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JOURNAL L'ECONOMIE L'ECONOMIE Dossier : Dossier : Goldman Sachs en Europe L’événement : L’événement : The Firm : la grande pieuvre Novembre 2014 Novembre 2014 GOLDMAN SACHS : COMMENT COMMENT INFLUENCE INFLUENCE TELLE LE MONDE ? TELLE LE MONDE ? DE

EXEMPLE DE TPE/ PRESENTATION JOURNAL

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TPE 1°ES, Matteo Larequie.

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JOURNALL'ECONOMIEL'ECONOMIE

Dossier :Dossier :Goldman Sachsen Europe 

L’événement :L’événement :The Firm : la grande pieuvre

Novembre 2014Novembre 2014

GOLDMAN SACHS : COMMENTCOMMENT INFLUENCEINFLUENCE

TELLE LE MONDE ?TELLE LE MONDE ?

DE

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EDITO

GOLDMAN SACHS : UNE BANQUE PUISSANTEhors série du journal dejournal de LL'ÉconomieÉconomie   de Novembre 2014, traitant à titre exclusif de Goldman Sachs, empire banquier riche de 700 milliard d'euros actifs (2 fois celui de la France). Une banque étasunienne qui, comme beaucoup d'autre est prête à tout pour son profit. «L'empire banquier» dispose d'un réseau d'influence politique unique en son genre et de 30 000 banquiers sujet à une culture d'entreprise qualifié par l'écrivain Greg Smith, (ancien membre de Goldman Sachs), de « secte », dans son ouvrage Pourquoi j'ai quitté Goldman Sachs. Grâce à son réseau mondiale et son armé de «moines banquiers», la banque à su prendre les devants lors de ces 5 années de crises. Permettant alors d’accroître sa puissance financière, puis son emprise politique sur les gouvernements et ainsi obtenir l'impunité des justices européennes et américaines. Comment la banque influence telle le monde ?

Pour donner des réponses à cette question, nous nous intéresseront au fonctionnement de la banque sous forme d’événement : « The  Firm »,  la  grande  pieuvre. Événement qui englobe l'histoire singulière de la banque, ses chiffres financiers clés et sa stature face aux médias .Nous traiterons ensuite de sa culture d'entreprise controversé et par la suite, des nombreux scandales et procès dons G.S est affilié. Finalement, par le biais du dossier Goldman Sachs en Europe, nous évoquerons ces anciens de la banque qui dirige l'U.E et ainsi, le trait d'union entre Mario Monti, Mario Draghi et Lucas Papadémos. Mais aussi son emprise mondiale.

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SOMMAIRELe journalLe journal   de l'économiede l'économie

DOSSIERL'EVENEMENTGOLDMAN SACHSEN EUROPE

« THE FIRM » :LA GRANDE PIEUVRE

L'EVENEMENT« THE FIRM » :LA GRANDE PIEUVREGoldman Sachs, en bref

Goldman Sachs en chiffre

Face aux médias

http://www.beppegrillo.it

PERSONNEL

FONCTIONNEMENTGoldman Sachs : une Secte ?

SCANDALES

Crise des subprimes

La dette de la Grèce

DOSSIERGOLDMAN SACHS EN EUROPECes anciens de Goldman Sachs qui dirige l'Europe

Le trait d'union entre Mario Monti, Mario Draghi et Lucas Papadémos

Goldman Sachs et le monde.

COMPRENDRE

3| JOURNAL DE L'ECONOMIE

LE BLOC NOTE

Le scandale Lybien

TERMINER

En conclusion

L'affaire Goldman Sachs LEXICOGRAPHIE/SITOGRAPHIE

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@ http://52shadesofgreed.com/jack-of-heartslloyd-blankfein/

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L'EVENEMENT

P oint  sur  Goldman  Sachs, de ses débuts jusqu'à son extension financière et politique au cours des 5 années de crise sans oublier son fonctionnement interne. Au témoignage de Greg Smith, ancien de Goldman Sachs, et enfin sa culture d'entreprise dite « semblable à une secte ».

THE FIRM :LA GRANDE PIEUVRE

5| JOURNAL DE L'ECONOMIE

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GOLDMAN SACHS,EN BREF.

