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SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Maisons de repos GuidE dE ConCErTaTion déPariS SEriE STraTEGiE SoBanE SPF Emploi, Travail et Concertation sociale rue Ernest Blerot 1 - 1070 Bruxelles www.emploi.belgique.be

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SPF Emploi, Travail et Concertation sociale

Maisons de repos

GuidE dE ConCErTaTion déPariS

SEriE STraTEGiE SoBanE

SPF Emploi, Travail et Concertation sociale rue Ernest Blerot 1 - 1070 Bruxelleswww.emploi.belgique.be

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Stratégie SOBANE de gestion des risques professionnels

La stratégie SOBANE est une stratégie de prévention des risques à quatre niveaux (dépistage (Screening), OBservation, ANalyse, Expertise).

La série de publications “STRATEGIE SOBANE-Gestion des risques professionnels” a pour objectif de faire connaître cette stratégie de prévention et de montrer comment l’appliquer aux différentes situations de travail.

Le guide Déparis permet le Dépistage participatif des risques et correspond au niveau “Dépistage” de la stratégie SOBANE. Le guide Déparis général est décrit dans la brochure de présentation de la stratégie SOBANE et de Déparis.

L’ensemble de ces guides ainsi que la stratégie SOBANE ont été développés par l’Unité Hygiène et Physiologie du Travail du Professeur J. Malchaire de l’Université catholique de Louvain, dans le cadre du projet de recherche SOBANE cofinancé par le Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale et le Fonds social européen.

Pour plus d’infos: www.sobane.be

GuidE dE CONCErTATiON déPAriS “mAiSONS dE rEPOS”La présente publication est l’adaptation pour les maisons de repos du guide de Dépistage participatif des risques.

La farde contient :• Une brochure de présentation «Stratégie SOBANE de gestion des

risques professionnels»• Un document pour les participants à la réunion Déparis comprenant

une lettre d’invitation et la liste des aspects qui seront abordés lors de cette réunion

• Le guide de concertation Déparis appliqué aux maisons de repos: ce guide comprend 17 tableaux abordant 17 facettes de la situation de travail.

remarques préalablesAfin de bien comprendre ce guide et avant de l’utiliser, il est indispen-sable de réfléchir aux principes de base qui sous-tendent la stratégie SOBANE et en particulier son premier niveau, le guide de concertation Déparis. A cette fin, il est conseillé de lire la brochure de présentation de la stratégie SOBANE joint à cette farde. Des informations complé-mentaires peuvent également être obtenues dans la section “Principes de base” de la seconde version de la brochure d’introduction à la stratégie SOBANE et au guide de Dépistage Déparis, disponible sur le site web www.sobane.be.

PROMOTEUR DU PROJETSPF Emploi, Travail et Concertation sociale Direction générale Humanisation du travail rue Ernest Blerot 1 – 1070 Bruxelles

Ce document a pu être réalisé grâce à l’appui de l’Union européenne Fonds social européen

Dépôt légal: D/2008/1205/54

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SPF Emploi, Travail et Concertation sociale

STRATEGIE SOBANE DE GESTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

PRéSENTATION SUCCINTE DE SOBANE

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STRATEGIE SOBANE - GESTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

La stratégie SOBANE est une stratégie de prévention des risques à quatre niveaux (dépistage (Screening), OBservation, ANalyse, Expertise).

La série de publications «STRATEGIE SOBANE-Gestion des risques professionnels» a pour objectif de faire connaître cette stratégie de prévention et de montrer comment l’appliquer aux différentes situations de travail.

Ces outils cherchent à optimaliser le temps et les efforts de l’entreprise pour rendre la situation de travail acceptable quelle que soit la complexité du problème rencontré. Ils favorisent le développement d’un plan dynamique de gestion des risques et d’une culture de concertation dans l’entreprise.

L’ensemble de ces outils ainsi que la stratégie SOBANE ont été développés par l’Unité hygiène et physiologie du travail du professeur J. Malchaire de l’Université catholique de Louvain, dans le cadre du projet de recherche SOBANE cofinancé par le Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale et le Fonds social européen.

Le guide de concertation DEPARIS est un guide de dépistage participatif des risques qui permet de rencontrer les exigences du niveau «Dépistage» de la stratégie SOBANE. Il s’agit d’un outil simple, économe en temps et en moyens, qui favorise le développement d’un plan dynamique de gestion des risques et d’une culture de concertation dans l’en-treprise.

Cette publication a été réalisée par une équipe de recherche comprenant:• L’Unité hygiène et physiologie du travail de l’UCL (Prof. J. Malchaire, A. Piette);• Le Service de recherche et développement de IDEWE (Prof. G. Moens);• Le service externe en prévention et protection CESI (S. Boodts, A. Schietecatte);• Le service externe en prévention et protection IDEWE (Prof. V. Hermans);• Le service externe en prévention et protection PROVIKMO (Dr. G. De Cooman,

I.Timmerman);• Le service externe en prévention et protection MENSURA (Dr. P. Carlier, F. Mathy);• Le Département nouvelles technologies et formation du CIFoP (J.F. Husson).• Le service de prévention SEFMEP (P. Lorent, F. Gysens)

Pour plus de détails sur la stratégie SOBANE: www.sobane.be

Cette brochure peut être obtenue gratuitement• par téléphone au 02 233 42 14• par commande directe sur le site du SPF:

http://www.emploi.belgique.be• par écrit auprès de la

Cellule Publications du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale rue E. Blerot 1 - 1070 BRUXELLES Fax: 02 233 42 36 E-mail: [email protected]

Cette brochure peut également être consultée sur le site Internet du SPF: http://www.emploi.belgique.be

Deze brochure is ook verkrijgbaar in het Nederlands.

La rédaction de cette brochure a été achevée le 15 novembre 2007

Production: Direction générale Humanisation du travail

Coordination: Direction de la communication

Supervision scientifique: Alain Piette

Mise en page et couverture: Sylvie Peeters

Dessin: Serge Dehaes

Impression: Cellulle Conception graphique

Diffusion: Cellule Publications

Editeur responsable: SPF Emploi, Travail et Concertation sociale

Dépôt légal: D/2007/1205/53

H/FLes termes «conseillers», «travailleurs» et «employeurs» utilisés dans cette brochure désignent les personnes des deux sexes.

