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Pays de Loudéac et de Pontivy N°4 - janvier/février 2015 Magazine gratuit du Centre Bretagne Société - Culture - Économie - Loisirs - Tourisme Bretagne centrale LES BAGADOÙ ONT DU SOUFFLE Ker Ronan : L’or blanc de Rohan Forêt de Loudéac : Un poumon vert Pontivy : Une terre de football

Ici et là magazine - Numéro 4

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Magazine gratuit du Centre Bretagne - janvier/février 2015

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Page 1: Ici et là magazine - Numéro 4

Pays de Loudéac et de Pontivy

N°4 - janvier/février 2015

Magazine gratuit

du Centre Bretagne

S o c i é t é - C u l t u r e - É c o n o m i e - L o i s i r s - T o u r i s m e

Bretagne centraleLES BAGADOÙ ONT DU SOUFFLE

Ker Ronan :L’or blanc de Rohan

Forêt de Loudéac :Un poumon vert

Pontivy :Une terre de football

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N°4 - janvier/février 2015

Edito

Sonnez bombardes, résonnez binious...Vous l’attendiez depuis deux mois, il est enfin là, entre vos mains ! On le sait, vous y prenez goût à notre magazine de proximité, et ce, pour notre plus grand plaisir. On le sait, parce qu’on nous le dit… On nous le dit au fil de nos péré-grinations, au fil de nos rencontres sur le terrain… On nous l’a dit alors qu’on brassait des yaourts, on nous l’a dit au croisement de deux chemins en forêt de Loudéac, on nous l’a dit dans le bus, on nous l’a dit à la boulangerie de Saint-Gérand et autour des terrains de football de Pontivy… On nous l’a même joué à la bombarde ! C’est vous dire…Mais n’ayez crainte, malgré ces beaux compliments qui nous vont droit au cœur, on garde les pieds sur terre et le cap fixé par le panneau indicateur de la ligne éditoriale : donner la parole aux gens d’Ici et à ceux de Là, à quelques uns des acteurs qui racontent le joli pays de vie Pontivy-Loudéac. Ceux que votre magazine prend plaisir à accom-pagner pour contribuer au développement d’un territoire qui, n’en doutons pas, deviendra grand. Simplement parce que c’est écrit dans l’histoire du Centre Bretagne, dans les gênes de ce véritable bassin de vie et donc, dans Ici et Là.L’évidence n’est pas encore partagée par tous. Mais les réticents y viendront. Le pays Loudéac-Pontivy est bien plus fort que leurs doutes et c’est un sacré entraîneur que même l’Allemagne nous envie. Sinon, sonnez bombardes, résonnez binious et tambouri-nez percussions ! C’est en musique que nous vous invitons, cette fois, à nous suivre en compagnie des bagadoù à la belle mode de chez nous. En musique bien ancrée dans la tradition dont les sonorités aiment aussi à s’enrichir de jolies notes de modernité. Et pour note finale, nous n’échapperons pas à la tradition de ce premier mois de l’année, en vous présentant nos sincères vœux de bonheur pour 2015. Souhaitons-nous de poursuivre ensemble cette belle aventure, faite de jolies histoires… d’Ici et de Là.

La Rédaction

• Dossier : Les bagadoù du Centre Bretagne (p. 5 à 8)

• Économie : Groupement d’employeurs (p. 10 - 11)

• Entreprise : Laiterie Ker Ronan (p. 12 - 13)

• Entreprise : Voyages Collier (p. 14 - 15)

• Commune : Saint-Gérand (p. 18 - 19)

• Patrimoine : Forêt de Loudéac (p. 20 - 21)

• Sport : Pontivy, terre de football (p. 22 - 23)

• Agenda des loisirs (p. 25 à 28)

• Équipements : Palais des sports (p. 30 - 31)

• Culture : La famille Guerzaille (p. 32 - 33)

• Gastronomie : Christophe Le Fur (p. 45)

• Voyage : La montagne (p. 46)

S O M M A I R E

Ici et Là est une publication bimestrielle - Tirage : 8 000 exemplairesDirectrice de la publication : Christine Le BourdonnecRédacteur en chef : Dominique PerrotSecrétariat d’édition : Daniel ThépautPhotographe : Michel Langle, Guy JegouxConception et réalisation : Ronan Le Duff et Idest CommunicationIconographie : FotoliaRégie publicitaire : 07 87 36 05 64 - [email protected]° ISSN : 2276-1934Impression : Rotimpres

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DOSSIER

S’ils apparaissent aujourd’hui comme l’un des éléments embléma-tiques de la Bretagne, les bagadoù demeurent une création assez récente. Leur naissance remonte à un peu plus de 60 ans seulement. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la culture bretonne ne bé-néficie pas d’une image particulièrement favorable. Pire, agissant comme un véritable complexe, elle est même considérée par une majorité de Bretons, comme un obstacle au progrès. Réelle dans la vie de tous les jours, la fracture l’est encore davan-tage dans le milieu musical. Le couple biniou-bombarde qui a pour-tant connu ses heures de gloire est en voie de disparition. L’heure est désormais aux ensembles. L’armée britannique a en effet popu-larisé l’image et la musique des pipe-bands écossais. Une image qui impressionne autant qu’elle suscite l’intérêt. Des tentatives sont effectuées dans le milieu militaire pour réunir des sonneurs en for-mation de défilé. Mais en 1948, c’est finalement Polig Monjaret qui créé le premier bagad, à Carhaix. Il prend immédiatement la forme qu’on lui connaît aujourd’hui et est composé de trois pupitres : bom-bardes-cornemuses, caisses claires et percussions (lire page 8). L’ini-tiative fait rapidement des émules et des bagadoù se forment aux quatre coins de Bretagne.Née quelques années plus tôt, l’association Bodadeg ar Sonerion (« Assemblée des sonneurs »), va rapidement structurer et accom-

pagner le développement de ce phénomène culturel. Dès 1949, elle met en place un concours national des bagadoù. Et là encore le succès est rapide puisque dès le milieu des années 50, plusieurs dizaines bagadoù sont recensés en Bretagne, mais également dans toute la France.

Les bagadoù répartis en cinq catégoriesAujourd’hui plus d’une centaine de bagadoù, désormais répartis en cinq catégories, participent chaque année aux concours qui se dé-clinent en deux manches. À l’issue de celles-ci, le bagad vainqueur de la première catégorie, dont la finale se déroule au mois d’août, au festival interceltique de Lorient, est sacré champion national. Depuis maintenant quatre années consécutives, c’est le bagad Kemper qui truste les titres. Dans chaque catégorie, les derniers sont rélégués à l’échelon inférieur alors que les premiers sont promus à l’échelon supérieur.Dans ces compétitions annuelles toujours très disputées, le Centre Bretagne compte trois représentants. La Kerlen Pondi, bien sûr, qui évolue depuis déjà de nombreuses années dans l’élite (lire page 6). Les deux autres, le bagad du pays de Locminé et le bagad de Lou-déac (lire page 7), qui évoluent respectivement en 4e et 5e catégo-rie, n’aspirent qu’à progresser.

Bagadoùen Bretagne centrale

DU TALENT ET DES ESPOIRS

De Loudéac à Locminé, en passant par Pontivy, le Centre Bretagne compte aujourd’hui trois bagadoù. Si la Kerlenn Pondi évolue parmi l’élite, les deux autres ensembles, plus récents, entendent bien miser sur la jeunesse pour se développer.

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DOSSIER

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Kerlenn PondiSEXAGÉNAIRE EN PLEINE FORME

Champion national des bagadoù en 2001, la Kerlenn Pondi demeure toujours l’un des meilleurs ensembles régionaux. Une réfé-rence dans le Centre Bretagne qui cultive aussi sa différence par une large ouverture aux musiques du monde.

Si la création officielle de la Kerlenn Pondi qui vient de fêter son 60e anniversaire, date bien de 1953, ses origines remontent en fait au début des années 30. Très exactement en 1932. Cette année-là, un groupe de jeunes Pontivyens désireux de faire connaître les costumes, les danses et les chants de leur pays, fondent en effet le groupe des "Moutons blancs". La Seconde Guerre mondiale va cependant mettre un terme à l'existence de la toute jeune asso-ciation. Il faudra donc attendre le début des années 50, pour que l'aven-ture trouve un second souffle. Désormais baptisée "Kerlenn Pon-di", la nouvelle association se donne pour objectif : "  l'étude du folklore régional, comprenant la musique, les danses, les chants, le théâtre... " Ils ne sont alors qu'une poignée de musiciens et de danseurs, mais déjà ils sont sollicités. Dès le mois de mars 1954, la Kerlenn effectue sa première sortie officielle lors d'un match de football opposant deux équipes locales. Et très rapidement, l'effec-tif s'étoffe. Qu'il s'agisse d'anciens sonneurs de la région ou de néophytes, le bagad pontivyen attire.

Passion et travailSurtout, dès 1957 les Pontivyens disputent le championnat des bagadoù organisé par l'association Bodageg ar Sonerion. Oh bien sûr, ils ne font pas de miracle. Mais qu'importe, le plaisir de jouer et de se retrouver est à chaque fois renouvelé. La passion et le travail vont finalement payer. En 1982, la Kerlenn Pondi décroche le titre de champion de 3e catégorie et accède à l'échelon supérieur. De la seconde à la première, il y a une marche loin d'être inaccessible et que le bagad va même franchir. Après deux titres de vice-cham-

pion national des bagadoù en 1997 et 1999, la Kerlenn décroche le graal en 2001 en accédant à la plus haute marche du podium de la première catégorie. L'émotion et la consécration sont au ren-dez-vous. " Un concert de haute volée qui restera dans les annales comme l'une des plus belles pages de la musique bretonne ", n'hésite d'ailleurs pas à commenter un quotidien régional, au len-demain de cette victoire historique. Certes, depuis, la Kerlenn n'a pas réussi à rééditer cet exploit. Mais l'essentiel n'est sans doute pas là. Chaque année, à Brest comme à Lorient, elle honore son rang et se classe régulièrement dans le milieu de tableau de l'élite. Car au fil des décennies, des présidents et des penn sonneurs, elle a su développer une culture qui lui est propre : celle de la transmission et de l'ouverture.

Relève assuréePrésente dès l'origine, cette volonté de transmettre aux jeunes générations s'est développée et accentuée. Bien sûr, les anciens sont toujours là pour conseiller les plus jeunes. Mais la force de la mémoire se double aujourd'hui d'un partenariat avec le conser-vatoire de musique et de danse qui fait de la formation, l'une des fondations même de l'association. Et les résultats sont là. L'an passé, le bagadig (ce que les sportifs qualifieraient de réserve de l'équipe première), a décroché sa place en 3e catégorie. Un exploit loin d'être anodin, car les ensembles bénéficiant d'un bagadig à ce niveau, se comptent encore sur les doigts d'une main. Et il devrait avoir les moyens de s'y maintenir car la relève sera désormais assu-rée par la création récente d'un bagadigan, un réservoir de débu-tants mais aussi de talents.Si la jeunesse et le renouvellement demeurent l'une des forces de la Kerlenn Pondi, son ouverture sur le monde et ses musiques, le sont tout autant. Du Népal à Zanzibar, les musiciens pontivyens ont toujours profité de leurs voyages et de leurs rencontres pour enri-chir leur culture et leur répertoire. Des richesses que cette associa-tion emblématique de la cité partage d'ailleurs régulièrement avec des Pontivyens toujours très fiers de pouvoir apprécier un bagad de cette qualité.

