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SENIORS.UNE AUTREFAÇONDE VIVRE

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Supplément au numéro du jeudi 9 octobre 2014. Ne peut être vendu séparément.

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Santé, loisirs, multimédia, investissements, transmission, art de vivre…

FINISTÈRE-SUD

La DMLA est une maladie provoquéepar un vieillissement prématuré dela rétine. Cette affection se manifes-te par la destruction des cellules dela rétine. Plus précisément de sazone centrale, appelée macula.Due à un défaut d’irrigation sangui-ne, la DMLA provoque une baisse del’acuité visuelle. Non traitée, sescomplications peuvent entraînerune dégradation sévère, voire uneperte de la vision.Elle représente d’ailleurs la premiè-re cause de cécité chez les plus de50 ans. Au total, près de trois mil-

lions de Français en souffrent.

Deux typesIl existe deux types de DMLA. L’unedite sèche, l’autre humide. La der-nière est la moins répandue puis-qu’elle ne concerne qu’entre 15 et20 % des cas. Elle évolue toutefoisde manière plus agressive, plus rapi-de, avec des séquelles plus graves.Cette forme se caractérise par la for-mation de nouveaux vaisseaux endessous de la rétine.Ces néo-vaisseaux entraînent desœdèmes et des saignements. Dansla forme sèche en revanche, c’est larétine en elle-même qui s’atrophie.

Consultez chaque annéeà partir de 55 ansPlusieurs facteurs de risque sontidentifiés. Le premier d’entre euxest l’âge. Après 75 ans, une person-ne sur trois est touchée par laDMLA.Par ailleurs, l’hérédité joue un rôledans le développement de cettemaladie. D’autres facteurs de risquesont aussi reconnus. C’est le cas dutabagisme, d’une alimentation désé-quilibrée, et de l’abus de soleil. Cha-cun peut agir sur ces derniers pourprévenir la survenue d’une DMLA.Toutefois, la meilleure façon de pré-

venir ses conséquences les plus sévè-res est le dépistage.Le premier signe d’alerte, qui doitamener à consulter rapidement unophtalmologiste, est une sensationde baisse de la vision ou de gênevisuelle, associée à une perceptiondéformée des objets.Si la maladie n’est pas traitée, lepatient peut être victime d’une bais-se de la vision centrale, par appari-tion d’une tache dans son champvisuel. Provoquant une gêne pourreconnaître les visages, pour lire,pour conduire, pour écrire… Et sur-tout, la maladie évoluera vers lacécité.Pour éviter cette situation, et rece-voir le traitement adéquat au plustôt, faites surveiller vos yeux par unophtalmologiste une fois par an dès55 ans.

tSource

Association DMLA - Rétina France,

consultés le 9 septembre 2014.

Photo

FrançoisDestoc

Le premier signe d’alerte, qui doit amener à consulter rapidement un ophtalmologiste, est une sensation de baisse de la

vision ou de gêne visuelle, associée à une perception déformée des objets.

Une tache noire au milieudu champ de vision ?Une perception déforméedes objets ? Vous souffrezpeut-être de DMLA.La dégénérescencemaculaire liée à l’âge estune atteinte de la zonecentrale de la rétine,qu’on appelle macula.Dépistée à temps,elle peut être traitéeefficacement.

Nos yeux. DMLA,un dépistage essentiel

Les prothèses auditives sont aussi indis-pensables aux malentendants que leslunettes aux myopes ou aux presbytes.Elles ont pour objectif de compenserune perte auditive par un appareillageadéquat. Pourtant, seulement 20 %des malentendants sont appareillésaujourd’hui en France. Intra-auriculaire(CIC), intra-conque (ITC), mini-contour(open-BTE), contour d’oreille (BTE), ilexiste quatre types d’appareils diffé-rents.

De plus en plus discretsUn appareil auditif se choisit en fonc-tion du mode de vie de la personne quiva le porter. Le premier modèle (intra-auriculaire) est le plus discret. Tout sonsystème électronique est contenu dansune coque qui se loge entièrementdans le conduit auditif. Le second (intra-conque) est plus grand mais permetune manipulation plus aisée, pour lespersonnes très âgées notamment. Lesdeux derniers (mini-contour et contourd’oreille) sont fabriqués sur le même

principe, en deux parties : le contour etla partie électronique de l’appareilacoustique qui se place derrière lepavillon. L’embout auriculaire, un mou-lage en silicone adapté à la morpholo-gie du conduit auditif, permet de diffu-ser le son. Quel que soit le produit choi-si, un suivi obligatoire de cinq ans doitêtre inclus dans le service fourni parl’audioprothésiste. Pourtant, lespatients l’ignorent souvent.De plus en plus petits et discrets, leséquipements d’aides auditives ne ces-sent d’évoluer et de s’améliorer à l’èrenumérique. On peut même dire que cesdispositifs médicaux vivent leur révolu-tion. Tous visent à restituer au malen-tendant appareillé une audition idéale-ment équilibrée. Notamment dans unenvironnement bruyant, comme uneconversation entre plusieurs personnesou le bruit d’une voiture qui passe dansla rue. Enfin, vous pouvez aussi ajouterdes accessoires, comme un potentiomè-tre, un vibrateur à conduction osseu-se…, en fonction de vos besoins.

Photo

ClaudePrigent

Exclusivement prescrites sur ordon-nance du médecin ORL et posées parun audioprothésiste qualifié, lesaides auditives et leurs accessoires(embouts, microphone…) ainsi queleurs frais d’entretien, sont pris encharge à hauteur de 60 % par l’Assu-rance-maladie.Ce remboursement est calculé surune base de 900 à 1.400 ¤ selon l’âgeet le type de déficience. Or en réalité,une prothèse auditive coûte entre750 et 1.900 ¤ par oreille. Il estrecommandé d’effectuer trois visitesde contrôle chez l’audioprothésiste.Trois, six et neuf mois après la déli-vrance de l’appareil. L’ensemble de

ces services est compris dans le prixd’achat de la prothèse.

Amplificateurs :pas remboursésLes amplificateurs, de leur côté, nesont pas du tout remboursés. Cesassistants d’écoute, ou casques porta-tifs, vendus en pharmacie sans ordon-nance, ne sont pas des dispositifsmédicaux. Utilisables devant la télévi-sion, au téléphone ou lors d’uneconversation, ils offrent toutefois unsentiment de meilleur confort.

tSource

Ameli - SNORL.

Audioprothèses. Pour entendre mieux

SENIORS

LE RÉSEAU AUDILAB VIENT DE SE VOIR DÉCERNER LA CERTIFICATION NF SERVICE

UNE PREMIÈRE EN FRANCE

Erwann Blanchard, audioprothésiste Diplômé d’Etat est installé depuis plusieurs années à Crozon et Douarnenez sous l’enseigne Audilab. Il vient d’obtenir cette certifi cation qui fait toute la différence.

La qualité est l’ADN du Réseau Audilab. Depuis bientôt 30 ans, le Réseau propose ses services d’aide à l’audition pour améliorer le quotidien de ses patients. D’ailleurs, il est le 1er Groupe à avoir été certifié ISO 9001 et ISO 14001 et tout dernièrement certifié NF Service. Ces normes de service et de suivi de qualité rigoureux sont garanties – chaque année – par un organisme indépendant : l’AFNOR.Imaginez : les analyses faites affichent un taux de satisfaction patients de + de 97%* ! Et, je tiens à le dire avec fierté, Audilab est la seule enseigne en France à avoir effectué cette démarche volontaire de certification. Ces engagements à garantir à nos patients la meilleure des prises en charge possible sont complètement en phase avec la philosophie que j’ai de mon métier.

Audilab : un taux exceptionnel de satisfactionLa première chose est le sérieux. Il faut en effet que s’établisse immédiatement une relation de confiance avec le patient. C’est vraiment l’efficacité de notre travail, la qualité de nos conseils, de notre approche et la qualité de notre service qui font la différence. Ces compétences, associées au choix de partenaires technologiques, fiables et innovants, ainsi qu’un travail en relation avec les médecins ORL, permettent de proposer pour chaque cas particulier un matériel de pointe et un suivi parfaitement adapté au meilleur prix.

