GNFA MAG · transformer l'espace en un seul et unique lieu de 220 m2 avec un écran de projection de 4.50M X 3.40M. Intégré au sol, un pont pourra, lors de soirées événementielles,

GNFA MAG 17Numéro

Octobre 2016

Hygiène, sécurité, environnement p.18 Des commerciaux connectés p.21

www.gnfa-auto.fr

des situations professionnellesDes femmes dans

dites « masculines »

Formation technique pour les commerciaux FACOM p.20

CONSEIL, FORMATION, ÉVALUATION, ACCOMPAGNEMENT POUR LES PROFESSIONNELS DE L’AUTOMOBILE

L’automobile est un milieu qui a toujours été principalement l’apanage des hommes. Pourtant, on se rend compte que de plus en plus de femmes y ont leur place et que leur intégration, une fois les préjugés mis de côté se fait parfaitement.

Lors de la mise en place d’un événement sur la place des femmes face à des situations professionnelles considérées comme « masculines », nous avons rencontré des collaboratrices du groupe Bodemer aux parcours atypiques. Il est toujours enrichissant de discuter avec les gens, de comprendre comment et pourquoi ils sont arrivés au postes qu’ils occupent. Ce qui en est ressorti, c’est que si les compétences et les capacités sont là, il est parfois encore difficile de se frayer un chemin et de convaincre de sa légitimité.

Il revêt donc de notre responsabilité individuelle et collective de convaincre que la parité est une richesse qui permettra à chacun d’avancer et non uniquement une notion politiquement correct.

Au travers du dossier central de ce magazine il nous paraissait important de mettre la lumière sur une étude effectuée par l’ANFA mais aussi sur différentes initiatives qui montrent que l’avenir s’écrira autant au féminin qu’au masculin.

Marie-Noëlle Tavaud Directrice Générale du GNFA

3

Édito Sommaire

GNFA Magn°17Octobre 2016

Dossier spécial

La parité au delà des mots

10

Des femmes dans

des situations professionnellesdites « masculines »

4 Actus GNFA

4

6

6

7

8

Retour en images...Le GNFA change de logoAvoir la fibre Miles : Clôture d'un projetNos chiffres clés

15 Produits

16

17

18

20

21

B2XL : opération batterieNistec : évaluation pour un championHSE : il vaut mieux prévenir... FACOM : formation produitsDes commerciaux connectés

22 Près de chez vous

22 Guyancourt : objectif 2018 !

GNFA

CS 10008 – 41-49 rue de la Garenne – 92315 Sèvres cedex Tél. 01 41 14 16 18 – Fax 01 41 14 16 00 Site Internet : http://www.gnfa-auto.fr

Directeur de la publication : Marie-Noëlle Tavaud • Rédacteur en chef : Chantal Manoux • Rédacteurs : Marion Baïle • Création graphique - Réalisation : Florent Le Bris • Alexandre Maciszewski • Avec la participation de : Aude Ollivier-Cadoret • Aurélie Bonacossa• Emilie Thibaudeau • Francis Gasnier • Julien Mazan • Julien Victor • Philippe Guibert • Philippe Tardy • Sébastien Castanié • Impression : Rézo communication • Copyright images : Sergio Grazia • Fotolia • GNFA

GNFA

Retour en images...

L’agence GNFA de Rennes a déménagé

Elle se situe désormais 14 rue de Plélo dans un quartier en plein développement. Celui-ci accueillera prochainement le nouveau chantier de la gare de Rennes (2e ligne métro et ligne LGV reliant Paris en 1 h 30).

Christophe Caplet, conseiller en formation et Christine Mathieu, assistante, sont toujours joignables aux mêmes coordonnées, pour vous accompagner au quotidien.Tél. 02 22 74 14 84Mail : [email protected]

Master !

Le 28 juin, Salle Wagram, la 17e cérémonie des Masters Auto Info, s'est déroulée en présence des plus grands groupes de distribution. Partenaire depuis 6 ans, le GNFA a eu l’honneur de remettre une fois encore le Master des Ressources Humaines et de la GPEC. Cette année, sont montés sur le podium, les groupes Métin (1er) Parot (2e) et Rousseau (3e) pour leur implication dans la mise en place de la nouvelle réforme de la formation.

Nomination

Stéphane Boucher a rejoint les effectifs du GNFA à la tête de la Direction Développement Commercial. Diplômé de Sciences Po LYON et d’un master de Stratégie Marketing, il a réalisé une grande partie de sa carrière au sein du groupe RENAULT avant de prendre

la tête du département formation de Novartis Pharma France. Sa connaissance du secteur, sa capacité à manager les hommes et son aptitude à développer des projets s’inscrivent en tout point dans notre nouvelle stratégie. 4


Marie-Noëlle Tavaud et les lauréats

ACTUS

Première pierre

Le 28 septembre à Guyancourt, en présence de F. Deligne, maire de Guyancourt, de B. Mazeau président de l’ANFA, de J. Bruneel 1er vice-président de l’ANFA et J. Chartier, 1er vice-président du Conseil Régional d'Île-de-France, P. Omnes, délégué général de l’ANFA a présenté le futur Campus des Services de l’Automobile et de la Mobilité. A cette occasion la première pierre a été symboliquement posée. La 1re rentrée aura lieu en septembre 2018.

