hiver 2016 Formations - Contech · Solutions pour la conception des bâtiments combustible ou I Nouveau 17 Index thématique Solutions pour la conception des moyens d'évacuation

Formations

_hiver 2016 _printemps 2016

architectes I ingénieurs I technologues I designers

I gestionnaires de bâtiments I constructeurs I

En classe, en ligne, en laboratoire

. . . en mode pratique

serv

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ctif

formation ciblée

prix spéciaux

reconnaissances

une offre de formation ciblée> Des cours conçus pour répondre de façon spécifique

aux besoins de l’industrie du bâtiment> Des formateurs de terrain

> Une approche … en mode pratique> Des formations offertes en classe, en webdiffusion interactive

et en laboratoire> Des formats variant de 3,5 à 21 heures

un service clientèle distinctif> Un cartable du participant incluant un coffre à outils> Un petit-déjeuner continental, un diner 3 services

et des pauses café> Un registre individuel des formations depuis 2004> Une attestation officielle de participation conforme

aux exigences des associations et ordres professionnels> Un accès internet gratuit dans les salles> Un stationnement gratuit à Québec et à Varennes

et à prix modique à Montréal

reconnaissances> Des cours reconnus par la plupart des associations et

ordres professionnels de l’industrie et par la Commission des partenaires du marché du travail

> La possibilité de cumuler des Unités de formation continue (UEC) de la Sofeduc

Prix sPéciaux lors d’achats multiPles> Une remise de 50 $ pour l’achat de 3 formations et plus

(seul ou avec des collègues)> Des prix spéciaux en fonction d’un plus grand volume

d’achat

Informez-vous de nos modalités d’application

Inde

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Solutions pour la conception des bâtiments combustible ou I Nouveau 17Solutions pour la conception des moyens d'évacuation 18incombustible, ainsi que les revêtements intérieurs de finition

NORMES ET RÈGLEMENTSAmiante : quels sont les impacts du nouveau règlement 7Entretien des tours de refroidissement à l'eau 28Inspection préventive des façades I Renouvelé 44Maintenance des bâtiments – exigences réglementaires 54

Réclamations pour délais 65

Le métier de gestionnaire 48Lire le non verbal : un outil gagnant pour mieux communiquer 53

Sécurité des immeubles et de leurs occupants 66Toitures – entretien 72

GESTION IMNMOBILIÈREAppel d'offres de services 9Gestion immobilière : comprendre et maîtriser les bases 38Gestion immobilière – établir un calendrier efficace 39Maximisez les revenus de vos espaces locatifs 55Mesure de la performance en gestion immobilière 57Optimisez la gestion de vos actifs immobiliers 61

Réclamations pour délais 65

BONNES PRATIQUESBIM : initiation à l’implantation du Building Information Modeling dans vos projets 11Conception intégrée 22Devis technique – principes fondamentaux et atelier pratique 23Énergie solaire dans les bâtiments efficaces 26Étapes et processus d'une bonne gestion de projet 32

Les toitures végétalisées 52Murs et parements extérieurs de maçonnerie 60Toitures – entretien 72Toitures – principes de base 73Systèmes de murs-rideaux 69

ÉLECTROMÉCANIQUEEfficacité énergétique 25Plomberie 62Systèmes électriques 70Systèmes mécaniques 71

CHANTIERS

CODES ET RÈGLEMENTATION

LÉGAL

MANAGEMENT ET RH

OPÉRATION ET ENTRETIEN

PLANIIFCATION

TECHNIQUE

CHANTIERS

CODES ET RÈGLEMENTATION

LÉGAL

MANAGEMENT ET RH

OPÉRATION ET ENTRETIEN

PLANIIFCATION

TECHNIQUE

Lecture de plans – architecture 50Lecture de plans – systèmes mécaniques 51Réclamations pour délais 65

CODE DE CONSTRUCTIONChapitre 1 – Contexte réglementaire, champ d'application et survol de la Partie 9 12Chapitre 1 – Exigences de la Partie 9 – Maisons et petits bâtiments 13Code du bâtiment et sécurité 19Conception en solutions de rechange selon le CNB 2010 21Exigences parasismiques des éléments structuraux et non-structuraux 14Fenestration – exigences du nouveau CNB 2010 34Mise en conformité des bâtiments existants – sécurité incendie et usage 58Sécurité incendie – impact sur la conception architecturale et des systèmes mécaniques 67Séparation spatiale et protection des façades 15Solutions pour la conception de la compartimentation 16

Droit de la construction 24Jurisprudence en droit de la construction 46Le rapport d'expertise et le témoignage au tribunal 49

Art de négocier 10Communiquer efficacement avec différents profils de personnes 20Exercez votre influence dans un rôle conseil 33Habiletés politiques 41Gouvernance dans l'industrie de la construction I Nouveau 40

MAINTENANCEAmiante : quels sont les impacts du nouveau règlement 7Entretien de l'enveloppe verticale I Nouveau 27Entretien des tours de refroidissement à l'eau 28Gestion de la maintenance 35Infiltration d'eau par une couverture 42Inspection, entretien, diagnostic et réparation de béton 45Inspection générale d'un immeuble 43Inspection préventive des façades I Renouvelé 44Maintenance des bâtiments – exigences règlementaires 54Moisissures 59Portes cadres et quincaillerie architecturale 63

CONTRÔLE QUALITÉ – COÛTAnalyse de la valeur 8Estimation et planification budgétaire – principes de base 30Gestion des coûts d'un projet 36Gestion des risques à toutes les phases de la gestion d'un projet 37L'analyse des besoins 47Programmation fonctionnelle et technique 64Uniformat II et le contrôle des coûts de la construction 74Uniformat II et l'estimation des coûts de construction 75Uniformat II Introduction 76

Acoustique et insonorisation 6Énergie solaire dans les bâtiments efficaces 26Inspection, entretien, diagnostic et réparation de béton 45Mécanique des sols 56Portes cadres et éléments de quincaillerie architecturale 63Structures de bâtiments – fondations et charpentes 68

ENVELOPPEEntretien de l'enveloppe verticale I Nouveau 27Enveloppe du bâtiment 29Étanchéité à l'eau des bâtiments 31Fenestration – exigences du nouveau CNB 2010 34Infiltration d'eau par une couverture 42Inspection préventive des façades I Renouvelé 44

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Les différents principes associés à l’acoustique et à l’insonorisation des bâtiments : apprendre à prévenir les problèmes éventuels.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De décrire les principes de base de l’acoustique et de

l’insonorisation;– D’expliquer les différentes sources d’intrusions sonores;– D’identifier les différentes solutions et techniques applicables

pour corriger les problèmes à l’intérieur et à l’extérieur d’un bâtiment.

Formateur steve davidson, ing.Président, Davidson & Associés

Contenu > Définition des principes de base

> Les critères acoustiques

> Les modes de propagation

> Les approches d’analyse

> Les traitements d’insonorisation :– architecturaux– électromécaniques

> Les standards

... en mode pratiqueDémonstrations, tests et expérimentations (matériaux, transmission sonore, systèmes d’insonorisation, instrumentation)

Étude de cas

Coffre à outils Guide technique

technique

Acoustique et insonorisation

Montréal 31 mars 2016Québec 26 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

7

Un nouveau règlement entré en vigueur le 6 juin 2013 vientajouter des obligations supplémentaires aux propriétaires et auxemployeurs du Québec concernant les matériaux contenant del’amiante et leur gestion.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre les impacts du nouveau règlement sur la

gestion de leur bâtiment;– De mettre en place un registre des matériaux contenant

de l’amiante;– D’établir un Programme de gestion de l'amiante (PGA)

conforme aux nouvelles exigences.

Formateur mathieu Péladeau, ing.Chef d'équipe en hygiène industrielle, Englobe

Contenu > Notions de base sur l’amiante

> Lois et obligations actuelles

> Exigences du Code de sécurité pour les travaux de construction

> Présentation du nouveau règlement– objectifs poursuivis par le législateur– obligations des propriétaires et des gestionnaires– droits et obligations des entrepreneurs et des travailleurs– types de bâtiments touchés– modification de la méthodologie d'échantillonnage des matériaux

susceptibles de contenir de l'amiante– validité des études antérieures sur la présence d'amiante

> Impact financier de la présence d'amiante dans un bâtiment(gestion à long terme)

> Importance d'un programme de gestion de l'amiante

... en mode pratiqueExemple de mise en place d’un registre des matériauxÉtude de cas

Extraits de lois, codes et règlements;Documentation de référence.

opération et entretien

Amiante : quels sont les impacts du nouveau règlement sur l’amiante

Coffre à outils

Montréal 13 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

8

Ce cours est une introduction à l'analyse de la valeur telle qu'elleest pratiquée dans le cadre de la conception et de la réalisation deprojets immobiliers. Il vise à donner au maître de l'ouvrage et auxprofessionnels, les outils de base à la pratique de cette discipline.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De déterminer les étapes d’un projet favorables à un

atelier AV;– D’établir précisément qui, du personnel, des usagers, des

consultants et de la direction de projet, participera à l’atelier AV;– De fixer de façon réaliste les performances espérées d’un

atelier AV désigné;– D’énoncer clairement les dispositions que le projet doit adopter

en vue d’un atelier AV;– D’assurer un suivi de l’implantation des recommandations

de l’atelier AV au sein du projet et de sa conception.

Formateur gil goyette, architecte

Contenu > Données de baseLa notion de valeur, objectifs de l’AV, analyse fonctionnelle, coût cycle de vie, coût d’immobilisation, coûts d’opération, lesperformances attendues.

> Les étapes La préparation, l’analyse fonctionnelle, la créativité, le développement,le rapport et l’implantation.

> La logistique L’atelier unique, les ateliers multiples, les ateliers séquentiels, la constitution de l’équipe, l’animateur, le partenaire, la spécialisation,la représentation du client.

... en mode pratiqueMises en situation et exercices pratiques.Préparation d'un plan de travail AV.Établissement de performances de valeur.

Montréal 23 février 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

Références.NIST 6389 et tableaux Uniformat.Exemples de propositions et de traitement de données de l'analyse de la valeur.Formulaires de rapport AV.

Planification

Analyse de la valeur

Coffre à outils

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Bien définir ses besoins pour obtenir des services de qualité aumeilleur prix possible.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De préparer un appel d’offres pour l’acquisition de services

spécifiques pour des immeubles ou des propriétés;– De rédiger un devis pour des contrats de service de type

entretien ménager, sécurité et autres;– D’évaluer les services reçus et d’apporter les correctifs

nécessaires.

Formatrice ginette corbeilDirectrice de l’Approvisionnement, Ivanhoé Cambridge

Contenu > Introduction– objectifs et avantages de définir les besoins précis lors de la rédaction de contrats de service : entretien ménager, sécurité, transport vertical, autres;

> Définition des besoins– types de contrats– estimation de la valeur– devis

> Sélection des entreprises invitées à soumissionner> Documents d’appel d’offres

– types de contrats– estimation de la valeur– devis

> Rédaction de l’entente– types de contrats– durée– protections particulières

> Gestion du contrat> Évaluation des services reçus

... en mode pratiqueRédaction de devis.

Montréal 27 janvier 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

Coffre à outils Guide de préparation d’un dossier d’appel d’offres pour uncontrat de service.


Appel d’offres de services

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Établir sa stratégie, négocier avec efficacité et conclure desententes gagnant-gagnant

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’établir un plan de négociation;– De conduire une négociation de manière efficace;– De maîtriser les outils permettant de mener à bien

toute négociation.

Formatrice nathalie aubin, L.L.M., MBA, Adm.A., P.CSO, PMP, PCC, P2PDiagnosticienne organisationnelle

Contenu > Le plan d’une négociation– le cadre du dossier– la définition du mandat – le contexte : contraintes et éléments-clés– le questionnement– les éléments de l’argumentation– la critique de l’argumentation de la partie adverse– anticipation – réponse

> La conduite d’une négociation– la prise de contact– le questionnement– l’argumentation– la critique de l’argumentation de la partie adverse– le maniement des concessions et les positions initiales– la conduite générale du négociateur– la conclusion– les pénalités

> Les stratégies– méthodes, techniques, tactiques

... en mode pratiquePratique guidée d’une négociation dans un contexte immobilier.Test : quel type de négociateur êtes-vous ?

Coffre à outils Documents de référence.Tableau synthèse.

management et rh

Art de négocier

Montréal 16 février 2016Québec 17 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 495 $

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À la fois outil et processus, le Building Information Modeling (BIM)transformera votre pratique, que vous soyez gestionnaire deprojet, concepteur ou constructeur.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De nommer quelles sont les différentes dimensions du BIM

et les technologies qui leur sont associées;– De comprendre les notions d’interopérabilité, de gestion du

flux de travail et du flux de données et leur application dansla planification de l’infra informatique;

– D’identifier quels pourraient être les bénéfices du BIM pour leur organisation ou leur firme;

– De définir la stratégie pour implanter le BIM;– De comprendre les principes pour établir une feuille de

route pour le déploiement du BIM.

Formatrices ivanka iordanova, gestionnaire BIM, Pomerleausouha tahrani, B. Arch. Ph.D.Associée de recherche, École de technologie Supérieure

Contenu > Introduction– Le pourquoi du BIM – Comment le BIM va transformer les pratiques traditionnelles en

conception et en construction– Quelles sont les contraintes et les défis pour les clients, les

professionnels et les entrepreneurs– Le cadre technologie-organisation-processus– Les niveaux d’utilisation du BIM

> TechnologieBIM et OPEN BIM I Les logiciels et les équipements requis I La formation I Les coûts

> OrganisationLes intentions : comment sera utilisée la maquette numérique ILe cadre contractuel I La maturité du client et de l’équipe de projet

> ProcessusLa gestion de la production de la maquette I La récupération de la maquette pour la gestion de l’équipement

> L’évaluation des bénéficesLe retour sur l’investissement (RSI) I Les mesures de performance

... en mode pratiquePréparation d’un plan de déploiement du BIM

Coffre à outils Schéma de gestion des flux de données.Organigramme – formule d’atelier.Document de référence.Liste de documents de référence.

Planification

BIM : initiation à l’implantation du BuildingInformation Modeling dans vos projets

Montréal 21 avril 2016Québec 5 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

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Mon projet est-il assujetti à la partie 9 du Code de construction ?Si oui, quelles sont les exigences à respecter ?

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De déterminer s'ils peuvent appliquer la partie 9 du CCQ-c.1;– D'acquérir les outils permettant de déterminer et d’interpréter

les exigences applicables pour un projet spécifique.

Formatrice nicole olivier, arch. Conseillère technique, Technorm

Contenu > Contexte règlementaire– Loi sur le bâtiment– Code de construction du Québec – Règlementations municipales – Loi sur les architectes

> Le Code de construction du Québec, chapitre 1-Bâtiment – du CNB 2005– Référence dans le CNB 2005– Expressions importantes du CNB

> Champ d’application – Champ d’application de la partie 9 – Termes qui permettent de définir les caractéristiques de construction

> La partie 9– Table des matières– Quelques définitions – Organisation– Exigences minimales du code pour la construction– Cheminement d’analyse– Liens entre la partie 9 et les parties 3, 4, 5 et 6

> La nouvelle version du CNB 2010

... en mode pratiqueÉtudes de cas : validation des exigences spécifiques pour laconception du bâtimentLes participants peuvent apporter leur exemplaire du « Code deconstruction du Québec, Chapitre 1 – Bâtiment, et Code nationaldu bâtiment – Canada 2005 (modifié) » ISBN 978-0-660-97307-4

tMontréal 27 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

Coffre à outils Documents de référence.

codes et règlementation

Code de construction du Québec – chapitre 1Contexte réglementaire, champ d'application et survolde la Partie 9

13

Comment appliquer et comprendre les exigences à respecterdes 36 sections de la partie 9.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre les domaines d’application des différentes

sections;– D’identifier les exigences spécifiques applicables à un projet.

Formatrice nicole olivier, arch.Conseillère technique, Technorm

Contenu > Exigences de la partie 9– RéférencesGénéralités I Définitions I Objectifs et énoncés fonctionnels

– sFondation I Planchers I Murs I Toitures

– UsagesConception des espaces I Portes et fenêtres I Isolement acoustique I Escaliers et moyens d’évacuation I Protection incendie

– Enveloppe du bâtimentProtection contre l’humidité, l’eau et l’infiltration des gaz souterrains I Drainage, vides sanitaires et vides sous toits I Contrôle du transfertde chaleur, des fuites d’air et de la condensation I Couvertures IRevêtements extérieurs et intérieurs de finition des murs et plafonds

– Installations techniquesCheminées et foyers I Équipements sanitaires I Ventilation IChauffage I Conditionnement d’air I Installations électriques

... en mode pratiqueÉtudes de cas : Validation des exigences spécifiques pour laconception d’un bâtiment

Note : Les participants peuvent apporter leur exemplaire du « Code deconstruction du Québec, Chapitre 1 – Bâtiment, et Code national du bâtiment– Canada 2005 (modifié) » ISBN 978-0-660-97307-4

Montréal 31 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $



Code de construction du Québec – chapitre 1Exigences de la Partie 9 – Maisons et petits bâtiments

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dePuis Plusieurs éditions du cnb, certains éléments architecturaux,mécaniques et électriques doivent être conçus Pour résisteraux efforts de séisme. lesquels et dans quelle mesure ? de Plus,le code de construction du québec exige que la résistanced’une existante soit rehaussée selon certains tyPes de travauxde transformation ce qui est Parfois négligé Par les interve-nants d’un Projet de rénovation.

Pour répondre à cette question vous devez préalablement :> Comprendre les objectifs de la réglementation;> Vous familiariser avec les effets et les impacts d’un séisme sur

un bâtiment;> Comprendre les exigences parasismiques pour des petits bâtiments

(Partie 9);> Comprendre les exigences parasismiques de la partie 4 du CNB

pour les « plus gros » bâtiments;> Identifier les exigences de la partie 10 quant aux éléments existants

structuraux et non-structuraux lors d’un projet de transformation;> Vous familiariser avec les différents composants nécessitant une

résistance parasismique.

Vous serez outillé pour reconnaître quelles sont les exigences parasismiques qui affec-tent les composantes non-structurales et structurales pour un bâtiment neuf ou lorsde travaux de transformation d’un bâtiment existant, en participant à la formation :

code de construction :ExIGENCES PARASISMIQUES DES ÉLÉMENTS STRUCTURAUx ET

NON-STRUCTURAUx LORS DE TRAVAUx DE CONSTRUCTION

ET DE TRANSFORMATION

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPertmarc-andré langevin, ING.

Président, Technorm

L’activité de formation de 3,5 heures est axée vers la reconnaissancedes exigences parasismiques de base qui se retrouvent dans le CCQ-c.I.

Cette formation ne vise pas la maîtrise du calcul des éléments decontreventement, mais vous permettra plutôt de savoir quand etdans quelle mesure les composantes d’un bâtiment requièrentune telle résistance latérale. Des études de cas seront présentéespour comprendre l’application des exigences.

offert en ligne exclusivement18 mars 2016 I 13 h à 16 h 30 I 350 $

codes et règlementation[ 1/2 jour ]

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est-ce que les murs extérieurs de mon bâtiment resPectentles exigences du code de construction ?

Pour répondre à cette question vous devez préalablement :> Comprendre les objectifs de la réglementation; > Distinguer les champs d’application de la partie 3 et de la partie 9;> Prendre connaissance des exigences du Code de construction

en matière de façades de rayonnement;> Déterminer le type de construction, de revêtement et le degré

de résistance au feu exigé des murs extérieurs;> Être en mesure de calculer adéquatement le pourcentage

d’ouverture;> Vous familiariser avec un cheminement d’analyse.

Vous serez outillé pour utiliser un cheminement d’analyse afin de calculer adéqua-tement le pourcentage d’ouverture réglementaire en participant à la formation :

code de construction :SÉPARATION SPATIALE ET PROTECTION

DES FAçADES

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPerte nicole olivier, arch.

Conseillère technique chez Technorm et formatrice sur divers sujetstouchant les codes de construction et la sécurité des bâtiments.

L’activité de perfectionnement est construite à partir de situationtypique.