L'EVENEMENT

6| JOURNAL DE L'ECONOMIE

oldman Sachs, surnommé «The Firme», est une banque d'investissement crée en 1869 dont le siège mondiale se situe au 200 West Street, à New York. Marcus Goldman et Samuel Sachs en sont les fondateurs. Goldman sachs dispose de bureaux dans les plus importantes places financières dont Paris, New York et Londres.

G

Un fond propre (en 2012) de $70,379 milliards, un chiffre d'affaire de $34,2 milliards.

GOLDMAN SACHS

Actuellement, Lloyd Craig Blankfein (né le 20 Septembre 1954 dans une famille pauvre juive, dans le Bronx) est le CEO «Chief Executive Officer»De la firme Goldman Sachs.

Particularité :

Seule entreprise du secteur financier à ne pas avoir perdu d'argent en anticipant la crise des subprimes

En février 2010, le New York Times affirme que Goldman Sachs porte une responsabilité directe dans l'aggravation de la crise de la dette publique grecque

Les débuts :Marcus Goldman fonde Goldman Sachs (appelé alors Goldman&Co) en 1869 à New York. Le groupe s'occupait alors seulement d'activités liés aux brokers (courtiers). Ce n'est qu'en 1882 que Samuel Sachs rejoint la firme alors appelé Goldman Sachs & Company. En 1887, la banque se lance dans des activités à changes très risquées. A la fin, des années 1890, le groupe devient le pionner du secteur des papiers commerciaux. (destinés aux entreprises)En 1930 la banque décide de se lancer dans des activités de banque d'investissement pour ensuite y destiné tout une entité et ainsi dominé quelques années plus tard le domaine. Le groupe s'internationalise en 1970 en s'implantant au Royaume-Uni. Elle s'implantera ensuite peu à peu dans les plus grandes places financières mondiales.

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GOLDMAN SACHS,EN CHIFFRE

Revenue annuel de Goldman Sachs. Autrement dit,l'évolution financière de l'entreprise de 2001 à 2009

Goldman Sachs n'est pas dans les 10 premières banques mondiales en terme de chiffres d'affaires (PNB)

En terme de chiffres d'affaires, Goldman Sachs atteint une somme $34,2 milliards. Modique face au chiffre d'affaire de la banque ING Group, 1ére banque mondiale avec une somme de $147 052 milliard en 2011

7| JOURNAL DE L'ECONOMIE

L'EVENEMENT

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En terme de capitalisation banquière en 2011, Goldman Sachs décroche la 20éme place, avec un montant de $60,50 milliards. Loin du premier rang, ICBC la banque de chine et sa capitalisation à l'ordre de $240.02 milliards

Le 1er rang incontesté mondialement en terme de conseil en fusion-acquisition, revient à la Goldman pour un nombre de 340 conseil, et un montant de $830,27 milliards.

Le bénéfice net part du groupe annuel en 2012 est ressorti à 7,3 milliards de dollars, soit 14,63 dollars par action

8| JOURNAL DE L'ECONOMIE

L'EVENEMENTGOLDMAN SACHS

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GOLDMAN SACHS ET LES MEDIAS

ombreux sont les journaux et sites à faire à leurs unes les particularités de la banque. Cependant, très peux nombreux sont les médias qui on fait l'éloge de la firme. Entre articles diffamatoires, critiques ou commentaire argumenté, on en apprend davantage sur Goldman Sachs et sa relation singulière avec les médias.

N

Au travers de trois articles de presse, lemonde.fr, l'echo.fr et le New York Times, on en apprend davantage sur « The Firm »

Le journal Le Monde, et plus précisément le rédacteur Marc Roche (et réalisateur du documentaire Arte « Goldman Sachs la banque qui dirige le monde » écrit un nombre important d'informations sur la banque américaine. Dans l'une d'elle écrit en 2012, il explique explicitement la crise de la dette publique de la Grèce et surtout l'implication de Goldman Sachs, ainsi que l'esprit de la banque censé incarné « la culture américaine du travail, poussé à l’extrême ». Un esprit de travail poussé, où seul la réussite prime (l'échec n'est pas autorisé) dans un univers financier où les banquiers affirme leurs supériorités. (Lloyd Blankfein dira : « Je ne suis qu'un banquier faisant le travail de Dieu »)