Choisir une aide auditive adaptée On choisit son audioprothésiste, pas son appareil ! C’est ma manière d’expliquer qu’il n’y a jamais une

solution standard qui serait dictée par le résultat du bilan auditif, mais toujours une adaptation qui tient aussi compte de l’âge du patient, de ses moyens et de son mode de vie. On ne propose pas le même appareillage pour un passionné de musique, un sportif aimant les sports nautiques, un senior utilisant beaucoup la télévision, un cadre accroché à son téléphone, ou encore un boucher travaillant dans des frigos froids et humides (qui exige des aides auditives résistant à des conditions extrêmes). Il faut aussi savoir que les aides auditives ont considérablement évolué. Esthétiques et miniatures, elles s’adaptent aux teintes de lunettes ou de cheveux et surtout, elles restituent désormais les sons de manière quasi naturelle.

Une garantie de résultat Dans le Réseau Audilab, l’appareillage est prêté gratuitement durant au moins un mois, sans engagement(2), ce qui permet au patient de se rendre compte et d’évaluer que cela correspond bien à ses attentes. Après vérification de l’efficacité des réglages et au terme de l’essai, le patient valide ou non l’appareillage, car l’objectif est que l’appareil transforme la vie du patient !

Alors n’hésitez plus ! Prenez rendez-vous pour faire un point sur votre audition.Erwann Blanchard et son équipe sont à votre disposition.

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Les modalités de remboursement

2 Jeudi 9 octobre 2014 Le Télégramme

Profiter du grand air. Si vous êtesadepte du jogging ou de la mar-che, pourquoi ne pas continuez enhiver ? « Parce qu’il fait froid »,direz-vous ? À moins que le sol soitgelé bien sûr, vous pouvez profiterde belles sorties à condition debien vous échauffer et de porterdes vêtements adaptés : une« sous-couche » thermique qui lais-se la sueur s’évaporer tout en vousmaintenant au chaud, coupe-vent,gants et bonnet. N’oubliez pas en

effet qu’une grande partie de nosdéperditions caloriques s’effectueau niveau de la tête. Ainsi équipé,vous pouvez également vousessayer à la marche nordique, unediscipline excellente sur le plancardio-respiratoire. Si vous sortezà la nuit tombante, optez aussipour des vêtements réfléchissantsvoire des brassards LED.

Vive les sports « indoor »Choisissez une discipline qui vousplaît. Pourquoi ne pas essayer unesalle de fitness ? Les coaches vousprépareront un plan d’entraîne-ment adapté, en fonction de votreobjectif, lequel peut être tout bon-nement de garder la forme enhiver. La natation vous le permet-tra aussi. C’est bien simple, elle atout bon : c’est une activité por-tée, elle présente donc l’avantagede préserver le système articulai-re. En plus, elle est bénéfique surles plans cardiovasculaire et respi-ratoire. Alors n’hésitez pas àenchaîner les longueurs, à votrerythme, dans une piscine couverteou dans un bassin en plein air.Mais si ! Une autre idée ? Vous

pouvez encore essayer une discipli-ne comme le tai-chi. Outre ses ver-tus relaxantes, elle permet d’amé-liorer sa souplesse et son équili-bre.Meilleure sera la reprise… D’unemanière générale, le fait de conser-ver une activité physique en hivervous permettra une reprise en dou-ceur. Votre souffle et vos articula-tions vous remercieront. L’impor-tant est de combattre la sédentari-té. Dans la mesure du possible,montrez-vous également régulierdans votre pratique. Et fixez-vousdes horaires. Sinon, vous trouve-rez toujours une bonne excusepour rester au chaud…

tSource

« Activités physiques et santé »

du Dr Patrick Faure, éditions Ellipses,

320 pages, 19,50 ¤.

Photo

archivesJean-LucPadellec

La marche nordique permet d’améliorer la respiration et le système cardio-vasculaire.

Avec le retour du froid,la tentation est grandede remettre au placardles baskets et autreséquipements de sport.Et si, au contraire,vous profitiez de l’hiverpour maintenir le rythmeet varier les plaisirs ?En plus, vous arriverezau printemps au topde votre forme !

Sport. Évitez l’hibernation

Vous avez prévu un break à la monta-gne ? À quelques semaines de votredépart pour les sommets, préparez-vous sur le plan physique. Là-haut,vous allez, en effet, solliciter desmuscles qui n’ont pas forcément l’ha-bitude de travailler de façon aussiintense le reste de l’année, à l’imagedes quadriceps (cuisses).Au programme : footing ou marcheactive pour améliorer le « cardio » etne pas être essoufflé au bout de deuxdescentes. Puis des exercices de ren-forcement musculaire. Ils limiterontles douleurs et le risque de blessure.Les spécialistes recommandent dedébuter la préparation un moisavant le départ. Si vous êtes vrai-ment sédentaire le reste de l’année,commencez par des sorties de15-20 minutes. Privilégiez ensuitedeux séances hebdomadaires d’aumoins 30 minutes. Et n’oubliez pasque vous devez toujours être capablede parler en courant. Si ce n’est pas

le cas, ralentissez l’allure.D’ici à votre départ, faites égalementdes flexions des genoux et des han-ches, tous les jours. Pour vos cuisses,vous devrez vous en remettre auredoutable mais efficace exercice dela chaise. Dos au mur, descendez vosfesses pour que vos cuisses soientbien parallèles au sol. C’est commesi vous étiez assis sur une chaise…sans la chaise. Au début, cela risquede chauffer un peu. À réaliser entredeux et quatre minutes le matin et lesoir en augmentant le temps defaçon progressive. Un dernier point :ne négligez plus le contenu de votreassiette. Elle doit être particulière-ment bien pourvue en fruits et enlégumes de saison riches en antioxy-dant et pauvres en gras saturés.

tSource

Congrès de l’Association

des Médecins de Montagne, Toulouse,

3 et 4 octobre 2011.

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DR

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Montagne. Une préparation spécifique

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Un mois avant le départ pour les sports d’hiver, un entraînement physique est

nécessaire pour préparer vos muscles à d’éventuelles chutes.

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En Bretagne, la marche aquatique sepratique au printemps comme àl’automne, en été comme en hiver…même si l’eau de mer ne dépasse pasles 9-10 ˚C. Il suffit, en effet, d’êtrecorrectement équipé avec une combi-naison, des chaussons et des gantsspécifiques. Cette activité peut se pra-tiquer à tout âge. Ses bienfaits sontnombreux. La pression de l’eau sur lecorps entraîne un effet drainant quifavorise la circulation du sang. Et com-me les appuis sont instables – à causedu courant – elle sollicite en perma-

nence les muscles pour maintenirl’équilibre. Notamment ceux des mol-lets, des cuisses et des fesses, le toutsans vraiment avoir l’impression deforcer. Et sur le plan mental, vousbénéficierez à coup sûr d’un grand bold’air. L’idéal étant toutefois de prati-quer en groupe, avec un coach. Ren-seignez-vous auprès de votre mairie.

tSource

« Marche en eau de mer », Alain Delmas

et Thierry Roudil, Amphora éditeur,

22,50 ¤.


En hiver, finis les fruits rouges.Misez tout sur les agrumes. Uneorange ou un pamplemousse vousaideront à attaquer la journée dubon pied. De manière générale,continuez à consommer des fruitset des légumes quotidiennement.Si leur diversité est moins pronon-cée à la saison froide, n’hésitez pasà en acheter sous forme congeléeou en conserve.L’hiver, c’est aussi le moment deredécouvrir les aliments complets(pain, pâtes, farine…), qui favori-sent un sentiment de satiété etsont riches en fibres. Autre solu-tion, les légumes secs. Lentilles,pois cassés, haricots… Cuits ou en

soupes, c’est le moment de leur fai-re honneur.

Ne négligez pas le goûter !C’est la pause plaisir par excellen-ce. Bien utile lorsque le moral esten berne. Vers 16 ou 17 h, une tas-se de thé, un produit laitier, unfruit, une tranche de pain… serontles bienvenus. En ce qui concernele repas du soir, la soupe apparaîtracomme un véritable régulateur : unbon volume de potage est un frein àun appétit trop lourd. Sans compterque si elle est trop chaude, celavous obligera à manger lentement.Idéal pour la digestion. La soupe,c’est enfin un excellent moyen de

faire manger des légumes auxenfants, sans qu’ils s’en aperçoi-vent !En hiver, la tendance est aussi à desplats plus riches. Il faut avouer queles fêtes ne facilitent pas les cho-ses. Rien ne vous empêche de savou-rer une bonne fondue ou une raclet-te… à condition que cela ne devien-ne pas une habitude. Et de conti-nuer les activités physiques enta-mées aux beaux jours.Enfin, ne négligez pas votre hydrata-tion. Notre corps a toujours besoindu litre et demi d’eau par jour. Pen-sez-y quotidiennement. N’oubliezpas non plus vos enfants. Dès lematin, eau, lait ou jus d’orange…

Vache folle, Bisphénol A, viande decheval dans des plats cuisinés. En cet-te période trouble sur le plan alimen-taire, nous sommes de plus en plusnombreux à nous tourner vers le bio.Mais est-ce vraiment plus sain ?