Elle vise à résoudre de façon concrète et dynamique des exemplesde problèmes types reliés à la conformité des exigences de ladivision B des Parties 3 et 9 du Code de construction.

offert en ligne exclusivement20 avril 2016 I 13 h à 16 h 30 I 350 $


16

est-ce que je comPrends bien la comPartimentation de mon bâ-timent, et est-ce que cette comPartimentation resPecte les exi-gences du code de construction ?

Pour répondre à cette question vous devez préalablement :> Comprendre les objectifs de la réglementation;> Vous familiariser avec un cheminement d’analyse;> Distinguer les champs d’application de la partie 3 et de la partie 9;> Vous familiariser avec les articles de la partie 3 et de la partie 9

du Code concernant la compartimentation;> Déterminer les différentes compartimentations requises dans

un bâtiment;> Déterminer le degré de résistance au feu des différentes séparations

coupe-feu requises pour la compartimentation du bâtiment et les dispositifs d’obturation requis dans ces séparations coupe-feu.

Cette formation est basée sur le Code national du bâtiment du Canada 2010. Elle vouspermettra d’utiliser un cheminement d’analyse afin de déterminer la conformité auxarticles de la partie 3 et de la partie 9 du Code concernant la compartimentation.

code de construction :SOLUTIONS POUR LA CONCEPTION DELA COMPARTIMENTATION

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPerte nicole olivier, arch.

Conseillère technique, Technorm et formatrice sur divers sujetstouchant les codes de construction et la sécurité des bâtiments.

L'activité de perfectionnement est construite à partir de situationstypiques.

Elle vise à résoudre de façon concrète et dynamique des exemplesde solutions pour la conception de la compartimentation.

offert en ligne exclusivement11 avril 2016 I 13 h à 16 h 30 I 350 $


nouveau

17

est-ce que les Plans d’aménagement des Pièces dans l’aire de Plancher resPectent les exigences du code de construction ?

Pour répondre à cette question vous devez préalablement :> Comprendre les objectifs de la réglementation; > Saisir la distinction entre les parties 3 et 9 du Code;> Vous familiariser avec les articles de la partie 3 et de la partie 9

du Code concernant les moyens d’évacuation;> Comprendre les exigences des solutions applicables de la

division 8 pour la conception des moyens d’évacuation dans les bâtiments visés par la partie 3 ou la partie 9;

> Déterminer les issues, les distances de parcours, le nombre de portes requis pour les différentes pièces d’une aire de plancher;

> Vous familiariser avec un cheminement d’analyse.

Vous serez outillé pour utiliser un cheminement d’analyse afin de déterminer lessolutions applicables pour la conception des moyens d’évacuation d’un immeuble

code de construction :SOLUTIONS POUR LA CONCEPTION DE

MOyENS D’ÉVACUATION

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème (aPP), animée Par notre exPertenicole olivier, ARCH.


L’activité de perfectionnement est construite à partir de situation typique. Elle vise à résoudre de façon concrète et dynamique desexemples de problèmes types reliés à la conception de solutionsapplicables pour la conception des moyens d’évacuation conformesaux exigences des Parties 3 et 9 du Code de construction.

[ 1/2 jour ]

offert en ligne exclusivement14 mars 2016 I 8 h 30 à 12 h I 350 $


18

quels matériaux et revêtements intérieurs de finition Peuventêtre installés dans mon bâtiment selon les exigences du codede construction?

Pour répondre à cette question vous devez préalablement :> Comprendre les objectifs de la réglementation; > Vous familiariser avec un cheminement d’analyse;> Distinguer les champs d’application des parties 3 et 9;> Vous familiariser avec les articles des parties 3 du Code concernant

les éléments combustibles et incombustibles, et les revêtements intérieurs de finition;

> Déterminer les éléments et revêtements intérieurs de finition qui peuvent être installés dans le bâtiment.

Cette formation est basée sur le Code de construction du Québec, Chapitre I – Bâtiment adoptant,avec modifications, le Code national du bâtiment du Canada 2010 (décret 347-2015).

code de construction :SOLUTIONS POUR LA CONCEPTION D’UN BâTIMENT

COMBUSTIBLE OU INCOMBUSTIBLE, AINSI QUE LES

REVÊTEMENTS INTÉRIEURS DE FINITION

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème (aPP), animée Par notre exPertenicole olivier, ARCH.


Cette activité de perfectionnement abordera les sujets suivants :_Objectifs de la réglementation_Cheminement d’analyse proposé_Définitions du Code_Déterminer les parties applicables de la division B_Exigences de la partie 3 du Code

offert en ligne exclusivement22 février 2016 I 8 h 30 à 12 h I 350 $

codes et règlementationcodes et règlementation[ 1/2 jour ]

nouveau

19

Le contexte règlementaire lié à la sécurité des bâtiments constitueun véritable casse-tête pour les gestionnaires de bâtiments.Il est essentiel pour tout intervenant de bien connaître et savoirinterpréter les codes, règlements et lois en vigueur.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De décrire les responsabilités des différents intervenants;– D’utiliser les outils permettant d’assurer l’intégrité des fonctions

liées à la sécurité d’accès et à la protection incendie;– D’intervenir sur le bâtiment conformément aux exigences

applicables aux différents systèmes visant la sécurité incendie;– D’évaluer l’interaction des systèmes de protection incendie

et de sécurité.

Formateur frédéric lévesque, ing. Conseiller technique, Technorm

Contenu > Contexte règlementaire lié à la sécurité des bâtiments– lignes directrices Code de construction– lignes directrices Code de sécurité

> Responsabilité des différents intervenants– les professionnels et le Code de construction– les propriétaires et le Code de sécurité

> Éléments et systèmes du bâtiment– intégrité des séparations coupe-feu et degré de résistance au feu– moyens d’évacuation et contrôle des portes– systèmes de sécurité : gicleurs, alarmes incendie, génératrices

> Transformation et entretien– impact sur l’application des nouvelles exigences règlementaires sur les systèmes déjà installés

... en mode pratiqueÉtudes de cas – impact de la réalisation ou des modificationsd’un bâtiment sur les exigences règlementaires applicables.

Coffre à outils Guide d’accompagnement dans la réalisation d’un projet.Impacts sur les aspects de la sécurité.


Code du bâtiment et sécurité


20

Selon le modèle Herrmann (HBDI) il existe 4 façons distinctes decommuniquer, d’apprendre et de prendre des décisions. Situer son stylepersonnel de préférences permet d’optimiser sa capacité à adopter unemanière de penser, de prendre des décisions et de communiquer dansune situation donnée. Comprendre les autres styles vous permet decommuniquer efficacement dans une variété de situations d’affaireset auprès d’une gamme plus étendue de styles de personnes. Dans lecadre de cet atelier, vous serez introduit au Modèle des préférencescérébrales de Herrmann et obtiendrez votre profil personnel… unoutil efficace de communication en toute situation.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’expliquer le rôle du système de perception dans la construction

de notre modèle du monde;– De comprendre le Modèle des préférences cérébrales de Herrmann;– D’expliquer en quoi chacun a des préférences cérébrales qui lui

sont propres;– De décrire en quoi ces préférences interviennent dans nos choix

professionnels, interpersonnels, relationnels;– D’identifier les préférences des gens autour de nous;– D’adopter des stratégies de communication pour mieux travailler

avec des personnes ayant des styles de pensée différents;– D’être attentif aux trois composantes de la communication;– D’utiliser un processus de communication pour transmettre

efficacement un message;– D’être attentif au choix des mots;– De gérer les trois dimensions d’une communication.

Formatrice martyne malo, MBA, CRHAQConseillère en développement, Symphonia Groupe Conseil

Contenu > Le cerveau, cette fascinante machine> Les stimuli et les perceptions> Le modèle de Herrmann> Le rapport individuel – HBDI> Les quatre profils et leurs caractéristiques> La communication efficace> La communication adaptée à chaque profil> Les relations entre les quatre profils> Les mots et leur influence> Les trois dimensions d’une communication> Le processus pour communiquer efficacement

... en mode pratiqueMises en situation.Expérimentation interactive.

management et rh

Coffre à outils Profil HBDITiré à part des quatre (4) styles de personnalité;Principes qui maximisent la communication pour chacun desstyles de personnalité;Canevas pour préparer et animer une communication.

Communiquer efficacementavec différents profils de personnes

[ 2 jours ]

Québec 9-10 mars 2016Montréal 5-6 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 800 $

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Depuis que le Code de construction du Québec a adopté la version 2005du CNB en mai 2008, il est possible de concevoir non pas seulementavec les « solutions acceptables» de la division B du CNB, mais également en préparant des «solutions de rechange» selon la division A.Le chapitre 1 du CCQ adopte dorénavant la version « québécoise»CNB 2010 qui permet toujours de concevoir selon ces deux méthodes.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’identifier la règlementation applicable au Québec et quand une

solution de rechange peut être proposée;– De comprendre le concept des objectifs du CNB 2010;– D’identifier les procédures qui devront être suivies pour démontrer

que les objectifs du code sont respectés;– De reconnaître les divers outils qui permettent la validation des

solutions de rechange (mesures équivalentes).

Formateur marc-andré langevin, ing., Président, Technorm

Contenu > Contexte règlementaire lié à la sécurité des bâtiments – Lignes directrices du Code de construction du Québec - Chapitre I (Bâtiment)– Objectifs et énoncés fonctionnels du CNB 2010– Modifications CNB 2010 vs CNB 2010 modifié Qc (version québécoise)

> Éléments et systèmes du bâtiment quant à la sécurité incendie(revue de base)– Type de construction, nombre d’étage, protection requise– Intégrité des séparations coupe-feu et degré de résistance au feu, moyens d’évacuation– Systèmes de sécurité : gicleurs, alarmes incendie, systèmes d’extinction spéciaux

> Le concept de mesures différentes, compensatoires et équivalentes – Quand, quoi et pourquoi ? – Qui peut les appliquer ? – Comment faire accepter ces mesures

> Outils pour démontrer les équivalences – Comparaison avec des exigences de codes internationaux– Calculs manuels et logiciels simples (Excel)– Logiciels de modélisation incendie (CFAST) et analyse numérique par éléments finis (FDS)

Note : nous vous suggérons d’apporter votre exemplaire du CCQ-c.I (CNB 2010 modifié Qc).

... en mode pratiqueÉtudes de cas – Impact de l’utilisation des solutions de rechangequant à la construction de nouveaux bâtiments ou à la réfection /transformation de bâtiments existants.

Montréal 9 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

Coffre à outils Notes de cours.Extraits (Codes et règlements).


Conception en solutions derechange selon le CNB 2010

Coffre à outils

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Un processus de conception fondé sur la collaboration quis’avère crucial pour réaliser des projets durables.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’établir les cibles environnementales à atteindre;– De mettre en place une équipe performante;– De planifier le processus de conception intégrée;– De conduire efficacement un atelier de conception intégrée;– D’optimiser la conception par l’étalonnage.

Formateur daniel forgues, arch.Professeur, École de technologie supérieure

Contenu > Introduction– les enjeux de la construction durable– en quoi la conception intégrée se distingue-t-elle des méthodes traditionnelles– les contraintes et les défis

> La planification du processus de conception intégrée– comprendre les principes– établir le contexte et les étapes– former l’équipe et choisir les outils– identifier les cibles

> L’organisation d’une session de conception intégrée– les rôles– la planification– la conduite d’une session

> La mesure de la performance

... en mode pratiquePratique guidée d’un atelier de conception intégrée.


Tableau synthèse du processus de conception intégrée.Organigramme – formule d’atelier.Document de référence.Liste de documents de référence.

Planification

Conception intégrée

Coffre à outils

23

Cette formation est conçue spécialement pour les ingénieurs,mais s'adresse aussi aux architectes, aux rédacteurs de devisoccasionnels ou réguliers et aux gestionnaires qui désirent optimiserla qualité des devis qu’ils préparent ou supervisent, augmenterleur productivité, tout en intégrant les principes émergents deconception écologique aux documents contractuels.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De reconnaitre les éléments constitutifs du devis;– De produire des devis adaptés à chaque phase du projet et

à chaque type de contrat;– D’assembler, de manière coordonnée, les documents

composant le Cahier des charges;– De rédiger des sections techniques et de constituer un devis complet

- en composant les prescriptions de manière cohérente;- en intégrant les exigences en écoconstruction.

Formateur louis réjean gagné, architecte, LEED AP BD+CDirecteur, bâtiment durable, Les Services exp inc

Contenu > Revue des principes fondamentaux [ Jour 1 ]– Le rôle du devis | Les différents types de devis– Le Cahier des charges | Le devis technique– Exigences générales | Sections techniques– MasterFormat™ et SectionFormat/PageFormat™ | Le DDN– Les règles de rédaction– Conception écologique et devis | La certification LEED®

... en mode pratique> Atelier de rédaction [ Jour 2 ]

– Le devis, partie du processus de design– Rédaction d’un devis, à partir d’un projet réel

- Fiche de projet et liste de contrôle.- Répartition des sections à faire parmi les participants- Rédaction à partir des sections du DDN (activité individuelle)- Intégration des prescriptions en écoconstruction- Revue, assemblage, impression, contrôle qualité

– Évaluation, commentaires et recommandations

exigence : Les participants doivent disposer d’un portable avec Microsoft Word et Adobe Reader (jour 2).

Contribution : Le Secrétariat du Devis directeur national, TPSGC

MasterFormat 2010™, SectionFormat/PageFormat 2008™,Dessins d’exécution d’un projet, toutes disciplines,Le DDN complet (±750 sections) sur une clé USB pour utilisationsur place,Références et bibliographie (web).

[ 2 jours ] Planification

Devis technique – principes fondamentaux et atelier pratique

Montréal 15-16 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 1 155 $

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Les éléments légaux des diverses fonctions de l’entreprise : pourprotéger nos actifs et éviter des situations malencontreuses.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De détecter les risques associés aux projets de construction;– De décrire les rôles et responsabilités des intervenants;– D’adopter des comportements minimisant les risques de différends;– D’identifier les lois et les règlements régissant l’industrie de la construction;– De définir les différents types d’environnement contractuel

possible dans le domaine de la construction;– D’évaluer chacun des types d’environnement contractuel;– De rédiger certaines clauses contractuelles;– D’interpréter diverses lois et clauses contractuelles.


Contenu > Le cadre légal :– Formation et types de contrats – Vices cachés– Champs d’application du code civil – BSDQ et CSST

> Obligations et responsabilités des parties :– Propriétaires et gestionnaires immobiliers;– Constructeurs et sous-contractants;– Professionnels et manufacturiers.

> Moyens de protection légaux et conventionnels :– Définition de l’hypothèque légale– L’hypothèque légale des personnes qui ont participé à la

construction ou à rénovation d’un immeuble– Formalités requises– Renonciation à l’hypothèque légale– Cession de priorité et de rang, frais engagés, radiation de l’hypothèque

> Risques financiers – avant, pendant et après les travaux :– Types de cautionnement– Avis, délai d’avis et délais d’action

> Les causes les plus fréquentes de litige :– Clauses de devis, paiements et retenues– Financement, retards dans l’exécution des travaux– Différends

> Gestion sans risque :– Clauses contractuelles, prévention– Gestion de la documentation, conformité aux lois et règlements

... en mode pratiqueMises en situation de cas réels et analyse des enjeux légaux etfinanciers de projets de construction. Création de documentslégaux. Lectures et interprétation de textes de lois et de contrats.

[ 2 jours ]

Montréal 15-16 février 2016Québec 13-14 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 1 085 $

Coffre à outils Extraits de lois.Lettres types.

légal

Droit de la construction

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Venez apprendre comment la simulation du fonctionnementd’un bâtiment peut vous permettre d’intervenir de façon efficace, rentable et structurée sur les éléments influençant la consommation énergétique d’un bâtiment.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre les avantages d’une simulation du

fonctionnement d’un bâtiment;– De connaître le processus décisionnel pour le choix des

mesures en EE;– De connaître les mesures EE les plus rentables.

Formateur laurier nichols, ing.Vice-président, Expertise – Bâtiment, Stantec

Contenu > Consommation énergétique cible pour diverses vocations de bâtiment

> Démonstration de l’usage de divers outils de simulation des bâtiments (EE4, DOE2, SIMEB, E-Quest, etc.)

> Présentation par simulation de diverses améliorations à un bâtiment :– le chauffage de l’air neuf de ventilation;– récupération de chaleur sur les évacuations pour le chauffage de

l’air neuf de ventilation;– les améliorations de l’enveloppe d’un bâtiment;– système de thermopompes géothermiques;– système d’éclairage efficace;– recyclage des gains internes d’un bâtiment.

> Survol des programmes d’aide financière disponibles.

... en mode pratiqueAnalyse de cas : discussions et échanges sur les moyens rentables pour améliorer l’efficacité énergétique d’un bâtiment.

[ 2 jours ]

Coffre à outils Chiffrier Excel pour les calculs de la consommation énergétiquepour le chauffage de l’air extérieur de ventilation.

Chiffrier Excel pour le calcul des coûts d’énergie.

technique

Efficacité énergétique

lMontréal 26-27 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 1 085 $

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Ce cours permettra aux participants de comprendre les différentes options solaires d’un bâtiment efficace (i.e. solairepassif pour l’éclairage et le chauffage de l’espace et solaire actifpour la production d’électricité et le chauffage de l’air et de l’eau)du point de vue technique, économique et environnemental.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De définir et d’avoir une idée plus précise du potentiel relié aux

différentes formes d’énergie solaire rattachées au bâtiment : système solaire thermique, système solaire photovoltaïque, chauffage solaire passif et éclairage naturel;

– D’évaluer la production d’énergie ainsi que les aspects écono-miques d’un projet solaire thermique et solaire photovoltaïque;

– De dimensionner un système d’autoproduction d’énergie solaire thermique et photovoltaïque pour un bâtiment efficace;

– De discuter de façon éclairée avec des professionnels ou spécia-listes du milieu de l’énergie (e.g. distributeur d’équipements).

Formateur yves Poissant, Ph. D.Spécialiste et gestionnaire de projets – Technologies photovoltaïques,Intégration des énergies renouvelables et distribuées, CanmetÉNERGIE

Contenu > Le potentiel de l’énergie solaire au Québec (ressource, variabilité)

> L’énergie solaire photovoltaïque (technologies, composants d’un système intégré au bâtiment, fonctionnement, performance, coûts, étude de cas)

> L’énergie solaire thermique (capteurs, caractéristiques, fonction-nement, performance, coûts, étude de cas)

> L’énergie solaire passive (éclairage naturel, chauffage de l’espace)

> Les systèmes solaires et les normes (normes de produits, code électrique, code du bâtiment, normes BOMA BEST, LEED)

> Présentation d’un outil d’analyse de préfaisabilité de projets solaires actifs (RETScreen)

> Bâtiments solaires à haute performance

... en mode pratiqueAnalyse commentée d’études de cas réels

lMontréal 18 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

Coffre à ocuments de référence

Planification

Énergie solaire dans les bâtiments efficaces

27

L’entretien n’est certes pas exclusif aux enveloppes de bâtiment :toute infrastructure se doit d’être maintenue. Toutefois, par sonrôle de protection et par les usages qu’elle définit, l’enveloppeconstitue un défi de taille à préserver, à entretenir, à réhabiliter.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– Distinguer les différentes approches de conservation de

l’enveloppe verticale;– Connaitre les références, guides et autres ouvrages qui

dictent les opérations d’entretien;– Comparer les différents systèmes d’enveloppe, leur

performance et leur durée de vie;– Diagnostiquer des problèmes simples qui affectent

l’enveloppe du bâtiment.

Formateur richard trempe, arch., Vice-président et chef de l'exploitationPatenaude Trempe Van Dalen inc. - Membre du CLEB

Contenu > Bref rappel des systèmes constructifs> Règlementation québécoise, normes et procédures> La performance en service> Les notions de durée de vie et de durabilité> L’interaction avec les usages et autres contraintes exercées

sur l’enveloppe> Les désordres : causes et conséquences> Les différentes approches liées à la conservation :

réparation, restauration, rénovation, entretien et réhabilitation> L’entretien préventif

... en mode pratiqueVisites sur le WEB de certains sites référencés en matière d’entretien, d’exemples d’application de guides d’entretienpréventif. Discussions sur le rôle des intervenants – propriétaires,des professionnels, des entrepreneurs et des instances gouvernementales dans les processus d’inspection et d’entretiendes bâtiments.Note : cette formation constitue le prolongement naturel de la formation « Inspection préventive des façades » mais peut être suivi de façon autonome.