9| JOURNAL DE L'ECONOMIE

L'EVENEMENTGOLDMAN SACHS

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Les  Echos.fr,  d'après une chronique sur le livre de Marc Roche «Goldman Sachs: la banque qui dirige le monde » en 2010 dénonce (pas vraiment) la banque et son importance en Europe auprès de l'endettement publique de la Grèce. En effet, à la limite de l'illégalité, la banque aurait selon l'auteur « franchi la ligne jaune de l'éthique » en ayant jouait un double jeu pendant la crise. (p.27) l'Article critique alors Goldman Sachs, comme n'étant seulement motivée pour son profit personnelle.Le New York Times en 2012 à paru une tribune incendiaire,dont l'auteur s'avoue être Greg Smith, mais surtout son livre. « Why I left Goldman Sachs » (littéralement Pourquoi j'ai quitté Goldman Sachs) écrit par l'ancien employé de la banque américaine (p.14) qui dénonce la vente de produits inadaptés à ses clients afin de satisfaire les besoin de la Goldman. (un sentiment de déjà lu?) Cependant en terme d'unique réponse, l'empire banquier a contre-attaqué dans la foulée de la tribune du New York Times. Un mail de 500 mots est alors envoyés par Lloyd Blankfein aux employés de la banque dénigrant les propos de G.Smith, écrivant que « Nous sommes déçus de lire les accusations de cette personne qui ne reflète en rien les valeurs que nous partageons avec la grande majorité d’entre vous ». En à suivie une campagne de dénigrement de l'auteur, où plusieurs économistes et journalistes se son rejoint du côté de la firme en dressant un portrait assez négatif de l'ancien employé de la banque.Ainsi, les médias nous montre au moyen de leurs articles parus, une facette, sa vraie facette que la banque s'efforce à effacé : un débat se pose alors si Goldman Sachs à franchi la ligne jaune de l'éthique et dans un sentiment d'avidité et d'ultra-capitalisme, aurait chercher aux cours des années passées (et à venir) le profit au-delà de leurs clients.

NOTEPeu de temps après cette tribune, l'action de la banque a chuté de plus de 3%, et une autre tribune demande la démission du PDG. Le scandale de trop ?

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L'EVENEMENTGOLDMAN SACHS

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GOLDMAN SACHSL'EVENEMENT

5| JOURNAL ECONOMIQUE

GOLDMAN SACHS :UNE SECTE ?

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GOLDMAN SACHSFONCTIONNEMENT

13| JOURNAL DE L'ECONOMIE

GOLDMAN SACHS : UNE SECTE ?

Jeune trentenaire ayant démissionné au printemps 2011 de Goldman Sachs, Greg Smith écrit en 2012 « Why i left Goldman Sachs ». (Pourquoi j'ai quitté Goldman Sachs) L’ancien « moine banquier » évoque dans son autobiographie la banque de l'intérieur. Il critique notamment la culture d'entreprise de la banque incroyablement forte, au point de la comparer à une secte.

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GOLDMAN SACHSFONCTIONNEMENT

14| JOURNAL DE L' ECONOMIE

GOLDMAN SACHS: UNE

SECTE ?

Robert Peston,chroniqueur financier de la BBC, à travers son livre Who runs Britain explique pourquoi le

« roi de Wall Street » ressemble à une secte.

« LES MOINES BANQUIERS »Goldman Sachs entreprend avec ses employés une culture d'entreprise très forte.Même si les banquiers au sein de la banque doivent tous collaborer ou encore travailler en équipe, Goldman Sachs établit un véritable climat de concurrence. En effet, passant ce paradoxe, chaque année un jury de douze personnes évaluent les banquiers et notes leurs prestations. Selon les performances des banquiers, les jurys diviseront les banquiers en quartiles. En d'autres termes, les meilleurs ce trouveront dans le 1er quartile et aspireront à une promotion, les moins bons seront présent dans le dernier quartiles, traduit par une chance de se faire limoger. (10% de l'effectif de Goldman Sachs sont limogés chaque années.)

De plus, l'embauche y est aussi inédite.Les diplôme des grandes universités ne suffisent pas. Une capacité à diriger, à être un gagnant ou encore une volonté de devenir plus riche que tout le monde font parti des pré-requis de la banque. Avoir fait un sport collectif est bien vu par exemple. Cependant, dans ses plus grandes habitudes, la banque établit des conditions professionnelles effroyables pour ses nouveaux salariés. Plus question de se divertir.

