :
Appliquer l’ intégrité référentielle. Mettre à jour en cascade les champs correspondants,
Effacer en cascade les enregistrements correspondants.
7- Cliquer sur le bouton « Type jointure » pour spécifier son type.
8- Sélectionner la case « Appliquer l’intégrité référentielle ».
9- Cliquer sur « Créer » et on définit la relation entre deux tables (figure 10).
Figure 7 : Sélection des tables à relier
16
75
Figure 8 : Fenêtre montrant deux tables à relier
Figure 9 : Fenêtre de création de relations entre les tables
17
76
Figure 10 : La relation créée entre deux tables
V.4. Les requêtes
Les requêtes permettent de répondre à des questions en faisant la sélection des
enregistrements, le triage et le regroupement des données de plusieurs tables.
V.4.1. Les différents types de requêtes
On a quatre types de requêtes :
• la requête sélection ;
• la requête Analyse croisée ;
• la requête Action ;
• la requête Paramètre.
V.4.1.1. La requête sélection
La requête sélection est la plus utilisée. Elle récupère et affiche des
enregistrements dans la fenêtre Table en Mode feuille de données.
V.4.1.2. La requête Analyse croisée
La requête Analyse croisée affiche des valeurs récapitulatives (sommes,
moyennes) d’un champ d’une table sous forme de colonne.
18
77
Exemple pour faire sortir la quantité restante à propos d’un produit effectuer la
quantité livrée et la quantité utilisée comme en-tête de colonnes, le nom du produit comme
en-tête de ligne
Requête Quantité livrée Quantité utilisée Reste
Nom du produit
V.4.1.3. La requête Action
La requête Action réalise des opérations sur des enregistrements répondant à des
critères voulus.
On peut réaliser 4 types de requêtes Action réalisées sur une ou plusieurs tables :
• la requête Suppression ;
• la requête Mise à jour ;
• la requête Ajout ;
• la requête création de table.
a) La requête Suppression :
Elle permet de Supprimer les enregistrements correspondants.
b) La requête Mise à jour :
On utilise pour effectuer des changements afin de faire correspondre des
enregistrements.
c) La requête Ajout :
La requête Ajout ajoute de nouveaux enregistrements à la fin d’une table.
d) La requête création de table :
La requête création de table permet de générer de nouvelles tables pour les
enregistrements correspondants.
V.4.1.4. La requête Paramètres
La requête Paramètre permet d’afficher un message demandant une information
sur un critère de sélection.
Par exemple, au lieu de requête distinct pour trouver des informations sur le
danger d’un produit donné, une requête Paramètre demandera le nom du produit avant
l’exécution de la requête.
19
78
V.4.2. Création d’une requête
On distingue deux types de création requêtes :
� en mode création ;
� par assistant.
V.4.2.1. Création d’une requête en mode création
Pour créer une requête en mode création, on suit les procédés suivants :
1- Dans la fenêtre base de données, cliquer sur requêtes dans la barre d’objets.
2- Cliquer sur Nouveau, Mode création, puis sur OK.
3- Sélectionner la table ou requête à utiliser.
4- Cliquer sur Ajouter.
5- Répéter les étapes 3 et 4 pour ajouter d’autres tables ou requêtes et cliquer sur
fermer.
La figure 11 représente la boite de dialogue pour la sélection des tables
nécessaires à la requête.
Les tables utilisées pour la requête sont affichées en haut de la fenêtre mode de
création d’une requête (figure 12) tandis qu’en bas, on trouve la grille de création.
6- Dans la fenêtre mode de création d’une requête, double cliquage doit être fait
sur les champs de la liste à inclure dans la requête.
7- Dans la grille de création, faire entrer des critères dans ces boites.
8- Cliquer sur la flèche de la boite triage et spécifier un ordre de triage.
9- Cliquer sur le bouton enregistrer, donner un nom et cliquer sur OK.
Figure 11 : Boite de dialogue pour la sélection de table nécessaire à la requête
20
79
Figure 12 : Fenêtre en mode création d’une requête
V.4.2.2. Création d’une requête par assistant
La création d’une requête par assistant est la méthode la plus pratique car
l’assistant requête guide pas à pas et on peut répondre simplement à une série de questions.
a) Créer une requête simple par assistant :
Voici les procédés à suivre pour créer une requête simple par assistant :
• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Requête » dans la barre
d’objets et double cliquage doit être fait sur « Créer une requête à l’aide de l’assistant » ;
• Sélectionner une table ou une requête ;
• Cliquer sur « Suivant ».
• La figure 13 représente la fenêtre pour la sélection des tables, ainsi que des
champs nécessaires pour la requête.
• Dans la boite de dialogue final de l’assistant, saisir le nom de la requête.
• Sélectionner ouvrir « Requête » pour afficher les informations ;
• Cliquer sur « Terminer ».
21
80
Figure 13: Boîte de dialogue pour la sélection de tables et des champs pour la requête par assistant
b) Créer une requête analyse croisée par assistant :
La requête analyse croisée permet de synthétiser le contenu de champs à valeurs
numériques.
Pour créer une requête analyse croisée par assistant, on suit les étapes suivantes :
• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur requêtes dans la base d’objets,
sur nouveau, sur assistant requête analyse croisée et sur « OK » ;
• Sélectionner la table ou la requête contenant les enregistrements à récupérer ;
• Cliquer sur « Suivant ».
• Sélectionner les champs pour les lignes de la requête analyse croisée ;
• Cliquer sur « Suivant » ;
• Sélectionner les champs pour les colonnes de la requête analyse croisée ;
• Cliquer sur « Suivant » ;
• Cliquer sur les champs dont les valeurs doivent être calculées et affichées pour
chaque intersection de ligne et de colonne ;
• Cliquer sur la fonction voulue pour le calcul à réaliser ;
22
81
• Cocher la case « Oui », inclure les sommes des lignes, pour un total à chaque
ligne ;
• Cliquer sur « suivant » ;
• Donner un nom à la requête ;
• Indiquer si on souhaite voir la requête créée ou modifier la conception ;
• Cliquer sur « Terminer ».
V.5. Les formulaires
Les formulaires affichent les données provenant des tables ou des requêtes. Ils
sont conçus pour aider à faire entrer des informations facilement et avec précision : au lieu
de faire entrer les enregistrements dans une grille de lignes et colonnes en mode feuille de
données, on utilise un formulaire analogue à un formulaire papier. Il minimise les erreurs
de saisie.
Un formulaire peut contenir un sous-formulaire, dans ce cas le formulaire est dit
principal.
V.5.1. Les différentes manières pour élaborer un formulaire
On peut élaborer des formulaires par plusieurs manières, les plus utilisés sont :
• en mode création ;
• avec assistant formulaire ;
• avec les assistants formulaires instantanés.
La figure 14 montre la boite de dialogue pour la création d’un formulaire.
23
82
Figure 14 : Boite de dialogue pour la création d’un formulaire
V.5.2. Création d’un formulaire en mode création
On peut créer un formulaire directement en mode création, sans passer par les
assistants selon le procédé suivant :
• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Formulaires » dans la barre
d’objets, puis sur « Nouveau » ;
• Cliquer sur mode « Création », sélectionner la table ou la requête voulue et
cliquer sur « OK » ;
• Si nécessaire, cliquer sur le bouton « Liste des champs » de la barre d’outils
pour ajouter un contrôle dépendant ;
• Sélectionner le champ à ajouter ;
• Faire glisser le champ à l’endroit souhaité dans le formulaire et relâcher le
bouton de la souris ;
• Créer de nouveaux contrôles selon les besoins en cliquant sur le bouton
approprié de la boite à outils ;
• Mettre en formes les textes du formulaire ;
• Enregistrer en cliquant sur la barre d’outils et nommer le formulaire.
24
83
V.5.3. Création d’un formulaire personnalisé à l’aide d’un assistant
Avec l’assistant formulaire, on doit spécifier le type de formulaire à créer et
l’assistant sert de guide.
Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Formulaire » dans la barre d’objets,
sur « Nouveau » et double cliques sur « Assistant formulaire ».
