Pays de Loudéac et de Pontivy

N°12 - mai/juin 2016

Magazine gratuit

du Centre Bretagne

Le canal :UN ATOUT TOURISTIQUE

S o c i é t é - C u l t u r e - É c o n o m i e - L o i s i r s - T o u r i s m e

OsmobioDes solutions naturelles

KergristDurable et solidaire

Musique et danseLe Conservatoire de Pontivy

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N°12 - mai/juin 2016Edito

C’est une belle histoire...On persiste. Comme chanté voilà deux mois, « de toutes les saisons, c’est l’printemps qu’on préfère... » On le préfère, le printemps, mais on ne déteste pas l’été, non plus. On accueille donc avec un plaisir enthousiaste celui qui s’an-nonce, qui montre déjà le bout de son nez presque bronzé. Oui, chez Ici et Là, on n’est pas exclusif dans l’amour des saisons.Comme l’avance avec pertinence Jean Philosophe, elles ont chacune leurs charmes, les quatre jolies périodes qui scandent nos années. Pour s’en convaincre, il suffit de prê-ter une oreille, même distraite, aux concertos composés à leur gloire par Antonio Vivaldi. Elles envoient ! Qu’est-ce-qu’elles sont belles, ses Quatre saisons ! Elles ne résonnent pas pareil. Aucune n’est semblable à une autre et on les kiffe toutes. On ne s’en lasse pas.Peut-être parce que, chez Ici et Là, on est aussi habitués à scander l’année au rythme de nos saisons. Celles de nos rendez-vous avec vous. Certes, elles ne sont pas quatre, mais six, les saisons de chez nous. Qu’importe. Tous les deux mois, on vous retrouve avec le même plaisir renou-velé que celui avec lequel on fête chacune des saisons. Immodestes, on ose même espérer qu’il en va un peu de même pour vous. On fait le pari audacieux que nos retrou-vailles régulières ne vous sont pas indifférentes. Que vous nous kiffez un peu.Pour ajouter quelques atouts à nos atours, à chaque édi-tion, on s’efforce donc de concocter un magazine toujours plus attrayant, toujours plus en phase, en résonnance avec votre belle histoire. Celle que vous racontez, parfois sans même le savoir. À l’image des pays de Pontivy et Loudéac qui n’en font désormais plus qu’un, celui d’Ici et Là, elle est chouette votre histoire qui est aussi la nôtre. Ou l’inverse. À coup sûr, c’est une belle histoire...

La Rédaction

S O M M A I R E

Ici et Là est une publication bimestrielle - Tirage : 8 000 exemplairesDirectrice de la publication : Christine Le BourdonnecRédacteur en chef : Dominique PerrotRédaction : Kader Benferhat, Stéphanie Biju, Christine Le Bourdonnec, Dominique Perrot, Daniel ThépautSecrétariat d’édition : Daniel ThépautPhotographe : Michel LangleConception et réalisation : Ronan Le Duff et Idest CommunicationIconographie : Fotolia.Régie publicitaire : 07 87 36 05 64 - idest.pontivy@orange.frN° ISSN : 2276-1934Impression : Iris Imprim

www.icietla-magazine.com facebook.com/icietlamagazine

• Dossier : Le canal de Nantes à Brest (p. 5 à 12)

• Entreprise : Osmobio (p. 14-15)

• Commune : Kergrist (p. 18-19)

• Histoire : Maison de l’archéologie (p. 22-23)

• Sport : Skate Club Loudéac (p. 24-25)

• Sorties : L’agenda culturel (p. 27 à 31)

• Cinéma : Cithéa à Plouguenast (p. 32-33)

• Enseignement : Campus Bretagne Centre (p. 34)

• Culture : Conservatoire de Pontivy (p. 36-37)

• Loisirs : Kingoland (p. 38-39)

• Nature : Le moineau (p. 42)

• Gastronomie : Christophe Le Fur (p. 48)

• Randonnée : La rigole d’Hilvern (p. 50)

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Lotissement «Les Terrasses de la Chouette Chevêche»Réalisation : Commune de Saint Caradec avec le concours de la Cideral

27 lots de 413 m2 à 1324 m2

Contact : Mairie de Saint Caradec - Tél : 02 96 25 00 49 Mail : mairie.st-caradec@wanadoo.fr - www.saint-caradec.fr

Commerces et services de santéÉcoles maternelles et primairesComplexe sportif

SAINT-CARADEC, commune de 1200 habitants, proche du Lac de Guerlédan est située au centre géographique de la Bretagne(source IGN), à 5 mn de Loudéac, 10 mn de Mûr-de-Bretagne et à 15 mn de Pontivy.

Quelques lots du lotissement «Les Terrasses de la Chouette Chevêche» ont déjà trouvé acquéreurs. Ses terrains viabilisés et terrassés de 413 m2 à 1324 m2, sont bien exposés, en bordure de la Rigole d’Hilvern et proche de la 4 voies.Un cadre de vie exceptionnel, proche des commerces, des deux écoles primaires et maternelles, étang et installations sportives pour les loisirs et la détente. 30 km de chemins de randonnées en direction du lac de Guerlédan, du lac de Bosméléac, de la forêt de Loudéac, du canal de Nantes à Brest. La faune et la flore y sont hospitalières et passionnantes à découvrir et à admirer.La vie associative vous offre de nombreuses possibilités.

Pour rendre les lots plus attractifs, une surprise est réservée à tous les premiers acquéreurs.

La rigole d’Hilvern avec sa double rangée de hêtres présente un intérêt faunistique élevé. La chouette Chevêche, rare en Bretagne, s’est installée ici et nos aménagements protègent son habitat.

26,50 € TTCle m2

Exposition Plein Sud

360 km de Nantes à Brest. 24 km entre Rohan et Pontivy. Et, au risque de passer pour des chauvins, sûrement l’un des plus beaux tronçons du canal initié par Napoléon Ier. Un ouvrage d’art, témoin de l’histoire du Centre Bretagne et qui sert aujourd’hui de colonne vertébrale à son développement touristique. D’ailleurs, n’est-ce pas sur la péniche Duchesse-Anne, elle-même amarrée sur le canal, que l’office de tourisme de Pontivy Communauté est installé ? Tout un symbole… Si la partie Rohan-Pontivy du canal est aussi belle, c’est aux trésors d’ingéniosité technique déployés pour sa construction qu’elle le doit (pages 6 et 7). À cet endroit, le bief de partage d’Hilvern relie la vallée de l’Oust à celle du Blavet et, sur un peu plus de 20 km, ce ne sont pas moins de 54 écluses qui se succèdent. Parfois distantes de dizaines de mètres seulement, comme aux étangs du Roz où ces ouvrages offrent un spectaculaire alignement en cascade. Plus particulièrement encore en cette période printanière où la nature s’embellit.Quand on parle de nature… Tout du long de ce ruban d’eau, c’est un autre patrimoine que la région Bretagne, propriétaire du canal depuis 2008, a voulu mettre en avant. Arboré celui-là ! Entre Guel-tas et Pontivy, pas moins d’une vingtaine d’essences d’arbres, ont été repérés pour leur rareté ou leurs formes étonnantes. Un sen-

tier d’interprétation mène de noyers noirs en chênes pédonculés, d’érables sycomores en métaséquoia… Un bon prétexte pour une balade familiale et pédagogique (page 10).

Un atout charme à redécouvrir, à pied ou à vélo Longtemps endormies, les maisons éclusières, elles aussi, re-trouvent une seconde vie… et toujours pour mieux répondre à la nouvelle vocation touristique du canal. Leur renaissance s’inscrit dans le cadre d’appels à projets lancés par la Région pour voir se dé-velopper dans ce patrimoine bâti fluvial des activités à destination des usagers du canal. Les maisons éclusières du Guer, à Rohan, ou de La Haye, à Noyal-Pontivy, sont ainsi devenues des gîtes d’étape et haltes « bien-être » ou pique-nique très sympa ! (Pages 8 et 9)Indissociable du paysage du Centre Bretagne et loin de la frénésie de la côte, le canal de Nantes à Brest fait résolument rimer tran-quillité avec activités. Les locaux seraient d’ailleurs bien avisés de redécouvrir l’incontestable atout charme de leur territoire. À pied ou à vélo, et pourquoi pas électrique en location à l’office de tou-risme de Pontivy-Communauté. En un coup de pédale, vous vous retrouvez propulsés sur ses chemins de halage reconvertis en voie verte. Reste à ajuster votre vitesse, low, médium ou high…

Grande voie d’eau et de verdure, le canal de Nantes à Brest est l’un des principaux atouts charme du Centre Bretagne. Construit à des fins stratégiques puis économiques, sa voca-tion est aujourd’hui essentiellement touristique. D’autant que le tronçon Rohan-Pontivy en est l’un des plus beaux...

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DOSSIER

Le canal de Nantes à Brest

UN ATOUT TOURISTIQUE

DOSSIER

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De Rohan à Pontivy,

QU’EST CE QU’IL ÉCLUSE, CE CANAL !

Réalisée entre 1824 et 1838, la partie du canal de Nantes à Brest qui relie Rohan à Pontivy ap-paraît bien particulière. La tranchée qui relie l’Oust au Blavet compte en effet la plus grande densité d’écluses sur l’ensemble du canal : 56 sur une distance de 24 km.

Un canal en Bretagne ! L’idée remonte au milieu du XVIIIe siècle et émane de François-Joseph de Kersauson. En 1746, ce représen-tant de la noblesse présente en effet aux états de Bretagne son premier « Mémoire sur la canalisation de la province ». L’homme y voit d’abord un intérêt économique puisque « l’ouverture de ce canal réveillera l’industrie de toute la partie haute de la Bretagne ». Il y développe également des avantages stratégiques, notamment face à la puissance maritime de l’Angleterre.Un demi siècle plus tard, c’est justement cette raison qui va inciter Napoléon Ier, à ressortir le projet des cartons. Le chantier est d’enver-gure ! Entre Nantes et Brest, il va falloir canaliser huit rivières et franchir trois « montagnes ». La plus haute des trois est aussi la plus connue, c’est la tranchée de Glomel. Longue de 24 km, celle devant rejoindre Rohan à Pontivy apparaît également comme un chantier titanesque.

Un tracé contestéEn 1804, l’ingénieur Guy-Joseph Bouessel est chargé de réaliser une étude « pour reconnaître et indiquer le point de partage par lequel il convient de faire la jonction entre l’Oust et le Blavet ». À

partir de Rohan, l’ingénieur propose « de remonter le ruisseau de Boju jusqu’au point de partage d’Hilvern avant de descendre dans le Blavet, à Pontivy ». Ce n’est sans doute pas le parcours le plus aisé, mais sous l’Empire, il semble impossible d’envisager que le canal n’aboutisse par au coeur de la future Napoléonville ! Le projet reste-ra toutefois sur le papier. L’Empire a alors d’autres préoccupations...La monarchie a été restaurée et Louis XVIII installé sur le trône, lorsqu’en 1822, le projet du canal est réactivé. Chargé de reprendre les études et surtout d’engager la construction, l’ingénieur Lenglier conteste avec prudence le tracé de son prédécesseur. Nous sommes en temps de paix et le rôle stratégique du canal envisagé sous l’Em-pire n’a plus lieu d’être. Il faut donner au canal des objectifs éco-nomiques aussi bien dans son exécution que dans les nouveaux enjeux de son utilisation au service de la province. L’ingénieur se veut pragmatique et estime que le passage par Pontivy apparaît comme le plus contraignant et le plus coûteux. Lui préférerait en effet un tracé d’un peu plus de 60 km reliant l’abbaye de Bon Repos à Hilvern, et permettant d’amener les eaux du Blavet vers l’Oust, à Saint-Samson, et d’effectuer au passage, l’économie de la construc-tion d’une soixantaine d’écluses !

Son projet ne sera pas retenu et c’est finalement celui imaginé par Bouessel qui sera mis en chantier, à partir de 1824. La majorité du parcours est plat et il suffit d’ouvrir un canal de pleine section. S’agissant du bief de partage des eaux qui s’étend sur 5 km, entre Bel Air et Keroret, le schiste alterne en revanche avec l’argile et la tâche est moins aisée.

24 km et 54 écluses Surtout, deux gros autres chantiers doivent être également enga-gés : la construction de 54 écluses sur une distance de 24 km et la réalisation de la rigole d’Hilvern qui doit permettre d’alimenter le bief en eau, depuis l’étang de Bosméléac (Ici et Là N° 9). Les tra-vaux vont durer 14 ans et seront achevés au cours de l’été 1838... Soit quatre ans avant l’ouverture intégrale du canal de Nantes à Brest à la navigation.La multiplication des écluses, avec notamment les échelles d’Hil-vern et du Roz, ne facilitent pas la navigation. Si une journée de marche suffit pour rejoindre Pontivy depuis Rohan, il en faut deux en bateau ! Pendant des décennies pourtant, la batellerie bre-tonne va assurer à cette voie d’eau une vocation commerciale avec le transport de marchandises. La construction de routes et le déve-loppement des voies ferrées vont toutefois lentement engendrer le déclin des activités de transport sur le canal. La construction du bar-rage de Guerlédan, à la fin des années 1920, va en précipiter la fin.

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1746 : le comte François-Joseph de Kersauson initie un premier projet de canal de Nantes à Brest.1804 : l’ingénieur Guy-Joseph Bouessel est chargé d’étudier la possibilité d’établir une navigation intérieure entre Nantes et Brest.1822 : création de la Compagnie des canaux de Bretagne et reprise des travaux engagés sous l’Empire.1824 : début des travaux de la tranchée d’Hilvern entre Pontivy et Rohan.1838 : fin des travaux de la tranchée d’Hilvern.1842 : ouverture du canal de Nantes à Brest à la navigation.1928 : construction du barrage de Guerlédan.

LE CANAL EN QUELQUES DATES

DOSSIER

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La maison éclusière de La Haye, à Noyal-Pontivy, a été réhabilitée par Paola Camoletto. Italienne d’origine, elle a voulu appliquer le principe d’un refuge de haute-montagne au bord du canal.

Une deuxième vie

POUR LES MAISONS ÉCLUSIÈRES

LE RELAIS 103 :UN REFUGE POUR RANDONNEURS

C’est ce qu’on appelle un heureux concours de circonstances. En-gagée comme éclusière-vacataire pour la saison touristique 2013, Paola Camoletto est alors affectée à La Haye, sur la commune de Noyal-Pontivy. « Je n’arrêtais pas de regarder la maison aban-donnée située face à l’écluse et je me disais qu’il y avait vraiment quelque chose à y faire », se souvient cette Italienne, à l’accent chantant. Le même été, le conseil régional de Bretagne lance un appel à projet visant à valoriser et faire revivre ce patrimoine bâti fluvial en y développant de nou-velles activités culturelles et touristiques. Paola tente sa chance, sa proposition est retenue dès septembre suivant…« Mon idée était simple : appliquer le principe du refuge de haute-montagne, mais au bord du canal », dévoile Paola. La native de Turin sait de quoi elle parle : elle a travaillé une dizaine d’années dans les gîtes d’altitude des Alpes ita-liennes et françaises.Trois chambres ont ainsi été aménagées à l’étage de cette maison de 70 m², qui peuvent accueillir jusqu’à huit personnes. Un salon, une salle de bain et un coin cuisine occupent le rez-de-chaus-sée. En plus du gîte, le Relais 103, nouveau nom de cette maison éclusière située à seulement 3 km au nord de Pontivy, propose aussi une armoire-épicerie de produits secs (pâtes, gâteaux…), en dépannage et un service de vente de boissons, chaudes ou froides.

Aux beaux jours, une tonnelle est montée sur la terrasse devant la maison, et sous laquelle tous les usagers du canal, dormeurs ou pas, peuvent faire une petite halte. Pour les groupes d’au moins six personnes, Paola propose même d’y organiser un barbecue, à base de bons produits locaux : saucisses, chorizo, poitrine fumée de chez Lavandier ; fromages de vache, chèvre ou brebis au maga-sin de producteur du lycée du Gros-Chêne, à Pontivy, ou encore

confiture d’échalote de la Fée Légumes. L’Italienne se charge aussi du café, autant dire qu’on ne boit pas ici du jus de chaussette…

Des projets pour sa maisonLe Relais 103 entame sa troisième saison pour laquelle des réservations sont déjà prises. « Cela n’a pas été simple à mettre en place mais c’est une super expérience ! », s’enthousiasme celle qui murît d’autres projets pour sa maison du canal. « J’aimerais y développer l’accueil des cavaliers. Mais avant cela, il reste à aménager le terrain atte-nant à la maison », confie Paola. L’an passé déjà, elle a eu la joie de recevoir des randonneurs sur ânes bâtés. Son rêve ? Ouvrir un cabinet d’ostéo-

pathie animalière, pour concilier l’activité de son Relais 103 avec la formation qu’elle suit en parallèle. Pratique : La terrasse, halte boissons du Relais 103, est ouverte en juin, juillet et août, de 14 h à 18 h 30. Renseignements : 06 82 56 75 31 ou relais103@gmail.com.