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GOLDMAN SACHSFONCTIONNEMENT

15| JOURNAL DE L'ECONOMIE

GOLDMAN SACHS: UNE

SECTE ?

Cependant, Marc Roche, journaliste du Monde écrit un article en 2012 : Goldman Sachs, enquête sur une société secrète. Le journaliste s'explique : « l'établissement new-yorkais fonctionne un peu comme une franc-maçonnerie. Les fils et filles de la Lumière, imprégnés de l'importance de leur mission, poursuivraient le même rêve motus et bouche cousue : s'enrichir en édifiant la cité financière idéale. ». En d'autres termes, La Goldman est une banque, semblable à une secte (ou non), qui voue une dévotion au secret.

Banquiers et traders ne dorme que très peu, travaillant 50 semaines par an, ils doivent toujours pouvoir avoir accès au réseau de Goldman Sachs et à la bourse. De plus, ils apprennent à ne pas parler de leur travail, même à leurs familles. Ainsi, « La Goldman » comme on l'appelle parfois ne parle presque jamais d'elle même. En véritable société secrète, il est très difficile pour les journalistes d'obtenir une interview et des rendez-vous avec les banquiers de Goldman Sachs.

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GOLDMAN SACHSSCANDALES

16| JOURNAL DE L'ECONOMIE

L'AFFAIRE GOLDMAN SACHS Qu'est-ce que l'affaire Goldman Sachs ?

Les dirigeants de Goldman Sachs ont était accusés en 2010 de fraude par la SEC, gendarme boursier américain, accusés de s'être enrichis sur le dos de leurs nombreux clients et emprunteurs. Mais pas seulement, la banque est aussi accusé de spéculation banquière lors de la crise des subprimes, sur bon nombre de produits que Goldman Sachs avait vendus à leurs clients.

Un manifestant tient une pancarte où il est écrit « L’avidité tue » devant les

bureaux de Goldman Sachs (Jessica Rinaldi/Reuters)

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GOLDMAN SACHSSCANDALES

4| JOURNAL ECONOMIQUE

CRISE DESSUBPRIMES

Source : le journal des finances/

a crise des subprimes est une crise financière qui a concerné le secteur de l'immobilier et qui a touché l'économie mondiale à partir de 2007. Tant que le cours de l'immobilier était en hausse, les subprimes permettaient aux ménages d’accéder à des logements aisément. En effet, la croissance du marché de l’immobilier était tellement formidable que les institutions financières ont eu l’occasion de prêter des sommes importantes à des personnes insolvables.Néanmoins, lorsque les ménages, ne pouvant plus faire face aux taux d'intérêts variables, n'ont pas pu rembourser leurs crédits, c'est tout le système qui s'est effondré provoquant la chute des titres.

L

« Effet domino » de la crise des subprimes. C'est à dire, ce que a pu engendrer la crise.

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GOLDMAN SACHSSCANDALES

14| JOURNAL DE L'ECONOMIE

1 LES ACTEURS DU SCANDALE

Lloyd BlankfeinNé dans le Bronx, fils d'une réceptionniste et d'un employé à la poste, il sera diplômé d'Harvard Il est l'actuel CEO de Goldman Sachs

FabriceTourreAccusé principal de l'affaire. Centralien diplômé de Stanford, il fait son début de carrière à Goldman Sachs.Le seul à être nommé dans la plainte de la SEC.

Jonathan Egol

À 40 ans, il est le supérieur de Fabrice Tourre et le directeur de Goldman Sachs.

CarlLevin

Démocrate et sénateur, il représente l’État du Michigan.Il préside la commission d’enquête sur les conflits d’intérêts de la Goldman

L'AFFAIRE GOLDMAN SACHS

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GOLDMAN SACHSSCANDALES

19| JOURNAL DE L'ECONOMIE

2 LE DEROULEMENT

En Avril 2010, la SEC (Securities and Exchange Commissions) poursuit Goldman Sachs et donc Fabrice Tourre le principal accusé. Accusé pour avoir fraudé pendant la crise des Subprimes.« une affaire qui pourrait avoir coûté plus d'un milliard de dollars aux investisseurs » selon un article du Monde en 2010. Cependant, le 15 Juillet 2010, Goldman Sachs décide de verser $550 millions pour mettre fin à la poursuite de la SEC.