Les produits bio sont fabriqués ettransformés selon un cahier des char-ges très strict. L’utilisation de pro-duits toxiques comme les pesticidesou les antibiotiques est ainsi limitée.Sans parler des OGM tout bonnementinterdits. Problème, les différentesétudes réalisées sur le sujet ont dumal à s’entendre, notamment sur larichesse nutritionnelle de ces pro-duits. Ainsi, dès 2009, l’Associationfrançaise des Diététiciens Nutrition-nistes (AFDN) expliquait que « lesbénéfices santé des produits issus del’agriculture biologique ne sont passcientifiquement démontrés ».Une pomme issue de l’agriculture bio-logique ou conventionnelle reste…une pomme, avec des vertus nutri-tionnelles identiques. La différencebien sûr – et elle est énorme – estque la pomme bio renfermera moinsde pesticides que l’autre. En revan-che, elle abritera un plus grand nom-bre de contaminations par microbesou champignons car les produitsissus de l’agriculture biologique nesubissent pas de traitements antifon-giques. Ils se conservent donc moinslongtemps.

Photo

archivesFrançoisDestoc

Les aliments recommandés l’hiver

En hiver, faites le plein de vitamine C

avec les oranges.

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ClaudePrigent

Pour garder la pêche en hiver, lavitamine star, c’est l’acide ascorbi-que, autrement appelée vitamine C.C’est elle qui permet au systèmeimmunitaire d’être plus perfor-mant. Vous avez de la chance, la sai-son froide est foisonnante en fruitsriches en vitamine C : kiwi et biensûr orange, vous aurez l’embarrasdu choix. Côté légumes, vous en

trouverez dans les poivrons, lesradis noirs ou les différentes sortesde choux. Quoi de mieux qu’unebonne soupe ?Outre la vitamine C, ne négligez pasles bienfaits de l’ananas. Il est richeen broméline aux vertus diurétiqueset détoxifiantes. Quant à la banane,elle contient du potassium, des glu-cides, des vitamines B6 ou encoredes fibres. Elle est donc parfaitepour le goûter car elle stimule laproduction de sérotonine. L’hormo-ne du bonheur. La vitamine E aussi,est un puissant antioxydant. Vousen trouverez dans les oléagineux(les noix par exemple) ou dans l’hui-le de tournesol.Enfin, la vitamine D, outre sonaction dans la fixation du calcium,exerce un rôle important dans le ren-forcement du système immunitaire.Il est donc important d’avoir un sta-tut optimal. En hiver, les carencesne sont pas rares dans la mesure oùcette vitamine est synthétisée par lapeau, sous l’influence des rayonssolaires. Vous en trouverez aussidans l’huile de foie de morue, lespoissons gras (comme le saumon, lehareng, la sardine), le jauned’œuf…

Le froid, des jours pluscourts, des plats plusriches… c’est un peu çal’hiver ! Après les saladesestivales, commentcontinuer à bien vousalimenter, en respectantle cycle des saisons ?Voici quelques conseilspour garder le moral…et la ligne.

Manger bio. Plus sain ?

Alimentation.Manger équilibré

Photo

ClaudePrigent

Vitamines. Où en trouver ?

Les différentes études réalisées sur le

sujet ont du mal à s’entendre, notam-

ment sur la richesse nutritionnelle des

produits issus de l’agriculture bio.

Le jaune d’œuf contient de la vitami-

ne D, qui aide à fixer le calcium.

L’hiver, les vitamines ne seront pasles seules à vous aider à tenir lecoup. Une fois le froid venu, vousêtes fatigué ou irritable, c’est quevous manquez peut-être de fer. Luiaussi est un allié de notre systèmeimmunitaire. En cas de carence, lepremier virus qui passe sera pourvous. Le boudin noir, le foie ou enco-re les lentilles en sont les plus pour-vus.Autre oligo-élément indispensable ànotre organisme, le zinc. Il participeau renouvellement de nos cellules.

Et là, les gourmands seront à la fêtepuisque vous le dénicherez dans leshuîtres, les viandes rouges, maisaussi… dans le chocolat.Enfin, la fin de l’année est marquéepar des températures froides, desjours plus courts et une absence delumière le matin et le soir. La dépri-me saisonnière vous guette. Pourlui faire barrage, faites le plein desérotonine. Elle vous permettra devous sentir plus serein. Les laitages,les fruits secs, le pain complet ouaux céréales… sans oublier le choco-

lat, agiront comme de véritablesantidépresseurs.Enfin pour lutter contre les effets dustress, misez sur le magnésium. Lespoissons, les fruits et légumes secsen sont des sources appréciables.

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Synonyme de mer, de détente et deremise en forme pour retrouver sonénergie, la thalassothérapie gagnedu terrain. Qui refuserait de se lais-ser dorloter l’espace d’un week-enddans des lieux enchanteurs ? Com-me le soulignent les Drs Aline Corcel-le Requin et Didier Chos, dans leurouvrage « Thalavie », on oublie sou-vent que « la thalassothérapie soi-gnait de manière efficace les articula-tions douloureuses et faisait partieau milieu du XXe siècle des véritablessoins de rééducation fonctionnel-le ».Mais il est vrai qu’aujourd’hui, lanotion de bien-être a largement prisle dessus. Besoin de se ressourcer,

de sortir du stress quotidien, de sefaire plaisir. D’ailleurs, ces dernièresannées, les espaces dits SPA ont inté-gré les centres de thalassothérapie.Ce qui traduit bien cette recherchede relaxation actuelle.

L’évasion au programmeD’ailleurs le Syndicat de la thalasso-thérapie française le clame sur sonsite internet : « Les centres ne sontplus seulement des endroits médica-lisés où seul le soin a de l’importan-ce. De nombreux efforts sont faitspour vous accueillir dans un endroitagréable et décoré avec goût. Cha-que centre travaille une ambiancespécifique et possède un style singu-

lier : zen, design, épuré… L’innova-tion est constante pour vous offrirun maximum de confort et vousemmenez ailleurs… »Cependant, avant de réserver votreséjour, établissez vos besoins : remi-se en forme, rhumatisme, stress,minceur, problèmes circulatoires…« C’est en sachant ce que vous vou-lez traiter que vous optimiserez lesbienfaits de votre cure et reviendrezavec une mine resplendissante »,explique le syndicat. Hygiène de vie,minceur, détente, beauté… Il estaujourd’hui difficile de ne pas trou-ver son content dans la gamme offer-te par les différents centres.Toujours dans cette volonté de pro-

poser un séjour placé sous le signede la détente, de la relaxation, voustrouverez de nombreux soins quin’ont que peu de rapport avec la tha-lasso. C’est le cas de la réflexologieplantaire par exemple. Ce massagedes zones réflexes du pied permetd’équilibrer les énergies. Cette tech-nique a des vertus thérapeutiquessur un certain nombre de maux com-me la migraine ou le mal de dos.Vous pourrez aussi essayer le shiat-su, un massage d’origine japonaisequi vise à stimuler le flux d’énergievitale. Ou encore le massage-modela-ge suédois. Ici, il s’agit de dissiperles tensions et redonner de la sou-plesse à la musculature.

Thalassothérapie. Un bien-être

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archivesClaudePrigent

Un séjour de thalassoest un véritable momentprivilégié pour prendresoin de soi, se détendreet se remettre en forme.Et les Français, soucieuxaujourd’hui de préserverleur santé, en sontdevenus accros. Voyageau cœur des thalassosà la française.

Découvrir une région, un pays,arpenter les sentiers bretons touten s’offrant un séjour détente etremise en forme… La thalasso-thérapie permet d’allier le bien-être et les joies du voyage. Biensûr, la Bretagne offre de multipleslieux pour se ressourcer. Mais vousavez aussi le choix de partir versd’autres horizons : Espagne, Italie,Croatie… Les destinations ne man-quent pas. Et vous pouvez égale-ment parcourir pratiquement tou-tes les côtes françaises, vous y trou-verez toujours un centre. Toute-fois, pour être certain de bénéficierdes meilleurs soins, renseignez-vous auprès du Syndicat officiel dela thalassothérapie française. Pourl’étranger, parlez-en tout de mêmeà votre médecin traitant. Il pourrasûrement vous donner les bonnesastuces.Sources : Syndicat officiel de la tha-lassothérapie française, site consul-té le 18 septembre 2014.