Mudaison, début des travaux

En juillet la transformation d'un atelier du centre de Mudaison en 3 salles de cours a démarré. A compter d'octobre, les stagiaires en formation tertiaire pourront bénéficier de 3 espaces entièrement rénovés et équipés d'une technologie audio et vidéo High-tech. Les parois amovibles, permettront de transformer l'espace en un seul et unique lieu de 220 m2 avec un écran de projection de 4.50M X 3.40M.

Intégré au sol, un pont pourra, lors de soirées événementielles, permettre l'exposition d'une voiture.

A cela s'ajoute, la création d'un dallage sur une partie du patio qui servira à exposer des véhicules ou organiser des cocktails.Pour plus de renseignements : Tél. 04 34 17 08 20 5


Recrutement en cours

Marie Deschamps, conseillère en formation de l’Agence GNFA de Rouen (Mesnil Esnard) était présente au salon « 24 heures pour l’Emploi et la Formation » le 8 septembre à Rouen. Un moment privilégié pour communiquer autour de la formation CQP Vendeur Automobile Confirmé.

Etre à la pointe de la technologie, c’est aussi être bien équipé. En 2015 les centres GNFA de Lille et de Orléans ont ouvert le bal. Depuis cet été, 7 nouveaux centres GNFA, Lyon, Bordeaux, Nantes, Montpellier, Saint-Brieuc, Toulouse et Rennes ont été aussi équipés de la fibre.

ACTUS

Le GNFA change de logo

Evoluer dans la continuité, toujours à vos côtésMutation de notre secteur d’activités, réforme de la formation professionnelle, place grandissante du digital, le monde de l’automobile ne cesse d’évoluer.

Depuis toujours, le GNFA a à cœur de se réinterroger, sur le fond mais aussi dans sa forme, afin d’accompagner au mieux ces mutations. Représentatif de notre image, notre logo, qui a déjà connu quelques transformations, se devait de s’inscrire dans cette dynamique et d’évoluer de façon plus marquée. S’il conserve des éléments connus comme la tonalité de bleue, l’image emblématique, son graphisme a été revu. Il se caractérise notamment par un

mouvement d’ouverture, symbole du développement dans lequel nous nous projetons. Sa Baseline « Au service de l’Automobile et de la Mobilité » traduit plus que jamais notre engagement auprès de la profession.

Il sera décliné au cours des prochains mois sur tous nos supports renforçant ainsi notre visibilité.


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Réseaux

Avoir la fibre

D’ici la fin de l’année, Noisy-le-Sec, Metz, Strasbourg et Brignoles bénéficieront aussi de ces nouvelles installations.

Ce type de travaux répond à plusieurs objectifs :

A Remettre le réseau à neuf pour une meilleur mutualisation des supports pédagogiques en interne.

A Augmenter le débit, aussi bien pour les collaborateurs du GNFA que pour les stagiaires.

A Stabiliser le réseau, pour, lors des formations, pouvoir utiliser des outils en ligne en toute sécurité.

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MILES

Clôture d'un projet

En novembre 2012, le Fond Unique Interministériel (FUI) lance un appel à projet auquel répond le GNFA, conjointement avec l’ECA FAROS, Dynamixyz, Voxygen, CentraleSupelec et le CRV, tous originaires de Bretagne et porteur d’un projet commun : MILES. Sélectionné, le projet a bénéficié d’un soutien de l’état de 1,2 million d’euros. En septembre 2016, le consortium posait le point final en présence des financeurs. 4 ans d’expérimentations pour un livrable des plus aboutis.

... et 4 ans plus tard

Au cours de ces quatre années, le projet est passé par différentes étapes et des versions bêta se sont succédées : création de l’environnement immersif, du tchat, de la reconnaissance des participants, humanisation des voix des formateurs… petit à petit, le logiciel s’est construit, modifié pour devenir le plus performant possible. La plateforme MILES permet de recréer un univers d’apprentissage pouvant s’adapter au besoin de chacun. La multitude de supports (conférence, vidéo, accès à des fichiers,

pratique en ligne…) ouvre un large champ de possibilités. Cela permet désormais de faire tomber certaines barrières comme la distance, le temps… Ce projet a permis de développer et montrer nos compétences en sérious game et formations immersives. MILES est aussi la première plateforme de formations compatible avec les nouveaux casques de réalité virtuelles… Un grand pas vers un avenir toujours plus connecté !

Dématérialisation, familiarité de la génération Y avec les nouvelles technologies, coûts importants des déplacements… autant de facteurs qui impactent désormais la formation. MILES, c'est la création d'une plateforme en ligne où stagiaires et formateurs se retrouvent au sein de classes virtuelles, mais où le stagiaire peut aussi répéter des gestes techniques, être évalué, interagir… Ce dispositif de formation interactive multiplateformes intègre des systèmes d’apprentissage par

l’expérience. Il a pour vocation d’être utilisé sur des supports aussi variés qu’un smartphone, une tablette, un ordinateur ou un simulateur.

La caractère innovant de ce projet réside aussi dans le degré d’immersivité, dans la complémentarité des modalités pédagogiques et dans l’individualisation et l’adaptation du parcours de formation proposé.

MILES en quelques mots...


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Notre actualité

Chiffres clés du GNFA

jours avant Equip’auto. En 2017, le salon quitte Villepinte et s’installe dans les halls 1, 2 et 3 du Parc des Expositions de la porte de Versailles. Même si, on espère vous croiser avant, on vous donne rendez-vous du 17 au 21 octobre 2017 ?365

Suivez toute notre actualité sur notre compte twitter @GNFAauto

http://www.gnfa-auto.fr/nos-outils-en-ligne/catalogues-de-formation/

92%de nos stagiaires issus du dispositif Compétences Emplois 2016-2018 s'estiment satisfaits (depuis janvier 2016). Avez-vous réservé votre stage ?