L'AFFAIRE GOLDMAN SACHS

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LE SCANDALE LYBIEN

En Octobre 2014, Goldman Sachs est poursuivie  par  le  LIA.  (Libyan Investment  Authority). Accusé d'abus de confiance envers le fond Libyen en 2008, par le biais de voyage de luxe, dîners de grande expectation et de filles aussi belle que des mannequins, la banque américaine aurait alors soutiré $1 milliard d’investissement à la LIA et ainsi leurs vendre des produits high-techs.

20| JOURNAL DE L'ECONOMIE

SCANDALESGOLDMAN SACHS

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Le Lundi 6 Octobre, lors de la première journée d'audition devant la justice britannique, venait à comparaître le LIA et Goldman Sachs, l'accusé. Lors de l'audience, la banque américaine est accusé d'avoir utilisé la naïveté des Libyen pour leur profit. Financièrement, la Goldman aurait eu pour son compte $350 millions.Les avocats de la LIA prétend que le fond libyen pensait avoir achetés des actions de multinationale.

Cependant, les avocats de la banque américaine dément avoir vendus des actions, mais leur aurait proposé d’investir dans des produits financiers high-techs qui, après la crise financière aurait échoué et ainsi appauvrir de moins de $1 milliard le fond libyen. En effet, la LIA ne savant pas comment gérer leur fond souverain, aurait remis leurs confiances entre les mains de Goldman Sachs, d 'après plusieurs témoignages préliminaires.

LE SCANDALE LYBIEN

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SCANDALESGOLDMAN SACHS

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Les accusations prirent surtout forme après le témoignage de Catherine McDougall, avocate australienne qui a travaillait avec la LIA. Elle apporte son sel dans l'affaire et arrive à ternir l'image des représentants de Goldman Sachs.

« LE LIA AVAIT MIS LEUR CONFIANCES ENTRE LES MAINS DE GOLDMAN SACHS, ET COMPTAIT MR KABBAJ COMME UN TRES BON AMI » -Catherine McDougall

Finalement, la LIA semble condamné à travers la Goldman, Mr Kabbaj. Mais qui est-il ?

22| JOURNAL DE L'ECONOMIE

LE SCANDALE LYBIEN

SCANDALESGOLDMAN SACHS

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Nuit de luxe, boite de nuit, filles.

Youssef Kabbaj en est l'auteur. Après avoir payé l'hébergement d'employés (reconnu par Goldman Sachs) de la LIA au Maroc avec leur ancien dirigeant Youssef Kabbaj, celui ci n'aurait pas seulement fourni l'hébergement lors du voyage d'affaire, mais aussi le divertissement. La banque ajoute que le 'fond était au courant et avait validé les conditions d'hébergement et de divertissement. Voila l'accusation de la Goldman, d'avoir abusé de la confiance des responsables inexpérimentés de la LIA, et ainsi empochés $350milions a leur frais, au dépend des $1 milliard d’investissement libyen. En effet, Y. Kabbaj aurait gagné la confiances des libyens en leur offrant nuits de luxe, boite de nuits, voyages et filles au frais de la carte bancaire de GS. (d'après une plainte déposé en Janvier)

23| JOURNAL DE L'ECONOMIE

LE SCANDALE LYBIEN

SCANDALESGOLDMAN SACHS

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Les faits sont la,

« Conseillé par Goldman Sachs, LIA a investi pour 1 milliard de dollars via divers produits financiers sur les titres des banques Citigroup et Santander entre autres. Mais il a enregistré de lourdes pertes avec l'effondrement de ces entreprises en Bourse. » d'après un article de la Voie du Nord en Juin 2014.Le fond libyen estime que la banque aurait empoché $350 millions après avoir abusé de la confiance de deux responsables du LIA, chargé du déroulement de l'investissement. La Goldman affirmes que les responsables du fond était « parfaitement au courant des risques encourues et que les pertes sont dues à la crise financière »

24| JOURNAL DE L'ECONOMIE

LE SCANDALE LYBIEN

SCANDALESGOLDMAN SACHS

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GOLDMAN SACHS ET LA DETTE DE LA GRECE

La banque américaine aurait proposé en 2001 à la Grèce de camoufler artificiellement l'ampleur de sa dette, à défaut d'un «Credit Default Swap (CDS) », contrat de protection financière entre acheteurs et vendeurs. La banque aurait ainsi permis au pays de camoufler sa dette publique, afin de rentrer dans la zone Euro et ainsi bénéficier des nombreux avantages qui s'en suive.