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DOSSIER

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Kevrenn bro Logunec’h «COLLECTER ET TRANSMETTRE»

Dans le monde des bagadoù, le bagad du pays de Locminé (Kevrenn bro Logunec’h), n’est encore qu’un adolescent. Créé en 1999, celui qui vient de fêter ses 15 ans, affiche pourtant de réelles ambitions.

Jusqu’à présent, on les connaissait parés d’un gilet noir et orange. D’ici quelques semaines, il faudra s’habituer au nouveau costume des musiciens du bagad du pays de Locminé. Un habit cette fois entièrement noir, tiré d’un modèle local de 1927 et redessiné par une styliste d’Auray.Aujourd’hui président, Didier Mercier se souvient encore des dé-buts de l’aventure. Celle de quelques musiciens manquant d’expé-rience et souhaitant simplement jouer ensemble. C’était en février 1999. L’envie est réelle et grâce à l’association Bodadeg ar Sone-rion, des cours sont rapidement mis en place. En même temps que les pionniers font leurs gammes, ils sont rejoints pas d’autres musi-ciens. Et comme une récompense, ils font leur première apparition en public lors de la Fête de la musique à Locminé, le 21 juin 2002. « Ce n’était pas extraordinaire mais nous étions contents de jouer en public et surtout ensemble », se souvent le président. Depuis, ils sont présents chaque année.« Monter en 3e catégorie »Au fil des ans, le bagad s’est amélioré et renforcé. D’une petite dizaine au départ, il compte aujourd’hui près d’une quarantaine de musiciens. Surtout, ils ont pris goût aux prestations publiques lors des fêtes locales ou des voyages effectués en Hongrie, en Rou-manie ou encore en Écosse. Ils sont aussi riches de l’ expérience acquise lors des concours auxquels le bagad participe chaque année. Comme leurs homologues, ils ont fait leurs gammes en 5e catégorie. Ils vont d’ailleurs y rester plusieurs années avant de décrocher le titre, en 2011, à Carhaix et d’obtenir leur ticket pour la 4e catégorie. Si le niveau est plus élevé, les Locminois n’ont guère mis de temps à s’y adapter. « Notre ambition est désormais de mon-ter en 3e catégorie», annonce Didier Mercier. Dès le mois de mars

prochain à Rennes ou à Pontivy, ils auront l’occasion de démontrer qu’elle n’est pas illégitime.Cette volonté de s’élever dans la hiérarchie s’appuie autant sur l’expérience des plus anciens que sur la volonté de développer la formation en direction des jeunes. La création d’un bagadig en 2014, apparaît d’ailleurs comme la meilleure illustration de leur philosophie.

Bagad de Loudéac : la renaissancePas facile de faire renaître un bagad après des décennies d’interruption. Depuis le début des années 2000, c’est tou-tefois ce que tentent de faire les responsables du bagad de Loudéac qui s’était éteint en 1980. Sous la houlette de Jacky Dagorne d’abord et sous celle de Benjamin Pouillas aujourd’hui, l’ensemble doit composer avec trop peu de musiciens. Une trentaine seulement. Mais pour les jeunes comme pour les plus anciens, l’envie d’apprendre et de progresser est bien réelle. Elle est d’ailleurs perceptible lors des sorties effectuées lors des différentes fêtes locales. Elle devrait également l’être, l’été prochain, lors du concours de 5e catégorie qui se déroulera à Carhaix. Après avoir fait l’impasse pendant deux ans, les Loudéaciens ont en effet décidé de renouer avec la compétition.

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DOSSIER

Un bagad, mais trois pupitres...Pour être de formation récente, le bagad a très largement gagné ses lettres de noblesse au point de devenir l’un des emblèmes in-contournables de la Bretagne. Il contribue en effet à la popularisation du répertoire musical breton à travers le monde.

Le bagad a longtemps été comparé au pipe band. Les parades en défilés rappelaient d’ailleurs fortement l’allure martiale des for-mations britanniques. Et de fait, dans leur formation actuelle, les bagadoù ont adopté les cornemuses et les caisses claires de nos amis écossais. La présence de la bombarde lui donne néanmoins une note spécifiquement bretonne.La structure du bagad repose sur trois pupitres : un pupitre de bom-bardes ; un pupitre de cornemuses ; un pupitre de caisses claires et de percussions. Chaque pupitre est conduit par un responsable et l’ensemble est supervisé par un penn soner (littéralement chef sonneur). C’est un chef d’orchestre qui définit l’orientation musi-cale du groupe. C’est lui qui fait les choix de répertoire, lorsqu’il ne le compose pas lui-même.

Le pupitre des bombardesLa bombarde fait partie d’une vaste famille d’instruments à vent, celle des hautbois. C’est un instrument composé d’un tuyau per-cé,  évasé et équipé d’une anche double en roseau. Cette anche, pincée par les lèvres du sonneur, donne un son mordant, riche en harmoniques. En Bretagne, deux bombardes différentes s’im-posent : la petite bombarde en ut, répandue en Cornouaille où la vigueur des danses exige une grande virtuosité des sonneurs, et la bombarde en la, plus commune en Vannetais où le rythme des danses est plus sage. Un joueur de bombarde s’appelle un tala-barder.

Le pupitre des cornemusesLa cornemuse compte de nombreuses variétés, toutes nées du même principe : une réserve d’air d’où s’échappent des tuyaux produisant les sons. Toutes les cornemuses ont en commun une poche remplie d’air par le souffle du musicien, un chalumeau percé de trous et équipé d’une anche double de roseau et sur lequel le sonneur interprète la mélodie ; et un ou plusieurs bourdons don-nant une note unique produite par une anche de roseau à lamelle vibrante. En Bretagne il existe plusieurs types de cornemuses : le biniou bras, qui est en fait un great Highland bagpipe  ;  le biniou kozh, l’une des cornemuses les plus aiguës ; la veuze (instrument du marais breton-vendéen à anche double non pincée). Un joueur de cornemuse s’appelle un biniaouer.

Le pupitre de caisses claires et percussionsL’ensemble batterie et percussions se compose de  différents élé-ments : les caisses-claires se composent d’un fût avec une peau de frappe sur le dessus et une deuxième peau de résonance dans le fond. Deux timbres (fils d’acier tendus sur la peau) donnent à ces caisses un son particulier et plus métallique que la caisse-claire de jazz ; les ténors sont des tambours dépourvus de timbres qui pro-duisent un son doux et moelleux ; les grosses caisses sont des tam-bours de grande taille frappé avec une mailloche à tête de liège ou de feutre, donnant un son puissant et très grave. Elle peut être po-sée sur un chevalet ou accrochée aux épaules. Ces trois principaux éléments sont complétés par d’autres percussions telles que les toms, les congas, les cymbales ce qui permet d’étoffer le pupitre. Un joueur de tambour et, par extension, de caisse claire s’appelle un tambouliner.

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Un bagad, mais trois pupitres...

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Répondre aux problèmes de recrutement des entreprises du Centre Bretagne... Tel est l’objectif de deux groupements d’employeurs créés il y a plus de dix ans : Activy (pour Action Pontivy) et Tisserent (pour tisser des liens entre les entreprises), à Loudéac. Deux structures qui fonctionnent sur une idée simple et efficace : le temps partagé.

Ils sont nés à un mois d’intervalle. À l’au-tomne 2002. Et pourtant en un peu plus d’une décennie, les deux groupements d’employeurs de Loudéac et de Pontivy n’avaient jamais encore tissé de liens. Cha-cun était resté dans son bassin respectif des Côtes-d’Armor et du Morbihan. Éton-nant quant-à-soi, les deux structures étant en effet nées d’un même constat et d’une même volonté  : les difficultés de recrute-ment des entreprises du Centre Bretagne et la nécessité de trouver une réponse appropriée à la précarité. Surtout, toutes deux ont été créées sur le mode associatif, par et pour les chefs d’entreprise. Qu’il s’agisse d’Activy à Pontivy ou de Tis-serent à Loudéac, les deux groupements ne comptaient originellement qu’une de-mi-douzaine d’entreprises. Depuis l’artisan

jusqu’à la très grande entreprise en pas-sant par les collectivités ou les associations, les deux structures comptent aujourd’hui plus d’une centaine d’adhérents. Et ils sont de plus en plus nombreux à faire appel aux services de ces deux groupements d’employeurs.

Gagnant-gagnantLe coeur du dispositif est basé sur une idée aussi simple qu’efficace : le temps par-tagé. Dans des domaines aussi différents que l’informatique, la comptabilité, la recherche et le développement ou encore le secrétariat, les entreprises n’ont pas forcément besoin d’un poste plein temps. Ainsi, les compétences d’un informaticien par exemple, peuvent être partagées entre plusieurs entreprises. «  Cela leur permet

d’accéder à des niveaux de compétences plus pointues et plus adaptées, explique Gaëlle Heno-Manic, directrice de Tisserent. Surtout, le salarié bénéficie d’un partage d’expérience et d’une autoformation qui profitent directement aux entreprises dans lesquelles il intervient. »Si l’entreprise bénéficie assurément des compétences multiples et de l’adaptabilité du salarié à temps partagé, celui-ci en tire également d’indéniables avantages. C’est le cas de Clément Supiot. Âgé de 26 ans, cet informaticien qui bénéficie d’un CDI à temps plein partage son activité entre différentes entreprises depuis maintenant quatre ans. « Aujourd’hui, je travaille dans cinq sociétés dont le nombre d’employés oscille entre 10 et 70, explique-t-il. Il faut être organisé, mais c’est passionnant

ÉCONOMIE

Groupement d’employeursLe temps partagé, une solution pour l’emploi

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d’intervenir sur des projets différents en fonction des besoins de chacun. C’est un enrichissement personnel et une source de motivation. »Ce choix de la diversité et de la poly-valence, c’est également celui qu’a fait Évelyne Brunet. Ingénieure en micro-biolo-gie et en sécurité alimentaire, elle partage son temps entre quatre entreprises depuis maintenant plus de deux ans. «  Je gère mon planning en fonction des impératifs des sociétés, précise-t-elle. C’est un mode de fonctionnement qui me convient parfai-tement. » Et dont elle n’a pas l’intention de changer.Comme Evelyne et Clément, ils sont au-jourd’hui près d’une centaine à partager chaque semaine leur temps entre diffé-rentes entreprises. Mais les deux groupe-ments d’employeurs proposent également de répondre aux besoins des entreprises

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en fonction des pics de production et de la saisonnalité de leur activité. Un salarié peut ainsi travailler plusieurs mois dans une société et enchaîner dans une autre pour le reste de l’année. «  Le salarié revenant tous les ans aux mêmes périodes est déjà formé sur les outils de travail et il connaît bien l’entreprise, précise Gérard François, directeur d’Activy. Cela permet un gain de temps énorme pour l’entreprise qui gagne ainsi en efficacité et en productivité. »

600 emplois pérennisésen une décennieEn un peu plus d’une décennie, le dis-positif a fait la preuve de son efficacité. Pour les entreprises adhérentes, le temps partagé offre en effet une grande flexibi-lité. Il leur permet de bénéficier de salariés compétents pour un temps adapté à leurs besoins. Pour le salarié, le temps partagé

est synonyme de pluriactivité. Surtout, il offre une réponse adaptée à la précarité en lui permettant d’avoir un CDI à temps plein dans différentes entreprises du bassin de Pontivy et de Loudéac. Si pour certains le temps partagé est un véritable choix de vie professionnel, pour d’autres il n’apparaît que comme une étape. D’abord embauché à temps partiel, de nombreux salariés des deux groupe-ments d’employeurs ont finalement décro-ché un contrat à temps plein pour accom-pagner le développement des entreprises de la région. « Depuis la création des deux groupements d’employeurs, près de 600 emplois ont ainsi été pérennisés », assurent les directeurs des deux structures. Et ce n’est sans doute pas près de s’arrêter. Car si le bouche à oreille a permis à Tisserent et à Activy de développer leur activité, le gise-ment d’entreprises locales qui pourraient faire appel à leurs services est immense. «  De nombreux dirigeants pensent encore que nous ne travaillons qu’avec les grandes entreprises, regrettent Gaëlle Heno-Ma-nic et Gérard François. Or, de l’étude des besoins à la présentation des candidats, nous pouvons nous adapter à toutes les entreprises, quelle que soit leur taille. » Une adaptabilité qui devrait prochainement se doubler d’une complémentarité. Car si cha-cun des deux groupements d’employeurs cultive ses spécificités, ils ont néanmoins décidé de se rapprocher, pour encore plus d’efficacité.