17 240 voitures électriques immatriculées en France en 2015. Un marché plus que porteur. Le carnet de prescriptions est le document indispensable pour toute personne intervenant sur du VE/VH.Etes-vous en possession du vôtre ?

http://www.gnfa-auto.fr/nos-outils-en-ligne/carnet-de-prescriptions/

ACTUS

C'est le nombre de promotions de Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) Vente et Après-Vente que le GNFA ouvrira en octobre 2016. Parce que former les jeunes c'est inverstir sur l'avenir.

http://www.gnfa-alternance.com/

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En juillet 2016 le GNFA a obtenu sa 15e habilitation liée à un CQP pour dispenser des formations certifiantes dans le cadre de la formation continue. Avez-vous consulté notre offre certifiante ?

http://www.gnfa-auto.fr/nos-outils-en-ligne/catalogues-de-formation/

15

15

Maintenance et réparationCarrosserie-PeinturePièces de RechangeServices Commerce VN-VOManagement

Gestion d’entrepriseInformatiqueMarketing

DigitalHSE

Mobilité durable

CATALOGUE COMPÉTENCES EMPLOISPlus de 80 format ionscalées sur votre activité professionnelle


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Les femmes dans le milieu automobile. Le sujet est vaste et il est aisé de tomber dans les clichés. Entre études, témoignages et table ronde, ce dossier donne une vision de la situation actuelle.

Certains métiers sont traditionnellement associés à des capacités physiques, des qualités humaines que nos cultures nous ont habitués à attribuer de préférence à un homme ou à une femme. De même que l’on pourrait être réticent à confier son enfant à un homme auxiliaire de puériculture dans une crèche, on pourrait hésiter à confier son véhicule à une femme dans une concession automobile ! Les mœurs évoluent, mais lentement, et les préjugés demeurent.

Dans cette logique de discrimination, le secteur automobile peut être pointé du doigt. Il suffit de se rendre dans un garage pour s’en rendre compte. Si l’accueil du client est généralement féminin, à partir du moment où l’on aborde des problèmes de réparation, de caractéristiques techniques d’un véhicule, l’interlocuteur est le plus souvent masculin.

des situations professionnellesDes femmes dans

dites « masculines »

DOSSIER SPÉCIAL | DES FEMMES DANS DES SITUATIONS PROFESSIONNELLES DITES « MASCULINES »


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Pour les professionnels, la force physique, certes plus masculine que féminine, est un avantage lorsqu’il s’agit d’intervenir sur un véhicule. « C’est un fait établi, constate Marie Noëlle Tavaud, Directrice Générale du GNFA. Pourtant, avec les

avancées technologiques et les nouveaux appareils

professionnels, c’est de moins en moins le cas. Les

collaborateurs ont de plus en plus à leur disposition

un outillage qui requiert une puissance musculaire

moindre. »

Le secteur automobile n’est pas une exception. Dans le bâtiment, par exemple, on remarque également

l’absence de parité dans les effectifs. Mais les milieux professionnels ne sont pas les seuls impactés par des préjugés sexistes. Comme l’exprimait Marlène Bouedec, directrice sportive de la section féminine de l’équipe « L’En avant Guingamp » lors de la table ronde organisée pour l’événement « Clichés sans préjugés » (voir page 12), « En dehors des salaires qui

marquent la plus grosse différence entre les sportifs

féminins et masculins, le manque de notoriété est

aussi important. Même si cela démarre doucement,

très peu de matchs féminins sont retransmis à

la télé. » Pourtant, la France n’a pas à rougir du

palmarès féminin en football, avec la victoire des moins de 19 ans en championnat d’Europe. « Les

valeurs que nous véhiculons sont riches, poursuit-elle. Parce que les filles qui jouent ont une volonté

de fer ». Devant si peu de reconnaissance, il y aurait de quoi être attristée et même démotivée. Et pourtant, ce n’est pas le cas. « Il faut toujours voir le

positif. La fédération française de foot est concernée

par le sujet. Elle met en place différentes actions. Et

à tous niveaux, de la part des pro comme des toutes

jeunes licenciées, on sent que le changement est en

marche. » conclut-elle avec le sourire.

Laura • 23 ans • Peintre - BodemerAuto de Lamballe Titulaire d’un bac pro en peinture et carrosserie, elle a rapidement fait ses preuves lors d’un stage. Elle a intégré le groupe Bodemer il y a 3 ans. Cette année, elle fait partie des finalistes pour le pistolet d’or.

Aurélie PatriciaMélanie


12


12

Dans le secteur automobile

aussi, le changement est en

marche

Julie est mécanicienne depuis un an à Saint-Brieuc (Bretagne). Pour elle qui envisageait au départ de devenir pompier, le problème n’est pas insoluble. « Il faut pousser les portes. C’est ce qu’il y a de plus

difficile. Une fois dans l’atelier, si tu travailles bien

il n’y a plus de souci ». D’autres collaboratrices ont tenu le même discours. « Le plus difficile, ça

a été de trouver un stage. Une fois en place, j’ai

été embauchée » explique avec le sourire Laura, peintre à Lamballe et toute jeune maman. « J’ai

craint que le retour après mon congé maternité

soit compliqué mais il m’a juste fallu reprendre

mes marques. L’équipe, elle, m’a accueillie le

plus naturellement possible ». S’imposer et avoir du caractère est-il suffisant pour faire évoluer les choses ? « La formation est, elle aussi, une clé

pour atténuer les différences. Elle légitimise les

capacités et permet d’accéder plus facilement

à un poste, mais il est aussi important de

communiquer » s’exprime Marie-Noëlle Tavaud.