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Médecine douce reconnue depuisl’Antiquité, la thalassothérapie tireses origines du grec ancien. Contrac-tion de « thalassa », la mer, et de« therapeuein », soigner, la thalasso-thérapie est littéralement le fait desoigner par les bienfaits de l’eau demer. Rappelons en effet que l’eau demer, et l’ensemble des élémentsmarins comme la boue, les algues,sont extrêmement riches en miné-raux et oligo-éléments : calcium,phosphore, cuivre, zinc, iode…

Il existe aujourd’hui de multiples for-mules et soins dans tous les centresde thalassothérapie. C’est ainsi queces dernières années, les cures pré etpost-natales ont vu le jour. Mais passeulement. Anti-âge, sevrage tabagi-que, ménopause, jambes lourdes,stress, sommeil, minceur… En fonc-tion de votre état de santé et de vosenvies, vous pouvez choisir une tha-lassothérapie sur-mesure. Et le maî-tre-mot est de prévenir l’apparitionde maladies, de se sentir mieux à la

fois dans son corps et dans sa tête. Etceci pour toute la famille. Il existe eneffet de nouvelles cures pour les ado-lescents.Au programme : enveloppements,modelages, fitness, massages, bains,nutrition, exercices de stretching… Ilest désormais possible de choisir sonprogramme, d’individualiser lessoins au maximum. Pour en savoirdavantage sur cette nouvelle formede thalassothérapie, le livre « Thala-vie, la thalassothérapie sur mesure »

des Drs Aline Corcelle Requin etDidier Chos (*). Vous y trouverez unemultitude d’informations pratiquesmais également scientifiques.* Éditions Acanthe-Adhoc, 117 pages,19 ¤.

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Voici une petite sélection de cen-tres agréés par le Syndicat officielde la thalassothérapie française.Finistère-Nord : ThalassothérapieRoscoff, tél. 02.98.29.20.00,www.thalasso.comFinistère-Sud : Relais ThalassoBénodet, tél. 02.98.66.27.00,www.thalasso-benodet.comCôtes-d’Armor : Thermes Marinsde Perros-Guirec,tél. 02.96.23.28.97, www.thermes-marins-perros.comMorbihan : Thalassa Quiberon,tél. 02.97.50.48.88, www.thalas-sa.com ; Carnac Thalasso & SpaResort, tél. 02.97.52.53.54,www.thalasso-carnac.com


Domitys, les Villages d’Or, les Senio-riales, les Jardins d’Arcadie… Lesleaders du marché des résidencessenior sont en pleine croissance, etl’idée selon laquelle cette formuleserait réservée à des personnes dis-

posant de ressources élevées est demoins en moins vraie. En moyenne,un logement dans ce type d’établis-sement oscille entre 1.000 et2.000 ¤/mois, tout compris. Consti-tuées d’appartements individuelset de maisons de plain-pied, les rési-dences senior comportent générale-ment des lieux de vie adaptés : res-taurant, salon, espace forme, etc.Sécurisées, elles proposent parailleurs des prestations complémen-taires qui varient d’un établisse-ment à l’autre : assistance 24h/24,restauration à l’unité, ménage,blanchisserie, bibliothèque, pisci-ne, etc.

Convivialité et entraideLa retraite pouvant parfois êtresynonyme d’isolement social, c’esten premier lieu afin de bénéficierd’un cadre convivial et d’une mixitéintergénérationnelle que de plus enplus de retraités choisissent cetteformule qui, bien souvent, permetaussi de profiter d’une entraidemutuelle entre résidants. Le faitd’évoluer dans un cadre de vieconvivial et adapté à leurs besoinsconstitue en effet un argument non

négligeable dans leur choix. Deve-nir propriétaire de son logementpeut également se révéler être uninvestissement judicieux, pour lerésidant comme pour ses proches(lire ci-contre).

Les clés d’une retraite sereineAutre avantage, et non des moin-dres, les résidants sont libres d’al-ler et venir comme bon leur sem-ble, tout comme de recevoir leursproches aux heures qui leur convien-nent. Afin d’assurer leur tranquilli-té, un service de sécurité discret sur-veille en permanence les accès, etdes systèmes d’appel d’urgencesont installés dans les pièces princi-pales afin de pouvoir contacter lepersonnel de garde, de jour commede nuit. « Un choix pérenne, moinsonéreux que les EHPAD (*), permet-tant de faire face dans de bonnesconditions au vieillissement de lapopulation », indique ainsi la Direc-tion générale de la cohésion socialedans un rapport de 2013 consacré àl’habitat collectif des personnesâgées autonomes.* Établissement d’hébergementpour personnes âgées dépendantes.

PhototDR

Le choix d’une résidence senior permet, entre autres, de faire face au vieillissement dans de bonnes conditions.

Jean-Marc Le Droff

Un logement individuel,dans un cadre adapté etconvivial. S’adressant àdes personnes de plus de60 ans, autonomes et enquête d’indépendance,le concept de résidencesenior est en plein essordepuis une trentained’années. Petit tourd’horizon des avantagesde cette formule, choisiepar un nombre croissantde Français pour coulerune retraite sereine.

Afin d’amortir le coût mensuel deleur logement, nombreux sont ceuxqui choisissent d’acquérir un bienen ayant recours à un emprunt ban-caire. Le locataire finance ainsi plusdes deux-tiers de la valeur totale,tandis qu’à la fin du crédit, l’inves-tisseur - un descendant du senior,par exemple -, devient propriétaired’un logement qu’il n’aura contri-bué à financer qu’à hauteur d’untiers. À noter : les intérêts d’em-prunt sont déductibles des loyers.

Au-delà du simple empruntAutre solution : le crédit amortissa-ble. Chaque mois, le résidant rem-bourse une mensualité d’empruntcomprenant une partie d’intérêts etune partie de capital, sur desdurées qui peuvent aller jusqu’à

20, voire 25 ans. Le rapportintérêts/capital s’inversant aucours du temps, plus la durée ducrédit sera longue, plus la rentabili-té sera élevée.Dernière option, le crédit in fine per-met de réduire les mensualités deremboursement, ces dernièresn’étant composées que des intérêtsdu prêt. Attention cependant : l’in-tégralité du capital emprunté doitêtre remboursée en une fois lors del’ultime mensualité. En principe,l’investisseur pourra autofinancerson projet grâce aux loyers. Il devraen revanche mettre de côté la som-me requise pour être en mesure, àterme, de rembourser le capitalemprunté, le plus souvent par lebiais d’un contrat d’assurance-viequ’il aura souscrit lors du prêt.

Propriétaire.Quel financement choisir ? Résidence senior.

Pourquoi ce choix ?

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FrédéricJambon

État. Le point sur les aides

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L’État propose un certain nombred’aides qui peuvent participer aufinancement d’un logement en rési-dence senior. Notons tout d’abordque l’aide ménagère à domicilepeut être maintenue dans ce typede logement, pour peu que le rési-dant ne bénéficie pas de l’Alloca-tion Personnalisée d’Autonomie(APA).

La CAF, un interlocuteurprivilégiéEn fonction de ses ressources finan-cières, du type de logement et de lacomposition de sa famille, ledemandeur peut également bénéfi-cier d’une Allocation Personnaliséeau Logement (APL), qui lui sera ver-sée par la Caisse d’Allocations Fami-liales. Cette dernière peut égale-ment apporter une aide mensuelle

pour le remboursement d’unemprunt contracté afin de devenirpropriétaire de son logement.Qu’ils soient dépendants ou non,ceux qui ne peuvent pas bénéficierde l’APL peuvent, en revanche, faireune demande d’Allocation de Loge-ment Social. La Caisse Nationaled’Assurance Vieillesse (CNAV) peutégalement prendre en charge cer-tains frais liés à la dépendance,dans la mesure où les seniors nesont que peu dépendants et, làencore, ne bénéficient pas de l’APA.Le Fonds de Solidarité de Logement(FSL), géré par le Département,peut quant à lui contribuer à solva-biliser les personnes les plus dému-nies pour accéder ou se maintenirdans un logement autonome : cau-tionnement, prêts ou avances rem-boursables, etc.


