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François Jean-BoutinAndréanne Loubier-Tardif
Mathieu MartinbaultGabrielle PhilipponCatherine Rancourt
Alexandra Thibeault-DoonanValérie-Claude Tremblay
Jessica Trott
Introduction
IntroductionAu Québec, l’éducation doit :
Être accessible à tous L’égalité des chances Liberté des parents de choisir l’établissement
d’enseignement.
6 principes éducatifs: Fonction principale des institutions Âge de la clientèle Niveau de développement visé Type de formation offerte Type de propriété Langue d’enseignement
Introduction
Des écoles d’anciens régimes (1608-1801)Les écoles du canada demeurent des institutions
d’anciens régimes dirigées par les églises chrétiennesOn ne peut donc pas parler d’un système éducatif
Les besoins éducatifsDéveloppement de l’enseignement de type
scolaireLa maîtrise de l’écriture pour les occupations
journalièresL’importance de la maîtrise de l’écriture pour
l’église
Les institutions éducatives françaisesL’éducation aux garçons seulement pour des
raisons religieusesLes plus doués poursuivent leurs études et
les autres retournent auprès de leur famille pour reprendre le travail du père
Peu de filles à l’école
Les institutions éducatives de la Nouvelle-FranceAugmentation du nombre d’institutions
Les contenus de l’enseignementPour les filles : formation complémentaire :
français, latin, chant, musique. Mais surtout les disciplines telles que la dentelle, la broderie et la couture.
Pour les garçons : tout ce qui concerne les auteurs de l’Antiquité et les textes de personnages à imiter.
Les tentatives avortées (1801-1841)Établir un lien entre l’éducation publique et
la prospérité des peuples : Causes :- l’importance grandissante du commerce- Le développement des connaissances
agronomiques- La mise au point de moyens de transport et
de fabrication mécanisée
Apparition des premières législations scolairesEn 1787 : création d’un comité d’enquête sur
l’éducation : proposition de mettre en place un vrai système scolaire pour l’assimilation des francophones.
En 1801 : apparition de la loi créant l’institution royale pour l’avancement des sciences sous l’autorité du gouverneur britannique. Cette institution connait un grand succès (35 écoles en 1818 à 87 écoles en 1829). Par contre, ce type d’école diminue et voit la fin en 1846. La cause : ignoré par les catholiques pour diverses raisons, dont la langue d’enseignement et la confessionnalité des écoles, le régime de l’institution royale n’a que très peu de succès auprès des francophones
En 1824 : adoption de la loi des écoles de fabriques : création de ces écoles pour que les habitants (population française) n’aient pas recours à l’institution royale. Par contre, étant donné que ces écoles paroissiales ne sont pas subventionnées, elles ne peuvent se développer.
En 1829 : suite à des pétitions déposées par la population qui exprime son désir d’avoir un meilleur recours à l’éducation, une nouvelle loi, dite Loi des écoles de syndics, permet l’élection de commissaires ou syndics chargés de l’administration des écoles primaires dans les paroisses catholiques et protestantes. Le gouvernement subventionne la construction des écoles et paie le salaire des maîtres. Suite à la création d’écoles de syndics, on constate une nette augmentation du nombre d’enfants allant à l’école (1/15 en 1828 -> 1/3 en 1832 : voir p. 32 dans le livre)
1840 Entré en vigueur de mesures visant à
promouvoir l’éducation du Canada-Uni, ceci inclus le Québec et l’Ontario. L’instauration de ces mesures est en lien direct avec l’implication des gens dans la vie politique de l’époque. Cette implication demande qu’on sache lire, écrire et compter.
20 juillet 1841 La chambre d’assemblée du Canada-Uni
adopte un projet de loi qui consiste à diviser le territoire afin qu’il forme un réseau d’écoles dirigées par des commissaires élus. Ce réseau est en fait rattaché au conseil municipal, ce qui en facilite la gestion (arrondissement scolaire).
1845 On remplace les arrondissements scolaires
par des commissions scolaires : organismes indépendants du conseil municipal qui sont supervisés par le surintendant.