C'est cet esprit qui a poussé le GNFA a s’associer au groupe Bodemer pour la manifestation.

Clichés sans préjugés

Une réunion de direction, une envie de communiquer sur une particularité de l’entreprise, une prise de contact avec un partenaire de longue date… voilà


Maéla • 23 ans • Mécanicienne - BodemerAuto de Saint-Brieuc Après 5 années dans l’armée où elle a mis à profit son CQP mécanicienne auto dans des pays comme le Niger ou le Mali, elle a intégré le groupe Bodemer début 2016.

Emma Florence Sandra


13


13

Catherine • 46 ans • Conseillère Service - BodemerAuto de Quimper Après entre autres, 9 années passées dans la miroiterie elle a, en 2002 intégré l’affaire familiale, son souhait depuis toujours. A compter de septembre, elle sera la première chef atelier femme du groupe Bodemer.

comment l’opération « Clichés sans préjugés » a permis au groupe Bodemer et au GNFA de s’associer Le groupe Bodemer, c’est 32 concessions automobiles en Bretagne et en Normandie. Cette entreprise familiale a été fondée en 1926. Mais c’est aussi une société qui, depuis des années, agit pour faire tomber les barrières et valoriser l’égalité homme-femme. Si les femmes ne sont pas absentes du secteur, peu sont celles qui occupent des postes en atelier. En faisant le

tour de leurs effectifs, Alain Daher, président du groupe a réalisé que cela n'était pas tout à fait vrai chez eux. Bien évidemment les femmes ne sont pas majoritaires à ce type de poste mais être carrossière, peintre, magasinière, ou encore chef d’atelier, n’est pas inconcevable. C’est cette volonté de valoriser cette exception et de mettre en avant l’apport pour l’entreprise qui a donné naissance au projet « Clichés sans préjugés ». Elles s’appellent Patricia, Magalie, Maéla,

Julie, Laura, Catherine, Emma, Laura, Florence, Mélanie, Sandra et Aurélie. Elles occupent des postes de carrossières, peintres, responsables atelier ou même magasinières… Elles ont accepté de partager le temps d’un moment leurs histoires et leurs parcours. Ces photographies sous forme d'exposition voyageront dans les différents centres de formation GNFA, partout en France. Le vernissage s'est tenu le 7 septembre à Saint Brieuc. Ce soir là, en présence du préfet,

Julie Laura Magalie

Comme le montre ce dossier, les choses évoluent, les mœurs aussi et nombreux sont ceux qui se sentent impliqués. Pourtant, il ne faut avoir de cesse de convaincre, comme le rappelait Marie-Noëlle Tavaud, en conclusion de son intervention lors de la table ronde. « Quand nous évoquons la parité, c'est notre responsabilité à tous qui est engagé. C'est pourquoi, Il faut mener des actions pour promouvoir les métiers, pour expliquer aux jeunes filles qu’elles ont toutes leurs chances, les persuader qu’il ne faut pas qu’elles se ferment elles-mêmes des portes. »


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Emma • 20 ans • Apprentie Carrossière-Peintre - BodemerAuto de Guingamp Soeur, cousine et petite fille de peintre, elle a attrapé le virus dès l’enfance. Actuellement en CQP carrosserie peinture, elle souhaite continuer dans cette voie.

de journalistes et différentes personnalités locales Yann Dréan, délégué régional ANFA, Marie-Noëlle Tavaud Directrice Générale du GNFA, Marlène Bouedec manager générale de l’équipe féminine de foot de « l’En Avant Guingamp » et Maéla mécanicienne pour le groupe BodemerAuto. (voir portrait p.12) sont intervenus au cours d'une table ronde. Cet échange

ponctué par un discours de monsieur le préfet a permis de rappeler l’importance de la parité. Les débats se sont poursuivis autour d’un cocktail, en présence des collaboratrices du groupe ayant posé pour les photos. Alain Daher, président du groupe Bodemer, a fait part de sa satisfaction de voir se concrétiser ce moment « Je suis heureux de voir se réaliser un événement

qui me tient à coeur, car depuis de nombreuses

années, bien avant que la loi de 2014 sur l’égalité

professionnelle homme / femme impose aux

entreprises de se soucier du sujet, Bodemer a inscrit

ce principe dans sa stratégie. Nous souhaitons

pouvoir continuer à accueillir de nombreuses femmes

dans nos services ».

Chefs d’entreprise et Cadres

Agents de maîtrise

Employés

Ouvriers qualifiés

Ouvriers non qualifiés

Apprentis et contratsen alternance

HommesFemmes

9,6%8,2%

14,8%17,3%

9,8%68,4%

52,7%2,2%

6,8%2,5%

6,3%1,4%

Source : ACOSS 2014, IRPAUTO 2014 et INSEE-DADS 2013. Calcul à partir des codes NAF entiers uniquement - Traitement ANFA


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PRODUITS

L’enquête de l’Observatoire

Le secteur automobile est souvent montré du doigt pour son côté trop masculin. Simple réputation ou réalité ? En 2014, l’ANFA via son observatoire des métiers a lancé une enquête pour identifier la place des femmes. Il en ressort différents points, montrant que, si, le secteur auto n’est pas exempt de disparité, il ne fait pas non plus office de mauvais élève. Quelques repères clés :

A En 2014, 90 000 femmes ont été recensées comme travaillant dans la Branche des Services de l’automobile soit 22.7% de l’ensemble des salariés du secteur.