Clément Supiot Évelyne Brunet

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Laiterie Ker RonanL’or blanc de RohanDepuis maintenant plus de six ans, Hervé Harnois dirige une laiterie artisanale accolée à son exploitation agricole de Saint-Gouvry, dans la commune de Rohan. Il y produit un dessert lacté et aromatisé très prisé des gourmets : le yaourt de Ker Ronan.

Petit-fils et fils d’agriculteur de Saint-Gou-vry, à Rohan, Hervé Harnois aurait pu suivre le même chemin que ses aïeux. C’était d’ailleurs le souhait de ses parents. Mais pas vraiment le sien. Au début des années 80, les rêves du jeune homme le transportent en effet bien au-delà de l’hori-zon du domaine de la ferme familiale. L’in-formatique n’en est encore qu’à son âge de pierre, mais il est passionné et en perçoit sans doute déjà les immenses potenti-alités. Pendant plus de 20 ans, il va donc en faire son métier. Au milieu des années 2000, il sent pourtant le vent tourner et les marchés se délocaliser. Il est alors temps de rentrer au pays pour reprendre la ferme familiale. L’exploitation ne compte qu’une vingtaine de vaches laitières et le quota qui lui est octroyé n’est guère élevé. Surtout, le nouvel exploitant agricole est convaincu

qu’il faut valoriser sa production sur place en proposant un produit haut de gamme à un prix compétitif. Si la production de yaourts s’impose comme une évidence, encore faut-il acquérir le savoir-faire. Pour y parvenir, il va bénéficier du précieux soutien de deux Bretons qui dirigent une laiterie en Dordogne. « Ils m’ont beaucoup appris, reconnaît-il. La fabrication bien sûr, mais également la connaissance des cir-cuits de distribution. »

Un yaourtdoux et onctueuxLe pari est risqué mais il décide néanmoins de le tenter avec son épouse qui quitte définitivement sa profession d’infirmière. En 2008, il investit et construit un atelier de fabrication à proximité de l’exploitation. Il aurait pu choisir le nom de Ker Rohan

pour commercialiser ses produits, mais il opte finalement pour Ker Ronan. Secondé par un employé, le couple se lance dans la production de yaourts avec le lait produit par les vaches de l’exploitation. Des vaches nourries exclusivement à la luzerne, au foin, à l’herbe et au maïs grain. Pour aro-matiser ses produits, Hervé Harnois essaye de privilégier les circuits courts et la pro-duction locale. Ce sera d’ailleurs le cas pour son yaourt à la fraise de Plougastel. Pour les abricots, la vanille, le citron vert ou encore la noix de coco, c’est forcément plus compliqué. «  Nous voulions absolument proposer un produit de qualité, explique-t-il. Un yaourt doux, onctueux et agréable. » Le yaourt a du goût et le packaging est bien léché. « Mais au final c’est toujours le consommateur qui décide », admet-il. Et en l’occurrence, il apprécie.

ENTREPRISE

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Dans les rayons des supermarchés, la concurrence est pourtant particulièrement sévère. « C’est justement parce qu’il y a de la concurrence qu’il y a des niches dans les-quelles il est possible de s’installer », sourit Hervé Harnois. Si le prix de ses yaourts est en moyenne supérieur de 5 à 10 % par rap-port à celui de ses concurrents, il parvient néanmoins rapidement à se faire une place dans les grandes et moyennes sur-faces de la région. Au départ, ces dernières lui réservent d’ailleurs plutôt un bon ac-cueil. « Nous avons d’abord travaillé avec les enseignes du coin, précise-t-il. Il fallait les convaincre qu’il s’agissait d’un produit du territoire fabriqué par des gens du territoire et donc pas délocalisable. » Il sait de quoi il parle car celui qui a travaillé plus de vingt ans dans l’informatique, connaît bien les effets de la mondialisation. Et il est rapide-ment convaincant puisque dès la première année d’activité, il parvient à écouler plus de 70 tonnes de yaourts dans une quaran-taine de supermarchés de la région.Cette volonté de porter haut le savoir-faire

régional, va d’ailleurs trouver une suite lo-gique par un référencement immédiat au label « Produit en Bretagne ». D’entrée, les huit gammes de yaourts qu’il met en rayon bénéficient en effet de l’estampille de la marque au phare. Depuis, cette dernière lui a même décerné un prix de l’innova-tion pour son yaourt au citron vert. « Cette reconnaissance nous a été très précieuse au départ et elle représente toujours un plus car ce label est synonyme de qualité  », se félicite Hervé Harnois.

700 tonnesdans 800 magasins...Mais depuis, l’entreprise a bien grossi. Désormais forte de 15 salariés, elle écoule chaque année plus de 700 tonnes de yaourts dans plus de 800 magasins du grand ouest et de la région parisienne. Et comme la production de sa seule exploita-tion ne suffit plus à alimenter les besoins de la laiterie, il a fait appel à des éleveurs locaux qui privilégient comme lui, la qua-lité plutôt que la quantité.

Une gamme de yaourts diversifiée pour le plus grand plaisir des gourmets

La méthode artisanale, elle, n’a en re-vanche pas changé. La pasteurisation est toujours effectuée à basse température et il n’y a pas de traitement mécanique, c’est-à-dire d’écrémage du lait. Certes, le procédé de fabrication demeure plus long que chez les industriels, mais c’est aussi cela qui donne à son yaourt une texture onctueuse et inégalée.

Les consommateurs peuvent être rassu-rés, l’aventure n’est pas près de s’arrêter. Car à 53 ans, Hervé Harnois a encore des projets. Mais dans un contexte de concur-rence exacerbée, il entend une nouvelle fois jouer le contrepied sans toutefois trop se dévoiler. Une chose au moins demeure certaine, il ne changera pas sa manière de fonctionner et continuera à faire confiance aux hommes et aux produits avec une seule exigence : la qualité.

Un outil modernisé mais une méthode artisanale

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Implantée à Loudéac depuis 60 ans, la société Voyages Collier a transporté des dizaines de milliers de passagers. Désormais installée dans le quartier de Saint-Bugan, cette société spécialisée dans le transport de voyageurs propose une vaste gamme de moyens de transport, économiques et sûrs.

Pour des générations d’écoliers de Loudéac et de sa région, les cars Collier ramènent forcément à des souvenirs particuliers. Des souvenirs de sortie scolaire, de déplace-ment sportif, de premier voyage à l’étran-ger ou encore de départ en colonie. Des moments d’amitié et de bonheur partagés avec les copains et les copines de l’école ou du club de sport. Pour certains, ils ravivent aussi le souvenir de celui qui était le plus souvent au volant des cars portant son nom : Eugène Collier. Loin d’être imposant physiquement, le chauffeur savait se faire respecter. Les coups de gueule du petit homme étaient redoutés et leur efficacité avérée pour ramener le calme dans un car souvent agité.Des écoliers aux retraités, en plus de 40 ans de carrière, Eugène Collier a en effet trans-

porté des milliers de passagers. Fils d’un père chauffeur de taxi, il fonde sa société de transport en 1953, dans sa commune natale de Saint-Étienne-du-Gué-de-l’Isle. À l’époque, il propose tous types de trans-ports et développe même son activité dans les travaux publics. Dès l’année suivante, il décide néanmoins de quitter la commune, pour s’installer rue de La Chèze, à Loudéac. La société y restera fidèle pendant 60 années.

Toujours s’adapterà la demandeL’arrivée des collèges et des lycées dans la cité loudéacienne va rapidement l’inciter à se spécialiser dans le transport de voya-geurs. Le transport scolaire, bien sûr, mais également les voyages touristiques. Et ça roule ! Ses deux fils, Jean-Luc et Yvon, tra-

vaillent avec lui dans l’entreprise familiale. Et lorsqu’en 1996, il décide de lâcher le volant de l’entreprise, c’est tout naturelle-ment l’un d’eux qui lui succède. Elle sera finalement rachetée en 2001 par deux actionnaires de la région briochine : Véolia Transports et les Cars Rouillard.Si les propriétaires ont changé, l’esprit lui, n’a pas varié. D’ailleurs, le nom même de la société n’a pas été modifié. Pour des rai-sons pratiques, l’entreprise a néanmoins choisi de déménager et de construire un bâtiment neuf, dans le quartier de Saint-Bugan. « Les anciens locaux étaient deve-nus à la fois vétustes et trop petits, précise Xavier Modicom, directeur de Collier Voyages. Surtout, nous sommes à proxi-mité de l’axe autoroutier.  » Car c’est une évidence, dans un secteur d’activité très

ENTREPRISE

Voyages CollierSe déplacer en toute tranquillité

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concurrentiel il a forcément fallu évoluer pour toujours s’adapter aux demandes du marché. L’activité essentielle demeure tou-jours le transport scolaire. De Merdrignac à Plœuc, en passant par Collinée et Uzel, son rayon d’action couvre la totalité du Pays du Centre Bretagne. «   En période scolaire nous effectuons une vingtaine de tournées chaque jour, soit tout de même un total de 500 000 km par an, explique le directeur. Cela concerne les lycéens et les collégiens mais également les écoliers.  » Rien qu’à Loudéac, cinq tournées ont été mises en place pour les écoles primaires de la ville.Le transport scolaire représente plus de 70 % de son activité, mais la société Collier propose également ses services de location d’autocars aux associations, aux entreprises et aux particuliers. Et dans ce domaine elle peut afficher une gamme de prestations particulièrement étendue. Du mini-bus au car grand tourisme en passant par le mini-car ou le car classique, elle dispose en effet

d’un parc de 30 véhicules dont la capacité oscille entre 9 et 67 places. «  Nous bénéfi-cions d’une expérience et d’un savoir-faire qui nous permettent de trouver des solu-tions adaptées aux besoins du client et à son budget, assure Xavier Modicom. Nous privilégions la réactivité et la souplesse dans la relation avec le client qui bénéficie d’un interlocuteur unique pour l’ensemble des échanges et le suivi du dossier. »