On associe le régime scolaire et l’Église afin de les faire dépendre de l’organisation paroissiale.
1846 Loi sur la confessionnalité des écoles Réorganisation des municipalités ou
commissions scolaires.Le pouvoir est donné aux commissaires
d’imposer aux citoyens des cotisations pour financer le régime scolaire (taxes scolaires). Exception de Montréal et de Québec.
Problèmes du système scolaire du Canada-UniFinancementFonctionnement (deux confessions)Recrutement du personnel et sa qualification Pas dans les mœursAbsentéismeInterruption précoce
École secondaireMilieu francophone : école moderne, les
couvents et collèges classiquesMilieu anglophone : High School
UniversitésFondation de la première université
francophone en 1852 Fondation de la première université
anglophone en 1857
Naissance du Canada1er juillet 1867• Le Parlement de Westminster
adopte l’Acte de l’Amérique du Nord Britanique– rebaptisé plus tard la Loi
constitutionnelle de 1867
• Établit la fédération canadienne– Création de deux ordres de
gouvernements• Fédéral et Provincial • Chaque province du nouveau
pays assume désormais un certain nombre de responsabilités– Les provinces ont encore
une juridiction exclusive sur leurs structures scolaires
L’article 93Raison : • Les protestants du Québec
• anglophones• minoritaires au Québec
– craignaient d’être privés de leurs établissements scolaires par la majorité francophone et de leurs droits acquis par les minorités religieuses.
– ont mis de la pression– voulaient des garanties
• Donc, cet article établit que :– Même si le Québec conserve le pouvoir exclusif de faire des lois en
matière d’éducation• Les droits et privilèges des écoles confessionnelles acquis avant
1867 sont garantis. • Leurs droits sont protégés et aucune autre loi voulant porter
atteinte à ces droits ne serait admissible.• Les écoles dissidentes peuvent donc continuer à être régies
comme elles l’étaient avant la fédération canadienne.
Situation en 1867 • 50 % des enfants vont à l’école
• Il existe des écoles communes • Accueillant indistinctement des enfants de toute
croyance.• La majorité des écoles le sont
• Il existe des écoles dissidentes, c’est-à-dire confessionnelles, au plan juridique (article 93)• Mises sur pied par des membres de minorités
religieuses insatisfaits des règles adoptées par les écoles communes
• Ont donc demandé un droit de dissidence pour les protestants et les catholiques– Seulement 183 écoles sur 3048 sont dissidentes– Majoritairement protestantes
École confessionnelle?• Élaboration d’un réseau public confessionnel constitué
de deux courants séparés et indépendants – Écoles catholiques et écoles protestantes– Toutes les écoles de Montréal et de Québec font partie de
ce réseau
• Dans chaque arrondissement scolaire– On retrouve des écoles confessionnelles de la minorité
religieuse = écoles dissidentes
• Mais comme toutes les écoles publiques de la majorité– Assurent la formation de leurs maîtres – Élaborent leurs propres programmes– Élaborent leurs mécanismes d’inspection par
l’intermédiaire de leur section confessionnelle (protestante ou catholique) du Conseil de l’Instruction publique
Conseil de l’Instruction publique Formé en 1859 (prévu dans la loi de 1856) Gère le système éducatif des écoles communes Formé de 10 catholiques et 4 protestants et du surintendant
Hommes influents, respectés, auréolés de prestige Chefs québécois des différentes Églises, des politiciens éminents, des hommes d’affaires
Se dotent de quelques sous-comités auxquels on attribue des tâches spécifiques : Choix des manuels et du matériel pédagogique (livres, cartes,
globes, etc.) Régie du cours d’étude des écoles normales Classification et disciplines des écoles publiques Formation des Bureaux d’examinateurs Peut révoquer le certificat de qualification d’instituteurs ou
d’institutrices pour manquement de bonnes mœurs, à la bonne conduite ou à la tempérance
Circonscrit l’autonomie des commissaires sur : L’embauche et le renvoi des maîtres et maîtresses La classification des écoles Le choix du matériel pédagogique
1868Création du Ministère de l’Instruction publique (Miq)