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À Saint-Gérand, en bordure du canal et de l’ancienne route de Loudéac, Le Thé-résa rappelle forcément des moments festifs à de nombreux habitants de la région. Pendant plusieurs décennies, l’établissement était particulièrement prisé pour y célébrer un mariage, un an-niversaire ou une fête de famille.

Fermé depuis plus de trois ans, l’établissement va bientôt renaître. Installée à Malguénac, la société Globe traiteur, a en effet réinvesti le lieu. Spécialisée dans l’organisation d’événements elle ne pouvait jusqu’à présent, proposer ses prestations que dans des lieux privés ou des salles polyvalentes. Réaménagé, l’ancien restaurant disposera de deux salles pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes et d’une salle pour des groupes moins importants. « Nous allons désormais bénéficier d’un lieu qui nous permettra de proposer une prestation complète : menu, personnel et salles adaptées », assure le directeur de Globe Traiteur, Olivier Le Cadre.Ouvert à partir du mois de septembre prochain, le nouvel établissement disposera également d’un bar ouvert quo-tidiennement. « Il s’agira d’un commerce de proximité et sa pérennité dépendra de la fidélité des clients », précise le responsable. Et si ces deniers sont au rendez-vous, Oli-vier Le Cadre n’exclut pas d’y développer une restauration en continu... Et même, qui sait, d’y improviser une guin-guette !

DOSSIER

LA RENAISSANCE DU THÉRÉSA

AU GÎTE DU GUER,

REPOS ET PENSÉE POSITIVE

À Rohan, Valérie et Pascal Stil ont transformé la mai-son éclusière du Guer, en un gîte d’étape prisé des randonneurs et cyclistes. Depuis peu, des séjours « bien-être » y sont aussi proposés.

C’est une maison aux volets bleus, le long du canal de Nantes à Brest. On y vient à pied… mais aussi à vélo, comme le soulignent Pascal et Valérie Stil, qui se sont vus confier les clés de cette maison éclusière, dite du Guer, à Rohan. Pascal et Valérie Stil étaient déjà habitués à recevoir randonneurs et cy-clistes sillonnant le canal, dans leurs chambres d’hôtes « Caux Breizh » à Rohan. Pour mieux répondre aux attentes d’un public, « qui, en général, privilégie des modes d’hébergement en gestion libre », le couple s’était mis en quête d’un endroit où aménager un gîte d’étape. « L’appel à projet de la Région nous l’a servi sur un plateau ! »À 800 m de chez eux, à Saint-Samson, la maison éclusière du Guer était inhabitée depuis cinq ans lorsqu’ils ont signé une convention temporaire d’occupation de dix ans avec la Région. Aujourd’hui, Pascal et Valérie dis-posent de cette maison de 55 m² (et de son jardin clos de 780 m²) dont ils ont pris en charge les travaux et l’aménagement intérieur. « Il a fallu passer plusieurs couches de peinture à cause d’une certaine humidité. Cuisine aménagée, chauffe-eau, meubles… nous avons investi près de 10 000 € pour réhabiliter cette maison », indique Pascal.

Se retrouver avec soi-mêmeEn avril 2014, le gîte d’étape du Guer accueillait ses premiers randonneurs, à pied ou à vélo. « Nos hôtes sont contents de dormir dans une maison éclu-sière. C’est le genre d’endroit où l’on n’a pas souvent l’occasion de rentrer », observe Valérie.Un petit havre de paix qui a d’ailleurs inspiré à cette coach de vie de profes-sion, des formules « bien-être » sur deux jours pour ses résidents. Au pro-gramme : randonnée guidée, selon les capacités de chacun, et immersion dans la nature pour profiter de ses bienfaits et mieux se ressourcer. « Ici, il n’y a pas de wifi, de télévision ou de radio et très peu de réseau télépho-nique. C’est l’endroit idéal pour se retrouver avec soi-même et développer une pensée positive », assure Valérie. Déconnexion garantie !Pratique : Ouvert toute l’année.Nuitée : 20€ / pers en haute saison (du 1er avril au 30 septembre). Renseignements : 06.62.18.11.85.

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PONTIVY

Le Pigeon Blanc

Écluse de la Haye

Kerveno

Étangs du Roz

Écluse de St-Caradec

St-Gérand

Pont du Brouz

Maison de Gogal

Écluse d’Hilvern

Rigole d’Hilvern

Forêt de Branguily

Écluse de la forêt

Écluse de Boju

Base de plein air

Écluse de Coët-Prat

ST-SAMSON

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1 . NOYER commun

13 . NOYER noir

14 . PLATANE hybride

17 . PLATANE hybride

× Section : de Pontivy à Gueltas ×× Distance : 16 km environ ×

ARBRES REMARQUABLES

DU CANAL DE NANTES À BREST

N

S

EO

2 . CHÊNE pédonculé

3 . BOULEAU4 . ROBINIER faux-acacia

5 . ÉRABLE sycomore6 . MÉTASÉQUOÏA

7 . HÊTRE

8 . MERISIER

Écluse de la forêt

9 . CHARME9 . CHARME10 . LE CYPRÈS de Lambert

13 . NOYER noir

Écluse de la Haye

11 . 12 . PIN maritime & PIN sylvestre

15 . CHÊNE chevelu 15 . CHÊNE chevelu 16 . ÉRABLE sycomore 18 . FRÊNE commun

19 . TILLEUL à petites feuilles à petites feuilles20 . PLATANE hybride20 . PLATANE hybride

En longeant le canal...

BALADE À L’OMBRE D’ARBRES REMARQUABLES

Entre Noyal-Pontivy et Gueltas, un sentier d’interprétation des arbres remarquables invite à contempler une vingtaine d’essences rares ou aux formes étonnantes et transforme la balade familiale en promenade pédagogique.

Seize kilomètres séparent l’écluse de La Haie, à Noyal-Pontivy de celle de la Forêt, à Gueltas. Une distance le long de laquelle vingt spécimens d’arbres remarquables ont été identifiés. Mis en valeur par le biais d’un sentier d’interprétation aménagé par la région Bretagne, ce petit trésor de la nature donne un bon prétexte pour une balade pédagogique sur cette portion, encore trop méconnue, du canal.« C’est à la fois pour la concentration d’arbres aux essences rares ou aux formes très parti-culières mais aussi parce qu’ici le paysage est particulièrement joli et ne manque pas d’attraits que nous avons choisi ce secteur », motive Véronique Véron, responsable du service patrimoine et usagers à la direction déléguée des voies navigables de la région Bretagne.Pas besoin de guide, il suffit de relier les bornes disposées sur le parcours. Tout du long, on s’amuse ainsi à faire la différence entre le noyer commun, dont les fruits étaient prisés des éclusiers, et le noyer noir,

dont le grain fin est apprécié en menuise-rie, sculpture ou marqueterie. On passe, à pied, à vélo ou à cheval, sous le tronc voûté d’un chêne pédonculé. Il doit son nom aux pédoncules bien visibles sur lesquels sont fixés ses glands.

Des détails pour reconnaître

chaque spécimenOn admire le conique métaséquoia qui se dresse, fièrement, au bord des emblé-matiques étangs de Roz, autrefois réser-voirs d’eau pour l’alimentation du canal et aujourd’hui repère du papillon aurore, dont le mâle est reconnaissable à ses ailes orange et blanches, de la libellule écarlate, du martin-pêcheur ou de la couleuvre à collier. Encore jeune, cet arbre pourra au terme de sa croissance et s’il a résisté aux tempêtes bretonnes, s’élever jusqu’à plus 50 m et déployer 6 m de circonférence. Un peu plus loin, chêne chevelu, érable sycomore, tilleul à petites feuilles, platanes hybrides... font miroiter leur feuillage dans

les échelles d’écluses d’Hilvern. Pour mieux contempler ces arbres, il faut prendre le temps de s’asseoir sur l’un des 18 bancs, construits en douglas local par les menuisiers de l’établissement public médico-social de Belna et qui ponctuent le parcours. Incrustée dans leur assise, des planches explicatives aident à mieux connaître cette nature environnante : l’appellation de l’arbre, son origine, ses usages, ses vertus médicinales, voire cer-taines croyances qui lui sont associées. Les illustrations de ces planches sont si-gnées Pierrick Legobien, artiste naturaliste qui a dessiné les détails de reconnaissance de chaque spécimen mais aussi leur sil-houette sans feuilles. « Afin qu’on puisse aussi les identifier en hiver et que le sentier soit exploité toute l’année », indique Véro-nique Véron. Une carte du sentier est disponible gratui-tement à l’office de tourisme de Pontivy communauté.

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Si l’enseigne a évolué récemment, c’est pour mieux servir les besoins de sa clientèle. Appuyés à la marque AD, les mécaniciens et carossiers du Centre Auto Loudéac affichent pour la plupart, 30 ans d’expérience au compteur !

Centre Auto Loudéac

Le 1er juillet 2014, le garage Peugeot de Loudéac opère un virage essentiel en rejoignant AD Expert, grand réseau national de vente de pièces déta-chées. Un avantage pour le client, qui bénéficie dès lors de l’expertise hors pair d’une équipe de professionnels, tout en profitant de tarifs imbattables sur les pièces et les réparations. « Notre atelier prend en charge toutes les marques de véhicules, en respec-tant le niveau de qualité imposé par les constructeurs », explique Benja-min Trouilleau, l’adjoint de Luc Tram-bouze, responsable de site.

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Duchesse AnneLA PÉNICHE LARGUE LES AMARRES

Du début du mois de juin à la fin du mois de juillet, la péniche la Duchesse Anne, qui abrite l’office de tourisme de Pontivy Communauté, va quitter son port d’at-tache. Une sortie qui va s’accompagner de nombreuses animations, dans les communes traversées par le canal.

Depuis son inauguration au printemps 2010, elle n’a pas quitté le quai Niemen, où elle est amarrée. Le 6 juin prochain, la pé-niche la Duchesse Anne, va pourtant larguer les amarres pour naviguer sur les canaux bretons. Pour satisfaire aux obligations réglementaires, la péniche va en effet devoir subir un contrôle technique au chantier fluvial du conseil régional, à Apigné, au sud de Rennes.Les responsables ont donc décidé de profiter de ce voyage pour initier une opération de promotion autour du canal en général et du Centre Bretagne en particulier. Au fil de l’eau la péniche fera ainsi escale dans différentes communes. À chaque fois, grâce à la participation de nombreux partenaires, de nom-breuses animations seront proposées : concerts, démonstra-tions de jeux bretons, dégustations de produits régionaux... Des tours de péniche, notamment à bord de la Marne, qui accompagnera la Duchesse Anne, seront également proposés à chaque étape.

Lundi 6 juin : départ de Pontivy - Arrivée à Saint-Thuriau.Mardi 7 juin : départ de Saint-Thuriau - Arrivée à La Cascade.Mercredi 8 juin : La Cascade.Jeudi 9 juin : départ de La Cascade - Arrivée à Saint-Gérand.Vendredi 10 juin : Saint-Gérand.Samedi 11 juin : départ de Saint-Gérand - Arrivée à Saint-Gonnery.Dimanche 12 et lundi 13 juin : Saint-Gonnery.Mardi 14 juin : départ de Saint-Gonnery - Arrivée à Gueltas.Mercredi 15 juin : Gueltas.Jeudi 16 juin : départ de Gueltas - Arrivée à Rohan.Vendredi 17 et samedi 18 juin : Rohan.Dimanche 19 juin : départ de Rohan - Arrivée à Josselin.

DE LA DUCHESSE ANNELE PARCOURS ET LES HORAIRES

Séjours individuelsUn séjour de quatre jours et trois nuits est proposé aux individuels. Premier jour : départ de Rohan, randonnée le long du canal avec un vélo électrique et visite de l’abbaye de Timadeuc. Deuxième jour : randonnée à vélo de Rohan à Pontivy (24 km), puis visite de la vieille ville. Troisième jour : visite du quartier napoléonien puis randonnée à vélo jusqu’à Mûr-de-Bretagne (23 km). Quatrième jour : visite du musée de l’électricité de Saint-Aignan et retour à Rohan.

Séjours groupesPour les groupes, c’est un séjour de trois jours et deux nuits qui est proposé. Premier jour : visite guidée de Rohan, découverte du canal et de l’abbaye de Timadeuc. Deuxième jour : visite guidée de Pontivy, de la chapelle Notre-Dame de Quelven, à Guern, dégusta-tion de bière à la brasserie de Saint-Georges. Troisième jour : visite guidée des Forges des Salles et croisière sur le lac de Guerlédan.

L’office de tourisme de Pontivy Communauté propose des séjours de trois ou quatre jours pour les individuels et pour les groupes.

À la découverteDU CANAL

PratiqueOffice de tourisme de Pontivy Communauté2, quai Niemen - 563000 Pontivy - Tél. 02 97 25 04 10www.tourisme-pontivycommunaute.com

Biocoop CalluneDes principes et des valeurs ! Chez Biocoop Callune, ces fondamentaux sont inscrits dans les statuts même de l’entreprise : la coopérative. Ici, l’économie sociale et solidaire se conjugue avec le développement durable.

Société coopérative et participative, la Scop est par définition, une entreprise de territoire. Son centre de décision demeure sur son lieu de naissance. En France, plus de 2 700 entreprises ont fait ce choix. Si elle peut prendre différentes formes juridiques (SA, SARL, SAS), une chose reste immuable : les associés majoritaires sont toujours les salariés. Réunis par des aspirations, des besoins éco-nomiques, sociaux et culturels communs, les salariés d’une Scop partagent équitablement et démocratiquement, les pouvoirs, les risques, l’information et les profits. Les grandes décisions sont votées en assemblée générale avec un principe simple : une per-sonne égale une voix !

Développement durableCe choix coopératif, les créateurs du magasin pontivyen l’ont fait très vite. Au départ, ils n’étaient qu’une poignée regroupés au sein de l’association Utopinambour. L’objectif était d’acheter en commun et de distribuer des produits bio. Dès 1990, l’association devient une coopérative de consommateurs et un magasin baptisé « Callune de miel » ouvre ses portes. En 1996, elle prend le statut de Scop, et le magasin devient accessible à tous.

Fiable économiquement, ce projet collectif bien ancré dans le ter-ritoire s’est développé au fil des ans. Un développement raisonné et durable. Sur son cœur de métier bien sûr : un tiers des produits vendus sont produits dans un rayon de 150 km. Sur son outil aussi ! Les travaux d’agrandissement du magasin sont effectués à 80 % par des entreprises du bassin de Pontivy. L’installa-tion de 300 m2 de panneaux photovoltaïques permettra de couvrir 25 % de ses besoins en électricité. Le magasin pontivyen sera par ailleurs le premier, sur 400 magasins Biocoop en France, à bénéfi-cier de vitrines réfrigérées avec un fluide non polluant, le CO2.

L’ESPRITCOOPÉRATIF !

PONTIVY LOUDÉACRoute de VannesTél. 02 97 25 63 73

Ouvert du lundi au jeudide 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 19 h.

Vendredi et samedi, de 9 h à 19 h.

11, Bd Victor-ÉtienneTél. 02 96 67 10 69

Ouvert du mardi au samedide 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 19 h.

Le magasin double sa surfaceLancé il y a quelques mois, le chantier d’agrandissement

du magasin de Pontivy se traduira par un doublement de sa surface. L’achèvement des travaux nécessitera une

fermeture, du 16 au 26 mai. La réouverture est prévue le jeudi 26 mai.

ENTREPRISE

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Lundi 6 juin : départ de Pontivy - Arrivée à Saint-Thuriau.Mardi 7 juin : départ de Saint-Thuriau - Arrivée à La Cascade.Mercredi 8 juin : La Cascade.Jeudi 9 juin : départ de La Cascade - Arrivée à Saint-Gérand.Vendredi 10 juin : Saint-Gérand.Samedi 11 juin : départ de Saint-Gérand - Arrivée à Saint-Gonnery.Dimanche 12 et lundi 13 juin : Saint-Gonnery.Mardi 14 juin : départ de Saint-Gonnery - Arrivée à Gueltas.Mercredi 15 juin : Gueltas.Jeudi 16 juin : départ de Gueltas - Arrivée à Rohan.Vendredi 17 et samedi 18 juin : Rohan.Dimanche 19 juin : départ de Rohan - Arrivée à Josselin.

PratiqueOffice de tourisme de Pontivy Communauté2, quai Niemen - 563000 Pontivy - Tél. 02 97 25 04 10www.tourisme-pontivycommunaute.com

Des solutions naturellespour le jardin et la maison

En une quinzaine d’années, la société Osmobio, installée à Loudéac, est devenue un acteur

incontournable dans le domaine de la phytoprotection biologique. Pour le jardin comme pour la

maison, elle propose une vaste gamme de produits naturels respectueux de l’environnement.