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De toutes les pièces de la maison,la cuisine est celle qui rassemble leplus d’équipements. Elle concentresur un espace souvent réduit unnombre considérable d’objets par-fois lourds. Accessibilité, praticité,fonctionnalité, ergonomie et sécuri-té sont donc les maîtres-mots de

ceux qui les conçoivent, surtoutquand il s’agit de les adapter auxattentes des seniors.Un exemple avec la marque Sch-midt qui concentre dans un mêmemodèle un ensemble d’innovationsdédiées aux plus âgés, ou plus exac-tement « pour toute une vie ». Son« Concept Confort » propose unemeilleure accessibilité en suppri-mant tous les meubles bas : aucunbesoin de se baisser pour accéderaux ustensiles. L’implantation géné-rale laisse un large espace entre leséléments pour circuler plus facile-ment. Au-dessus du plan de travail,la crédence intègre l’installationd’un rail électrifié sur lequel vien-nent se clipser des prises mobiles.On peut ainsi brancher ses appa-reils où l’on veut. Tous les meubles,ainsi que l’évier, sont dotés d’unéclairage LED intégré qui améliorela visibilité, mais aussi l’élégancede l’ensemble. L’habillage des meu-bles et le plan de travail sont enrésine blanche aux angles arrondis

d’un contact agréable et facile d’en-tretien. Tous les tiroirs et placardss’ouvrent totalement d’une simplepression du doigt.Une cuisine sans poignées, c’estaussi le résultat des innovations enmatière de ferrures développéespar la société Blum et qui profitentdéjà au grand public. Les meublesaux faces lisses s’ouvrent complète-ment d’une simple pression de lamain, du coude, du pied ou del’épaule.Pour faciliter encore l’accessibilité,AMR Concept propose une cuisinedont tous les meubles montent etdescendent à volonté selon lesbesoins. Tables et placards sont pla-cés à la hauteur voulue grâce à desboutons de commande intégrés auplan de travail ou sur une télécom-mande. Le plan de travail lui-mêmepeut varier en hauteur et s’adapterainsi à la taille de l’utilisateur.La majorité de ces aménagementset installations sont réalisés surmesure.

ConceptConfort,deSchmidt.

Willy Aboulicam

Les solutions en matièred’ergonomie et defonctionnalité destinéesà améliorer le quotidiendes plus âgés deviennentsouvent des produits desérie dont tout le mondepeut profiter. Voiciquelques innovationsqui seront bientôt danstoutes les cuisines.

Cuisine. Ces nouveautésqui profitent à tous

Ergonomiques ! Tels doivent être lesustensiles et les accessoires disponi-bles dans les cuisines fréquentées parles plus âgés.À l’origine, ce mot désigne générale-ment les objets étudiés pour êtremanipulés par des mains malhabilesou maladroites. C’est aussi et surtoutle signe que l’accessoire en questionest bien pensé, facile à utiliser partous, et le plus souvent aussi prati-que qu’efficace. Si bien que les objetsergonomiques finissent souvent pardevenir les normes.La plupart des ustensiles de coupe etd’épluchage, mais aussi les cassero-les et les couverts sont ainsi disponi-bles avec de larges poignées qui épou-sent bien les formes de la main.Pour épargner les efforts inutiles, despetits moteurs électriques viennentse nicher dans les moulins à poivre,l’ouvre-boîtes et l’essoreuse à salade.Les appareils électroménagers sontplus petits et plus simples, souventdédiés à des fonctions réduites.Pour ouvrir les bocaux, boîtes, canet-tes et bouteilles, toute une gammed’ustensiles malins nous dispensentde bien des efforts et évitent les acci-dents.Bref : quel que soit votre âge, la visi-te d’une cuisine de seniors bien équi-pée risque de vous donner envie dechanger tout votre équipement.

FonctionnalitéC’est la qualité que l’on attend d’unecuisine. C’est aussi l’objectif de ceux quidéveloppent des solutions innovantes,tel ce système d’ouverture des meublespar simple pression (Ferrures Blum).

58 %

InnovationC’est le maître-mot des entreprisesde la silver-économie. Dans la sallede bains et la cuisine, l’innovationfonctionnelle dédiée aux seniorsprofitera tôt ou tard à tous.

2,36en milliards d’euros, le montantdes ventes des meubles de cuisineen 2013.

Qualité première

C'est l’objectif des seniorsqui s’équipent : cuisinerdoit toujours resterun plaisir.

Photo

Matergo

C’est la part des seniorsdans l’ensemblede la consommationde biens d’équipement.Une part en progressioncontinue.

Un objectifLe chiffre

Elles sont indispensablesaussi bien pour éclairerles piècesque dans les meubles.Les lampes à LED peuventse nicher partoutoù c’est nécessaireaussi bien pour guiderque pour signaleret repérer.

Lumières

Elle est préférée au gazqui demande une vigilanceparticulière. Les plaquesvitrocéramiquesou à induction intégréesau plan de travailpermettent de faire glisserles plats sans difficulté.

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Vos goûts évoluent,

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ILS TÉMOIGNENTTHÉRÈSE, 80 ANS, résidente depuis 1 an.

JE SOUHAITAIS me rapprocher de ma fi lle, et lorsque j’ai visité Les Jardins d’Arcadie, j’ai été conquise. Cela correspondait exactement à ce que je recherchais. J’ai retrouvé du relationnel, de la convivialité, de la chaleur, une sécurité garantie, et surtout nous sommes libres de faire ce que l’on veut. J’ai d’ailleurs invité des amis en chambre d’hôtes, afi n qu’ils puissent se rendre compte de la qualité de cette résidence. Ils ont été enchantés par l’excellente tenue de la résidence, tant à l’in-térieur qu’à l’extérieur, ont apprécié la proximité du centre-ville et les nombreuses dessertes. De plus la restauration y est excellente et le prix des repas pour les hôtes est particulièrement attractif.

ALAIN, le chef de cuisine

UN VISAGE avenant et convivial, ce cuisinier

opère depuis plus de 20 ans aux Jardins d’Arca-

die. Ici nous travaillons majoritairement avec du

frais. Nous achetons le poisson et les crustacés à

Concarneau et dans les ports bigoudens, l’agneau

vient de Trégunc, la volaille et le porc du Finistère,

les légumes de Quimper.

Ma philosophie c’est le changement dans la conti-

nuité. Nous sommes exigeants sur la qualité des

produits. Un résident nous demande une recette

particulière, nous la faisons. Il s’agit de faire plaisir

à tous les convives. Il y a toujours le choix entre un

poisson et une viande. Nous servons également à

domicile lorsque les résidents le souhaitent.

COMMENT CHOISIR SA RÉSIDENCE ?VOICI QUELQUES CONSEILS POUR VOUS GUIDER.

Pour tout complément d’information : tél. 02 98 53 03 08Visitez notre nouveau site sur : www.arcadie-quimper.com

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Le choix des servicesLES SERVICES sont l’un des critères de base pour faire le bon choix. C’est d’ailleurs souvent cela que les plaquettes publicitaires des résidences seniors mettent en avant. Soyez attentif à cette liste, notamment en ce qui concerne l’aide à do-micile (pour le repassage, le ménage, le bricolage par exemple, livraison des repas, téléassistance, aide administrative, livraison des courses...). Di-versifi és, ces services doivent combler les be-soins des résidents dans un, dix ou quinze ans.

Une situationproche de toutes commoditésLE CENTRE-VILLE est-il tout proche ou acces-sible facilement en transports en commun ? Où sont situées les infrastructures culturelles ? Des espaces verts sont-ils à proximité ? En fonction des goûts de chacun, certaines conditions comme celles-ci sont indispensables pour bien vivre.

La possibilitéd’accueillir ses proches

EN GÉNÉRAL, les résidences proposent au mi-nimum une chambre pour héberger la famille des habitants. Demandez à la visiter et rensei-gnez-vous sur les délais de réservation.

La sécurité

INTERPHONE, portail automatique, site sécurisé... Pour s’y sentir protégé, ces critères sont bien sou-vent indispensables. Les espaces sont-ils acces-sibles aux personnes à mobilité réduite (rampes d’accès, pente douce, nombre d’ascenseurs suf-fi sants etc…) ?

