Guide du Module 3 SUIVRE L’AMOUR...faire attention à son langage. On l’a vu, le langage est créateur donc il est vraiment important de faire attention aux mots qu’on emploie,

Guide du Module 3

Module 0

SUIVRE L’AMOUR

par Mylène Muller

- DEUXIÈME PARTIE -

ORGANISATIONDU MODULE

Module 3SUIVRE L’AMOUR

Temps nécessaire : 10h30

Objectif :

PREMIÈRE PARTIE

DEUXIÈME PARTIE

TROISIÈME PARTIE

À l’issue de ce module, le stagiaire sera capable d’accueillir la lumière et de reconnaître ses talents et ses forces afin de les utiliser au profit de son projet aligné.

Je m’engage à suivre ce chapitre et fixe mes différents rendez-vous :

Chapitre 1 : Objectifs du module

Chapitres 2 à 8, guide n°1

Chapitres 16 à 21, Guide n°3

Chapitre 9 : Votre séance d’auto-coaching « Adopter le mode proactif »Chapitre 10 : Votre défi « Croire en soi »Chapitre 11 : Votre défi « Adopter la pensée positive »Chapitre 12 : Votre défi « Sourire et rire »Chapitre 13 : Votre défi « Les petits plaisirs »Chapitre 14 : Votre défi « Les affirmations positives »Chapitre 15 : La magie de la visualisation

Signature :

3Module 3 - Chapitre 9 : Votre séance d’auto-coaching « Adopter le mode proactif »

Chapitre 9 :Votre séance d’auto-coaching « Adopter le mode proactif »

L’idée qui se cache derrière le mode proactif, c’est, une fois de plus, qu’on peut choisir ses croyances. Le monde qui nous entoure nous envoie tellement de signaux, de stimulus à chaque instant, qu’il n’est pas possible pour une personne normale de tout appréhender. On sélectionne de manière très stricte

le nombre d’informations qu’on choisit d’intégrer à chaque instant.

Cette sélection est faite via des filtres : ce qu’on pense vrai de la réalité, de ce qui nous entoure ; on le perçoit et cela vient enrichir nos croyances (ce qu’on croit vrai autour de soi). Nos croyances sont là en permanence, en nous ; on voit le monde qui nous entoure à travers elles, et notre façon de voir le

monde vient entretenir ces croyances.

Tant qu’on a pas identifié qu’il s’agit d’une croyance, on est persuadée qu’il s’agit de la réalité. On reviendra plus tard encore sur cette notion de croyance qui est vraiment essentielle, mais déjà à ce niveau-ci il est important de retenir que ce que l’on pense est bien souvent le fait d’une croyance et qu’il est donc possible de penser autrement - il y a probablement des personnes qui pensent l’inverse !

Lorsque ce sont des pensées qui nous portent, qui nous aident à avancer, il n’y a pas de problème, mais quand ce sont des pensées limitantes qui nous freinent, qui nous font nous sentir mal, des pensées de colère, de tristesse, de découragement, là il est bon de pouvoir changer ses pensées, les transformer en émotions plus positives - puisque nous allons recevoir ce que nous allons émettre.

On peut choisir ce que l’on pense et reprendre le pouvoir sur ce qui se passe dans notre vie.

https://youtu.be/Qg1IwVoK1ks


Pratique 1Et si je voyais cette personne ou cet événement comme le résultat d’un choix que j’ai fait et non comme une obligation, qu’est-ce qui se passerait dans ma vie ? En quoi ma

vie serait différente ?

Le premier élément derrière cette idée, c’est la notion de choisir plutôt que subir. A chaque instant, on a le choix. Soit on subit ce qui se passe, on se considère comme une victime, on subit les épreuves, les événements, les personnes, on n’y est pour rien… soit on choisit de choisir, justement ! On reprend les rennes : ce qui arrive, c’est moi qui en suit responsable à un niveau plus ou moins élevé, j’ai un

pouvoir d’action sur ce qui arrive.

Il y a une autre façon de procéder pour reprendre le pouvoir et cesser d’être en mode victime, c’est de faire attention à son langage. On l’a vu, le langage est créateur donc il est vraiment important de faire attention aux mots qu’on emploie, que ce soit dans notre dialogue intérieur ou dans notre dialogue émis. Faites attention aux expressions victimisantes qu’on a l’habitude d’employer comme : « je dois », « il faut », « si seulement », « ça dépend de »... Le genre d’expressions qui donnent l’impression que ça dépend de quelque chose qui nous dépasse totalement et qu’on n’y est pour rien, qu’on ne fait que

subir et qu’on n’a pas le choix.

Choisissez un événement pénible une situation désagréable de votre vie, ou encore une personne qui vous pèse en ce moment. Et puis posez-vous cette question :

FICHE-DÉFI

Reprendre le pouvoir sur les événements


LES EXPRESSIONS QUE J’UTILISE

JE DOIS...

PAR QUOI LES REMPLACER

JE CHOISIS DE...

Pratique 2Identifiez ces éléments de langage que vous pouvez avoir, et ensuite demandez-vous

comment vous pouvez les remplacer, ce que vous pouvez utiliser à la place.

Vous pouvez également lister un ensemble de situations ou d’activités que vous vous sentez obligée de faire et qui vous pèsent, en commençant votre phrase par « je dois » et puis refaire cette liste et en

commençant cette fois-ci par « je choisis de ».


Vous allez voir après cet exercice que vous êtes déjà en train de transformer votre approche, même sans action « concrète ». Vous faites déjà une étape importante en faveur du changement : en reconnaissant que cette situation est le fruit d’un choix que vous avez fait -

conscient ou inconscient, ce n’est pas la question - à un moment.

JE DOIS... JE CHOISIS DE...

Pratique 3Reprenez, remémorez-vous quelque chose de pénible qui vous est arrivé récemment.

Le deuxième élément à aborder est celui-ci : ce qui vous arrive n’est pas forcément le fruit du hasard. On a déjà parlé de cette idée de cohérence ; lorsque vous êtes confrontée à une épreuve, à un événement difficile, demandez-vous ce que vous pouvez apprendre de cette situation ? Je reprends le pouvoir sur ma vie. Ce qui m’arrive, je décide d’en faire quelque chose. Je ne suis plus en mode victime, je ne subis

plus, j’ai peut-être une part de responsabilité, qu’est-ce que je peux en faire ?


Si c’est l’univers qui m’envoie un signe, s’il y a une cohérence d’ensemble dans ma vie sur tout ce chemin, qu’est-ce que je peux apprendre de cette épreuve ?

Si c’est quelque chose de fâcheux, comment puis-je faire pour l’éviter à l’avenir ?

Est-ce que je peux donner davantage d’amour pour recevoir en retour davantage d’amour et éviter ce type de situation ?

Comment est-ce que cet événement peut m’amener à plus d’amour ? Comment est-ce qu’il peut être un tremplin sur ma route, qui va m’aider à ressentir davantage d’amour, à amener davantage

de positif dans ma vie ? Comment est-ce qu’il peut m’aider à cela ?


Voyez dans les épreuves des leçons, plutôt que des épreuves.

Il y a un troisième point dans cette idée de pro-action qui est important selon moi, c’est d’adopter le mode solution plutôt que le mode excuse. Vous connaissez probablement cette citation :

Sans vouloir catégoriser de manière radicale gagnants/perdants, il y a dans cette citation quelque chose à noter : quand on a un état d’esprit qui va de l’avant, on cherche des solutions. On ne cherche

pas des excuses pour justifier son inaction. J’y suis confrontée notamment lorsque je vois des personnes qui ont envie d’être accompagnées, qui ont besoin d’être accompagnées, et qui cherchent des excuses pour justifier que ce n’est pas le

moment pour elles, qu’elles le feront plus tard, etc.