NOTELa crise de la dette publique en Grèce est issue de la crainte des créanciers helléniste en conséquence de la crise économique mondiale, à rembourser la dette publique(causé en autre par les dépenses olympiques), aggravée par le manque de transparence du pays. :

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SCANDALESGOLDMAN SACHS

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Cependant, la Grèce ne s'attendait pas à un si terrible endettement, dont Goldman Sachs et le présumé auteur :En effet Le CDS largement incriminé lors de la crise financière de 2007 à 2011, n'est pas (contrairement à ce qu'il peut laisser paraître par les banquiers de la Goldman), techniquement, un emprunt. Non seulement dans le cas du pays helléniste, L'argent à disposition maintenant leur fera défaut plus tard (à première vue un emprunt), mais respectant « les codes » du CDS, pour se procurer une somme d'argent astronomique et immédiate afin de camoufler leur dette, la Grèce à du renoncer à ses recettes du loto et ses taxes d'aéroports. Objectivement, ce n'est qu'un moyen de repousser le problème.

Conséquence directe :En 2010, l'endettement de la Grèce atteint un optimum jamais vu. En volume il est d'une somme de 350 milliard d'euros.La Grèce ne pourra rejoindre le marché internationale sans aide, ou du moins sans de lourd sacrifice économique. (restructuration de la dette)

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GOLDMAN SACHS ET LA DETTE

GRECQUE

SCANDALESGOLDMAN SACHS

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INFO :La banque aurait en plus d'avoir « masquer » l'endettement de la Grèce, Goldman Sachs aurait parié, spéculé sur la baisse de leur dette.Coutume habituel chez les banquiers de la Goldman.  

Endettement de la Grèce, par rapport aux autres pays en 2011.

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GOLDMAN SACHS ET LA DETTE

GRECQUE

SCANDALESGOLDMAN SACHS

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DOSSIER:GOLDMAN SACHS EN EUROPE

La banque étasunienne a su faire sa marque dans l'histoire. Après avoir « dominé » le secteur financier américain, la banque dans sa recherche du « toujours plus » va chercher son profit au delà des frontières étasunienne.Pour se faire, elle va politisé internationalement son secteur financier, et ainsi envoyer ses hauts représentant un peu partout dans le monde, à des places hiérarchiques importantes. Mario Draghi, Monti ou Lucas Papadémos (et bien d'autres), figures emblématiques de l'Europe, établissent alors un lien étroit avec la banque. « Government Sachs » dirige t'elle l'Europe ? Nous verrons par ailleurs que l'Europe n'est pas la seule cible de la Goldman.

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Depuis le début de la crise financière, a été nommé en Europe, des anciers banquiers de Goldman Sachs et à des postes importants.

CES ANCIENS DE GOLDMAN SACHS QUI DIRIGE L'EUROPE.

1. Mario Monti est le président actuel du Conseil Italien. Ancien conseiller international de GS, en charge des plus importants dossier de politiques mondiaux et publiques.

Mario Draghi a succédé fin octobre à Jean-Claude Trichet à la tête de la Banque centrale européenne.Il occupait le poste de vice-président de Goldman Sachs International pour l’Europe.

2.

30| JOURNAL DE L'ECONOMIE

DOSSIERGOLDMAN SACHS

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3. Loukas Papademos, le nouveau Premier ministre grec, ancien gouverneur de la Banque centrale hellène entre 1994 et 2002. Acteur avec GS de la crise de la dette publique.

4. Otmar Issing ex-membre du directoire de la Bundesbank.Ancien économiste en chef de la BCE. Aujourd'hui conseiller de GS.

Peter Sutherland est administrateur de Goldman Sachs International. Il aurait participé en coulisses au sauvetage de l’Irlande. Il a été commissaire européen

5.

CES ANCIENS DE GOLDMAN SACHS QUI

DIRIGE L'EUROPE.

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GOLDMAN SACHSDOSSIER

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5. Paul Deighton a travaillé 22 ans en tant que senior partner chez Goldman Sachs , le directeur général du comité organisateur des Jeux olympiques de Londres en 2012.