ENFIN, LE CRITÈRE PRINCIPAL RESTERA SÛRE-MENT LA LIBERTÉ : celle de décorer soi-même son logement, de faire appel à ses propres méde-cins, de choisir ses activités et services. Un droit non négociable et indispensable.

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DÉCOUVERTE1 semaine en pension

complète : 379 €

Des résidents actifset en pleine formeLA PLACE laissée aux activités est très impor-tante. Gym douce, atelier d’équilibre, aquagym dans un centre extérieur, mais aussi loisirs créa-

tifs, club des mots fl échés, ciné-club et même un atelier mémoire entretiennent la forme morale et physique des résidents. Une fois par mois, des sorties organisées contribuent au maillage re-lationnel des résidents. C’est dire aussi l’impor-tance de se tourner vers la vie à l’extérieur.

VISITE DE LA RÉSIDENCE,SUIVEZ LE GUIDE !TRÈS PROCHE DU CENTRE-VILLE et de toutes les commodités, Les Jardins d’Arcadie vous ac-cueillent dans un écrin de verdure. Cette rési-dence à but non lucratif est composée de plus de 80 appartements, du studio au 3 pièces. Deux formules d’habitat sont proposées : en accession à la propriété ou en location.

Chaque appartement dispose d’un téléphone inté-rieur et est équipé d’un cordon d’appel d’urgence dans chaque pièce. C’est dire si l’on se préoccupe de la sécurité des résidents.

En continuant la visite, nous trouvons plusieurs salons très cosy, dont une bibliothèque très lu-mineuse et gérée par les résidents, un salon de musique ou de causerie, l’espace restaurant où le personnel est déjà très actif en début de mati-née. Ouvert 7 jours sur 7, midi et soir toute l’année (y compris les jours fériés), vous pouvez aussi à l’occasion de réceptions familiales recevoir dans un salon privé. Le service se fait exclusivement à l’assiette. Il n’y a aucune obligation de prendre ses repas, il suffi t de réserver avant 14 h pour le lendemain en choisissant son menu à la carte.

Pour plus de convivialité, Les Jardins d’Arcadie bénéfi cient également de chambres d’hôtes afi n de recevoir votre famille ou vos amis. Un avantage à ne pas négliger.

Nouveau le séjour temporaire !LA SOLUTION IDÉALE pour tester la résidence service, se reposer après une hospitalisation ou simplement prendre quelques vacances avec un proche. Ceci est l’occasion rêvée de tester la

résidence services avant de s’engager défi nitive-ment vers cette solution. Cela permet d’évaluer le concept, la qualité des services, l’environnement, d’échanger aussi avec les résidents.

D’une semaine à plusieurs mois…LA PRESTATION comprend la location d’un ap-partement meublé, la TV, l’abonnement aux ser-vices d’accueil, l’assistance téléphonique 24 h/24, la pension complète, le linge de lit et de bains, le service de ménage, bref une offre clefs en main.

Un personnel attentionné et qualifi éPRÉSIDENT DE L’ANCS (Association Nationale des Copropriétés avec Services) fédérant 30 résidences sur le territoire français, Monsieur Dumoulin, di-recteur des Jardins d’Arcadie de Quimper, est en charge de la gestion du site depuis 7 ans.

Discret et avenant, ce gestionnaire attentif béné-fi cie d’une solide expérience dans l’hôtellerie et la restauration. Toujours à la recherche de nouveaux services pour les résidents, il ne manque pas de projet. Aujourd’hui, il met en place le séjour tem-poraire. Selon Monsieur Dumoulin, ce qui motive justement les personnes à vivre en résidence pour seniors, c’est d’abord un habitat plus adapté en termes de sécurité et de confort, ensuite rompre l’isolement ou se rapprocher de sa région d’ori-gine et de sa famille.

Manageant une équipe de 21 salariés, ce person-nel très investi dans ses missions est composé de 7 personnes dédiées à la restauration, de 4 personnes à l’accueil dont 2 veilleurs de nuit, 1 homme d’entretien, 1 animatrice, et 2 adminis-tratifs. À noter pour la sécurité des résidents, la présence d’une infi rmière 24 h/24. De plus le fait d’avoir des infi rmières est très rassurant, car elles peuvent assurer la coordination entre les diffé-rents intervenants en cas de besoin (pharmacie, médecins, spécialistes etc.).

Combien ça coûte ?POUR L’ACHAT D’UN APPARTEMENT à partir de 40.000 €. Il vous reste 1.000 € mensuel à payer pour l’ensemble des services en ½ pension.

POUR LA LOCATION D’UN APPARTEMENT INCLUANT TOUS LES SERVICES à partir de 1.450 € par mois en ½ pension. Le prix du repas au restaurant à la carte est de 6 €, le midi et 4,70 € le soir.

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Tous les gestes quotidiens de la toi-lette ont été étudiés pour concevoirles nouvelles vasques destinées àaméliorer le confort de vie desseniors. Finis les lourdes faïencesémaillées trop profondes et leursrobinets à poignées. Un exemple

avec la Dejuna Pro, moulée en seulbloc dans un matériau nouveau autoucher soyeux, le Varicor. Une vas-que peu profonde à pente douce per-met d’y poser des objets et comportedes poignées de maintien qui fontaussi office de porte-serviettes. Ici,aucun bouton à tourner : la comman-de de l’eau est assurée par des cap-teurs sensitifs qui ouvrent le robinetpar simple effleurement de la zonede commande et ne nécessitent aucu-ne préhension manuelle.Autre innovation qui commence à segénéraliser : les leds colorés qui pas-sent du bleu au rouge en fonction dela température de l’eau. Enfin, la vas-que est bordée de zones planes per-mettant d’y reposer les bras.

Un espace douche ouvertet sécuriséPour l’espace douche qui est souventplus facile à vivre que la traditionnel-le baignoire, une société alsaciennea conçu « Ligne de vie » : une main

courante en matériaux de synthèsequi crée une ligne directrice tout lelong de l’espace douche. Elle intègreles différents modules - robinetterie,poignée, angles et porte-savons,tablette de pose - intervenants dansla toilette. Accompagnant l’utilisa-teur dans toutes ses actions, « Lignede vie » permet de vivre son intimitéau quotidien en toute autonomie leplus longtemps possible. Constituéde modules à composer (robinette-rie, poignée, angles et accessoires),l’ensemble s’adapte facilement auxcontraintes des seniors : la poignéeverticale sur la paroi de douche facili-te l’entrée et la sortie de la douche.Un receveur extra-plat, antidérapantsur mesure aux normes optimise l’er-gonomie de la configuration. Un siè-ge optionnel s’intègre dans cettedouche à laquelle on accède sans gra-vir de marche. La douche à l’italien-ne de plain-pied, sécurisée par desbarres d’appui, reste en effet la plusaccessible.

C’est l’âge à partir duquel

les travaux d’aménagement

deviennent généralement

utiles dans la salle de bains.

Ils consistent souvent

à remplacer la baignoire

par une douche.

Photo

DR

« Ligne de vie », conçue par une société alsacienne, est une main courante qui crée une ligne directrice tout le long de

l’espace douche.

Willy Aboulicam

Un espace douchetotalement repensé,des matériaux nouveauxépousant des formesétudiées : quand toutl’espace de la salle debains est conçu pour enmaximiser le confort et lasécurité, cela peut donnerdes lignes épurées et unegrande élégance.

Salle de bains.Belle et pratique

60 ans

Sans refaire totalement l’installa-tion de sa salle de bains, il est possi-ble d’en améliorer la sécurité et leconfort grâce à quelques accessoi-res faciles à poser. On commencerapar équiper le fond de la baignoired’un revêtement antidérapant. Tou-jours pour la baignoire, un accessoi-re nommé « planche à pain » (notrephoto) en facilite grandement l’ac-cès et l’utilisation. Cette surface pla-ne est posée en travers de la bai-gnoire. Il suffit de s’asseoir dessuset de soulever les jambes. On prendensuite sa douche sans changer deplace.Dans le même esprit, il existe desfauteuils de bains pivotants ou desimples sièges de bains qui peuventaussi être utiles dans la douche. Onajoute souvent un marchepied d’ac-cès devant la baignoire. La pose debarres d’appui dans la baignoire etdans la douche est un minimum.Certains modèles se fixent facile-ment sur le carrelage à l’aide deventouses spéciales. Enfin, pour leconfort du bain, il existe des bros-ses ergonomiques, des oreillers etdes matelas de bains. Pratiques,toutes ces solutions sont générale-ment assez bon marché (compterenviron 40 ¤ pour une planche àpain), mais elles sont loin d’égalerla pose d’un espace douche spécia-lement adapté aux besoins desseniors.