On se met souvent – et facilement – en « mode excuses », et désormais on va essayer ensemble de passer en « mode solutions ». Je vous invite donc ci-après à vous poser certaines questions en mode

auto-coaching.

Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses.

Franklin D. Roosevelt

Qu’est-ce que vous voulez par dessus tout ? Ou être / faire / avoir, peu importe.


Comment pouvez-vous en faire votre priorité n°1 ?

Quelles sont les solutions dont vous disposez pour l’atteindre, le réaliser ?

Comment pouvez-vous réussir malgré tout ?

Quels sont les obstacles qui vont essayer de vous empêcher d’y arriver ?


Autre habitude à prendre : lorsque vous dites non à une activité dont vous savez pourtant qu’elle va vous faire du bien (non à la méditation ce matin, non à l’écriture de cette lettre de gratitude, non à l’activité physique, …), posez-vous la question : qu’est-ce qui dit non ? Quelle partie de vous est en train de dire non ? Est-ce que c’est l’amour en vous, est-ce que c’est vraiment pour votre bien que vous dites non ? Ou est-ce que c’est la peur en vous ? Dans ce cas-là, est-ce que vous ne pourriez pas

changer votre décision ?

Les questions que je souhaite poser lors de la prochaine session :

11Module 3 - Chapitre 10 : Votre défi « Croire en soi »

Chapitre 10 :Votre défi « Croire en soi »

Il s’agit ici d’un chapitre assez important puisque nous sommes toutes plus ou moins concernées par le manque de confiance en nous. Vous avez peut-être rejoint ce programme avec d’autres problématiques mais bien souvent il existe des liens assez importants entre la confiance en soi et le fait de s’exprimer dans une voie par exemple. Il peut y avoir d’autres obstacles, d’autres freins, mais

c’est une notion qui revient fréquemment.

La confiance en soi est une thématique que j’aborde régulièrement, et je mets notamment en garde sur « le mythe de la confiance en soi ». De quoi est-ce que je parle ? De cette idée que je manque de confiance en moi pour faire quelque chose, donc je vais déjà travailler ma confiance en moi avant de

passer à l’action.

En fait la confiance en soi ne fonctionne pas comme ça. Beaucoup d’études ont par exemple démontré que le fait d’avoir ou non confiance en soi n’était pas lié à la réussite : il y a autant de personnes qui ont confiance en elles que de personnes qui n’ont pas confiance en elles, qui réussissent ou qui

échouent. La proportion est la même que l’on ait confiance en soi ou pas.

Le mythe de la confiance en soi

https://youtu.be/NI9NoWQUuYQ


La confiance en soi n’est donc pas un facteur déterminant de réussite. Peu importe que vous ayez confiance en vous ou pas ; si

vous avez envie d’aller de l’avant dans votre projet, de créer votre projet aligné, de transformer votre vie, de vivre la vie qui vous ressemble, la

confiance en vous n’est ni un atout ni un frein.

Le problème avec les réponses type « je n’ai pas confiance en moi, je vais déjà travailler là-dessus », c’est qu’on prend le problème dans le mauvais sens. En réalité, pour agir il ne faut pas avoir nécessairement confiance en soi, on l’a vu. En revanche, si vous voulez avoir confiance en vous il faut

passer à l’action pour gagner en confiance.

La première étape n’est pas celle qu’on croit en général. La confiance arrive après dans le processus, comme une sorte de récompense lorsqu’on est passé à l’action. Je vous conseille donc de ne pas vous abriter derrière cette notion de confiance en vous et surtout de ne pas vous en servir pour ne pas

passer à l’action.

Je vais vous partager des outils pour vous aider à vous envoyer de l’amour et à gagner immédiatement en estime de vous-même, mais la confiance en vous viendra de toute façon par l’action.

Il y a autre chose contre laquelle j’aimerais vous mettre en garde, une phrase que j’entends régulièrement et qui m’interpelle un peu… « moi je n’ai pas du tout confiance en moi ». Quand j’entends ça, j’entends

tout de suite « croyance ». Pourquoi donc ?

Parce qu’il s’agit d’une généralité. Dans votre vie, chaque jour, vous vivez 60 fois 24 secondes, donc vous vivez beaucoup de situations au cours de votre journée éveillée, et il est fort peu probable que dans absolument toutes ces situations, chaque minute de chaque journée de votre vie, vous n’ayez jamais confiance en vous. Ainsi, à chaque fois qu’on entend une généralité de ce type, c’est qu’il y a

une croyance derrière cela.

Attention aux croyances

Ce que je vous invite à faire dans ce défi, c’est donc à adopter ce reflex de coach qui consiste à creuser pour se rapprocher de la réalité. « C’est faux ». Dire que vous n’avez pas

confiance en vous, c’est faux, ce n’est pas la réalité. On va essayer de se rapprocher de la réalité, en commençant par un nécessaire état des lieux.


FICHE-DÉFI

Croire en soiSur une échelle de 0 à 10, comment évaluez-vous votre manque de confiance en vous ?

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Pratique 1 : questions d’auto-coaching

Dans quelles situations manquez-vous de confiance en vous ?

Comment se manifeste votre manque de confiance ? Que voyez-vous, qu’entendez-vous, que ressentez-vous ?

Revenez pas exemple sur la situation la plus pénible de votre vie, là où vous avez vraiment eu le sentiment d’incarner totalement le manque de confiance en vous,

et replongez-vous dans la scène. Qu’est-ce qui s’est passé en vous qui a fait de ce moment un fiasco sur le plan de la confiance en soi ?


Maintenant, listez un ensemble de situations dans lesquelles vous n’avez pas manqué de confiance en vous.

Que voyez-vous, ressentez-vous, entendez-vous ? Quelles étaient les caractéristiques de cette scène ? Notez vraiment tous les détails qui vous reviennent.

Choisissez parmi les réponses données ci-dessus, l’événement qui incarne le plus la confiance en soi que vous avez expérimenté. Et comme tout à l’heure, immergez-vous

dans cette scène.


Dernière étape : demandez-vous, à la lecture de ces 2 scènes différentes, qu’est-ce que vous pourriez mettre en place pour avoir plus confiance en vous dans les situations où

habituellement vous n’avez pas confiance en vous ?

Que s’est-il passé de spécifique dans cette situation dans laquelle vous aviez une pleine confiance en vous, et que vous pourriez réutiliser pour les situations dans lesquelles vous n’avez pas confiance en vous ? Prenez vraiment le temps de cette pratique ; il s’agit d’un exercice inspiré des sous-modalités de la PNL. L’idée

derrière est vraiment d’essayer d’utiliser une ressource que vous avez en vous. Dire « j’ai confiance en moi » est aussi vrai que dire « je n’ai pas confiance en moi »,

puisque vous avez des épisodes qui viennent illustrer les deux croyances !

Quel starter pouvez-vous utiliser dès maintenant pour mettre en place ces caractéristiques de la confiance, cette transposition de ressources ?


Pratique 2 : l’accélérateur de réussite

Quels sont les obstacles que vous avez rencontrés ?

Repensez à un épisode de votre vie où vous avez fait preuve d’une confiance en vous incroyable : une épreuve difficile par exemple. Vous ne pensiez pas forcément y arriver. Autour de vous on ne pensait pas forcément que vous alliez y arriver non plus, et pourtant vous avez réussi à le faire quand même. Immergez-vous pleinement dans cet épisode.

Comment avez-vous fait pour les franchir, pour les surmonter ?

Qu’avez-vous ressenti quand vous avez réussi ?