PROMOTEUR DU PROJET

SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Direction générale Humanisation du travail rue Ernest Blerot 1 – 1070 Bruxelles

Cette présentation a pu être réalisé grâce à l’appui de l’Union européenne Fonds social européen

© SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de la Direction de la communication du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale, de reproduire totalement ou partiellement la présente publication, de la stocker dans une banque de données ou de la communiquer au public, sous quelque forme que ce soit. Toutefois, si la reproduction de textes de cette brochure se fait à des fins informatives ou pédagogiques et strictement non commer-ciales, elle est autorisée moyennant la citation de la source et, s’il échet, des auteurs de la brochure.

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Afin de bien comprendre le guide de concertation Déparis et avant de l’utiliser, il est indispensa-ble de réfléchir et d’adhérer aux principes de base qui sous-tendent la stratégie SOBANE et en

particulier son premier niveau, le dépistage. A cette fin, il est conseillé de lire en détails la section “Principes de base” de la brochure générale «Stratégie Sobane et guide de dépistage Déparis»

disponible gratuitement auprès de la Cellule Publications du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale,

rue E. Blerot 1 - 1070 BRUXELLES, Tél.: 02 233 42 14, Fax: 02 233 42 36, E-mail: [email protected]

Cette brochure peut également être commandée ou téléchargée sur le site www.sobane.be

Afin d’en faciliter l’accès, ces principes de base sont brièvement rappelés dans la présente brochure

1. Les principes de baseLa loi sur le bien-être au travail requiert que l’employeur prenne les mesures nécessaires afin de promouvoir le bien-être des travailleurs lors de l’exécution de leur travail, en mettant en œuvre les principes généraux de la prévention:a) Eviter les risquesb) Evaluer les risques qui ne peuvent pas être évitésc) Combattre les risques à la sourced) Adapter le travail à l’homme …e) …i) planifier la prévention et exécuter la politique concernant le bien-être des travailleurs lors

de l’exécution de leur travail en visant une approche de système qui intègre entre autres, les éléments suivants : la technique, l’organisation du travail, les conditions de vie au travail, les relations sociales et les facteurs ambiants au travail;

La stratégie SOBANE qui est utilisée dans le présent document cherche à rendre ces exigen-ces plus réalisables et plus efficaces.

Cette stratégie s’appuie sur quelques principes de base fondamentaux:

1.1 Primauté de La PréventionL’accent doit être mis, non pas sur la protection et la surveillance de la santé, mais sur la préven-tion des risques et l’amélioration de toutes les composantes physiques et sociales de la situation de travail.

1.2 Facteurs de risque et risques Un facteur de risque est un aspect de la situation de travail susceptible d’avoir un effet sur la sécurité, la santé, le bien-être de la personne.

Le risque qui en résulte va dépendre du degré d’ex-position à ce facteur de risque et des conditions dans lesquelles se passent cette exposition. C’est donc la probabilité de développer un effet d’une certaine gravité G, compte tenu de l’exposition E au facteur de risque, des conditions C dans lesquelles se fait cette exposition et de la formation et motiva-tion F à la sécurité, santé et bien-être de la personne exposée.

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On peut résumer ceci par: R = E x C x G x F

La réduction du risque doit se faire de manière cohérente sur ces différents aspects:• Sur E par l’organisation du travail (réduction à la source…),• Sur C par les protections collectives,• Sur G par les protections individuelles• Sur F par la formation.

Le guide de concertation Déparis présenté dans cette brochure cherche à agir à la fois sur ces 4 composantes.

1.3 Les comPétences disPonibLes sont comPLémentairesLes compétences en santé et sécurité sont peut-être croissantes, du travailleur, à l’expert, en passant par la ligne hiérarchique, les conseillers en prévention internes, les médecins du travail, les conseillers externes…

Cependant, en même temps, la connaissance de ce qui se passe réellement dans la situation de travail diminue.

Il est donc nécessaire de combiner ces 2 savoirs complémentaires de manière cohérente en fonction des besoins.

1.4 Le travaiLLeur: acteur PrinciPaL de La PréventionDans la mesure où le but est le maintien et l’amélioration du bien-être du personnel, aucune action pertinente ne peut être entreprise sans la connaissance de la situation de travail que seul le personnel détient. Le personnel est alors l’acteur principal et non pas seulement l’objet de la prévention

1.5 La nature des ProbLèmesChacun “vit” sa situation de travail, non comme un ensemble de faits distincts et indépendants, mais comme un tout: le bruit influence les relations; l’organisation technique entre postes influence les risques musculosquelettiques; le partage des responsabilités influence le contenu du travail.

Une action cohérente sur la situation de travail nécessite donc une approche systémique, glo-bale de cette situation, remettant tout problème quel qu’il soit dans son contexte.

1.6 estimation vs mesuragesL’évaluation des risques s’intéresse prioritairement à la quantification, alors que la prévention demande que l’on s’intéresse au pourquoi des choses et à comment les modifier pour amélio-rer globalement la situation.

Les mesurages sont chers, longs, difficiles et souvent peu représentatifs. Ils seront donc réalisés à bon escient, plus tard, lorsque les solutions simples ont été mises en œuvre.

La préférence est donnée à la prévention sur l’évaluation des risques.

1.7 PmeLes méthodes développées dans les grandes entreprises ne sont pas applicables dans les PME, alors que l’inverse est vrai.

Les méthodes sont donc à développer en prenant en compte les capacités et moyens des PME où travaillent plus de 60% de la population de travailleurs.

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2. La stratégie sobane de gestion des risques

La stratégie SOBANE, est constituée de quatre niveaux progressifs, Dépistage, Observation, Analyse et Expertise.

Il s’agit bien d’une stratégie, en se sens qu’elle fait intervenir des outils, des méthodes, des moyens de plus en plus spécialisés, au fur et à mesure des besoins. A chaque niveau, des solu-tions d’amélioration des conditions de travail sont recherchées et le recours au niveau suivant n’est nécessaire que si, malgré les améliorations apportées, la situation reste inacceptable.