« Comment trouver une alternative aux produits chimiques ? » Enseignant en bio-logie végétale avant d’intégrer le monde de l’industrie des fertilisants, Jacques Le Verger s’est longtemps posé cette ques-tion. « Depuis des décennies, dans l’agri-culture, nos efforts ont été concentrés sur l’accroissement des rendements, admet-il. C’était une aberration mais la question des répercussions environnementales ne se posait pas. » Lui se la posait depuis déjà un moment et il a toujours été persuadé qu’il était possible de produire autrement. En avance sur son temps mais sûr de ses choix, il créé son entreprise en 2000. Bap-tisée Osmobio, elle est installée en plein

cœur de Loudéac, sa ville natale.D’entrée, il oriente ses recherches autour de deux idées principales. La première vise à s’appuyer sur les richesses de la mer. « Les algues ont des vertus qui peuvent permettre de stimuler les défenses natu-relles de la plante », assure-t-il. La seconde entend s’appuyer sur les richesses du sol « en valorisant ses ressources naturelles et en développant son activité biologique, sans l’apport d’engrais issus de la chimie. »

Jardiniers amateurs

et professionnelsEt ça fonctionne quasiment immédiate-ment. Le premier produit qu’il met sur le

marché est un engrais organo-minéral liquide qui permet de cultiver des ga-zons sans mousse et sans acidifier le sol. Quinze ans plus tard, son « Croq’mousse des gazons » est devenu un produit phare de la gamme proposée par la société lou-déacienne. Une gamme qui s’est notable-ment développée depuis et qui compte aujourd’hui plus d’une soixantaine de références. Passionné, il ne cesse en effet de chercher. Et il trouve. Pour protéger les plantes contre les maladies ou les insectes, il développe des produits qui font barrière au mildiou, aux pucerons ou encore aux chenilles. Pour les fortifier et les nourrir, il propose des purins d’ortie, de consoude,

ENTREPRISE

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de prêle, de fougère, et des revitalisants spécifiques à base d’al-gues marines destinés aux rosiers et plantes vertes. À chaque fois, il collabore avec les universités de Lorient et de Brest pour valider les formulations de ses produits innovants, et pour ensuite les faire expérimenter par les services espaces verts de plusieurs grandes villes : Paris, Créteil, Nantes, Lyon...Pour commercialiser ses produits, Jacques Le Verger a su capitaliser sur leur qualité. D’abord uniquement distribués dans son magasin de la rue Lavergne à Loudéac, ils sont désormais commercialisés dans toutes les jardineries françaises sous la marque Osmobio/ Sobac, et concernant les produits d’entretien de la maison, sous la marque Algolys, dans les grandes et moyennes surfaces. Au total, il comptabilise plus de 1 000 points de vente. Depuis le mois de mars dernier, il dispose d’un site Internet qui offre la possibilité d’acheter tous les produits en ligne.

Des perspectives de développementLes jardiniers amateurs, soucieux de préserver leur environnement quotidien, demeurent la clientèle majoritaire, mais il développe également une gamme pour les professionnels. « Nos produits sont destinés aux collectivités locales, aux services d’entretien des espaces verts, stades, golfs, ou encore aux paysagistes, désireux de mettre en place une gestion responsable dans un souci de déve-loppement durable », explique-t-il. Si les villes de Loudéac, Saint-Brieuc, Chartres-de-Bretagne ou encore Ploufragan, lui font déjà confiance, il peine toutefois encore à convaincre les élus du centre Bretagne ! Qu’importe, l’homme ne renonce pas facilement et a encore des projets de développement. Avec une possible mise sur le marché d’un désherbant naturel (lire encadré), mais également avec le lancement d’une nouvelle gamme de produits d’entretien de la maison. Forte actuellement d’une dizaine de références, la gamme Algolys se compose de nettoyants pour la vaisselle, les vitres, la salle de bain, le mobilier de jardin en bois brut, les sols, la cuisine ainsi qu’une lessive douce pour le linge et sans allergènes. Lancée l’an passé, elle va offrir des perspectives de développement très intéressantes pour cette société. Des investissements sont pro-grammés en 2017-2018 pour accompagner ce développement.

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Et si une petite société du Centre Bretagne avait une solution naturelle pour remplacer le fameux Roundup, commercialisé par Monsanto ? Jacques Le Verger en est persuadé ! Le désherbant biologique qu’il a mis au point, il y a maintenant plus de trois ans, a d’ailleurs pas-sé avec succès tous les tests de toxicité réalisés par l’Insti-tut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS). Seulement voilà, ça bloque du côté de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES). Sans qu’il puisse avoir d’explication, celle-ci ne lui a pas encore accordé une autorisation de mise sur le marché. Des rencontres avec des hommes politiques locaux et des rendez-vous dans des cabinets ministériels, n’ont toujours pas permis de débloquer une situation qui interpelle. Mais Jacques Le Verger, n’a pas l’intention d’abdiquer.

BRETON ?UN DÉSHERBANT NATUREL

14, rue Lavergne22600 Loudéac

Ouvert du lundi au jeudi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30. Le vendredi, fermeture à 17 h.

Tél. 02 96 28 09 05www.osmobio.com

Une parenthèse bien-être et beautéOuvert depuis l’automne dernier, l’Institut-Parfumerie « Une Heure Pour Soi » du Centre E. Leclerc

de Pontivy propose des prestations « beauté » personnalisées et inédites en Centre Bretagne.

Le temps semble faire une pause au pre-mier étage de l’Institut-Parfumerie « Une Heure Pour Soi » du centre E. Leclerc de Pontivy. L’ambiance intérieure dominée par le bois naturel et le blanc invite à la détente. Un espace lounge fait la transition avec ce quotidien qui vous happe, comme un sas de respiration pour mieux profiter du voyage sensoriel à venir. « Le concept de notre enseigne consiste à pro-poser à nos clients des moments uniques, hédonistes aussi, qui soit tout autant source de plaisir que de surprises », annonce Auré-lie Jouan, responsable de l’Institut-Parfu-merie qui a ouvert en octobre 2015. Avant ou après leurs emplettes, les clients sont ici accueillis et écoutés par une équipe de six conseillères-esthéticiennes qui mettent leur expertise à profit pour

s’adapter aux besoins de chacun. Des ou-tils digitaux modernes les aident dans leur prise en charge personnalisée. Comme cette application numérique « Ma peau en mieux » qui permet d’établir un diagnostic efficace avant de prendre place dans l’une des six spacieuses cabines de l’Institut-Par-fumerie.

Aquabiking, fauteuil Pédispa,

cabine « duo »Soins du visage, du corps, maquillage, remise en beauté des mains ou des pieds, épilations… Aux côtés de ces prestations « classiques », l’institut « Une Heure Pour Soi » inscrit à sa carte d’autres inédites en Centre Bretagne. La cabine Spabike est ain-si dédiée à des séances d’aquabiking. « Les clients s’entraînent 30 minutes sur l’appa-

reil, avec ou sans coaching télé. Le coach sur grand écran permet d’apporter un rythme à la séance », décrit Aurélie Jouan. Tandis que les couleurs de l’appareil passent du jaune au vert ou au rouge, les buses de l’aqua-biking, elles, viennent masser les jambes, procurant un effet tonifiant et réactivant la circulation du sang. Un bon allié minceur à l’approche des beaux jours. « Quand on sort de l’appareil, on ressent une vraie sen-sation de légèreté », assure la responsable de l’Institut-Parfumerie « Une Heure Pour Soi ». D’autres équipements dernière généra-tion apportent aux clients des prestations qualitatives : un fauteuil Pedispa pour un modelage poly-sensoriel des pieds, les appareils Cellu M6 pour un palper-rouler mécanisé, et Mobilift M6 pour un micro-

PRATIQUE

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massage du visage à la carte... Des équipements d’épilation défi-nitive à la lumière pulsée permettent d’offrir des forfaits « résultat garanti » après un bilan de peau. « Cela fait partie de notre valeur ajoutée de rechercher les équipe-ments les plus qualitatifs pour répondre au mieux aux attentes de nos clients », souligne Aurélie Jouan.

Un soin haut de gamme en 30 minutes chronoÀ l’Institut-Parfumerie « Une Heure Pour Soi » du centre E.leclerc de Pontivy, les parenthèses bien-être et beauté peuvent aussi se vivre en couple ou entre amis, dans la cabine « duo ». Les plus pressés, eux, opteront pour un soin express, selon le concept décliné par la marque parisienne « Les Anges Ont La Peau Douce ». Dans un « cor-ner beauté », après avoir passé un joli peignoir, confortablement installé dans un large fauteuil inclinable, on bénéficie d’un soin du visage complet et haut de gamme en 30 minutes chrono. Avec des résultats immédiatement visibles pour 39 € seulement !

Après cette parenthèse enchantée, c’est avec plaisir que l’on flâne parmi les grandes marques de luxe qui sont proposées au rez-de-chaussée. L’offre couvre les parfums et le soin pour homme, femme et enfant, sans oublier maquillage et solaires. Des animations et promotions régulières vous feront découvrir les dernières nou-veautés. On remarque aussi des produits de PME françaises telles que la marque de cosmétique bio Akane ou encore la marque Blancrême pour le bain, Arcancil pour les accessoires maquillage.

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Publi-reportage

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L’Institut-Parfumerie « Une Heure Pour Soi »est ouvert du lundi au samedi de 9 h à 20 h.

Prise de rendez-vous au 02 97 25 96 01ou sur www.uhps-pontivy.fr

INFORMATIONSPRATIQUES

Que ce soit en institut ou en parfumerie, Une Heure Pour Soi vous promet le meilleur pour être belle à prix doux !

On dit qu’il existe un « esprit kergristois » et qu’il se passe toujours quelque chose à Kergrist.

Solidarité et bien-vivre ensemble sont les fondements du développement voulu pour cette

localité du Centre Bretagne, à proximité de Pontivy et Loudéac.

Onze éoliennes à la ronde, un lotissement communal éco-construit, l’abandon de tout produit phytosanitaire dans l’entretien des espaces verts… Le vent du développement durable souffle sur Kergrist, commune ru-rale située à 8 km de Pontivy et 16 km de Loudéac. Bruno Servel, son maire depuis 2008, préfère, lui, parler de « développe-ment local ». « Quand on pense durable, on pense à la protection de l’environnement, aux économies d’énergie, mais ce n’est pas que cela, martèle-t-il. On peut certes avoir des équipements répondant à des normes écologiques, mais sans le maintien de l’éco-nomie, d’une activité culturelle ou associa-tive, cela ne sert à rien car tout est lié ! »L’évolution de sa démographie illustre bien le dynamisme de Kergrist. La loca-lité morbihannaise compte aujourd’hui 715 habitants, soit 50 de plus en cinq ans. Une population par ailleurs rajeunie : son école accueille 55 élèves, pour seulement une petite vingtaine au début des années 2000.

De nouvelles constructions expliquent ce renouvellement. La situation géographique de Kergrist aussi, ni trop près, ni trop loin des bassins d’emplois pontivyen et loudéacien. « L’ouverture de la déviation nord rend plus accessible la partie sud de Pontivy, même si nous devons encore davantage désenclaver notre commune », observe Bruno Servel. Pour favoriser l’intégration de ses nouveaux habitants, Kergrist peut s’appuyer sur un tissu associatif des plus actifs. La commune recense ainsi une dizaine d’associations lo-cales, dont le comité des fêtes et son fameux festival de musique rockabilly, les clubs de foot et de cyclos…

Maintien vital

des commercesL’une des forces de Kergrist repose dans la vitalité de ses commerces de proximité. Un garage automobile, deux cafés-restaurants et une épicerie–dépôt de pain animent le

bourg. La dernière vient même de trouver des repreneurs : un jeune couple installé dans le bourg succèdera à Marie-Christine Lorillec, gérante depuis 38 ans de l’établis-sement. « Le maintien de cette épicerie était essentiel pour la commune. Les repreneurs vont y développer un nouveau concept. En tant que municipalité, c’était important de les accompagner dans leur projet », souligne le maire.L’attractivité du bourg : le nerf de la guerre pour Bruno Servel et sa municipalité. Ainsi, au moment de doter la commune d’une salle multifonctionnelle, qui soit à la fois un lieu de culture, de rencontres et de convivia-lité, le choix s’est porté sur la réhabilitation d’anciens locaux techniques proches de la mairie, « pour favoriser la synergie avec les commerces ». La salle Kaméleon est en service depuis 2014. Elle abrite la bibliothèque, gérée par « Les amis du livre », et met une salle par-tagée à la disposition des associations et de

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COMMUNE

K E R G R I S T En transitiondurable et solidaire

Bruno ServelMaire de Kergrist

Natif de Kergrist, Bruno Ser-vel, 59 ans, est maire depuis 2008. Il mène son deuxième mandat à la tête d’une équipe municipale renouve-lée. Une municipalité qui ac-corde une très grande impor-tance à associer les habitants à ses actions et projets.

Favoriser le « bien vivre ensemble » à Kergrist est l’une de vos priorités et a conduit à la rédaction d’une charte. Pourquoi cette charte ?Nous sommes une commune avec une forte activité agricole qui, à certains moments de l’année, peut être factrice de nuisances : transport, bruit… Or, nos nou-veaux arrivants ne sont pas forcément issus du monde rural et ne connaissent pas son fonctionnement. Notre volonté est que chacun apprenne à mieux se connaître et se tolérer. En mettant en place cette charte, la com-mune voulait veiller à ce que les intérêts des uns et des autres soient respectés.

Au-delà de cette charte, votre municipalité s’efforce également de rencontrer régulièrement les habi-tants ? Nous avons décidé d’aller sur le terrain à la rencontre des Kergristois dans les villages et les quartiers du bourg : pour les écouter, pour qu’ils nous fassent part de leurs problèmes là où ils habitent ou à l’échelle de la com-mune. C’est informel et la parole est libre. On vient avec le café ou avec l’apéritif et pour certains voisins qui se voient peu, c’est l’occasion d’échanger et de mieux se connaître.

Quelles seraient les améliorations à apporter pour ce bien-vivre ensemble ? Nous devons être encore plus proactifs envers les nou-veaux arrivants, les inviter à s’impliquer davantage dans la vie locale, à s’inscrire au sein des associations, à don-ner leur avis sur ce que l’on met en place. Nous nous efforçons d’ailleurs d’avoir une démarche participative pour nos projets, en associant les habitants à la réflexion. Cette manière de faire, c’est aussi une manière d’impli-quer les Kergristois dans la vie de la commune.

la paroisse. Elle accueille également des spectacles et des résidences d’ar-tistes. Sa programmation est confiée à la toute jeune association culturelle, Koca, créée sur l’impulsion de la municipalité et à laquelle est allouée une subvention spécifique. « Les spectacles ont souvent lieu le mardi soir et les artistes en résidence sont invités à « consommer local » afin de générer des retombées pour l’activité du bourg », souligne Bruno Servel.

2 M€ investis lors du mandat précédentÉvidemment, l’écologie a été au cœur de la construction de cette salle et de son équipement : laine de chanvre pour l’isolation, bardage bois, chau-dières à granulé mutualisées avec la mairie. Non sans impact dans les investissements portés par la commune. « Nous avons globalement investi 2 M€ sur l’ensemble du mandat précédent. Pour autant, nous connaissons un endettement raisonnable voire même légèrement inférieur à celui des communes de notre taille parce que nos choix de « développement durable » nous ont permis d’obtenir des subventions pour des projets inno-vants », précise Bruno Servel. Dans les prochains mois, c’est en faveur de la jeunesse kergristoise que les élus veulent travailler. Un terrain multisports, à proximité de l’éco-lo-tissement, « sera opérationnel dès l’été prochain », annonce Bruno Servel. À moyen terme, la municipalité projette aussi de racheter une maisonnette du centre-bourg pour la transformer en local jeunes. Des jeunes, enfants ou adolescents, qui eux aussi s’impliquent dans la vie de la commune. Via le « conseil municipal jeunes » regroupant les 11-12 ans ou un « groupe d’ados », « ils ont beaucoup de propositions à faire », se réjouit Bruno Servel. L’avenir de Kergrist est bien l’affaire de tous…

I N T E R V I E W /

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En BrefPopulation :

715 habitantsSuperficie : 2 966 hectares

Gentilé : Kergristoises, Kergristois

Chez les Le Fur, la passion de l’automobile se transmet de père en fils. Raymond a en effet ouvert son premier garage, il y a plus de 40 ans ! C’était en 1975 et il s’était alors installé sur la zone de Kerponer. En 2003, sont fils Jean-Philippe reprend l’affaire familiale avant de transférer le garage, quelques années plus tard, à la sortie de Pontivy et en bordure de la route de Noyal, dans le parc d’activité de la Niel.Depuis maintenant un an, un nouveau patronyme est venu s’ajouter à celui de la famille fondatrice. Fort d’une expérience de plus d’une douzaine d’année dans la région pontivyenne, Maxime Loncle est venu apporter son expérience commer-ciale dans un domaine qu’il connaît bien.Agent Renault, le garage propose bien évidemment à la vente, les véhicules neufs de toute la gamme de la marque au losange. Dans le domaine des véhicules

d’occasion, ils peut également répondre à toutes les demandes et proposer des vé-hicules de toutes les marques. « Nous tra-vaillons à la demande et nous recherchons le véhicule qui correspond aux souhaits du client », expliquent les deux associés.