De quoi pouvez-vous être fière aujourd’hui ? Qu’avez-vous fait aujourd’hui qui vous rend fière de vous ?

Pratique 3 : le carnet des fiertés

Recensez de manière régulière, par exemple tous les jours pendant une semaine, vos fiertés dans un cahier ou un journal personnel.

En faisant cela, vous vous envoyez beaucoup d’amour, vous mettez le focus sur ce que vous faites de bien, sur ce qui crée en vous des émotions et des sentiments positifs, et vous envoyez

ce message là autour de vous également.

Avec ce chapitre, on prend la décision d’arroser la graine de la confiance. Et à présent, pour la faire grandir un maximum et qu’elle

prenne le pas sur l’autre, vous émettez des sentiments positifs à votre encontre – qui, si on en croit la loi de l’attraction, vont donc vous ramener

en retour des situations, des événements positifs à leur tour.

Testez ces 3 pratiques pour regagner en confiance en vous et nourrir en vous la petite graine qui existe déjà - parce que j’insiste, vous avez confiance en vous, vous ne pouvez pas dire le contraire.

Vous avez en vous les deux graines, et vous avez le choix de celle que vous allez arroser.

18Module 3 - Chapitre 11 : Votre défi « Adopter la pensée positive »

Chapitre 11 :Votre défi « Adopter la pensée positive »

La pensée positive est souvent controversée parce que beaucoup ont le sentiment qu’elle consiste à enfiler des lunettes roses, à masquer un peu la réalité, à ne pas regarder les choses en face. En réalité, c’est différent bien sûr ! Je ne juge pas cette approche critique de la pensée positive, moi-même je

suis passée par là, peut-être est-ce un cheminement à faire.

Pendant un certain temps, je trouvais le concept de la pensée positive un peu naïf, qui consiste à toujours voir, pour simplifier, le bon côté des choses ! J’avais le sentiment que c’était un peu exagéré.

Et puis j’ai pas mal étudié, appris, exploré, accompagné, et je me suis aperçue d’une chose.

C’est qu’en réalité, notre façon habituelle de voir les choses n’est pas équilibrée. Je vous ai déjà parlé de la tendance naturelle qu’on a à faire une sélection importante dans toutes les informations qui nous parviennent... Spontanément, on fait une sélection plutôt de nature à nous permettre d’éviter les dangers. Ainsi, on fait plutôt une sélection négative de ce qui se passe autour de nous pour se prémunir contre les dangers, comme une sorte d’héritage physiologique des hommes des cavernes

qui au moindre bruit devaient réagir, etc.

Or ce focus négatif a moins d’intérêt maintenant, car on est rarement en danger de vie ou de mort ; il nous fait perdre énormément d’énergie et crée une réalité qui vient en plus conforter ces pensées négatives. On reste dans cette boucle des croyances dont j’ai parlé dans un chapitre précédent, et finalement on crée une réalité qui vient confirmer ces pensées qui à la base étaient exagérément

négatives parce que ne reflétant pas la réalité.

https://youtu.be/zJAD20DCzWQ


Quand je me suis interrogée, je me suis rendue compte d’une chose, c’est que finalement notre manière habituelle de voir

les choses était négative, plutôt pessimiste. C’est une constatation qui ressort d’un certain nombre d’études : en réalité on passe une grande partie de notre temps à avoir peur, à créer et à entretenir des pensées de

peur, de quelque chose qui n’existe pas. 99 % de nos pensées de peur ne se rapporteraient pas à un danger réel !

Ce sont des pensées qu’on envoie soit parce qu’on ressasse quelque chose, soit parce qu’on anticipe quelque chose de manière erronée. En bref, on crée des pensées négatives qui ne se rapprochent pas

du tout de la réalité, qui ne se réalisent pas dans la très grande majorité des cas.

L’idée avec la pensée positive, c’est de se dire qu’après tout, notre façon habituelle de voir les choses n’est pas « neutre » et objective, et la pensée positive aura plutôt vocation à venir rééquilibrer un peu, contrebalancer cette tendance naturelle pour voir la réalité de manière un petit peu plus juste que ce

qu’on a l’habitude de faire.

La pensée positive est plutôt quelque chose d’assez rationnel finalement, peut-être plus rationnel que le pessimisme ambiant dans lequel on baigne naturellement, avec les médias par exemple, pour ne citer qu’eux. Quand on regarde les informations, tout est fait pour susciter notre attention ; et qu’est-

ce qui suscite notre attention ? Les dangers potentiels.

On ne parle que des choses négatives qui arrivent, et ça entretient l’idée que le monde est dangereux. On baigne dans cet environnement qui tend vers le négatif de la réalité - qui pourtant a un spectre extrêmement large ; au lieu de concentrer son attention sur ce qui se passe de bien, et ainsi créer la

réalité qui va avec.

Rappel - Module 2La loi de l’attraction rend d’autant plus important le besoin d’utiliser la pensée positive : ce sur

quoi on porte le focus va devenir une réalité. On va l’entretenir et se voir offrir une réalité qui va venir le conforter. On a déjà parlé de cet aspect de la loi de l’attraction et de comment on peut

l’expliquer très simplement : on va se comporter, rayonner d’une certaine manière, et on va attirer à soi ce qui vient entrer en résonance avec ce qu’on a émis préalablement.


FICHE-DÉFI

Adopter la pensée positive

Comment est-ce que je me sens maintenant ?

Comment est-ce que je me sens maintenant après cette visualisation ?

Petite expérience

Pensez à un événement fâcheux ou triste qui vous est arrivé. Immergez-vous pleinement dans la visualisation, dans le souvenir de cet événement. Laissez remonter les émotions à la surface : ce que vous avez perdu, entendu, ressenti, tout ce qui s’est passé pour vous. Une fois que vous êtes vraiment immergée dans cette situation, posez-vous la question :

Faites la même chose avec cette fois-ci un événement joyeux, heureux, qui vous est arrivé. Immergez-vous pleinement dans cet événement joyeux, avec tous ces détails, comme si

vous y étiez à nouveau. Et puis écoutez-vous.


Entre ces 2 états, après l’événement fâcheux, après l’événement joyeux, lequel préférez-vous ressentir ? Lequel de ces 2 états vous fait vous sentir le mieux, le plus dans l’amour, le moins

dans la peur ?

Maintenant, posez-vous simplement la question :

L’idée de cet exercice, c’est simplement de vous rendre compte qu’on se sent bien - ne serait-ce qu’à court terme - quand on

porte son attention sur ce qui va bien. On ne change pas la réalité quand on porte son attention sur ce qui va bien ! On change simplement notre

façon de nous comporter face à cette réalité.

Les avantages de la pensée positive

Tout d’abord, on choisit de mettre le focus sur ce qui nous rend heureux. On ne déforme pas la réalité ; simplement, dans notre façon de sélectionner les choses, on garde davantage avec nous ce

qui nous fait du bien.

Le deuxième élément, c’est le choix. On sait tous qu’on n’a pas forcément le choix des événements qui se produisent (même avec la loi de l’attraction). Mais une chose est sûre, c’est qu’on a le choix a posteriori dans notre façon de réagir à ces événements. Donc en réalité, quoi qu’il se passe, on a une responsabilité, un pouvoir immense dans la réponse qu’on va apporter à la situation qui se présente.

Notre façon d’y réagir. D’où l’intérêt de s’exercer à prendre les choses du bon côté.


Listez les choses que vous ne supportez pas, qui vous agacent au quotidien. Écrivez une dizaine de choses : elles peuvent être des situations, des personnes, etc.

Pratique 1

Est-ce que je peux et est-ce que je veux changer cette situation, cette personne, cette chose ?