Cliquer sur la flèche déroulante pour choisir la table ou la requête nécessaires
pour le formulaire, et cliquer sur le nom qui convient ;
• Double cliquage sur les champs à inclure dans le formulaire ;
• Cliquer sur « Suivant » ;
• La boite de dialogue représentant la sélection des tables et des champs
nécessaires au formulaire est représentée par la figure 15.
• Indiquer la disposition et la position des informations sur le formulaire,
• On peut choisir entre colonne simple, tabulaire, fenêtre de données et justifié ;
• Cliquer sur « Suivant » ;
• Spécifier le style de formulaire, pour définir sa mise en forme et son
apparence finale. On peut faire le choix entre Bleu, Expédition, Fax, Grès, Industriel,
Mélanges, Papier de riz, Pierre, Standard, Sumi. Dans notre cas, nous avons choisi le
Papier de riz.
• Cliquer sur « Suivant » ;
• Nommer le formulaire ;
• Indiquer si on veut l’ouvrir ou l’afficher en Mode création ;
• Cliquer sur « Terminer ».
25
84
Figure 15 : Boite de dialogue pour la sélection de table et de champs pour les formulaires par assistant
V.5.3. Création d’un formulaire simple avec l’assistant formulaire
instantané
Avec les Assistants formulaires instantanés, Access crée un formulaire simple
comme colonnes, Tableau ou Feuille de données d’après la table ou la requête spécifiée
Les procédés suivants permettent de créer un formulaire simple avec l’Assistant
formulaire instantané :
• Dans la fenêtre base de données, cliquer sur « Formulaires » dans la barre
d’objets, puis sur « Nouveau » ;
• Cliquer sur « Formulaire instantané : Colonne »
ou « Formulaire instantané : Tableau »
ou « Formulaire instantané : Feuille de données selon le besoin ».
• Cliquer sur la flèche déroulante pour choisir la table ou la requête nécessaire
pour le formulaire et sélectionner un nom de table ou de requête ;
• Cliquer sur « OK ».
Après un moment, Access crée un formulaire et l’affiche en mode formulaire
26
85
V.5.5. Création d’un sous formulaire à l’aide de l’assistant
On doit créer un sous formulaire incorporé dans un formulaire principal au cas où
ce formulaire utiliserait le champ de plusieurs tables.
Access stocke les données appropriées dans chaque table sans que l’utilisateur
sache que plusieurs tables sont utilisées.
On utilise le sous formulaire pour afficher les données de tables ou de requêtes
ayant une relation UN à PLUSIEURS. Les données du formulaire principal proviennent de
la table représentant le coté « UN » de la relation et les données du sous formulaire
viennent de la table du coté « PLUSIEURS ».
Pour créer un sous formulaire :
• Cliquer sur « Formulaire » dans la barre d’objets dans la Fenêtre base de
données, et double cliquage sur le bouton « Créer un formulaire à l’aide de l’Assistant » ;
• Cliquer sur la flèche déroulante Tables/ Requêtes et sélectionner la table qui
apparaîtra dans le formulaire principal ;
• Sélectionner les champs de la table qui apparaîtront dans le formulaire
principal. On doit assurer l’existence de champ commun reliant une table Un à la table
Plusieurs ;
• Cliquer sur la flèche déroulant Tables / Requêtes et sélectionner la table qui
apparaîtra dans le sous formulaire ;
• Cliquer l’option « Affichage des données » pour la table un :
• Activer l’option « Formulaire avec sous formulaire » ;
• Cliquer sur « Suivant » ;
• Spécifier si le sous formulaire doit être sous forme Tabulaire ou Feuille de
données, cliquer sur suivant, cliquer sur « Suivant » ;
• Spécifier un style pour le formulaire ; cliquer sur « Suivant » ;
• Nommer le formulaire et le sous formulaire ;
• Spécifier si on veut ouvrir le formulaire ou le modifier en mode création.
• Cliquer sur « Terminer ».
27
86
V.5.6. Modification d’un formulaire
En mode création, trois méthodes peuvent être utilisées pour modifier un
formulaire :
• à l’aide du pointeur ;
• à l’aide des grilles ;
• en utilisant la liste des propriétés.
� Modification à l’aide du pointeur :
Après avoir sélectionné la zone à modifier, par exemple le nom du champ, quatre
types de pointeurs peuvent se présenter :
• le pointeur texte ;
• le pointeur main : permet de déplacer le nom du champ ;
• le pointeur doigt : permet de déplacer le nom du champ ;
• les pointeurs flèches : permettent de modifier la dimension du nom du champ.
� Modification à l’aide des grilles
Les grilles sont utilisées pour bien aligner deux éléments, et pour avoir la même
dimension que ce soit sur le longueur, que sur la hauteur.
Pour l’utilisation :
• sélectionner les objets à modifier ;
• dérouler le menu format ;
• sélectionner, soit l’option taille, soit l’option alignement ;
• soit l’option espacement verticale ou Espacement horizontal.
� Modification en utilisant la liste des propriétés.
Cette méthode permet de faire une modification avec précision. Pour cette
modification :
• cliquer sur le menu Affichage ;
• cliquer sur l’option Propriétés et la liste des propriétés de l’objet sélectionner
apparaît, sinon ACCESS affiche la liste des propriétés du formulaire ou de la section en
cours.
28
87
V.6. Les Etats
Les états sont destinés à l’édition des données sous forme de papier. Ils permettent
de regrouper des enregistrements selon certains critères. Ce sont des outils d’analyse des
tables.
V.6.1. Elaboration d’un état
Pour l’élaboration d’un état, on utilise surtout l’assistant tel qu’assistant- étiquette
pour créer rapidement des étiquettes, tandis que les calculs dans un état sont crées en mode
de création ainsi que la modification des propriétés.
V.6.1.1. Création d’un état pour étiquette
On suit les procédés suivants :
• Dans la fenêtre Base de données, cliquer sur « Etats » dans la barre d’objets,
puis sur « Nouveau » ;
• Cliquer sur « Assistant Etiquette » dans la boite de dialogue Nouvel état et
sélectionner la table ou requête à utiliser, cliquer sur « OK » ;
• Sélectionner un type d’étiquettes, et cliquer sur « Suivant » ;
• Spécifier le style de police et la couleur du texte de l’étiquette, cliquer sur
« Suivant » ;
• Cliquer double sur les noms de champs voulus dans la liste champs
disponibles. Saisir le texte à ajouter aux valeurs des champs, et cliquer sur « Suivant » ;
• Sélectionner un champ de triage, et cliquer sur « Suivant » ;
• Nommer l’état et choisir de prévisualiser ou modifier la conception des
étiquettes ;
• Cliquer sur « Terminer ».
V.6.1.2. Calculer dans un état
On peut insérer des calculs dans un état de la manière suivante :
• Créer un contrôle zone de texte en mode création et placer sur la zone où on
veut trouver le champ calculé ;
• Cliquer sur le bouton de propriétés de la barre d’outils, créer un état ;
29
88
• Cliquer sur la boite de propriétés source contrôle spécifiant les données d’un
contrôle et cliquer sur le bouton « Générateur d’expression » ;
• Cliquer sur le bouton « Egal » ;
• Cliquer sur les boutons d’opérateur pour faire entrer les opérateurs à utiliser ;
• Cliquer sur « OK » pour insérer le calcul dans le champ ;
• Cliquer sur « Fermer ».
V.6.1.3. Modification des propriétés dans un état
On procède de la manière suivante :
• En mode création, sélectionner le control, la section, l’état concerné, et cliquer
sur le bouton Propriétés de la barre d’outils ;
• Cliquer sur l’onglet qui contient la propriété à modifier ;
• Cliquer sur la boite de la propriété à modifier ;
• Cliquer sur la boite de propriétés à modifier, puis effectuer et saisir
l’information ou l’expression à utiliser, choisir une valeur dans la liste de la boite de
propriétés, ou bien faire apparaître un générateur d’expression en faisant un clic sur les
boutons à droite de la boite de propriétés.
V.6.2. Les différentes sections dans un état
Un état est divisé en plusieurs sections telles que l’en-tête d’état, l’en-tête de page,
l’en-tête de groupe, le détail, le pied de groupe, le pied de page et le pied d’état.
V.6.2.1. L’en-tête d’état
C’est la section en haut de la première page de l’état, utilisé pour mettre le titre, le
logo de la société ou l’introduction.