Le premier ministre Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (ancien surintendant des écoles) se nomme ministre
Le système d’éducation est cependant encore géré par le Conseil de l’Instruction publique
Avancées majeures:L’enseignement des sciences à McGillCréation de la Polytechnique
L’histoire du MIq est éphémèreRedevient un simple département en 1875 (DIP)
L’influence de l’ÉgliseA repris une place très importante au sein de
la sociétéEst capable d’influencer à une plus grande
échelle le gouvernement québécois désormais chargé des services sociaux (éducation)
Dans une province composée de 85 % de catholique, elle veut retrouver le contrôle sur les écoles qu’elle avait autrefois
Est très liée avec le parti politique au pouvoir
L’Église veut une entière liberté d’action en matière éducative1873 : P.-J.-O. Chauveau écarté du pouvoirClergé catholique poursuit ses pressions sur
les premiers ministres (Gédéon Ouimet, puis Charles-Eugène Boucher de Boucherville)
Après les élections de 1875, le soutien à Boucher de Boucherville dans la campagne rapporte :Il prépare une nouvelle loi scolaire qui entraîne
de nombreux changements
La nouvelle loi scolaire de 1875Gouverne du réseau scolaire = surintendant
nommé à vieComposition du Comité catholique
Tous les évêques dont le diocèse est situé au Québec
Nombre égal de laïcs (non du clergé, mais d’obédiance néanmoins religieuse)
Composition du Comité protestantNombre de personnes égal au nombre de laïcs
du comité catholique
La nouvelle loi scolaire de 1875Le surintendant et tout le Département de
l’Instruction publique (DIP) sont désormais au service de ces comités catholiques et protestants et exécutent leurs directives.Ils s’assurent que leurs décisions sont bien mises
en applicationN’ont plus le droit de regard sur
les engagementsLes programmesLe manuel Le classement des écoles
ConséquencesSystème qui tiendra en place jusqu’en 1960École catholique et protestante pas gérées de la
même façon encore une foisLe système scolaire catholique du Québec se
trouve en entier entre les mains de l’assemblé des évêques
Presque rien ne lui (l’assemblée des évêques) échappe (sauf l’enseignement professionnel)
Les responsabilités qu’assumaient le surintendant avant 1867 lui reviennent toutes
ConséquencesL’Église catholique contrôle donc jusqu’en 1960
toutes les écolesLes collègesLes couvents Les universités
Le Comité catholique choisit les inspecteursles programmes des écoles sous l’autorité des
commissions scolaires et des écoles normalesLes manuels scolairesChangements qui vont à l’encontre de ce qui se passe
ailleurs en Amérique du Nord L’État élargit plutôt ses responsabilités éducatives
ConséquencesSoumet tout le réseau scolaire à une mission
première = sauver les âmes = mission évangélique des évêques
Objectif premier = religieuxNéglige les objectifs plus terre-à-terre de
compétence et d’efficacitéQuébécois francophones au 20e siècle
Population la moins bien scolarisée du CanadaPeu capable de miser sur sa compétence pour
améliorer son sortLocataires et employés dans leur propre paysMinorité anglaise possède la majorité des
entreprises et des postes les mieux payés
1875-1960Aucun changement significatif dans la
structure éducative du systèmePériode de forte croissance démographique,
d’industrialisation et d’urbanisationcréation de plusieurs collèges classiques, de High
Schools, d’écoles supérieures et techniques, souvent financés par le gouvernement.
1920: l’Université de Montréal reçoit sa charte.
1943 : Instauration de la fréquentation scolaire obligatoirePour contrer la sous-scolarisation de la populationJeunes âgés entre 6 et 14 ans.
Problèmes reliés à cette période1951: sur 8780 établissements scolaires
plus de 70% = seulement 1 salle de classe60% = sans électricité40% = sans eau ni toilette à l’intérieur.
La sous-scolarisation des francophones demeure importante;fin des années 50 : seulement 63% des élèves
terminent leur septième année. Le système d’éducation demeure sous-
financé et manque de ressources pour l’aider
Révolution tranquille La société québécoise a de nouvelles valeurs.