Qu’est-ce que je peux faire concrètement pour changer cette situation, pour changer cet état de fait qui ne me convient pas ?

Quels sont les bons côtés de cette situation ? J’ai pas le choix, de toute façon ça ne va pas changer. Donc comment est-ce que je peux le prendre différemment, comment je peux choisir une autre réponse à cette situation, à cet état de fait ? Trouvez 5 qualités ou avantages à cette situation, pour simplement vous exercer à mettre le focus sur ce qui est bon dans cette personne,

dans cette situation.

SITUATION IDÉES D’ACTION STARTER + DATE

Si vous voulez et que vous pouvez changer cette situation, alors passez tout de suite en mode action.

Et si vous ne voulez pas vraiment ou ne pouvez pas changer cette situation, passez en mode pensée positive.

Il n’y a jamais une situation qui de A à Z est totalement nulle, horrible et affreuse. Il y a toujours quelque chose à en tirer, à en apprendre. C’est le mode proactif dont on a parlé un peu

plus tôt.


SITUATION QUALITÉS / AVANTAGES


Pratique 2Comment pourrais-je cultiver davantage de positive attitude dans ma vie ?

Quels sont les moments où je ressens cette positive attitude ?

Comment cette positive attitude peut-elle me servir de ressource à chaque fois que j’en ai besoin ?

Je vais vous inviter à créer votre boîte à outil positifs. C’est-à-dire à réunir tous les éléments qui vous font vous sentir mieux, qui vous aident à positiver, à relativiser ; les choses qui vous inspirent par exemple. Cela peut être des lectures, des citations positives, des personnes, des activités comme le fait d’écrire, ou encore tout ce qui a trait à l’humour. Posez-vous la question : qu’est-ce qui me plaît

vraiment ? Et réunissez tout ce qui vous aide à vous sentir mieux.


MA BOÎTE À OUTILS POSITIFS


Citations positives et inspirantes

Vous pouvez les découper, les mettre dans un bocal et en piocher une ou deux de temps en temps par exemple ou quand vous sentez que vous êtes plus en négative attitude qu’en positive attitude, pour

renverser un peu la tendance.

On a deux vies.La deuxième commence

quand on réalise qu’on n’en a qu’une.

Accepte ce qui est, laisse aller ce qui était, aie

confiance en ce qui sera.

J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour

la santé.

La vie mettra des pierres sur ta route. A toi de

décider d’en faire des murs ou des ponts.

ConfuciusBouddha

Voltaire

Walt Disney

Mark Twain

Proverbe chinoisProverbe bouddhiste

Joseph O’ Connor

Marc Aurèle

Albert Einstein

Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire.

Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils

l’ont fait.

N’aie pas peur d’avancer lentement. Aie peur de

rester immobile.

Lorsqu’on regarde dans la bonne direction,il ne reste

plus qu’à avancer.

Ne cherche pas le bonheur, crée-le.

Quand la vie te donne une centaine de raisons de

pleurer, montre-lui que tu en as mille de sourire.

On a toujours le choix. On est même la somme de

ses choix.

Accomplis chaque acte de ta vie comme s’il devait

être le dernier.

La vie c’est comme une bicyclette, il faut avancer

pour ne pas perdre l’équilibre.


Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine, elle est

mortelle.

Croyez en vos rêveset ils se réaliseront peut-être. Croyez en vous et ils se réaliseront sûrement.

Avec trop on se perd. Avec moins on se trouve.

Un voyage de mille lieues commence toujours par

un premier pas.

Les gens les plus heureux n’ont pas tout ce qu’il y a de mieux. Il font juste de leur mieux avec tout ce qu’ils ont.Il n’existe rien

de constant si ce n’est le changement.

Si tu fais ce que tu as toujours fait, tu obtiendras

ce que tu as toujours obtenu.

Vous ne trouverez jamais ce que vous ne cherchez

pas.

N’attendez pas d’être heureux pour sourire.

Souriez plutôt afin d’être heureux.

Un objectif bien défini est à moitié atteint.

En te levant le matin, rappelle-toi combien est précieux le privilège de vivre, de respirer, d’être

heureux.

Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles

que nous n’osons pas les faire, c’est parce que

nous n’osons pas les faire qu’elles sont difficiles.

Paulo Coelho Martin Luther KingTchouang Tseu

Lao Tseu

Bouddha

Abraham LincolnMarc Aurèle

Sénèque

Louise L. Hay.

Antoine de St ExupéryÉmile Coué

Mieux vaut fait que parfait.

Au fur et à mesure que je modifie mes pensées, le monde autour de moi se

transforme.

Fais de ta vie un rêve et d’un rêve une réalité.

Tous les jours à tous points de vue, je vais de

mieux en mieux.

Confucius

Confucius

29Module 3 - Chapitre 12 : Votre défi « Sourire et rire »

Chapitre 12 :Votre défi « Sourire et rire »

Sourire et rire : c’est le défi que je vous propose de relever dans ce chapitre. Un défi fantastique et qui a toujours énormément de succès !

Alors la première chose que j’aimerais te proposer, c’est de faire un état des lieux, de te poser la question en regardant la journée d’aujourd’hui si elle est déjà bien avancée, ou bien la journée d’hier,

en te demandant :

Les actions de rire et de sourire sont vraiment fondamentales, et n’ont d’ailleurs que des bienfaits - c’est du domaine du bon sens. On attire à soi ce qu’on émet, donc plus on va sourire, plus on va rire, plus on va envoyer des signes positifs au monde qui nous entoure et plus en retour, on viendra baigner

à nouveau dans cette joie, dans cette légèreté.

Des études ont été faites en psychologie positive et une de leurs découvertes a eu beaucoup de retentissements assez récemment; c’est que la relation entre le bonheur et le sourire va plus loin que ce qu’on pensait. On sait que quand on est heureux ; on sourit. Mais l’inverse est vrai aussi. A savoir

que le simple fait de sourire rend heureux.

Ce qu’il se passe, c’est que quand on fait la gestuelle, la mimique de sourire sur le visage, on envoie un signal à notre cerveau, qui libère en retour des hormones du bien-être, du plaisir. Il est comme

trompé – car cela fonctionne même si notre sourire est forcé ! Assez fantastique, non ?

Combien de fois est-ce que tu as souri ou ri aujourd’hui ou hier ? Est-ce que tu arrives à l’identifier ?

Les bienfaits du sourire

https://youtu.be/qNicFWgs7bI


Une expérience très simple pour le prouver est l’expérience du crayon ; il vous permet de tester en une minute le pouvoir du sourire, et de voir l’impact que ça a sur votre état

d’esprit, votre humeur.Prenez un crayon et faites-le tenir une première fois entre vos dents. Ainsi, vous faites le signe du sourire. Tenez cette position une minute et constatez ensuite comment vous

vous sentez... Deuxième partie de l’expérience, cette fois-ci faites tenir le crayon entre votre nez et votre bouche ; vous faites alors une sorte de de moue - pendant une minute également. Après cette minute-là, demandez-vous comment vous vous sentez et comparez les deux expériences entre elles. Vous allez vous rendre compte que votre état d’esprit est différent. Si vous souriez, naturellement vous envoyez le signe à votre cerveau que vous

êtes heureux.

Le simple fait de sourire rend heureux. Voilà déjà un argument incroyable en faveur du sourire !

D’ailleurs, c’est très difficile d’essayer de sourire et d’avoir une pensée négative en même temps. Si vous faites un grand sourire et qu’en même temps vous essayez d’avoir une idée noire, une pensée négative, de faire une critique… quelque chose sonne faux en fait, la critique ne passe pas. On n’arrive

pas à faire les deux en même temps.