Le niveau de Dépistage est réalisé quelle que soit la nature de l’élément (plainte, accident, chan-gement organisationnel…) qui déclenche l’intérêt pour la situation de travail. Ce problème est ainsi remis dans son contexte et d’autres aspects conditionnant également la santé, la sécurité

et le bien-être sont identifiés. Des solutions sont recherchées pour l’ensemble de la situation de travail.

Les niveaux suivants (Observation, Analyse, Expertise) ne sont menés que si le niveau précédent n’a pas abouti à solutionner le problème de manière totalement satis-faisante. La nécessité du passage aux autres niveaux dépend donc de la complexité de la situation de travail.

Les moyens mis en œuvre pour la recherche de solutions sont peu

coûteux aux 2 premiers niveaux. Ils sont plus coûteux aux niveaux supé-

rieurs mais utilisés à bon escient et appropriés à la situation rencontrée. La stratégie permet donc d’être plus efficace, plus rapidement et de ma-nière moins coûteuse.

La stratégie permet également de situer les différents intervenants: les personnes des entreprises pour mener les niveaux de Dépis-tage et d’Observation, le recours à une aide généralement externe, le conseiller en prévention, pour l’Analyse et éventuellement un spécialiste pour l’Expertise.

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3. Le niveau 1, dépistage: le guide de concertation déparis Il s’agit ici de rechercher comment modifier certains aspects techniques, organisationnels et relationnels de la situation de travail de façon à fonctionner mieux et à améliorer les conditions de sécurité, de santé et de bien-être pour tous les partenaires de cette situation de travail.

Ceci est réalisé par des personnes de l’entreprise connaissant parfaitement les situations de travail, quand bien même elles n’ont pas de formation ou n’ont qu’une formation rudimentaire en ce qui concerne les problèmes de sécurité, de physiologie ou d’ergonomie. Ce sont donc le personnel lui-même, son encadrement immédiat, les services périphériques (équipement, informatique…), un préventeur interne dans les entreprises plus grandes. Un groupe, formé de quelques personnes-clés* et de leur entourage professionnel (avec un conseiller en prévention la première fois), va passer en revue les principaux aspects de sa situa-tion de travail, rechercher les actions immédiates d’amélioration et de prévention et identifier ce qu’il faut étudier plus en détails.

Par personnes-clés, il faut entendre deux ou trois travailleurs partie du groupe qui ont une ex-périence approfondie des différentes circonstances de travail et donc une certaine ancienneté et qui sont représentatives, c’est-à-dire reconnues comme telles par leurs collègues et parlant au nom du groupe plutôt qu’en leur nom personnel.

Une personne au sein du service, le coordinateur, est désignée pour mener à bien ce Dépistage et coordonner la mise en œuvre des solutions immédiates et la poursuite de l’étude (niveau 2, Observation) pour les points à approfondir.

Le guide de concertation Déparis sert à organiser la discussion du groupe. Le guide et ses conditions d’utilisation sont présentés en détail dans le premier numéro de la collection des brochures de la série stratégie SOBANE publiée par le SPF ETCS.

Le document “Invitation” en annexe est à remettre aux futurs participants de manière à les informer des objectifs de la réunion Déparis, à préciser leur rôle et à les aider à aborder au cours de cette réunion, les différents aspects de leur vie au travail.

Pour plus de détails sur la stratégie SOBANE: www.sobane.be

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guides déparis adaptés à différents secteurs d’activité Le guide Déparis joint à ce dossier a été adapté à l’activité principale de votre secteur. Ce-pendant, pour certaines situations de travail annexes de votre entreprise, un autre guide Déparis pourrait vous être utile. Ainsi, par exemple, les guides Déparis adaptés pour les cafétérias –restaurants, pour le secteur tertiaire ou encore pour les intervenants de garde, pourraient mieux convenir pour votre personnel de cuisine, votre personnel administratif ou encore pour votre personnel technique de garde.

Tous les guides suivants sont disponibles sur le site www.sobane.be:1. Le secteur de la construction2. Le secteur tertiaire3. Le secteur des soins de santé4. Le secteur de l’aide à domicile

• Check-list d’évaluation chez les bénéficiaires5. L’enseignement

• Les guides de concertation Déparis 1. Description générale des outils 2. Guide général établissements scolaires 3. Guide direction - personnel éducatif (enseignement secondaire) 4. Guide direction - personnel éducatif (enseignement maternel et primaire) 5. Guide personnel éducatif - élèves (enseignement secondaire)

• Les check-lists pour les stagiaires1. Check-list générale 2. Check-list secteur de la construction 3. Check-list secteur du bois 4. Check-list secteur des soins

6. Les laboratoires (chimie et biologie) 7. Le télétravail à domicile

• Check-list pour le domicile 8. Les call centres 9. Les ateliers protégés10. L’industrie du bois11. Les entreprises électriques12. Le secteur alimentation13. Les cafétérias - restaurants 14. Les garages15. Les boulangeries16. La logistique17. Le secteur du nettoyage18. Les crèches19. Les agences bancaires20. Les imprimeries21. Les supermarchés22. Les salons d’esthétique23. Les maisons de repos24. Le métier de cordiste25. Le métier de femme de chambre26. Le métier de jardinier27. Le métier d’intervenant de garde (domaine technique)28. Les centres récréatifs et sportifs

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sPF emploi, travail et concertation sociale rue ernest blerot 1 - 1070 bruxelles

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Document pour les participants à Deparis

Vous êtes invité à participer à une réunion DéparisDe quoi s’agit-il ?La réglementation exige qu’une analyse des «risques» soit réalisée pour toutes les situations de travail et qu’un plan d’action soit établi pour progressivement atteindre et maintenir le meilleur état de bien-être pour tous les partenaires de ces situations de travail (employés, personnel, direction).

w Il est possible à un conseiller en prévention de régler tout seul par exemple des problèmes d’incendie.

w Il ne lui est pas possible tout seul d’assurer les conditions de VOTRE «bien-être».