A L’emploi féminin est plus nombreux dans les stations services (49,8%), les écoles de conduite (48,8%) et la location automobile.

A Il est en revanche faible, dans la réparation des véhicules légers (18,5%) et véhicules industriels (13,9%), ainsi que dans le secteur du contrôle technique (15,3%).

A La pyramide des âges, montre un emploi féminin

plus âgé que l’emploi masculin. Ceci s’explique entre autres par le peu de jeunes femmes entrant dans la branche automobile par l’alternance. Seulement 2,3% de femmes de moins de 20 ans empruntent cette voie, contre 8,2% d’hommes.

A 25,3% des femmes travaillant dans le secteur automobile ont plus de 50 ans, contre 21,1% d’hommes.

A La disparité la plus flagrante, réside dans les fonctions occupées. La majorité des employés masculins sont des ouvriers qualifiés, occupant des postes techniques. Mécaniciens, carrossiers, peintres… là où les femmes sont majoritairement présentes dans des postes administratifs : secrétaires, employées comptables ou encore vendeuses non spécialisées. Mais il est tout de même important de noter une évolution. Le métier « artisan mécanicien réparateur automobile » compte 7,7% de femmes, soit 3 000 personnes. On note aussi qu’il existe une catégorie de

métiers mixtes comme moniteurs d’auto-écoles, employés et gérants de stations-services et les commerciaux.

A Paradoxalement, les femmes du secteur sont plus diplômées que les hommes. 57,4% ont un diplôme supérieur ou égal au niveau IV, ce qui ne concerne que 34,4% des hommes. Une fois dans la vie active elles sont moins nombreuses à se former. Seules 14% d’entre elles ont bénéficié d’une formation financée par l’ANFA. Sur l’année scolaire 2015-2016, 1 255 femmes étaient inscrites dans les formations spécifiques de la Branche des services de l’automobile. Elles représentent 2,3% du volume des inscrits. Si cela parait peu, on peut tout de même souligner qu’elles n’étaient que 1,9% en 2012. En ce qui concerne les CQP, leur préférence va pour le moment, aux filières vente (Attaché commercial automobile, Vendeur motocycles, Magasinier Vendeur Confirmé en

Pièces de Rechange et Accessoires).


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PRODUITS

« B2XL opération batterie » Une exclusivité au GNFA

Formation pour obtenir l’habilitation

L'habilitation B2XL n’est pas récente, elle existait jusqu'à présent pour les recycleurs, les dépanneurs… Depuis Août 2015, il est désormais obligatoire d’être habilité pour pouvoir intervenir : « dès lors qu’il y a un risque électrique lors d’une opération sur un générateur ou dans la continuité directe des conducteurs, et dès lors que la tension est supérieure à 60 Vcc ou que la capacité de la batterie est comprise entre 180 Ah et 275 Ah »*

Très à l’écoute du marché des Véhicules Electriques et Hybrides (VE/VH) et de leur réglementation, le GNFA est pour le moment le seul organisme de formation à proposer le stage permettant de répondre aux besoin de la branche. Mais concrètement, comment cela se traduit-il ? Réponse en 5 questions.

Qui est concerné ?

Les employeurs comme les salariés mais de différentes façons. A l'employeur est le garant. C’est lui qui délivre l’habilitation à son salarié. Pour rappel, il se doit de s’assurer que ses salariés au contact des VE/VH sont formés mais aussi leur mettre à disposition les équipements appropriés dédiés à l’activité et faire appliquer les instructions de sécurité.

A les salariés (mécaniciens, techniciens, dépanneurs, magasiniers, vendeurs itinérants, en résumé toutes les personnes manipulant les batteries) doivent être formés pour ensuite pouvoir être habilités.

Comment obtenir une habilitation ?

Les salariés doivent suivre une formation et obtenir un « avis après formation » favorable. Avec ce document, l’employeur rédige les titres d’habilitations de ses salariés, qui doit comporter le symbole B2XL opération batterie.

Combien de temps l’habilitation est elle valable ?

Il est conseillé de la renouveler tous les 3 ans.

Quels sont les risques encourus en cas de non respect de la réglementation ?

La norme ne prévoit pas de pénalité, cependant, l'employeur s'expose à des poursuites judiciaires pour non respect du code du travail en cas de manquement à ses obligations.

*Extrait de la norme

En quoi consiste la formation proposée par le GNFA ?