Vente, réparationet entretienDans son activité de garagiste, l’équipe composée de cinq personnes assure également les réparations de toutes les marques de véhicules. Les techniciens peuvent aussi suivre l’entretien, la vi-dange ou encore le passage au contrôle technique de la voiture du particulier comme de la flotte des professionnels. Garage de proximité à taille humaine, le garage Le Fur et Loncle mise sur son pro-fessionnalisme pour développer une rela-tion de confiance avec le client.

Installé dans le bassin pontivyen depuis plus de 40 ans, le garage Le Fur s’appelle désor-mais Le Fur et Loncle. Le fils du fondateur et son nouvel associé entendent développer un garage de proximité avec une exigence de confiance et de professionnalisme.

Garage Le Fur et Loncle Proximité et qualité

Garage Le Fur et LoncleAgent Renault

P.A de la Niel - 56920 Noyal-Pontivy 02 97 25 47 50

Ouvert du lundi au vendredide 8 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 19 h.

Le samedi de 8 h 30 à 12 h.

AUTOMOBILE

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Au travers d’objets issus des fouilles menées sur le site néolithique de Quelfénec, la Maison de l’archéologie de Plussulien présente les méthodes d’extraction et de façonnage de la métadolérite pour en faire des haches polies. Dans une toute nouvelle muséographie.

« Le miracle de Quelfénec ». « C’est ainsi que le célèbre paléonto-logue breton Yves Coppens parle de la découverte du filon de méta-dolérite dans les environs de Plussulien », rapporte Danielle Le Gall, comme pour mieux insister sur l’importance archéologique du site. Affleurant au sommet de la colline de Quelfénec, cette pierre érup-tive au grain fin et serré, d’une belle couleur gris-bleu, a longtemps et largement été exploitée par les hommes du néolithique. Durant plus de 2 000 ans, entre 4 200 et 2 000 avant JC, « ce sont entre deux et trois millions de haches polies et herminettes, des outils indispensables aux premiers paysans, qui ont été fabriquées ici », explique la présidente de l’association Les Chemins de l’archéolo-gie. Mise au jour en 1964 par le jeune archéologue Charles-Tanguy Le Roux, la carrière de Plussulien est même aujourd’hui considé-rée comme l’un des plus grands sites européens de production de lames de haches en pierre polies. Une véritable usine !Depuis sa création en 2006, l’association Les Chemins de l’archéo-logie est chargée d’animer ce site d’exception ainsi que la Maison de l’archéologie de Plussulien. Aménagée au rez-de chaussée de la mairie, cette dernière présente à la fois les méthodes d’extrac-tion et de fabrication des haches polies à l’époque du néolithique

et les fouilles qui y ont été menées plus de six millénaires plus tard. « Dans une toute nouvelle muséographique », annonce avec enthousiasme Danièle Le Gall.

Des échanges commerciauxjusqu’en AngleterreSous de grandes vitrines sont ainsi exposés de nombreux artéfacts retrouvés à Plussulien, « mais aussi à Saint-Nicolas-du-Pélem ou Plélauff, des sites voisins portant des traces majeures de l’époque néolithique », indique Danielle Le Gall. On y observe plusieurs haches polies bien sûr, mais aussi des céramiques de type pot de fleurs, des petites perles en chlorite, des ciseaux en fibrolite, des poignards… À même le sol sont posées des meules en granit qui étaient utilisées pour moudre les grains récoltés. Des fac-similés d’emmanchement « aident à comprendre comment l’homme néo-lithique se servait de ces haches », indique Danielle Le Gall.Les grands panneaux pédagogiques permettent de mieux voyager jusqu’à l’âge de pierre, en détaillant la technique de fabrication et de polissage de ces haches. Selon les chercheurs, l’industrie des

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PATRIMOINE

Maison de l’archéologie de Plussulien

Voyage dans l’âge de pierre

haches de Plussulien aurait représenté le travail de trois à quatre personnes sur l’année, ou plus vraisemblablement, de dix à vingt travailleurs saisonniers, en morte saison agricole. « Certaines ont été retrouvées jusqu’en Belgique, Allemagne, et même au Sud de l’Angleterre », retrace Danielle Le Gall. C’est dire l’ampleur des échanges commerciaux dont elles ont fait l’objet…

Le « couloir du temps »En l’aidant à la déforestation et pour la construction d’habitats, ces hâches ont largement contribué à la sédentarisation de l’homme néolithique. Comme on peut le lire sur une grande frise chronologique, « remontant de l’époque paléolithique à nos jours, avec des focus locaux », indique Danielle Le Gall. Dans ce « couloir du temps » comme s’amuse à l’appeler la pré-sidente des Chemins de l’archéologie, une autre frise retrace, elle, l’aventure géologique de la Bretagne et la formation de la métadolérite de Quelfénec.Comme chaque été, en plus des visites guidées sur le site de Quelfénec, des ateliers participatifs seront proposés aux petits et aux grands. Au programme de la saison 2016 : fabrication de sifflets globulaires en argile, polissage de cailloux pour en faire des pendentifs, montage d’une maquette de mai-son néolithique et aussi démonstrations de creusement de pirogue avec des outils en pierre et d’allumage de feu. Histoire de parfaire sa culture préhistorique !

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RANDO ET EXPO POUR LA JOURNÉE NATIONALE

La 7e édition des Journées nationales de l’archéologie aura lieu les 17, 18 et 19 juin prochains. Comme chaque année, les bénévoles des Chemins de l’archéologie de Plussulien se mobilisent pour l’occasion. Dimanche, 19 juin, c’est le site de Saint-Nicolas-du-Pélem qui sera mis à l’honneur. Plusieurs randonnées accompagnées, de 1,5 à 9,5 km, amè-neront à la découverte des menhirs du néolithique mais aussi des mottes castrales (fortifications de terre) du Moyen-Âge. Rendez-vous au Point I de Saint-Nicolas-du-Pélem : le matin à 9 h 15, pour un départ à 10 h de toutes les randonnées (prévoir un pique-nique pour celle de 9,5 km) ; l’après-midi à 14 h, pour un départ à 15 h, pour les randonnées courtes uniquement.Parallèlement, une exposition présentera au bureau du tou-risme plusieurs objets trouvés dans la commune, laissant à penser qu’il y a eu une occupation des lieux au néolithique mais aussi au mésolithique. Parmi ces artéfacts, issus de la collection Michel Connan, un soc d’araire en dolérite : « c’est l’ancêtre de la charrue, il n’en existerait que deux exemplaires connus en dolérite », note Danielle Le Gall. Visite de l’exposi-tion de 9 h 15 à 12 h et de 14 h à 17 h 30.

DE L’ARCHÉOLOGIE

En dehors des animations, entrées libre toute l’année, sauf en août, aux horaires d’ouverture de la mairie :

lundi, mardi et vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h ; mercredi et jeudi de 9 h à 12 h.

Du 19 juillet au 23 août 2016, visite guidée du site de Quelfénec tous les mardis à 14 h 30.

Tarif : 4 € / pers de plus de 12 ansDu 21 juillet au 25 août 2016, ateliers participatifs,

tous les jeudis, à 14 h 30, à la Maison de l’archéologie. Tarif : 3 €, gratuit pour les moins de 4 ans.

Renseignements au 02.96.24.01.97Site internet : http://www.paysdecorlay.com/page/

les-chemins-de-l-archeologie

Pratique

Les néophytes n’y verront qu’un simple rocher. C’est pour-tant plus de 6 000 ans d’histoire qui vous contemplent du haut de la colline de Quelfénec… et une jolie balade qui vous attend ! Culminant à près de 310 m au centre d’une ligne de crête allant de Laniscat à Merléac, les carrières de Plussulien ouvrent une large fenêtre sur les paysages du Centre Bretagne mais aussi sur l’histoire néolithique de l’Ouest de la France. Depuis le parking, un parcours balisé de 1 300 m serpente à travers sous-bois de feuillus autoch-tones, prairies pâturées, chemins bocagers, friches… avant d’arriver sur le lieu de travail des premiers paysans de l’his-toire de l’humanité.

QUELFÉNEC, UN LIVRE OUVERT

SUR L’HISTOIRE ET LES PAYSAGES

Skate Club Loudéac Artistique

Comme sur des roulettes !Le Skate Club Loudéac Artistique compte quelque 85 licenciés, dont des graines de champions évoluant aux niveaux régional et national. Le club organise les 3, 4 et 5 juin, un open qualificatif pour le championnat de France. L’occasion de découvrir une discipline physique et technique.

« Fixe ta jambe ! », lance Olivier Abraham, entraîneur du Skate Club Loudéac Artis-tique, à Laura. « Pense-bien à tes quatre roues, pousse et tient la position… Essaie d’aller le plus loin possible.» En ce mer-credi après-midi, la jeune patineuse sur roulettes et ses camarades s’exercent aux figures imposées sur des cercles, de cinq à six mètres de diamètre, tracés sur le sol du gymnase de la Rocade, à Loudéac. Retournement, changement de carres… qui demandent une grande technique et beaucoup de concentration.Jusqu’alors section, avec le rink-hockey, du Skate Club Loudéac, créé en 1988 par Michel Moisan, le Skate Club Loudéac Ar-tistique est, depuis janvier 2016, un club à part entière. Présidé par Éric Brusq, il recense quelque 85 licenciés, des babies-rollers aux seniors, avec une forte repré-sentativité de la gent féminine propre à la discipline. Dérivée du patinage sur glace,

avec ses figures imposées ou libres, à la faveur d’un programme musical, pendant lequel les sportifs, en justaucorps, en-chaînent sur parquet, sauts, suites de pas ou pirouettes devant un jury, le patinage sur roulettes a ses propres spécificités. La première, c’est les patins. « Des quads, dotés de quatre roues, d’un frein à l’avant et d’amortisseurs, surmontés d’une bottine », détaille Éric Brusq.

Quatrième club françaisen terme de résultatsLe Skate Club Loudéac Artistique peut s’enorgueillir de compter dans ses rangs des pointures, évoluant en niveau régio-nal mais aussi en division nationale 1 et 2. « Actuellement, nous sommes le quatrième club français en terme de résultats », se satisfait le président. Selon lui, la force du club loudéacien, c’est son entraîneur. « Il est l’un des meilleurs français. Il sait pro-

poser aux patineurs, le programme le plus adapté à leur profil, leur tempérament. C’est ce qui explique en grande partie leurs bons résultats », insiste Éric Brusq.« J’aime bien comprendre comment fonc-tionne le jeune et observer ce qu’il est capable de faire avant de lui proposer une musique. J’essaie d’être orignal dans mes choix », explique, de son côté et en toute modestie, l’intéressé. Sachant que quelle que soit sa durée, de 2’30 à 4’30, chaque programme est composé de trois à quatre séquences de musique, lentes et rapides. « C’est un vrai travail de recherche en amont ! », observe Olivier Abraham, qui entraîne les patineurs loudéaciens depuis quinze ans déjà, dont sept en tant que sa-larié. Originaire de Guingamp, lui-même a pratiqué plusieurs autres disciplines de la Fédération française de roller sport, dont la course ou le rink-hockey, en plus du pati-nage artistique.

SPORT

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Skate Club Loudéac Artistique

Comme sur des roulettes !

Rigueur, persévéranceet sens artistique requis« C’est un sport très exigeant. Il est à la fois très physique et très technique et demande beaucoup de rigueur, de persévérance et d’un sens artistique », indique Olivier Abraham, secondé par les « nationaux » du club, parmi lesquels Axel Brusq, Solène Gloux ou Laurène Gorin, pour les entraînements. Selon la catégorie d’âge et les niveaux, ceux-ci se déroulent chaque jour de la semaine, sauf le jeudi, dans le gymnase de la Rocade entièrement dédié au Skate Club Loudéac Artistique. Ce mercredi-là, la séance de figures imposées à peine achevée, les patineurs se préparent déjà pour les figures libres. Quelques étirements d’abord puis un petit footing autour de la salle pour s’échauffer, avant de rechausser les patins. Les choses sérieuses vont pouvoir commencer. Au programme : enchaînement de saut piqué, de saut de carre et autres pirouettes assises ou arabesques.

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14 ans et déjà plusieurs fois champion de France. Axel Brusq est l’étoile brillante du Skate Club Loudéac Artistique. Le jeune homme a attrapé le virus du patinage sur roulettes dès l’âge de 5 ans. « J’allais voir ma sœur s’entraîner et j’ai eu envie d’essayer. C’est un sport qui m’a tout de suite plu. Pour son côté artistique et l’émotion corporelle mais aussi pour son côté spectaculaire et les prises de risques au moment d’effec-tuer des sauts », raconte-t-il. Alors qu’il n’est que baby-roller, Axel est tout de suite repéré par l’entraîneur du club, Olivier Abraham. À 7 ans, il participe, en catégorie poussin, à une demi-finale des championnats de France à Pau. Son esprit de compétition se révèle. « Sur place je me suis fait un ami. Au-delà de la compétition, j’ai aussi aimé le fait de rencontrer des nouvelles personnes et de voyager », indique celui qui a disputé deux championnats d’Europe, en 2014 et 2015, et une coupe d’Europe en juillet 2015. « J’ai fini 5e », annonce-t-il non sans une certaine fierté. Depuis un an, le patineur loudéacien présente un programme de 3’30, sur le thème du robot et sur une musique de Ludovico Einaudi. À choisir, Axel privilégie les programmes longs. « Si on chute, il nous reste du temps pour nous rattraper.» L’an dernier, le jeune homme s’est fracturé le poignet après avoir chuté sur un double axel. Depuis il appréhende de passer ce saut. « D’une manière gé-néral, je préfère faire des pirouettes comme les arabesques. Pour cela, on passe sur les talons, sur les deux roues arrière et on tourne autant de fois que l’on peut en changeant les posi-tions des bras.» À l’écouter dire, cela semble presque facile...

L’ÉTOILE BRILLANTE DUSKATE CLUB LOUDÉAC ARTISTIQUE

AXEL BRUSQ,

200 patineurs feront le show, les 3, 4 et 5 juin prochains au gymnase de la Rocade. Le Skate Club Loudéac Artistique organise en effet un des trois opens qualificatifs pour le championnat de France 2016, qui se déroulera en juillet prochain. « Pour les disputer, chaque patineur doit parti-ciper à au moins deux de ces opens », explique Eric Brusq. Ouvert au public, l’événement permettra de voir ces spor-tifs évoluer à l’entraînement et en phase de compétition. L’entrée sera gratuite, « afin de rendre la manifestation accessible au plus grand nombre », précise le président du Skate Club Loudéac Artistique. Et peut-être séduire de nouveaux adhérents.

TROIS JOURSDE COMPÉTITION DE HAUT NIVEAU

LA BONNE ADRESSE

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PONTIVYà côté de 35, rue Albert de Mun. Prox. mc donald’s. Direction centre-ville - 02 97 25 03 49Ouvert le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 19hLe mercredi et le samedi de 9h30 à 19h en continu.

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Le VTTComment le vélo s’est transformé en baroudeurAvant l'apparition du terme et du concept de vélo tout-terrain, des vélos étaient utilisés pour rouler hors des routes, parfois même de manière structurée au sein de clubs sportifs (par exemple le Vélo Cross Club Parisien dans les années 1950). L'arrivée de vélos conçus spécifiquement pour pouvoir rouler en terrain accidenté remonte au milieu des années 1970 aux États-Unis. Un groupe de passionnés adapte alors des vélos de type cruiser, proches des vélos de plage - en particulier le modèle Excelsior de la marque améri-caine Schwinn - pour les utiliser dans les montagnes en Californie. Des descentes chronométrées sont organisées. Elles sont appelées Repack Race, en référence à la nécessité de regraisser les moyeux à tambour qui surchauffent pendant la descente. Joe Breeze est reconnu comme le premier artisan à avoir construit un vélo uniquement destiné au tout-terrain. Mais c'est Tom Ritchey qui lance la première

fabrication en série, en créant la marque MountainBikes en 1979. En France, les premiers VTT, provenant du Canada, font leur apparition à La Plagne en 1983. Les premiers championnats du monde officieux se déroulent à Villard-de-Lans en 1987 (400 compétiteurs venant de 10 pays). Trois ans plus tard, les premiers championnats du monde officiels de VTT, cross-country et descente, se déroulent en 1990 à Durango dans le Colorado. La première course de vélo tout-terrain en France est le Roc d'Azur en 1984. Les premiers VTT français datent de cette même année. Ce sont le VTT1 fabriqué par Peugeot et le Tracker de MBK. Le VTT fait sa première apparition aux Jeux Olympiques à Atlanta en 1996 avec la discipline cross-country. Cette activité connaît un succès fulgurant durant les années 1990 avec de très nombreux pratiquants, des équipes de compétition dotées de très gros moyens et des innovations techniques à foison. Cet

engouement ne dure pas et, après avoir connu une légère crise de popularité au début des années 2000, le VTT est aujourd'hui considéré comme un sport ayant atteint sa maturité. Le marché du VTT, autrefois principalement composé de marques indépendantes, est désormais majoritairement contrôlé par de grands groupes industriels de loisirs.Alors qu'à ses débuts le vélo tout-terrain attirait surtout des cyclistes à la recherche d'un sport nature, il attire aussi mainte-nant de jeunes pratiquants urbains et péri-urbains amateurs de pratiques acrobatiques sur des terrains aménagés (terrains de bosses, constructions, etc.). Pour vous aider à choisir le vélo le plus adapté à votre taille et à votre pratique, n’hésitez à demander conseil auprès de votre spécialiste Bike + à Pontivy.

