Social

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Mensuel de l’Armée du Salut - 122e année - N°01 / 02 - 2012

Dire merci page 3

« Nous ne baisserons pas les bras » page 5

râce à ce projet, l’Armée du Salut répond aux besoins qui ne sont couverts ni par les pouvoirs publics, ni par les divers acteurs sociaux.

Grâce à ce « Street Worker » et à des volontaires, l’Organisation accroît sa présence et sa visibilité dans la rue et crée des relations avec le groupe cible. Le projet est ancré localement. Durant la première phase du projet, les responsables déterminent tous les besoins que l’Armée du Salut peut et veut couvrir.

Le lieu de rencontre

L’Armée du Salut Bâle 1 veut utili-ser les ressources d’une brocante pour renforcer sa mission « au service de Dieu et des hommes » dans les années qui viennent. Markus Zünd, responsa-ble de l’Armée du Salut Bâle 1, déclare

Aller à la rencontre des besoins : les travailleurs des rues à Genève

Officier Séverino Ratti épaule des personnes dans le besoin.

En Belgique comme en Suisse, beaucoup de projets pourront être réalisés grace à vos dons. Dans le cadre du projet « Street Worker », le groupe de travail de l’Armée du Salut se propose d’offrir à la population genevoise ce temps et cette écoute.

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 Michel Sterckx

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social

Il y a des pauvres partout, il suffit de garder les yeux et le cœur ouverts.

  Point de vue

La plupart des discussions com-mencent par ces mots. J’ose pré-tendre que la majorité des gens répondent « Je vais bien », même si ce n’est pas le cas. Et, souvent, celui qui pose la question est bien content de ne pas recevoir de réponse plus précise.

Nous ne voyons pas ce qui se cache derrière la façade d’une per-sonne. Souvent, nous ne remar-quons pas quand quelqu’un va mal.

Comment allez-vous ?

Et pourtant, je suis régulièrement confronté à des personnes qui se trouvent dans une situation difficile ou qui ont perdu pied. Bien souvent, personne n’est là pour les aider.

L’Armée du Salut connaît ce pro-blème depuis sa création en 1878. Aujourd’hui encore, près de 130 ans plus tard en Suisse, elle se soucie de ceux qui sont dans le besoin. En prêtant une oreille attentive, en offrant logis, couvert et réconfort,

elle apporte son aide de manière directe et sans bureaucratie inutile. Vous rendez cette action possible par vos dons. C’est pourquoi, jour après jour, nous pouvons demander à nos semblables « Comment allez-vous ? ». Nous prenons le temps d’attendre une réponse sincère et nous avons la pos-sibilité d’aider là où c’est nécessaire.

Merci de pouvoir vous compter parmi nos fidèles donateurs !

Egalement pour les femmes

« Buchseegut » est un centre d’habitat, de travail et d’occupa-tion à Köniz. 40 hommes y habi-tent, y vivent et y travaillent. Ces hommes profitent d’un conseil et d’un suivi professionnels. Les bâti-ments dans lesquels ils vivent ont été mentionnés pour la première fois en 1717. Le foyer actuel a été construit en 1962 et la dernière extension d’importance a été effec-tuée en 1973. Cette maison datant de près de 50 ans a besoin d’une réfection quasi totale. Urs Meyner, qui dirige le foyer de Buchseegut, précise : « Les chambres ne répon-dent plus aux standards actuels et les installations sanitaires, qui sont en partie d’un usage commun, sont complètement vétustes et dépassées. Il faut à présent pro-céder à un assainissement global et à de nouvelles constructions. » Dorénavant, il sera également pos-sible pour les femmes de vivre au foyer de Buchseegut.

un site d’achats avantageux, mais aussi un lieu de rencontre à Bâle. Outre le café en famille et les manifestations du Corps de l’Ar-mée du Salut, ce lieu deviendra également un lieu de rendez-vous pour les personnes vivant dans l’isolement et la solitude.