FonctionnalitéLe Concept’Care, de chez Lapeyre, est un

meuble de salle de bains pensé pour les

seniors et les personnes handicapées.

Grâce à son système « tout-en-un »,

chaque élément est à portée de main.

3Le chiffre en millions du

nombre de personnes

âgées victimes de chutes

chaque année. Pour les

éviter, les ergothérapeutes

sont unanimes : rangez les

tapis ! Attention aussi aux

moquettes dont les barres

de seuil se décollent. Elles

sont à l’origine de pertes

d’équilibre et de coupures.

Photo

DR

InnovationC’est le maître-mot des entreprises

de la silver-économie. Dans la salle

de bains et la cuisine, l’innovation

fonctionnelle dédiée aux seniors

profitera tôt ou tard à tous.

80C’est le pourcentage de chutes

chez les seniors qui se produisent

dans la salle de bains.

25 % des dépenses

dans la limite de 5.000 ¤,

ou un chèque équivalent

pour les non imposables,

tel est le montant

de l’incitation fiscale

réservée aux personnes

âgées qui réalisent

des travaux

dans leur logement.

Accessoires. Ils nouschangent la vie

Un objectifLe chiffre

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« Mieux vaut prévenir que guérir »dit-on. À ce titre, la technologieapporte, depuis quelques annéesdéjà, de nombreuses solutions àtous ceux qui souhaitent faireattention à leur santé grâce à denombreux appareils connectés. Lebut de ces accessoires : vous tenirinformé en temps réel de votreniveau d’activité physique, devotre tension, de votre pouls, laqualité de votre sommeil…

La place à part des braceletsDans cette toute nouvelle galaxied’objets ayant vocation à vous« monitorer », à suivre votre étatde santé, les bracelets connectésoccupent une place à part. Jawbo-ne Up24 (de 119 à 149 ¤), Gear FitSamsung (149 ¤ environ), PolarLoop (de 99 à 149 ¤), Nike Fuel

Band (de 99 à 119 ¤), Withings Pul-se O2 (119 ¤ environ) ou bien enco-re le tout nouveau bracelet Runtas-tic Orbit (119 ¤) sont quelques-unsdes nombreux modèles existantsqui vous invitent à mesurer au quo-tidien vos activités.Outre les informations ainsi four-nies, ces accessoires peuvent aussiconstituer un véritable plus pourse motiver et se forcer à se bouger.« En ajoutant un côté ludique, cebracelet m’incite à marcher plutôtqu’à prendre les transports en com-mun sur des petites distances »,constate Brice. Car ces braceletsconnectés ne se destinent pas for-cément aux sportifs. Au contrairemême, car ceux-ci trouveront sansdoute leurs fonctionnalités limi-tées. Car au-delà du comptage depas (fonction podomètre), toutes

les activités sportives ne sont pasforcément prises en compte dansle décompte des calories grillées.L’application Jawbone permet ainside rentrer manuellement un grandnombre d’activités afin de complé-ter son programme alors que chezRuntastic, l’application liée au bra-celet est compatible avec toutesles autres applications de la mar-que qui permettent de « traquer »un grand nombre d’activités sporti-ves.Pour Laure Brouard, responsablemarketing chez Runtastic : « Sui-vre ses activités physiques c’estdonc d’abord prendre consciencede notre niveau d’activité et entre-prendre de petits changementsquotidiens ». Une sorte de premierpas, de prise de conscience avantde s’y mettre vraiment en somme.

Le Withings Pulse O2 est un des

nombreux bracelets connectés qui

permettent de mesurer vos activités

au quotidien.

Santé.Jouez la carte connectée

Pas besoin forcément de s’équiper denouveaux objets connectés. En effet,de nombreuses applications poursmartphones constituent de vérita-bles mines d’informations pour resteren forme alors que certaines d’entreelles transforment votre appareil enun véritable allié de santé. C’est lecas des nombreuses applicationspodomètres qui utilisent les capaci-tés gyroscopiques des smartphones.Comme avec les bracelets connectés,il devient alors possible de compterle nombre de pas effectués dans unejournée et avec, le nombre de calo-ries grillées. Qu’il s’agisse des systè-mes Android ou iOS, les applicationsne manquent pas, gratuites ou non,et une simple recherche « podomè-tre » sur le Google Play ou l’App storesuffit à en trouver des dizaines.Mieux encore, chez Runtastic, outreune application de référence pour lacourse, on trouve des applicationspour se motiver à faire des pompes,des tractions ou bien encore desséries d’abdominaux.Autant de compagnons d’activité quipeuvent aider à se motiver. Enfin,pour tous ceux qui n’ont ni le tempsni le courage, une toute nouvellesérie d’applications proposant dessessions d’activité de sept minutesvient de voir le jour. Recherchez surles stores Google et Apple « 7 Minu-tes Workout » (notre photo) pourdécouvrir une série de logiciels grâceauxquels vous pourrez vous entrete-nir avec un minimum de frais… etd’efforts.

58 %des seniors seraient prêts àutiliser des objets connectés sileur médecin le leur préconisait.

CompletÉtanche jusqu’à 100 m, le nouveaubracelet Orbit, de Runtastic, est unvéritable « traceur » d’activités physiqueset sportives. Et pour de meilleurs nuits, ilsurveille même votre sommeil !

Surveiller son poidsLa balance Smart Body Analyzer(149 ¤) calcule le poids, massegrasse et rythme cardiaque. Grâceà l’application liée, on suit ainsi aujour le jour sa courbe de poids.

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la tension artérielle.Via l’application Health Mate,on peut ainsi compléterle suivi quotidiende l’activité physique.

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Entre époux, la loi prévoit déjà, encas de décès, un minimum de pro-tection du conjoint survivant.Le choix du régime matrimonial ouson aménagement, peut améliorerla protection du conjoint survivant.Une clause de préciput permet d’at-tribuer un bien prioritairement auconjoint.Il est possible d’augmenter la partd’héritage de son conjoint enconsentant une donation. La pluscourante est la « donation au der-nier vivant ». Elle a pour objectifd’augmenter les droits successo-raux du conjoint survivant, tout enlui laissant des choix. Le plus sou-vent elle est consentie de façon réci-proque, chacun signant un acte de

donation en faveur de l’autre.Dans le cas du Pacs, le partenairen’a pas la qualité d’héritier. Il estdonc impératif de recourir au testa-ment pour le protéger. En présenced’enfants, une attention particuliè-re doit être apportée à la rédactionde ce testament pour concilierles droits de chacun.On rappelle que le concubinagene bénéficie d’aucun des droits descouples mariés et pacsés.

La protection de ses enfantset descendantsLa donation-partage permet de sonvivant d’avantager et de protégerses enfants en cas de décès, d’unepart en leur assurant une fiscalité

moins onéreuse et d’autre part enlimitant les risques futurs de désac-cords entre eux. Elle consiste àrépartir entre ses enfants, ses biens,tout en conservant si on le souhaitela jouissance de ceux-ci, en stipu-lant une réserve d’usufruit. La dona-tion partage peut désormais êtretransgénérationnelle, c’est-à-direêtre au bénéfice de ses enfants maisaussi de ses petits-enfants.La société civile constitue égale-ment une technique intéressantepour permettre la transmission deses biens tout en conservant la maî-trise, mais une attention toute parti-culière devra être apportéeà la rédaction des statuts.www.notaires-ouest.com

Le mandat de protection future permetà toute personne d’organiser son éven-tuelle dépendance future ou celle deses enfants mineurs ou incapables endésignant un mandataire chargé degérer ses revenus et sa vie quotidienne.Il existe deux types de mandat de pro-tection : pour soi ou pour autrui.Vous pouvez le signer pour vous-mêmesi vous êtes une personne majeure oumineure émancipée afin de faire gérervotre patrimoine par une ou plusieurspersonnes, le jour où vous ne serezplus en mesure de le faire seul. Ce man-dat peut être rédigé sous seing privé ousous la forme notariée.Pour autrui, il peut être signé par lesparents d’un enfant mineur sur lequelils exercent l’autorité parentale oud’un enfant majeur atteint d’une alté-

ration de ses facultés l’empêchant d’ex-primer sa volonté. Ce type de mandatdoit obligatoirement être rédigé sousforme notariée. Il ne prendra effetqu’au décès des parents ou dès qu’ilsseront incapables d’assurer leur mis-sion.