Extraits Norme CSA 478, plans de durabilité LEED, référencesliées à l’entretien d’ici et d’ailleurs, grilles repères proposées pardes organismes reconnus (SCHL – Parcs Canada – ICOMOS)


Entretien de l’enveloppe verticale :mécanismes de détérioration et stratégies d’interventions

Québec 27 avril 2016Montréal 4 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

Coffre à outils

Nouveau

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Des modifications au chapitre VIII Bâtiment du Code de sécuritévisent notamment à obliger les propriétaires de tours de refroidissement à respecter un programme d’entretien et à tenir un registre. Êtes-vous prêt ?

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De nommer les principaux éléments de la nouvelle règlementation

concernant les tours de refroidissement à l’eau;– De reconnaître les risques de contamination de la bactérie

Legionella Pneumophila;– De déterminer le contenu d’un programme d’entretien quant

aux aspects mécaniques et chimiques;– D’identifier les actions à prendre en cas de risque élevé et/ou de

contamination par la bactérie légionelle;– De connaître les normes de sécurité quant aux travaux d’entretien,

de décontamination de la tour de refroidissement à l’eau;– De reconnaître l’importance de maintenir le registre à jour.

Formateur alain blais, ing. MBAPrésident de groupe AquaCion inc.

Contenu > Obligations du propriétaire en raison du nouveau règlement> Qui peut élaborer un programme d'entretien - pourquoi ?> Contenu d'un programme d'entretien> Facteurs de risque qui favorisent la prolifération et

la dispersion de la légionelle> Contrôle des facteurs favorisant la prolifération et la dispersion

– traitement de l’eau– la gestion hydraulique– la gestion des matières solides– la limitation de la dispersion des aérosols

> Procédure de décontamination> Contrôle, efficacité du programme et suivi des indicateurs> Règlementations pertinentes : purges, homologation des

biocides, santé et sécurité pour le personnel d’entretien, nettoyage et désinfection

... en mode pratiqueAnalyse commentée des risques de contamination d'une installation de tour de refroidissement à l'eau

Coffre à outils Documents de référenceExtraits de règlements et codes


Entretien des tours de refroidissementà l’eau : prévenir la légionellose

lMontréal 14 janvier 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

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Cette formation propose, par une formation traditionnelle et uneexpérimentation en laboratoire, une explication détaillée desprincipes fondamentaux à la base des assemblages pour comprendreles phénomènes qui influencent leur performance. Elle constitue unebase solide autant pour la prise de connaissance que pour la mise à jour.Note : l’expérimentation au laboratoire de Varennes sera compensée par desétudes de cas et des exercices pratiques à la formation de Québec.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre l’évolution et les approches d’enveloppe au Québec;– De distinguer les différents systèmes de murs;– De démontrer l’interrelation entre les murs et les autres composants

de l’enveloppe (murs, fenêtres, jonctions, etc.);– D’expliquer l’influence de l’environnement (intérieur ou extérieur)

sur la performance de l’enveloppe du bâtiment;– De connaitre les développements actuels et futurs en matière de

science du bâtiment.


Contenu > Les exigences de base et notre climat> Un rappel des composants fondamentaux de l’enveloppe> Les plans d’étanchéité : pare-eau, pare-air, pare-vapeur, isolation> Les normes, codes et règlements applicables> L’étude d’assemblages typiques> Les types de systèmes de murs extérieurs> Les fonctions du bâtiment et leurs impacts> Les désordres et les conséquences

... en mode pratiqueÉtudes de cas de construction et de reconstruction I Exercices surles exigences et les attentes du xxIe siècle de systèmes et d'environ-nements problématiques I Table ronde pour développer des solutionsface aux défis de l'enveloppe I Stratégies élémentaires d'analysede performance

À Varennes :Expérimentation dans les laboratoires du CLEB des principes discutésen classe I Observation des protocoles et du comportement thermiquequi établissent la performance de l'enveloppe au moyen d'essais IVisite du laboratoire Air-Ins au CLEB

Québec 10 février 2016Varennes 15 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

Coffre à outils Tableaux de référence (résistances, étanchéité, etc.)Détails de construction (quoi faire/ne pas faire)Extraits de codes, règlements et références aux normes

technique

Enveloppe du bâtiment

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Connaître et apprendre les principes de base en estimation eten planification budgétaire. Savoir où trouver les outils et res-sources nécessaires afin de faire et d’apprécier les estimationsde premier niveau. Comprendre les différentes composantesd’une planification budgétaire.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De connaître et d’utiliser les différents principes d’estimation;– De jeter un regard critique sur les estimations préparées par

des tiers;– De distinguer les avantages et les limitations des banques

de données;– De nommer les composantes d’un coût d’immobilisation.

Formateur andré lavoie, ECAChef du service Estimation, Société québécoise des infras

Contenu > Les différents principes d’estimation– Mètre carré– Volume en mètre cube– Comparables– Activités et procédés– Unformat II ASTM-E-1577-09

> Les estimations préparées par des tiers – Jeter un regard critique– Savoir déceler les éléments non quantifiés

> Les banques de données disponibles– Means, Société immobilière du Québec (SIQ), etc.

> Les composantes d’une planification budgétaire immobilière– Bâtiment– Contingences– Honoraires– Frais immobiliers, etc.

... en mode pratiqueAtelier de :1. « premier napperon »2. « un peu plus de raffinement »3. « voilà une envergure »

Coffre à outils Les principes, comment les appliquer.Vos références afin d’apprécier les tiers.Les meilleures banques de données.Des chiffriers, des références web.

Planification

Estimation et planificationbudgétaire – principes de base

Québec 17 février 2016Montréal 30 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

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Les mécanismes qui permettent à l’eau de pénétrer à traversl’enveloppe des bâtiments et l’impact sur les matériaux, la etla santé des occupants.Note : l’expérimentation au laboratoire de Varennes sera compensée pardes études de cas et des exercices pratiques à la formation de Québec.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De reconnaître les situations potentiellement à risque;– D’identifier l’origine des désordres;– De décrire les conséquences de l’infiltration d’eau.

Formateur nicolas bernier, T.P., Directeur expertise - Bureau de QuébecPatenaude Trempe Van Dalen inc. - Membre du CLEB

Contenu > Rappel des principes d’étanchéité à l’eau :– le mur massif;– le mur à étanchéité de surface;– le mur à écran pare-pluie et ses dérivés;– les murs hybrides;– survol des types de fenêtres, lanterneaux et murs-rideaux

disponibles sur le marché.

> Normes, codes et références :– les références générales;– la norme NAFS - supplément canadien A440, les exigences, les essais;– le Code du bâtiment.

> L’infiltration d’eau, les phénomènes :– les sources d’humidité dans les murs;– les mécanismes permettant l’infiltration d’eau;– l’imputabilité;– les techniques de défense… et d’autodéfense.

... en mode pratiqueÉtudes de cas présentées sous forme interactive : diagnostic et élaboration de solutions I Simulation de projet, avec modes de réfections et alternatives d’assemblages. A Varennes: expérimentationdans les laboratoires du CLEB des principes discutés en classe,mises en situation des forces de pénétration d'eau au moyen desbancs d'essais. Visite des laboratoires d’Air-Ins.

Coffre à outils Bibliographie cibléeTableaux de référenceDétails de construction

technique

Étanchéité à l’eau des bâtiments –causes, conséquences et prévention

Varennes 10 mars 2016Québec 5 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

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Utilisation efficace des ressources humaines et matérielles àtoutes les étapes de réalisation d’un projet.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De décrire les principes de base pour une bonne gestion

de projet;– De distinguer les étapes d’un projet, les outils et les

techniques reconnues;– D’identifier les causes des problèmes liés à l’environnement

d’un projet;– D’illustrer les impacts de la gestion de projet sur les opérations

du bâtiment;– De travailler en équipe de façon efficace.


Contenu > Principes de gestion de projet :– contexte de la gestion de projet;– gérant de projet et son équipe;– cadre logique;– gestion des ressources humaines et des communications;– gestion de l’approvisionnement;– gestion du risque et de la qualité;– gestion des coûts et des délais.

> Revue des outils à travers le cycle de gestion et selon l'utilisation qu'on en fait

> Normes et processus d’entreprise :– survol du Project Management Body of Knowledge (PMBOK);– le bureau de projet dans l’entreprise.

... en mode pratiqueSimulation de projet.

Québec 31 mars 2015Montréal 10 mai 2015 I 8 h 30 à 16 h 30 I 495 $

Coffre à outils Guide de mise en application.Cadre logique.

Planification

Étapes et processus d’une bonne gestion de projet

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Que vous soyez expert dans un domaine ou dans un poste, à ce titre vous êtessouvent sollicité pour concevoir et recommander des solutions à vos clients qu’ilssoient internes ou externes. Comment faire pour établir votre crédibilité d’expertet développer une relation de collaboration avec votre client ? Comment répondreaux besoins de vos clients tout en les sensibilisant aux facteurs à prendre encompte dans leurs décisions de projet ? Comment influencer votre client à prendreune décision appropriée à la fois pour répondre au mieux à son besoin tout enprenant compte des ressources disponibles, du temps et du budget. Cet ateliervous propose une démarche et des outils pour garantir votre efficacité dans unrôle-conseil et maximiser votre influence. Vous réaliserez également où débutevotre responsabilité d’expert et où commence celle du client.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De positionner la fonction conseil dans une relation d’affaires et ainsi

réaliser où commence et se termine votre rôle;– D’établir et maintenir une relation de collaboration avec vos clients

sans porter tout le poids du projet sur vos épaules;– De gérer avec rigueur un ensemble d’étapes biens définies dans un

processus de gestion de projet et plus particulièrement la dimension relationnelle;

– D’employer des instruments de communication et de gestion de la relation précis et adaptés aux différentes étapes d’un projet;

– D’utiliser les ressources du client et du milieu pour obtenir les résultats souhaités et partager équitablement les responsabilités;

– De gérer votre crédibilité d’expert par le biais d’une clarification de votre compréhension du besoin du client, une proposition d’options en cohérence avec la situation et les possibilités et une attention sur la forme de votre collaboration avant des débuter le projet.


Contenu > Une conception revisitée de la relation client-conseiller> Les 4 composantes du modèle pour exercer un rôle conseil> Les ingrédients d’une intervention efficace> L’efficacité du conseiller> La gestion du processus conseil> Les étapes du contrat> Se mettre à la place du client pour saisir ses besoins> Gérer les attentes du client> Mesurer les résultats en trois temps sur différentes variables> Établir et maintenir sa crédibilité d’expert> Les ingrédients pour communiquer efficacement dans une relation conseil

... en mode pratiqueMises en situation. Expérimentation interactive.

Coffre à outils Questionnaire d’évaluation de la satisfaction client.Questionnaire d’évaluation de l’intervention conseil.Offre d’emploi : CONSEILLER.Aide-mémoire : Établir et maintenir une relation de confiance.

management et rh

Exercez votre influencedans un rôle-conseil

Québec 12 janvier 2016Montréal 25 février 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 495 $

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Aspects pratiques des exigences relatives aux principes de sélection d’un produit de fenestration conformément au Code national du bâtiment 2010.Note : l’expérimentation au laboratoire de Varennes sera compensée pardes études de cas et des exercices pratiques à la formation de Québec.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De bien comprendre la portée et l’application des exigences

du nouveau Code national du bâtiment 2010 en matière de fenestration;

– De comprendre et d'évaluer de façon adéquate les critères de sélection relatifs à la localité, à la hauteur d'installation, à l'environnement immédiat et à la vocation du bâtiment, et ce, en conformité avec les exigences de la nouvelle norme harmonisée AAMA/WDMA/CSA/101/l.S.2/A-440-08;

– De faire un choix éclairé relativement aux produits de fenestration;– De définir les performances requises afin de prévenir les désordres

qui peuvent résulter d’un choix inapproprié de la fenestration.

Formateur robert jutras, ing.Président, Air-Ins Inc. - membre du CLEB

Contenu > Les exigences de la règlementation canadienne en matière de fenestration (codes et normes actuelles et futures)

> Les critères de performance et leur sélection

> Les problèmes potentiels reliés à une mauvaise définition des exigences requises

> Désordres et conséquences

... en mode pratiqueAnalyse du processus de sélection des exigences de performancerequise pour un produit de fenestration (en équipe).

À Varennes: visite du laboratoire Air-Ins au CLEB permettant debien saisir le but des essais en laboratoire et en chantier.

Bibliographie ciblée. Tableaux de référence. Extraits de codes, règlements et références aux normes.

technique

Fenestration – exigences du nouveau CNB 2010

Québec 26 janvier 2016Varennes 12 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

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Définir et implanter un programme de maintenance préven-tive. Identifier les stratégies, politiques et modes de gestionpour réaliser et suivre le plan d’entretien de ses actifs.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’initier la mise en place d’un programme de maintenance

préventive;– De définir les bases d’une politique d’entretien basée sur les

meilleures pratiques reconnues pour en faire un suivi adéquat.

Formateur michel jullienPrésident, Les consultants Ammco inc.

Contenu > Programme de maintenance préventive – Identification des installations– Méthodes et stratégies de relevé d’inventaire– Détermination des niveaux d’entretien– Normes et règlementation– Procédures de maintenance– Élaboration du programme de maintenance– Calcul des charges prévisionnelles– Établissement d’un calendrier d’intervention

> Stratégie de maintenance– Maintenance : terminologie, définitions, principes de gestion– Meilleures pratiques– Mission de l’organisation – Politique d’entretien

... en mode pratiqueÉtudes de cas. Analyse commentée d’étude de cas.Échange d’expertise.

Coffre à outils Fiches types de relevé d’inventaire.Exemples de programme d’entretien.Documents de références et bibliographie.


Gestion de la maintenance

Québec 16 mars 2016Montréal 12 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

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Les coûts représentent un des critères essentiels de la gestion deprojet. Il importe donc de se donner les bons moyens pour géreret contrôler cet aspect. Cette formation permet de mieux com-prendre les notions de contrôle des coûts selon les règles de l’art.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre les concepts de contrôle des coûts de projet;– De créer un projet;– D’estimer les budgets à l’aide d’un exemple commun;– De mesurer les écarts de coûts dans un projet à l’aide du

concept de la valeur acquise (VA).

Formateur jean-noël routhier, MGP, PMP

Contenu > Notions de base en gestion de projet

> de découpage d’un projet

> Estimation des coûts par activité

> Budgétisation du projet par lot de travail

> Mesure des écarts par la valeur acquise (VA)

... en mode pratiqueLa stratégie de formation est centrée sur la mise en application,étape par étape, des notions de base du contrôle des coûts deprojet pour chaque participant par :- la présentation des concepts théoriques de façon magistrale;- la démonstration des procédures de travail;- l’application individuelle de chaque procédure à un projetcommun en atelier;- le coaching personnel et rétroaction du formateur.

Les participants auront un projet qu’ils traiteront tout au longde la session.

Schémas des exposés.Exercices et outils.


Gestion des coûts d’un projet :planifier et assurer le contrôle et le suivi des coûts

Québec 2-3 février 2016Montréal 18-19 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 800 $

Coffre à outils

37

Comprendre et intégrer les notions de gestion des risques àtoutes les phases de la gestion d’un projet.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’identifier les risques d’un projet;– D’analyser les risques qui auront été identifiés;– D’établir un plan cohérent de mitigation des risques analysés;– De mettre en place un plan de gestion des risques;– D’élaborer leurs propres outils afin de mettre en place un

plan de gestion des risques.

Formateur jean-marc simard, MAP

Contenu Principes de gestion des risques d’un projet :> Introduction à la gestion des risques de projet;> Définition des méthodes et outils de gestion des risques;> Identification des éléments contextuels et corporatifs requis

pour la gestion des risques de projet;> Définition d’un plan cohérent de gestion des risques.Référentiel : Corpus de connaissances en management de projet(PMBOK®) du Project Management Institute (PMI®)

... en mode pratiqueLa stratégie de formation est centrée sur la mise en application,étape par étape, des notions de base de la gestion des risquesde projet pour chaque participant par :La présentation des concepts théoriques de façon magistrale;La démonstration des procédures de travail;L’application individuelle de chaque procédure à un projetconcret en atelier;Le coaching personnel et et la rétroaction du formateur.

Les participants sont encouragés à apporter leur ordinateurportable qui sera utilisé lors les exercices pratiques.

Coffre à outils Gabarits électroniques d’un plan de gestion des risques.Activité reconnue comme formation accréditée par le Project Management Institute (PMI®)


Gestion des risques à toutes lesphases de la gestion d’un projet

UEC : 1,4

Montréal 4-5 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 800 $

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[ 3 jours ]

Coffre à outils Calendrier de gestionDocuments de référence

Le monde immobilier évolue rapidement et les gestionnaires immobiliershéritent souvent de rôles multiples : gestion de l’opération, des espaceset/ou de la construction. Cette formation d’introduction à la gestionimmobilière s’adresse aux gestionnaires, ainsi qu’aux membres de leurséquipes, afin de leur permettre de comprendre et maitriser les bases dela gestion immobilière et les différents rôles du gestionnaire immobilier.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre et définir la mission d’une entreprise de gestion

immobilière commerciale;– De comprendre le rôle et les responsabilités du gestionnaire immobilier;– De mettre en place les bases d’une de gestion efficace;– De mettre en place un calendrier annuel de gestion efficace et complet;– De comprendre les fondements de la gestion des espaces;– D’établir et assurer des services aux occupants;– D’assurer l’exploitation de base d’un édifice;– De gérer des contrats de service et de construction.

Formateur steve Poulin, ing., directeur adjoint Société québécoise des infras du Québec

Contenu introduction à la gestion immobilière, rôle et [ jour 1 ]responsabilités du gestionnaire> L’équipe de gestion, composition et gestion des ressources humaines> Calendrier de gestion – outil essentiel au gestionnaire> Introduction aux grands principes de gestion des espacesopération quotidienne des immeubles [ jour 2 ]> Introduction à l’entretien planifié et à la maintenance préventive> Évaluation de l'état des immeubles – inspection et planification de projet> Gestion de l’efficacité et mise en service (recommissionning)> Plan des mesures d’urgence et règlementation> Gestion de l’énergie> Application du développement durableintroduction à la gestion de projets [ jour 3 ]> Gestion des contrats – appel d’offres et suivi des contrats> Planification stratégique et benchmarking

... en mode pratiqueMise en situation et exercices pratiques.Analyse commentée des stratégies.Résolution de problèmes.Étude de cas.


Gestion immobilière : comprendre et maîtriser les bases

2, 9 et Montréal 16 février 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 1 650 $

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comment établir un calendrier simPle et efficace qui me Permettra de bien Planifier les diverses interventions quicontribueront à mieux gérer mon immeuble tant sur le Plan del’exPloitation, de la gestion des esPaces que de l’administrationdes ressources.

Pour répondre à cette question vous devez préalablement :> Comprendre les grands défis de la gestion immobilière; > Identifier les principales obligations du gestionnaire :

inspection I gestion de projet I reddition de comptes I gestion des ressources humaines

> Identifier les tâches requises dans votre travail;> Appendre à développer des outils de gestion qui vous

aideront à planifier les tâches en fonction des ressources;> Vous familiariser avec l’établissement et l’utilisation d’un

calendrier de gestion immobilière :les outils I le suivi

Vous serez outillé pour bien établir les bases d’un calendrier de gestion pour le ou les immeubles dont vous avez la responsabilité, en participant à la formation :

gestion immobilière– ÉTABLIR UN CALENDRIER EFFICACEPOUR BIEN PLANIFIER LES INTERVENTIONS

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPertsteve Poulin, ing.

Directeur adjoint à la Société québécoise des infras

L’activité de perfectionnement est construite à partir d’une situation authentique. Elle vise à résoudre de façon concrète et dynamique des exemples de problèmes types reliés l’établissementd’un calendrier des activités de gestion immobilière.