Le GNFA propose une formation d’une journée pour préparer à l’habilitation. Elle s’adresse aux mécaniciens de maintenance VUI, mécaniciens spécialistes VUI, électriciens spécialistes VUI, techniciens confirmés mécanique VUI techniciens confirmés VUI et aux techniciens experts après-vente VUI. Elle répond à 3 objectifs :

A Assurer la maintenance des batteries dans le respect de la norme NF C18-550

A Utiliser une source d’énergie extérieure dans le respect de la norme NF C18-550

A Déplacer et stocker vos batteries dans le respect de la norme NF C18-550

Comme toutes nos formations, elle est axée principalement sur la pratique, avec plus de 70% du temps consacré à des exercices. Au cours de la formation, différents points sont abordés afin qu’à l’issue de celle-ci le stagiaire soit à même de :

A respecter les instructions données

A identifier le chargé d’exploitation

A organiser, délimiter, et signaler la zone de travail

A respecter et faire respecter la zone de travail

A éliminer un risque de présence de tension dans la zone 4

A vérifier et utiliser le matériel et l’outillage appropriés

A identifier et contrôler les équipements de protection collective et individuelle

N’oubliez pas que toutes ces recommandations sont disponibles dans le Carnet de Prescriptions. Vous pouvez le commander sur le site du GNFA : www.gnfa-auto.fr/nos-outils-en-ligne/carnet-de-prescriptions/


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NISTEC

Evaluation pour un champion

Challenger ses techniciens, mais aussi offrir aux postulants au titre un moment particulier, voilà ce que souhaitait mettre en place Nissan pour ses collaborateurs. Au programme une série de pannes à résoudre sur un véhicule, en un minimum de temps avec, en parallèle des moments de détente.

24 pays ont répondu à cet appel et ce sont 58 participants qui ont tenté, les 14 et 15 septembre derniers, de monter sur le podium pour remporter l'un des nombreux prix. Les 3 premières places étaient réservées aux techniciens alliant le respect des méthodes Nissan et la capacité à résoudre les pannes. Trois distinctions spéciales et chères à l'esprit Nissan ont aussi été remises :

A Le prix « qualité du travail » A Le prix « satisfaction client » A Le prix « rapidité d’exécution »

Cependant, mettre en place une manifestation d’une telle envergure demande un accompagnement professionnel. Nissan a donc lancé un appel d’offre pour l’organisation de cet événement. Fort d’une proposition complète et innovante, le GNFA a été retenu pour intervenir à différents niveaux de la prestation.« Nous nous sommes réunis dans un premier temps au sein du pôle projet pour

définir un événement répondant aux besoins de la marque et mettant en avant nos

forces » explique Emilie Thibaudeau, Responsable Grand Compte du GNFA. Pour cet événement, le GNFA a géré la partie technique et pédagogique de la conception au déploiement (briefing du jury et des candidats sur le déroulement du concours...) : « L'idée générale était de permettre à chaque technicien des 24 pays représentés,

de disposer des mêmes chances de remporter le trophée. Aussi, pour chaque étape

de conception nous devions garder cet objectif en tête », précise Sébastien Castanié, Responsable Produits Electricité, Outils et méthodes, Véhicules Électriques et Hybrides au GNFA. « Pour cela nous avons notamment créé une liste de critères observables,

critères que les juges devaient reporter via une tablette et permettant de garantir

un homogénéité dans leurs notations » ajoute-il. Toujours dans ce même esprit, le GNFA a mis en œuvre un chronométrage poste par poste également via tablette.« Chaque technicien disposait de 45 minutes pour chacun des 3 diagnostics.

Le top départ des chronomètres était réalisé simultanément. Le temps restant

affiché au chronomètre lorsque la panne était trouvée, était récupéré et entrait

dans le calcul de la note globale du technicien ». Outre la rapidité et la capacité à trouver la panne, le candidat était évalué sur d’autres critères par le juge :

A L’organisation de son travail A Le respect de méthodologie A Les mesures effectuées A La protection du véhicule…

L’évaluation en direct sur des tablettes, a permis de compiler et comparer les résultats rapidement et ainsi obtenir un classement quasi immédiat. Cette manifestation a rencontré auprès de la direction Nissan et des participants un franc succès.

PRODUITS


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Hygiène Sécurité et Environnement

Mieux vaut prévenir...

Avant même de se poser la question de savoir si oui ou non il est important de réfléchir à une politique HSE, il existe des étapes préalables. Le code du travail oblige, entre autres, le chef d’entreprise à rédiger ou à faire rédiger par un de ses préposés le « Document Unique d’évaluation des Risques Professionnels ». Celui-ci, doit être mis à jour à minima une fois par an et à chaque modification des conditions de travail. En cas de non rédaction ou de non remise à jour, il s’expose à une amende de 1 500 euros par unité de travail.

Mais il serait dommage, et dommageable pour l’entreprise de se contenter de cela. « Il n’y a aucune obligation pour une entreprise à mettre en place

un système de management de la santé et de la sécurité au travail, explique Julien Victor Formateur Expert Conseil HSE et SST, pourtant, cela permet

d’asseoir une gestion organisationnelle concrète et surtout de comprendre les

bienfaits de la mise en œuvre de ce type d’action ».

En effet, instaurer une culture prévention a des impacts bénéfiques : fédérer les salariés en améliorant leurs conditions de travail, diminuer les cotisations et les coûts liés aux accidents de travail, soutenir la productivité mais aussi valoriser la société. Permettre aux salariés d’évoluer dans un environnement sain véhicule une image positive.

Former ses employés sur les risques chimiques, mais aussi sur l’ergonomie, les gestes et postures à avoir, appuit cette volonté de vouloir favoriser le bien être de ses collaborateurs.

Quels sont les risques professionnels encourus par mes équipes ? Comment éviter un accident du travail ? A qui dois-je m’adresser pour améliorer mon poste de travail ? Comment réduire l’absentéisme dans mes équipes ? Suis-je obligé de porter un masque ? Comment éviter les douleurs à l’épaule, au dos… ? L’hygiène, la sécurité et l'environnement au travail, ne sont pas des notions vides de sens. Directeur, encadrant, responsable, mécanicien, peintre, tous les métiers, à différents niveaux sont concernés par cette problématique qui, méconnue, peut entraîner pour l’entreprise des problèmes importants. Alors que retenir et comment mettre en place une politique pérenne ?