Une gamme d’autocarsde 8 à 76 placesPour une sortie en famille ou entre amis, un mini-bus peut ainsi être loué avec ou sans chauffeur. Pour une expédition plus lointaine, les voyageurs privilégieront le confort d’un car grand tourisme équipé de toilettes, d’écrans vidéo, d’un réfrigérateur, de la climatisation ou encore de sièges inclinables. « Dans ce domaine, nous béné-ficions d’un réel atout maître, assure le di-recteur. Alors que la taille standard d’un car

est aujourd’hui de 59 fauteuils, nous dispo-sons de véhicules de 63, 65 et 67 places. » Et pour certains groupes, l’économie peut être substantielle.La qualité du service se conjugue aussi et surtout avec une sécurité maximale. Il est vrai que la profession est particulièrement encadrée et réglementée. Les conduc-teurs doivent ainsi suivre une formation de remise à niveau tous les cinq ans  ; le temps de conduite est limité et des pauses sont imposées  ; tous les véhicules sont équipés de ceintures de sécurité, d’un chronotachygraphe numérique (version moderne du mouchard...) et les véhicules sont soumis à un contrôle technique tous les six mois. Au 1er septembre 2015, tous les cars seront également équipés d’un Ethylotest Anti Démarrage. Autant d’élé-ments qui permettent au directeur d’af-firmer que : «  S’il est le plus économique, le car est aussi aujourd’hui, le moyen de transport le plus sûr. »

Publi-reportage

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Axa Morin-LanchecLa protection, c’est leur vocationImplantée depuis plus de six décennies à Pontivy, l’agence Axa Morin-Lanchec assure les

particuliers et les professionnels. Et elle a su faire de la proximité avec ses clients, un gage de qualité.

Installée au 75, rue Nationale, au centre du quartier napoléonien de Pontivy, l’agence Axa peut se prévaloir d’une sérieuse expé-rience dans le domaine de l’assurance. Créée il y a plus de 60 ans par Pierre Morin, elle a ensuite été dirigée pendant plusieurs décennies par son fils, Jean-Denis. Depuis maintenant quatre ans, Yann Lanchec y a associé son nom et dirige aujourd’hui l’agence, secondé par Camille, Clarisse, Christelle et Tatiana. Mais si les hommes ont changé, l’esprit est demeuré le même. Ici, la proxi-mité a toujours été le meilleur gage de la qualité du service rendu à l’assuré.L’agence a beau afficher un portefeuille de plus de 2 400 clients et près de 7 000 contrats, le client n’a jamais été et ne sera jamais un simple numéro. Dans ce domaine, tout commence par l’accueil. Entièrement refaite il y a quelques mois, l’agence offre un style résolument moderne et dégage une ambiance à la fois douce et chaleureuse. L’accueil est personnalisé, les bureaux sont ouverts et lumineux et l’on s’y sent rapidement aussi bien que dans le confor-table canapé installé dans la salle d’attente.Le cadre est important, le professionnalisme l’est encore plus. Qu’il s’agisse des particuliers ou des entreprises, l’agence Axa Morin-Lanchec propose des contrats adaptés à chacun. « Nous effectuons toujours des visites chez nos clients pour une analyse fine des risques, explique Yann Lanchec. Lors des sinistres, nous accompa-gnons toujours les experts. » Pas question de déléguer la gestion d’un dossier à une plate-forme lointaine et impersonnelle. « Nous prenons nos responsabilités et nous gérons tous les dossiers de A à Z », assure-t-il.

Enfin, dans l’assurance bien sûr, mais également dans le crédit et le courtage, l’agence Axa Morin-Lanchec propose également des tarifs attractifs Dans un secteur d’activité particulièrement concur-rentiel, l’agence Axa Morin-Lanchec propose des tarifs attractifs, dans le domaine de l’assurance, mais aussi du crédit.Pas étonnant dans ces conditions que cette agence affiche un taux d’ancienneté moyen de 22 ans ! Ici, le client est roi... et visiblement il ne s’en plaint pas.

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Saint-GérandL’économie commeatout maître

Située à seulement quelques kilomètres de Pontivy, la commune de Saint-Gérand profite des ses atouts pour gérer son développement. Comptant aujourd’hui plus de 1 000 habitants, elle accueille une activité économique particulièrement dense avec plus de 800 salariés dans les entreprisesinstallées sur son territoire.

Pendant un temps, Saint-Gérand a pu faire état d’une singularité particulièrement en-viée par ses voisines. Elle comptait en effet plus de salariés dans les entreprises instal-lées chez elle, que d’habitants ! Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Encore inférieure à 700 habitants au milieu des années 70, la population a en effet dépassé le millier lors du dernier recensement. La commune affiche aujourd’hui très exactement 1 070 habitants et la hausse démographique est à la fois constante et régulière depuis maintenant plus de 30 ans. Économiquement, le dynamisme initié il y a quelques décennies est, lui, toujours bien réel. D’Altho à Glon, en passant par la base Intermarché, les transports Le  Hir et Jean Juin, la minoterie Jean Paulic ou l’entreprise de travaux publics Henriot, la commune de Saint-Gérand peut toujours se prévaloir d’un tissu économique par-

ticulièrement dense et d’un effectif total de plus de 800 salariés. Forcément, un tel développement, ne doit pas grand chose au hasard. Derrière ce bel essor, il y a des hommes. À Saint-Gérand, il est surtout à mettre au crédit d’Yves Le Quéré. Élu conseiller municipal en 1969 alors que le Général de Gaulle est encore Président de la République, il devient le premier magis-trat de la commune en 1977. Après six mandats et 37 années en tant que premier magistrat, il a définitivement raccroché l’écharpe en mars 2014.

Le chemin de fer,carte maîtresseLa situation enviable de la commune s’explique aussi par la volonté politique de développer l’activité économique en s’appuyant sur un atout non négligeable : la proximité de la ligne de chemin de fer. Si

elle s’arrête désormais dans la commune et ne se poursuit plus jusqu’à Loudéac, elle est toujours utilisée pour le transport de matières premières, depuis la gare d’Auray.C’est désormais à Claude-Albert Le Bris que revient la lourde charge de maintenir le bon cap tout en conservant l’ambition d’aller encore un peu plus loin sur la route de l’expansion à la tête d’un équipage soli-daire. Élu conseiller en 1995, pour tenir ferme la barre, il peut s’appuyer sur une solide expérience de la vie municipale puisqu’il a effectué deux mandats consé-cutifs en tant qu’adjoint aux sports et aux travaux. La communauté de communes de Pontivy ayant désormais la compétence économique, les élus géranais ne sont tou-tefois plus les seuls à décider du dévelop-pement de ce secteur. Mais il en reste bien d’autres et les projets ne manquent pas... Même s’il n’est pas toujours facile de les

COMMUNE

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développer lorsqu’on est situé à quelques kilomètres d’une grande ville.L’une des priorités affichées demeure l’habitat. En 2006 déjà, la commune avait lancé le programme du lotissement du Soleil. Les 30 lots avaient alors été vendus en un temps record. Il est vrai que la crise de l’immobilier n’avait pas encore frappé et que le terrain était à 20 € le m2. Depuis 2013, la commune a lancé un nouveau programme : le lotissement de Coët-Nostra. Également composé de 30  lots de 500 à 850 m2 (dont six locatifs), le m2 de terrain viabilisé est aujourd’hui vendu 40 €. Compte tenu de la situation dans le bâtiment, l’engouement est forcément moindre. N’empêche, huit lots ont déjà été vendus et les murs des premières mai-sons devraient bientôt sortir de terre.

Des attraits touristiquesAttirer de nouveaux habitants c’est aussi contribuer à redonner de la vie au bourg à travers le commerce et les services de proximité. Comparé à celui des entreprises, ce secteur d’activité apparaît toutefois peu développé. Outre une épicerie, une boulangerie et un salon de coiffure, la commune compte un cabinet d’infirmiers et une société informatique. Reste que depuis la fermeture du restaurant Le Thé-résa, un établissement autrefois très renommé, les Géranais ne peuvent plus boire un verre au coin d’un zinc de chez eux. “C’est un manque, reconnaît le maire. La commune est toutefois propriétaire de deux licences IV et pour qu’elles demeurent valides, nous devons ouvrir un bar une quinzaine de jours tous les trois ans. Nous allons d’ailleurs bientôt le faire à la salle des associations.” En attendant, peut-être, qu’un établissement pérenne ouvre ses portes !La vie d’une commune s’exprime également à travers ses écoles. De la maternelle au CM2, 77 enfants sont scolarisés à l’école publique et 68 à l’école privée Saint-Joseph. Les écoliers de l’une comme ceux de l’autre se retrouvent à la cantine municipale où la responsable s’efforce de privilégier une cuisine concoctée avec un maximum de produits locaux. Les enfants peuvent également se retrouver, le matin et le soir, à la garderie municipale ou encore au centre de loisirs pendant les vacances scolaires.La vitalité d’une commune se traduit aussi par le dynamisme de son tissu associa-tif. Fondée par l’actuel maire en 1995, la Géranaise des loisirs y contribue grande-ment. À travers son auto ou tracto cross du mois de septembre, mais également en soutenant les actions menées par la dizaine d’associations que compte la com-mune.Enfin, traversée sur près de sept kilomètres par le canal de Nantes à Brest, la com-mune pourra s’employer à faire valoir un patrimoine intéressant et sans doute trop peu mis en valeur. La chaîne des écluses de Couëdic est ainsi à ranger au rayon des sites appelés à drainer encore plus de monde, tout comme la chapelle des Saints Drédeno, où les artistes contemporains exposent chaque été dans le cadre de l’Art dans les chapelles.

I N T E R V I E W /

Claude-Albert Le BrisMaire de Saint-GérandAprès un mandat de conseiller municipal et deux mandats d’adjoint, Claude-Albert Le Bris est de-venu premier magistrat de la commune en mars dernier.

Après plus de huit mois d’exercice de votre premier mandat de maire, comment appréhendez-vous la fonction ?Je suis élu au conseil municipal depuis 1995 et je connais bien le fonctionnement de la commune. Néanmoins, étant issu du monde ouvrier, j’avais un réelle appréhension et je me disais que c’était peut-être un handicap. Et puis ce n’est pas forcément facile de succéder à quelqu’un qui a été maire pendant 37 ans. Il y a eu un petit temps d’adap-tation, mais j’ai rapidement pris la mesure de la fonction. Surtout, je ne décide pas seul et j’ai la chance d’être entou-ré d’une équipe d’adjoints et de conseillers compétents et d’un personnel administratif qui l’est tout autant.

À l’aube de ce mandat, quels projets souhaitez-vous développer pour les six années à venir ?C’était dans notre programme et nous tiendrons notre engagement. Le grand projet du mandat reste la construc-tion d’une salle de sports. Un groupe de travail a d’ailleurs déjà été mis en place et nous nous sommes déplacés pour voir ce qui se fait ailleurs. Nous allons continuer. Il ne s’agit pas de créer pour créer, mais nous souhaitons proposer une structure pour que des associations puissent naître et se développer. Surtout, je suis pour la mutualisation. Nous sommes à la porte de Pontivy et nous sommes bien évidemment disposés à partager cet équipement avec les clubs des communes environnantes.