V.6.2.2. L’ en-tête de page
Généralement utilisé pour insérer le numéro de page ou la date d’état.
V.6.2.3. L’ en-tête de groupe
Section utilisée avant chaque groupe d’enregistrement pour mettre des
informations par exemple le nom de l’utilisateur.
V.6.2.4. La section détail
Elle contient le corps principal de l’état.
30
89
V.6.2.5. Le pied de groupe
Section utilisée après chaque groupe d’enregistrements pour mettre des
informations par exemple le stock restant.
V.6.2.6. Le pied de page
En bas de chaque page, cette section sert de placer des explications de symboles
ou le numéro de page.
V.6.2.7. Le pied d’état
La section à la fin d’un état, on y met par exemple des informations
récapitulatives, le total d’un état.
Les sections d’ en-tête et pied existent par paires. Et pour sélectionner la section,
il suffit de cliquer sur son sélecteur, une boite à gauche du titre.
Un clic sur le sélecteur de l’angle supérieur gauche sélectionne tout l’état.
V.6.3. Imprimer un état
Pour l’impression :
• Cliquer sur « Fichier », et sur « Imprimer » ;
• sélectionner le bouton « Tout pour imprimer toutes les pages » ; mais pour
imprimer certaines pages, cliquer sur le bouton « Pages » et saisir les numéros de page
dans les zones « De » et « A ».
• cliquer sur « OK ».
V.7. Les Macros
Les macros sont constituées de commandes nécessaires pour accomplir des
opérations à automatiser. Cette automatisation de taches rend la base de données plus
efficace ou plus productive. Elles peuvent aussi s’exécuter à la suite d’une production d’un
événement.
V.7.1. Création et enregistrement d’une macro
Avant de créer une macro, on doit connaître les actions requises pour accomplir
les taches à automatiser. Puis on procède de la manière suivante :
31
90
1- Dans la fenêtre Base de données, cliquer sur « Macros » dans la barre d’objets.
2- Cliquer sur le bouton « Nouveau ». La fenêtre de la nouvelle macro apparaît
figure 16.
3- Cliquer sur la flèche Action, puis sur une action et presser TAB et on dispose
de nombreuses actions.
4- Saisir un commentaire pour expliquer l’action.
5- Cliquer sur « Nom table » de la boite des Arguments de l’action et choisir une
valeur dans la liste déroulante.
6- Pour ajouter d’autres actions, cliquer sur le bord droit d’une nouvelle ligne
Action et répéter les étapes 2 à 5. La macro exécute les actions dans l’ordre de la liste.
7- Cliquer sur le bouton « Enregistrer » de la barre d’outils.
8- Entrer un nom pour identifier l’action de la macro.
9- Cliquer sur « OK ».
Figure 16 : Fenêtre d’une nouvelle macro
V.7.2. Exécution une macro
Pour qu’une macro réalise ses actions, il faut l’exécuter.
Pour cela, il existe deux moyens : la macro peut exécuter toutes les étapes en une
seule séquence, ou on la teste en lui demandant de s’exécuter pas à pas. La dernière est la
plus pratique, on suit les étapes suivantes :
32
91
1- Afficher la macro en Mode création de macro.
2- Cliquer sur le bouton « Pas à pas » de la barre d’outils.
3- Cliquer sur le bouton « Exécuter » de la barre d’outils. S’il n’apparaît pas,
cliquer sur « Outils », « Macro », sur « Exécuter une macro », cliquer sur la flèche
déroulante et cliquer double sur la macro voulue.
4- Cliquer sur « Pas à pas » pour exécuter la première action.
5- Répéter l’étape 4 jusqu’à ce que la macro se termine.
Si la macro ne peut réaliser une action, un message apparaît.
6- Cliquer sur « OK » pour fermer le message.
7- Cliquer sur « Arrêter » pour arrêter la macro.
V.7.3. Création d’une nouvelle macro pour un événement
Un événement est une action spécifique qui se produit sur un objet. Pour exécuter
une macro en réponse à un événement, il faut aller dans la feuille des propriétés.
Pour créer une nouvelle macro pour un événement :
• Double cliquage sur l’objet en mode création.
• Cliquer sur l’onglet « Evénement ».
• Cliquer sur « Evénement » pour lui assigner la macro.
• Cliquer sur le bouton « Créer ».
• Double cliquage sur « Générateur de macro ».
• Nommer la macro
• Faire entrer les actions de la nouvelle macro, puis fermer la fenêtre MACRO.
Modification d’une macro : Pour la modification d’une Macro :
• Cliquer sur « Macros » de la fenêtre base de données ;
• Sélectionner le nom de la macro à modifier ;
• Cliquer sur « Modifier » ;
• Saisir les modifications souhaitées.
33
92
VI. CONCLUSION :
La multiplicité des produits chimiques du laboratoire étudié, ainsi que leur
dispersion rendent difficile la recherche, et à cela s’ajoute la situation de stock et la
connaissance de ces produits.
Le SGBD nous aide à résoudre ce problème. Les usagers pourraient s’en servir
pour déterminer la quantité des produits restants, leurs propriétés physico-chimiques. De
plus, les fournisseurs et leurs localisations ont aussi été étudié.
34
93
TROISIEME PARTIE :
PRESENTATION DE LA BASE DE DONNEES Stock.mdb ET APPLICATION DU LOGICIEL
ELABORE
94
II .. PPRREESSEENNTTAATTII OONN DDEE LL AA BBAASSEE DDEE DDOONNNNEEEESS SSTTOOCCKK ..MM DDBB ::
La base de données élaborée regroupe toutes les informations ou données sur les
produits chimiques présents dans le laboratoire
Figure 17 : Structure globale de la base de données Stock.mdb
Les données sont soit de forme alphanumérique, soit de forme texte .
Nous avons effectué le travail sur un micro-ordinateur de type Pentium 2 dont
l’outil de travail est le MICROSOFT ACCESS version 2000 qui permet de gérer les bases
de données selon le type relationnel en utilisant les objets :
• Les tables ;
• Les requêtes ;
• Les formulaires ;
• Les états ;
• Les macros ;
• Les modules ;
• Les pages.
Nous avons déjà exposé ultérieurement la création de ces objets.
I.1. Organisation de la base de donnes
Nous avons conçu un Système de Gestion de Base de Données du type
relationnel. Pour ce faire nous avons stocké les données de la Base dans des tables à partir
desquelles :
• Les formulaires permettent de saisir plus facilement les données.
• Les états sont destinés à l’édition des données sous forme de papier.
• Les requêtes permettent à répondre à des questions.
• Les macros automatisent quelques tâches.
Données fournisseurs
Données utilisateurs
Données produits
Données dangers
Données livraison
Données utilisation
Données nomenclature
35
95
La figure 18 montre le schéma conceptuel de ces données. Ce schéma comprend
sept entités : Produit, Fournisseur, Livraison, Utilisateur, Utilisation, Danger et
Nomenclature avec les liens « Effectuer », « Avec », « Concerner » et « Avoir pour » et
« Correspondre ».
A partir du schéma conceptuel, on obtient le schéma relationnel des données
(Figure 19). L’obtention du schéma relationnel est déjà expliquée à la deuxième partie.
36
96
97
Figure 18 : schéma relationnel des données
I.2. Structure de la base de données
Les éléments du schéma relationnel nous permettent de bien concevoir la structure
de la base de données.
I.2.1. Les tables
Le modèle relationnel comprend sept tables principales et quatre tables
intermédiaires.
Tables principales :
• Table fournisseur
• Table utilisateur
• Table produit
• Table danger
• Table livraison
• Table utilisation
• Table nomenclature
38
98
Tables intermédiaires :
• Table livraison détaillée
• Table utilisation détaillée
• Table attention
• Table budget
Les structures des tables sont présentées dans la figure 19
I.2.1.1. La table produit :
La table produits renferme les renseignements concernant chaque produit tels
que : la référence, la désignation, la formule chimique, la densité, la masse molaire, le
degré de pureté, le point de fusion, le point d’ébullition, le conditionnement, la marque, la
qualité, le type et l’unité des produits.
o La Référence produit :
La référence produits notée Ref PROD constitue le clé primaire pour la table
PRODUITS.
o Désignation :
Chaque produit possède un nom spécifique permettant de les distinguer aux
autres.