Les participants contribueront tout au long de l’activité à identifieret à co-élaborer des pistes de solutions en utilisant des ressourcesdédiées et adaptées au contexte d’application.

[ 1/2 jour ]

offert en ligne exclusivement29 janvier 2016 I 8 h 30 à 12 h I 350 $

Planification

Coffre à outils

40

Établir sa stratégie de gouvernance en tenant compte del’ensemble des intervenants.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre le concept de gouvernance et d’en préciser

les principaux enjeux;– De bien saisir les relations entre le conseil d’administration,

les dirigeants et les parties prenantes;– De comprendre les principaux mécanismes de fonctionnement,

de contrôle et d’imputabilité qui régissent la prise de décisiondans l’organisation;

– De savoir comment rédiger un plan de gouvernance.

Formatrice nathalie aubin L.L.M., MBA, Adm.A., P.CSO, PMP, PCC, P2PDiagnosticienne organisationnelle

Contenu > Introduction à la gouvernance

> Les rôles et les responsabilités de l’ensemble des parties prenantes

> L’éthique et la déontologie

> Les responsabilités légales

> La gestion des risques

> Comment rédiger un plan de gouvernance efficace

... en mode pratiqueRédaction d’un plan de gouvernance

Documents de référence

management et rh

Gouvernance dans l’industrie dela construction


Nouveau

41

La maîtrise des habiletés politiques est un ingrédient essentiel àvotre succès au travail. Apprenez à devenir un acteur stratégique etefficace qui influence de façon positive les autres parties prenantes.

Cette formation sera présentée en deux demi-journées distinctesafin de permettre aux participants d’expérimenter les acquisdans leur milieu de travail.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De reconnaître les différentes manifestations du pouvoir;– De déployer adéquatement les bases de pouvoir;– De décoder les jeux politiques organisationnels et d’en

comprendre l’origine;– D’intensifier, d’étendre et de faire durer son propre pouvoir

dans l’organisation;– D’utiliser les stratégies et les tactiques politiques pour devenir

un acteur efficace.


Contenu > Les catalyseurs du pouvoir

> Les bases du pouvoir et l’analyse des ressources

> Les enjeux des acteurs politiques

> Les types d’acteurs politiques

> La cartographie des jeux de pouvoir

> Les jeux de pouvoir et leur dynamique

... en mode pratiqueExercices pratiquesCréation d’une cartographie de votre organisationTest « Quel type de joueur êtes-vous ? »Test des couleurs « Quel type de communicateur êtes-vous ? »

Coffre à outils Documents de référence

management et rh

Habiletés politiques

Montréal 5 et 17 mai 2016 I 8 h 30 à 12 h 00 I 595 $

[ 2 x 1/2 jour ]

42

lorsqu’on constate qu’un toit coule, il Peut déjà y avoir Pas-sablement de dommages. Parfois Plus qu’il n’y ParaÎt… com-ment intervenir Pour limiter, Puis réParer les dommages.

Pour faire face à cette nouvelle problématique vous devez dès lors :> Comprendre les impacts réels d’une infiltration d’eau dans une couverture;> Vous familiariser avec les méthodes de diagnostic et d’évaluation;> Connaître les principaux matériaux et systèmes ainsi que les méthodes

de réparation d’urgence;> Être familier avec les interventions possibles, en fonction de l’état

d’une couverture;> Connaître les critères de sélection d’un professionnel et d’un entrepreneur; > Connaître les outils à la disposition des professionnels, leurs possibilités

et leurs limitations;> Être informé des garanties et des recours possibles.

Vous serez en mesure d’intervenir efficacement et de minimiser les dommages causéspar l’infiltration d’eau d’une couverture en participant à l’activité de perfectionnement :

infiltration d’eau Par unecouverture – MESURES D’URGENCE, DIAGNOSTIC,RISQUES, CONSÉQUENCES ET INTERVENTIONS

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPert guy lalonde, arch.

Directeur techniqueAssociation des maîtres couvreurs du Québec

Cette formation est construire à partir de cas et de situations types.Elle vise à résoudre de façon concrète et dynamique des exemplesde problèmes reliés à l’infiltration d’eau dans une couverture.


[ 1/2 jour ]

offert en ligne exclusivement8 avril 2016 I 8 h 30 à 12 h I 350 $


43

Investigation de base d’immeubles en vue de préparer les différentsplans d’entretien, les projections des investissements, les mandatsd’experts selon le cas ainsi que l’identification des risques à lasanté des occupants et des travailleurs.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De procéder à une visite structurée des lieux;– D’identifier des indices et des situations demandant une

solution immédiate, à moyen ou à long terme;– D’établir les plans d’action selon la situation, incluant la

préparation des mandats d’experts.

Formatrice jacqueline meunierConsultante

Contenu > Introduction– Les différents types d’inspection– Les différents types d’expertise

> Se préparer à l’inspection– Comprendre les différents phénomènes qui affectent les

immeubles : L’environnement I Les mouvements de chaleur, d’humidité, d’air et leurs conséquences sur les matériaux ILes caractéristiques des matériaux (durabilité et compatibilité) I L’ABC des systèmes électriques, de plomberie, ventilation/ chauffage/climatisation I Le rôle des utilisateurs.

– Le matériel d’inspection

> Colliger l’information et faire des suivis– Différents types de rapports – Sources d’information

> Préparer des demandes de travail, des mandats d’experts

... en mode pratiqueÉchange d’expertise.Étude de cas.

Montréal 19 avril 2016Québec 10 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595$

Coffre à outils Documentation de référence.


Inspection générale d’un immeuble

44

Dans le cadre de la mise en application de la nouvelle règlementation sur l’inspection des façades, la formation abordera autant son cadre d’application que les procéduresd’inspection et d’entretien des façades.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre comment les façades sont sollicitées;– De connaître les différentes normes et règlementations en

lien avec les façades et leur application au Québec; – De comparer les procédures d’inspection qui existent et

leurs caractéristiques; – De comprendre la portée des différentes interventions

possibles, de l’entretien jusqu’à la réhabilitation des façades.


Contenu > Bref rappel des principes de construction des murs extérieurs

> Identification des systèmes de revêtements et de leur vulnérabilité

> La performance en service et le développement durable

> Processus de détérioration, entretien et cadre normatif

> Définition et historique de la façade

> Normes et règlementations de référence (ASTM E-2270, E-2841, E-1825 et CSA-S478)

> Nouvelle règlementation en vigueur au Québec

> Les procédures et le cadre d’inspection

> La responsabilité des intervenants

> L’entretien, la préservation et la réhabilitation

... en mode pratiqueAnalyse comparative d’extraits de normes et de règlements, misesen situation, identification de problèmes et de solutions aumoyen d’études de cas, discussions ouvertes sur la responsabilitédes intervenants.

Coffre à outils Documents de références


Inspection préventivedes façades

Montréal 13 janvier 2016Québec 30 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635$

Coffre à outils

45

Entretien préventif et traitement des pathologies du béton :une approche globale pour intervenir efficacement et éviterles coûts inutiles.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De reconnaître les signes de détérioration du béton;– D’identifier les types de correctifs disponibles;– De faire des choix éclairés lors de travaux de réfection;– De mettre en place un programme d’entretien préventif.

Formateur normand tétreault, ing.Président – Soconex

Contenu > Introduction – défis et contraintes> Les éléments déterminants

– la conception– les paramètres intrinsèques du béton– la mise en œuvre– les éléments extérieurs : carbonatation, contamination,

conditions climatiques

> Prévention– entretien I bonnes pratiques I pièges à éviter

> Diagnostic de défaillance – causes et symptômes– état de la

plans I paramètres d’inspection I relevés visuels, manuels Iinspection et auscultation I analyses physiques et chimiques

> Critères de performance– capacités (charges)– sécurité– esthétisme– durabilité

> Interventions – une approche globale– définition des besoins : une étape importante– vision commune des intervenants– contrôle de la qualité

... en mode pratiqueÉtude de cas.Processus de résolution de problèmes.

Extraits : codes, normes et règlements.Sites de référence.Liste de vérification.


Inspection, entretien, diagnosticet réparation de béton


46

le droit de la construction évolue raPidement, tant aux niveaux législatif que jurisPrudentiel. cet atelier Présente la jurisPrudence marquante des derniers mois en matière notamment d’exécution de contrats de construction, d’hyPothèques légales et de réclamations.

Pour être bien outillé et vous retrouver plus facilement dans cette jurisprudence abondante, vous avez tout intérêt à :

Connaître l’état actuel de la jurisprudence en matière :> d’exécution de contrats> d’hypothèques légales> de réclamations, etc.

Lors de cette présentation, la formatrice signalera les tendancesobservables dans ce domaine où les contours juridiques ne sont pastoujours aussi clairs que l’on croit.

Vous saisirez mieux l’importance du droit et l’étendue de son influence en participant à l’activité :

jurisPrudence en droitde la construction

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPertenathalie aubin, L.L.M., MBA, Adm.A., P.CSO, PMP, PCC, P2P

Diagnosticienne organisationnelle et conférencière

L’activité de perfectionnement est construite à partir de l’analyse dela jurisprudence. Elle vise à montrer de façon concrète et dynamiquedes exemples de problèmes types reliés au droit de la construction.


[ 1/2 jour ]

offert en ligne exclusivement15 février 2016 I 13 h à 16 h 30 I 350 $

légal

47

une mauvaise interPrétation ou une évaluation inadéquatedes besoins du donneur d’ouvrage imPacte directement surles coûts, les délais et augmente les risques d’erreurs. comment limiter les changements relatifs aux besoins etainsi éviter les conséquences sur l’ensemble du Projet ?

Pour vous assurer de bien saisir les besoins du donneur d’ouvrage il vous fautpréalablement :

> Comprendre la relation entre besoin, solution et opportunité; > Être en mesure de vous mettre à la place du décideur pour en

tirer profit;> Maîtriser la démarche d’analyse des besoins;> Savoir utiliser les outils d’analyse des besoins;> Maîtriser les concepts de base liés aux besoins;> Savoir identifier les utilisateurs finaux d’un projet;> Apprendre à valider les besoins auprès des utilisateurs finaux.

Vous serez outillé pour minimiser les changements engendrés par l’analyse déficiente des besoins en participant à l’activité :

l’analyse des besoins :POUR EN FINIR UNE FOIS POUR TOUTES AVEC

LES CHANGEMENTS EN COURS DE PROJET

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPertenathalie aubin, L.L.M., MBA, Adm.A., P.CSO, PMP, PCC, P2P

Diagnosticienne organisationnelle et conférencière

L’activité de perfectionnement est construite à partir d’une situationauthentique. Elle vise à résoudre de façon concrète et dynamiquedes exemples de problèmes types reliés à l’analyse des besoins.


[ 1/2 jour ]

offert en ligne exclusivement9 mai 2016 I 13 h à 16 h 30 I 350 $

Planification

48

Où doit-on donner de la tête quand il faut à la fois atteindredes résultats et stimuler les employés ? Que dois-je faire pourmaintenir un équilibre entre l’accomplissement des tâches et lemaintien de relations de collaboration au sein de mon équipe ?Comment prioriser quand tout est prioritaire ? Lors de cet atelier,vous obtiendrez votre profil de gestionnaire qui vous indiquerasi vous êtes davantage orienté résultat ou relation, ou à quelquepart entre les deux. À partir de ce constat, vous pourrez utiliserencore davantage les approches qui vous sont naturelles dansles situations appropriées et enrichir votre profil avec 4 typesd’outils de gestion proposés.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’enrichir votre approche de gestion des personnes et des résultats

avec des principes reconnus;– De prendre conscience de l’importance des 4 fonctions du processus

de gestion : planifier, organiser, diriger, contrôler;– De cerner votre rôle et vos responsabilités lorsqu’il s’agit de la gestion

d’une équipe;– De distinguer les caractéristiques des 4 styles de communication

pour élargir votre répertoire dans différentes situations;– De décrire les 4 stades de développement d’une équipe et repérer

où en est votre équipe et le prochain stade vers où la mener;– D’associer le comportement de gestion le plus utile au stade de

développement de votre équipe;– D’utiliser une démarche pour déléguer efficacement une responsabilité

ou un mandat à un employé.


Contenu > Les processus de gestion> La raison d’être des gestionnaires dans une organisation> L’orientation résultats et l’orientation relation> Les principales habiletés de gestion> Les préférences en communication> Les 4 comportements de gestion> Les stades de maturité professionnelle d’une équipe> La motivation et les besoins des personnes> La dynamique des équipes

... en mode pratiqueProfil de gestionnaire.Profil de l’équipe.Mises en situation.Expérimentation interactive.

Coffre à outils Diagramme d’affinités en gestion de projet.Processus pour déléguer.Aide-mémoire – Les facteurs de motivation.Processus de prise de décision.

management et rh

Le métier de gestionnaire– quoi, comment, pourquoi ?

Québec 9 février 2016Montréal 22 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 495 $

49

Tout professionnel ou technicien est susceptible de devoir rédigeret soumettre un rapport d’expertise. Il est également possiblequ’il soit appelé au tribunal à titre d’expert ou comme témoinordinaire pour témoigner sur les faits. Dans un cas commedans l’autre, il lui est essentiel de maîtriser les techniques et les règles de base de la présence au tribunal.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De préparer leur présence au tribunal, peu importe la juridiction(cour municipale, cour supérieure, tribunaux administratifs), comme témoin ordinaire ou comme témoin expert;– De présenter un témoignage (ordinaire ou d’expertise) selon

les règles de l’art;– De maîtriser les éléments de planification, de rédaction et de

présentation d’un rapport d’expertise.

Formateur claude lavoie, urbaniste

Contenu > Les deux types de témoignages – définitions et rôles– témoin ordinaire– le témoin expert

> Le rapport soumis au tribunal– définition– utilité pour le tribunal– les critères– les exigences de rédaction

> La vacation au tribunal– la préparation du témoignage– l’interrogatoire– le contre-interrogatoire– la présentation du rapport d’expertise– l’utilisation de l’audiovisuel

> Le jeu de rôles – simulation de témoignages et d’interrogatoires

La session met l’emphase sur la crédibilité, le professionnalisme et la rigueur scientifique qui sont des paramètres fondamentaux,particulièrement dans le cas du témoin expert.

... en mode pratiqueExpérimentation et simulation.

Coffre à outils Coffre à outils.Textes de référence.Tableau synthèse.

légal

Le rapport d’expertise etle témoignage au Tribunal


50

Les plans et devis sont utilisés comme outils de communicationentre les différents intervenants d’un projet. Pour que lacommunication soit efficace, chacun doit bien comprendreles subtilités du langage utilisé.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De décrire les types de plans et leur utilité;– De décrire les divers éléments constituant un plan

d’architecture;– De lire et de comprendre les dessins techniques utilisés

en architecture.

Formateur rodrigue Paulin, arch.Paulin architecte

Contenu > Introduction : usage des plans et devis> Les types de plans et leur utilité :

esquisses, préliminaires, définitifs, tels que construits, etc.> Les éléments constituants d’un plan :

cartouche, échelle, légende, symboles> Le dessin technique : usages spécifiques> Symboles graphiques et légendes

renvois aux dessins en coupes et aux détails I traits de coupes Isymboles de murs, cloisons, portes, fenêtres, escaliers, etc. Isymboles de matériaux I symboles d’identification des locaux.

> Éléments de base pour les dessins d’architectureillustrations des montants et des profilés métalliques pour systèmes intérieurs I des colombages en bois I des éléments de maçonnerie (brique, blocs de béton, pierre, etc.) I des détails de parements de murs (linteaux, attaches et ancrages, etc.) I des divers autres

composants de la construction (vitrage, boiserie, matériaux isolants,acier, terre, roc, gravier, etc.)> Normes et bonnes manières

– Propriété intellectuelle– Copies de plans à des tiers (format – utilisation)– Délais de conservation

... en mode pratiqueExemple de dessins : projet réalisé.La lecture de plans commentée.

Montréal 1 juin 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

Lexique, bibliographie, documents de référence.

chantiers

Lecture de plans – architecture

Coffre à outils

51

Les plans de systèmes mécaniques sont des outils importantsde planification d'un projet afin de traduire les conceptsmécaniques en un projet réalisable. Afin de pouvoir utiliser cesoutils puissants, nous devons acquérir les connaissances et leshabiletés nécessaires pour lire et comprendre les divers plans,schémas, croquis et diagrammes de mécanique du bâtiment,et ce, à diverses étapes de développement du projet.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De recueillir de l’information technique sur les plans de la

mécanique du bâtiment;– De reconnaitre les composantes des systèmes mécaniques

et leur interaction sur les dessins techniques;– De relever des mesures dimensionnelles sur les plans;– De reconnaitre et d’établir des liens entre les disciplines de

la mécanique.

Formateur simon leblanc, ing. PA LEED BD+CIngénieur mécanique, Pageau Morel et associés

Contenu > Lecture et compréhension des plans de mécanique et des symboles de toutes les disciplines associées :– Réfrigération– Climatisation– Ventilation– Chauffage– Plomberie– Protection incendie– Régulation

> Exemples visuels des équipements et des accessoires mécaniqueset leur interprétation dans un espace tridimensionnel

> Lecture et compréhension des aspects de profondeur des éléments et leur interprétation dans un espace tridimensionnel

> Lecture et compréhension des diagrammes schématiques non dimensionnés

> Prise de mesures et compréhension des échelles de dessin : – Système international (métrique)– Système impérial (anglais)

... en mode pratiqueMise en situation et exercices pratiquesÉtude de plans de construction et étude de cas


chantiers

Lecture de plans – systèmes mécaniques


52

Que ce soit en rénovation ou pour une construction neuve, laréussite et la performance d’un toit vert nécessitent un minimumde connaissances techniques, un suivi de la construction ainsiqu’un programme d’entretien.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De reconnaître les conditions nécessaires à la réalisation

d’un toit vert;– D’établir leurs objectifs particuliers;– D’identifier les matériaux de construction appropriés à leurs besoins;– De concevoir un assemblage selon divers scénarios;– D’intervenir et d’interagir avec les concepteurs;– D’établir et de gérer l’entretien de leur projet.

Formateur antoine trottierPrésident et co-fondateur, La ligne verte

Contenu > Avantages techniques et environnementaux (protection de l’enveloppe, calcul de l’eau retenue, économie d’énergie, LEED® NC, LEED® CS, LEED® BE : E&E)

> Définition des objectifs (usage, esthétisme, accessibilité, aménagement)

> Contraintes (code du bâtiment, évaluation des coûts et des poids, accès, entretien)

> Types de toits verts (systèmes extensifs, semi-intensifs et intensifs)

> Types de toiture (conventionnelle et inversée, plate ou en pente)(systèmes extensifs, semi-intensifs et intensifs)

> Matériaux et assemblage (barrière antiracine, panneau de drainage, substrat de culture)

> Technique (détails, fiches techniques et devis)

> Étapes de construction (chantiers et vidéos de pose)

> Sélection de la végétation (critères de sélection)

> Programme d’entretien (opérations, fréquence des visites)

... en mode pratiqueLeçons apprises et discussions à partir d’exemples de chantierset de réalisations d’ici et d’ailleurs

Coffre à outils Notes de coursRéférences techniques et liens utiles

technique

Les toitures végétalisées – de la conception à la construction

59Montréal 19 janvier 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595 $

53

Considérant que les mots ne comptent que pour 7 % dans lacommunication, l’impact du langage corporel est dès lors plusque déterminant. Que révèle la posture, la gestuelle ou mêmel’expression faciale ? Savoir lire son interlocuteur demande unecompréhension du langage non verbal afin d’être en mesured’établir un lien de confiance et une relation authentique.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre les principes de base de la théorie de la relation;– D’être attentif aux items de lecture du langage corporel;– D’améliorer leurs communications et leurs relations de travail

(gestion, représentation, etc.);– De repérer les incongruences (messages contradictoires) entre la

parole et la gestuelle;– De lire le non verbal dans divers contextes : ventes, négociations,

évaluation du personnel, présentations d'offres de services, réunionsd'équipes de chantiers..