PRODUITS

Obligations légales et intérêt pour l’entreprise


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Le GNFA vous propose une offre qui se décline en plusieurs temps :

Quelles sont les solutions envisageables pour diminuer les risques et les conséquences financières et psychologiques pour les équipes ?

Réalisationdu diagnostic

Définition des indicateurs de

performance et lien avec la

réglementation applicable

Rédaction d’unepolitique HSE et

formulationd’un pland’action

Mise en œuvre d’action HSE

Recueil d'informations

et analyses

Audit interne, contrôle des actions et analyse de

performance

Notre offre de formation contient une vingtaine de formations s’adressant à tous les collaborateurs

Nos formateurs sont spécialisés :

A en prévention des Risques liés à l’activité Physique PRAP certifié INRS

A en pédagogie des adultes et technique d’animation orientées objectifs

A sur la thématique Document Unique d’évaluation des Risques professionnels et sur la prévention des risques chimiques en entreprise

A sur les systèmes de management OHASAS 18001, ISO 14001, ISO 5001

Notre expertise

En quelques chiffres

arrêts de travail par an au sein des

entreprises du Commerce et

Réparation automobile

140 000de la masse salariale sont consacrés aux cotisations AT-MP

pour indemniser les victimes

3Plus de %d’IT par an au sein

des entreprises du Commerce et

Réparation automobile

520 000 des arrêts de travail

sont supérieurs à 4 jours

85%

PRODUITSPRODUITS

FACOM

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Connaître le produit que l’on vend, est une des bases du métier de commercial. Mais, pour les équipes de FACOM ce n’est pas suffisant. Attendre de leur force de vente de maîtriser les bases techniques nécessaires aux interventions de leur client devient désormais la norme. Pour cela, le groupe d’outillage professionnel a décidé de faire suivre à 25 de ses collaborateurs une formation de 3 jours et demi. Retour sur cette expérience.

C’est ceux qui en parlent le mieux qui en vendent le plus

Des moyens pédagogiques multifacettes

La collaboration entre le GNFA et le groupe Facom est bien antérieure à cette opération. Simple client au départ (équipement du centre de Saint-Brieuc), le GNFA est devenu prestataire (en tant qu’organisme de formation, organisation de salon…) créant des relations solides entre les deux. C’est pourquoi, quand le groupe a cherché comment faire évoluer la mise en main de ses produits, il s’est naturellement tourné vers le GNFA.

Facom souhaitait que ses commerciaux comprennent les bases des interventions sur les véhicules (électricité, carrosserie, injection diesel…). « Ensemble, nous avons

construit une formation sur mesure avec, entre autres, des supports, des vidéos,

conçues de toute pièce par le pôle média du GNFA » raconte Philippe Guibert, Responsable Grands Comptes du GNFA « Certains gestes techniques peuvent être

fastidieux et longs. Extraire un injecteur peut prendre 3 heures par exemple. La

vidéo permet de montrer en deux minutes les étapes indispensables. C’est un gain

de temps important et cela est bien plus ludique pour les commerciaux » explique Julien Mazan, formateur consultant du GNFA, intervenant sur cette formation. « L’intervention du GNFA dans la création des vidéos est un plus. La connaissance

des problématiques techniques automobiles des concepteurs a su mettre en

évidence les données techniques essentielles » explique Luc Fournier Directeur des Ventes France Marché Automobile chez FACOM, ravi de ces supports.

Afin de former les commerciaux, différentes méthodes ont été employées. Théorie, pratique, vidéo sur tablette personnalisée… L’objectif était de rendre la formation dynamique et pertinente. Mais aussi de créer une vraie cohésion de groupe. C’est dans cette optique d’ailleurs que la marque a souhaité centraliser la formation dans un seul et unique lieu, le centre GNFA de Saint-Brieuc.

Une réussite sur tous les points

« Pour qu’une formation soit un succès, il faut que différents points soient validés,

et là, tant d’un point de vue de l’accueil, de l’enseignement que du matériel

pédagogique tous les voyants étaient au vert. Ce stage a été pour nos équipes

une parfaite réussite. » s’exprime Luc Fournier. « Les équipes ont pu mettre en

pratique les acquis de la formation dès leur retour en activité, motivés mais

surtout convaincus de pouvoir dépasser leurs objectifs de vente ». Et l’avenir semble appeler a de nouvelles collaborations. « Il apparait important désormais

que chaque nouveau produit puisse bénéficier de la même mise en main, nous

réfléchissons à une façon de pérenniser ce type d’action ». Le début d’une collaboration que nous espérons riche.

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Offre Digital

Des commerciaux connectés

Plus informés, plus avisés, habitués au « tout, tout de suite », les consommateurs ont changé leurs façons d’acheter. Il est donc indispensable de modifier notre manière de les renseigner. Prendre en compte certaines données comme l’e-reputation, le référencement, le traitement des demandes internet (lead)… autant de notions qu’il est important de maîtriser. Pour cela, il est nécessaire de repenser intégralement sa stratégie commerciale et marketing pour pouvoir l’adapter aux nouveaux modes de communication. Si, en tant que particulier, c’est un mécanisme que nous appliquons naturellement, nous avons parfois plus de mal à changer nos habitudes de travail.