1961 : Le gouvernement provincial institue la « Commission royale d’enquête sur l’enseignement » Au cours de leurs travaux, les commissaires reçoivent plus de 300 mémoires.
Rôle majeur dans la restructuration
1963 Le rapport Parent Ses recommandations :
Développement d’une structure pédagogique moderne : création des polyvalentes et des Cegep,
Transfert de la formation des maîtres à l’université,
Objectif premier : augmenter l’accessibilité à l’école et l’offre de services secondaires et tertiaires.
Création du MEQLe projet de loi 60En 1964, création du ministère de
l’Éducation et le conseil supérieur de l’éducation.
Paul-Gérin Lajoie devient ministre de l’Éducation
Préservation de la confessionnalité du système scolaire même si le clergé perd son rôle de gestionnaire du système d’éducation.
Règlements
L’opération 55En 1965, elle consiste à doter le Québec
d’équipements scolaires adéquats.
64 commissions scolaires régionales au Québec
En 1966, application du règlement numéro 1.
CégepsFormation d’un nouvel ordre intermédiaire
d’enseignement entre l’école secondaire et l’université.
En 1967, les écoles du réseau de l’enseignement spécialisé sont transférées aux cégeps et aux nouvelles polyvalentes.
Université publiquePremière université publique (L’université de
Québec).
Beaucoup de lois vont être votées durant cette courte période.
L’heure des revendications au Québec.
De 1970 à 1980, les dimensions linguistiques et confessionnelles de l’éducation deviennent des enjeux importants.
Octobre 1969, M. Jean-Guy Cardinal dépose le Bill 63.
Deux ans plus tard, le projet de loi 27 propose le regroupement des 800 commissions scolaires du Québec.
En 1974, des statistiques démontrent que 25000 francophones fréquentent l’école anglaise et 82,7 % des allophones font de même. Ce qui inquiète grandement Robert Bourassa.
Un an après son élection au pouvoir, le 31 mars 1977, le parti québécois dépose son programme officiel. Dans celui-ci, il est stipulé que tous les nouveaux immigrants doivent fréquenter l’école française.
La même année, la loi loi 101101 (la Charte de la langue française) est adoptée. On reconnaît Camille Laurin comme le père de cette loi.
(1982 : rapatriement de la constitution)
En 1979, le gouvernement instaure le projet de loi 77 et publie le livre orange intitulé : L’école québécoise : Énonce de politique et de plan d’action. La publication de ce livre mènera aux régimes pédagogiques de 1981.
1988, la loi sur l’instruction publique est modifiée. La loi sur l'instruction publique est une loi provinciale du Québec qui
légifère sur le système éducatif public québécois. Elle est sous la responsabilité du ministère de l'Éducation du Québec.
La légifération en matière scolaire commence en 1801 au Bas-Canada. La loi actuelle a été adoptée en 1988 et elle résulte de la modernisation de plusieurs anciennes lois scolaires adoptées en 1829, 1867 et 1964. La loi sur l'instruction publique est une loi provinciale du Québec qui légifère sur le système éducatif public québécois. Elle est sous la responsabilité du ministère de l'Éducation du Québec.
La légifération en matière scolaire commence en 1801 au Bas-Canada. La loi actuelle a été adoptée en 1988 et elle résulte de la modernisation de plusieurs anciennes lois scolaires adoptées en 1829, 1867 et 1964.
1990 marque le début d’une nouvelle réflexion sur les orientations fondamentales de notre système éducatif.
La décennie va donner naissance à maints rapports destinés à déterminer quelles doivent être les voies de formation pour préparer les jeunes au XXIe siècle.
Par ailleurs, le système s’étant dispersé et ne donnant pas la performance escomptée, un resserrement des exigences relatives à la formation initiale, inspiré du «Back to basics» états-unien, va être recommandé. (: il n’apparaît pas que la réforme l’ait concrétisé…)
199715 avr. 1997 – La motion unanime de l'Assemblée
nationale, le 15 avril 1997, demandant au gouvernement fédéral de modifier l'article 93, et l'adoption de la loi 109 instituant les commissions scolaires linguistiques
19981998 - En 1998, la mise en place des commissions scolaires linguistiques donne lieu à un nouveau découpage qui vise le plus possible le respect du territoire des municipalités régionales de comté.