w VOTRE bien-être ne peut être assuré qu’avec VOUS

Une réunion Déparis (Dépistage participatif des risques) est une réunion de quelques personnes de la situation de travail (personnel, direction, services techniques…) au cours de laquelle tous les aspects de la vie au travail sont passés en revue.Un guide de concertation a été préparé pour guider cette discussion de sorte qu’elle couvre tous les aspects techniques, organisationnels et relationnels qui font que la vie quotidienne dans votre situation de travail est plus ou moins facile, efficace et agréable.L’objectif n’est pas de constater ni de quantifier les imperfections, difficultés, problèmes. Il est de trouver ce qui peut être fait concrètement, à court, moyen et long termes pour que le travail soit plus efficace et plus agréa-ble.Au cours de la réunion, il sera possible, pour certains points, de déterminer ce qu’il faut réorganiser ou changer et comment concrètement le réorganiser ou le changer.Pour d’autres aspects, des études complémentaires devront être réalisées par la suite.La Direction s’engage à établir un plan d’actions afin de donner suite au mieux à ce qui sera discuté.

qu’est-il attenDu De Vous?Par le passé, des études, des enquêtes ont déjà été conduites et/ou des demandes ont déjà été formulées. Toutes n’ont peut-être pas été suivies d’actions.

Au cours de la réunion Déparis, on souhaite repartir de zéro, faire table rase du passé éventuel et revoir de manière organisée et systématique TOUS les aspects de la vie au travail.

Il est attendu que vous veniez à la réunion avec un esprit confiant et constructif.

• Si vous êtes membre de la direction et de la ligne hiérarchique, il n’est pas question ici de vous reprocher quoi que ce soit, mais de voir ce que l’on peut faire pour améliorer la vie compte tenu des autres contraintes de travail.

• Si vous êtes un représentant d’un membre d’un service d’entretien, de méthodes, d’achat…, il est question de voir avec vous la façon idéale d’améliorer ces questions de vie compte tenu des contingences techniques.

• Si vous êtes membre du personnel, il s’agit pour vous et en leur nom, de poser les problèmes, de décrire les difficultés rencontrées par vous et vos collègues et de rechercher comment la situation peut être amélio-rée.

qu’en retirerez-Vous?L’entreprise, l’établissement a choisi en connaissance de cause d’utiliser le guide Déparis comme outil de dé-pistage des risques. La direction s’est engagée à prendre en considération les résultats des discussions et les propositions d’amélioration qui seront formulées.

C’est donc l’occasion de revoir l’ensemble de la situation de travail et d’améliorer progressivement, ensemble les conditions de vie au travail. L’expérience a montré que tout le monde s’y retrouve: qualité de la vie, satisfactions personnelles et professionnelles, travail plus agréable, plus efficace, meilleures relations de travail….

Voulez-Vous en saVoir plus ?Vous trouverez sur le site www.sobane.be les principes de base de la stratégie SOBANE et du guide de concer-tation Déparis ainsi que tous les outils préparés pour mettre cette stratégie en pratique dans votre entreprise ou établissement.

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liste Des aspects qui seront aborDés lors De la reunion

maisons de repos1. les locaux et zones De traVailQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les espaces de travail• Les voies de circulation• Les accès aux zones de travail • Les infirmeries• L’encombrement• Les espaces de rangement • La vue sur l’extérieur• L’entretien technique et ménager • Les déchets • Les sols• Les locaux sociaux • Les issues de secours

2. l’organisation Du traVailQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• L’organisation du travail• Les circonstances de travail• La planification du travail• L’approvisionnement des postes • L’indépendance avec les postes voisins • Les interactions et communications• Les moyens de communication

3. les acciDents De traVailQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les vêtements de travail et Equipements de protection individuelle

(EPI)• Les chutes• Les chutes ou projections d’objets • Les risques mécaniques• Les procédures en cas d’accident • Les analyses des accidents du travail• Les premiers soins

4. les risques électriques et D’incenDieQui peut faire quoi de concret et quand concernant:Les risques électriques• L’installation électrique générale • Le matériel• L’équipementLe risque incendie et explosions• Les sources• Les moyens de lutte• Le compartimentage des locaux, escaliers• L’équipe d’intervention interne • Les consignes en cas d’incendie • La signalisation

5. les commanDes et signauxQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les ordres de travail• Les signaux et les commandes• Leur localisation • Leurs caractéristiques • La force

6. le matériel De traVail, les outils, les machinesQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Le matériel, outils et machines• Adéquats• L’entretien • Les dimensions et formes • Adaptés au travailleur et sécurisés • La formation des infirmier(e)s et aides-soignant(e)s

7. les positions De traVailQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• La répétition des mêmes gestes• Les positions de travail• Les hauteurs de travail• Le travail assis ou assis/debout• Si en position debout • Les aides

8. les efforts et les manutentionsQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les gestes et efforts• Les efforts des mains • Les charges

- Légères et équilibrées- Confortables à saisir- À bonne hauteur- Pas de torsion ou inclinaison du tronc- Portées seulement sur de courtes distances

• Les aides mécaniques• La formation à la manutention• La fatigue en fin de journée

9. l’éclairageQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• L’éclairage dans les locaux et du travail lui-même• La lumière du jour et la vue à l’extérieur• Pas d’ombres sur le travail• Pas de reflet ni éblouissement • L’uniformité de l’éclairage • Les luminaires • Le travail sur écran d’ordinateur

10. le bruitQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• L’inconfort ou les distractions • L’emplacement des postes de travail • Les moyens de communication • Les machines ou installations bruyantes • Les trous, orifices • L’isolement des personnes démentes

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liste Des aspects qui seront aborDés lors De la reunion

maisons de repos11. l’hygiène atmosphériqueQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• La formation • Les procédures• L’étiquetage• Les stocks • Les déchets chimiques et biologiques • La signalisation • Les EPI• Le personnel à risque aggravé• Les vaccinations• L’hygiène • Le renouvellement de l’air• Les fumeurs

12. les ambiances thermiquesQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• La température • L’humidité• Pas de courants d’air• Les sources de froid, chaleur ou humidité • Les vêtements de travail • Les vêtements de protection• Les boissons