à ce propos : « Les habitants du quartier réduisent ainsi leurs inhibitions et leurs appréhen-sions envers l’Armée du Salut et la foi chrétienne. Ils reçoivent une assistance pratique et glo-bale et la possibilité de rencon-trer leurs semblables et Dieu. » La petite brocante prévue deviendra

 Christoph BitterResponsable Fundraising

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évangile

Dans la Bible

Alors qu’il se rendait à Jé-rusalem, Jésus longea la frontière entre la Samarie et la Galilée. A l’entrée d’un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre ; ils s‘arrêtè-rent à distance et se mirent à le supplier à haute voix : Jésus, Maître, aie pitié de

Dire merci

uand elle était toute petite, ma fille avait une idée très précise sur ce qu’elle souhaitait pour son anniversaire :

ni plus, ni moins qu’un … robi-net ! Rien à faire, elle insistait. Par bonheur son papa est un véritable orfèvre du bois ; avec scie, ciseau et lime il lui créa un véritable évier, avec plonge, égouttoir et … robinet … pour sa cuisine miniature. Un moment de pur bonheur !

En devenant plus grand, c’est plus … complexe. Nous avons tout, ou presque. Nous nous creu-sons les méninges pour pouvoir offrir un cadeau surprenant, pour aller au-devant d’attentes si dif-ficiles à réaliser ! Et après les pré-sents de Décembre, voici Janvier ! Les papiers brillants sont pliés, les cartons rangés, les chocolats mangés … il reste quoi ?

Et si nous souhaitions tout sim-plement exprimer un immense merci ? Prendre conscience que nous avons tant reçu ? Finalement, si nous fêtons notre anniversaire, ou Noël, ou la nouvelle année, c’est parce que nous sommes tou-

jours là. Et si nous sommes tou-jours là, sans trop de dommages, entourés de proches aimants, bien nourris et en sécurité, n’est ce pas parce qu’il y a un Quelqu’un qui a

Q

La joie et la reconnaissance

doivent se fonder sur la parole de

Dieu. Un bonheur dépendant des circonstances de vie est trop

fragile.

 Annelise Bergmann

veillé sur nous ? Souhaitons … ne jamais oublier la reconnaissance, la joie, la fête ! Et adressons- nous … à qui de droit !

nous ! Jésus les vit et leur dit : Allez vous montrer aux prê-tres ! Pendant qu’ils y allaient, ils furent guéris. L’un d’eux, quand il se rendit compte qu’il était guéri, revint sur ses pas en louant Dieu à pleine voix. Il se prosterna aux pieds de Jé-sus, face contre terre, et le re-

mercia. Or, c’était un Samari-tain. Alors Jésus dit : Ils sont bien dix qui ont été guéris, n‘est-ce pas ? Où sont donc les neuf autres ? »

La Bible, évangile de Luc, chapitre 17, versets 11 à 17.

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société

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L‘Armée du Salut internationale est aujourd‘hui présente dans 124 pays. Son siège international est à Londres. Elle est dirigée par la Générale Linda Bond.

« Nous ne baisserons pas les bras »

vision

L’Armée du Salut est une armée qui ne se désarmera jamais, non seulement à secourir le reste du monde mais aussi ici en Bel-gique, dans un même esprit, à soulager la souffrance morale, physique, sociale et spirituelle qui touche toutes les classes de notre société – qu’elles soient flamandes, Wallonnes ou ger-maniques.

os équipes, inlassablement, s’affairent, soutenues par de nombreux volontaires, à assis-ter, guider, secourir, reclasser

tous ceux qui sont laissés pour compte,

 Jacques RouffetOfficier de l’Armée du Salut,

Responsable Belgique

abandonnés de la société, délaissés de la vie et ignorés des médias.

Confrontés à d’innombrables difficul-tés les membres et collaborateurs de l’Armée du Salut ne baisseront pas les

bras. Pour mener à bien leur entreprise, ils ont besoin du soutien financier de tous ceux prêts à les aider dans leur combat humanitaire à soulager la misère sociale et spirituelle du pays et dont j’espère vous vous ferez le supporteur.

A l’avance et de tout cœur nous vous en remercions et vous souhaitons une bonne année 2012

NUne organisation sans pareilL‘Armée du Salut se bat activement et de manière visible contre les maux de la société et elle vit la puissance de l‘Evangile, en paroles et en actes. Grâce à son engagement social, elle jouit d‘une haute reconnaissance de la part de la population et des autorités.

Armée du Salut est créée au moment de la révolution industrielle dans les bidon-villes de l‘Est londonien.