Généralement, ce nom est celui donné par la nomenclature des noms des produits
chimiques.
o La formule chimique :
Chaque nom correspond à une formule chimique bien déterminé et selon la norme
ISO
o La densité [ 6 ] :
Pour le solide et le liquide, c’est le rapport du poids d’un certain volume des corps
au poids de même volume d’eau distillée. Elle se désigne par un symbole tel que d425 qui
signifie : densité du corps à 25°C par rapport à l’eau prise à 4°C.
Mais pour le gaz : c’est le rapport du poids d’un certain volume de gaz au poids
du même volume d’air mesuré dans les mêmes conditions de température et de pression.
39
99
o La masse molaire [ 6 ] :
C’est le poids de substance qui occuperait à l’état gazeux, 22.414 litres, à 0°C et
sous la pression de 760mmHg.
o Le degré de pureté [ 6 ] :
Le degré de pureté désigne la limite supérieure de la teneur en impuretés vis à vis
d’un réactif chimique ou physique donné. Il est exprimé en pourcentage.
o Le point de fusion [ 6 ] :
C’est la température à laquelle, sous une certaine pression, le liquide et le solide
sont en équilibre. Ce point est exprimé en « °C ».
o Le point d’ébullition [ 6 ] :
C’est dans cette condition thermique que la première goutte de liquide se
transforme en vapeur. Ce point est exprimé en « °C » comme celle du point de fusion.
o Le conditionnement :
Chaque produit doit être conservé dans un récipient soit en verre, en plastique, en
polyéthylène, en fer blanc et soit en aluminium.
Le récipient dépend de la nature et des caractéristiques physiques et chimiques du
produit. Rappelons qu’on doit choisir les récipients qui peuvent garder intact les qualités
du produit chimique.
o La marque :
Les produits de laboratoire portent surtout les marques :
-MERCK ;
-PROLABO ;
-LABOSI ;
-RIEDEL de HAËN ;
-PANREAC ;
- INTERKEM ;
Mais certains ont les marques :
-RAL ;
-SERLABO ;
-PIERRON ;
40
100
-RPE (Reagente Pro Erba);
-BLB (Labo du Bois de Boulogne) ;
Ce sont des marques déposées et parfois de renommées internationales en matière
de produits chimiques.
o La qualité :
Dans le domaine de leur utilisation les produits sont employés pour l’analyse
chimique, la synthèse et les opérations de séparation comme extraction par solvant, et
adsorption.
o Le type :
Pour faciliter l’identification des produits du laboratoire, on les a rangé en trois
classes tels que les réactifs, les solvants et les produits d’usage courant.
Les réactifs regroupent les produits chimiques utilisables en petite quantité dans
les procédures d’analyse chimique.
On désigne par solvants ou dissolvants les substances capables de mettre une
autre en solution par un phénomène par lequel un corps placé au contact d’un autre
disparaît pour donner un ensemble plus ou moins homogène. Ce phénomène s’ appelle « la
dissolution ».
Les produits d’usage courant comme son nom indique renferment tous les
produits utilisés fréquemment.
o L’unité :
Si le produit est un solide, il est exprimé en gamme (g), mais millilitre (ml ) pour
le liquide.
I.2.1.2. La table FOURNISSEUR
La table fournisseur comprend les renseignements concernent chaque fournisseur
tels que : la référence, le nom, l’adresse, la boite postale, le numéro du téléphone fixe, le
numéro du téléphone portable, l’adresse E- mail et le fax du fournisseur.
On peut citer les principaux fournisseurs suivants :
- INTERKEM ;
- CNAPMAD ;
- Pharmacie centrale ;
41
101
- ICTA ;
- Technique et précision ;
- Techni-labo ;
- SOMAPHAR
- Mr Bouchet ;
- Mr Petit Jean ;
-Mr Giraud ;
- BAD.
I.2.1.3. La table LIVRAISON
Elle nous informe sur la référence, la date de livraison, et la référence fournisseur
du produit.
I.2.1.4. La table UTILISATEUR
On y trouve la référence, le nom, l’adresse et le numéro du téléphone de
l’utilisateur. Pour la référence, nous avons numéroté de UP 1 à UP 22 les enseignants et
responsables utilisateurs du laboratoire Génie chimique, rangé par ordre alphabétique
(Annexe VIII).
Pour les étudiants, on a adopté par année les références suivantes qu’il faut mettre
à jour annuellement à cause du passage des étudiants en classe supérieure :
De UE 3X : les étudiants en 3ème année Génie chimique.
De UE 4Y : les étudiants en 4ème année.
De UE 5Z : les étudiants en 5ème année.
De UE 6T : les étudiants en 6ème année ou les mémorisants.
Les lettres X,Y,Z et T sont remplacées par le numéro des étudiants
I.2.1.5. La table UTILISATION
Cette table illustre la référence, la date, le motif de l’utilisation et la référence de
l’utilisateur.
Comme motif d’utilisation, nous voyons sur cette table :
• les travaux pratiques (T.P) ;
• les mini- projets ;
42
102
• les mémoires ;
• les recherches.
I.2.1.6. La table DANGER [ 15 ] :
Cette table contient les symboles et les libellés dangers. Les symboles danger
nous informent les précautions à prendre pendant l’utilisation et la manutention du produit.
On utilise les symboles suivants :
E : Explosif
C : Corrosif
F : Inflammable
F+ : Très inflammable
O : Comburant
T : Toxique
T+ : Très toxique
Xn : Nocif
Xi : Irritant
Pour plus d’explications sur les dangers voir annexe IX.
I.2.1.7. La table NOMENCLATURE :
Renferme les codes nomenclature et les libellés de ces nomenclatures.
I.2.1.8. La table LIVRAISON Détaillée
Cette table incluse la référence livraison, référence la quantité de produit livrée, le
prix unitaire hors taxe et taxe comprise.
I.2.1.9. La table UTILISATION détaillée
Elle renferme la référence des utilisations, référence produit, et quantité utilisée.
I.2.1.10. La table ATTENTION :
La table Attention regroupe la référence produit et le symbole danger.
43
103
I.2.1.11. La table BUDGET :
Cette table est constituée par les codes nomenclatures, les références du produit et
le montant du budget correspondant au produit d’une activité.
Les tables principales telles que : Fournisseur, Livraison, Utilisateur, Utilisation,
Produit, Dangers et Nomenclature possèdent une seule clé primaire. Tandis que les quatre
tables intermédiaires : livraison détaillée, utilisation détaillée, attention et budget possèdent
deux clés primaires.
Il s’avère impossible de représenter la cardinalité n, n. Les tables intermédiaires
sont nées grâce à ce type de cardinalité entre deux tables principales liées. Elles seront
donc des tables dont leurs clés primaires seront formées par deux clés étrangères des deux
tables principales.
I.2.2. Les relations
Nous avons relié deux tables ayant un champ commun. Nous avons décrit
précédemment qu’il y a 3 types de relation : un à un, un à plusieurs et plusieurs à plusieurs.
II II .. AAPPPPLL II CCAATTII OONN DDUU LL OOGGII CCII EELL EELL AABBOORREE SSTTOOCCKK LL AABB GGCC ::
II.1. Saisie des données
La saisie des données consiste à remplir tous les attributs de chaque table. On peut
faire de la saisie à partir du formulaire correspondant.
La saisie des données comprend :
• Saisie des données produits avec la formule chimique, les propriétés physico-
chimiques correspondantes, les fournisseurs, les dangers, le type, la marque, les prix
(HT,TC).
• Saisie des données fournisseurs dans sa table fournisseur ;
• Saisie des Utilisateurs de produits chimiques ;
• Saisie des Dangers qui peuvent avoir exister ;
• Saisie du type d’utilisation existant ;
Notons bien qu’avant de donner une nouvelle référence à une donnée (N-uplet), il
faudrait bien vérifier son absence antérieure dans la table pour éviter la redondance.
44
104
II.2. Exploitation de la base de données
Les responsables du laboratoire, les enseignants et les étudiants pourraient utiliser
la base de donnée par trois possibilités d’exploitation, à savoir :
• la mise à jour des données ;
• l’interrogation de la base ;
• la production
II.2.1. La mise à jour des données
Par jour, on peut créer des nouvelles données, les remplacer et les éliminer si
besoin.
