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Communiqué du mouvement citoyen "article 10 Ali bouge de la" Mesdames,Messieurs, chers compatriotes, Il y a de cela quelques mois, le mouvement "article 10..." À demandé a Ali Bongo de faire la lumière sur son faux actes de naissance. Il y va du respect de la constitution de notre pays le Gabon. À titre de rappel, dans notre constitution en son article 10, il est écrit:"...toute personne ayant acquis la nationalité gabonaise ne peut se présenter comme candidat à la présidence de la République. Seule sa descendance ayant demeurée sans discontinuité au Gabon le peut, à partir de la 4ème génération". En lieu et place de la présentation de ses papiers, Ali bongo, via le conseil nationale de la communication (CNC), cautionne des comportements outrageux et insultants qui ne grandissent pas son magistère. En effet, depuis les révélations d'un organe de presse français en ligne, sur la succession de mr Omar Bongo Ondimba, Ali bongo et son clan s'acharnent sur les enfants de madame Chantal Myboto Gondjout. Le billet du Makaya du quotidien l'union du 12 mars 2015 et le journal Douk Douk du 23 mars 2015 marquent hélas les traces indélébiles d'un régime politique méprisant et sans valeurs morales aucunes et qui, pour se maintenir au pouvoir n'hésite pas à s'attaquer aux enfants et à la mémoire d'un enfant décédé... Alors nous demandons simplement à bongo Ali s'il pourra supporter l'épidémie des familles meurtries qui ont vu le sang des leurs, versé soit par des crimes rituels soit par toute autre forme d'injustice?? Face au devoir citoyen qui nous anime et faisant notre les premiers mots du préambule de la constitution:"le peuple gabonais, conscient de sa responsabilité devant Dieu et devant l'histoire..."' Le mouvement article 10 clôt son propos de ce jour par 2 rappels: 1er: la grandeur d'un CHEF ne se mesure guère par sa capacité à se faire craindre. 2ème: le mouvement article 10 composé d'hommes et de femmes aimant profondément le Gabon, réitère la violation de la constitution par bongo Ali, qui lui même à reconnu que ses documents de naissance produits sont des faux. Il doit par conséquent tirer les conséquences politiques qui découlent de ses aveux pour faux et usage de faux en écriture publique et haute trahison. Sa démission est attendu en toute citoyenneté. Je vous remercie

#Gabon : Communiqué Du Mouvement Citoyen

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Il y a de cela quelques mois, le mouvement "article 10..." À demandé a Ali Bongo de faire la lumière sur son faux actes de naissance. Il y va du respect de la constitution de notre pays le Gabon.

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Communiqué du mouvement citoyen "article 10 Ali bouge de la"

Mesdames,Messieurs, chers compatriotes,

Il y a de cela quelques mois, le mouvement "article 10..." À demandé a Ali Bongo de faire la lumière sur son faux actes de naissance. Il y va du respect de la constitution de notre pays le Gabon.

À titre de rappel, dans notre constitution en son article 10, il est écrit:"...toute personne ayant acquis la nationalité gabonaise ne peut se présenter comme candidat à la présidence de la République. Seule sa descendance ayant demeurée sans discontinuité au Gabon le peut, à partir de la 4ème génération".

En lieu et place de la présentation de ses papiers, Ali bongo, via le conseil nationale de la communication (CNC), cautionne des comportements outrageux et insultants qui ne grandissent pas son magistère.En effet, depuis les révélations d'un organe de presse français en ligne, sur la succession de mr Omar Bongo Ondimba, Ali bongo et son clan s'acharnent sur les enfants de madame Chantal Myboto Gondjout. Le billet du Makaya du quotidien l'union du 12 mars 2015 et le journal Douk Douk du 23 mars 2015 marquent hélas les traces indélébiles d'un régime politique méprisant et sans valeurs morales aucunes et qui, pour se maintenir au pouvoir n'hésite pas à s'attaquer aux enfants et à la mémoire d'un enfant décédé... Alors nous demandons simplement à bongo Ali s'il pourra supporter l'épidémie des familles meurtries qui ont vu le sang des leurs, versé soit par des crimes rituels soit par toute autre forme d'injustice??

Face au devoir citoyen qui nous anime et faisant notre les premiers mots du préambule de la constitution:"le peuple gabonais, conscient de sa responsabilité devant Dieu et devant l'histoire..."'Le mouvement article 10 clôt son propos de ce jour par 2 rappels:1er: la grandeur d'un CHEF ne se mesure guère par sa capacité à se faire craindre.2ème: le mouvement article 10 composé d'hommes et de femmes aimant profondément le Gabon, réitère la violation de la constitution par bongo Ali, qui lui même à reconnu que ses documents de naissance produits sont des faux.Il doit par conséquent tirer les conséquences politiques qui découlent de ses aveux pour faux et usage de faux en écriture publique et haute trahison. Sa démission est attendu en toute citoyenneté.

Je vous remercie