Source : Ministère de l'Éducation - www.mels.gouv.qc.ca/cpress/cprss2004/c040525.htm
2 mai 1998 - Avec l'entrée en vigueur, le 2 mai 1998, du troisième et dernier décret concernant la dénomination des commissions scolaires linguistiques, chacune d' entre elles a maintenant une appellation officielle.
Source : Ministère de l'Éducation - www.mels.gouv.qc.ca/reforme/info_ref/numero7.htm
1 juil. 1998 - À la suite des récentes élections scolaires, les 72 nouvelles commissions scolaires linguistiques opéreront dès le 1er juillet 1998.
Source : Painchaud et Lessard - La réforme de l'éducation au québec : le … - www.unige.ch/fapse/life/textes ..
1998
Depuis, il n'y a plus d’écoles religieuses et les écoles sont devenus 100 % laïques.
Laïque signifie dans le Larousse : qui n’appartient pas au clergé, indépendant des organisations religieuses.
Le décrochage scolaireLes années 90 sont théoriquement
prometteuses et les mesures prises visent la réussite éducative. Le décrochage scolaire chez les jeunes est de plus en plus criant. C’est pourquoi des mesures sont mises en place pour contrer cette problématique grandissante.
http://www.youtube.com/watch?v=Gk3zB_NsKpA
Le ministère de l’Éducation rend publique en 1996, une réforme intitulée « Prendre le virage du succès ». Ce plan vise principalement le succès du plus grand nombre d’étudiants contrairement à l’accès du plus grand nombre. Voici quelques exemples:
-Recentrer la mission de l’école-Actualiser l’égalité des chances en éducation-Meilleur encadrement des élèves-Consolider la formation professionnelle et
techniqueSon programme (préscolaire-primaire) sort en 1999Cette réforme est implantée au début des années
2000.En 2010-2011, elle fête sa onzième année, mais ne
tient pas la promesse de réussite du plus grand nombre…
Nouvelle-France• L’époque de la Nouvelle-France 17e siècle=
Église; la transmission de la culture se faisait de manière orale, l’écriture réservée aux élites.
• La majorité de la population est non scolarisée• Bas-Canada, premier réel système scolaire les
premières lois sont instaurées.• Le Canada – Uni, en 1845 : on crée alors les
commissions scolaires, organismes indépendants du conseil municipal et relevant du surintendant.( écoles secondaires, universités, collèges)
1867Après 1867, plusieurs changements légaux
sont instaurés.1868,création (temporaire) du ministère de
l’ÉducationUrbanisation et industrialisation de fin de
siècle.1943, loi sur la fréquentation scolaire
obligatoire pour les jeunes de 6 à 14 ansDe 1940 à 1961, 40 écoles de métiers et
instituts techniques seront ouverts.
Réforme des années 60 (Révolution tranquille)1964,ministère de l’Éducation et le Conseil
supérieur de l’éducation. création des cégeps première université publique, université du
Québec1965, règle 55, doter le Québec
d’équipement et matériel nécessaire (création des polyvalentes)
Années 70-80• les dimensions linguistique et confessionnelle de
l’éducation deviennent des enjeux majeurs• Une législation importante, la Loi sur l’instruction
publique, remplace, en 1988, la vieille législation qui portait ce nom. La nouvelle loi prolonge notamment la fréquentation scolaire obligatoire jusqu’à 16 ans et prévoit la division du territoire québécois en commissions scolaires linguistiques.
• Elle prévoit aussi les P.I. pour les EHDAA. • Les nouveaux immigrants doivent obligatoirement
fréquenter l’école francophone à leur arrivée
Années 90Commissions scolaires formées sur la langue Problèmes de décrochage scolaireL’élève est amené davantage à bâtir ses
propres connaissances, l’enseignement devient un soutien. (Réforme)
DébatLes accommodements
les écoles passerelles