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6, 7 et 8 maiMayfestLa 9e édition du Mayfest, le festival de musique et danse country, se déroulera une nouvelle fois au palais des congrès de Pontivy. Cette année encore, le club organisateur des West country dancers, a invité des artistes du Texas, haut-lieu de la musique country actuelle.Le samedi soir, le festival accueille Bret Mullins et sa formation Tejas Rodeo band, qui viennent spé-cialement de San Antonio. Le dimanche, c’est un duo de jeunes auteurs compositeurs interprètes, Courtney Patton et Jason Eady, qui se produit à Pontivy, également en exclusivité européenne. Des animations se greffent tout autour : expo-sition de photos et reconstitution historique de soldats de l’armée américaine, marché western, exposition et balade de voitures américaines de collection...Vendredi 6À 20 h, grand bal CD animé par Coco Tilly. Tarif : 6 €. Samedi 7À 14 h 30, stages et animations gratuites. À 20 h 30, concert et bal country de Bret Mullins Band. Tarif : 18 € sur réservation ; 22 € sur place.Dimanche 8À 11 h, concert de Courtney Patton et Jason Eady. Tarif : 10 € sur réservation ; 12 € sur place. À 14 h, grand bal CD animé par Coco Tilly.

Programme complet sur www.westcountrydancers.frRenseignements au 06 42 57 46 81.

6 et 7 mai

Festival En ArwenPour la 31e édition du festival de Clégué-rec, En Arwen innove. Concerts et fest-noz s’entremêlent durant la même soi-rée. Un seul lieu, une seule scène pour une même transe...

Vendredi 620 h, église de Cléguérec, concert Annie Ebrel, Henaff/Meunier (champions Gou-rin 2015), Stal Kan DBK. Entrée, 5 €.20 h, dans les bars du bourg, festival off. Session de musique irlandaise au Ty Korn, concerts à l’Argoat et au Breuil.

Samedi 7 10 h 30, place du bourg, concours kost ar c’hoad : mélodie et marche ; couples de sonneurs, concours de cidre et sistr per. 12 h, place du bourg, apéro-concert avec Tymen/Kerveillant (champions Gourin 2015) ; cochon grillé : 10 €.13 h 30, place du bourg, concours de danse kost ar c’hoad : sonneurs, chan-teurs, duos libres, danseurs.

17 h 30, défilé de la place du bourg à la salle omnisports avec la Kerlenn Pondi.18 h, salle omnisports, fest-noz et concerts. À l’affiche : Teada (Irlande), Calum Stewart trio (Écosse/Irlande/Bretagne), Kerlenn Pondi, Trouzerion, Gourlan, ‘Ndiaz, Blain/Leyzour, Hamon/Martin quintet, Le Bour/Bodros duo, Kerbedig, Soïg Siberil, Tad Mab System sextet, Sonerien Du. Entrée : 10 €.

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14 au 22 maiFête de la BretagneDu 14 au 22 mai, dans le cadre de la fête de la Bretagne, l’association « Échanges Culturels » nous invite à un nouveau regard croisé entre culture et solidarité, à Pontivy. Au programme, danse, musique, cuisine, conte, défilé, concert, exposition, fest-noz, spectacle, puce des couturières...

Dimanche 15 mai Guern, à partir de 17 h, au Café des Anges, concert Piano/voix avec Fabien Robbe, Gwendal Le Ruyet et des invités.

Vendredi 20 mai Pontivy, à 16 h, à la médiathèque, contes musicaux avec Estelle et Armelle et les musiciens de l’école de musique de Lou-déac.

Samedi 21 mai Pontivy, au palais des Congrès et à la médiathèque : à partir de 15 h, stage de cuisine ; 16 h, sortie du livre de Claude Derollepot ; 17 h, danses et animations en ville ; 18 h à 19 h,  spectacle ; 20 h, repas solidaire ; 21 h, fest-noz avec Ampouailh, Les Mangeouses d’Oreilles, Ork Ursus, SMS & sonneurs...

Dimanche 22 mai Pontivy, de 9 h à 18 h, puce des coutu-rières au palais des congrès.Pendant toute la semaine : • Pontivy, église Saint-Joseph, exposition sur « Les trésors d’autrefois ».• Kergrist, mairie, exposition sur Anne de Bretagne.

Renseignements au 02 97 25 04 10 ou au 02 97 25 40 96.

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14 et 15 maiCoat-FavanPour la 37e édition, le fest-noz de Coat-Favan, organisé au Haut-Corlay, fait une nouvelle fois figure de grand. Tous les plus grands groupes bretons seront présents le dimanche soir, avec Sonerien Du, Ampouailh, Titom, JMK et Avel Noz.Pour la troisième année, l’association des jeunes du Haut-Corlay a vu encore un peu plus grand pour le concert du samedi. Cette soirée orientée Reggae/Dub rassemblera des artistes avec un grand potentiel : Marina P & Stepart, Roots Raid FT Mighty Cricket, Culture Dub Sound FT Sistabethsabée...

Samedi 14, 20 h, concert. Tarif : 10 €.Dimanche 15 mai, 19 h 30, fest-noz. Tarif : 8 €.Renseignements : http://coatfavan.bzh/

Mercredi 18 maiYvan le Bolloc’h« Faut pas rester là » Depuis « Tous les chemins mènent aux Roms  », leur précedent spectacle, Yvan le Bolloc’h et son groupe «  Ma Guitare s’ap-pelle Reviens » n’ont eu de cesse d’arpenter les routes, se confrontant aux grands enjeux de notre époque. Ils reviennent aujourd’hui, riches de savoirs et d’expériences qu’ils comptent bien vous faire partager. Ce one-man show musical va séduire les amateurs d’humour, de fiesta et de musique. Tous les ingrédients sont réunis pour vous faire pas-ser un excellent moment en Gitanie !

20 h 30, palais des congrès de Pontivy.Réservations : www.yvanlebolloch.net

Vendredi 27 mai

François Morel« Hyacinthe et Rose » « C’est bien simple : Rose et Hyacinthe, mariés depuis 45 ans, ne s’entendaient sur rien. Hyacinthe était coco, Rose était catho. Hyacinthe aimait boire, Rose aimait manger. Hyacinthe aimait la bicyclette, la pêche à la ligne, le vin rouge, la belotte et les chants révo-lutionnaires. Rose préférait les mots-croisés, le tricot, l’eau de Mélisse, les dominos et les cantiques. Ils avaient dû s’aimer mais c’était il y a longtemps. Il est même probable qu’ils aient pu faire l’amour. L’existence d’une descendance de douze enfants le laisserait fortement supposer. Moi, j’étais un de ces neuf. Chaque année, le petit parisien que j’étais venait à la campagne dans le but de se refaire une santé. Mon enfance est remplie de vaches, de bouses, de rivières... Et d’hortensias bleus. Et de camélias blancs. Et de rouges coqueli-cots. Et de tulipes multicolores. » Avec la complicité photographique d’Edouard Laug et l’accompagnement musical d’Antoine Sahler, François Morel crée un spectacle entre conte et souvenirs d’enfance, entre lecture et théâtre.

20 h 45, palais des congrès et de la culture de Loudéac.Tarif A : 17 € / 21 € / 24 €.Réservations au 02 96 28 65 50Courriel : pcc.loudeac@orange.fr

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ment bien présent avec des démonstrations, des animations et des concours de cosplay (incarnation en costume des personnages de manga et de jeux vidéo), et bien sûr de jeux vidéo. Une chasse aux Pokemons est même programmée...

Samedi 28 et dimanche 29, de 10 h à 19 h, au palais des congrès de Pontivy.Tarifs : 5 € la journée ; 10 € le week-end. Gratuit pour les moins de 10 ans.www.japandco.com

Samedi 18 juinLa Mott’y va sonsC’est une véritable fête de village que l’association Motte Le Son organise le samedi 18 juin pour la deuxième édi-tion du festival « La Mott’y va sons ».Dès le midi, autour de grillades, les convives pourront se restaurer tout en profitant des animations proposées par les écoles de la commune dans la salle Athéna. L’après-midi, l’asso-ciation mettra les bouchées doubles pour offrir toujours plus d’activités amusantes à partager en famille et entre amis (jeux gonflables, jeux bre-tons, concours de palets...). À partir de 18 h, place au concert gratuit en plein air, avec une programmation musi-cale riche et variée. Au programme : chanson française humoristique avec les Glochos ; musique irlandaise avec Brian Mc Combe Band ; rock celtique avec Back Ouest et enfin rock’n’roll avec Ultra Bullit.

Repas : adulte, 11 € ; enfant, 5 €. Réservations au 06 72 62 48 09.Animations et concerts : gratuit.

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27, 28 et 29 mai Un rêve mystérieuxPour ses 10 ans, l’atelier chorégraphique du Rondeau propose un grand spectacle de créa-tion autour de la danse et de la musique de notre territoire.

27 et 28 mai à 20 h 30 ; 29 mai à 14 h 30, salle Kastell d’Ô. Plus d’infos et réservation : 06 72 14 20 92.

Samedi 28 maiConcert de musique irlandaise Composé de deux violonistes passionnées (Nicola Hayes et Yuna Léon) et de l’un des plus grands guitaristes et chanteurs de la scène traditionnelle (Nicolas Quémener), le trio propose un concert de musique irlan-daise. Ensemble, ils créent une musique aussi dense que délicate, un son à la fois très per-sonnel et dans la lignée des grands maîtres de la tradition.

10 h 30, salle de La Belle Étoile à Rohan. Entrée gratuite.

28 et 29 maiJap and CoCréée en 2011, l’association Jap and Co, entend promouvoir la culture japonaise en Centre Bretagne et rassembler les passionnés en organisant un salon annuel. Pour la 4e an-née consécutive, il se déroulera au palais des congrès de Pontivy.Tout au long du festival, des initiations, des démonstrations ou encore des conférences, permettront aux visiteurs de découvrir le Japon traditionnel (kendo, jeu de go, calligra-phie, cuisine...). Le japon « pop », sera égale-

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La « Saison » du conservatoire de Pontivy

Concert « Le p’tit bal perdu »Imaginez un instant les chansons de Bourvil chorégraphiées et accompa-gnées ponctuellement par les instru-mentistes ! Une redécouverte de ces grands airs qui ravira petits et grands. Mercredi 1er juin, 20 h, palais des congrès de Pontivy.

« Printemps des arts » Le Printemps des arts, porté par l’Édu-cation Nationale, permet aux élèves morbihannais de proposer leurs pro-ductions artistiques, en mettant en avant leur émotion, leur sensibilité et leur créativité. Jeudi 2 juin, 20 h, palais des congrès de Pontivy.

Concert des ensembles Orchestre symphonique et petit en-semble de cordes, ensembles de vio-loncelles et d’altos, chant traditionnel et batucada, le conservatoire regroupe ses grandes formations sur la scène du palais des congrès.Vendredi 3 juin, 20 h, palais des congrès de Pontivy.

Concert « Musiques actuelles » Le département musiques actuelles s’étoffe un peu plus chaque année et apporte des couleurs nouvelles aux projets du conservatoire. Les élèves vont proposer des concerts variés, pré-sentant les répertoires rock, soul, funk, blues et bien d’autres.Lundi 6 juin, 19 h, théâtre des Halles de Pontivy.

« Petite histoire illustrée du hip-hop, des origines aux années 90 »Le hip-hop est une culture urbaine née à New-York, dans le Bronx, au cours des années 70. Elle se trouve au carrefour de différentes influences : le parler de la rue, la revendication de l’iden-tité afro-américaine, le funk, la soul, le rythm’n blues et le jeu des DJ jamaï-cains. Depuis, le hip-hop a essaimé dans le monde entier, notamment en France, où l’explosion a été consacrée dans les années 90. La conférence ani-mée par Guillaume Kosmicki, retrace cette aventure de 1970 à 1990.Samedi 11 juin, 10 h à 12 h, conservatoire de Pontivy.

Fête de la musique

Certaines communes choisiront le samedi 18, d’autres le

samedi 25 et d’autres encore le mardi 21, pour marquer

cette édition 2016 de la fête de la musique.

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A l’heure où nous impri-mons ces lignes, les pro-grammes n’étaient encore communiqués.

Samedi 18 JuinLa Pondi Parade « Monde en fête », tel sera le thème de la 4e édition de la Pondi Parade, organisée à l’occasion de la fête de la musique à Pontivy, le samedi 18 juin. La Pondi Parade est un évènement qui réunit au sein d’un cortège et d’un thème, acteurs culturels, sportifs, éducatifs, sociaux et territoriaux. Ainsi, lors de cette manifes-tation, amateurs et professionnels, enfants et adultes déguisés, grosses têtes et chars en tous genres défilent ensemble dans les rues de Pontivy.Tous les amateurs qui souhaitent y parti-ciper peuvent contacter le pôle culture de l’Amisep au 06.81.76.54.12 ou par mail à l’adresse pondi.parade@hotmail.fr.

Pratique : départ à 15 h 30 du palais des congrès et défilé jusqu’à la Plaine.

24 et 25 juinFestival L’ÉklectisonCréée en 2007, l’association L’Yer Mat est née de la volonté de quelques jeunes pas-sionnés, d’animer la commune de Plougue-nast. Dès le mois de juin 2008, ils proposent la première édition du festival « L’Eklectison ». En quelques années seulement, le festival organisé au cœur du bourg a bien grandi et accueille chaque année plus de 2 000 spec-tateurs, soit plus que le nombre d’habitants de la commune de Plouguenast.

Vendredi 24À partir de 19 h 30 : Weeding Dub, Antho-ny John & Soulnation Band, Sonorien Du, Double Kick.Samedi 25À partir de 20 h 30 : A State of Mind, Le Catcheur, La Pute & Le Dealer, Born Idiot, The Red Goes Black

Tarif : vendredi 24, prix libre ; Samedi 25, 8 € en réservation ; 10 € sur place. Gratuit pour les moins de 12 ans.www.eklectison.fr

25 et 26 juin

Pontivy au fil de l’eau« Un événement culturel, sportif et festif ». C’est en tous cas le souhait des organisa-teurs (ville de Pontivy, clubs sportifs, asso-ciation de pêcheurs...), de la première édition d’une manifestation organisée sur et autour du Blavet, et baptisée « Au fil de l’eau ».Samedi 2510 h à 12 h, parking rue des Fontaines : démonstrations de pêche au coup, pêche en bateaux, animation pêche virtuelle, concours de lancer sur cible.14 h à 19 h, piscine de plein air (La Plage) : championnats du Morbihan de natation, bap-têmes de plongée, tournoi de hockey suba-quatique. À partir de 14 h 30, La Plaine : Pondi color, zumba géante et festi color.14 h à 16 h 30, rue des Fontaines (départ) : randonnée pédestre sur le thème « le fil de l’eau à Pontivy ».À partir de 15 h, rue des Fontaines : canoë-kayak, paddle, dragon boat, ski nautique, ani-mations diverses...Dimanche 269 h à 19 h, piscine de plein air (La Plage) : championnats du Morbihan de natation.10 h à 12 h, compétition de canoë-kayak, duathlon.12 h à 18 h, triathlon ouvert à tous ; compé-tition de kayak ; championnats du Morbihan de triathlon.

Animations gratuites tout le week-end : aquarium, exposition photos, jeux...

KM 9346 : la création artistique coréenneDans le cadre de l’année croisée France-Corée, le département du Morbihan propose de décou-vrir un large panorama de la création visuelle et plastique coréenne, de sa naissance à nos jours. Apparu dans les années 70, ce mouvement artis-tique qui n’a cessé d’évoluer, se distingue de l’art monochrome ou minimal occidental par sa forte dimension méditative sollicitant tout le corps et nécessitant une grande concentration physique et mentale. L’exposition au domaine de Kergué-hennec présente en premier lieu, la production des artistes fondateurs du mouvement, tels Park Seo-Bo, Chung Chang-Sup et Ha Chong Hyun, qui se situaient à l’avant-garde du mouvement dans les années 70. L’exposition explore aussi la génération suivante, comme Lee Kang So, qui travaille depuis les années 80, à donner à la pein-ture monochrome abstraite de nouvelles dimen-sions et à l’actualiser.