Le deuxième bienfait du sourire - et tout le monde est concerné, c’est que quand on sourit, on est plus joli. Naturellement, notre visage s’illumine, on rayonne davantage... On dépense parfois beaucoup d’argent dans des crèmes pour paraître plus jolie ou plus jeune, pour avoir un plus joli teint, mais en

réalité le fait de sourire illumine d’un seul coup le visage et ne coûte rien.


J’en ai fait l’expérience lorsque j’ai moi-même relevé ce défi ‘sourire’. Je devais passer une journée à sourire tout le temps, dès que j’y pensais, et on m’a fait ce jour-là des compliments qu’on ne m’avait jamais faits ! Plusieurs personnes m’ont demandé ce que j’avais fait, si j’avais changé de maquillage ou autre chose... On m’a dit que j’étais rayonnante ! Je n’avais rien changé du tout, juste relever un défi

qui fonctionne.

Le troisième bienfait sur lequel j’avais envie de m’arrêter, ce sont tous les effets positifs « collatéraux » du sourire. On revient dans l’idée de la loi d’attraction, « ce que je donne je le reçois en échange ». Le fait de sourire beaucoup a des impacts positifs sur notre niveau de bonheur, sur notre santé, sur nos relations sociales, sur nos relations amoureuses également... il y a un ensemble d’études qui ont prouvé les bienfaits du sourire dans de très nombreux domaines de notre vie (tous ?). Sourire permet

par exemple de réduire le stress et de renforcer le système immunitaire !

Il y a une autre chose qui est très importante par rapport à cette loi de l’attraction, c’est qu’un sourire est extrêmement contagieux. On dit qu’un bon « sourieur » pourrait faire sourire 500 personnes dans une journée. Pourquoi ? Parce que c’est une sorte de réaction en chaîne. Quand on sourit à quelqu’un, cette personne-là du coup reçoit ce sourire, ça lui donne envie de sourire à son tour et de diffuser ainsi cette vague dans son entourage, et on pourrait ainsi en une journée faire sourire 500 personnes en

souriant soi-même.

Il faut savoir que même si vous faites semblant de sourire et que vous n’avez pas du tout envie de sourire, ça fonctionne ! Continuez à faire semblant de sourire, vous allez tromper votre cerveau et un ensemble de personnes autour de vous et finalement vous bénéficierez des effets positifs quand même. La joie de vivre est dans notre nature ! On estime qu’un enfant sourit plusieurs centaines de fois par jour ; et un adulte, environ 10 à 15 fois par jour. Nous nous sommes simplement déconnectés de notre nature à un moment ; donc peu importe s’il faut passer par une petite étape où on fait

« comme si », au final, nous n’aurons que des bénéfices à faire ça.

Et le sourire forcé ?


Quand a eu lieu votre dernier rire aux éclats / fou rire ? Racontez-le, immergez-vous à nouveau dans ce moment-là et ressentez-le.

Comment vous sentez-vous quand vous vous replongez dans cet épisode ?

FICHE-DÉFI

Sourire et rire

« Qui veut s’engager sur son défi ? »

Remplissez ce cadre si vous souhaitez vous obliger à venir partager votre bilan de ce défi lors de la prochaine session de partage.

Oui, je m’engage à venir partager mon bilan de ce défi avec les autres filles zen lors de la session du .

Signature :

https://les-ateliers-des-filles-zen.com/accueil-programme-mvmr


MES BOOSTEURS DE SOURIRE

BOOSTEUR CHOISI CRÉNEAU CHOISI

Maintenant, programmez vos petites idées : répartissez-les dans les jours qui viennent, organisez-les comme vous le voulez, et puis insérez-les dans votre emploi du temps.

Une fois cette liste terminée, partagez-la un maximum autour de vous si vous le pouvez, parce que c’est très communicatif, et en retour vous aurez d’autres idées boosteur de sourire

pour entretenir votre joie et votre bonne humeur.

Je vous propose dans ce défi, d’essayer de faire une liste de vos boosteurs de sourire. Tout ce qui vous fait sourire, tout ce qui vous donne la pêche, tout ce qui vous rend joyeux instantanément !


Pour achever ce merveilleux défi sur le sourire, je vous invite à vous poser quelques questions en mode auto-coaching, et à vraiment creuser un peu en vous les idées que vous pourriez avoir sur cette

thématique.

Et si vous vous accordiez chaque jour des moments de joie pure, des temps de joie, de légèreté... qu’est-ce qui serait différent dans votre vie ? Quel impact cela pourrait-il avoir?

Comment pourriez-vous commencer dès maintenant à insérer ces moments de joie dans vos journées ?

Comment pourriez-vous faire pour y penser tous les jours, et perpétuer cette nouvelle habitude ? (Le fait de s’imposer des temps de joie au quotidien.)


QUIZZ

Ce que tu as retenu jusqu’ici

Comment décririez-vous la loi de l’attraction avec vos propres mots ?

Quels sont les points forts de ton corps physique ?

Quels sont les 3 éléments qui entretiennent et soignent notre corps physique (initiales A.S.A.) ? Depuis ce chapitre (n°4), qu’as-tu mis en place pour améliorer ces éléments ?

36Module 3 - Chapitre 13 : Votre défi « Les petits plaisirs »

Chapitre 13 :Votre défi « Les petits plaisirs »

Dans ce chapitre, je vais partager avec vous différentes pratiques autour de cette notion de petits bonheurs du quotidien, de petits plaisirs ; tout ce qui va vous aider à entretenir des sentiments et émotions positives (et donc à faire jouer la loi de l’attraction en votre faveur) et à adopter ces réflexes

de pensée positive au quotidien.

La psychologie positive s’est beaucoup intéressée à la notion de bonheur et en a déduit que le fait de stimuler et d’entretenir les émotions positives dans la vie quotidienne était un des facteurs essentiels du bonheur (ce n’est pas le seul : il y a aussi d’autres notions comme les relations avec les autres et le sens qu’on donne à sa vie par exemple). Derrière cette découverte, il y a notamment la notion d’émo-

diversité, c’est-à-dire la diversité des émotions.

On l’a vu, on a une habitude physiologique fâcheuse, qui est celle de mettre le focus davantage sur ce qui nous arrive de négatif ou d’avoir un filtre négatif de ce qui se passe autour de nous. Tout cela ayant à l’origine vocation à nous protéger, et ayant comme fâcheuse conséquence aujourd’hui de nous rendre pessimiste, de nous stresser également et puis de nous amener à une réalité qui

correspond à ces pensées pessimistes.

Comme on l’a vu, l’idée derrière cette partie du module 3, c’est de changer de focus et de se concentrer sur ce qu’on ressent de positif : l’amour et la joie qui sont déjà dans notre vie. On va vraiment essayer de véhiculer un maximum ces sentiments positifs-là. On dit alors oui à ce qu’on veut, à ce qu’on aime

et du coup on accorde moins d’importance à ce qu’on ne veut pas est à ce qu’on n’aime pas.

Cela reprend en quelque sorte le concept de l’éléphant bleu dont je parlais dans un autre chapitre : moins penser au négatif, détourner notre attention lui fait perdre de l’importance. On lui fait perdre de l’importance dans notre réponse, on se sent plus sereine et à l’avenir on va créer des conditions qui vont venir confirmer cette idée plus positive que l’on a du monde. On va cultiver ainsi des émotions

positives dans un cercle vertueux.

La notion d’émo-diversité

https://youtu.be/aaxjzYaVAE8


C’est pour cela que quand on abordera le prochain module et notre face obscure, on verra qu’on doit être dans l’accueil de ce qui se passe en nous de négatif et pas dans la suppression,

parce que l’émo-diversité fait partie de notre bonheur !