Pour faire les opérations, on doit parcourir au formulaire.
II.2.1.1. Création de nouvelle donnée
Il s’agit de faire la saisie d’une nouvelle donnée dans la base de donner une
nouvelle référence et de compléter les renseignements vides sur le formulaire ouvert.
II.2.1.2. Remplacement des données
Cette opération consiste à corriger les erreurs d’une table. Le remplacement ne
change pas les relations entre toutes les tables et les données des autres tables non-
modifiées.
II.2.1.3. Elimination des données
L’élimination des données est de supprimer les données inutiles non- disponibles.
Ces données sont obtenues par des faux renseignements ou la redondance des données
dans la table ;
Après avoir supprimé la référence d’une donnée, tous les N-uplets correspondant
dans les autres tables sont aussi éliminés automatiquement.
II.2.2. L’interrogation de la base
Le SQL (Structured Query Langage) est le langage de base de données que l’on
utilise pour l’interrogation, la mise à jour et la gestion des bases de données relationnelles.
Le fonctionnement du SQL dépend des liens entre les tables, d’où l’importance de
la structure et de l’organisation de la base de données.
45
105
II.2.3. La production
Cette troisième possibilité d’exploitation de la base de données désigne l’édition
des données sous forme de papier. Elle se présente par les états qui permettent d’imprimer
ces données.
II.3. Le menu général
Le menu général est une fenêtre personnalisée mettant de nombreuses
fonctionnalités à la disposition des usagers par un simple clic. Cette option sur le menu
général ouvre des formulaires pour afficher ou entrer des données, des requêtes ou des
états pour voir des sous ensembles de données ; il comporte aussi du bouton pour ouvrir la
base de données. La figure 20 montre le menu général de notre base.
Sur ce menu général, il existe cinq fonctions :
• Fichiers
• Articles
• Etat
• Mouvement
• Budget
Figure 19: Le menu général
- Fichiers : il comprend les dangers, les fournisseurs, les utilisateurs qui peuvent
avoir exister.
46
106
- Articles : il est constitué par les produits présents associés aux dangers qu’ils
peuvent provoquer.
- Mouvements : cela désigne tous les mouvements d’entrée et de sortie de chaque
produit. Tous ces mouvements doivent être enregistrés à tous moments pour savoir la
quantité de stock exacte.
- Etat : il renferme le tableau de bord de chaque produit ; il représente aussi la
récapitulation globale du stock ainsi que les fiches de stock pour voir le détail du stock .
- Budget : c’est une fonction supplémentaire que nous avons inventé car
normalement le produit surtout le produit courant pour chaque activité du laboratoire doit
être lié à son propre budget.
II.3.1. Maintenance des éléments de la fonction fichiers :
Dangers (figure 21):
- cliquer sur « Danger » de la fonction fichiers.
- le formulaire Danger est ouvert, on y trouve dans 2 colonnes tous les symboles
et les libellés correspondants.
- cliquer sur la flèche en bas de la barre de défilement pour voir la totalité de
l’information concernant le Danger.
Figure 20: Maintenance des dangers existants
47
107
- Cliquer sur le bouton « Etat » pour faire sortir la Fenêtre Etat des dangers
existants (figure 22).
- Quitter l’état.
- Cliquer le bouton « Fermer » pour quitter la fiche Danger.
Figure 21 : Fenêtre montrant l ‘état des dangers existants
Fournisseurs (figure 23):
- Cliquer sur le bouton « Fournisseur » de la fonction fichiers.
Même application que le Danger pour ajouter de nouveaux fournisseurs, ainsi que
pour faire sortir l’état des fournisseurs.
Figure 22: Maintenance des fournisseurs existants
48
108
Utilisateurs (figure 24) :
Sa maintenance est identique à celle des Dangers et des Fournisseurs existants.
Figure 23: Maintenance des utilisateurs existants
II. 3. 2. Maintenance de la fonction Article :
Nous venons de dire précédemment que cette fonction représente les produits et
les Dangers qu’ils peuvent provoquer.
Produits (figure 25) :
- cliquer sur le bouton « Produit », et le formulaire correspondant s’ouvre.
- on peut ajouter de nouveaux produits dans la dernière ligne précédée
d’asterisque
Figure 24: Maintenance des produits
49
109
Dangers correspondant à un produit (figure 26) :
Le danger fait état des produits et les dangers ainsi provoqués.
Ceci est utilisé pour chercher les dangers liés à un produit, ainsi que pour faire
rentrer les dangers correspondants à un produit.
Un produit peut être associé à plusieurs dangers. La flèche déroulante au niveau
du danger est utilisée pour ajouter les autres dangers correspondants à un produit.
Figure 25: Maintenance simultanée des produits avec les dangers
II. 3. 3. Maintenance de la fonction mouvement :
Dans cette fonction, il y a deux boutons relatifs à la livraison et l’autre à
l’utilisation.
Livraison (figure 27):
Cliquer sur le bouton « Livraison » et le formulaire livraison s’ouvre. Remplir sur
le cadre référentiel de la livraison, la date, le fournisseur que l’on choisi parmi la liste
déroulante.
Puis on passe dans le tableau détail. On ne fait pas la saisie du produit, le nom du
produit est déjà introduit par l’intermédiaire de la table Produit et apparaît
automatiquement dans la requête Livraison. Il suffit de faire le choix parmi la liste
déroulante.
50
110
Faire la saisie de la quantité, du prix unitaire hors taxe, du prix unitaire à taxe
comprise. L’Access calcule automatiquement le prix total taxe comprise.
Figure 26: Maintenance de la livraison (Entrée)
Utilisation (figure 28) :
Cliquer sur « Utilisation », ainsi le formulaire s’ouvre.
Remplir le cadre de Référence, la date et le motif de l’utilisation, ainsi que
l’utilisateur en faisant un choix parmi la liste déroulante.
Dans le tableau détail, on peut faire le choix sur le produit correspondant utilisé.
La quantité utilisée fait également l’objet d’une saisie à part entière.
Figure 27: Maintenance de l’utilisation (sortie)
51
111
II. 3. 4. Maintenance de la fonction état :
Tableau de bord (figure 29) :
Comme son nom l’indique, ce tableau de bord représente le tableau de bord de
chaque produit. Par un simple clic sur ce bouton, ce tableau renferme 6 colonnes
singularisant la référence, la désignation, la quantité, le dernier achat, le prix unitaire hors
taxes et le prix unitaire à taxes comprises sur chaque produit. Il facilite bel et bien la
visualisation et la configuration des prix des produits.
Figure 28 : Tableau de bord des produits
Fiche de stock (figure 30) :
Cet état représente la récapitulation globale des stocks. Elle renferme la référence,
la désignation, la date, la référence de la livraison (origine) ou de l’utilisation (destination),
le fournisseur ou l’utilisateur, la quantité entrée, la quantité sortie correspondant à un
produit ainsi que la quantité existante.
52
112
Figure 29 : Fiche de stock d’un produit (cas du trichloroacétique)
II.3.4. Maintenance de la fonction budget :
Nomenclature et budget :
Le bouton nomenclature indique les abréviations correspondantes aux activités du
laboratoire en y faisant un simple clic (figure 31).
Figure 30: Maintenance de la nomenclature
53
113
Après avoir cliquer sur le bouton « Budget », nous connaissons le budget lié au
produit de chaque activité du laboratoire (figure 32).
La dernière ligne précédée d’asterisque est réservée pour l’extension.
Figure 31: Le budget annuel lié au produit de chaque activité du laboratoire.
II II II .. CCOONNCCLL UUSSII OONN ::
Au terme de cette dernière partie de notre travail, en guise de conclusion, nous
pouvons dire que les essais de simulation du logiciel élaboré nous paraissent satisfaisants
sur le plan opérationnel de l’outil en question et surtout sur le plan des résultats cherchés et
cela malgré la complexité du traitement des données sur les produits chimiques des
laboratoires.
54
114
CCOONNCCLL UUSSII OONN GGEENNEERRAALL EE
Au terme de cette étude, différentes idées pratiques ont été évoquées en long et en
large du présent travail. Sommes toutes, elles répondent aux questions de savoir sur la
fonctionnalité et l’opérationnalité du logiciel élaboré .