Exposition jusqu’au 5 juin.Du mercredi au dimanche, de 12 h à 18 h. Entrée libre.Domaine de Kerguéhennec. 56500 Bignan.02 97 60 31 84www.kerguehennec.fr

Vie d’abeilles et trésors de la ruche Exposition de l’insectarium de LizioVenez découvrir les abeilles, ces incroyables insectes sociaux, au travers d’une expo-sition de l’insectarium de Lizio. Comment vivent-elles en société parfaitement orga-nisée ? De quoi le miel dont vous raffolez est-il composé ? Ces étonnants insectes ont plein de choses à vous dire. Vous ne douterez plus de leur utilité et comprendrez pourquoi il faut les protéger. L’exposition est composée de panneaux explicatifs, du matériel de l’apiculteur, d’une ruche ainsi que des cadres avec des insectes étalés. Mais également d’une trentaine de photographies de Jean-Claude Henry, anima-teur du club photo de Loudéac, Louvafilm. Des animations seront également proposées.

Mercredi 11 mai, à 15 h : la vie d’une ruche et des abeilles. Une dégustation de miel clôturera l’après-midi. Gratuit, sur inscription.Samedi 28 mai, à 15 h, conférence : « les abeilles, insectes pollinisateurs menacés. »

Gratuit, entrée libre.Exposition du 11 au 18 mai, à la médiathèque de Loudéac.

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événementsExpositions

Comptines de Bouches à Oreilles Les comptines font danser, se racontent ou se chantent, parlent de la pluie et de l’amour, mais aussi de ce que l’on mange ou de ce qui fait peur… Venez redécou-vrir de manière ludique, tactile et musicale certaines comptines traditionnelles détournées avec humour par des auteurs et des illustrateurs d’aujourd’hui. Le visiteur pourra chanter mais aussi mimer, raconter et manipuler à l’aide de marionnettes, de mécanismes, bruitages, déguisements, ombres chinoises, petit ma-nège et théâtre d’objets.

Visite libre et gratuite de l’exposition aux heures d’ouverture de la médiathèque.Animations le mercredi 8 juin, à 16 h 30, pour les moins de 3 ans ; le samedi 18 juin, à 11 h, pour les 3-6 ans.Exposition du 7 au 18 juin, à la médiathèque de Loudéac.

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La spécificité d’une foire-exposition est la diversité de l’offre commerciale qu’elle offre en un même lieu. Au parc des expositions (Halles Safire), les concessionnaires automobiles côtoie-ront la gastronomie des terroirs. Les entreprises de rénovation du bâtiment cohabiteront avec les vignerons, qui feront découvrir les différents cépages de nos régions. Une dégustation avec modération s’impose !Cette foire-expo pontivienne s’annonce comme un événement populaire où les généra-tions se croiseront. Les familles sont attendues pour découvrir toutes les nouveautés et se distraire.Cette année, une attraction gratuite «pour s’envoyer en l’air» dominera le parking. Cette structure culminera à 10 mètres de haut et permettra aux courageaux de se jeter dans le vide. Ce jeu est réservé aux enfants de plus de 10 ans, mais aussi aux adultes. Alors nous y attendons également les mamies et les papies...

Nouvelle FOIREXPO de Pontivy !Une grande vitrine de professionnelspas comme les autres...

vendredi 20samedi 21 • dimanche 22 mai

2016entrée gratuite

CINÉMA

Le Cithéa à Plouguenast

« Participer à l’animation du territoire et favoriser l’accès aux œuvres cinématographiques en milieu rural », telles étaient, dès l’origine, les missions que s’était assignées l’association Jeanne d’Arc, en créant le cinéma de Plouguenast. C’était en 1929. Depuis, le cinéma a gagné son autonomie, mais reste toujours fidèle à ses objectifs initiaux.Dans cette petite commune de moins de 2 000 habitants, le cinéma aurait sans doute eu bien du mal à survivre sans la passion d’une équipe de bénévoles. Ils sont aujourd’hui une quarantaine à se relayer chaque week-end pour faire vivre l’équipement. Parmi eux, Alain Gourdel affiche 37 années de présence active. Depuis dix ans, il est même le président de l’association. « J’ai débuté comme projectionniste, sourit-il. Nous passions parfois des co-pies abîmées provoquant des traits blancs sur l’écran. D’autres

fois, c’était le film qui cassait et il fallait alors réparer et faire patien-ter le public. » Une autre époque ! Car si le petit cinéma rural ne dispose pas des mêmes moyens que ses concurrents, il a bien fallu

s’adapter. Depuis 2013, le Cithéa dispose en effet d’une salle de projection numérique. Pour améliorer le confort

des spectateurs, des travaux de rénovation sont également régulièrement engagés.

Les Ch’tis, un recordChaque fin de semaine, c’est dans une pe-tite salle de 177 fauteuils que les cinéphiles peuvent assouvir leur passion du 7e art. De

mai à septembre, le cinéma propose quatre séances du jeudi au dimanche soir. D’octobre

à avril, le cinéma est fermé le jeudi soir mais pro-gramme trois séances le dimanche.

S’agissant de la programmation, les bénévoles doivent s’adapter

Troisième volet de notre série sur les cinémas du Centre Bretagne avec le Cithéa de Plouguenast. Un cinéma associatif qui propose des séances chaque semaine grâce à la mobilisation d’une quarantaine de bénévoles passionnés.

Cinémas du Centre Bretagne

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Chaque année vous organisez le festival du cinéma sur la ruralité. Pouvez-vous nous expli-quer les objectifs de cette manifestation ?Créé en 2008, le festival « Terres et films d’ici et d’ailleurs... », souhaite mettre en avant les problé-matiques de la vie à la campagne. Il permet d’attirer un public différent de celui qui vient au Cithéa toute l’année. La programmation mêle des films grand public et des longs métrages plus confidentiels. À chaque fois, les projections sont suivies d’un débat auquel participe parfois le réalisateur ou des comé-diens.

Comment s’est déroulée la 9e édition, en mars dernier ?Du 11 au 21 mars, nous avons proposé 24 séances et enregistré 1 300 entrées. Soit tout de même une progression de 30 % par rapport à l’année précé-dente. Nous avons programmé différents docu-mentaires souvent peu connus mais d’une grande qualité. Des comédies comme « Médecin de cam-pagne », avec François Cluzet ou encore « La vache », avec Jamel Debouze... étaient également à l’affiche. C’est un mélange des genres qui fonctionne bien.

L’an prochain, vous fêterez le 10e anniversaire de ce festival. Allez-vous réserver des surprises aux spectateurs ? Nous travaillons déjà à la 10e édition du festival et nous allons sans doute proposer quelque chose de particulier. Mais nous sommes forcément tributaires des sorties ! Certains ont évoqué l’idée de repro-grammer les films cultes qui ont marqués les neuf éditions. C’est une idée mais rien n’a encore été arrêté.

aux règles imposées par les distributeurs. « Nous ne pouvons présenter qu’un ou deux films par an, en sortie nationale, reconnaît le président. En général, nous le projetons entre une et trois semaines après sa sor-tie. » Un handicap compensé par un bouche-à-oreille qui fonctionne très bien parmi une clientèle fidèle. Résultat, le Cithéa affiche chaque année une fréquentation qui oscille en 6 000 et 7 000 spectateurs, sans comp-ter le festival de cinéma sur la ruralité, organisé au mois de mars (lire ci-contre). Un chiffre qui peut néanmoins augmenter très fortement en fonction des sorties nationales. Ce fût notamment le cas en 2008, avec « Bienvenue chez les Ch’tis ». Avec plus de 2 000 spectateurs, ce film avait à lui seul, comptabilisé plus du quart des entrées de l’année.

Marion Cotillard marraine Pour les bénévoles, c’est pourtant un événement organisé une année plus tôt, qui reste à jamais gravé dans leur mémoire : la venue de Ma-rion Cotillard pour la sortie du film « La Môme », en avril 2007. « Un bénévole de l’association connaissait la grand-mère de l’artiste, originaire de Laurenan, rappelle Alain Gourdel. Contactée, elle a accepté de venir à Plouguenast. » Si l’organisation de cette journée historique n’a pas man-qué de provoquer quelques sueurs froides au président, elle demeure inoubliable. « Nous avons dû gérer la foule et les médias mais ça a été une journée familiale et conviviale formidable. » À l’issue de cette visite Marion Cotillard a même accepté de devenir la marraine du cinéma. Une marraine qui est bien évidemment l’invitée permanente du Cithéa. Et une nouvelle visite de la star, est forcément espérée...

� questions à...ALAIN GOURDEL

PRÉSIDENT DU CINÉMA

Une histoiredu cinéma à Plouguenast

Ouvert sept jours sur sept.Tarif plein : 7,50 € ; réduit (étudiants, demandeurs d’emploi…) : 6,50 € ; seniors (+65 ans) : 6,50 € ; jeunes de moins de 14 ans : 4 €.Carte 10 entrées : 60 € ; 45 € pour les moins de 18 ans.(valable deux ans et non nominative)Site internet : www.cinemaquaidesimages.org

Créée en 1929 par un patronage, la salle de cinéma a d’abord eu une vocation polyvalente. Les jeunes pouvaient en effet y pra-tiquer de la gymnastique, de la musique ou encore du théâtre. Dans les années 50, la polyvalence de salle est réduite aux acti-vités théâtrales et cinématographiques. Un plancher incliné est mis en place et des fauteuils d’occasion sont installés. Rénové une première fois en 1981, le cinéma s’offre une nouvelle cure de jouvence en 2004 et un nom de baptême : le Cithéa.

Pratique

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Au sein du Campus Bretagne Centre, les étudiants ont l’opportu-nité de partir souvent, et vers des destinations de choix. Cette année par exemple, les étudiants de BTSA de la MFR de Lou-déac sont partis en stage pendant cinq semaines sur des exploita-tions agricoles, où ils participent aux travaux de la ferme. De 1997 à 2002 les étudiants séjournaient aux Pays-Bas. Depuis 2003, chacun choisit sa destination, avec comme seule exigence : que la langue utilisée pour communiquer soit l’anglais. Les destina-tions privilégiées sont les Pays-Bas, l’Irlande, mais aussi et surtout l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Lors de ces séjours les étudiants profitent généralement de leurs week-ends pour visiter le pays d’accueil.

Portugal et États-Unis Les étudiants de 2e année BTS tourisme du lycée Jeanne-d’Arc-Saint-Ivy, ont eu le plaisir de séjourner pendant six jours à Lis-bonne. Au cours de ce voyage, ils ont effectué des visites, des mises en situation professionnelle d’accompagnement, des ren-contres professionnelles. Pour eux, la destination change chaque année et ce sont les étudiants qui travaillent sur un projet. La des-

tination pour le voyage de septembre 2016 est déjà arrêtée : ce sera Dubrovnik, en Croatie. Enfin, au lycée Kerlebost, les 2e année BTS technico-commercial se sont envolés pour les USA. En effet, le groupe de 17 étudiants s’est rendu à Richmond, en Virginie, pour un séjour de deux semaines. Leur objectif était de découvrir un pays et une culture étrangère par le biais d’un séjour en immersion dans les familles améri-caines, des visites professionnelles et la participation à l’organisa-tion d’une manifestation sportive. Ils ont également eu l’occasion de rencontrer des étudiants lors d’une présentation théâtrale à l’université de VCU (Virginia commonwealth University). Ils ont réussi à faire un détour par New York et Washington afin d’ajouter un aspect culturel à leur séjour et de visiter des lieux mythiques américains.Les établissements du Campus Bretagne Centre comme tous les établissements modernes, organisent ces voyages scolaires, pour offrir à leurs étudiants la possibilité d’aller à la rencontre du monde, d’améliorer leur pratique des langues ou d’aller à la dé-couverte de techniques d’apprentissages différentes. Les voyages forment la jeunesse et celle du campus en est ravie.

Les étudiants voyagent !

Partir en voyage permet d’ouvrir son esprit à des repères, à une culture ou à un mode de vie inconnus. En allant à la rencontre d’autres univers et d’autres lieux, les étudiants prennent conscience des différences culturelles.

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ENSEIGNEMENT

Les étudiants voyagent !

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ENTREPRISE

Installée depuis dix ans à Loudéac, l’équipe de lacarrosserie de l’Argoat, composée de cinq personnes est à votre disposition pour vous conseiller et réaliser tous vos travaux : auto - camping car - utilitaire.

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à ses « portes ouvertes », le jeudi 2 juin, de 14 h à 17 h.

11, rue Louis-Lavergne. 22600 LoudéacTél : 02 96 28 00 76

Mail: contact@carrosseriedelargoat.com

Depuis son ouverture, il y a tout juste cinq ans, le nouveau bâtiment du Conservatoire de

musique et de danse de Pontivy Communauté est devenu un lieu d’enseignement artistique et

de diffusion culturelle incontournable en Centre Bretagne. Un espace accessible à tous et qui

entend rayonner davantage sur le territoire.

Né au printemps 2011 d’une volonté politique visant à proposer un outil de qualité pour un apprentissage de la musique et de la danse en Centre Bretagne, le nouvel équipement s’est vite ancré dans son territoire.Côté enseignement, il accueille aujourd’hui plus de 750 élèves qui sont accompagnés dans leur apprentissage par une équipe péda-

gogique de 34 professeurs. Pour pratiquer leur passion,

ils bénéficient d’un outil

de qualité. Tout en rondeur et aux lignes épurées, le bâtiment dis-pose de 22 salles dédiées à l’apprentissage musical, aménagées dans le souci d’une bonne acoustique. Outre une salle de spectacle pouvant accueillir 120 spectateurs, il abrite également un studio d’enregistrement. Enfin, un grand plateau de 144 m2, avec barres, miroirs, sol spécifique et dispositif vidéo, permet la pratique de la danse contemporaine et classique.Au-delà de l’enseignement, le Conservatoire entend également être un lieu de diffusion culturelle. Tout au long de l’année, il pro-gramme en effet de nombreux spectacles et concerts, toujours gra-tuits. Des ateliers, des stages et des master-class sont également organisés et permettent d’accueillir des personnalités du monde musical et chorégraphique. « Tout le monde a sa place au Conserva-toire, assure Armelle Gourlaouën, la directrice. Les cours sont acces-sibles à partir de 4 ans et sans limite d’âge. Il est ouvert aussi bien aux amateurs qu’à ceux qui s’orientent vers une pré-professionalisation. »

CULTURE

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Conservatoire de musique et de danse

Enseigner et diffuser

Conservatoire de musique et de dansede Pontivy Communauté

5, rue Kristen-NoguèsParc d’activités Porh Rousse - 56300 Pontivy

02 97 25 00 49conservatoire@pontivy-communaute.bzh

www.pontivy-communaute.bzh

Pratique

Formation musicale : éveil, initiation, formation musicale.Cordes : violon, alto, violoncelle.Polyphoniques : piano, orgue, guitare, percus-sions, accompagnement/déchiffrage.Vent : clarinette, flûte traversière, hautbois, saxo-phone, trombone, tuba, trompette, cor.Voix : chant, technique vocale.Musique traditionnelle : bombarde, biniou, corne-muse, accordéon diatonique, harpe celtique, chant traditionnel.Musiques actuelles : basse, clavier, batterie, gui-tare électrique.Danse : danse classique, danse contemporaine.

Les inscriptions seront enregistrées du 13 juin au 13 juillet et du 22 août au 6 septembre. Le dossier d’inscription est à retirer directement auprès du conservatoire. La reprise des cours sera effective le jeudi 8 septembre.

Le tarif est calculé en fonction du quotient fami-lial. Un tarif préférentiel est appliqué aux élèves des établissements scolaires partenaires. Pour les élèves qui débutent dans une pratique instrumen-tale et qui ne souhaitent pas investir tout de suite, il est possible de louer des instruments.

Du 13 au 18 juinLe Conservatoireouvre ses portes

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Inviter le grand public à découvrir l’équipement,

les disciplines enseignées et les enseignants, mais

également lancer la période d’inscription et de

réinscription pour la rentrée de septembre 2016... Tels

sont les objectifs de l’opération « portes ouvertes »,

organisée du 13 au 18 juin, au Conservatoire de

musique et de danse.

Le programme : Les professeurs ouvrent leurs classes et proposent au grand public de découvrir les disciplines et les instruments.

Pour le département musique : Les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 17 h à 20 h ; mercredi de 10 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h 30 ; samedi de 9 h 30 à 12 h.

Pour le département danse : Danse contemporaine : lundi, mardi, mercredi et jeudi de 17 h à 20 h.Danse classique : mercredi de 10 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h 30 ; vendredi de 17 h à 20 h ; samedi de 9 h 30 à 12 h.