Êtes-vous favorable à un rapprochement entre la Cidéral et Pontivy-Communauté ?Je suis très favorable à un rapprochement des deux com-munautés de communes. Nous ne devons pas nous tour-ner vers le sud du Morbihan et Loudéac ne doit pas le faire vers le nord des Côtes-d’Armor. Le Centre Bretagne est un bassin de vie important et il y a un vrai noyau autour de Loudéac et de Pontivy. C’est la clé du développement de notre territoire. Nous pouvons et nous devons mener des actions efficaces ensemble. Il ne faut pas jouer la carte de la concurrence, mais bien celle de la complémentarité.

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Forêt de LoudéacLe poumon vert du Centre BretagneD’une superficie totale de 2 600 hectares, la forêt de Loudéac appartient pour moitié à l’Office national des forêts (ONF) et pour l’autre moitié à des propriétaires privés. Véritable poumon vert du Centre Bretagne, la forêt domaniale sait aussi faire fructifier les richesses que sont le bois et le gibier.

Il faisait anormalement chaud ce 15 oc-tobre 1987. Les services de Météo France avaient vu arriver sur leurs cartes-satel-lites la queue du cyclone tropical Floyd. Ils avaient annoncé la tempête à venir, mais pas sa violence. Des vents de 220  km/h se sont déchaînés pendant toute une nuit sur la Bretagne. Au petit matin, 630  000 Bretons sont sans électricité ; 1  785  km de lignes électriques sont au sol. Plus de 50 000 hectares de forêt sont détruits. Au total, 6,5  millions de m3 (soit plus de 12 fois le volume des coupes annuelles !) de bois vrillé, cassé, éclaté, impropre à la vente, sont à terre. La forêt de Loudéac est bien évidemment touchée. «La tempête de 87 a certes été une catas-trophe, mais elle a également été une véritable bénédiction ! Tout était abîmé, à

reconstruire. On s’y est attaqué en tenant compte des erreurs du passé et en inno-vant, commente Gilles Dauvergne, qui occupait alors le poste de garde forestier. Autrefois, on voulait domestiquer la nature. Aujourd’hui, la nature nous impose sa vé-rité, nous cherchons simplement à l’appri-voiser. Les plantations se font toujours en ligne pour des raisons de facilité d’exploi-tation, mais nous ne faisons plus de planta-tion à essence unique ; et nous privilégions toujours les espèces «sauvages», c’est-à-dire les arbres qui se sont plantés tout seul. Du coup, nous arrivons à retrouver un sous-bois qui n’est plus en ligne et qui est très varié ! Ce qui compte, ce ne sont pas tant les essences, que la façon de les planter et de les gérer. »Si les caprices de la météo ont contribué

à façonner la forêt de Loudéac, l’activité humaine, au fil du temps, y a également laissé sa trace. Dès le Moyen-Age, elle connaît ainsi une activité importante. On y trouve alors des bûcherons, des scieurs, des menuisiers-charpentiers, des charbon-niers, des sabotiers, des mineurs qui en extraient le minerai de fer et des forgerons qui le traitent dans des fourneaux. Mais l’activité est plutôt risquée puisque tous ces professionnels doivent vraisembla-blement composer avec le loup. Plusieurs noms de villages (Gratteloup – Le Loup Pendu – Le Bout es Loup – La Motte aux Loups...), attestent en effet de sa présence. Au XVe  siècle, la forêt devient propriété des ducs de Rohan. Ils y chassent le gros gibier et y élèvent des chevaux sauvages.  Elle devient ensuite la propriété des houil-

PATRIMOINE

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lères de Lorraine. C’est à cette société que l’État achète une partie de la forêt, au début des années 60. Si elle s’étend au total sur 2  600 ha et trois communes (Loudéac, La Motte, La Prenessaye), la forêt domaniale ne couvre que la moitié de cette superficie. L’autre moitié se partage en effet entre des propriéaires privés.Depuis maintenant sept ans, c’est Joël Le Bourvellec, technicien forestier à l’office national des forêts (ONF), qui assure la ges-tion et l’exploitation de la forête domaniale. L’une de ses missions essentielles consiste évidemment à gérer les coupes et les re-plantations. « Des études nous permettent d’estimer la croissance de la forêt, explique-t-il. En moyenne, le volume de bois aug-mente de cinq à six m3, par hectare et par an. En appliquant la formule à l’ensemble de la forêt, on mesure que nous devons chaque année couper 6 500 m3 de bois, soit environ 15 ha. »

Bûcherons professionnels et amateursPour l’essentiel, ce travail est effectué par des professionnels, durant l’automne et l’hiver. Le contenu de certaines parcelles, essentiellement pour du petit bois, est ven-du aux enchères comme bois sur pied. Et pour valoriser encore davantage le produit, l’office sous-traite le débardage et la coupe à des sociétés privées tout en assurant lui même la vente des tas de bois que l’on aper-çoit régulièrement en bordure de la route. À côté de ces professionnels, les particuliers peuvent également venir y faire leur bois. Chaque année une soixantaine de bûche-rons amateurs se voient ainsi attribuer un lot qui leur permet de débiter chacun entre

20 et 30 stères de bois de chauffage.Les coupes effectuées, il faut immédiate-ment penser à replanter. Pendant long-temps, les forestiers on pratiqué une plantation par espèce objective  : l’espèce la mieux adaptée au sol, à l’hygrométrie… pour un lieu donné. Si elle est idéale sur le plan de la rentabilité, ce type de «plan-tation pure» pose également de très nom-breux problèmes. Elle peut en effet favori-ser le développement rapide des parasites. Dans la forêt de Loudéac, c’est d’ailleurs le cas pour l’épicéa de Sitka. Plus de 300 ha de cette essence sont en effet victimes de l’attaque d’un insecte, le dencrochtone qui, en se nourrissant de la sève de l’arbre, entraîne sa mort. Si aujourd’hui les coupes sont à 80 % axées sur les résineux, c’est majoritairement avec des feuillus que sont replantés les espaces déboisés. Entre les chênes, les hêtres, les châtaigniers, les bouleaux, les trembles ou encore les merisiers... on dénombre une dizaine d’essences différentes. Ainsi, depuis la fin des années 80, les feuillus représentent plus de 50 % des surfaces to-tales replantées, contre 15 % lors des deux

décennies précédentes. Une diversité des essences qui se double également d’une volonté de stratification naturelle. Mieux étager les arbres en hauteur permet un meilleur développement de chaque essence et le développement d’une faune beaucoup plus riche.Et la population de gros gibier est en effet abondante en forêt de Loudéac. Mais il convient toutefois de la maîtriser. «  Il faut trouver un juste équilibre entre la forêt et le gibier, explique Joël Le Bourvellec. Les chevreuils et les cerfs sont très friands des bourgeons. S’ils sont trop nombreux, cela peut entraver la croissance de la forêt. » 

Pour réguler cette population de grands animaux, des comptages sont effectués chaque année au mois de mars. C’est à partir de ceux-ci, mais également des observations au quotidien sur le terrain, qu’un plan de chasse est défini. En 2014, 30 chevreuils, cinq faons et biches et une demi-douzaine de sangliers ont été inscrits au tableau des chasseurs à tir. S’agissant de la chasse à courre, le quota était fixé à six cerfs...

Une forêt à champignonsChaque année, de la mi-août à la mi-novembre, la forêt de Loudéac se transforme en un terrain de jeu très prisé des cueilleurs de champignons. Les amateurs de ceps, girolles et autres pieds de mouton s’y pressent d’ailleurs en nombre. Pendant une période, l’ONF a souhaité encadrer cette cueillette avec la mise en place de cartes nominatives. Ce n’est au-jourd’hui plus le cas. « Nous tolérons une cueillette pour la consommation familiale » précise le garde forestier. Mais comme pour la pêche à pied, les contrôles qui sont parfois effectués, n’empêchent pas les abus.

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L’étang des quatorze sous

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Avec deux clubs de haut niveau, Pontivy fait figure d’exception dans le paysage footballistique breton. N’empêche, pour élever encore son niveau de jeu certains ne manquent pas d’idées. La création d’un club du Centre Bretagne regroupant Pontivy et Loudéac, fait partie de celles-là.

Il semble déjà loin, le temps des derbys entre le Stade et la Garde Saint-Ivy qui atti-raient plusieurs milliers de spectateurs au stade du faubourg de Verdun. Paradoxale-ment, si l’engouement populaire pour les deux clubs locaux de football s’est quelque peu estompé au fil des années, le niveau s’est en revanche très nettement élevé. Avec un club en Championnat de France Amateur (CFA) et un autre en Division d’Honneur (DH), Pontivy apparaît comme une exception dans le paysage footballis-tique breton. En effet, outre Vitré, aucune ville bretonne ne peut afficher deux clubs à un tel niveau de compétition. L’exception s’est encore confirmée il y a quelques semaines quand les deux clubs pontivyens restaient les deux seuls représentants du Morbihan au 7ème tour

de la Coupe de France. Certes, tous deux se sont inclinés et ont dû renvoyer leurs rêves d’exploits à une prochaine édition. À moins qu’ils n’aient été transposés sur le championnat, où les deux clubs doivent faire face à de sérieuses difficultés. Dans leur groupe respectif, la Garde et le Stade pointent aujourd’hui à la dernière place du classement. « C’est la loi du sport, il y a des hauts et des bas, reconnaît Michel Jarni-gon, adjoint aux sports de la ville de Pon-tivy. Nous avons déjà connu cette situation, il y a quelques années, et les deux clubs ont su réagir après une descente au niveau inférieur. »

Terreau fertilePersonnalité connue et reconnue dans le monde du football, celui qui a d’ailleurs

entraîné les deux clubs pontivyens, estime que cette situation, certes gênante ponc-tuellement, n’est toutefois pas préoccu-pante structurellement. «  Pontivy est une terre de football, assure-t-il. Il y a un état d’esprit et au cours des dernières décennies les deux clubs ont su se structurer pour assurer leur développement. » Rendue possible grâce à la rencontre d’hommes passionnés et complémentaires, cette politique a été essentiellement axée sur la formation. Qu’il s’agisse de la GSI qui compte au-jourd’hui près de 400 licenciés, ou du Stade qui en affiche plus de 350, la majorité de l’effectif est constitué de jeunes joueurs. Des espoirs qui peuvent surtout bénéficier d’un encadrement dont la qualité n’est plus à démontrer. Et le fait que certains

SPORT

Entre Garde et StadePontivy, terre de football

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soient également enseignants dans la sec-tion sport-étude d’un lycée pontivyen, n’est sans doute pas anodin. Un établissement d’ailleurs sacré champion de France à deux reprises, ces dernières années.La présence d’éducateurs de cette qualité apparaît évidemment bénéfique pour la vitalité des sections jeunes. Dans chacune des catégories, le Stade comme la GSI bénéficient au minimum de deux équipes. Le Stade dispose par ailleurs d’une section féminine qui ne cesse de se développer. Si chaque club a bien évidemment connu des générations d’exception, les deux privilé-gient d’abord la durée et la régularité. Et de ce point de vue, ils parviennent à se maintenir ou à tutoyer le plus haut niveau régional.Le terreau est fertile et les bonnes graines poursuivent parfois leur carrière dans des clubs professionnels. Si cela peut procurer une légitime fierté, les éducateurs comme les dirigeants aimeraient bien aussi les voir évoluer dans les équipes fanions de la ville. C’est le cas. Parfois et même souvent. Mais le niveau est de plus en plus exigeant.