Formateur raymond demers, ing., synergologuePrésident, Mentor Conseil et Synergologie d’affaires

Contenu > Les fondements du non verbal (synergologie)

> L’importance des composantes de la communication– Importance du langage verbal vs le langage non verbal– Les conséquences d’un conflit entre les mots vs la gestuelle– La théorie de la relation– Les types de messages transmis par le langage corporel

> L’analyse des éléments du langage non verbal– Le premier contact : la poignée de mains, la démarche, les pieds– Les messages contradictoires (mots vs gestes)– Les inclinaisons de la tête (empathie, rigidité, etc.)– Les gestes et les mains (protection, agressivité, fermeture, etc.)– Les messages livrés par l’expression du visage (autorité, rejet, etc.)– Le regard et le mouvement des yeux– Les objets utilisés par l’interlocuteur (appropriation, rejet, etc.)

... en mode pratiqueLes principes et comment les appliquer, mises en situationset exercices pratiques, expérimentations interactives, lectureset interprétation de vidéos.

59Montréal 24 février 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 495 $

Coffre à outils Manuel de référenceSchéma de la théorie de la relationSchéma des positions sur la chaise

management et rh

Lire le non verbal : un outilgagnant pour mieux communiquer

54

L’apparition constante de nouvelles normes, règlements etexigences constitue un réel défi pour les gestionnaires et lesresponsables de la maintenance des bâtiments qui doiventles connaître, en suivre l’évolution et les faire appliquer.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’identifier les différents organismes de règlementation qui

les concernent;– D’identifier les exigences requises pour leurs installations;– D’intervenir conformément aux exigences applicables;– De mettre en place des mécanismes de suivi.

Formateur michel jullienPrésident, Les consultants Ammco inc.

Contenu > Contexte règlementaire lié aux équipements et aux bâtiments– Principaux organismes de règlementation– Différence entre :

normes, codes, exigences et pratiques recommandées– Applicabilité et juridiction

> Exigences reliées aux différents éléments et aux installations – Mécanique du bâtiment (CVAC, plomberie, incendie)– Électricité– Architecture– Équipements mécaniques et de levage– Équipements spécialisés – Secteurs d’activité particuliers

(établissements de santé, installations à risque spécifique,…)

> Mise en application et suivi– Applicabilité des exigences– Les expertises– Principes de contrôle de bonne exécution– Mécanismes de suivi

... en mode pratiqueÉtudes de cas. Impact des périmètres d’applicabilité des exigences règlementaires.Analyse commentée d’études de cas.

Coffre à outils Extraits (codes et règlements).Liste des documents de référence.


Maintenance des bâtiments – Exigences règlementaires

Montréal 3 mai 2016Québec 19 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595$

55

Le cours vise à sensibiliser les participants à l’importance pourle gestionnaire immobilier de bien mesurer ses espaces locatifset de faire la gestion de cette information en utilisant les dernières mises à jour des normes reconnues par l’industriede la gestion immobilière.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre l’origine du mesurage des espaces de bureaux;

– De comprendre l’impact des normes de mesurage sur le calculd’une superficie locative;

– D’appliquer la norme de mesurage avec un exemple pratique;

– D’apprécier l’impact économique du mesurage sur le rendement d’un investissement immobilier;

– D’identifier et de comparer les facteurs de majoration utilisésdans les mesurages d’espaces locatifs.

Formateur claude boisvert, arch. MBA

Contenu > Signification de l’acronyme BOMA et statistiques

> Origine de la norme de mesurage BOMA

> Qu’est-ce qu’une norme

> Usage de la norme de mesurage

> Définition et illustrations

... en mode pratiquePlans d’étage avec mises en situation.Explication des concepts de superficie bâtie, de superficie brutemesurée, de superficie locative d’étage.Évaluation des revenus locatifs supplémentaires générés parun mesurage selon les normes.

[ 1/2 jour ]

Montréal 27 mai 2016 I 13 h à 16 h 30 I 350 $

Coffre à outils Guide technique


Maximiser les revenus de tousses espaces locatifs

56

Compréhension de base des caractéristiques et des propriétésdes sols sur lesquels les immeubles et les aménagements degénie civil reposent en vue d’identifier les impacts d’un projet deconstruction ou de réaménagement ou les causes probablesd’un désordre observé à une .

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’utiliser les termes de base de la mécanique des sols;– D’identifier les types de sols présents dans une région donnée;– De comprendre le comportement des différents types de sol

lorsque soumis à des charges de construction;– De reconnaître les risques associés à la mécanique des sols;– De comprendre les méthodes d’investigation existantes dans

le domaine de la mécanique des sols.

Formateur sylvain roy, ing., M.Sc.A.Vice-président expertise et Directeur de projets spéciaux, Englobe

Contenu > Définition et contexte règlementaire– Présentation des termes usuels utilisés par les géotechniciens– Présentation des codes, des normes et des ouvrages de référence usuels

> Lecture des cartes et des rapports géologiques– Où peut-on se procurer les cartes d'aptitude des sols ?– Quelles informations les cartes peuvent-elles nous procurer ?– Existe-t-il des pièges avec ces cartes ?– Quoi faire avec les informations recueillies ?

> Les méthodes d’investigation géotechnique– Les puits d’exploration– Les forages– Les essais SPT– Les essais scissométriques– Les essais de perméabilité

> Le comportement des différents types de sol et les risques associés– La capacité portante des sols– L’ampleur des tassements– Qu’est-ce que la consolidation ?– La sismique et la liquéfaction– Précautions à prendre lorsque l'on construit des fondations

... en mode pratiqueÉtude de cas : planifier une étude géotechnique dans le cadred’un avant-projet


technique

Mécanique des sols


57

comment mesurer et comParer la Performance des activitésde gestion immobilière de votre entrePrise afin d'en améliorerles Processus ?

Pour répondre à cette question vous devez préalablement :> Vous familiariser avec les notions de performance et d’étalonnage

(benchmarking); > Identifier les indices de performance pertinents pour votre

entreprise;> Identifier les sources de partage d’information et établir les

comparables pertinents;> Établir les cibles réalistes et mesurables à atteindre;> Sélectionner les mesures d’étalonnage à introduire dans votre

planification stratégique;> Établir des procédures de suivi et de reddition des comptes.

Vous serez outillé pour établir et assurer le suivi des objectifs de performanceréalistes pour les activités de votre entreprise en participant à la formation :

mesure de la Performanceen gestion immobilière :– SE COMPARER POUR S’AMÉLIORER

une activité de formation continue avec l’aPProche de résolution Par Problème [ aPP ], animée Par notre exPert steve Poulin, ing.

Directeur adjoint à la Société québécoise des infras du Qué-bec

L’activité de perfectionnement est construite à partir d’une situationauthentique. Elle vise à résoudre de façon concrète et dynamiquedes exemples de problèmes à mesurer la performance en gestionimmobilière en vue d’améliorer ses façons de faire.


offert en ligne exclusivement13 mai 2016 I 8 h 30 à 12 h I 350 $

opération et entretien[ 1/2 jour ]

58

Quelle est la réglementation applicable aux bâtiments existants?Quelle est la flexibilité dont je dispose? Quels sont les élémentsexistants qui peuvent rester tels quels ?

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De déterminer les éléments à prendre en considération lors

de la mise en conformité d'un bâtiment existant;– De déterminer la flexibilité dont ils disposent et les exigences

réglementaires applicables;– D'utiliser les outils permettant de déterminer et d'interpréter

les exigences applicables pour un projet spécifique.

Formatrice nicole olivier, arch. Conseillère technique, Technorm

Contenu > Définition des termes– Entretien– Mise en conformité suite à une non-conformité– Mise en conformité sans changement d'usage ni agrandissement– Mise aux normes suite à un sinistre ou volontaire

> Contexte règlementaireObligations des propriétaires et application de mesures différentes

> Les éléments devant être considérés– Le type de bâtiment– Les moyens d’évacuation– Les escaliers et les garde-corps– Les accès sans obstacle– Le réseau d’alarme-incendie– La protection par gicleurs– L’éclairage normal et de sécurité des espaces publics– La source de courant d’urgence– Les ascenseurs– Les équipements, opérations ou entreposage pouvant comporter

des risques particuliers– La sécurité des éléments en béton (garages et murs extérieurs)

et des murs en maçonnerie

Note : Les systèmes électriques, la ventilation et l'enveloppe du bâtiment ne seront pas couverts dans ce cours

... en mode pratiqueÉtudes de cas. Validation des exigences spécifiques pour lamise en conformité d’un bâtiment

Québec 8 mars 2016Montréal 5 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635$

Coffre à outils Documents de référenceNote : Les participants qui possèdent un exemplaire du «Code de constructiondu Québec, Chapitre I – Bâtiment, et Code national du bâtiment – Canada 2010(modifié)» ainsi que le Code de sécurité – bâtiment (ou le code de préventiondes incendies du Canada sont invités à apporter ces documents.


Mise en conformité des bâtiments existants– sécurité incendie et usage du bâtiment

Renouvelé

59

Bâtiments neufs ou constructions anciennes : les moisissuresn’épargnent personne. Même si la prévention demeure l’armela plus efficace, la connaissance et un jugement éclairé sontdes atouts précieux.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De reconnaître et d’évaluer les signes et les indices de la

présence de moisissures;– D’identifier les situations potentiellement à risque;– D’évaluer les problèmes actuels et leur évolution;– D’intervenir de façon sécuritaire et efficace en présence

de moisissures.

Formateurs michel legris, hygiéniste industriel jacqueline meunier, consultante

Contenu > Introduction :– qu’est-ce qu’une moisissure ?– quelles sont les conditions indispensables à une prolifération

de moisissures ?

> Sources de contamination et facteurs de prolifération :– environnement;– éléments architecturaux;– sources de contaminants.

> Diagnostic, prévention et interventions correctives :– inspection visuelle;– identification et analyse des contaminants;– méthodes de décontamination fongique;– listes de vérifications et d’entretien.

> Rôles et responsabilités :– des gestionnaires;– des occupants.

... en mode pratiqueÉtude de cas.

Montréal 3 mai 2016Québec 31 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595$

Coffre à outils Documentation de référence.Listes de vérification.Guide de prévention.


Moisissures

60

Regard sur les modes de construction, la performance, les défail-lances et l’entretien des murs et des parements en maçonnerie.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De différencier les types de murs de maçonnerie et d’y

rattacher les risques propres à chacun;– De connaître les différents éléments composant les murs et

les parements en maçonnerie;– D’identifier les principaux points de vulnérabilité et d’en

vérifier sommairement l’état;– D’identifier les pistes de solutions aux problèmes les plus fréquents.

Formateur nicolas bernier, T.P., directeur Expertises – bureau de QuébecPatenaude Trempe Van Dalen inc. - Membre du CLEB

Contenu > Les types de murs et de parements en maçonnerie– Bref rappel historique– Le mur massif– Les murs hybrides– Les murs à écran pare-pluie et leurs variantes– Les enduits et crépis– Les autres dérivés de la maçonnerie

> Matériaux et composants– La pierre, les briques, les blocs et les autres éléments de maçonnerie– Le mortier– Les solins, les ancrages et les autres dispositifs relatifs à la maçonnerie

> Les normes, mise en œuvre et protection– Les références générales– Le Code du bâtiment– Les normes CSA, les exigences et les essais

> Les modes d’évaluation et d’investigation– Les relevés visuels– Les expertises– Le monitorage– L’analyse par simulations et autres suivis des ouvrages

... en mode pratiqueDes études de cas sous forme interactive et des inspections dedifférents types de murs avec analyses comparatives en groupes.

Coffre à outils Bibliographie ciblée.Détails d’assemblages typiques.

technique

Murs et parements extérieursde maçonnerie

Québec 4 février 2016Montréal 28 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635$

61

Apprenez comment évaluer l’état de vos actifs et mettre enplace les bases d’un plan directeur de maintien.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’identifier les enjeux et les besoins au sein de leur propre

organisation;– De définir les bases d’un plan directeur de maintien d’actifs

issues des meilleures pratiques; reconnues (ISO 55000, PASS 55, etc.) pour en faire un suivi adéquat;

– D’initier la mise en place d’un plan directeur de maintien d’actifs.

Formateur cyril chateau, ing.Expert conseil en gestion d’actifs, tbmaestro

Contenu Cette formation permet de définir les principaux enjeux liés à la gestion d’actifs physiques. En plus de comprendre l’intérêt de mettre en place une stratégie de gestion durable sur l’ensembledu cycle de vie des actifs, la formation mènera les participants àassimiler les différentes étapes d’élaboration d’un plan directeurde maintien d’actifs.

> Introduction aux notions générales de gestion d’actifs (ISO 55000, PAS 55, etc.)

> Définition des enjeux à maîtriser pour une gestion efficace et durable

> Méthodes et stratégies pour évaluer l’état des actifs

> Méthodologie de pilotage basée sur une maîtrise des risques

> Mise en place d’indicateurs de performance

> Élaboration d’un plan directeur de maintien d’actifs

... en mode pratiqueMise en situation et exercices pratiques.Analyse commentée d’étude de cas.Échanges dynamiques entre les participants



Optimisez la gestion de vos actifs immobiliers

Québec 21 avril 20163Montréal 26 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595$

62

Mieux comprendre les critères de conception et de maintenancedes systèmes de plomberie pour assurer une gestion efficaceet économique des bâtiments.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De développer des réflexes gagnants en gestion de projets

pour économiser et éviter les problèmes;– De distinguer les différents types d’appareils et d’équipements

et de connaître leurs caractéristiques;– De comprendre et d’utiliser adéquatement les codes et

les normes.

Formateur daniel marchand, tech., PA LEEDChargé de projets, Bouthillette Parizeau

Contenu > Codes et normesLe nouveau code CNP-2005, le code de sécurité et la responsabilitédu propriétaire, la CSST, les installations sans obstacles et larèglementation municipale.

> Critères de conceptionCritères de dimensionnement des différents réseaux (eau domestique, pluviale, sanitaire, gaz naturel), critères pour déterminer le nombre d’appareils requis, etc.

> Gestion de projetsLes éléments connexes en plomberie qui influencent les travaux d’aménagement, à quoi penser pour éviter les problèmes.

> LEED et le développement durable en plomberie> Maintenance

Ce qu’il ne faut pas négliger, les impacts liés à l’absence de maintenance.

> Dernières tendancesL’évolution de la plomberie dans les dernières années : système de drainage sous vide, drain de toiture siphonique, évent automatique, etc.

... en mode pratiqueMise en situation et exercices pratiques.


Coffre à outils Extraits de codes, références Internet, fiches techniques, tableaux de référence.

technique

Plomberie – principes de conceptionet maintenance des systèmes

63

Cette formation permettra aux professionnels, aux gestionnaireset aux constructeurs de faire des choix éclairés en fonction deleurs besoins et des normes en vigueur.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De nommer quelques nouveautés offertes par l’industrie des

portes, des cadres et de la quincaillerie architecturale;– D’identifier les types d’équipement requis selon les différents

projets de construction et de mise aux normes;– De déterminer la classification (grade 1, 2 ou 3) requise en

fonction de l’application;– D’utiliser le vocabulaire de la quincaillerie architecturale dans

leurs relations avec les fournisseurs;– De juger sommairement de la qualité des devis soumis;– De bien comprendre l’importance des ouvertures homologuées

pare-flammes afin d’assurer la sécurité des occupants.

Formateurs serge lalancette, consultant AHC/FDAI

Contenu > Les principales constructions de portes : bois et acier

> Les différentes constructions de cadres : bois et acier

> Les exigences pour obtenir des portes et cadres assemblés conformes à la norme NFPA-80 édition 2007

> Les éléments de quincaillerie architecturale les plus utilisés

> Les éléments de quincaillerie architecturale homologués servant aux portes pare-flammes

> La quincaillerie électrifiée : une réalité

> Le contrôle d’accès et la quincaillerie électrifiée

> Les coupe-froids, les coupe-sons

> Les applications diverses

... en mode pratiqueAtelier permettant aux participants de formuler une spécificationde quelques applications différentes. Une présentation sur DVDd’une ouverture assemblée porte, cadre et quincaillerie soumiseà un essai coupe feu.

Montréal 17 mars 2016Québec 3 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635$

Documents de référence.Trousse d’inspection pour les ouvertures pare-flammes.

technique

Portes, cadres et éléments dequincaillerie architecturale

Coffre à outils

64

Définition et raison d’être de la programmation fonctionnelleet technique. Méthodologies d’application et organisation dutravail de programmation. Description du système d’analyse etde traitement des données de projet. Intégration du PFT dansle système de réalisation de projet.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’établir précisément les membres du personnel et les usagers

qui seront appelés à participer à l’exercice de PFT et d’en contrôler la logistique;

– D’appliquer les méthodes de PFT à tout projet de construction;– D’intégrer le PFT dans son système de réalisation de projets;– De tenir un appel d’offres et de procéder au choix d’une

équipe de PFT dans le cadre du projet envisagé.

Formateur gil goyette, architecte

Contenu > Principes de baseles fondements de la programmation fonctionnelle et technique,les fonctions, les éléments constitutifs, la relation PFT-conception.

>L’arbre fonctionnel l’organisation, l’opération, la définition de la scène idéale, la mission et les buts, et leurs impacts sur la conception

> Les éléments constitutifs du programmeles tableaux synthèses, le processus schématisé, l’énoncé de projet, les fiches d’unité spatiales, les principes d’adéquation

> La programmation technique le domaine d’application, Uniformat II et performance, estimation

des coûts par unité fonctionnelle

> Gestion de la programmation l’organisation de l’équipe, l’organisation du maitre de l’ouvrage, les représentants consultatifs et les représentants décisionnels.Note : La formation est orientée principalement vers le praticien. Cependant,la première demi-journée est constituée d’une présentation générale du PFT,utile à tout intervenant de l’industrie désirant se familiariser avec cette technique.Certaines personnes pourraient donc s’inscrire à la première journée seulement.Veuillez nous contacter.

... en mode pratiqueMises en situation et exercices pratiques : entrevues, analysefonctionnelle, opération et établissement des performances.Préparation d’un plan de travail de PFT. Résolution de problèmes.

Montréal 20-21 avril 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 1 155 $

Coffre à outils Textes de références. Guides et normes.Lexique et bibliographie.


Programmation fonctionnelleet technique [ PFT ]

65

Ce cours s'adresse aux propriétaires, aux professionnels et auxconstructeurs. Il a pour objectif de démontrer comment l’échéancierpeut être utilisé comme un outil de travail plutôt que simplementcomme outil de mesure pour blâmer l’un ou l’autre des intervenants.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De préparer et d'approuver un échéancier de référence; – D’identifier le niveau de détail requis;– De décrire les rôles et les obligations de chacune des parties

dans le suivi de l’échéancier;– D'utiliser l'échéancier pour améliorer la gestion du projet;– De traiter efficacement les délais associés aux ordres de

changement.

Formateur jean Paradis, ing. Économiste en construction agréé (ECA), professeur

Contenu > Notions de base d'échéancierThéorie de précédence I Dates générées I Marges I Chemin critique

> Les exigences contractuelles dans les documents d'appel d'offres> Échéancier de référence> Préparation par l'entrepreneur : contenu, format, dépôt,

durées à utiliser> Approbation par les consultants : format à exiger, quoi vérifier,

partage des responsabilités, échéancier trop court> Les mises à jour

Différencier les mises à jour et les modifications de l'échéancier IFréquence I Retard sur l'échéancier de référence

> L'utilisation de l'échéancierPrévisions à court terme, Prévisions à long terme, Les délais permis pour les demandes d'information I L'approvisionnement : octroi desous-contrats, approbation des dessins d’atelier

> Les changements au contrat (Change of scope)Processus d'analyse des impacts de temps en utilisant l'échéancier :les tâches de l’entrepreneur, les tâches du consultant

> La modification de l'échéancierÉchéancier pour accélérer le projet, Échéancier pour récupérer le temps perdu (Recovery schedule)

> L'échéancier tel que construit

... en mode pratiqueExercice pratiques et mises en situation

Exemples d’échéanciers, gabarits et documents de référence.

chantiers

Réclamations pour délais :utiliser l’échéancier comme outil de prévention

Coffre à outils

Québec 20 janvier 2016Montréal 25 mai 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 595$

66

Le niveau réel de sécurité obtenu n'est pas toujours proportionnelaux sommes colossales investies dans divers équipements desécurité : mauvaise évaluation des besoins, choix inadéquats,plans et devis incomplets, installations déficientes ou encoreméconnaissance des éléments importants en sécurité.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– D’identifier et de communiquer clairement leurs besoins et leurs

demandes aux fournisseurs de services et de produits de sécurité;– De procéder à une inspection de site pour l’acceptation des

travaux en lien avec la sécurité matérielle;– De mieux rédiger des devis portant sur des éléments de

sécurité matérielle;– D’identifier et de faire corriger les principales failles de

sécurité matérielle.