Des concerts à 18 h 30 Chaque journée s’achève sur un concert/spectacle « découverte » qui permet au public d’apprécier les instruments, le chant ou les danses. Plusieurs esthétiques sont proposées selon les jours : Lundi : éveil, formation musicale, hautbois, bombarde, chant traditionnel, basse, chorale, violon.Mardi : trompette, trombone, harpe, saxophone, batterie, flûte, cornemuse, alto.Mercredi : formation musicale, clavier, guitare électrique, ensembles vocaux, percussions, ensemble à cordes, danse. Jeudi : musique de chambre, chant, danse, violoncelle, clarinette.Vendredi : guitare, accordéon, piano, bombarde, chant, danse.Toutes les animations proposées sont gratuites et ouvertes à tous.

LES INSCRIPTIONSPOUR 2016-2017

LES ENSEIGNEMENTS

Le plein de « FUN » en famille !Troisième saison et neuf nouveautés au programme pour le parc d’attractions Kingoland, à Plumelin. Dominique et Karine Leroux, ses propriétaires, s’attachent à lui donner une dimension toujours plus familiale. Objectif : accueillir 80 000 visiteurs d’ici fin septembre.

Imaginez-vous en plein Far West, à bord d’un wagonnet en bois. Muni d’un pistolet laser, vous vous tenez prêt à dégainer… la tension est à son comble. Votre défi ? Ne laisser passer aucune cible et shooter tant que vous pouvez pour engranger le maxi-mum de points ! Old West Shooting, c’est le nom de la grande nouveauté 2016, à découvrir dès le 4 juin, dans les allées du parc Kingoland à Plumelin. Maison hantée, toboggan aquatique « Méga Splash » ou encore le tentaculesque « Repère du poulpe » et le planant « Patrouille des as » … huit autres nouvelles attractions s’inscrivent à la carte du parc morbihannais qui, après la trêve hivernale, a rouvert ces portes à Pâques. Pour cette troisième saison, la volonté était d’étoffer l’offre pour les plus jeunes et ainsi répondre toujours un peu plus à la vocation familiale de Kingoland. Des petits derniers aux grands parents, « ici on veut que tout le monde s’amuse ! », insistent Dominique et Karine Leroux, les propriétaires. Dix ans de réflexion ont précédé l’ouver-ture de ce parc d’attractions morbihannais.

« L’idée est venue du constat simple qu’il n’en existait pas dans le Morbihan alors que c’est le département le plus touristique de Bretagne », retrace Dominique Leroux. « Nous avons tout imaginé », se souvient celui qui, avec épouse et enfants, a sillonné les parcs du grand ouest, de toutes tailles, pour peaufiner son projet.L’implantation de Kingoland, au lieu-dit Pondigo à Plumelin, au bord de la RN 24, se veut stratégique. « Nous sommes hyper central », note Dominique Leroux, « à 20 minutes de Vannes et de Pontivy, à 30 minutes de Lorient, une heure de Rennes ».

Franchir le capdes 100 000 visiteursC’est d’ailleurs de la capitale bretonne que sont venus Stéphane, 40 ans et, Svein 11 ans, croisés à la sortie de l’« Apollo Coas-ter », un grand huit décoiffant. « La des-cente est impressionnante », confessent en chœur le père et le fils, découvrant pour la première fois les allées encore dégarnies du parc mais où 500 arbres ont été plan-tés l’hiver dernier. Un peu plus loin, et elle

aussi amatrice de sensations fortes, Alicia, 12 ans, de Guern, a encore « la tête toute retournée » de son envolée à 20 m de haut et 2G d’accélération, sur « Gravity ». « J’ai crié de toutes mes forces ! », avoue la jeune fille, une habituée de Kingoland avec ses trois visites en trois saisons. « J’aime bien venir avec des copains et des copines. On passe toujours un bon moment et il y en a vraiment pour tous les goûts ! » En Centre Bretagne, comme plus large-ment en Bretagne, le bouche à oreille et une vaste campagne de communication font petit à petit leur œuvre. Kingoland a ainsi vu sa fréquentation passer de 43 000 visiteurs en 2014 à 62 000 en 2015. Pour 2016, « nous visons les 80 000 entrées », annonce le directeur du parc dont le poten-tiel est estimé à quelque 100 000 visiteurs. Un cap que Dominique espère franchir « à moyen terme ». Il le sait, « le nerf de la guerre, c’est de continuer à investir et de proposer des nouveautés ». Pour 2017 et selon les résultats de la saison 2016, Kin-goland pourrait, à ce titre, réserver une grosse surprise…

LOISIRS

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AU PARC D’ATTRACTIONS

Le plein de « FUN » en famille !

Calendrier : Jusqu’à fin septembre• Hors vacances scolaires, de 11 h à 18 h tous les week-ends et jours fériés ainsi que les mercredis 22 et 29 juin, le jeudi 30 juin et le vendredi 1er juillet.• Pendant les vacances scolaires, de 10 h 30 à 18 h 30, tous les jours.Tarifs :- Entrée adulte, 15,50 € ; enfant (jusqu’à 11 ans inclus), 14,50 € ; enfant mesurant moins d’un mètre, gratuit.- Carte kingo pass saison 2016 : 45 €. Nominative, elle donne accès au par cet aux attractions autant de fois que souhaité durant la saison 2016. Contact : Tel : 02 97 54 70 60 ; courriel : contact@kingoland.comSite internet : www.kingoland.com

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Dix. C’est la superficie, en hectares, du site sur lequel est implanté le parc, au lieu-dit Pondigo à Plumelin : six hectares de parc, deux hectares de parking et le reste en réserve foncière. Réserve sur laquelle a été aménagée la grande nouveauté de la saison, Old West Shooting (sur 600 m² indoor).

35. Kingoland propose au total 35 attractions. Certaines à sensations fortes comme le Grand huit, le Bateau pirate et le Gravity qui ont la cote auprès des ados mais aussi des manèges pour les plus petits, des circuits de voitures, des châteaux gonflables aquatiques…

Trois. Trois univers sont définis dans le parc : « es-pace et aviation », « vitesse et automobile », « pirates et cow-boys ». Le village d’entrée du parc, où se situe notamment la gare du train Kingo Express et des espaces de restaura-tion et pique-nique, fait le lien.

18. Accueil, fonctionnement et maintenance des manèges, restauration… il faut 18 personnes en perma-nence pour faire fonctionner le parc d’attractions. En plus du gérant, cinq personnes sont salariées à l’année. Une quarantaine de contrats de travail, de toutes durées, sont signés par saison.

EN CHIFFRES

INFOS PRATIQUES

Dominique et Karine Leroux, propriétaires de Kingoland.

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LIRE

10 histoires de princesses Fleurus

Lu et approuvé ce recueil de 10 his-toires de princesses ! Des histoires drôles, tendres ou ori-ginales. Avec à la suite de chacune d’elle, une petite comptine qu’on adore ap-prendre, des pages d’activités pour savoir si on a bien compris et une activité manuelle. Existe aussi avec les animaux et les chevaliers. À suivre...

Ourson Le Terrible Christian Jolibois et Marianne Barcilon Kaléidoscope

Un drôle de petit ourson sème la ter-reur parmi les habitants de la forêt, et il n’a pas l’intention de s’arrêter tellement ça l’amuse. Tous aux abris, le monstre arrive ! Mais un jour, voilà qu’il tombe sur quelqu’un de plus costaud que lui… Un album plein de tendresse et de bisous, pour les petits rebelles !

Les deux grenouilles à grande bouche Pierre Delye et Cécile Hudrisier Mercure de France

Sur l’Arche de Noé où sont réfugiés tous les animaux, deux grenouilles embêtent tout le monde… Elles chantent mal, faux, fort et font sans arrêt de mauvaises blagues. Mais qui réussira à leur fermer leur grande bouche ? Une histoire pleine d’humour à raconter et à chanter en chœur avec ces grenouilles !

De quelle couleur sont les bisous ? Bonilla, RocioPère Fouettard

Miniromi aime dessiner et surtout peindre. Elle aimerait dessiner les bisous mais elle ne sait pas de quelle couleur ils sont. Alors elle énumère les couleurs, mais jamais ça ne colle avec les bisous. Jusqu’à ce que ... Mais oui bien sûr ! C’est tendre, drôle et surtout ça donne envie de faire des bisous ! Mais de quelle couleur alors ? Surprise !

Les coups de cœur

PontivySpécial jeunesse

Un amour de petite sœurDesbordes -MartinAlbin Michel-Jeunesse

Une petite sœur ça change la vie. Mais à bien y réfléchir, c’est chouette aussi. Une belle histoire à raconter aux futurs grands frères ou grandes sœurs !

CONFORT

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discret Titi des cités...Le moineau,

NOS AMIS

LES ANIMAUX

Appétit de moineau, vilain moineau, drôle de moineau, sale moi-neau, tête de moineau, épouvantail à moineau, volée de moi-neaux... Les expressions courantes sont nombreuses qui évoquent notre volatile commun. Tellement commun, tellement courant qu’on en arrive à ne plus le voir, le gentil moineau, à ne plus le calculer dirait notre jeune voisin.Il est vrai que son plumage ne saute pas à l’œil. La petite boule de plumes sautille mais ne chatoie pas. Robuste et trapu, le moineau s’habille beaucoup de ternitude : dos brun strié de noir, épaulettes châtain, ailes brunâtres, croupion gris, queue gris-brun foncé, poi-trine et abdomen gris, tête foncée à calotte grise. Mais attention, pour la grande occasion, la parade nuptiale, le mâle sort le grand jeu. Enfin, à sa manière : il s’offre une bavette noire ! Son smocking à lui.Mais c’est en tenue de « tous les jours » que, début janvier, le moi-neau délimite son territoire du haut d’un toit, d’une gouttière ou d’un autre point haut. Un territoire qu’il aime à partager avec le nôtre. Il squatte ainsi volontiers des surfaces sur lesquelles nous avons laissé une empreinte pas forcément heureuse : fermes, zones résidentielles, zones herbeuses... « Tchip-tchip » piaille-t-il, comme pour justifier son surnom argotique de « piaf ».

Très grégaire, il niche souvent en colonie de plusieurs couples dans des sortes de cités, un peu comme des appart’s HLM aménagés sous un même toit de tuile, ou dans des creux, voire des trous. Il adore aussi les dortoirs collectifs où lui et sa grosse bande de potes se rassemblent à plusieurs cen-taines, serrés les uns contre les autres. Pas pour un slow langou-reux, juste pour le dodo.En mars, il construit son nid dans une cavité, à bonne hauteur : sous les tuiles d’une maison, sur un lampadaire ou dans le lierre d’un mur. Les moins bâtisseurs jouent parfois le coucou dans les nids d’hirondelle dont ils n’hésitent pas à éjecter les occupants. La femelle pond de trois à huit œufs que les deux parents couvent durant deux semaines.

Fidèle mais pas trop...D’abord nourris de larves et d’insectes, les bébés ont ensuite droit aux graines amoureusement ramolies dans le jabot des parents. Un régime sacrément protéiné qui permet aux ados de quitter le

nid à 17 jours. Peu après, les parents nichent une nouvelle fois. Ils remettront le couvert pour élever jusqu’à quatre

couvées dans l’année.Une fois adulte, le discret moineau reste omnivore.

Aux larves et insectes de sa prime enfance tout juste ajoute-t-il quelques araignées et force

bourgeons de fruits, histoire de justifier la pré-sence des épouvantails.La parade nuptiale donne lieu à de fréquentes bagarres entre mâles qui conquièrent ainsi de haute lutte le droit de se mettre en couple pour... une seule saison. Celle d’après, ils ressortent leur

superbe bavette noire et remontent sur le ring à la conquête de la femelle tant convoitée. Et c’est reparti

pour un nouveau nid qu’ils protègent avec hargne de tout intrus.

Attaché à son chez soi, le moineau ne migre pas. À l’automne, il se balade simplement dans ses proches environs. Toujours en bande et jamais loin des hommes qui, pourtant, ne le calculent

même plus.

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Et pourquoi pas le moineau ? Nous, on l’aime bien, le Titi des cités. Alors, on a naturellement

songé à lui pour figurer dans le trio de tête de notre nouvelle rubrique « Nos amis les animaux ».

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Le potager en carrés est la meilleure solution pour cultiver ses légumes sur peu d’espace, même sur un balcon. Il est esthétique, économique, plus facile d’entretien que le potager en ligne et plus productif. Que vous soyez jardinier débutant, enfant ou per-sonne âgée, le potager en carrés est fait pour vous ! Alors profitez du printemps pour découvrir chez Jardiland notre large gamme de carrés potagers. Ils vous permettront de cultiver toutes sortes de plantes arômatiques, des plus traditionnelles aux plus originales. Essayez-vous par exemple à la culture de :• L’ail des ours. C’est une plante vivace qui supporte les fortes gelées. Elle agrémente plats et viandes grâce à son parfum puissant, et a aussi des pro-priétés médicinales (maladies cardiovasculaires).

• Redécouvrez la vraie saveur de la menthe du jardin qui parfumera déli-catement vos plats, mais aussi le thé, les infusions et les desserts. Au pota-ger, elle éloigne de nombreux insectes. De culture facile, elle demande peu d’entretien.

• Autrement appelée Lemon Grass, la citronelle de Madagascar est une plante herbacée persistante pouvant atteindre 1 mètre de haut. Son feuillage et sa tige charnue dégagent un fort parfum citronné. On utilise la citronnelle dans la cuisine asiatique, les rhums arrangés et les tisanes.

• La cardamome fleurit à la fin du printemps. Les fruits parviennent à maturité au mois de septembre et se récoltent au fur et à mesure. En été, elle se plaira dehors dans un endroit un peu ombragé.

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JARDINAGE

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MODE

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La mode printemps/été

2016sera romantique

Le printemps/été 2016 sera contrasté. D’un côté, les longues robes Nineties, de l’autre, une profusion d’imprimés tribals, graphiques ou rayures rainbow. Le jean et le blanc seront également très présents dans nos dressings. Nous avons sélectionné pour vous des tendances mode résolument assumées pour les beaux jours.

On retrouve dans les collections propo-sées quelques pièces qu’on avait laissées l’année dernière avant que l’automne ne les emporte (comme les feuilles) : longues jupes fleuries et mailles. Mais également quelques grands classiques comme la robe blanche ou la combinaison pantalon ou short qui sont devenus de véritables indispensables mode. Et puis, on découvre quelques nouveautés pour pimenter notre été... La mode printemps/été 2016 ressemblera à un film romantique. Des couleurs douces, des matières fluides et légères, des robes longues, de la dentelle et de la broderie... le romantisme s’invite dans nos dressings. Elle s’inspirera aussi des années 80 et 90 avec le retour de la brassière qui cherche à s’installer et le découpé épaule qui vous rappellera de bons vieux souvenirs. Et puis,

elle verra le sleepwear (comprenez tenue pyjama) retenter sa chance au rayon des tendances mode. Au rayon des vestes de mi-saison, il faudra opter pour la parka d’été ou le k-way. Timide la saison dernière, le kimono s’offre aussi une prolongation dans les tendances mode printemps été 2016. Si la robe blanche est LA robe ten-dance printemps/été 2016, la robe en denim ou la robe façon denim n’a rien à lui envier. Elle sera partout. Version longue ou courte, avec ou sans manches. Côté pantalon ou jean printemps/été 2016, c’est le pantalon à pont qui tire son épingle du jeu. Enfin, le « combiné » ou le coordonné est l’une des tendances incon-tournables de la saison. Le principe ? Accor-der le haut (souvent cropped-top) et le bas (jupe midi ou pantalon).

Chaussures et accessoires Les babies poursuivent leur ascension. Après avoir été prisées tout l’hiver, elles reviennent dans des couleurs plus printa-nières la saison prochaine. Les espadrilles, aussi, n’ont pas encore dit leur dernier mot. Lacées, à paillettes ou compensées, elles seront partout. Mais, par dessus tout, vous ne pourrez pas échapper aux sandales (plates ou à talons) lacées. Et ça, c’est : sale temps pour les complexées du mollet. Que vous le vouliez ou non, les nu-pieds et les sandales à talons ne seront pas dépourvus de cette petite cordelette à entourer autour de la jambe ou de la cheville. Côté sac, c’est le sac seau ou le panier de plage qui occupent les premières marches du podium des tendances sacs printemps/été 2016.

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Un bon petit-déjeunerCommencez la journée par un solide petit-déjeuner équilibré et stimulant : céréales ou tartines beurre confiture, un laitage, un jus d’orange pressé et un fruit frais pour faire le plein de vitamine C.

Une douche plutôt qu’un bainEnchaînez par une bonne douche, idéale-ment terminée par un jet d’eau fraiche sur les jambes, depuis les cuisses jusqu’aux chevilles, pour un petit coup de fouet cir-culatoire.

Une alimentation lightAu cours de la journée, évitez les médica-ments et les compléments alimentaires censés fournir de l’énergie. Puisez plutôt des ressources dans les protéines, les glu-cides lents, les légumes et les fruits.