Le fondateur du mouvement est l‘an-glais William Booth (1829-1912). Il a grandi à Londres, dans le bidonville de Nottingham. Durant sa jeunesse, il fait connaissance avec un mouvement méthodiste, où il prend la décision de suivre Jésus Christ. Il devient prédica-teur laïque (méthodiste).

Il décida donc d‘amener l‘Eglise dans la rue. Son principe : soulager aussi bien l‘âme que la détresse matérielle des Hommes.

Le mouvement, connu sous le nom de « Mission chrétienne de l‘Est londonien » depuis 1865 s‘organise et devient l‘Armée du Salut en 1878. Elle se répand rapi-dement dans tout le Royaume-Uni et à l‘étranger. En Suisse, les réunions de l‘Ar-

mée du Salut ont commencées en 1882. A ses débuts, le mouvement y rencontre de grandes résistances et sera même inter-

dit dans certains cantons. Enfin, l‘Armée du Salut convainc par ses œuvres, jus-qu‘à gagner la sympathie de la popula-tion et la reconnaissance des autorités. Aujourd‘hui, l‘Armée du Salut propose, en Suisse, 34 institutions sociales, 22 pro-jets sociaux (comme les repas du midi ou les bureaux sociaux), elle maintient 57 Postes (églises), 22 brocantes.

AdSL’

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témoignage

Sans tambourni trompette

C’est ça l’amour !

La cloche a sonné ; récréation pour tout le monde ; un petit garçon de cinq ou six ans babille gentiment avec une de ses copi-nes de classe. Tout à coup il s’ar-rête net, regarde avec un grand sérieux la fillette et lui lance tout à trac : « c’est quoi l’amour ? » La gamine, embarrassée, danse d’un pied sur l’autre, réfléchit un peu et finalement se lance à l’eau : « ben, c’est quand tu crois que je ne te vois pas prendre le biscuit de la récré dans mon car-table et que rentrée à la maison j’en remets un pour que tu me le piques le lendemain … c’est ça l’amour. » Anecdote enfantine délicieuse n’est-ce pas ?

Dans le registre « grandes personnes » connaissez-vous ces injonctions de Jésus ? « Si quelqu’un te frappe sur une joue, présente-lui aussi l’autre ; si quelqu’un prend ton manteau, ne l’empêche pas de prendre aussi ta tunique, si quelqu’un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. » (Luc 6 ; 22 et Mat. 5 ; 41) Délicieux ? C’est ça l’amour ? Oui, c’est ça l’amour. Mais il faut savoir que dans son genre Jésus est un dangereux révolutionnaire ! Per-sonnellement j’aime assez son genre, même si le chemin qu’Il nous propose est loin d’être une promenade d’agrément. Nager à contre-courant demande pas mal d’endurance et de persévérance.

 Marianne Hefhaf

Alfred Wanner habite au Foyer pour hommes Hasenberg de l’Ar-mée du Salut depuis 16 ans. Il ajoute : « Et cela fait 14 ans que je n’ai plus touché une goutte d’al-cool. » Le chemin pour y parvenir fut difficile.

Alfred Wanner arrive au Foyer pour hommes en 1995. Il est rebelle et agressif. Chaque semaine, il a un entretien avec le Directeur du Foyer – sur sa situation, la vie et la foi. Alfred Wanner est sceptique et pose de nombreuses questions cri-tiques. Cet entretien finit souvent par tourner à la confrontation.

Alfred Wanner refuse de croire en un Sauveur. Mais un jour, Jésus le surprend justement alors qu’il est en état d’ébriété. Il com-mence simplement à lui parler.

Cela ne laisse pas Alfred Wanner indifférent. Il commence à lire la Bible et se convertit. Peu à peu, il reprend résolument sa vie en main. Les conversations au Foyer pour hommes l’aident. Là-bas, on lui montre à la lumière de la Bible comment fonctionne la vie.

Aujourd’hui, Alfred Wanner est un homme engagé et serviable. Il a saisi sa deuxième chance : « Si j’étais resté à Berne dans le milieu de la drogue, je ne serai plus en vie aujourd’hui. » Il est passé, à la recherche de nouvelles tâches, par chaque service du Foyer pour hommes. Par exemple, l’Armée du Salut propose des travaux de menuiserie, du bois de chauffage et des palettes. Il est également possible de trouver du travail à la ferme attenante.