13. l’autonomie et les responsabilités inDi-ViDuellesQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les ordres et attentes• Le degré d’initiative • L’autonomie• La liberté de contact• Le niveau d’attention• Les décisions• Les responsabilités• Les erreurs

14. le contenu Du traVailQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• L’intérêt du travail• Les compétences• Les informations et la formation • La charge émotionnelle

15. les contraintes De tempsQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les horaires et le programme de travail• Le rythme de travail• L’autonomie du groupe• Les interruptions dans le travail• Les pauses

16. les relations De traVail au sein Du per-sonnel et aVec la hiérarchieQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les communications pendant le travail• La répartition du travail• L’entraide entre infirmier(e)s et aides-soignant(e)s• La concertation pour le travail• La hiérarchie• Les relations avec la hiérarchie• Les suggestions et critiques des infirmier(e)s et aides-soignant(e)s• Les évaluations

17. l’enVironnement psychosocialQui peut faire quoi de concret et quand concernant:• Les promotions • Les discriminations • L’emploi• Les salaires • Le conseil d’entreprise et le CPPT • Les problèmes psychosociaux• Les conditions de vie dans la maison de repos

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Maisons de repos

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STRATEGIE SOBANE - GESTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

La stratégie SOBANE est une stratégie de prévention des risques à quatre niveaux (dépistage (Screening), OBservation, ANalyse, Expertise).

La série de publications «STRATEGIE SOBANE-Gestion des risques professionnels» a pour objectif de faire connaître cette stratégie de prévention et de montrer comment l’appliquer aux différentes situations de travail.

Ces outils cherchent à optimaliser le temps et les efforts de l’entreprise pour rendre la situation de travail acceptable quelle que soit la complexité du problème rencontré. Ils favorisent le développement d’un plan dynamique de gestion des risques et d’une culture de concertation dans l’entreprise.

L’ensemble de ces outils ainsi que la stratégie SOBANE ont été développés par l’Unité hygiène et physiologie du travail du professeur J. Malchaire de l’Université catholique de Louvain, dans le cadre du projet de recherche SOBANE cofinancé par le Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale et le Fonds social européen.

Le guide de concertation DEPARIS est un guide de dépistage participatif des risques qui permet de rencontrer les exigences du niveau «Dépistage» de la stratégie SOBANE. Il s’agit d’un outil simple, économe en temps et en moyens, qui favorise le développement d’un plan dynamique de gestion des risques et d’une culture de concertation dans l’en-treprise.

Cette publication a été réalisée par une équipe de recherche comprenant:• L’Unité hygiène et physiologie du travail de l’UCL (Prof. J. Malchaire, A. Piette);• Le Service de recherche et développement de IDEWE (Prof. G. Moens);• Le service externe en prévention et protection CESI (S. Boodts, A. Schietecatte);• Le service externe en prévention et protection IDEWE (Prof. V. Hermans);• Le service externe en prévention et protection PROVIKMO (Dr. G. De Cooman,

I.Timmerman);• Le service externe en prévention et protection MENSURA (Dr. P. Carlier);• Le Département nouvelles technologies et formation du CIFoP (J.F. Husson).• Le service de prévention SEFMEP (P. Lorent, F. Gysens)

Pour plus de détails sur la stratégie SOBANE: www.sobane.be

Cette brochure peut être obtenue gratuitement• par téléphone au 02 233 42 14• par commande directe sur le site du SPF:

http://www.emploi.belgique.be• par écrit auprès de la

Cellule Publications du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale rue E. Blerot 1 - 1070 BRUXELLES Fax: 02 233 42 36 E-mail: [email protected]

Cette brochure peut également être consultée sur le site Internet du SPF: http://www.emploi.belgique.be

Deze brochure is ook verkrijgbaar in het Nederlands.

La rédaction de cette brochure a été achevée le 15 février 2008

Production: Direction générale Humanisation du travail

Coordination: Direction de la communication

Supervision scientifique: Alain Piette

Mise en page et couverture: Sylvie Peeters

Dessin: Serge Dehaes

Impression: Boone-Roosens

Diffusion: Cellule Publications

Editeur responsable: SPF Emploi, Travail et Concertation sociale

H/FLes termes «conseillers», «travailleurs» et «employeurs» utilisés dans cette brochure désignent les personnes des deux sexes.

PROMOTEUR DU PROJET

SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Direction générale Humanisation du travail rue Ernest Blerot 1 – 1070 Bruxelles

Ce guide a pu être réalisé grâce à l’appui de l’Union européenne Fonds social européen

© SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de la Direction de la communication du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale, de reproduire totalement ou partiellement la présente publication, de la stocker dans une banque de données ou de la communiquer au public, sous quelque forme que ce soit. Toutefois, si la reproduction de textes de cette brochure se fait à des fins informatives ou pédagogiques et strictement non commer-ciales, elle est autorisée moyennant la citation de la source et, s’il échet, des auteurs de la brochure.

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Procédure d’utilisation1. Information par la direction sur les objectifs poursuivis et engagement de celle-ci de tenir

compte des résultats des réunions et des études.

2. Accord du Comité de prévention et de protection au travail.

3. Définition d’un petit groupe de postes formant un ensemble, une “situation” de travail.

4. Désignation d’un coordinateur par la direction avec l’accord des infirmièr(e)s et aides-soignant(e)s.

5. Préparation du coordinateur: Il adapte éventuellement l’outil à la situation de travail en modifiant des termes, en éliminant certains aspects non concernés, en transformant d’autres ou encore en ajoutant des aspects supplémentaires.

6. Constitution d’un groupe de travail avec les infirmièr(e)s et aides-soignant(e)s - clés de la situation de travail concernée, désignés par leurs collègues et leurs représentants et de personnels d’encadrement technique choisis par la direction. Il comprend au moins un homme et une femme en cas de groupe mixte.

7. Le document “Invitation” est remis aux membres du groupe de travail de manière à les informer des objectifs de la réunion Déparis et à préciser leur rôle.