La notion de diversité est à souligner ici car il est important de varier les pratiques de pensée positive; c’est pour cela que je vous propose dans ce programme énormément de pratiques différentes. Il existe plusieurs façons de procéder à chaque fois et il est essentiel d’essayer différentes pratiques. Même lorsque vous créez une routine, j’en parlais pour la routine matinale, il peut être sain de varier régulièrement votre routine, pour qu’elle ne devienne justement pas trop routinière, pour conserver

cette richesse dans le spectre des émotions que vous vivez chaque jour.

Les petits plaisirs du quotidien, qu’est-ce que c’est finalement ? Eh bien ce sont tous ces petits moments qu’on peut voir soit comme totalement normaux, banals et habituels ; soit comme de vrais petits moments magiques. On peut mettre le focus sur ces moments-là et les rendre beaucoup plus impactants, les faire rayonner davantage pour que ces petits plaisirs et donc les émotions qui vont

avec prennent encore plus de place.

Petit mode d’emploi pour cultiverles émotions positives au quotidien

Il va y avoir 3 actions à faire : la première va être d’identifier ces petits plaisirs au cours de sa journée, d’apprendre

à les repérer, à les identifier. La deuxième, apprendre à les savourer davantage, à être davantage présente quand ils se produisent. Et la troisième chose à faire va être de développer sa capacité à se les

remémorer régulièrement.


FICHE-DÉFI

Les petits plaisirs

Pratique 1

Il y a plusieurs façons de faire :

être présente à ce que vous faites (toutes les pratiques vues dans le module n°2 sur l’écoute de soi vont vous être très utiles pour cela)

partager ces petits plaisirs (si vous pouvez les partager quand vous les vivez, c’est encore mieux!)

les écrire, immortaliser l’instant présent (essayer de prolonger l’instant, de s’y attarder un peu)

Listez tous les petits plaisirs que vous pouvez vivre au quotidien qui vous font du bien, qui créent en vous des émotions agréables. Pour vous aider à vous lancer, nous vous proposons un ensemble de petits moments du quotidien, simples et en même temps

agréables, à reprendre dans votre liste ou simplement pour vous inspirer.

Je vous invite ensuite à évaluer tous ces petits moments : sur une échelle de 0 à 5 par exemple, 5 étant le moment que vous adorez vivre dans votre journée, 1 ou 2 étant le

moment sympa mais sans plus… pour hiérarchiser ces petits moments de joie.

Et puis dans un troisième temps, posez-vous ces questions :

Programmez un maximum dans les jours et les semaines qui viennent, des petits plaisirs très régulièrement, en les variant.

les moments que vous avez évalués à 4 ou 5, comment les faire davantage ?

les moments que vous avez évalués à 1 ou 2, ont un potentiel d’émotions positives qui n’est pas pleinement exploité. Comment en tirer davantage parti ?

une odeur agréable

un goût que tu aimes

la vue de quelque chose de beau

une chanson que tu apprécies

une sensation de toucher agréable

rendre service

recevoir un compliment

discuter avec une personne qu’on apprécie

recevoir un gentil message

organiser une fête, faire une sortie


faire rire

faire ou recevoir un cadeau

partager un sourire

un moment avec son animal domestique

Voir notre enfant rire

recevoir un soin des cheveux ou du corps

faire de l’exercice physique

une promenade en pleine nature

la réalisation de quelque chose

Un geste affectueux

la reconnaissance d’un chef

l’aide reçue d’un collègue

trouver la solution à un problème

l’apprentissage d’un cours difficile

la satisfaction d’avoir pris la parole en public

PETITS PLAISIRS NOTE DE 0 À 5 IDÉE D’ACTION + DATE


PETITS PLAISIRS NOTE DE 0 À 5 IDÉE D’ACTION + DATE

Pratique 2 : Le carnet des petits plaisirs

L’idée du carnet des petits plaisirs est d’inclure dans votre routine quotidienne un moment où vous allez recenser tous les petits moments de bonheurs que vous avez vécu dans la journée. Essayez d’y mettre tout votre cœur, tout votre amour, d’être présente à tous ces moments que vous listez par écrit et puis à revivre les émotions qui ont accompagné ce

petit moment.

Le fait de les écrire va vous permettre d’y revenir régulièrement : vous allez pouvoir, lorsque vous avez un petit coup de mou par exemple, reprendre ce carnet des petits plaisirs, lire les

choses que vous avez noté, et essayer de vous en inspirer à nouveau.


Vous pouvez également partager ces petits plaisirs ; c’est une action supplémentaire qui vous permet de les savourer. Vous demander aussi, pourquoi est-ce que ces petits moments-là vous apportent autant ? Essayez de creuser ce qu’il se cache derrière cela, en vous demandant pourquoi. Qu’est-ce qui me plaît dans ce moment, qu’est-ce que j’aime

ressentir ?

Cela pourrait peut-être même venir nourrir la réflexion que vous avez eu sur vos valeurs dans le module précédent...

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MON PETIT PLAISIR DÉTAILLÉ MON RESSENTI ET SES CAUSES


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MON PETIT PLAISIR DÉTAILLÉ MON RESSENTI ET SES CAUSES


Avec cette pratique, on va un petit peu plus loin puisque l’idée est d’imager, d’illustrer davantage ces petits moments qui vous font du bien. Vous pouvez prendre des photos ou trouver des images qui viennent illustrer les petits plaisirs. Le côté visuel va permettre en fait de faire appel aux émotions qui ont accompagné le petit moment de manière beaucoup plus immédiate, plus rapide, plus intense aussi. Les effets sont décuplés sur

notre sentiment de bien-être.

De plus, ne vous contentez pas ici des petits moments de bonheur vécus au quotidien ; vous pouvez également intégrer ce qui fait votre fierté, vos plus belles réussites, les petits

et grands projets réalisés, et tout ce pour quoi vous ressentez de la gratitude.

Les étapes pour réaliser son portfolio :

Pratique 3 : Le portfolio du bonheur

J’ai testé les 2 habitudes, tenir un carnet des petits bonheurs, et créer un portfolio du bonheur. Je reconnais que la tenue du carnet des petits

bonheurs est plus simple car plus rapide. En revanche, lorsque je consulte de temps en temps, par exemple en cas de baisse de moral mon portfolio du bonheur, les effets

positifs sont beaucoup plus importants et rapides. Les images qui représentent un plaisir, un succès, une réussite, me replongent dans le même état d’esprit que

lorsque j’ai alimenté mon cahier.

Choisissez un grand cahier ou utilisez les pages suivantes de votre fiche-défi.Vous pouvez commencer avec le nôtre et choisir ensuite un support adapté si vous souhaitez continuer l’expérience.

Réunissez toutes vos sources d’inspirationEn vous inspirant de votre liste de petits bonheurs, de votre cahier des petits plaisirs, de vos fiertés, de vos réussites, préparez cartes postales, photos, photos de vous, petits souvenirs...

Prenez des photos qui ont du sensIllustrez au mieux vos petits moments de bonheur au quotidien ; la photographie a aussi l’avantage de vous obliger à ralentir.

Alimentez votre portfolioDans les semaines qui suivent, programmez de courts moments pour continuer votre portfolio avec de nouvelles entrées.

Préparez votre cahierAjoutez des titres, des dessins, décorez, décrivez vos émotions... laissez libre court à votre créativité !

1.2.

4.5.

3.

PORTFOLIODU BONHEUR


Photo 1

1.


Photo 2

2.


Photo 3

Photo 4

3.

4.


Photo 5

5.