L’intérêt d’un mandat notariéLe mandat notarié permet au mandatai-re d’exécuter tous les actes de disposi-tion à titre onéreux : vente, mise enlocation, hypothèque… Le mandataireest tenu de rendre compte au notaireen lui remettant l’inventaire des biens,mais aussi les comptes annuels. Cettesolution garantit une sécurité juridiqueaccrue et assure un garde-fou indispen-sable à la différence du mandat sousseing privé.

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Il est possible d’augmenter la part

d’héritage de son conjoint en

consentant une donation.

Succession.Protéger ceux qu’on aime

Incapacité.Le mandat de protection future

La volonté de protégerses proches se traduitpar l’intention d’assurerune protection efficacepour le futur,tant pour son conjoint,son partenaire,ou son concubinque pour ses enfantset descendants.

En l’absence de donation entre époux

1/4 en pleine propriété

OU

La totalité en usufruit


et 3/4 en usufruit

OU

La totalité en usufruit

OU

La quotité disponible ordinaire,

soit la moitié s’il y a un enfant,

1/3 s’il y a deux enfants

et 1/4 s’il y a trois enfants ou plus


sans possibilité d’option

Avec une donation entre époux

Droits du conjoint survivant

Tousles enfantssont issusdu couple

Au moinsun enfantest né d’une autre union

Protéger son partenaire de Pacs

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CNAPS – Article 612 – 14 du CSI. « L’autorisation administrative préalable ne confère aucun caractère officiel à l’entreprise ou aux personnes qui en bénéficient.

Elle n’engage en aucune manière la responsabilité des pouvoirs publics ».

Édité par Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel du Finistère, société coopérative à capital variable, agréée en tant qu’établissement de crédit. Société de courtage d’assurance immatriculée au Registre des Intermédiaires en Assurance sous le n°

07.022.973 .Siège social : 7, route du Loch - 29555 Quimper cedex 9. 778 134 601 RCS Quimper. Téléphone : 02 98 76 01 11 . Document non contractuel. 07/2014 – B22063 – Crédit photo : Getty.

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Le Pacs et le mariage offrent desdroits très proches mais des diffé-rences de taille persistent dans laprotection du survivant.La fiscalité est alignée sur celle dumariage. Les partenaires bénéfi-cient d’un abattement de 80.724 ¤en cas de donation et sont exoné-rés des droits de succession en casde décès de l’un des deux.

Les grandes différencesentre Pacs et mariageLe Pacs n’offre aucune garantie encas de séparation et exclut toutversement d’une prestation com-pensatoire.Si un partenaire décède, une fois àla retraite ou peu de temps avant,le survivant ne pourra prétendre àaucune pension de réversion.En cas de décès, même si le survi-vant a été désigné comme héritier

par testament, ses droits demeu-rent différents de ceux du conjointmarié : les enfants du couplepacsé auront la réserve et le survi-vant la quotité disponible ordinai-re.Partenaires de Pacs, pensez au tes-tament ! Malgré une exonérationde droits en cas de décès, votrepartenaire n’est pas votre héritiersi vous ne l’avez pas désigné com-me tel dans votre testament.


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Jadis, il était rare qu’un potager nevoisine pas avec un poulailler. Lespoules étaient omniprésentes dèsque l’on quittait les villes. Maisavec l’extension de ces dernières et

surtout la généralisation d’unmode de vie urbain, les poulaillerssont devenus rares. Or voici que lespoules redeviennent des compa-gnes de choix, et pas seulement enmilieu rural. Il faut dire que Mada-me poule sait séduire aussi bien lesgourmands que les amateurs derecyclage et d’autosuffisance.Notre infatigable gratteuse est, eneffet, un auxiliaire non négligeableà la réduction des déchets. Elle amême été reconnue pour son effica-cité par l’Agence de l’Environne-ment et de la Maîtrise d’Énergie(ADEME). Pensez donc : une poulepeut venir à bout de 150 kg dedéchets alimentaires, qu’elle trans-forme en bons œufs frais (entre200 et 250 par an quand la consom-mation moyenne des Français s’élè-ve à 230 œufs par an).La poule est aussi dotée d’un carac-tère curieux et docile : elle s’atta-che rapidement et développe l’affec-tion des enfants, qui se responsabili-

sent en prenant soin d’elle.

Mini-poulaillers prêt-à-poserSi vous êtes tentés par l’aventure,vous pouvez opter pour un mini-pou-laillers disponibles en jardineries.Ils sont prêt-à-poser, vous n’avezdonc plus qu’à y loger deux à qua-tre belles poulettes. Dans l’idéal,comptez 20 m² de terrain par pou-le, et 2 m² d’abris pour quatre pou-les. Si vous habitez en zone urbai-ne, n’oubliez pas que la présenced’un coq peut être considérée com-me une nuisance sonore. Prenezdonc soin de consulter vos voisins.En échange de quelques bons œufsde temps en temps, vous devriez,sans mal, les convaincre.Vous hésitez encore à vous lancerdans le micro-élevage de volailles ?Vous avez peur de faire des erreursfatales à vos hôtes à plumes ?Consultez les sites internet et leslivres récents qui font le point sur lesujet.

Le jardinage entretientla forme des seniors. Lesnovices doivent l’abordercomme une activitéphysique à part entière.

PhotosArnaudChilderic

Choisissez-la pour sa robe ou pour ses œufs, offrez-lui une petite maison, et la généreuse poule saura vous remercier !

Willy Aboulicam

À la campagne et mêmeen ville, les gallinacéssont de retour !Pas forcément pouragrémenter le repasdominical, mais plutôtpour recycler nos déchetset garnir nos coquetiers.Nul besoin d’un grandterrain. En revanche, ellesapprécient l’attentionet la disponibilité.

Écologique.Une poule dans le jardin

Les gourmets contemplatifs quin’ont plus l’énergie suffisante pourentretenir un grand potager ne sontpour autant pas forcés de renoncerau bonheur de cueillir chez eux quel-ques légumes et des herbes aromati-ques. Vous pouvez réaliser des mini-massifs sans effort particulier.Ce genre de petit îlot aux aromatesest particulièrement pratique à côtéde la terrasse ensoleillée. Vous yplanterez des plantes amatrices dechaleur comme la verveine citron-née et le basilic.Si vous disposez d’un balcon, d’uneterrasse ou d’une pièce suffisam-ment grande et éclairée, vous pou-vez créer chez vous un jardin pota-ger, et même adopter les méthodesdu jardinage biologique ! Vousn’aurez peut-être pas les mêmesrécoltes que dans un potager de plei-ne terre, mais de nombreuses varié-tés de légumes et de plantes aroma-tiques s’accommodent tout à fait dela culture en pot. Vous opterez depréférence pour les espèces à crois-sance rapide et à racines peu profon-des. Vous pouvez aussi vous spéciali-ser dans la production de germes àhaute valeur nutritionnelle. Ils sonten effet, consommables après seule-ment quelques jours de culture !Vous trouverez des bacs, pots et jar-dinières en grand nombre et de tou-tes tailles dans les jardineries.

Pour bêcher sans effortCe drôle d’outil auquel on ajoute deuxmanches vous permet de préparer le solsans effort, sans douleur dorsale.Cette fourche à bêcher s’appelle aussi« grelinette » (env. 100 ¤, Ducotterd).

Les seniors apprécienten majorité les plantes« fonctionnelles »,c’est-à-dire faciles àdépoter, rapidementplantées et qui font vitebel effet dans un jardind’ornement.Un changementpar rapport à la générationprécédente.

Familial !Le jardin des seniors est aussi ledomaine de leur famille. Enfantset petits-enfants s’y retrouvent. Ony profite aussi bien des délices dupotager que du jardin d’ornement.

100C’est le nombre de kg de fientesproduites par une poule par an.Un engrais utile, riche en azote.

Qualité première

58 %des 50-65 ans apprécient lejardinage, et 67 % d’entreeux ont un jardin. C’estpour eux un critèreprioritaire pour l’achatd’une maison.

65C’est l’âge à partir duquell’envie de réaménager sonjardin diminue fortement.

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Un lieu de rencontreLe bon geste

En forme !

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Caudan (56) Z.A. de Lann Sévelin - 02 97 81 44 44

Corlay (22)Z.A. de Kerjoly - 02 96 57 80 20

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Potager de poche.Jardinersans se fatiguer


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