Formateur francis coats, ing., PSPSpécialiste en sécurité matérielle

Contenu > Concepts généraux en sécurité – Système anti-intrusion, système de détection d’intrusion et

système d’investigation– Quatre objectifs des systèmes de sécurité : dissuader, empêcher,

retarder et détecter – Notions de base et terminologie– Failles de sécurité et attaques courantes

> Serrurerie– Failles de sécurité et attaques courantes– Fonctions et types– Système de clés maîtresses– Introduction aux systèmes de haute sécurité et aux contrôles de clés

> Système d’alarme– Installation (périmètre, équipement, positionnement, communication)– Utilisations (délai, attribution des codes, etc.)– Alarmes de nuisance

> Système de contrôle d’accès– Failles de sécurité et attaques courantes

> Système de caméra – Conception du sytème (introduction)

... en mode pratiqueÉtude de cas.Formation interactive avec télévoteurs.

[ 2 jours ]

Montréal 9-10 février 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 1 085 $

Coffre à outils Tableaux et documents de référence


Sécurité des immeubles et de leurs occupants

67

Les professionnels de l’industrie du bâtiment (architectes, ingénieurs,gestionnaires et propriétaires) doivent conjuguer avec des exigencesde conception que nous retrouvons dans la règlementation en matièrede prévention incendie. Il leur est essentiel de pouvoir comprendrecomment ces exigences complémentent celles de construction. Ilsdoivent être en mesure de pouvoir les identifier de manière à pouvoirles considérer dès la conception préliminaire.À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De connaître quels sont les divers paliers d’autorité ayant juridiction;– De distinguer le rôle d’un règlement de prévention incendie

comparativement à un règlement de construction;Les participants auront acquis les notions de base suivantes :– Historique en matière d’exigence de construction et de sécurité incendie;– Moyens d’évacuation des locaux et des bâtiments;– Intégrité des séparations coupe-feu et gestion de celles-ci;– Inspection et maintenance en sécurité incendie;– Systèmes d’alarme incendie et gicleurs automatiques (base)– Entreposage des marchandises dangereuses;Les participants auront acquis les outils nécessaires pour une compré-hension efficace d’un avis d’infraction en matière de sécurité incendie,normalement délivré par le service des incendies d’une municipalité.

Formateur frédéric lévesque, ing. Conseiller technique, Technorm

Contenu > Contexte règlementaire lié à la sécurité des bâtimentslignes directrices Code de construction et autres codes en matière de prévention tels Code de sécurité, Code national de prévention des incendies, etc.

> Conception spécifique à la sécurité incendie Compartiment (ex. laboratoire, matières dangereuses, peinture par pulvérisation)Extincteurs portatifs (risques spécifiques) I Alarme incendie I Gicleurs automatiques I Génératrice de secours (ségrégations des équipements en fonction du risque) I Ventilation et emplacement de registre coupe-feu (cas particuliers, hottes chimiques, conduits d’évacuation de cuisines commerciales) I Éclairage d’urgence I Détecteurs de gaz (ex. monoxyde de carbone)

> Inspection et maintenance en sécurité incendiePlan de sécurité incendie I Alarme incendie

> Problèmes spécifiques d’actualitéIntégrité des vides techniques verticaux I Intégrité des séparations

coupe-feu dans le cas de cheminées de foyer au bois> Transformation et entretien

Impact sur l’application des nouvelles exigences règlementaires surles systèmes existants

... en mode pratiqueExemples et étude sous la forme de situations typiques que l’onretrouve dans les bâtiments.




Sécurité incendie : impact sur la conception architecturale des bâtimentset leurs systèmes mécaniques

68

Mieux comprendre les particularités des divers types de s. Com-ment la fonction du bâtiment en détermine-t-elle le choix ?

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De décrire les caractéristiques générales des divers types

de s;– De nommer les éléments à considérer lors du choix d’une

en fonction de la taille et de l’utilisation du bâtiment;– D’identifier les pistes de solutions aux problématiques les

plus fréquentes.

Formateur alain mousseau, ing.Calculatec

Contenu > Exigences des codes– Limite de superficie et de hauteur– Notions de combustibilité ou non– Survol des sollicitations à considérer

> Historique des s des dernières 150 années et leurs caractéristiques

> Les charpentes d'aujourd'hui et de demain :(bois, béton, acier et leurs combinaisons), etc.– Possibilités– Caractéristiques– Avantages / désavantages

> Survol des problématiques les plus fréquentes et des solutions applicables– Mouvements des fondations (affaissement, pyrite)– Projet de creusage– Déformation et dégradation des charpentes– Désirs d’accroître les chargements– Désirs d’éliminer des supports (murs ou colonnes)– Désirs d’ajouter un ou des étages, ou d’agrandir

... en mode pratiqueMise en situation

Coffre à outils Documents de référenceBibliographieTableaux synthèses

technique

Structures de bâtiments – fondations et charpentes


Coffre à outils

69

Le mur-rideau en verre et métal s’avère l’un des parements les pluspopulaires pour les bâtiments en hauteur. II forme un systèmecontinu et cohérent de pare-pluie, de pare-air et de pare-vapeur.Cette formation vous permettra de mieux comprendre et maîtriserles principes de fonctionnement technique des murs-rideaux.Note : l’expérimentation au laboratoire de Varennes sera compensée pardes études de cas et des exercices pratiques à la formation de Québec.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De comprendre les principes de fonctionnement technique

d’un mur-rideau;– D’établir les critères de performance;– De comprendre l’interrelation entre les murs-rideaux et les

autres systèmes du bâtiment;– De comprendre l’influence de l’environnement (intérieur ou

extérieur) sur la performance des murs-rideaux.

Formateur louis fortin, ing. MGPDirecteur de projet, Patenaude Trempe Van Dalen inc.Membre du CLEB

Contenu Cette formation traitera de l’ensemble des exigences techniquesvisant la conception des murs-rideaux à ossature d'aluminium fonctionnant sur le principe de l'écran pare-pluie, fabriqués enatelier et assemblés au chantier. > Les murs-rideaux seront traités selon trois niveaux :

– Le niveau des performances générales; – Le niveau descriptif des composants et de leurs assemblages;– L’entretien préventif et correctif.

... en mode pratiqueÉtudes de cas : exemples de détails problématiques typiques etdes solutions préconisées. Exercices pratiques visant à établir lesdifférents niveaux de performance à atteindre.À Varennes: expérimentation de différents systèmes de murs-rideaux à partir d'échantillons représentatifs. Visite des installationsd'essais de murs-rideaux chez Air-Ins au CLEB.

Varennes 18 février 2016Québec 23 mars 2016 I 8 h 30 à 16 h 30 I 635 $

Bibliographie ciblée (articles, recherches et manuels)Tableaux de référence (résistances, étanchéité, etc.)Détails de construction (quoi faire/ne pas faire)Extraits de codes, règlements et références aux normes

technique

Systèmes de murs-rideaux

70

Véritable réseau d’irrigation énergétique pour le bâtiment,les systèmes électriques ont un impact sur tous les autressystèmes en aval.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De reconnaître les problématiques et les symptômes

associés à l’électricité d’un bâtiment;– D’expliquer le fonctionnement du réseau de distribution du

bâtiment et les types de charge;– D’évaluer sommairement les designs d’éclairage proposés;– D’évaluer sommairement les designs de distribution

électrique proposés;– De faire des choix répondant aux normes actuellement

en vigueur.

Formateur denis de cazes, ing., Consultant

Contenu > Problématiques et symptômes associés à l’électricité d’un bâtiment

> Arborescence de la distribution électrique :types de charges, éléments constituants d’un réseau, problèmes potentiels liés à la combinaison des types de charge

> La distribution électrique modifiable par l’usager> Groupes électrogènes ou de relève :

identification des systèmes, impact sur les systèmes d’urgence

> L’éclairage : caractéristiques, avantages, inconvénients, entretien et opération

> Lecture de la facture d’électricité : indice de performance

> Codes, normes et règlements :cadre légal, nouvelles obligations du Code de construction, code de l’électricité, livre bleu et livre vert d’Hydro-Québec, règles de conformité du bâtiment

... en mode pratiqueÉtudes de cas.Projet type : choix des systèmes d’éclairage et analyse del’impact sur la facture d’électricité.Calcul des coûts de la consommation en électricité.


Coffre à outils Guide technique. Projet d’éclairage.Règlement tarifaire.

technique

Systèmes électriques

71

Impact des systèmes mécaniques sur la qualité de vie desoccupants et sur les coûts d’exploitation.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De distinguer les différents types de systèmes CVCA et

leurs caractéristiques;– De reconnaître les problèmes liés aux systèmes;– De comparer les différentes sources d’énergie;– D’identifier les codes, les normes et règlements applicables

aux systèmes mécaniques.

Formateur laurier nichols, ing.Vice-président, Expertise – Bâtiment, Stantec

Contenu > Description et problématiques des systèmes CVCA courants :– chauffage sans système mécanique;– systèmes de ventilation à simple ou à double conduits;– volume constant et variable.

> Choix des sources d’énergie :– électricité, mazout, gaz naturel, géothermie.

> Simulation de bâtiment pour des fins de conception :– potentiel d’application des logiciels de simulation énergétique.

> Articles pertinents des normes et règlements applicables aux systèmes mécaniques.

... en mode pratiqueExercice de simulation de systèmes mécaniques et analyse del’impact sur la facture énergétique et la qualité de l’air.

Coffre à outils Guide de sélection et caractéristiques des systèmes CVCA.

technique

Systèmes mécaniques


72

Savoir reconnaître les problèmes qui peuvent survenir aucours de la vie d’une couverture et intervenir efficacementafin d’optimiser le rendement. Le contenu de la formationest principalement axé sur les systèmes de couvertures àfaibles pentes.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De saisir l’impact de l’entretien préventif sur les coûts à

long terme;– D’identifier les différents matériaux de couverture sujets

à entretien;– De détecter les défectuosités, d’en connaître les causes et

d’identifier les correctifs;– De dresser les grandes lignes d’un programme d’entretien

et de gestion des couvertures.

Formateur guy lalonde, arch., Directeur techniqueAssociation des maîtres couvreurs du Québec

Contenu > Entretien d’une couverture – aspects économiquesnotions de coûts de cycle de vie, coûts de l’entretien préventif.

> Entretien d’une couverture – dossier du projet plans et devis, dessins d’atelier, rapports de surveillance, garanties.

> Entretien d’une couverture – aspects techniques constituants d’une couverture, évaluation de l’état d’une couverture,détection des infiltrations et méthodes d’investigation, nature des défectuosités, cause des défectuosités, correctifs, entretien préventif vs correctif, problèmes fréquents.

> Réfection réfections partielles, conservation de matériaux sains.

> Programmes d’entretien et de gestion exemples de programmes, de logiciels.

... en mode pratiqueMise en situation et exercices pratiques.Analyse commentée d’étude de cas.

Coffre à outils CD-Rom – liens Internet de sites de référence.Tableaux synoptiques.Échantillons.


Toitures – entretien


73

Pour mieux comprendre les différents systèmes de toiture,faire les bons choix lors de la conception et de la réfection etainsi s’assurer d’une performance optimale. Cette formationvise essentiellement les couvertures à faibles pentes.

À la fin de la formation les participants seront en mesure :– De pouvoir interagir efficacement et harmonieusement

avec les divers intervenants impliqués dans le processus de conception et de construction d’une couverture;

– De différencier les différents systèmes de couverture;– De faire des choix éclairés en fonction du niveau de la

performance requise et des incidences sur la durabilité de la couverture.

Formateur guy lalonde, arch., Directeur techniqueAssociation des maîtres couvreurs du Québec

Contenu > Caractéristiques de différents systèmes de couverture et deleurs composants (principalement systèmes à faibles pentes)conventionnelle, inversée, entretoit ventilé, survol des toitures à fortes pentes, toitures végétalisées, entrepôts réfrigérés.

> Détails de construction sensibilisation à l’importance des détails de construction,références, exemples de détails types.

> Fonctions d’une couverture et exigences techniques étanchéité à l’eau, résistance thermique, résistance au feu et auvent, etc., règles d’assemblage des matériaux constituant une couverture, codes de construction.

> Étude de critères de sélection des matériaux et des systèmesliés aux produits et aux systèmes, aux manufacturiers, aux projets, au marché, à la main-d’œuvre.

> Optimisation des investissements (contrôle de qualité) : produits et systèmes, normes, conception et mise en œuvre, pré-qualification de la main-d’œuvre, notions de développement durable, garanties.

> Entretien (aperçu) : méthodes d’investigation, problèmes fréquents.

... en mode pratiqueMise en situation et exercices pratiques.Analyse commentée d’étude de cas.

Coffre à outils CD-Rom – liens Internet de sites de référence.Tableaux synoptiques. Échantillons. Extraits de lois, règlements et codes.

technique

Toitures – principes de base


[ 1/2 jour ]

74

comment mesurer, analyser et résoudre les facteurs engendrant les déPassements de coûts d’une construction ?

Pour répondre à cette question vous apprendrez lors de cette formation à :> Connaître quels sont les 3 facteurs universels qui engendrent le

coût d’une construction;> Savoir comment Uniformat II traite et codifie ces 3 facteurs;> Comprendre l’utilisation de chaque niveau Uniformat, en

particulier l’usage des niveaux 3 et 4;> Connaître l’usage des plages multiples d’estimation par lot, par

objet ou par concept.

Cette formation a été conçue et est orientée principalement pour servir auxpropriétaires, maîtres d’ouvrage et gestionnaires de projet à se doter d’outilsde contrôle de coûts fondés sur le système Uniformat II (ASTM-E 1557).

En participant à cette formation, vous serez outillé pour reconnaître et traiterles facteurs ayant engendré un dépassement de coût.

uniformat ii ET LE CONTRôLE

DES COûTS DE LA CONSTRUCTION

l’activité de Perfectionnement est construite à Partirde cas réels et vise à la maÎtrise des outils à Partird’une aPProche de résolution de Problèmes.NOTRE ExPERTgil goyette, arch.

Président, Les Production M.M.E.

Les participants seront donc appelés à élaborer des pistes de solutionset à les partager en utilisant les outils mis à leur disposition ainsique les connaissances acquises d’Uniformat II.

offert en ligne exclusivement3 juin 2016 I 8 h 30 à 12 h I 350 $

Planification

nouveau

75

comment estimer et Présenter une estimation d’uneconstruction en utilisant uniformat ii ?

Pour répondre à cette question, vous devez préalablement :> Connaître les subdivisions et les niveaux d’organisation Uniformat II;> Comprendre la relation entre la feuille de travail et la feuille de

présentation selon ASTM-E 2514;> Connaître les données de référence pour chaque élément et groupe

d’éléments;> Connaître la relation entre les systèmes Uniformat II et Masterformat;> Connaître la relation entre une discipline du bâtiment et un élément

Uniformat II.

Cette formation a été conçue et est orientée principalement pour servir auxpraticiens (architecte, ingénieur) à produire une estimation standard et complèteselon la norme Uniformat II, ASTM-E 1557.

Vous serez outillé pour préparer et présenter des estimations complètes etconformes aux normes E1557 et E2514 en participant à la formation :

uniformat ii ET

L’ESTIMATION DES COûTS DE CONSTRUCTION

l’activité de Perfectionnement est construite à Partirde cas réels et vise l’acquisition de la maÎtrise dusystème à Partir d’exercices Pratiques d’estimation etdu traitement de cas d’esPèce.NOTRE ExPERTgil goyette, arch.


Les participants seront donc appelés à produire et partager leurstravaux d’estimation ainsi que leur compréhension de l’intégrationdes disciplines du bâtiment et à un effort coordonné d’estimation.


[ 1/2 jour ] Planification

[ 1/2 jour ]

76

qu’est-ce qu’uniformat ii et en quoi ce système Peut-il m’aider ?Cette formation a été conçue et est orientée principalement afin de donner aux maîtres d’ouvrage,aux propriétaires et aux praticiens qui ne sont pas familiers avec la norme ASTM E- 1557, les connais-sances de base requises pour utiliser et exploiter le système UNIFORMAT II dans le cadre de leurs pro-jets de construction et de leurs activités de gestion de l’exploitation et de l’entretien d’immeubles.

vous apprendrez lors de cette formation à :> Assimiler les données et principes sous-jacents à la norme

ASTM E- 1557 / UNIFORMAT II;> Connaître les subdivisions fonctionnelles du système UNIFORMAT II

et en comprendre leur organisation;> Assimiler les données et principes sous-jacents à la norme

ASTM E- 2514 / UNIFORMAT II : données de présentation;> Reconnaître une feuille d’estimation sous UNIFORMAT II et

en analyser les données;> Connaître la relation entre les fonctions du bâtiment et les

groupes d’éléments et sous-éléments.

uniformat ii : UNE INTRODUCTION

cette activité de formation est animée Par notre exPertgil goyette, arch.


L’activité de perfectionnement est construite à partir de cas réelsque le participant aura à résoudre en se servant des connaissancesacquises et des outils proposés.

Les participants contribueront, tout au long de l’activité, à identifieret à partager les résultats d’exercices en utilisant des ressourcesdédiées et adaptées au contexte d’application.


Planification

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Nos

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nathalie aubinFemme d’affaires, avocate de formation, coach et conférencière de renom,Nathalie Aubin est reconnue dans le domaine comme ayant une capacité hors ducommun à transmettre et à rendre simple la compréhension et la mise en application.Elle permet aux gens qui suivent ses formations de mettre en pratique à l’aide d’outilsconviviaux l’ensemble des connaissances transmises au sein de leur entreprise. Maisce qui la distingue le plus, c’est l’énergie qu’elle dégage et sa pensée orientée versl’épanouissement de l’Être humain.

nicolas bernier, T.P.

Monsieur Bernier est technologue professionnel au sein de la firme d’experts-conseils Patenaude Trempe Van Dalen. Il est associé et directeur des expertisespour le bureau de Québec. Monsieur Bernier agit à titre de consultant en matièrede problèmes liés à l’enveloppe du bâtiment ainsi qu’à la réalisation de projetsde réfection et de réparation de bâtiments, notamment au niveau des parementsde maçonnerie et de l’étanchéité des toitures. Ses expériences l’ont amené àparticiper à titre de conférencier à différents séminaires et colloques. Il participeactuellement au comité de rédaction de normes canadiennes sur les matériauxde toitures et siège sur le comité de formation de l’Association des maîtres couvreursdu Québec.

alain blais, ing.

Depuis juin 2011, Alain Blais est président du groupe AquaCion Inc.. À ce titre, il a réalisédivers mandats techniques visant le traitement d’eaux usées ou de refroidissement utilisantnotamment des traitements traditionnels et des traitements d’oxydation avancée pour desclients variés au Canada et aux États-Unis. Au sein de l’entreprise Sonitec dont il était leprésident fondateur, il a contribué avec succès pendant plus de 20 ans au développementd’applications uniques visant à améliorer la qualité des eaux de chauffage, de refroidissement,de procédé et de rejet, en collaboration avec des clients, les ingénieurs-conseils, les com-pagnies de traitement chimique et les consultants spécialisés. Monsieur Blais possède uneconnaissance approfondie et une expérience concrète des problèmes de contaminationreliés à la mauvaise qualité de l’eau, et des solutions potentielles combinant produitschimiques et mécaniques, ainsi que la mise en place de programmes adéquats detraitement, de suivi et de maintenance visant à diminuer les risques de contamination.En 1998, il s’est vu décerner le prix Énergie/Environnement de l’AQME pour sa contribution.Il a obtenu son diplôme d’ingénieur de l’Université du Québec (1976), est gradué del’Université de Sherbrooke au MBA en 1982 et du MIT au Entrepreneurship DevelopmentProgram en 2008. Il est membre de l’Ordre des Ingénieurs du Québec, de WaterEnvironment Federation (WEF), et du Cooling Technology Institute (CTI).

claude boisvert, arch.