En effet, les problèmes qui se posent ne sont autres que l’éparpillement spatial
ainsi que le volume peu maîtrisé des produits chimiques. Ainsi, les utilisateurs et les
responsables du laboratoire ont du mal à organiser tout un système par lequel on peut
visualiser ces produits.
Quant aux objectifs, ils pourraient être multiples, mais on peut les synthétiser par
la conception d’un logiciel Stock Lab G.C apte à faciliter les travaux des utilisateurs dans
le cadre de feuilletage qu’ils veulent faire. En outre, ces utilisateurs peuvent effectuer,
selon leurs besoins et demande, une visualisation de la quantité de stock.
A priori, la capacité de ce logiciel est visible sur le menu général par un simple
cliquage en fonction des buts envisagés. Mais tout dépend de l’aptitude à la manipulation
et la pratique des utilisateurs. Pour ce faire, nous avons adopté toute une méthodologie qui
se résume par l’exploitation de l’Access version 2000 afin d’avoir une certaine précision,
une fiabilité et une faisabilité vis à vis des bases de données en main. Le système y afférent
est le stock.mbd.
Enfin, nous pensons et nous espérons bel et bien que le présent ouvrage constitue
un document de base aux utilisateurs de laboratoires pour une raison de facilitation d’accès
au feuilletage des informations pour le renseignement d’un tel ou tel produit.
55
115
BBII BBLL II OOGGRRAAPPHHII EESS
1. Jeffry BYRNE, Easy MICROSOFT ACCESS 2000, See it done, do it yourself.
2. Claude CHRISMENT, Mise en œuvre des bases de données, principes
méthodologiques, édition EYROLLES, 1990.
3. CNTEMAD (Centre National de Télé- Enseignement de Madagascar)/ CNED
(Centre National d’Enseignement à Distance- France), Cours de programmation,
première année Informatique de Gestion, 1998-1999.
4. COPEMED, Formation Système de Gestion de Base de Données – Access, Manuel I
et Manuel II, Partie 1 à Partie 6.
5. Claude DELOBEL et Michel ADIBA, Bases de données et systèmes relationnels,
DUNOD informatique, 1982.
6. Clément .DUVAL et Raymonde DUVAL, Dictionnaire de la chimie et ses
applications 3ème édition, Technique et documentation, 1978.
7. GALACSI, Conception de base de données du schéma conceptuel aux schéma
physiques, DUNOD informatique Paris, 1989.
8. GARDARIN Georges, Maîtriser les bases de données : modèles et langages, Paris
EYROLLES, 1993.
9. Claude JAULT, Les bases de données relationnelles ou libre accès aux informations,
les éditions d’organisation Paris, 1986.
10. Catalogue MERCK, Réactifs, Diagnostica, Produits chimiques, 1995.
11. MICROSOFT ACCESS user’s Guide, Relational Database Management System for
windows, Microsoft corporation, 1992.
12. Jean François SEHAN, Formation rapide de notions de base ACCESS 97, DUNOD
Paris ,1997
13. RANDRIANASOLO Baovola, Elaboration d’un Système de Gestion de Base de
Données comme guide en Géologie Appliquée. Conception d’un programme en
MICROSOFT ACCESS. Version 97, 1999.
14. RATSARAZAFY Fara, cours de Sécurité et environnement, 5ème année Génie
Chimique, Département Génie Chimique ESPA, 2001- 2002.
15. RATSIMBA Marie Hanitriniaina, RAZAFINARIVO Noroanja Vololomboasary,
Organisation et sécurité dans un laboratoire de chimie : Etude du cas de
Vontovorona, 1999 16. Annuaire officiel Télécom Malagasy, édition 2001 - 2002 17. Hand Book of Chemistry and Physics, Weast 49 th
edition, The Chemical Rubber CO., 1968- 1969.
56
116
ANNEXE I
ARCHITECTURE D’UN SGBD
57
117
Cette figure fait apparaître trois principaux éléments:
• Le noyau du SGBD, c’est le logiciel qui assure le bon fonctionnement de la
base de données.
• Le système d’exploitation de l’ordinateur sur lequel le logiciel du SGBD a été
construit.
• Les différents schémas : externe, conceptuel et physique qui sont stockés sous
forme de catalogues internes obtenus à partir des description fournis au système de base de
données.
Explication de l’architecture :
Supposons que le programme d’application écrit à partir du schéma externe 1
lance un ordre de lecture d’une donnée ou d’un groupe de données.
(1) La demande de lecture est envoyée au SGBD.
(2) La demande est analysée à l’aide du schéma externe pour d’une part vérifier
par exemple que l’utilisateur qui a écrit ce programme a bien le droit d’accéder à la
donnée, et d’autre part transmettre les caractéristiques de cette donnée à partir du catalogue
concernant le schéma externe 1.
(3) Le SGBD consulte le schéma conceptuel et en déduit le type logique de
données à extraire.
(4) Le SGBD consulte le schéma physique et en déduit l’enregistrement physique
à lire.
(5) Le SGBD transmet l’ordre de lecture ou système d’exploitation.
(6) le système d’exploitation reçoit l’ordre et l’analyse en consultant certains
paramètres du schéma physique, puis lance l’ordre de lecture au contrôleur des unités
périphériques qui gère la base de données.
(7) Les données recherchées sont transmises dans une zone de mémoire appelée
tampon système.
(8) Le SGBD sélectionne parmi l’ensemble des données reçus dans son tampon
seulement celle qui est nécessaire au programme d’application, il effectue toute
transformation nécessitée par la correspondance « schéma externe – schéma conceptuel »
et transmet ce données dans le tampon du programme d’application.
58
118
(9) Le SGBD informe éventuellement le programme d’application de déroulement
anormaux qui aurait pu se produire lors de l’opération de lecture afin que celui-ci réagisse
si une telle situation se présentait.
(10) Le programme d’application dispose de la donnée demandée et peut par
conséquent passer à l’opération suivante.
Le principe qui vient d’être présenté concernant une demande de lecture serait
analogue à une demande de l’écriture ou de mise à jour. En particulier, une demande de
mise à jour commence par une opération de lecture, puis ensuite d’écriture.
Ce que nous venons de décrire concernait un seul programme d’application, dans
la majorité des cas, nous aurons au même instant plusieurs programmes d’application qui
se dérouleront en parallèle. Il appartiendra au SGBD de les gérer et plus particulièrement
de détecter le cas où différents programmes souhaitent accéder à la même donnée.
59
119
ANNEXE II
MODELE ENTITE – ASSOCIATION CARDINALITES
D’UNE ASSOCIATION
Le modèle conceptuel de données Entité – Association repose sur la perception du
monde réel sous forme d’un ensemble d’objets « Entités » associés au moyen d’un
ensemble d’« Association » entre ces objets.
Un modèle Entité – Association a pour objectif de favoriser le dialogue avec les
utilisateurs, de représenter les ensembles de données et leurs liens sémantiques.
Ce modèle est représenté sous forme de diagramme du type :
La cardinalité est toujours du type (min, max) dont la cardinalité minimale
représente le nombre de fois minimum qu’une occurrence d’Entité participe à une relation
tandis que la cardinalité maximale, c’est le nombre de fois maximum qu’une occurrence
d’entité participe à une relation.
Dans ce cas, on trouve les cardinalités du type (1, n) et (1, 1) mais il est aussi
possible d’avoir le type (n, n).
Un fournisseur effectue un ou plusieurs livraisons et une livraison est effectuée
par un et un seul fournisseur.