Charles de Croisset, ex-chef du Crédit commercial de France (CCF). Depuis mars 2004, il est conseiller international chez Goldman Sachs et vice-président de Goldman Sachs Europe.

6.

CES ANCIENS DE GOLDMAN SACHS QUI

DIRIGE L'EUROPE.

32| JOURNAL DE L'ECONOMIE

GOLDMAN SACHSDOSSIER

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Anciens banquiers de Goldman Sachs, c'est 7 fortes personnalités font parti intégrante de l'Union Européenne.Amenés a être à des postes à hautes responsabilités, telle que président de la BCE (Mario Draghi) ou président du Conseil Italien (Mario Monti). Ainsi, le géant bancaire international a désormais une main prise sur l'Europe, et les économies occidentales.

NOTE IMPORTANTEBender Kervern, internaute poste sur le site http://www.mesdebats.com, à propos d'un débat sur la dominance de GS sur l'Europe, une réponse intéressante. En effet, il a pour dire que Goldman Sachs « n'est que le pantin d'un monstre gigantesque ». Il affirme qu'en remontant d’actionnaire en actionnaire, nous tomberons toujours sur une entreprise avec un chiffre d'affaire aussi grand que le PIB Français, VANGUARD GROUP. Leur nom de leurs actionnaire est bien-sur inconnu et non-côtés. Il cite aussi que les grandes filiales affiliés au groupe sont: Blackrock (Rockfeller?) Citygroup (Rothschild?) et BONY Mellon (Mellon?) « et que les deux premières familles citées ont de forts liens de mariages avec d'autres grandes familles (Guinness, Kennedy, Onassis...).Inclus nos médias. »

« Tout ça pour dire que, Goldman Sachs, comme les autres cités plus haut, font partie du même grand ensemble. Mais en revanche, oui, ce grand ensemble gouverne le monde. »

Même si Bender Kerven, l'internaute derrière cet écrit reste théorique (à la limite de la conspiration, il le dit lui même), son commentaire mérite d’être étudié.

GOLDMAN SACHS DIRIGE T-ELLE L'EUROPE ?

CES ANCIENS DE GOLDMAN SACHS QUI

DIRIGE L'EUROPE.

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GOLDMAN SACHSDOSSIER

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34| JOURNAL DE L'ECONOMIE

GOLDMAN SACHSDOSSIERDOSSIER

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Le POINT COMMUN ENTRE MARIO DRAGHI, MARIO MONTI ET LUCAS

PAPADEMOS

Le point commun entre Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papademos ? Goldman Sachs en Europe.  Le président de la Banque Centrale Européenne, le premier ministre grec et le président du conseil italien ont tous à un moment (ou encore) travaillés à des échelles différentes avec la Goldman, en Europe. La Government Sachs a établit un réseau d'influence alors important, et traditionnellement hiérarchisé. Ainsi, Mario Draghi, chargé des « entreprises et pays souverains », vice dirigeant de la Goldman Sachs Europe, occupe la première place. Vient ensuite Mario Monti, président du conseil Italien et conseiller international, et en troisième place, Lucas Papademos nommé tout récemment au poste de premier ministre grec, et ex- gouverneur de la banque centrale hellénique. Il serait à juste titre acteur des trucages de compte perpétré par la Goldman.

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GOLDMAN SACHSDOSSIERDOSSIER

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MAIS GOLDMAN SACHS N'A PAS SEULEMENT UNE INFLUENCE EUROPEENNE

Au Canada des anciens de Goldman Sachs ont des postes importants : Comme la plupart de ses homologues européens, Mark Carney est voué à tenir un poste à haute responsabilité après avoir travaillé 13 dans la Goldman. En effet, le native de Fort-Smith dans les Territoires du Nord-Ouest Canadiens, était le gouverneur de la Banque du Canada du 1er Février 2008,au 3 Juin 2013. Il est de plus le gouverneur de la Banque de L'Angleterre depuis le 1er Juillet 2013.

Plus important encore démographiquement et économiquement, des anciens de Goldman Sachs ont été et restent à la Maison Blanche. Par ordre d'entrée, Henry Polson membre du conseil privé de la « White House » de 72 à 74, dernier secrétaire au trésor et (sans étonnement) directeur général de Goldman Sachs de 99 à 2006. Ensuite, Stephen Friedman, chef de la direction de la Goldman de 94 à 98 et assistant de 2002 à 2005 de George Bush, ex-président des États-Unis. Enfin, William Dudley préside la réserve fédérale de New York en 2009 sous l'administration d'Obama après avoir travaillé 21 ans chez Goldman Sachs.