Liste de gratitudes


Mes plus belles réussites


Mes livres préférés et personnes inspirantes



54Module 3 - Chapitre 14 : Votre défi « Les affirmations positives »

Chapitre 14 :Votre défi « Les affirmations positives »

Les affirmations positives sont un autre élément clé de la pensée positive et de la loi de l’attraction ; qu’on ne peut laisser de côté. Dans tous les ouvrages qu’on lit, il y a cette idée plus ou moins exprimée d’affirmations positives, d’autosuggestion positive. C’est par exemple le principe qui a été retenu dans

la méthode Coué que vous connaissez peut-être :

L’autosuggestion positive est en fait une autre pratique possible de la notion développée dans les chapitres précédents, à savoir que ce sur quoi je porte mon attention, ce que je pense devient ma réalité. Notre esprit a un pouvoir énorme. Ce que je choisis d’ancrer dans mon esprit va avoir un impact sur la réalité matérielle, parce qu’une pensée est déjà une réalité en soi. On crée dans le monde invisible avant que cela n’apparaisse dans le monde visible. Et toujours derrière cela, cette idée de signe qu’on envoie à l’univers pour qu’il nous envoie en retour les circonstances qui viennent

le confirmer, rappelez-vous.

Qu’est-ce que j’ai envie de penser ? Qu’est-ce que j’ai envie de croire sur moi, sur ma vie, sur le monde, sur les autres ? Qu’est-ce que je choisis de penser et de croire ? L’affirmation positive, ça va être une phrase simple, qui par des mots puissants va venir ancrer en vous l’idée que c’est déjà le cas.

Comme si vous faisiez ‘comme si’ cela existait déjà. Répéter ces affirmations va leur donner vie.

Tous les jours et à tous points de vue, je vais de mieux en mieux.

Cela a été prouvé dans des études en psychologie sociale : le simple fait de « faire comme si » met le cerveau en marche comme si c’était réel, matériel, dans le monde visible. La

visualisation est bien sûr un autre outil dans le même esprit : créer dans le monde invisible ce que l’on veut réaliser et incarner.

https://youtu.be/Iqn0bZoSldM


FICHE-DÉFI

Les affirmations positives

Les 5 étapes pour créer des affirmations positives

Choisir ce que l’on veut atteindre, ce sur quoi va porter l’affirmation positive. Qu’est-ce qu’on veut réaliser comme objectif, qu’est-ce qu’on voudrait incarner comme valeurs, de quoi a-t-on envie… quel problème souhaite-t-on supprimer, etc. Votre objectif pourrait

être la réponse à cette question :

Exprimer son objectif dans une phrase simple qui va symboliser l’atteinte de ce résultat. Par exemple, si notre objectif est d’avoir confiance en nous, la phrase simple pourrait être : « je suis une personne dotée d’une grande confiance en elle ». Ce n’est pas encore

suffisant pour une affirmation positive, on va le voir, mais déjà il y a cet esprit.

Votre objectif pourrait également venir de l’envie de contrebalancer une pensée négative vraiment récurrente par exemple. On crée alors l’affirmation positive qui vient la contrecarrer et au fur et à mesure qu’on fait grandir cette affirmation positive, petit à petit

l’autre perd de son impact, et on cultive, on arrose la graine de l’affirmation positive.

Etape 1 :

Etape 2 :

Qu’est-ce que je voudrais être ?


Vous pouvez également vous poser la question dans un autre sens en vous disant par exemple : quand j’aurai incarné, réalisé cet objectif, quand je serai devenue la personne que je veux être, quel message est-ce que j’aurai envie de faire parvenir au moi d’aujourd’hui ?

Quand j’aurai atteint l’objectif que j’ai choisi, quand j’aurai incarné cette valeur que j’ai envie d’incarner, qu’est-ce que je ressentirais ? Quel sera mon message n°1 ? De quoi

est-ce que je serais absolument convaincue ?

Oui, je suis une personne merveilleuse et lumineuse ! Formulez-le par une phrase simple.

Si je travaille sur l’amour de moi par exemple, cela pourrait être « je suis une personne lumineuse et merveilleuse ». J’en serai absolument convaincue quand

j’aurai incarné ce que je veux incarner.

Votre phrase simple doit commencer par un ‘‘je’’, être courte et avoir des mots simples et puissants. Il faut également

qu’elle soit formulée en positif ; que ce ne soit surtout pas une négation, comme : « je ne veux plus de cela ». Ce genre de phrases ne fonctionne

pas car elle met le focus sur ce qu’on veut pas, or l’idée ici est de mettre le focus sur ce qu’on veut, sur ce qu’on aime.


Dernièrement : les mots choisis doivent vous évoquer des choses. C’est pour ça que notre exemple « je suis une personne merveilleuse et lumineuse » fonctionne ; ce sont des mots forts. Et vous pouvez encore en rajouter ! Mais « je suis une personne qui a confiance en elle » par exemple n’est pas suffisant. Il faudrait trouver autre chose (« j’ai une confiance forte, absolue et pleine d’humilité en ma personne et en mes messages »). Il faut que le

résultat final vous parle.

Vous pourriez d’ailleurs accompagner cette affirmation positive de gestes par exemple, de mouvements qui viennent l’appuyer. Joindre les mains, les bras en l’air, taper du pied…

suivant votre affirmation positive.

Ré-écrivez votre phrase si les mots n’étaient pas assez forts :

(Optionnel) Le geste que je veux faire :

Laisser l’affirmation positive ouverte à autre chose en ajoutant par exemple à la fin « et plus encore ». Je suis une personne merveilleuse, lumineuse et plus encore. Ainsi, vous laissez

ouvert le champ des possibles et vous ne vous enfermez pas dans cette affirmation.

Etape 3 :


Répéter votre affirmation positive régulièrement. C’est ce qui va venir ancrer le message et faire devenir réelle cette affirmation, lui donner vie.

Ressentir son affirmation positive. Lorsque vous lisez votre affirmation positive, il doit se passer quelque chose en vous ; ce ne doit pas être juste neutre, juste « pas mal ». Ça doit

vraiment être quelque chose qui vous saisit, qui vous parle, qui résonne en vous.

Etape 4 :

Etape 5 :

Comment est-ce que je pourrais ancrer cette affirmation positive et l’incarner, comment est-ce que je pourrais en faire ma réalité ? Comment mettre en place les

moyens de me la répéter régulièrement ?

Je programme mon affirmation positive chaque jour ici : .

Mon affirmation positive finale


Il y a une autre pratique que j’aimerais vous inviter à tester par rapport à cette thématique de l’écriture positive, c’est le fait d’écrire votre vie extraordinaire. Décrivez votre vie, que ce soit passée, présente, future, en mettant vraiment l’accent sur le plus beau, sur le plus fantastique de ce qui vous est arrivé ; ou sur un avenir sans limite où vous êtes capable d’accomplir, de réaliser absolument tout ce que vous avez envie d’accomplir et de réaliser.

Écrivez réellement votre vie sans limites, en étant la plus ambitieuse possible. La poser par écrit va vous permettre de la relire régulièrement, et de vous nourrir de toutes les émotions positives que son évocation va créer en vous. Imprégnez-vous de cette vie extraordinaire qui est la vôtre ; écrivez-la comme si vous y étiez, comme si c’était déjà le

cas, pour en faire votre réalité !

Pratique du défi

60Module 3 - Chapitre 15 : La magie de la visualisation

Chapitre 15 :La magie de la visualisation

L’idée de la visualisation, c’est la même idée que pour les affirmations positives, mais de manière encore amplifiée, encore un peu plus puissante. Comme vous le savez, ce qui est réel ce n’est pas

seulement que ce qui est visible.