Fournisseur
RefFour NomFour AdrFour
Livraison
RefLIV DatLIV QuantLIV
Effectuer (1, n) (1, 1)
60
120
ANNEXE III
DICTIONNAIRE DES DONNEES
CODE CHAMP LEGENDE TYPE Descriptions
Ref prod
Design prod
For prod
Dens prod
M prod
P prod
Pf prod
Pe prod
Cond prod
Marq prod
Qual prod
Typ prod
Unit prod
Ref four
Nom four
Adr four
B.P four
Tel .four
GSM four
Référence produit
Désignation produit
Formule chimique
produit
Densité du produit
Masse molaire du
produit(g)
Degré de pureté du
produit(%)
Point de fusion du
produit(°C)
Point d’ébullition du
produit(°C)
Conditionnement du
produit
Marque du produit
Qualité du produit
Type du produit
Unité du produit
Référence fournisseur
Nom du fournisseur
Adresse du
fournisseur
Boite Postale
Numéro téléphone
fixe du fournisseur
Numéro téléphone
Texte
Texte
Texte
Numérique
Numérique
Numérique
Numérique
Numérique
Texte
Texte
Texte
Texte
Texte
Texte
Texte
Texte
Numérique
Numérique
Numérique
Clé primaire
Clé primaire
121
E mail four
Fax four
Ref liv
Date liv
Quant liv
Puht prod
Putc prod
Ref utlsr
Nom utlsr
Adr utlsr
Tel utlsr
Ref utlst
Dat utlst
Motif utlst
Quant utlst
Symb dan
Lib dan
Codenom
Montbudg
Libnom
portable
Adresse E mail du
fournisseur
Fax du fournisseur
Référence livraison
Date de la livraison
Quantité livrée
Prix unitaire hors taxe
du produit
Prix unitaire taxe
comprise du produit
Référence utilisateur
Nom de l’utilisateur
Adresse de
l’utilisateur
Numéro téléphone de
l’utilisateur
Référence de
l’utilisation
Date de l’utilisation
Motif de l’utilisation
Quantité utilisée
Symbole du danger
Libellé danger
Code nomenclature
du produit
Montant du budget du
produit
Libellé nom du
produit
Texte
Numérique
Texte
Date/heure
Numérique
Monétaire
Monétaire
Texte
Texte
Texte
Numérique
Texte
Date/heure
Texte
Numérique
Texte
Texte
Texte
Monétaire
Texte
Clé primaire
Clé primaire
Clé primaire
Clé primaire
Clé primaire
62
122
ANNEXE IV
TYPES DE DONNEES
Type de données Description
Texte Limité à 255 caractères alphanumériques. Utilisé pour tous les
textes courants ne nécessitant pas de calculs comme noms,
adresse, numéro de téléphone etc…
Mémo Limité à 64000 caractères alphanumériques. Réservé pour les
notes et les remarques qui risquent de dépasser les 255
caractères du type texte
Numérique Nombre entier ou en virgule, des nombres permettant des
calculs, à l’exception des valeurs monétaires
Date/heure Date et/ou heure pour les années 100 à 9999. stocké sous une
forme numérique particulière. On peut faire des calculs à partir
de ces champs
Monétaire Valeur numérique monétaire utilisée dans des calculs jusqu’à
quatre décimales
Numéro auto Compteur de 1 en 1 mis à jour par ACCESS. Ne peut
apparaître qu’une seule fois dans la table. Un champ de ce type
est généralement utilisé comme clé primaire
Oui/non Champ ne portant que deux états comme oui/non, vrai/faux,
activé/désactivé…
Objet OLE Objets d’une autre application qu’ACCESS (par exemple,
feuille de calcul Excel) lié ou incorporé dans une table
ACCESS.
Un champ de ce type est utilisé pour stocker des images, des
sons, des feuilles de calcul, de graphique…
Lien hypertexte Chemin vers un autre document ou adresse d’une page Web
sur Internet.
63
123
ANNEXE V
PROPRIETES DU CHAMP TEXTE
CHAMP ACTION
Taille du champ Désigne les limites du nombre de caractères du champ
Format Définit l’aspect d’affichage lors de la consultation à l’écran
Masque de saisie Spécifie un format ou modèle dans lequel entrer les données
Légende Indique le nom exact et sans abréviation du champ.
Utilisé dans les formulaires
Valeur par défaut Spécifie une valeur insérée automatiquement pour les
nouveaux enregistrements
Valide si Vérifie si la saisie est correcte
Chaîne vide autorisée Spécifie si le champ permet une chaîne de longueur nulle
Indexe Indique si Access tient à jour un index des valeurs du champ
64
124
ANNEXE VI
OBJETS DE LA BASE DE DONNEES
OBJETS Description
TABLES Des grilles contenants des informations sur un sujet
précis
REQUETES Questions que l’on pose à une base de données pour
déterminer des informations particulières
FORMULAIRES Fenêtre permettant de saisir des informations plus
facilement et avec précision
ETATS Récapitulatifs d’informations, conçus pour être lisibles
et accessibles
MACROS Séries de commandes stockées exécutant une action.
Permettent d’ automatiser une suite d’opérations
répétitives.
MODULES Programmes que l’on écrit à l’aide de Microsoft Visual
Basic, permettent de réaliser des opérations très
complexes en utilisant les seules fonctionnalités d’
ACCESS
PAGES
Fichiers au format HTML distinct de la base de données
Access, à placer sur le Web pour faciliter le partage de
données. Permettent de publier des formulaires comme
pages web.
65
125
ANNEXE VII
METHODES POUR CREER UNE TABLE
METHODES DESCRIPTION
CREATION On spécifie le type de données de chaque champ, on attribue
une table pour les champs texte et numérique, puis on
établie la clé primaire et on enregistre la table
ASSISTANT TABLE Le type de données et les autres propriétés sont prédéfinis.
Et on sélectionne les champs de tables exemples appropriées
au type de B.D crée.
FEUILLE DE
DONNEES
Le type de données, la taille correspondant aux entrées sont
assignés automatiquement par Access
IMPORTER UNE
TABLE
On peut utiliser les données utilisées par une autre B.D
Access. Avec les données importées, les noms des champs
et les types de sonnées sont conservés
66
126
ANNEXE VIII
Liste par ordre alphabétique des enseignants et des techniciens utilisant le
laboratoire Génie Chimique de Vontovorona et les références correspondants
Référence Noms des enseignants
UP 1 Andriamandranto Daniel
UR 2 Andrianarison Edouard
UR 3 Andrianary Philippe
UR 4 Elisoamiadana Philippine
UR 5 Raharijaona Tovo Robin
UR 6 Rahoasa Robert
UR 7 Rasolondramanitra Jocelyne
UR 8 Ravelomanantsoa Nicole
UR 9 Rasoanaivo Philippe
UR 10 Rakotondramanana Samuel
UR 11 Randriana Richard
UR 12 Rakotoarivonizaka Ignace
UR 13 Randrianoelina Benjamin
UR 14 Razafimandefitra André
UR 15 Rabibisoa Daniel
UR 16 Rakotomamonjy Pierre
UR 17 Rajoelinirina Vezulah
UR 18 Ratsarazaka Fara
UR 19 Ranaivosamoelina Nelson
UR 20 Robinson Fidy
UR 21 Téchnicien N°1 ( T1): Andriamalala Mbola Prosper
UR 22 Téchnicien N°2 (T2): Rakotoandrianomanana José
UR 23
67
127
ANNEXE IX
EXPLICATION DES DANGERS DES PRODUITS CHIMIQUES .
Danger
s
Propriétés Exemples
Corrosifs (C) Provoquent la brûlure de la peau ou des yeux ou
de la voie respiratoire en cas de contact ou de
projection.
H2SO4, HCl, NaOH
Irritants (Xi) Provoquent une réaction inflammatoire, des
manifestation de chaleur, de rougeur et de douleur.
Ils piquent les yeux, la gorge, le nez, la peau.
Hydrazine
dichlorhydrate,4 –
methoxyacetophenone
Inflammables
(F,F+)
Peuvent brûler les yeux et la peau.
Ils sont irritants, corrosifs et nocifs souvent
mortels
Sodium amide,
Acetylacetone
Comburants (O) Présentent des réactions fortement exothermiques
lorsqu’ils sont en contact avec d’autre substance
c’est à dire favorisant la combustion en dégageant
de l’O2 ;
incompatibles avec les matières inflammables ou
combustibles.
O2, H2SO4, Cl2
Toxiques et
nocifs (T,T+)
(Xn)
Entraînent la perte des connaissances et même la
mort.