Architecte et titulaire d’un MBA en administration des affaires, monsieur Boisvertœuvre dans l’industrie immobilière depuis plus de trente ans. Dans le cadre de sesfonctions, il a occupé diverses positions au sein d’entreprises majeures de gestionimmobilière et d’investissements immobiliers. Il est bien connu dans la communautéimmobilière pour avoir été président de BOMA Québec et impliqué dans plusieurscomités de promotion de l’industrie immobilière.comités de promotion de l’industrieimmobilière.

cyril chateau, ing.

Cyril Chateau est le responsable des activités de la société tbmaestro en Amériquedu Nord. En tant qu’expert-conseil dans la gestion d’actifs physiques (immobiliers,industriels ou infras diverses), son champ d’action couvre l’optimisation des différentsprocessus de gestion d’actifs que ce soit d’un point de vue technique, économiqueou organisationnel. Il accompagne les gestionnaires dans la gestion durable de leursactifs en les aidant à mettre en place une stratégie de pilotage basée sur la maîtrise desrisques ainsi que sur la maîtrise du coût global de possession. Son expérience dans ledomaine et la renommée de sa firme, pionnière et leader dans la gestion d’actifs, fontde lui quelqu’un de sollicité dans des dossiers complexes impliquant d’importantspropriétaires et gestionnaires de parcs d’actifs physiques de toutes sortes (aéroports,villes, hôpitaux, centres culturels, tours à bureaux, immeubles commerciaux, etc.).

francis coatsBachelier en génie électrique spécialisé en technologies de l’information et encommunication, monsieur Coats est aussi un passionné de la sécurité matérielle.Comptant plus de 14 ans dans le domaine policier et de la sécurité, il est maintenantreconnu comme expert en sécurité globale et matérielle. Il est l’une des rares personnesau Québec à posséder la certification Physical Security Professional (PSP) de l’organismeASIS. Il a également été conférencier pour ASIS (American Society for IndustrialSecurity) et CANASA (Association canadienne de la sécurité) à plusieurs reprises.

ginette corbeilDirectrice du service de l’Approvisionnement d’Ivanhoé Cambridge inc., madame Corbeilœuvre dans le monde de l’approvisionnement depuis plus de 25 ans. Membre de laCorporation des approvisionneurs du Québec, affiliée à l'Association canadienne de gestiondes achats et également de CREW (Commercial Real Estate Women), elle a débuté enapprovisionnement à la compagnie Steinberg inc. en 1987. Elle a ensuite mis sur piedle Service des achats d’Ivanhoé inc. en 1991. Elle se spécialise prioritairement dans lesacquisitions de services. Ses expériences l’amènent à participer à plusieurs conférenceset à négocier avec plusieurs compagnies à travers le Canada et divers pays.

steve davidson, ing.

Monsieur Davidson est président de la firme de Consultants en acoustique etinsonorisation Davidson & Associés et œuvre dans cette discipline depuis unevingtaine d’années. Il est bien connu des bureaux d’architectes et d’ingénieurs dela région métropolitaine pour ses interventions dans la réalisation de multiplesprojets de moyenne et grande envergure, dont la vocation nécessite parfois descritères acoustiques très sévères.

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denis de cazes, ing.

Monsieur de Cazes est diplômé en génie électrique ainsi qu’en mécanique du bâtimentet œuvre dans le milieu du génie conseil. Formateur pour la nouvelle édition du Livre Bleu(10e) d’Hydro-Québec, il a également travaillé pour différentes maisons d’enseignement.Il a agi à titre de conseiller, puis de directeur technique pour la Corporation des maîtresélectriciens du Québec pendant huit ans. Il a également été ingénieur d’usine pourdifférentes entreprises des domaines métallurgiques et chimiques. Les services demonsieur de Cazes sont fréquemment requis par les tribunaux civils et administratifsà titre de témoin expert. Il est également l’auteur de plusieurs articles techniques etde publications sur l’électricité.

raymond demers, ing., synergologue

Monsieur Demers compte de nombreuses années en formation, direction d’équipes,coaching, développement des ressources humaines, développement des affaires et,depuis 2011, en lecture du non verbal (synergologie). Il y a 12 ans, il passait d’unecarrière d’ingénieur à une carrière en ressources humaines et créait Mentor conseil inc.Il agit depuis à titre de coach et de formateur au sein de plusieurs entreprises de services,de construction et manufacturières en développement des ressources humaines,coaching des dirigeants, planification stratégique et réingénierie des processus. Aprèsplus de 400 heures d'études, il obtient, en 2011, le titre de synergologue. Depuis,il applique la lecture du non verbal au monde des affaires afin de permettre auxgestionnaires et aux dirigeants d’améliorer leurs communications et leurs habiletésrelationnelles par la lecture du non verbal de leurs employés et de leurs clients.

daniel forgues, arch.

Daniel Forgues, architecte, PhD, PMP, enseigne l’ingénierie avancée de projet, lestechnologies de l’information appliquée à la construction et la construction durable àl’École de technologie supérieure. Un des pionniers au Québec dans l’utilisation de laconception intégrée et de l’architecture bioclimatique, il a donné plusieurs conférences,publié de nombreux articles et produit une importante étude pour le compte del’Agence de l’efficacité énergétique sur la conception intégrée. Il a créé et dirige le groupede recherche en intégration et développement durable (GRIDD).

louis fortin, ing.

Louis Fortin est ingénieur et consultant sénior dans le domaine de l’enveloppe dubâtiment. Il est également titulaire d’une maitrise en gestion de projet. Il œuvredepuis près de 30 ans dans le domaine du mur-rideau et de la fenestration, quece soit du côté manufacturier ou de la consultation. Il est directeur de projets chezPatenaude Trempe Van Dalen inc., une firme privée offrant des services de consultationspécialisés en science du bâtiment avec des projets à travers l'Est du Canada et leNord-Est des États-Unis et dont les bureaux sont basés à Montréal et Québec. Sesprincipaux champs d’expertise sont la consultation, la mise en service ainsi quel'investigation de problèmes de performance se rapportant aux murs-rideaux, à lafenestration et au vitrage.

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louis réjean gagné, arch.

Louis Réjean Gagné est architecte spécialisé en bâtiment durable. Depuis plus de 30 ans,il a œuvré sur des centaines d’ouvrages en tous genres, comme directeur de projet,chargé de projet, concepteur en chef, administrateur de marchés, surveillant etrédacteur de devis. Il est actuellement Directeur bâtiment durable, chez exp. Actifdans la communauté éco-technique, monsieur Gagné est titulaire du tout nouveautitre LEED AP BD+C administré par le GBCI. Orienté principalement sur le bâtimentdurable depuis plusieurs années, il a collaboré à la réalisation de plus de vingt ouvragescertifiés LEED, incluant la préparation des devis techniques.

gil goyette, arch.

Monsieur Goyette est diplômé de l’Université de Montréal et pratique l’architecturedepuis plus 38 ans. Membre de l’Ordre des architectes du Québec et de la Sociétécanadienne d’analyse de la valeur, Gil Goyette fut un des premiers architectes à contribuerau développement et à la mise au point des techniques et pratiques en matière deprogrammation fonctionnelle et technique au Québec et à appliquer les principes etméthodes d’analyse de la valeur à des projets de conception et réalisation d’édifices.Architecte en pratique privée, Gil Goyette a œuvré dans les domaines autant privé quepublic et sa clientèle comprend entre autres, des organisations telles le Gouvernementcanadien, Pratt & Whitney, la Ville de Montréal et la SIQ/CHQ.

ivanka iordanova, Ph.D.

Madame Iordanova est diplômée en architecture, titulaire d’une maîtrise et d’un Ph.D.en aménagement de l’Université de Montréal. Elle est actuellement gestionnaire BIMchez Pomerleau. Après quelques années de pratique en architecture, elle a eu une périodeacadémique comme enseignante à l’École d’architecture de l’Université de Montréalet chercheur au sein du GRCAO (Groupe de recherche en conception assistée parordinateur), ainsi qu’au GRIDD (Groupe de recherche en intégration et développementdurable à l’ÉTS), où elle a réalisé un postdoctorat. Mme Iordanova est auteur deplusieurs articles scientifiques dans un large éventail de domaines : de la conceptionarchitecturale à la construction d’un bâtiment de qualité, avec pour fil conducteur lesmoyens numériques et l’approche intégrée au projet. Chez Pomerleau aujourd’hui,elle participe activement à l’adoption d’un levier technologique pour la réalisation debâtiments et d’infras, à commencer par le BIM (Building Information Modeling).

michel jullienMonsieur Jullien œuvre depuis plus de 25 ans comme consultant en maintenance eten gestion de maintenance. Il a exercé cette fonction au sein de plusieurs firmesd’ingénierie spécialisées dans le domaine, tant en Amérique du Nord qu’en Europe.Il a fondé sa propre entreprise de consultation Ammco en 2002. À ce titre, il réalise denombreux mandats d’implantation de programmes d’entretien préventif, de sélectionde logiciels de GMAO et d’audits d’organisations. Autant spécialisé en bâtiment qu’enindustrie, sa vaste expérience lui a valu d’être régulièrement retenu comme expertmaintenance auprès de plusieurs organisations et entreprises de tout type. Il connaitbien les enjeux liés entre autres à l’informatisation de la maintenance.

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robert jutras, ing.

Monsieur Jutras est membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec depuis 1984. Il estprésident de Air-Ins Inc., une firme indépendante qui agit à titre de laboratoire d’essaidans le domaine des composantes de l’enveloppe du bâtiment et se spécialise dansl’évaluation des performances des produits de fenestration. Il est vice-président deL’Association des industries de produits de vitrerie et de fenestration du Québec(APIVFQ) et co-président du comité technique et membre du conseil d’administrationde L'Association canadienne des manufacturiers de portes et fenêtres. Il siège aucomité technique de l’Association canadienne de normalisation (ACNOR) et estresponsable de la rédaction des normes relatives aux produits de fenestration auCanada. Il fut également professeur au certificat en technologie du bâtiment à l’ÉcolePolytechnique de Montréal de 1996 à 2008. Monsieur Jutras a donc consacré plus de25 ans de sa carrière professionnelle au service de l'industrie de la fenestration.

serge lalancetteMonsieur Lalancette cumule plus de 37 années d’expérience dans l’industrie des portes,des cadres et de la quincaillerie architecturale soit à titre de manufacturier, distributeurou comme consultant indépendant. Monsieur Lalancette a développé et animé desformations sur les techniques de pose destinées aux équipes d’entretien. Commeconsultant, il a contribué à la réalisation d’une multitude de projets d’envergure dans lessecteurs industriel, institutionnel et commercial. Il détient les titres d’ArchitecturalHardware Consultant (AHC) et de Fire and Egress Door Assembly Inspection (FDAI)en plus d’être certifié Intertek pour l’inspection et les relevés de portes pare-flammes.

guy lalonde, arch.

Monsieur Lalonde est membre de l’Ordre des architectes du Québec depuis 1984.Au sein d’agences d'architecture, il a collaboré à la réalisation de nombreux projetsd’envergure jusqu’en 1993, avant d’agir comme représentant puis directeur techniquede la filiale canadienne d’un important manufacturier de membranes de toitures.Il a également œuvré pour une importante firme de génie conseil à titre de directeurtoiture en enveloppe du bâtiment. Il est directeur technique de l’Association desmaîtres couvreurs du Québec.

marc-andré langevin, ing.

Monsieur Marc-André Langevin s’est joint à Technorm inc. en 2004, firme à laquelleil s’associe en 2005 et dont il assure la présidence depuis 2011. Il détient un bac-calauréat en génie civil, une maîtrise en génie des s et une maîtrise en sciences ap-pliquées (génie sécurité-incendie). Depuis son arrivée chez Technorm, il effectue desanalyses de conformité sur des bâtiments de grande hauteur, commerciaux et in-dustriels. De plus, M. Langevin exécute des mandats de conception de systèmes deprotection incendie (détection et suppression) en effectuant des analyses numériqueset de modélisation d’incendie. Il participe avec des professionnels à des projets deconception sur la base des objectifs du CNB afin d’obtenir des équivalences auprèsdes autorités. Il est également formateur à la Chambre de l’assurance de dommagesdu Québec et à l’École Polytechnique de Montréal.

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andré lavoieAndré Lavoie est économiste en construction agréé de l’Institut canadien des économistesen construction (ICEC). Il détient une certification universitaire en gestion de projet del’Université Laval et en économie de la construction de l’ETS. De plus, il est membredu Project Management Institute (PMI) et membre d’ASTM International. Après avoirœuvré à titre de chargé de projet et d’estimateur auprès d’Hydro-Québec, de l’Institutnational de santé publique du Québec et de firmes de génie conseil, il poursuit sa carrièredepuis 2005, comme chef de service de la planification des coûts de construction detous les projets d’immobilisation au Québec à la Société québécoise des infras. En 2007,il fut l’un des membres du groupe qui réalisa la création d’un programme universi-taire en estimation et économie de la construction, maintenant enseigné à l’ETS.

claude lavoie, urb.

Claude Lavoie est urbaniste. Il a participé à titre de témoin expert dans plus d’unesoixantaine de causes devant différentes instances judiciaires et administratives. Fortde cette expérience, il a publié en 2008 L’expert : son rapport et son témoignage, auxÉditions yvon Blais. Cet outil de référence est utilisé par de nombreux avocats pourpréparer les témoins qu’ils inviteront à la barre. M. Lavoie a également animé desformations en urbanisme à l’Université de Montréal et à l’Université du Québec àMontréal, à l’Ordre des urbanistes du Québec ainsi qu’à l’Association d’Immeubledu Québec.

simon leblanc, ing.

Monsieur Leblanc est ingénieur mécanique et chargé de projet du bureau d'ingénieursPageau Morel depuis 2008 et y est membre associé depuis 2011. Après l’obtentiond’un DEC en technologies de génie mécanique il poursuit ses études au baccalauréaten génie mécanique de l’Université Concordia, spécialisation design et manufacture.Monsieur Leblanc compte maintenant plus de 12 ans d’expérience dans le domaine dela mécanique du bâtiment en tant que concepteur de systèmes de contrôle numériqueet de systèmes électromécaniques. Il est membre actif de l’American Society of Heating,Refrigerating and Air Conditioning Engineers (ASHRAE) et du Canada Green BuildingCouncil (CaGBC) et du Project Management Institute (PMI). A titre de concepteur etde chargé de projet, on lui doit la réalisation de centaines de projets de construction,réaménagement et mises aux normes de bâtiments publics ou privés. Il détient le titrede professionnel agréé LEED depuis 2008 et la certification PMP depuis 2013.

michel legrisMonsieur Legris est hygiéniste du travail. Auteur et conférencier reconnu, il a denombreuses publications et conférences à son crédit. Il est auteur ou co-auteur denombreux ouvrages dont le « Manuel d’hygiène du travail : du diagnostic à la maîtrisedes facteurs de risque ». On lui doit également la publication de plusieurs ouvragesde vulgarisation sur l’hygiène du travail. Il a été président de l’Association québécoisepour l’hygiène, la santé et la sécurité du travail (AQHSST) de 1994 à 1995.

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frédéric lévesque, ing.

Frédéric Lévesque est ingénieur en mécanique du bâtiment et travaille au sein d’unefirme spécialisée en Code et normes du bâtiment. Il a ajouté à sa formation initialeen génie mécanique, de nombreux cours de perfectionnement sur le Code nationaldu bâtiment, le Code de plomberie, sur les gicleurs automatiques et sur l’hydrauliqueappliquée. Monsieur Lévesque possède une expérience pratique dans le domaine dela ventilation, de la plomberie et de la protection incendie. M. Lévesque analyse desprojets dans les secteurs industriels et commerciaux relativement aux exigencesrèglementaires applicables en matière de sécurité incendie et d'usage. Il s'occupe égalementde la conception et de la vérification des systèmes de gicleurs automatiques d'alarmeincendie et autres systèmes de protection incendie. Il enseigne par ailleurs au certificaten technologies avancées en prévention des incendies de l’École Polytechnique.

martyne maloBachelière en administration des affaires et titulaire d’une maîtrise recherche (MBA)en comportement organisationnel, madame Malo possède près de vingt annéesd’expérience en gestion et en développement des personnes et des organisations. Aucours de sa carrière, elle a occupé des fonctions conseils et des fonctions de directionau sein d’entreprises québécoises œuvrant dans les industries manufacturières, lecommerce de détail et différents secteurs des services. Depuis les douze dernièresannées, Mme Malo porte un intérêt particulier au développement des talents et à lagestion du changement. Elle est membre de l’Ordre des conseillers en ressourceshumaines et en relations industrielles agréés du Québec, du North American Simulation,Activities & Games Association (Nasaga) et a obtenu son niveau de Praticien enprogrammation neuro-linguistique (PNL).

daniel marchandMonsieur Marchand cumule près de trente ans d’expérience dans les domaines de laplomberie, des chaufferies, des réseaux de distribution de fluides thermiques et del’efficacité énergétique. Il a participé à une multitude de projets, notamment dans lesecteur institutionnel (écoles, hôpitaux, bureaux). L’évolution de sa carrière chezBouthillette Parizeau l’a amené à se spécialiser en plomberie. De plus, Daniel Marchandoccupe actuellement le poste de Vice-Président Législatif du chapitre de Montréal de l’ASPE(American Society of Plumbing Engineers) et le poste de secrétaire administratif de laCECD (Coalition de l’Énergie et Construction Durable).Il a aussi été président du chapitrede Montréal de ASPE de 2009 à 2013. Il fait également partie de nombreux comités,tels le comité provincial contre les raccordements croisés et le comité consultatif enplomberie du Québec.

jacqueline meunierMadame Jacqueline Meunier a été conseillère principale à la recherche et à la diffusionde l’information à la SCHL pendant de nombreuses années. Elle possède une vasteconnaissance des aspects techniques de l’habitation, notamment des concepts de laMaison saine. Elle fut également responsable d’un programme de formation sur lesaspects techniques reliés à l’habitation ainsi que de la gestion et de l’entretien despropriétés immobilières de la SCHL. Elle fut en outre la première femme inspecteurau sein de la SCHL. Madame Meunier est maintenant consultante.

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alain mousseau, ing.

Diplômé de l’École Polytechnique de Montréal, Alain Mousseau agit depuis 30 ans àtitre d’ingénieur-conseil dans le domaine de la du bâtiment. Oeuvrant dans les do-maines résidentiels, commerciaux, industriels et institutionnels, il s’implique dans lesouvrages à ossature de bois, de béton ou d’acier dans le cadre de consultations,d’expertises, de projets de construction, d’agrandissement, de recyclage, etc. Il estenseignant au programme de Technologie de l’architecture du cégep St-Laurentet est sollicité à chaque année à titre de conférencier par l’École d’architecture del’Université de Montréal dans le cadre du cours Conservation du patrimoine bâti.

laurier nichols, ing.

Monsieur Nichols est vice-président, Expertise – Bâtiment chez Stantec. Il cumule prèsde 35 ans d’expérience comme concepteur des systèmes de mécanique. Il a éténommé Fellow de l’American Society of Heating, Refrigerating and Air-ConditioningEngineers (ASHRAE) en février 2005. Il est le récipiendaire de nombreux prix dans lecadre des programmes de reconnaissance de l’ASHRAE et de l’Association québécoisepour la maîtrise de l’énergie (AQME). Sa compétence en efficacité énergétique estreconnue ici et à l’étranger.

nicole olivier, arch.