Un club du Centre BretagneAlors Pontivy est-elle condamnée à évo-luer à ce niveau sans jamais espérer pou-voir évoluer plus haut ? Certains ne s’y résignent pas. Et pour eux, la naissance d’un grand club de football en Centre Bretagne ne peut passer que par une fu-sion. Régulièrement évoquée, l’idée d’un regroupement des deux clubs pontivyens est toujours diversement appréciée. «  On dit généralement qu’il n’y a que les imbé-ciles qui ne changent pas d’avis, sourit Phi-

lippe Le Mestre, président de la GSI depuis 12  ans. J’ai toujours été favorable à la fu-sion et je le demeure car c’est la seule solu-tion pour tenter de construire un grand club à Pontivy. » Président du Stade depuis la fin de la saison dernière, Mickaël Le Sauce, ap-paraît plus circonspect. « Je ne suis pas sûr qu’une fusion permettra d’élever le niveau du football à Pontivy, explique-t-il. Il y aura toujours un paramètre économique et je ne suis pas sûr que le bassin pontivyen puisse soutenir financièrement un grand club. »Et si la solution était à rechercher au-delà du simple horizon de la cité pontivyenne ? C’est notamment la vision de Michel Jarni-gon. «  D’Evian-Thonon à Arles-Avignon, en passant par Bourg-Péronnas, les exemples de clubs qui se sont constitués autour d’un

territoire sont de plus en plus nombreux, constate-t-il. Entre Pontivy et Loudéac, nous pourrions très bien imaginer un club du Centre Bretagne. Outre un réservoir de joueurs plus important, cela permettrait de fédérer les acteurs économiques d’un bas-sin plus large... Comme l’a fait Guingamp, qui compte aujourd’hui près d’une centaine de partenaires dans son club entreprise. »

Déjà compliquée à l’échelle de la cité, l’idée d’une fusion plus large serait-elle iconoclaste ? Aujourd’hui peut-être. Mais qui aurait parié, il y a encore quelques an-nées, sur les regroupements de clubs pour monter des équipes de jeunes ! L’idée a au moins le mérite d’exister et qui sait... de contribuer à faire évoluer les mentalités.

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Après deux bonnes saisons à ce niveau, le Stade pontivyen éprouve, cette année,de sérieuses difficultés en championnat de DH.

Mon club à Loudéac : 7, boulevard de la gare(anciennement Sport 2000)22600 LOUDEACTél. 02 97 27 54 51

Mon club à Pontivy: Rue Edison-ZI Signan56300 PONTIVYTél. 02 97 27 54 51

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Mon club à Pontivy: Rue Edison-ZI Signan56300 PONTIVYTél. 02 97 27 54 51

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Dimanche 4 janvierCher Edouard La Corn’Amuse joue la pièce «Cher Edouard» de Bruno Druart. La veille de quitter le Grand hôtel, Edouard, maître d’hôtel stylé, retrouve la volcanique Maud, le grand amour de sa vie, quitté plus de 25 ans plus tôt. Lui aspire à une vie paisible, elle souhaite vibrer d’une nou-velle passion exaltée. Pas facile, les rapports ! Sans compter un entourage turbulent qui se mêle de tout, embrouille tout. Il y aura de la casse dans ce trois étoiles.14 h 30, salle des fêtes de Coëtlogon. Seconde représen-tation, samedi 10 janvier à 20 h 30.Tarif : 5€/ Gratuit pour les moins de 12 ans.Renseignements au 02 96 28 93 53.Courriel : [email protected]

Samedi 10 janvierNouveau Cirque National de ChineAlice in ChinaUn cirque-théâtre librement adapté de « Alice au Pays des Merveilles » de Lewis Carroll par le dramaturge Fabrice Melquiot.Cette « Alice au Pays des Merveilles » de Lewis Carroll revisitée par le Nouveau Cirque National de Chine et le dramaturge Fabrice Melquiot donne à voir, en dix-huit tableaux, un spectacle vertigineux mêlant performances techniques, sportives, poésie et théâtre sans paroles. Un exercice d’autant plus palpitant qu’il transporte la fillette dans la Chine d’au-jourd’hui où elle retrouve néanmoins le Lapin blanc, le Chat du Cheshire, le Chapelier fou et le Lièvre de mars. 20 h 45, palais des congrès et de la culture de Loudéac. Tarif A : 20 € / 24 € / 27 € / Moins de 18 ans : 20 €.Réservations au 02 96 28 65 50.Courriel : [email protected]

Jeudi 15 janvierProjection photosProjection et renseignements des photos du fonds Ollitrault14 h 30, Atelier Musée du Tissage, rue Neuve à Uzel. Seconde séance, le jeudi 5 février.Renseignements : CAC Sud 22 au 02 96 28 93 53.Courriel : [email protected]ée libre

Samedi 24 janvierJeune Ballet EuropéenPuzzleL’aboutissement de tout jeune danseur est d’intégrer une compagnie de ballet dans laquelle il peut évoluer et s’épa-nouir, tel est l’objectif du Jeune Ballet Européen. Ces jeunes apprentis sont invités à créer et diffuser un répertoire pluridisciplinaire (classique, contem-porain, modern’jazz, jazz, hip hop) accessible au plus grand nombre. 20 h 45, palais des congrès et de la culture de Loudéac. Tarif B : 7 € / 11 € / 14 €.Réservations au 02 96 28 65 50.Courriel : [email protected]

Pyjama, pour sixLes Tréteaux mûrois présentent la pièce « Pyjama pour six » comédie de Marc Camoletti. Pour ne pas la laisser seule le jour de son anniversaire, Bernard invite sa maîtresse Brigitte dans sa maison de campagne. Pour justifier cette présence que sa femme pourrait trouver bizarre, il propose en même temps à son ami Robert de venir passer le week-end, à charge pour lui de faire passer Brigitte pour sa propre maîtresse. Cascade de quiproquos et coups de tonnerre inattendus !20 h 30, salle Jeanne-D’Arc de Mûr-de-Bretagne. Représentations le dimanche 25, à 14 h 30 ; le vendredi 30 et le samedi 31, à 20 h30 ; le dimanche 1er février, à 14 h 30.Tarif : 6 €/ Gratuit pour les moins de 12 ans.Renseignements au 02 96 28 93 53.Courriel : [email protected]

Vendredi 16 janvierStradivariasQuatre musiciennes madrilènes virtuoses aux voix envoûtantes mêlent séduction, humour et comédie dans un show irrésistible . Avec talent et aplomb, elles traitent des sentiments et des travers humains tout en osant lier des partitions classiques à tout style de musique, de la soul à la pop en passant par le rock, le blues, le baroque ou le flamenco. Schubert fu-sionne ainsi avec The Police, Beethoven avec Stevie Wonder, Rossini avec Queen, Pergolèse avec The Platters… C’est tout simplement réjouissant !20 h 30, palais des congrès de Pontivy.Plein tarif : 11,40 € / 8,40 € ; Sur réservation : 9,90 € / 6,70 €.Réservations au 02 97 25 06 16.Courriel : [email protected]

Samedi 17 janvierRetour sur scène des Gwenn ha DuLe public va pouvoir retrouver sa troupe de théâtre sur la scène de la salle polyvalente. Ils seront sept pour jouer « Un petit dîner à deux », une pièce de Gérard Levoyer. 20 h 30, à la salle polyvalente de Moustoir-Ac. Représen-tations supplémentaires : samedi 31 janvier et 7 février, à 20 h 30 ; dimanches18 janvier et 1er février, à 14 h 30. Tarif : 4 €.

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spectacleDimanche 25 janvierCher EdouardLa Corn’Amuse joue la pièce «Cher Edouard» de Bruno Druart. La veille de quitter le Grand hôtel, Edouard, maître d’hôtel stylé, retrouve la volcanique Maud, le grand amour de sa vie, quitté plus de 25 ans plus tôt. Lui aspire à une vie pai-sible, elle souhaite vibrer d’une nouvelle passion exaltée. Pas facile, les rapports ! Sans compter un entourage turbulent qui se mêle de tout, embrouille tout.Il y aura de la casse dans ce trois étoiles.14 h 30, salle des fêtes de Plumieux. Seconde représentation, samedi 31 janvier à 20 h 30.Tarif : 5€/ Gratuit pour les moins de 12 ans.Renseignements au 02 96 28 93 53.Courriel : [email protected]

Théâtre en gallo par la troupe Les PréchousLa troupe de Théâtre en Gallo, Les Pre-chous présente trois pièces adaptées en gallo : « A l’hôtel » de Levin. Une voyageuse inquiète qui demande à être rassurée ; « La pluie » de Dubillard. La pluie, c’est un vrai sujet de conversation ; « La demande en mariage » de Tchékhov. Une demande pleine de rebondissements.15 h, salle des fêtes de La Prenessaye. Tarif 5 €/ Gratuit pour les moins de 12 ans.Renseignements au 02 96 28 93 53.Courriel : [email protected]

L’école manque d’aventureVidéo, débat et partage sur des expé-riences au Népal et au Maroc avec René Audrain.15 h, salle des fêtes de Sainte-Brigitte.Gratuit.

Vendredi 30 janvierMarino MapihanDe sa voix fruitée, tendre ou facétieuse, Marino interprète de suaves com-plaintes comme de jolis airs à danser. Quelques instrumentaux servis par de talentueux musiciens, complètent l’ensemble.20 h 30, au Théâtre des Halles de Pontivy.Tarifs : 6,70 € / 2,30 €.Réservations au 02 97 25 06 16.

Courriel : [email protected]

Samedi 31 janvierMusiques et chants du mondeAlifAvec Alif, il n’est plus question de parler de tradition, mais de musique vivante, portée par des artistes passionnés qui composent en toute liberté un langage musical univer-sel, hors et sans frontière. À la croisée des inspirations venues de l’Inde, du Maghreb et de la Guinée, Alif est un dépaysement total et magique…20 h 45, salle culturelle Kastell d’Ô, à Uzel.Tarif plein : 15 €/ Tarif réduit : 12 €. Tarif abonné : 10 €/ Tarif enfant : 4 €.Réservations au 09 62 08 39 53.Courriel : [email protected]

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Mardi 6 janvier Iranien Iranien athée, le réalisateur Mehran Tamadon a réussi à convaincre quatre mollahs, partisans de la République Islamique d’Iran, de venir habiter et discuter avec lui pendant deux jours. À 20 h 30, en présence du réalisateur, Mehran Tamadon.

Dimanche 11 janvier Petite leçon de cinéma autour du cinéaste : Joseph L Mankiewicz11 h : Chaînes conjugales.14 h : Conférence de Roselyne Quemener.15 h 30 : L’Aventure de Madame Muir.17 h 30 : La comtesse aux pieds nus.Tarifs : Pass 3 films : 12 € / Le film : 4,50 €.