L’homme de 52 ans lit désormais chaque soir un passage de la Bible. Il l’ouvre simplement et se laisse surprendre. Il trouve qu’on devrait lire la Bible pour soi à voix haute. Le Psaume 23 le touche tout spé-cialement. Il parle du bon berger, notre soutien, qui est avec nous même dans l’obscurité. Il conduit ses protégés près d’une eau paisi-ble et leur redonne des forces …

C’est l’aide de l’Armée du Salut qui lui a permis d’avoir des pers-pectives d’avenir.

Il a saisi sa deuxième chance  Florina German

Alfred Wanner, jadis alcoolique et sans perspectives d’avenir, vit et travaille aujourd’hui dans un foyer pour hommes de l’Armée du Salut.

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infos

Bimensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 388 05 95 | Courriel : redaction@swi.salvationarmy.org | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abon-nement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général e : Linda Bond | Chef de territoire : Franz Boschung | Rédaction Berne: Gabrielle Keller (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : André Sterckx, Berne / Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Graf-Lehmann SA, Berne | Tirage : CH: 5000 ex. BE : 4000 ex. | Crédit photo : P 1 : Sven Gallinelli ; P 2 : Matthew Woitunski ; P 3 & 8 : Gabrielle Keller ; P 5 : AdS ; P 6 : Wikimédia ; P 7 : Aurélien Bergot ; P 8 : Wikimédia | L’Armée du Salut, mouvement in-ternational, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.

Oui, je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir »

pour la somme de CHF 48.–

Nom :Prénom :Adresse :

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A envoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale 6575, 3001 Berneredaction@swi.salvationarmy.org

L’Armée du Salut apporte son aide, tant en paroles qu’en actions. Ses quelque 5 000 soldats, officiers et amis se rendent auprès des person-nes qui ont besoin de leur aide. Sou-tenez notre travail, par un don via IBAN CH41 0023 5235 5606 3601L. Merci !

Une banque aide La Banque CIC (Suisse) intensifie son engagement d’intérêt public par un concept partenaire. Elle soutient le programme REHA de l’Armée du Salut pour les personnes au chômage. Un entretien avec Sébastien Comment, le marketing et les produits.

Monsieur, pourquoi justement l’Armée du Salut ?Nous cherchions un projet d’ampleur nationale correspondant aux besoins actuels. Nous sommes rapidement parvenus à une entente parfaite et à une identité de vues lors du dialogue avec l’Armée du Salut à l’occasion de la campagne commune « Offre une chanson », qui a connu une très grande réussite.

A combien se montent les sub-ventions ?Le projet REHA obtient une subvention d’un total de 30 000 francs. Le projet nous a séduits et convaincus par son actualité. En outre, les brocantes de l’Armée du Salut sont un symbole connu et apprécié du grand public.

Pourquoi ne soutenez-vous que trois projets ?Trois projets durant trois ans représentent pour la banque de moyenne importance que nous sommes une dimension ac-

ceptable et nous pouvons ainsi participer à plusieurs thèmes sans nous dis-perser.

Armée du Salut

Le projet REHALe programme REHA permet à des personnes qui cherchent un emploi ou qui sont au chô-mage de retrouver le chemin du monde du travail. Il s’agit aussi bien d’une intégration professionnelle que sociale. L’objectif réside dans l’intégration de personnes à capacité de prestation réduite dans les brocantes de l’Armée du Salut en leur versant un juste sa-laire correspondant au travail effectué. Durant les premiers mois, les personnes concernées subissent un entraînement pour le premier marché de l’emploi et on mesure à cette occa-sion leur degré d’activité. L’Armée du Salut réagit dans le cadre du projet REHA au nombre croissant de personnes qui ne sont plus capables de répondre aux exigences du marché du travail : il s’agit de personnes victimes de défaillances physiques, de problèmes psychiques ou se situant dans un contexte d’émigration. D’autres raisons peuvent également interve-nir, telles qu’une maladie, un accident, une addiction, un contexte social difficile ou une légère perte des capacités cognitives.

PP3001 BerneAnnoncer les

rectifications d’adresses

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Sudoku

Solution du Sudoku

détente

Règle du jeuIl faut placer dans la grille, par ligne horizon-tale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel or-dre. Vous devez retrouver la totalité des chif-fres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !

« Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d‘un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. »   

La Bible, évangile de Matthieu chapitre 11, verset 28