Cyanure de
Potassium, KCN, P, As
68
TTAABBLL EE DDEESS MM AATTII EERREESS
REMERCIEMENTS
LISTE DES FIGURES
INTRODUCTION GENERALE ...........................................................................................1
PREMIERE PARTIE : NOTION DE BASE SUR LE SYSTEME
DE GESTION DE BASE DE DONNEES RELATIONNELLES
I. DEFINITION ET OBJECTIFS DE LA BASE DE DONNEES - ...............................2
II . LE CONTENU DE LA BASE DE DONNEES ...........................................................2
I II. DEFINITION D’UN SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
(SGBD) ET SGBDR ............................................................................................................3
IV. STRUCTURE DE Systeme de gestion de base de donnees .......................................3
IV.1. Organisation des données .........................................................................................4
IV.2. Nomenclature ..........................................................................................................4
IV.3. Démarche de conception d’un SGBDR. ..................................................................6.
V. UTILISATEUR ET ADMINISTRATEUR DU SGBD -............................ .................6
VI. Conclusion : ...................................................................................................................7
DEUXIEME PARTIE : ELABORATION DE LOGICIEL
D'APPLICATION SOUS PROGRAMMATION ACCESS 2000
I. INTERET DE L’UTILISATION DE PROGRAMMATION ACCESS 2000 :.. ........8
II . LE RECUEIL DES DONNEES ...................................................................................8
I II. PLANIFICATION DES TABLES ...................................................................... ........8
III.1. Spécifier les types de données et les propriétés de champs.......................................9
III.2. Spécifier la clé primaire ............................................................................................9
IV. DEMARRAGE DE L’ACCESS ...............................................................................9
IV.2. Démarrage de Access depuis le menu Démarrer .................................................10
V. CREATION DE LA BASE DONNEES ..................................................................10
V.1. Présentation de la fenêtre nouvelle base de données .............................................12
V.2. Affichage la fenêtre base de données ....................................................................12
V.3. Les tables ...............................................................................................................13
V.3.1. Création d’une table en mode création ............................................................13
V.3.2. Création des relations entre les tables .............................................................15
V.4. Les requêtes ...........................................................................................................18.
V.4.1. Les différents types de requêtes ......................................................................18
V.4.2. Création d’une requête ....................................................................................20
V.5. Les formulaires ......................................................................................................23
V.5.1. Les différentes manières pour élaborer un formulaire ...... .............................23
V.5.2. Création d’un formulaire en mode création .......... .........................................24V.5.3. Création d’un formulaire personnalisé à l’aide d’un assistant .......................25V.5.3. Création d’un formulaire simple avec l’assistant formulaire instantané........26
.V.5.5. Création d’un sous formulaire à l’aide de l’assistant ...................................27
V.5.6. Modification d’un formulaire ........................................................................ 28
V.6. Les Etats ...............................................................................................................29
V.6.1. Elaboration d’un état ......................................................................................29
V.6.2. Les différentes sections dans un état ..............................................................30
V.6.3. Imprimer un état .............................................................................................31
V.7. Les Macros ...........................................................................................................31
V.7.1. Création et enregistrement d’une macro ........................................................31.
V.7.2. Exécution une macro ......................................................................................32
V.7.3. Création d’une nouvelle macro pour un événement .......................................33
TROISIEME PARTIE: PRESENTATION DE LA BASE DE DONNEES
Stock.mdb ET APPLICATION DU LOGICIEL D'APPLICATION
I. PRESENTATION DE LA BASE DE DONNEES Stock .mdb : --..........................35
I.1. Organisation de la base de donnes .........................................................................35
I.2. Structure de la base de données .............................................................................38
I.2.1. Les tables .........................................................................................................38
I.2.2. Les relations .....................................................................................................44
II. APPLICATION DU LOGICIEL ELABORE Stock lab GC : ........................44
.II.1. Saisie des données .............................................................................................44.
II.2. Exploitation de la base de données .....................................................................45
II.2.1. La mise à jour des données ...........................................................................45
II.2.2. L’interrogation de la base .............................................................................45
II.2.3. La production................................................................................................46
II.3. Le menu général .................................................................................................46
II.3.1. Maintenance des éléments de la fonction fichiers :......................................47
II. 3. 2. Maintenance de la fonction Article : ..........................................................49
II. 3. 3. Maintenance de la fonction mouvement : ..................................................50
II. 3. 4. Maintenance de la fonction état :................................................................52II.3.4. Maintenance de la fonction budget : ............................................................53
III. CO NCLUSION : ........................................................................................................54
CONCLUSION GENERALE ..........................................................................................55.
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LL II SSTTEE DDEESS FFII GGUURREESS
Figure 1 : Les trois niveaux d’un SGBD ................................................................................................................3Figure 2 : Démarche de conception d’un SGBDR ................................................................................................4Figure 3 : Ecran d'ouverture de Ms Access 2000 ---..............................................................................................10Figure 4 : Boite de dialogue pour nommer la nouvelle base de données .............................................................10Figure 5 : Ecran d'ouverture d'une nouvelle base de données -.............................................................................11 Figure 6 : Une table munie d'une clé primaire......................................................................................................13Figure 7 : Sélection des tables à relier -.................................................................................................................15
Figure 8 : Fenêtre montrant deux tables à relier...................................................................................................16 Figure 9 : Fenêtre de création de relations entre les tables..................................................................................16Figure 10 : La relation créée entre deux tables.....................................................................................................17
Figure 11 : Boite de dialogue pour la sélection de table nécessaire à la requête ................................................19 Figure 12 : Fenêtre en mode création d’une requête ............................................................................................20
Figure 13: Boîte de dialogue pour la sélection de tables et des champs pour la requête par assistant ! .............21
Figure 14 : Boite de dialogue pour la création d’un formulaire .........................................................................23
Figure 15 : Boite de dialogue pour la sélection de table et de champs pour les formulaires par assistant..........25Figure 16 : Fenêtre d’une nouvelle macr...............................................................................................................31 Figure 17 : Structure globale de la base de données Stock.mdb ..........................................................................33Figure 18 : Schéma conceptuel des données..........................................................................................................35Figure 19 : schéma relationnel des données-.........................................................................................................36Figure 20: Le menu général ...................................................................................................................................44Figure 21: Maintenance des dangers existants .....................................................................................................45Figure 22 : Fenêtre montrant l ‘état des dangers existants....................................................................................46Figure 23: Maintenance des fournisseurs existants ..............................................................................................46Figure 24: Maintenance des utilisateurs existants.................................................................................................47Figure 25: Maintenance des produits.....................................................................................................................47Figure 26: Maintenance simultanée des produits avec les dangers ......................................................................48Figure 27: Maintenance de la livraison (Entrée)...................................................................................................49Figure 28: Maintenance de l’utilisation (sortie) ..................................................................................................49Figure 29 : Tableau de bord des produits..............................................................................................................50Figure 30 : Fiche de stock d’un produit (cas du trichloroacétique)......................................................................51Figure 31: Maintenance de la nomenclature .........................................................................................................51 Figure 32: Le budget annuel lié au produit de chaque activité du laboratoire. ....................................................52..
NOM : RAZAFINDRAIBE
PRENOMS : Haritiana
TITRE DU MEMOIRE : « ELABORATION D’UN LOGICIEL DE GESTION
DES DONNEES DE PRODUITS CHIMIQUES
DES LABORATOIRES DE CHIMIE D’IVONTOVORONA »
NOMBRE DE PAGES : 56
NOMBRE DE FIGURES : 32
RESUME
La présente étude est essentiellement consacrée à l’élaboration d’un logiciel
relatif au stock.Lab.GC. Cet outil peut répondre
efficacement aux besoins et à la demande des utilisateurs du laboratoire Génie
chimique de Vontovorona .
Ses caractéristiques sont la facilité d’utilisation et d’extension dans le cadre
technico- technologique. Il s’agit d’un atout par excellence pour mieux visualiser des
renseignements importants qui se rapportent aux produits existants.
Effectivement, ces produits sont quantitativement volumineux. Ainsi, leur recherche
qui se veut être rapide, précise se retarde de temps en temps. De cette acception, nous avons
été enclin de concevoir et d’élaborer sérieusement ce type de logiciel.
A notre avis, de par la sérénité conceptuelle que nous avons pensée, finalement cet
ouvrage a vu le jour.
Mots clés : Bases de données, tables, relations, produits, utilisateurs, fournisseurs, dangers,
budgets.
Adresse de l’auteur : M me RAZAFINDRAINIBE Haritiana
Logement 1816 cité des 67 Ha Nord- Est.
Antananarivo (101)
Rapporteur : Monsieur RAHARIJAONA Tovo Robin