Lundi 19 janvierTimbuktuNon loin de Tombouctou tombée sous le joug des extré-mistes religieux, Kidane mène une vie simple, entouré de sa famille. En ville, les habitants subissent, impuissants, le régime de terreur des djihadistes qui ont pris en otage leur foi. Fini la musique et les rires, les cigarettes et même le football...Séances à 13 h 45 et 20 h 45, avec intervention de Morgan Pokée.Tarif : 4,50 €.

Dimanche 8 févrierPetite leçon de cinéma autour du cinéaste : Orson WELLES 11 h : Othello.14 h : Conférence de Roselyne Quemener.15 h 30 : Macbeth.17 h 30 : Citizen Kane.Tarifs : Pass 3 films : 12 € / Le film : 4,50 €.

Mardi 10 février Le cirqueCiné lecture en partenariat avec la médiathèque.10 h 30 : lecture de contes et film Eugéniode J-Jacques Prunes.Pour les 3 à 6 ans Tarif : 3,50 € .

14h : lecture de contes et film Le Cirque de Charlie Chaplin.Tarif : 3,50 € (à partir de 7 ans).

Mercredi 25 ou jeudi 26 février à 20h (date à confimer)Of Men and war Documentaire français de Laurent Bécue-Renard, 2h22. Ils reviennent d’Irak ou d’Afghanistan. Le re-tour au pays est une longue et douloureuse errance. Partis combattre pour l’Amérique, les douze guerriers de Of Men and War (Des hommes et de la guerre) sont rentrés du front sains et saufs mais l’esprit en morceaux, consumés de colère, hantés par les réminiscences du champ de bataille. En présence du réalisateur Laurent Bécue-Renard.Séance à 20 h.

Quai des Images9, bd Victor-Étienne - 22600 Loudéac

02 96 66 03 40www.cinemaquaidesimages.org

Le cinéma au Quai des Images

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musique Citizen Kane d’Orson Welles

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Dimanche 22 février A vos souhaits !Un richissime romancier est foudroyé chez lui par une crise cardiaque. Le testament n’est pas encore ouvert que les héritiers (avides et peu chagrinés) donnent le ton de ce vaudeville aussi cocasse que féroce. Une bonne aussi innocente que désopilante, une jeune veuve vite joyeuse (Nadège Lacroix), une fille (Alexandra Kazan) mariée à un gendre faux-jeton (Bernard Menez), un voisin qui veut en profiter pour agrandir son appartement, sont autant de person-nages cyniques et savoureux qui font une joyeuse ronde intéressée autour d’un cercueil pas encore fermé… avec un mort… pas si mort !Une comédie jubilatoire, à ne pas rater !17 h, palais des congrès et de la culture de Loudéac. Tarif A : 20 € / 24 € / 27 €.Réservations au 02 96 28 65 50.Courriel : [email protected]

Vendredi 6 février Théâtre du TotemLe joueur« Si je joue, il est impossible qu’à la longue je ne gagne pas. » Jusqu’où est prêt à aller Florindo pour assouvir son vice pour le jeu ? Son entourage réussira-t-il à le sortir de son addiction ? Après « L’épreuve » de Marivaux, le Théâtre du Totem renoue avec les écritures vives et enlevées des comédies classiques, en adaptant cette pièce de Goldoni teintée de suspense et de rebondissements, qui nous entraîne dans la fièvre et l’enfer du jeu...20 h 45, palais des congrès et de la culture de Loudéac. Tarif B : 7 € / 11 € / 14 €.Réservations au 02 96 28 65 50.Courriel : [email protected]

Vendredi 13 févrierLe duo HilennVenez découvrir ce duo exceptionnel. Xavier Hervo et Pierre Rouillé vous feront découvrir leurs étonnants uilleann-pipes, ces atypiques cornemuses irlandaises.18 h 30, médiathèque de Locminé.Gratuit, participation libre.Renseignements au 02 97 61 01 70.Courriel : [email protected]

Samedi 14 févrierDîner-spectacleCostic et des surprisesEn invitant le chanteur-imitateur Costic, Kastell d’Ô compte déjà sur la participation d’invitées de marque : Mylène Farmer, Cé-line Dion, Dalida ou Shakira, entre autres… Toutes ces personnalités seront interprétées en direct par l’ « incroyable talent » breton dé-couvert en 2013 à la télévision, qui a gagné la sympathie du public comme la reconnais-sance du jury dans l’émission du même nom. Cuisine, chanson, transformisme, humour et arts du cirque : un menu copieux qui attend un public gourmand de découvertes crous-tillantes et de plaisirs variés !19 h 30, salle culturelle Kastell d’Ô, à Uzel.Tarif plein : 35 €/ Tarif réduit : 30 €/ Tarif abonné : 30 €/ Tarif enfant : 12 €.Réservations au 09 62 08 39 53.Courriel : [email protected]

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Rencontres poétiquesAu fil des voix de Sainte-Bri-gitte et de ses environs...Poésies Créée, dites et chan-tée par Soizig Germain.15 h, église de Sainte-Brigitte.Gratuit.

Vendredi 27 févrierLe JoueurUn homme, à qui tout devait sourire, promis à un avenir tout tracé, se fait dépouiller au jeu. Persuadé de pouvoir se refaire, il va alors perdre pied et sombrer peu à peu. Manipulation, mensonge, duperie, rien ne l’arrêtera ! Le Théâtre du Totem renoue avec les écritures vives et enlevées des comé-dies classiques, en adaptant une pièce de Goldoni qui nous entraîne dans la fièvre et l’enfer du jeu...20 h 30, palais des congrès de Pontivy.Plein tarif : 11,40 € / 8,40 € ; Sur réservation : 9,90 € / 6,70 €.Réservations au 02 97 25 06 16.Courriel : [email protected]

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Lycée Samedi 17 janvier 10h00-17h00Kerlebost Samedi 14 mars 14h00-17h00 www.lyceekerlebost.fr Pontivy Lycée Joseph Loth Vendredi 13 mars 17h00 - 20h00 www.lycee-loth.fr Pontivy Samedi 14 mars 09h00 - 13h00 Lycée Jeanne d’Arc Samedi 17 février 09h00 - 12h00 Lycée St Ivy Vendredi 27 février 17h00 - 21h00 www.lycee-jeannedarc-saintivy.com Pontivy Samedi 28 février 09h00 - 13h00 IFS I Samedi 24 janvier 10h00 -17h00 Pontivy

Lycée Le Gros Chêne Samedi 28 février 09h30 - 17h00Pontivy Samedi 14 mars 09h30 - 17h00 www.legroschene.fr IUT – UBS Samedi 31 janvier 10h00 - 17h00 www-iutlorient.univ-ubs.fr Pontivy Samedi 7 mars 09h30 - 17h30

Lycée Vendredi 6 février 16h30 - 20h30 Fulgence Bienvenüe Samedi 7 février 09h00 - 12h30 www.lycee-fulgence-bienvenue-loudeac.ac-rennes.fr Loudéac

Lycée Vendredi 30 janvier 15h30 - 19h00 et CFA du Mené Samedi 7 mars 09h00 - 17h00 www.lycee-merdrignac.educagri.fr Merdrignac Vendredi 22 mai 13h30 - 18h30

Lycée Vendredi 6 mars 17h00 - 21h00 Saint Joseph Samedi 7 mars 09h00 - 13h00 www.saintjosephloudeac.fr Loudéac MFR Samedi 31 janvier 09h00 - 17h00 Loudéac Samedi 14 mars 09h00 - 17h00 www.mfr-loudeac.asso.fr

TOUS AUX PORTES OUVERTES 2015

BTS Technico-commercial (TC)“Produits alimentaires/Boissons”

“Vins et spiritueux” “Produits agrofournitures”

BTS Management des Unités Commerciales (MUC)BTS Assurance

BTS Banque «Conseiller de Clientèle»

BTS Négociation relation Client (NRC)BTS Tourisme

Diplôme Etat InfirmierDiplôme Etat Aide Soignant

BTS Analyse et Conduite des Systèmes d’Exploitation (ACSE)BTS Sciences et Technologie des aliments (STA)

BTS Analyses Biologiques et Biotechnologiques (Anabiotech)

DUT Génie Chimique - Génie des Procédés (GCGP)Licence Pro Contrôle Qualité des Produits Alimentaires (CQPA)

Licence Pro Procédés de Traitement et Valorisation des Rejets (PTVR)

BTS Maintenance des Systèmes (MS) option Production

BTS Comptabilité et Gestion des Organisations (CGO)

BTSA Technico-Commercial (TC) “Végétaux d’ornement et jardin animalerie”“Produits alimentaires et agrofournitures”

BTS Commerce International (CI)

BTSA “Génie des équipements agricoles”

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Le « zoo-circus » Venez-vous émerveiller devant cette ma-quette représentative des grands cirques itinérants des années soixante avec le chapiteau aux couleurs jaune et rouge, les tentes de la ménagerie, une cinquantaine de véhicules, personnages et animaux, le tout entièrement réalisé par Bernard Bodiguel, passionné de cirque. Réalisée à l’échelle 1/30ème, elle couvre une superfi-cie de 12 m2. Le visiteur pourra également voir diverses pièces de collection, affiches murales et affichettes magasin de la fin du XIXème siècle à nos jours, programmes, jouets et jeux, figurines, gravures, livres et vaisselle. Du 13 janvier au 7 février, exposition de Bernard Bodiguel, collectionneur.

Le cirque vu par Modul’Arts Exposition des travaux des élèves de l’association Modul’Arts.Du 10 au 21 février.

L’Heure du Conte Spécial CirqueLe temps d’une histoire, plongez dans l’univers magique du cirque ! Mercredi 28 janvier, 15 h (dès 6 ans).

C’est tout un cirque !Une petite histoire du cirque vu par le cinéma ou le cinéma qui plante son décor sous le chapiteau. Du clown à l’acteur burlesque il n’y a qu’un pas ou un tour de manivelle.Samedi 31 janvier, 15 h.

Ateliers d’initiation aux arts du cirque Animés par Céline Glossin de « Et Hop Cirque ».Atelier de portés parents-enfants : 10 h 30 - 12h, (à partir de 5 ans).Ateliers de découverte du jonglage et de l’équilibre sur objets : 14 h 30 - 16 h ( 7-9 ans) et 16 h-17 h (3-6 ans).Mercredi 11 février. Gratuit. Sur inscription.

Atelier « Faîtes le clown ! » Pour une fois, vous avez le droit de faire le clown dans la médiathèque. Mais au fait, c’est quoi faire le clown ? Ateliers images et sons, multimédia et gravure.Mercredi 18 février, à 15 h. Gratuit. Sur inscription, (dès 6 ans).

«Les Filles de Jésus dans la guerre 14-18» Une exposition retraçant la vie de la congrégation des Filles de Jésus pendant la guerre 14-18 est visible à Kermaria. L’occasion de rendre hom-mage aux sœurs et aux Poilus. Si aujourd’hui, les sœurs, qu’elles soient au Canada, en Amérique latine ou en Afrique, œuvrent pour le soutien scolaire, l’éducation ou la santé, en 1914, elles partageaient déjà le quotidien des populations. Lors de La Première guerre mondiale, elles tra-vaillaient au champ pour remplacer les hommes partis sur le front et endossaient le rôle d’infir-mières auprès des soldats blessés. Sœur Emma L’Helgouarch, responsable des archives à Ker-maria, a retrouvé lettres, documents d’époque, photos et objets du siècle dernier. Un diaporama complète cette visite pour le public.