Henry Paulson

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GOLDMAN SACHSDOSSIERDOSSIER

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Ainsi, la banque fait passer ses hommes de la banque aux gouvernements et des gouvernements à la banque : en d'autres termes, elle met à profit le système du « revolving  door ». Goldman Sachs d'abord banque des états-unis travaillent alors dans le monde entier grâce à ses hauts fonctionnaires (Mario Draghi,Monti, Lucas Papadémos -En Europe- Henry Paulson- Au EU-) prenant peu à peu le contrôle des finances mondiales, et s'ensuivent alors tout ce qui touche à l'argent, c'est à dire la majorité (pour ne pas dire tout) des biens mondiaux. GS est par ailleurs souvent comparé à une pieuvre symbolique, dont les tentacules (les hauts-fonctionnaires) prolifère et ne cesse d'évoluer son emprise internationale.

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GOLDMAN SACHSDOSSIERDOSSIER

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38| JOURNAL DE L'ECONOMIE

GOLDMAN SACHSDOSSIER

Revolving door mise en place par Goldman Sachs

La banque américaine intervient à plusieurs échelle, et sur plusieurs pays.

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EN CONCLUSION :Goldman Sachs, banque controversée dévoué au secret dont, les « moines banquiers » sont sujet à une culture d'entreprise singulière et à une méthode de travail ultra-capitaliste. (« s'enrichir sur le dos des autres ») Largement critiquée suite à de nombreuses condamnations, procès majeurs (scandale libyen, crise des subprimes et dissimulation de la dette publique Grèce) , et rumeurs, la Goldman n'est pas l'ange de l'économie. Mais peu importe, la banque continue grâce à son organisation interne exceptionnelle, aussi bon que cruelle, (embauche inédite, licenciement d'autant plus) soutenu par ses anciens salariés déployés à des hauts postes en Europe, mais aussi dans le monde tout entier. Ainsi, GS semble avoir découvert le secret de la longévité économique, longévité basé sur l'enrichissement sur le dos des autres (même le client) sans aucune pitié et qui t'elle un « Octopus », impose ses tentacules au plus hautes sphères internationales.

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http://www.andlil.com/goldman-sachs-166728.html

http://www.boursorama.com/bourse/profil/profil_finance.phtml?symbole=GS

http://notresesame.forumgratuit.org/t1403-goldman-sachs-la-banque-qui-dirige-le-monde

Why i left Goldman Sachs(livre) -Greg Smith

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SITOGRAPHIE

http://fr.wikipedia.org/wiki/Goldman_Sachs

http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20120314.OBS3753/culture-d-

entreprise-toxique-chez-goldman-sachs.html

http://www.lemond

e.fr

www.goldmansachs.com/worldwide/france/

Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde(film)

-Marc Roche, Jérome Fritel

www.nytimes.com/

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COMPRENDRE :CO

UNE BANQUE D'INVESTISSEMENT : C'est une banque qui s'occupe des activités du marché. Elle s'occupe du financement des entreprises et du conseil, elle opère sur le marché financier et fait l'opération de financement de haut de bilan (introduction en bourse; fusion-acquisition. On différencie la banque d'investissement à la banque d'affaire, qui s'occupe financièrement des entreprises.En autre, la banque d'investissement attire les investisseurs et les entreprises qui veulent financer ou/et placer leurs liquidités.

crédits immobiliers à taux variables pratiqués notamment aux États-Unis.

SUBPRIMES :

L'affluence massive de clients dans les banques viennent pour y retirer leurs économies.

BANKRUN :

CREDIT DEFAULT SWAP :

Assurance qui permet aux détenteurs d'obligations de toucher de grosses commissions en cas de défaut de paiement de l'emprunteur

TAUX D'INTERET :

Rémunération du prêt , exprimé en proportion du taux emprunté . Il rémunère à la fois le service en prêtant de l'argent et le risque de ne pas être remboursé.

SPECULATION FINANCIERE :

Opération de vente et d'achat de titres destinées à profiter des variations de cours pour réaliser un bénéfice.

SWAP : Contrat d'échange de flux financiers, conclu entre deux parties.

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