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Ferando Periquet Je n’oublierais jamais de ma vie L’image gracieuse de Goya ma chérie Aucune femme ne me manque autant Que Goya en ce jour. Si seulement je pouvais rencontrer quelqu’un Qui m’a aimé autant qu’elle m’a aimé, Sans convoitise ni avidité, Seulement pour retrouver cette joie immense. Je suis amoureux de la psychologie de Goya, de sa palette, de sa personne, de sa muse, la duchesse d'Alba, des disputes qu'il avait avec ses modèles, de ses amours et liaisons. Ce rose blanchâtre des joues qui contraste avec le velours noir ; ces créatures souterraines, les mains perle et jasmin reposant sur des chapelets m'ont possédées

Ferando Periquet

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poésie

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Page 1: Ferando Periquet

Ferando Periquet

Je n’oublierais jamais de ma vie

L’image gracieuse de Goya ma chérie

Aucune femme ne me manque autant

Que Goya en ce jour.

Si seulement je pouvais rencontrer quelqu’un

Qui m’a aimé autant qu’elle m’a aimé,

Sans convoitise ni avidité,

Seulement pour retrouver cette joie immense.

Je suis amoureux de la psychologie de Goya, de sa palette, de sa personne, de sa muse, la duchesse

d'Alba, des disputes qu'il avait avec ses modèles, de ses amours et liaisons. Ce rose blanchâtre des

joues qui contraste avec le velours noir ; ces créatures souterraines, les mains perle et jasmin

reposant sur des chapelets m'ont possédées