Nicole Olivier est architecte depuis 2004 et conseillère technique chez Technorm inc.depuis juin 2007. Elle analyse l'application des exigences réglementaires deconstruction et de sécurité incendie pour des projets qui sont à l’étape conceptuelle,en plus de faire des expertises sur des bâtiments existants. Depuis 2008, elle participeau cours en Sécurité du bâtiment donné à l’École d’architecture de l’Université deMontréal en plus de donner des formations continues à Contech et à l’Ordre desarchitectes du Québec. Elle participe aux comités consultatifs de la Régie du Bâtimentdu Québec sur l’élaboration de la nouvelle réglementation du Code de constructionet de sécurité du Québec.

jean Paradis, ing.

Jean Paradis est un ingénieur civil, diplômé de l’École polytechnique de Montréal.Après avoir oeuvré pendant 20 ans auprès d’entrepreneurs généraux de l’industrie dela construction, il a amorcé une carrière de professeur au département de génie de laconstruction de l’École de technologie supérieure de Montréal. Il a publié, en 1997, lelivre Estimation et, en 2005, le didacticiel sur DVD Gestion de projets de construction àl’aide du logiciel Microsoft Project et, en 2007, la deuxième édition du livre Estimation.Maintenant à la retraite de l'enseignement, il agit comme consultant et comme experten planification dans le cadre de réclamations sur des projets de construction. Il seconsacre également à la formation en entreprise. Il est également président del'Institut canadien des économistes en construction section Québec.

rodrigue Paulin, arch.

Monsieur Paulin est architecte en pratique privée et membre de l’Ordre des architectesdu Québec depuis 1976. Son champ de pratique touche les divers secteurs de laconstruction avec une expérience marquée dans les domaines institutionnels etrésidentiels. Une partie de sa pratique touche l’expertise technique.

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mathieu Péladeau, ing.

Monsieur Péladeau est ingénieur civil et travaille dans le domaine de l’hygièneindustrielle depuis 2006. Il travaille actuellement chez Englobe à titre de chef d’équipeen hygiène industrielle.. Il a participé à des projets d’envergure d’enlèvement dematériaux contenant de l’amiante et de décontamination fongique autant dans lemilieu institutionnel que commercial. Il a également assisté certains clients dans lagestion de projets de petite à grande envergure à l’intérieur de leur parc immobilier.Monsieur Péladeau a la responsabilité d’effectuer la supervision de son équipe detravail lors de travaux de caractérisation, de rédaction de plans et devis, d’estimationbudgétaire et de surveillance en chantier des travaux d’enlèvement d’amiante et dedécontamination fongique.

yves Poissant, Ph.D.

yves Poissant est spécialiste des technologies solaires photovoltaïques (PV) et gestion-naire de projet au sein du programme d’intégration des énergies renouvelables etdistribuées de Ressources naturelles Canada, depuis février 2002. Il mène différentsprojets de recherche reliés à l’évaluation de la performance des systèmes et modules PV,le développement de normes et l’intégration du PV au bâtiment. Il co-préside en outrele comité national canadien TC82 sur le développement de normes sur les systèmeset les composants photovoltaïques et a participé en tant qu’expert à l’intégration detechnologies solaires, au sein de maisons nettes zéro énergie, dans le cadre du projetEQuilibrium de la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL). MonsieurPoissant a obtenu un doctorat en physique de l’École Polytechnique de Paris (2001)et vit maintenant avec sa famille dans sa propre maison solaire située en Montérégie.

steve Poulin, ing.

Ingénieur mécanique diplômé de l’École Polytechnique en 1995, monsieur Poulin estdevenu le premier professionnel accrédité LEED au Québec en 2001, il est impliquédans le domaine de l’efficacité énergétique et du développement durable depuis1995. Il est également le président-fondateur du Chapitre du Québec du Conseil duBâtiment durable du Canada et a siégé sur plusieurs comités intergouvernementauxreliés au développement durable. Après avoir dirigé le comité environnement deBOMA Québec pendant trois ans et la mise en place du système BOMA-BEST, il siègemaintenant sur le conseil d’administration de BOMA. Il travaille à la Société québécoisedes infras en tant que Directeur adjoint après avoir occupé pendant plusieurs annéesle poste de directeur immobilier Ouest de Montréal et Suroît et celui d’ingénieur mé-canique à Direction de l’expertise.

jean-noël routhier

Détenteur d'une maîtrise en gestion de projet et d'une certification PMP, monsieurRouthier a contribué, à titre de conseiller senior en gestion de projet, au développementet à l'implantation de bureaux de projets, de méthodologies en gestion de projet etce, dans divers secteurs d'activité économique, tant privés que publics. Il est égalementformateur en gestion de projet et chargé d'enseignement à l’École des sciences de lagestion de l'Université du Québec à Montréal. Monsieur Routhier s'est joint à l’équipede GPBL en 2001 après une carrière militaire de vingt ans à titre d’officier logistiquespécialisé en approvisionnement et transport. Affecté au 5e Bataillon des services duCanada à la base militaire de Valcartier, il a dirigé un groupe de 185 techniciens enapprovisionnement et chauffeurs professionnels voués au support logistique d’unebrigade de 5 000 hommes et femmes. Il a également servi auprès des Nations Uniesdans le cadre d'une mission de paix et d'aide humanitaire en Haïti. Il a de plus agi àtitre de responsable des infras de la Corporation du Fort St-Jean (autrefois le CollègeMilitaire Royal de St-Jean).

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sylvain roy, ing.

Sylvain Roy est membre de l’Ordre des ingénieurs depuis 1987. Il est vice-présidentexpertise – Géologie et géotechnique chez Englobe et s’occupe de la réalisation et dela gestion des projets spéciaux en géotechnique, géologie et hydrogéologie. Durantles dernières années, M. Roy a agi à titre de Directeur de projets pour de nombreusesinfras constituant la nouvelle configuration du complexe Turcot, pour la conceptionet la construction du nouveau Pont au-dessus du St-Laurent qui remplacera le pontChamplain actuel et maintenant, pour le compte de l’AMT, pour le prolongementde la ligne bleue du Métro de Montréal. En plus des nombreux projets sur lesquelsM. Roy est impliqué dans les différentes régions et territoires du Québec pour LVM,il a participé à des projets dans les autres provinces du Canada et aux Antilles, enAmérique du Sud et en Afrique.

jean-marc simardMonsieur Simard se spécialise dans la gestion de projet et la gestion des risques dansles domaines de la construction et des nouvelles technologies de l’information et dela communication. Très impliqué dans le développement de la gestion de projets, ila notamment coordonné le développement d’une méthodologie de pratique de lagestion de projets certifiés ISO 9001. Il est par ailleurs cofondateur et coordonnateurdu développement de GP-Québec, la communauté de pratique en gestion de projetspublics et détenteur d’une maîtrise en administration publique. M. Simard a travaillépendant plus de vingt-cinq ans à la Société immobilière du Québec où il a occupéles postes de directeur de la construction et directeur de la gestion des projets. Ilenseigne la gestion des risques de projet au programme de maîtrise en gestion deprojet à l’Université du Québec à Rimouski, campus de Lévis.

souha tahrani, B. Arch. Ph.D.

Madame Souha Tahrani est diplômée en architecture, titulaire d’un DEA et d’un Ph.D.en sciences pour l’ingénieur de l’Université de Nantes/France. Elle est actuellementassociée de recherche au GRIDD (Groupe de recherche en intégration et développementdurable) et à la chaire industrielle Pomerleau, et elle est chargée de cours à l’ÉTS.Après quelques années de pratique en architecture, elle a enseigné à l’École d’architecturede Nantes, ingénieure de recherche au laboratoire CERMA, professeure assistanteà la faculté d’Architecture de l’Université de Damas, et comme chercheure enaménagement du territoire avec l'Union européenne. Au GRIDD, où elle a réalisé unpostdoctorat, elle participe activement aux activités de recherche sur la conceptionintégrée et sur l’intégration de technologies émergentes, et, notamment le BIM(Building Information Building) dans l’industrie de la construction. Elle a publié denombreux articles scientifiques et rapports industriels portant sur l’adoption destechnologies en construction.

normand tétreault, ing.

Monsieur Tétreault est diplômé en génie civil de l’École Polytechnique de Montréal(1976). Ayant plus d’un tiers de siècle d’expérience comme ingénieur spécialisé enréfection de béton, il est président fondateur de Soconex, une firme spécialisée depuisplus de 30 ans dans les travaux de réfection de béton. Il agit également à titre deconsultant pour l'identification et le traitement des pathologies du béton au sein de lafirme Gesco/Norex. Il est de plus actif et conférencier au sein de plusieurs associationstechniques dont, l’American Concrete Institute (ACI), l’International Concrete RepairInstitute (ICRI), l’Association béton Québec (ABQ), le Centre de recherche inter-universitaire en béton (CRIB) et l'Association canadienne du ciment Portland. Excellentvulgarisateur, il est souvent consulté par les médias à titre de personne-ressource dansles dossiers concernant les infras de béton du Québec.

richard trempe, arch.

Richard Trempe est architecte membre de l’OAQ depuis 1993. Sa carrière s’est orientéesur l’investigation et la réhabilitation des bâtiments, et plus spécifiquement de leurenveloppe. Il complète actuellement une maîtrise scientifique en architecture dont larecherche traite de la performance en service des édifices construits au Québec entre1850-1950, et du contexte dans lequel les procédés de mise en œuvre ont évolué. Que cesoit à travers sa recherche en maîtrise ou encore dans sa pratique à temps plein consacréeaux expertises sur les bâtiments institutionnels, Richard se passionne dans cette quête decomprendre « comment et pourquoi c’est fait» Pour atteindre ces objectifs, Richard peutcompter sur une équipe de plus de vingt (20) architectes, ingénieurs et technologuesdont il est chef de direction, aux bureaux de Montréal et de Québec de PatenaudeTrempe Van Dalen, une équipe vouée à la recherche appliquée à la mise en place deprocédés d’investigation novateurs dans le domaine de l’enveloppe du bâtiment.Monsieur Trempe est membre du comité international E-2270 ASTM Façade inspectiondepuis trois (3) ans et du comité organisateur APT2014 Association for PreservationTechnoloy International. Il donne régulièrement des cours en enveloppe du bâtimentet est formateur pour l’Ordre des architectes de même qu’auprès de Contech.

antoine trottierAntoine Trottier détient un baccalauréat en biologie de l’Université McGill et unemaîtrise en sciences de l’environnement de l’UQAM. Durant sa maîtrise, il a exploréles thématiques de l’agriculture urbaine et l’évolution des toits verts à travers lemonde. Depuis, Antoine a combiné les expériences de travail en lien avec les toitsverts, sous différents rôles, dont ceux de chercher, de concepteur, d'installateur, decollaborateur et de vulgarisateur.

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CALENDRIER FORMATION HIVER 2015_PRINTEMPS 2016m Montréal q Québec v Varennes

en classe et à distance à distance exclusivement partie en laboratoire

JANVIER

mardi 12 Exercez votre influence dans un rôle-conseil Qmercredi 13 Inspection et entretien des façades M

jeudi 14 Entretien des tours de refroidissement à l'eau Mmardi 19 Plomberie M

Les toitures végétalisées Mmercredi 20 Réclamations pour délais Q

jeudi 21 Le rapport d'expertise et le témoignage au Tribunal Mmardi 26 Fenestration Q

mercredi 27 Appel d'offres de services Mjeudi 28 Code du bâtiment et sécurité M

vendredi 29 Gestion immobilière – établir un calendrier efficace

FÉVRIER

mardi 2 Droit de la construction [ 2 jours ] MGestion des coûts d'un projet [ 2 jours ] QGestion immobilière : comprendre et maîtriser les bases [ jour 1 ] M

mercredi 3 Sécurité incendie – impact sur la conception Mjeudi 4 Murs et parements extérieurs de maçonnerie Q

Toitures - principes de base Mmardi 9 Gestion immobilière : comprendre et maîtriser les bases [ jour 2 ] M

Le métier de gestionnaire QSécurité immeubles et de leurs occupants [ 2 jours ] M

mercredi 10 Enveloppe du bâtiment QSystèmes mécaniques M

jeudi 11 Toitures – entretien Mlundi 15 Jurisprudence en droit de la construction

mardi 16 Art de négocier MGestion immobilière : comprendre et maîtriser les bases [ jour 3 ] M

mercredi 17 Estimation et planification budgétaire – principes de base Qjeudi 18 Conception intégrée M

Systèmes de murs-rideaux vlundi 22 Solutions pour la conception des bâtiments combustibles et non ...jeudi 23 Analyse de la valeur M

mercredi 24 Lire le non verbal Mjeudi 25 Exercez votre influence dans un rôle-conseil M

89

m Montréal q Québec v Varennes en classe et à distance à distance exclusivement partie en laboratoire

MARS

mardi 8 Mise en conformité des bâtiments existants Qmercredi 9 Communiquer efficacement avec différents profils de personnes [ 2 jours ] Q

Conception en solutions de rechange selon le CNB 2010 M

jeudi 10 Étanchéité à l'eau des bâtiments vlundi 14 Solutions pour la conception de moyens d'évacuation

mardi 15 Devis technique – principes fondamentaux et atelier pratique [ 2 jrs ] MEnveloppe du bâtiment v

mercredi 16 Gestion de la maintenance Qjeudi 17 Art de négocier Q

Portes, cadres et éléments de quincaillerie architecturale Mvendredi 18 Code de construction : exigences parasismiques

mardi 22 Le métier de gestionnaire Mmercredi 23 Systèmes de murs-rideaux Qmercredi 30 Estimation et planification budgétaire – principes de base M

Inspection préventive des façades Qjeudi 31 Acoustique et insonorisation M

Étapes et processus d'une bonne gestion de projet Q

AVRIL

mardi 5 Communiquer efficacement avec différents profils de personnes [ 2 jrs ] MÉtanchéité à l'eau des bâtiments QMise en conformité des bâtiments existants M

jeudi 7 Inspection, entretien, diagnostic et réparation de béton Mvendredi 8 Infiltration d'eau par une couverture

lundi 11 Code de construction : solutions pour la compartimentationmardi 12 Gestion de la maintenance M

mercredi 13 Amiante : quels sont les impacts du nouveau règlement MDroit de la construction [ 2 jrs ] Q

mardi 19 Gouvernance dans l'industrie de la construction MInspection générale d'un immeuble M

mercredi 20 Code de construction : séparation spatiale et protection des façadesProgrammation fonctionnelle et technique [ 2 jrs ] M

jeudi 21 BIM: initiation à l'implantation du Builging Informaiton Modeling MOptimisez la gestion de vos actifs immobiliers Q

mardi 26 Acoustique et insonorisation QEfficacité énergétique [ 2 jrs ] MSystèmes électriques M

mercredi 27 Contexte réglementaire, champ d'application et survol de la Partie 9 MEntretien de l'enveloppe verticale Q

jeudi 28 Lecture de plans – systèmes mécaniques MMurs et parements extérieurs de maçonnerie M

90

m Montréal q Québec v Varennes en classe et à distance à distance exclusivement partie en laboratoire

MAI

mardi 3 Maintenance des bâtiments – exigences règlementaires MMoisissures MPortes, cadres et éléments de quincaillerie architecturale Q

mercredi 4 Entretien de l'enveloppe verticale MGestion des risques à toutes les phases de la gestion d'un projet [ 2 jrs ] MGouvernance dans l'industrie de la construction Q

jeudi 5 BIM: initiation à l'implantation du Builging Informaiton Modeling QHabiletés politique [ 1er 1/2 jour ]

vendredi 6 Uniformat II Introductionlundi 9 L'analyse des besoins

mardi 10 Étapes et processus d'une bonne gestion de projet MInspection générale d'un immeuble Q

mercredi 11 Structures de bâtiments – fondations et charpentes Mjeudi 12 Fenestration – exigences du nouveau CNB 2010 v

vendredi 13 Mesure de la performance en gestion immobilièremardi 17 Habiletés politique [ 2e 1/2 jour ] M

mercredi 18 Énergie solaire dans les bâtiments efficaces MGestion des coûts d'un projet [ 2 jrs ] M

jeudi 19 Maintenance des bâtiments – exigences règlementaires Qvendredi 20 Uniformat II et l'estimation des coûts de construction

mardi 24 Systèmes électriques Qmercredi 25 Réclamations pour délais M

jeudi 26 Mécanique des sols MOptimisez la gestion de vos actifs immobiliers M

vendredi 27 Maximisez les revenus de tous ses espaces locatifs Mmardi 31 Exigences de la Partie 9 – Maisons et petits bâtiments M

Moisissures Q

JUIN

mercredi 1 Lecture de plans - architecture Mvendredi 3 Uniformat II et le contrôle des coûts de la construction

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Acoustique et insonorisation 6

Amiante : quels sont les impacts du nouveau règlement 7

Analyse de la valeur 8

Appel d‘offres de services 9

Art de négocier 10

BIM : initiation à l’implantation du Building Information Modeling 11dans vos projetsCode de construction du Québec – Contexte réglementaire 12

Code de construction du Québec – chapitre 1 – Exigences de la Partie 9 13– Maisons et petits bâtimentsCode de construction : exigences parasismiques 14

Code de construction : séparation spatiale et protection des façades 15

Code de construction : solutions pour la conception de 16la compartimentationCode de construction : solutions pour la conception des 17moyens d'évacuationCode de construction : solutions pour la conception d’un bâtiment 18combustible et non combustibleCode du bâtiment et sécurité 19

Communiquer efficacement avec différents profils de personnes 20

Conception en solutions de rechange selon le CNB 2010 21Conception intégrée 22

Devis technique – principes fondamentaux et atelier pratique 23

Droit de la construction 24

Efficacité énergétique 25

Énergie solaire dans les bâtiments efficaces 26

Entretien de l’enveloppe verticale 27

Entretien des tours de refroidissement à l’eau 28

Enveloppe du bâtiment 29

Estimation et planification budgétaire – principes de base 30

Étanchéité à l’eau des bâtiments 31

Étapes et processus d’une bonne gestion de projet 32

Exercez votre influence dans un rôle-conseil 33

Fenestration – exigences du nouveau CNB 2010 34

Gestion de la maintenance 35

Gestion des coûts d'un projet 36

Gestion des risques à toutes les phases de la gestion d’un projet 37

Gestion immobilière : comprendre et maîtriser les bases 38

Gestion immobilière : établir un calendrier efficace pour bien 39planifier ses interventionsGouvernance dans l’industrie de la cosntruction 40

Habiletés politiques 41

Infiltration d’eau par une couverture 42

Inspection générale d’un immeuble 43

Inspection préventive des façades 44

Inspection, entretien, diagnostic et réparation de béton 45

Jurisprudence en droit de la construction 46

L'analyse des besoins 47

Index alphabétique

96

Le métier de gestionnaire 48

Le rapport d’expertise et le témoignage au Tribunal 49

Lecture de plans – architecture 50

Lecture de plans – systèmes mécaniques 51

Les toitures végétalisées 52

Lire le non verbal 53

Maintenance des bâtiments – exigences règlementaires 54

Maximiser les revenus de tous ses espaces locatifs 55

Mécanique des sols 56

Mesure de la performance en gestion immobilière 57

Mise en conformité des bâtiments existants – sécurité incendie et usage 58

Moisissures 59

Murs et parements extérieurs de maçonnerie 60

Optimiser la gestion de vos actifs immobiliers 61

Plomberie : principes de conception et maintenance des systèmes 62

Portes, cadres et éléments de quincaillerie architecturale 63

Programmation fonctionnelle et technique [ PFT ] 64

Réclamations pour délais – utiliser l'échéancier comme outil de prévention 65

Sécurité des immeubles et de leurs occupants 66

Sécurité incendie – impact sur la conception architecturale des bâtiments et 67de leurs systèmes mécaniquesStructures de bâtiments – fondations et charpentes 68

Systèmes de murs-rideaux 69

Systèmes électriques 70

Systèmes mécaniques 71

Toitures – entretien 72

Toitures – principes de base 73

Uniformat II et le contrôle des coûts de la construction 74

Uniformat II et l’estimation des coûts de la construction 75

Uniformat II – Introduction 76

Nos formatrices et formateurs 77-87

Calendrier hiver_printemps 2016 88-90

Gardons le contact ! 93

Inscription en ligne : www.contech.qc.ca/formation ou 95

Index alphabétique 96-97

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