8. Réunion du groupe de réflexion dans un local calme près des postes de travail.

9. Explication claire par le coordinateur du but de la réunion et de la procédure.

10. Discussion sur chaque rubrique en se concentrant sur les aspects repris sous cette ru-brique et en s’attardant, non pas à porter un score, mais• À ce qui peut être fait pour améliorer la situation, par qui et quand• À ce pour quoi il faut demander l’assistance d’un préventeur• À déterminer rapidement le coût des mesures d’amélioration proposées et leur impact

éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€).

11. Après la réunion, synthèse par le coordinateur en mettant au net • La liste des points à étudier plus en détails avec les priorités• La liste de solutions envisagées avec indication de qui fait quoi et quand• Les rubriques utilisées, contenant les informations détaillées ressortant de la réunion

12. Présentation des résultats aux participants, révision, ajouts…

13. Finalisation de la synthèse.

14. Présentation à la direction et aux organes de concertation.

15. Poursuite de l’étude pour les problèmes non résolus, facteur par facteur, au moyen des méthodes de niveau 2, Observation, de la stratégie SOBANE.

.

Le texte suivant peut aider à préciser le but de la réunion.

“Au cours de la réunion, nous allons passer en revue tous les aspects techniques, d’organisa-tion et de relation qui font que le travail est plus ou moins facile, efficace et agréable.

L’objectif n’est pas de savoir si c’est facile ou agréable à 20, 50 ou 100 %.

Il est de trouver ce qui peut être fait concrètement, tout de suite, dans 3 mois et plus tard pour que ce soit plus efficace et plus agréable. Il peut s’agir de modifications techniques, de nouvelles techniques de travail, mais aussi de meilleures communications, de réorganisation des horaires, de formations plus spécifiques.

Pour certains points, nous devrions arriver à dire ce qu’il faut changer et comment concrète-ment le changer. Pour d’autres, des études complémentaires devront être réalisées.

La Direction s’engage à établir un plan d’actions dans le but de donner suite au mieux à ce qui sera discuté. “

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2. L

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3. L

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4. L

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L K J

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5. L

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6. L

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cute

rQ

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ns, t

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rop

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Pas

trop

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la p

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ects

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lus

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étai

ls:

L K J

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10

7. L

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A d

iscu

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Qui

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quo

i de

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pla

n de

tra

vail

Si e

n po

sitio

n de

bout

: •

Pas

de g

ène

dans

les

mou

vem

ents

• A

ppui

con

fort

able

pos

sibl

e de

s cu

isse

s et

/ou

des

bras

sur

des

sur

face

s à

bonn

e ha

uteu

r

Les

aide

s: •

Esca

beau

x… d

ispo

nibl

es p

our

le t

rava

il en

hau

teur

• St

able

s, so

lides

, fac

iles

à ut

ilise

r en

séc

urité

(ch

utes

)

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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11

8. L

es e

ffo

rts

et

Les

ma

nu

ten

tio

ns

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

Les

gest

es e

t ef

fort

s•

Pas

brus

ques

ni i

mpo

rtan

ts•

Sans

dép

lace

men

ts r

apid

es o

u ré

pété

s

Les

effo

rts

des

mai

ns:

• M

odér

és, p

as d

e t

orsi

on d

es p

oign

ets

• Ja

mai

s de

cou

ps a

vec

le t

alon

de

la m

ain

Les

char

ges

- Lé

gère

s et

équ

ilibr

ées

(liqu

ides

, tai

lle d

es s

acs…

)

- C

onfo

rtab

les

à sa

isir

: bon

nes

poig

nées

, pas

de

bord

s co

upan

ts, p

as g

lissa

nts…

- À

bon

ne h

aute

ur: s

aisi

e et

dép

ose

à ha

uteu

r de

la c

eint

ure

- Pa

s de

tor

sion

ou

incl

inai

son

du t

ronc

- Po

rtée

s se

ulem

ent

sur

de c

ourt

es d

ista

nces

Les

aide

s m

écan

ique

s: ad

équa

tes

• C

hari

ots

à po

usse

r pl

utôt

qu’

à tir

er…

pour

les

char

ges

lour

des

ou in

stab

les

• Fa

uteu

ils r

oula

nts

…po

ur le

s tr

ansp

orts

fréq

uent

s•

De

qual

ité, b

ien

situ

ées

et fa

cile

s et

rap

ides

à u

tilis

er•

La p

erso

nne

âgée

par

ticip

e à

sa m

anut

entio

n qu

and

c’es

t po

ssib

le

La fo

rmat

ion

à la

man

uten

tion:

Ada

ptée

au

trav

ail e

n m

aiso

n de

rep

os

La fa

tigue

en

fin d

e jo

urné

e: a

ccep

tabl

e

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

9. L

’écL

air

ag

eA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

L’éc

lair

age

dans

les

loca

ux e

t du

tra

vail

lui-m

ême

• Le

s ch

ambr

es, l

a sa

lle d

e ba

in, l

e ré

fect

oire

, le

bure

au in

firm

ier

• N

i tro

p, n

i tro

p pe

u: s

uffis

ant

pour

voi

r le

s dé

tails

du

trav

ail,

mai

s pa

s tr

op im

port

ant

La lu

miè

re d

u jo

ur e

t la

vue

à l’

exté

rieu

r: sa

tisfa

isan

t

Pas

d’om

bres

sur

le t

rava

ilPa

s de

refl

et n

i ébl

ouis

sem

ent:

• Su

r le

s ta

bles

, les

sur

face

s m

étal

lique

s ou

en

verr

e, le

s fe

uille

s de

pla

stiq

ue, l

es fe

nêtr

es, l

es é

cran

s…•

En p

artic

ulie

r pa

r le

sol

eil,

fenê

tres

ave

c de

s ri

deau

x, s

tore

s ou

par

e-so

leil

• Pa

s de

vue

dir

ecte

des

sou

rces

de

lum

ière

L’un

iform

ité d

e l’é

clai

rage

: •

Des

zon

es d

e tr

avai

l et

de p

assa

ge (

esca

liers

…)

Les

lum

inai

res:

• Pr

opre

s, ne

ttoy

és r

égul

ière

men

t •

Lam

pes

ou t

ubes

déf

ectu

eux

rem

plac

és r

apid

emen

t

Le t

rava

il su

r éc

ran

d’or

dina

teur

: •

L’in

firm

ièr(

e) o

u ai

de-s

oign

ant(

e) n

’est

ni f

ace

ni d

os à

une

fenê

tre

ou à

une

sou

rce

impo

rtan

te d

e lu

miè

re

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

10. L

e b

ru

itA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

L’in

conf

ort

ou le

s di

stra

ctio

ns:

(tra

fic, t

élép

hone

s, co

nditi

onne

men

t d’

air,

phot

ocop

ieus

es, c

onve

rsat

ions

…)

L’em

plac

emen

t de

s po

stes

de

trav

ail:

• Le

plu

s à

l’éca

rt p

ossi

ble

des

sour

ces

de b

ruit

Les

moy

ens

de c

omm

unic

atio

n:

• T

ienn

ent

com

pte

du b

ruit

ambi

ant

Les

mac

hine

s ou

inst

alla

tions

bru

yant

es:

• Bi

en e

ntre

tenu

es, c

apot

ées

Les

trou

s, or

ifice

s•

Dan

s le

s pa

rois

ent

re le

s lo

caux

, les

fent

es e

n de

ssou

s de

s po

rtes

L’is

olem

ent

des

pers

onne

s dé

men

tes

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

11. L

’hyg

ièn

e at

mo

sPh

ériq

ue

ris

ques

ch

imiq

ues

(sol

ides

, liq

uide

s ou

gaz

) et

bio

logi

ques

(ba

ctér

ies,

vir

us, l

iqui

des

corp

orel

s…)

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

Les

proc

édur

es

• Lo

rs d

es s

oins

de

plai

e, p

rise

s de

san

g, in

ject

ions

, cha

nge

du la

nge,

ram

assa

ge d

e vo

mis

sure

s, so

in d

’un

patie

nt e

n is

olem

ent…

• C

lair

es e

t re

spec

tées

La fo

rmat

ion:

sur

les

proc

édur

es e

t le

s ri

sque

s

L’ét

ique

tage

: réc

ipie

nts

adéq

uats

et

bien

étiq

ueté

s

Les

stoc

ks:

• Pr

odui

ts t

oxiq

ues,

corr

osifs

, infl

amm

able

s, bi

olog

ique

s…•

Stoc

kés

dans

des

esp

aces

app

ropr

iés,

isol

és e

t si

gnal

isés

Les

déch

ets

chim

ique

s et

bio

logi

ques

: •

Evac

ués

de m

aniè

re c

ontr

ôlée

sui

vant

une

pro

cédu

re c

onnu

e da

ns d

es r

écip

ient

s (p

oube

lles)

adé

quat

s

La s

igna

lisat

ion:

Adé

quat

e et

res

pect

ée: i

nter

dict

ion

de fu

mer

, loc

aux

à ri

sque

Les

EPI:

gant

s, m

asqu

es, l

unet

tes,

vête

men

ts…

• A

déqu

ats,

disp

onib

les

et u

tilis

és

Le p

erso

nnel

à r

isqu

e ag

grav

é: fe

mm

es, f

emm

es e

ncei

ntes

ou

alla

itant

es, j

eune

s tr

avai

lleur

s…•

Surv

eilla

nce

de la

san

Les

vacc

inat

ions

: •

Hép

atite

A e

t B

en

ordr

e, d

épis

tage

tub

ercu

lose

L’hy

gièn

e:

• Pe

rson

ne n

e m

ange

sur

le li

eu d

e tr

avai

l•

Pas

de c

ham

pign

ons

ou m

oisi

ssur

es

Le r

enou

velle

men

t de

l’ai

r: su

ffisa

nt

• L’

air

est

frai

s, ag

réab

le à

res

pire

r, sa

ns o

deur

s

Les

fum

eurs

: •

Zon

e fu

meu

rs b

ien

loca

lisée

et

vent

ilée

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

12. L

es a

mb

ian

ces

ther

miq

ues

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

La t

empé

ratu

re:

• N

i tro

p ch

aud

ou fr

oid,

pas

de

vari

atio

ns im

port

ante

s

L’hu

mid

ité:

ni t

rop

sec

ou h

umid

e

Pas

de c

oura

nts

d’ai

r: p

ar le

s fe

nêtr

es e

t po

rtes

Les

sour

ces

de fr

oid,

cha

leur

ou

hum

idité

: •

Elim

inée

s: ea

u, v

apeu

r, m

achi

nes,

sole

il…

Les

vête

men

ts d

e tr

avai

l: •

Con

fort

able

s: ta

blie

r ou

blo

use/

pant

alon

Les

vête

men

ts d

e pr

otec

tion

• Si

néc

essa

ires

(is

olan

ts, i

mpe

rméa

bles

…)

• D

e qu

alité

, ada

ptés

et

conf

orta

bles

Les

bois

sons

: dis

poni

bles

s’il

fait

trop

cha

ud o

u tr

op fr

oid

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

13. L

’au

ton

om

ie e

t Le

s r

esP

on

sab

iLit

és in

div

idu

eLLe

sA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

ordr

es e

t at

tent

es: p

as d

e co

ntra

dict

ions

Le d

egré

d’in

itiat

ive

• C

hacu

n pe

ut a

dapt

er s

on m

ode

de t

rava

il sa

ns p

ertu

rber

le t

rava

il de

l’éq

uipe

L’au

tono

mie

• C

hacu

n pe

ut q

uitt

er s

on p

oste

et

pren

dre

une

cour

te p

ause

(to

ilett

es, b

oiss

ons)

san

s pe

rtur

ber

le t

rava

il

La li

bert

é de

con

tact

• C

hacu

n pr

end

les

cont

acts

qu’

il ju

ge n

éces

sair

es a

vec

les

autr

es s

ervi

ces

(ent

retie

n, a

chat

s …

) ou

ext

érie

urs

• Le

per

sonn

el s

oign

ant

gère

les

cont

acts

ave

c le

s fa

mill

es d

es p

ensi

onna

ires

: co

nflits

, men

aces

, agr

essi

ons,

harc

èle-

men

t…•

Il gè

re le

s co

ntac

ts a

vec

le c

orps

méd

ical

Le n

ivea

u d’