Les réseaux sociaux

Longtemps considérés uniquement comme une distraction, voir pour certains comme une perte de temps, Facebook, Twitter, Instagram… sont désormais autant de vitrines virtuelles permettant de valoriser votre activité et de communiquer en direct avec vos clients.

Cependant, si le support paraît attractif, il n’en reste pas moins sensible et doit être utilisé avec prudence. La personne en charge, plus communément appelée « Community manager », est garante de votre image en ligne. Savoir poser le message et gérer les réponses est important. Un client mécontent se manifeste plus facilement qu’un client satisfait. Etre présent sur les réseaux sociaux, c’est donc par conséquent prendre un risque qu’il faut être à même de cadrer en amont. Mais au-delà de cela, savoir identifier les différentes plateformes, vous permet de définir vos besoins et ainsi de ne pas vous laisser entraîner dans une activité chronophage. Selon votre cible il peut être important d’être présent sur Twitter, Facebook, Youtube, Instagram… De la même façon, si, par votre présence en ligne, vous générez des leads, il faut savoir y répondre rapidement.Il est plus dangereux de mal gérer les demandes que de ne pas en avoir.

Savoir valoriser ses produits

Si les premières étapes d’achat se font sur Internet, il est important que le client puisse visualiser ce qu’il désire acheter. Par conséquent il faut que la qualité des images soit bonne. S'il existe des services dédiés, dans les grandes sociétés, ce n’est pas le cas des TPE et TPME. Les bases du montage, de la mise en ligne de médias simples peut s’apprendre facilement et rapidement, dans la mesure où l’on vous fournit les clés pour le faire.

L’ambition du GNFA a toujours été d’offrir une prestation pertinente et performante, créatrice de valeur pour les entreprises et garante d’employabilité pour les collaborateurs. La présence de plus en plus marquée du digital dans notre quotidien professionnel et dans celui de vos clients, influent obligatoirement sur leurs attentes. Il était donc indispensable de créer une offre pouvant répondre à vos besoins dans ce domaine. Nous vous proposons une quinzaine de références pour vous accompagner pas à pas.

PRENEZ UNELONGUEUR

D'AVANCE

www.garac.com www.aforpa.fr www.gnfa-auto.fr www.anfa-auto.frwww.incm.asso.fr

PRÈS DE CHEZ VOUS

Campus des services de l’Automobile et de la mobilité

Objectif 2018 !


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Voitures connectées, autonomes, digitalisation… notre secteur n’a jamais été autant au cœur du changement. Le monde de l’automobile, du camion et du deux roues tel que nous le connaissons va évoluer radicalement. « Au travers de ce Campus, nous souhaitons mettre

les professionnels, mais aussi les jeunes au cœur

de ces évolutions. Les rendre acteurs. » explique Patrice Omnes, délégué général de l’ANFA. C’est pour cela qu’il était important de concevoir un lieu de formation mettant à la disposition des professionnels et des jeunes tout le matériel nécessaire à un apprentissage novateur. Un lieu

de réflexion, d’expérimentation mais aussi de démonstration. Un amphithéâtre de 250 places, un hall ouvert aux salons et aux expositions, un showroom… le campus est aussi conçu pour organiser des événements autour de nos métiers. Conférences pédagogiques, lancements de produits… il a aussi pour objectif d’être une vitrine de nos métiers. Une jolie vitrine éco-responsable. Dès le début de l’aventure, il a été pensé comme un endroit « exemplaire » symbole de l’engagement du secteur pour des énergies plus propres. Récupération d’eaux pluviales, gestion centralisée

des fluides, tri, recyclage, zone de recharge pour véhicules électriques, panneaux photovoltaïques et toiture végétalisée… rien n’a été laissé de côté. Tout a même été mis en œuvre pour conjuguer innovations technologiques et environnement. Bâti en toute intelligence, il a été conçu pour pouvoir évoluer au fil des besoins, au fil des années… parfait outil d’accompagnement non figé. Laboratoire des nouvelles technologies et accélérateur de connaissance, le campus sera représentatif de l’ensemble de la filière de formations du préapprentissage jusqu’au diplôme d’ingénieur.

5 hectares… 12 000 m2 de bâtiments… jusqu’à 1000 personnes en formation par jour. Des chiffres

synonymes d'ambition.

125 m2 de showroom

3 salles de courset 3 ateliers VL

1 salle de courset 1 atelier moto

1700 m2

d’espaces modulables


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C’est donc tout naturellement que le GARAC, L’INCM, l’AFORPA et le GNFA ont répondu présents pour intégrer ce projet, porté par l’Association National pour la Formation Automobile. Sa délégation régionale d’Île-de-France, présente sur

le campus accompagnera au quotidien les salariés et les entreprises. Le GNFA est impatient, de pouvoir, dès la rentrée 2018, offrir aux professionnels des locaux adaptés et modernes en remplacement du centre de

Sèvres devenu trop exigu. Avec 1700 m2 d’espace modulable, il répondra ainsi à la demande des professionnels de la région en termes d’accueil de proximité. L’agence GNFA Île-de-France rejoindra aussi le Campus.

Le GNFA sur le campus

Documents

GNFA MAG · transformer l'espace en un seul et unique lieu de 220 m2 avec un écran de projection de 4.50M X 3.40M. Intégré au sol, un pont pourra, lors de soirées événementielles,