Il y a même des études qui ont été faites sur le sujet et qui ont démontré que le spectre de ce qu’on voit nous humains serait équivalent à une balle de golf, alors que la diversité des fréquences visuelles existantes serait de la taille de l’Everest ! C’est donc un très très faible pourcentage du réel qui nous

est visible, accessible à notre vue.

Pourquoi cet élément est-il important à garder à l’esprit ? Cela veut dire que n’est pas réel seulement ce qui se voit. On a en effet cette habitude de penser « je ne crois que ce que je vois », et ce n’est pas tout à fait vrai car il y a énormément de choses qu’on ne peut pas voir, ou même entendre - comme

les ultrasons par exemple, qui ne sont pas perceptibles pour nous alors qu’ils sont bien réels.

De la même façon, n’est pas exactement réel ce qui est exactement visible : les objets qu’on voit comme solides autour de nous et donc parfaitement réels, quand on les analyse au niveau de l’infiniment petit, on s’aperçoit en fait qu’ils sont constitués pour une large partie d’espace, de vide entre les particules, et qu’ils n’ont donc pas cette réalité physique solide telle qu’on la perçoit à l’œil nu.

Il existe donc une sorte de dissociation à faire entre le visible et le réel. De cette façon-là, il faut retenir que nos pensées et ce qu’on va visualiser est certes du domaine de l’invisible, mais n’en est

pas moins réel. Et peut ainsi avoir un impact sur le monde visible.

https://youtu.be/9xmzPO42IXk


FICHE-DÉFI

La magie de la visualisation

Qu’est-ce qu’on peut visualiser ?

C’est vraiment une clé puissante du changement : visualiser un maximum ce qu’on veut être, ce qu’on aime, ce qu’on veut

ressentir. Pour prendre une image, visualiser ce serait un peu comme montrer du doigt très clairement la destination qu’on veut atteindre et se mettre en mode marche dans cette direction-là. C’est faire les premiers

pas pour la réalisation de tout objectif que l’on veut atteindre.

La visualisation peut servir à ancrer en soi une ressource qui est déjà présente mais à petite échelle et qu’on a envie d’amplifier encore, à nous aider à atteindre notre objectif ou encore à incarner davantage

une valeur dans notre quotidien. On peut également l’utiliser pour modifier une croyance.

Elle va provoquer d’ailleurs un bien-être immédiat et puis à plus ou moins long terme, nous permettre de créer dans le monde matériel cette réalité qu’on visualise. La première chose que je vous invite à

faire, c’est vous poser cette question :

Et si je prenais chaque jour du temps pour dire oui à ce que j’aime, pour visualiser ce que j’ai déjà atteint ou ce que je veux atteindre, que j’incarne pleinement l’amour que j’ai envie d’incarner, que j’occupe une place alignée dans ma vie, que je suis à la bonne place, que je m’épanouis… si chaque jour je prends le temps de visualiser tout cela, que se passerait il de différent ? Quel

impact est-ce que ça pourrait avoir sur ma vie actuelle ?


Le mode d’emploi d’une visualisation efficace

Choisir un objectif pour cette visualisation : est-ce que c’est donc un objectif à atteindre, une ressource à ancrer, une valeur à incarner davantage, une croyance à transformer ?

Imaginer, créer en vous l’image mentale qui vient confirmer l’objectif que vous fixez à la visualisation. Imaginer la situation qui se produit, l’incarnation de ce que vous voulez

atteindre.

Prendre un temps pour vous immerger pleinement dans la visualisation, l’imaginer avec tous ces détails – environ 10 à 15 minutes. Qu’est-ce que je vois, qu’est-ce que j’entends, qu’est-ce que je ressens, qu’est-ce que je goûte, qu’est-ce que je touche ; faites appel à

tous vos sens. Cultivez toutes ces perceptions, ces sensations, comme si vous y étiez.

Demandez-vous également comment est-ce que je me tiens, quelle est ma posture, qu’est-ce que je pense, qu’est-ce que je dis, qu’est-ce que je fais ? Donnez énormément de détails, énormément de richesse, de profondeur à cette image mentale que vous vous

créez.

Etape 1 :

Etape 2 :

Etape 3 :

Qu’est-ce que vous avez envie de réaliser avec cette visualisation positive ?


(Optionnel) Description de mon image mentale et de mes sensations :

Continuer à envoyer de l’amour à cet objectif, en faisant comme si vous l’aviez déjà atteint. Vous venez d’imaginer comment vous vous comporteriez si vous l’aviez réalisé, alors

maintenant dans le monde réel, agissez comme si vous l’aviez déjà atteint justement.

Etape 4 :


Et si vous n’êtes pas à l’aise avec cet exercice ?

J’ai souvent des personnes qui me disent qu’elles ne sont pas très fan des visualisations, que c’est une pratique qui leur pose problème pour une raison X ou Y. Si vous êtes dans ce cas-là, pas de panique, je vous ai préparé une série de questions qui vont en fait venir jouer le même rôle que la

visualisation, et vous permettre d’en tirer les mêmes bienfaits.

Qu’est-ce que je veux atteindre, qu’est-ce que je veux réaliser avec cette visualisation ?

Si je l’avais déjà atteint, comment est-ce que je me sentirais ? Faites appel à tous vos sens. Qu’est-ce que je verrais, j’entendrais, pourrais toucher, sentirais...

Comment est-ce que je me tiendrais, quelle serait ma posture, quelle serait mon attitude, comment est-ce que je me comporterais ?


Qu’est-ce que mon moi futur, l’ayant atteint, dirait à mon moi d’aujourd’hui ? Est-ce qu’il aurait un message à me transmettre ? Quel serait ce message ?

Et si j’adoptais dès maintenant cette posture ? Et si je me comportais, dès aujourd’hui, exactement comme je me comporterais quand je l’aurai atteint ? Si je le faisais dès maintenant, que se

passerait-il dans ma vie ; qu’est-ce qui serait différent ?

Qu’est-ce que je dirais, qu’est-ce que je penserais, qu’est-ce que je ferais si j’avais déjà réalisé et atteint mon objectif ?


La visualisation est vraiment un outil magique - j’insiste beaucoup dessus et c’est pourquoi j’en parle régulièrement tout au long du programme. Tout ce qui arrive dans la réalité a à un moment donné été une idée dans l’esprit de quelqu’un ! Tout ce qui se produit dans la

réalité a été une idée. Si on ne passe pas par le stade de l’idée très ferme et non-négociable de ce qu’on veut, on a très peu de chance de l’atteindre.

Comment est-ce que je pourrais utiliser tous les bienfaits de la visualisation dans ma vie quotidienne ?

Comment pourrais-je faire « comme si » dès maintenant ? Qu’est-ce que je peux mettre en place ?


LES QUESTIONS EXTRAORDINAIRES

Les questions extraordinairesJe te laisse avec quelques réflexions supplémentaires...

De quoi es-tu reconnaissante ?

Qu’est-ce qui devient possible si tu ouvres ton cœur ?

« La roue des mini-défis »

Rendez-vous sur l’espace membre pour recevoir de façon aléatoire un mini-défi à réaliser cette semaine ! Ces courts défis ont pour objectif de te faire passer à l’action par petits pas

à satisfaction immédiate.

MINI-DÉFIS

Tu as une question ?Rendez-vous sur ton espace membre pour la poser à l’équipe des filles zen !

https://les-ateliers-des-filles-zen.com/outils/mini-defis



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Documents

Guide du Module 3 SUIVRE L’AMOUR...faire attention à son langage. On l’a vu, le langage est créateur donc il est vraiment important de faire attention aux mots qu’on emploie,