atte

ntio

n: m

oyen

en

fonc

tion

• D

e la

gra

vité

des

act

ions

à p

rend

re•

Du

cara

ctèr

e im

prév

isib

le d

es é

véne

men

ts

Les

déci

sion

s•

Le n

ombr

e de

cho

ix p

ossi

bles

est

lim

ité•

Les

info

rmat

ions

son

t di

spon

ible

s•

Elle

s ne

son

t pa

s tr

op d

iffici

les

à pr

endr

e•

La v

itess

e de

réa

ctio

n né

cess

aire

est

nor

mal

e

Les

resp

onsa

bilit

és•

Cha

cun

conn

aît

les

sien

nes

et le

s ap

préc

ie•

Ni t

rop

lour

des,

ni t

rop

légè

res

Les

erre

urs

• C

hacu

n co

rrig

e lu

i-mêm

e se

s er

reur

s év

entu

elle

s

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

14. L

e co

nte

nu

du

tr

ava

iL

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

L’in

térê

t du

tra

vail:

inté

ress

ant

et d

iver

sifié

Toile

ttes

, soi

ns, d

istr

ibut

ion

des

repa

s, de

s tr

aite

men

ts, m

ise

au li

t•

La p

lace

de

ce t

rava

il da

ns le

bie

n-êt

re e

t l’a

ccom

pagn

emen

t de

la p

erso

nne

âgée

Les

com

péte

nces

• Le

tra

vail

de c

hacu

n co

rres

pond

à s

a fo

nctio

n et

à s

es c

ompé

tenc

es p

rofe

ssio

nnel

les

• Il

perm

et d

’util

iser

et

de d

ével

oppe

r ce

s co

mpé

tenc

es

Info

rmat

ions

et

form

atio

n:

• D

e to

us (

jeun

es, i

ntér

imai

res,

plus

anc

iens

) •

Spéc

ifiqu

es a

u tr

avai

l de

chac

un•

Sur

les

proc

édur

es, l

es r

isqu

es e

t la

pré

vent

ion

La c

harg

e ém

otio

nnel

le:

pas

trop

lour

de•

Soin

s pa

lliat

ifs, d

écès

…A

l’em

bauc

he e

t de

faço

n pé

riod

ique

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

15. L

es c

on

tra

inte

s d

e te

mP

sA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

hora

ires

et

le p

rogr

amm

e de

tra

vail

• C

onnu

s su

ffisa

mm

ent

à l’a

vanc

e•

Perm

ette

nt d

’org

anis

er s

a jo

urné

e de

tra

vail

com

me

on le

sou

haite

• Fl

exib

les

dans

des

mar

ges

déte

rmin

ées

Le r

ythm

e de

tra

vail:

pas

exce

ssif

• Le

tra

vail

en r

etar

d pe

ut ê

tre

réso

rbé

rapi

dem

ent

L’au

tono

mie

du

grou

pe:

il s’

orga

nise

lui-m

ême

conc

erna

nt:

• Le

s ho

rair

es e

t le

s co

ngés

• La

rép

artit

ion

du t

rava

il, le

s pa

uses

, les

rot

atio

ns•

La r

écup

érat

ion

des

reta

rds

• Le

s he

ures

sup

plém

enta

ires

• Le

s cr

eux

et p

ics

de t

rava

il (é

pidé

mie

s, fo

rtes

cha

leur

s…)

• Le

tra

vail

supp

lém

enta

ire

ou e

n de

rniè

re m

inut

e

Les

inte

rrup

tions

dan

s le

tra

vail

• Pe

u d’

impr

évus

• Pa

s de

dér

ange

men

t au

cou

rs d

es t

âche

s av

ec le

s pe

nsio

nnai

res

Les

paus

es•

Fréq

uent

es e

t co

urte

s•

Org

anis

ées

en f

onct

ion

de la

lour

deur

du

trav

ail,

de la

pén

ibili

té d

es p

ostu

res,

du c

arac

tère

rép

étiti

f, de

la f

atig

ue

men

tale

.

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

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1�

16. L

es r

eLat

ion

s d

e tr

ava

iL a

u s

ein

du

Per

son

neL

et

avec

La

hié

ra

rch

ieA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

com

mun

icat

ions

pen

dant

le t

rava

il•

Touj

ours

pos

sibl

es, t

ant

sur

le t

rava

il qu

e su

r d’

autr

es s

ujet

s•

L’or

gani

satio

n du

tra

vail

et d

es e

spac

es p

erm

et d

e se

voi

r

La r

épar

titio

n du

tra

vail:

équi

tabl

e au

sei

n du

gro

upe

• C

hacu

n co

nnaî

t ex

acte

men

t so

n tr

avai

l et

son

rôle

L’en

trai

de e

ntre

les

infir

mie

r(e)

s et

aid

es-s

oign

ant(

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biLan finaLReportez ici les appréciations générales des rubriques en coloriant la case en vert J, en jaune K ou en rouge L.

Situation de travail:

1. Les locaux et zones de travail J K L2. L’organisation du travail J K L3. Les accidents de travail J K L4. Les risques électriques et d’incendie J K L5. Les commandes et signaux J K L6. Le matériel de travail, les outils, les machines J K L7. Les positions de travail J K L8. Les efforts et les manutentions J K L9. L’éclairage J K L10. Le bruit J K L11. L’hygiène atmosphérique J K L12. Les ambiances thermiques J K L13. L’autonomie et les responsabilités individuelles J K L14. Le contenu du travail J K L15. Les contraintes de temps J K L16. Les relations de travail au sein du personnel et avec la hiérarchie J K L17. L’environnement psychosocial J K L

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inventaire des ProPositions d’améLioration et des études comPLémentaires à réaLiserReportez ici les actions concrètes susceptibles d’être prises directement, Indiquées dans le cadran droit des 17 rubriques Ainsi que les aspects à approfondir par une Observation détaillée, Indiquée dans le cadre inférieur des 17 rubriques.

N° Qui? Fait quoi et comment?

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sPf emploi, travail et concertation sociale rue ernest blerot 1 - 1070 bruxelles

www.emploi.belgique.be