Faites une petite siesteElle doit impérativement être de courte durée au risque d’empiéter sur votre temps de sommeil de la nuit prochaine : une tren-taine de minutes maximum. Allégez votre emploi du tempsNe vous épuisez pas inutilement. Revoyez votre emploi du temps pour l’alléger : cer-taines tâches peuvent certainement être reportées au lendemain.

Du sport mais pas trop Ne faites pas l’impasse sur l’activité phy-sique, mais ne forcez pas, ménagez-vous. Si vous avez une séance de sport prévue ce jour-là, allez-y, mais à votre rythme, quitte à l’écourter. Évitez le sport en fin de journée. Conservez des horaires réguliers Ne vous couchez pas forcément plus tôt que d’habitude afin de conserver des ho-raires réguliers de lever et de coucher.

Vos paupières sont lourdes... Allez vous coucher dès les premiers signes de sommeil : paupières lourdes, yeux qui piquent. Soyez attentifs aux signaux en-voyés par votre corps.

Faites vous aider par les plantes Faites-vous aider par les plantes pour re-joindre Morphée et retrouver de l’énergie (passiflore, escholtzia, valériane, houblon, coquelicot, aubépine, rhodiole – rhodiola, Lavande, Mélisse…) Les nuits suivantesDurant les jours qui suivent, continuez à mettre en pratique tous ces conseils, car une mauvaise nuit ne se compense pas en une seule journée. C’est l’occasion de révi-ser votre hygiène de sommeil : repas léger le soir, pas d’alcool, aération quotidienne de la chambre, arrêt des smartphones, tablettes et ordinateurs....

SANTE

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Sommeil :10 conseils pour se remettre d’une mauvaise nuit

Stress, rhume, douleurs, bruit, enfant malade, excès festifs... personne n’est à l’abri d’une mauvaise nuit. Alors, comment récupérer votre vitalité rapidement ? Quelques habitudes simples vous feront oublier le manque de sommeil.

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Christophe Le FurAuberge Grand’Maison

Le bœuf-carotteIngrédients pour 4 personnes :

• Quatre tournedos de bœuf de 100 à 120 g• 100 g de carotte• 100 g de betterave rouge• 20 g de beurre• 2 dcl de bouillon de volaille• 1 carotte blanche• 1 carotte fane orange• 1 dcl de jus de veau lié• 2 asperges vertes

Préparation :

La purée cardinale- Cuire la betterave avec le beure et la carotte pendant 20 minutes. Mixer en purée et assaisonner.

- Tailler des bandes de carottes blanches et oranges, comme des tagliatelles.- Cuire à l’anglaise les asperges.- Pocher les tournedos dans le bouillon de volaille pendant 2 à 3 minutes, pour une viande saignante. - Dresser et saucer avec le jus de veau lié, au dernier moment.

Merci à Christophe Le Fur, chef de l’auberge Grand’Maison, à Mûr-de-Bretagne.

GASTRONOMIE

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Nombreux Cadeaux

Circuit du canal et de la rigole d’Hilvern

La rigole d’Hilvern est liée à un vieux rêve : celui de navigation intérieure ! Afin d’alimenter le canal de Nantes à Brest en eau toute l’année, plus de 400 personnes réaliseront cet ouvrage de 1828 à 1838.

1 Rigole d’Hilvern La rigole d’Hilvern est un énorme bief de dérivation de l’Oust. Témoignage d’une technicité re-marquable (pente régulière de 0.3 mm/m), cet ouvrage serpente sur 64 km entre Bosméléac et Hilvern à Saint-Gonnery. Elle avait pour objet d’alimenter le canal de Nantes à Brest creusé artifi-ciellement sur le relief qui sépare le bassin de Rohan et celui de Pontivy. Il fallait donc un apport d’eau pour faire fonctionner les nombreuses écluses qui permettaient le passage des bateaux d’une vallée à l’autre.

2 Forêt de Branguily La forêt de Branguily est le vestige de la dense forêt où Saint-Gonnery établit son ermitage.Au cours des siècles, son histoire évoluera entre lieu stratégique, cachette ou camp militaire et appartiendra du XVIIIè jusqu’au début du XIXè siècle au fief des Rohan. Aujourd’hui, la forêt de Branguily qui représente un massif de 450 hectares offre à travers ses chênaies et ses pinèdes, une riche végétation.

3 Canal de Nantes à Brest et ses échelles d’écluses La réalisation du canal de Nantes à Brest est décidée dès 1806 par Napoléon Bonaparte. Cet ouvrage d’envergure doit palier les risques engendrés par la présence en mer des troupes an-glaises et permet également de désenclaver les ports et arsenaux bretons tels que Lorient, Nantes ou Brest, ainsi que toute la Bretagne intérieure. Le canal va répondre au projet stratégique et économique initialement lancé : les échanges sont ainsi favorisés, les péniches halées par des chevaux, transportent alors épicerie, vin, sable, ardoise, bois, pomme de terre, céréales, chaux, fer... Jusqu’en 1842, date à laquelle le canal de Nantes à Brest ouvre à la navigation, ingénieurs et main d’œuvre travailleront difficilement sur la construction des 54 écluses que l’on rencontre sur 20 km entre Rohan et Pontivy qui forment de véritables échelles d’écluses.

Départ : Plan d’eau de Saint-Gonnery.

Distance : 14 km(12 % route, 88 % chemin).

Temps : 3 h15.

Niveau : facile (pédestre, équestre, cycliste)

Balisage : jaune.

À proximité :Étangs de Branguily à Gueltas.Abbaye de Timadeuc à Bréhan.Le port de plaisance, la chapelleBon Encontre à Rohan.

Toutes les topo-fichessont téléchargeables sur :

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Installée à Cléguérec, la société Taillard est spécialisée dans le transport depuis près d’un siècle. Représentant de la 4e génération, Erwan dirige aujourd’hui une entreprise familiale qui s’est également développée à Loudéac et qui compte 28 salariés.

Transports Ils roulent pour vous en Centre Bretagne

De retour de la Première guerre mondiale, c’est dans sa commune natale de Silfiac, que Jean-Marie décide de se lancer dans le trans-port. Malgré un handicap hérité des tranchées, il démarre son activité avec une carriole et des chevaux, en 1920. Dès la décennie suivante, l’entreprise fait l’acquisition d’un premier car. L’activité se développe au fil des ans, avant que les successeurs du fondateur ne décident de déménager l’entreprise vers Cléguérec, à la fin des années 60.Depuis 1999, c’est Erwan, l’arrière petit-fils de Jean-Marie, qui dirige la société familiale. Et elle a bien grandi. Outre des cars (de 55 à 63 places), des minibus (de 9 à 22 places) et des voitures fami-liales, la flotte compte en effet une trentaine de véhicules.Entouré par une équipe de 28 salariés, le gérant développe son activité principale autour du transport scolaire. Dans le Morbihan bien sûr, mais également dans les Côtes d’Armor. Depuis 2012, il a en effet ouvert une antenne dans les locaux de la pépinière d’entreprises de la Cidéral. Résultat, de Gourin à Saint-Gérand, en passant par Mûr-de-Bretagne ou Plémet, les transports Taillard assurent quotidiennement 24 tournées scolaires.Parallèlement, en plus d’un service de transport à la demande, la

société Taillard assure également des déplacements en France et à l’étranger, notamment pour les établissements scolaires et les associations.

Une ligne Guémené-PontivyDepuis septembre 2015, elle gère également une ligne du réseau des Transports Interurbains du Morbihan (TIM) : la ligne 14 qui relie Pontivy et Guémené-sur-Scorff. Chaque jour, de 7 h à 18 h 30, cinq allers-retours entre les deux communes sont proposés aux voyageurs. Lors du trajet long de 26 km et dont le prix est fixé à 2 €, des arrêts sont effectués à Cléguérec et Séglien. De nombreuses correspondances sont ensuite proposées au départ de Pontivy.« Cette ligne est essentiellement utilisée par des habitués, précise Erwan Taillard. En zone rurale, la fréquentation est moyenne, mais elle rend un service essentiel à ceux qui l’utilisent. » Des voyageurs qui pourront d’ailleurs profiter d’une opération de promotion, le samedi 21 mai prochain : « Prenez le car, nous vous offrons le retour ». Une occasion pour découvrir cette ligne Guémené-sur-Scorff-Pontivy, et s’offrir un petit plaisir au cinéma, à la piscine ou simplement en profiter pour faire du shopping.

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ENTREPRISE

Transports TaillardBieuzen - 56480 Cléguérec

Tél : 02 97 38 04 16Fax : 02 97 38 99 77

Rue Simon-Laplace - 22600 LoudéacTél : 02 96 66 00 13

Site internet :autocars-transportstaillard.fr

Adresse mail :transports.taillard@wanadoo.fr

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HOROSCOPE

l POISSON (19/02-20/03)Mai. Vos idées larges vont prendre de l’ampleur et certaines considérations pratiques vous semble-ront trop étriquées. Mais ne faites pas l’impasse sur l’aspect légal de vos projets. Cet aspect met l’accent sur le fait que vous risquez des ennuis si vous négligez ce côté incontournable des choses. Juin. Ce mois va favoriser votre ouverture men-tale vers d’autres horizons et vous pousser à faire preuve d’audace pour les explorer. En effet, Mars va favoriser l’approfondissement de vos désirs les plus essentiels et cela va passer par des décou-vertes.

a BELIER (21/03-20/04)Mai. Les circonstances extérieures vont vous obli-ger à donner suite à des engagements que vous avez amorcés le mois dernier. Parmi ceux-ci, il y a ce que vous considérez comme des obligations pesantes mais qui pourraient bien, une fois réso-lues, vous faciliter grandement la vie et vous libé-rer pour aller plus loin encore.Juin. Vous êtes dans une excellente période pour donner le meilleur de vous-même et de vos talents. Vous ne manquerez pas d’idées neuves et de créativité. C’est le moment de vous atteler à des questions complexes pour les voir aboutir positive-ment. Et vous ne le devrez qu’à vous-même.

b TAUREAU (21/04-20/05)Mars. Nombre d’entre vous entament un nouveau départ sentimental au travers d’une rencontre marquante ou d’une relation de couple qui s’al-lège de certaines tensions. Votre vie relationnelle va connaître un coup de fouet dynamisant qui va vous aider à étendre votre réseau amical, mais aussi professionnel.Avril. Vous allez spontanément mettre la gomme pour renforcer votre vie matérielle, chercher des moyens d’accroître vos revenus, gérer votre argent avec davantage de sagacité et de bon sens. Vos échanges seront le meilleur facteur de chance en ce qui concerne vos finances.

c GEMEAUX (21/05-21/06)Mars. Il devrait y avoir de nouvelles connaissances et relations en perspective. Des déplacements et des échanges pourraient être très prometteurs, surtout pour tout ce qui se rapporte au commerce et à la création. C’est le moment de déplier vos voiles pour que vos projets prennent de la vitesse.Avril. Ce mois vous place sur le devant de la scène, notamment dans votre vie relationnelle qui sera plus que jamais dominante. Les transits du Soleil et de Vénus vont faire crépiter vos envies de changements et vous offrir une densité de dialo-gues plus importante que d’ordinaire.

d CANCER (22/06-22/07)Mai. Ce mois sera fécond et va vous faciliter la vie, tout particulièrement dans le domaine affectif. En effet, le sextile de Vénus annonce des échanges plus limpides, plus clairs et à la fois plus facile-ment porteurs de satisfactions immédiates. La sensualité est pleinement au rendez-vous, alliée à la tendresse.Juin. Les circonstances extérieures vont vous inci-ter à vous confier à quelqu’un, ce qui vous aidera considérablement à mettre de l’ordre dans vos idées et surtout à mettre en place une stratégie d’action efficace. Cela devrait vous permettre de faire un bilan de fond sur les domaines qui vous préoccupent le plus.

e LION (23/07-22/08)Mai. Ce mois va vous confronter à des situations qui vont mobiliser votre ténacité. En effet, vous serez pleinement lancé dans le feu de l’action, surtout dans votre vie sociale et relationnelle. Vous allez spontanément mettre les bouchées doubles pour concrétiser vos objectifs.Juin. Les situations en cours prennent davantage de vitesse et ce nouveau tempo correspond bien mieux à votre façon naturelle d’agir. Attendez-vous à avoir des échanges très prometteurs dans votre vie sociale, notamment à partir de la mi-juin.

f VIERGE (23/08-22/09)Mai. Ce mois va mettre en relief les aspects les plus plaisants de votre vie et adoucir les angles de vos échanges avec l’entourage. L’influx de Vénus va dominer dans votre vie financière en vous pous-sant à faire preuve d’audace pour renforcer vos ac-quis. C’est le moment idéal pour lancer un projet.Juin. Il y a de nouvelles connaissances en vue, qui auront surtout pour effet de vous plonger davan-tage dans votre univers mental. Vous allez vivre des échanges qui vont vous aider à progresser vers votre propre accomplissement. Des vocations peuvent naître en cette période !

g BALANCE (23/09-22/10)Mai. Les instances de Mercure vont vous confron-ter à des réalités pratiques qui influeront sur votre vie financière. Il est à prévoir des frais nécessaires au maintien du confort de votre foyer. Investir pour l’avenir sera incontournable, quitte à faire quelques coupes budgétaires sur des domaines moins fondamentaux. Juin. Ce mois va s’avérer très positif pour faire avancer vos projets et surtout pour trouver les meilleures alliances pour les concrétiser. Vos échanges sont sur le devant de la scène. Ce qui va vous mener à découvrir bien des choses sur vous-même et surtout à mieux comprendre les raisons de vos indécisions.

h SCORPION (23/10-21/11)Mai. Votre vie relationnelle est en exergue et guide vos pas vers de nouvelles alliances. Ceux qui sont déjà en couple vont connaître des houles émotionnelles qui peuvent vous pousser à de grandes remises en question ou à faire une pause dans votre relation. À vous d’éviter d’agir sous le coup des émotions.Juin. Ce mois va vous permettre de relativiser certains de vos soucis grâce à un éclairage men-tal qui va vous faire gagner en objectivité. Les facteurs émotionnels ne seront plus un obstacle mais restent à leur juste place sans vous brouiller les pistes.

i SAGITTAIRE (22/11-20/12)Mai. Ce mois annonce une route régulière en di-rection de vos ambitions. Les influx du Soleil et de Vénus vous inciteront à faire preuve de patience et de ténacité, d’application et de concentration dans vos affaires. Tout ce qui touche à votre vie au quo-tidien sera passé au peigne fin pour vous faciliter la vie.Juin. Cette période sera intense dans vos contacts extérieurs au quotidien et sera un excellent filon pour peaufiner vos projets et surtout trouver des alliés qui vous complètent. Les influx de Mercure mettent l’accent sur le fait d’apprendre de nou-velles méthodes de travail ou d’acquérir de nou-velles connaissances.

j CAPRICORNE (21/12-19/01)Mai. Vous allez vivre des situations dans les-quelles vous serez davantage entendus et com-pris. Les messages passent sans ambiguïtés, vous aurez des facilités à croiser des personnes qui sont en harmonie avec vous et avec vos projets les plus immédiats. La tendance est plutôt passionnelle en amour.Juin. Ce mois va vous inciter à prendre du recul sur tout ce qui peut être impacté par vos propres émotions. En effet, vous aurez davantage besoin de pouvoir raisonner, analyser, réfléchir en toute sérénité, sans perturbations intérieures.

k VERSEAU (20/01-18/02)Mai. Ce mois sera intense, notamment sur le plan de votre vie sociale. Le soleil trône dans votre maison ce qui vous donne de sérieux atouts pour prendre du galon, entreprendre avec succès un projet de grande envergure, changer d’entreprise ou de poste de travail.Juin. Ce mois va vous installer dans une belle har-monie de fond, qui sera idéale pour stabiliser cer-taines de vos relations et surtout, celles qui sont les plus courantes et les plus proches. Attendez-vous à des invitations et sollicitations plus nombreuses durant les trois premières semaines de ce mois.

MAI -JUIN 2016

MAI -JUIN 2016

spadium PontivyRéservations au : 02.97.28.97.97

ou à l’accueil du centre.

Retrouvez-nous sur Facebook :www.facebook.com/spadiumPontivy

Horaires d’ouverturePériode scolaire :

Lun : 17 h - 19 hMar : 12 h - 13 h 30 et 17 h - 22 h

Mer : 14 h 30 - 20 hJeu : 17 h - 19 h

Ven : 12 h 13 h 30 et 17 h - 22 h.Sam : 14 h 30 - 18 h

Dim : 9 h 30 - 13 h et 14 h 30 - 18 h 30

Périodes vacances :Lun : 12 h - 20 hMar : 12 h - 22 hMer : 12 h - 20 hJeu : 12 h - 20 hVen : 12 h - 22 hSam : 14 h - 18 hDim : 10 h - 18 h

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LUNDI 27 JUIN, 19 H 30 - 21 H 45

Toute l’équipe du Spadium vous invite à enfiler votre maillot de bain

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à l’accueil)