Kermaria à Plumelin. Jusqu’au mois de Novembre 2015Visite mardi et jeudi, de 10 h à 17h (groupes sur réservation). Mercredi, samedi et dimanche, de 14 h à 18 h . Tous publics. Gratuit.Renseignements : 02 97 61 01 17.

Expo

La MAGIEdu CIRQUE

Médiathèque de Loudeac

AGENDAculturel

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Près de 7 millions d’euros d’investissement, une salle multisports de 1144 m2 dotée de 1200 places assises, une salle d’arts martiaux, un mur d’escalade, une salle de musculation, des vestiaires... Le tout dans un superbe complexe respectueux de l’environnement aux lignes futuristes. Ainsi se présente le Palais des sports de Loudéac que la population vient de découvrir.

«  Avec ce nouveau complexe sportif, Lou-déac confirme son dynamisme et sa vo-lonté de modernité. Cette réalisation fera la réputation de la ville et renforcera son attractivité. » Maire et conseiller général, Gérard Huet reste convaincu que sa muni-cipalité a vu juste, en 2008, en faisant de ce projet le phare de son programme. « Cet équipement sera une véritable vitrine spor-tive pour la ville. La position géographique centrale de Loudéac est un atout pour l’organisation de compétitions de haut niveau.  » Des événements dont les élus attendent des retombées économiques « non négligeables » pour les commerces, les hôtels et les restaurants. Notamment grâce à la présence des spectateurs pen-dant plusieurs jours.

Le maire est convaincu que le rayon de son phare d’attraction sera au moins aussi visible que celui d’Ouessant  : «  Le Palais des sports va accroître le rayonnement des clubs loudéaciens et faire connaître Loudéac au niveau régional, voire national au même titre qu’Aquarev retenu pour le concours national « Victoires du paysage ». 

Un concours nationalÀ l’image de ceux de la mer d’Iroise, le nouveau phare de Loudéac ne doit rien au hasard. Voté par le conseil municipal le 6 mai 2010, il a été validé comme le prévoit la loi par un concours national d’architectes auquel 45 cabinets de l’Hexagone ont par-ticipé. Trois ont été retenus par le jury com-posé d’élus et d’architectes désignés par

leur conseil de l’Ordre. Le trio sélectionné a planché sur le projet pendant un mois et au final, c’est le cabinet Bohuon-Bertic, de Rézé (Loire-Atlantique) qui l’a emporté à une belle unanimité.Selon Serge Bertic, architecte associé à Yan-nick Bohuon, la forme atypique du Palais ne fait pas seulement son originalité  : « Cette géométrie permet de régler notam-ment des problèmes de son, de lumière et de liaison entre les espaces. Ainsi, le pla-fond bas du hall accentue la grandeur de la salle multisports. Les puits de lumière circu-laires permettent d’obtenir des effets plus lu-diques. » Dans le même esprit, les vestiaires ne sont pas, comme trop souvent, confinés au sous-sol : «  La configuration du terrain a permis une réalisation en rez-de-jardin. »

ÉQUIPEMENTS

Palais des sportsLe phare d’attraction de Loudéac

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Et dans le phare du Palais sportif, lignes futuristes riment joliment avec respect de l’environnement. Les sanitaires sont ali-mentés par de l’eau de récupération, stoc-kée dans une cuve installée sous une tri-bune. Sur le parking, des fossés permettent le traitement des eaux pluviales encore renforcé par le bassin tampon aménagé en bordure de la rue Camille-Claudel. Pour le chauffage et l’eau chaude, le complexe est raccordé à la chaufferie intercommunale au bois. Outre les puits de lumière, la toile tendue du plafond de la salle multisports diffuse une lumière filtrée très agréable, moins aveuglante pour joueurs et specta-teurs. Cerise sur le gâteau, la toiture végé-talisée de haute qualité environnementale (HQE) de la salle des arts martiaux permet d’intégrer au mieux le nouveau bâtiment dans son environnement.Pour les sportifs, difficile dans un tel écrin, de faire dans l’à-peu-près. À lui seul, le Pa-lais invite au meilleur et en offre les condi-

tions, comme le note avec un large sourire Pierre Puntelli, président de l’amical laïque handball : « Avec la montée en Nationale 2 de l’équipe 1 senior, cette salle arrive au moment où nous en avons vraiment be-soin. » Présidente de la section artistique, Nadine Gloux ne boude pas son plaisir  : « Ce sera un outil très appréciable. Oublié le manque d’espace pour les compétitions à La Rocade. Les vestiaires sont plus grands et les dégagements appréciables. »

Des nouvelles vocationsLe milieu scolaire est par ailleurs aussi concerné qu’enthousiaste, à l’image de Thomas Clézio, enseignant au lycée Ful-gence-Bienvenüe  : «  Cette nouvelle salle est adaptée et très agréable. Nous allons pouvoir élargir les activités, refaire de l’esca-lade et nous atteler aux sports de combat. »Président d’Escal’Armor, le club d’esca-lade loudéacien, Pascal Ruffault attend, de son côté, plus qu’un second souffle,

une véritable renaissance  : «  C’est un peu Noël sous le sapin... Le club a perdu la moi-tié de ses licenciés en deux ans depuis la suppression du mur de la salle du lycée. Les déplacements à Guerlédan ont eu raison de l’assiduité de certains. Nous comptons aujourd’hui près de 50 licenciés. Je suis certain que cette belle salle va révéler de nouvelles vocations. »Professeur de karaté, Bruno Pascaud est aussi dithyrambique : « Un confort d’entraî-nement avec des conditions optimales. » Pour la route, un dernier compliment d’Oli-vier Pichon, président de l’Aïkido-club  : « C’est magnifique d’avoir une salle dédiée aux arts martiaux. Une structure idéale pour notre pratique. »C’est donc déjà vrai. Il éclaire très fort à proximité le nouveau phare de Loudéac. Et il se verra sans doute rapidement de loin... De très loin.

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Près de 7 millions d’eurosLe Palais des sports a coûté hors taxes 6,9 M€, dont 1,63 M€ de subventions qui se répartissent comme suit :• 375 000 € du conseil régional• 300 000€ de la Cidéral• 187 000 € du conseil général des Côtes-d’Armor• 50 000 € de la réserve parlementaire de Marc Le Fur, député• 18 000 € de la fédération française montagne escalade.

Inauguration sportive le 10 janvierEscal’Armor, Judo club, Aïkido club, Karaté club, Amicale laïque handball, centre Body form... Toutes les associations sportives utilisatrices du Palais des sports seront de la partie, le samedi 10 janvier, de 10 h à 21 h, à l’occasion de la journée, gratuite et ouverte à tous, consacrée à l’inauguration sportive du nouveau complexe sportif.Les associations proposeront chacune une démonstration de leur discipline et ont promis de « belles surprises ».La journée se terminera par un match de gala de handball Pro D1 opposant Cesson-Sévigné à Tremblay-en-France.

Page 32: Ici et là magazine - Numéro 4

Les GuerzailleL’humour de chez nous en familleConnu et reconnu bien au-delà du Centre Bretagne, Marie Guerzaille a l’humour communicatif. Si à 57 ans il continue d’écumer les scènes, sa fille, la Guerzaillette, et son fils, le Guerzaillou, ont choisi de suivre le même chemin. Ils proposent désormais chacun leur spectacle. Et ça marche.

Le hasard écrit parfois de belles histoires. Celle de Jean-Loïc Le Marchand est de celles-là. L’exploitant agricole de Saint-Caradec qui n’a pas 30  ans, est plutôt un timide. Alors forcément lorsqu’un soir d’hiver, au début des années 80, on lui demande de remplacer son beau-frère et de jouer un petit rôle dans la pièce d’une troupe de théâtre de Saint-Thélo, le jeune homme hésite. Mais il accepte. Et c’est la révélation. «  Je me suis découvert, recon-naît-il aujourd’hui. Je devais dire quatre phrases, j’en ai dit au moins dix fois plus. » Il intègre immédiatement la troupe et de-viendra même président de l’association. Quelques années plus tard, un soir de février 1987, c’est encore le hasard qui va lancer la carrière de cet acteur qui n’est encore qu’amateur. La troupe refuse d’aller

jouer à Saint-Guen. Jean-Loïc a donné sa parole, il la tiendra. Seul sur scène, il inter-prète des sketches d’humoristes connus et quelques textes qu’il a écrits. L’accueil est enthousiaste et sa décision irrévocable : désormais, il jouera seul sur scène.

Plus d’un millionde spectateursIl se lance dans l’écriture et donne vie à des personnages comme Joseph Reniflard, le facteur, ou à des lieux comme le village de Kerbistou. Au fil des années, ils devien-dront le fil rouge d’un spectacle sans cesse renouvelé. Secondé en régie comme en coulisse par son épouse Christine, il se produit dans les salles de la région. Le suc-cès est, à chaque fois, au rendez-vous. « Je pense qu’il s’explique par ma simplicité,

admet-il. Je fais partie du monde rural et je le respecte. En évoquant des sujets de la vie quotidienne, je défends la ruralité. Surtout, je ne suis jamais vulgaire car s’est trop facile d’être au-dessous de la ceinture ou agressif. » Et cet humour que certains qualifient, avec une condescendance cer-taine, de « rural », s’exporte bien. Et même très bien. Depuis presque trois décennies, Marie Guerzaille a ainsi joué dans 27 départements du grand ouest et totalise aujourd’hui plus d’un million de specta-teurs  ! Mais l’exploitant agricole qu’il est toujours, n’a pas changé. «  Quand il faut travailler le lundi matin après avoir joué devant 2 500 personnes le week-end, on revient vite à la réalité, tempère-t-il. Je ne suis pas du genre à avoir les chevilles qui gonflent. D’ailleurs si c’était le cas, je ne

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CULTURE

Page 33: Ici et là magazine - Numéro 4

pourrais plus mettre mes bottes. »Respectivement âgés de 33 et 26 ans, San-drine et David, les deux enfants du couple Le Marchand, ont forcément baigné dans cette atmosphère dès leur plus tendre jeu-nesse. « Pour des enfants, c’était magique. Nous adorions le suivre en tournée et l’aider à se maquiller ou à s’habiller  », se souviennent-ils. Mais l’un comme l’autre ne vont pas se contenter très longtemps du rôle de spectateur. L’envie de brûler, eux aussi, les planches, les titille forcément. Mais même si le ridicule ne tue pas, il ne s’agit pas de se louper car Marie Guerzaille a tout de même placé la barre très haut !Pendant trois ans, ils vont donc se prépa-rer. Aider par leurs conjoints respectifs, Cédric et Sabrina, il vont ainsi peaufiner les sketches et inventer une machinerie par-fois très sophistiquée. Quant à leur nom de scène, la filiation l’impose : pour Sandrine ce sera La Guerzaillette et pour David, Le Guerzaillou. Ici, le « made in chez moi » est la règle de base. Surtout, depuis que les deux jeunes humoristes ont décidé de se consacrer exclusivement à la scène en quittant défi-nitivement leurs activités professionnelles de secrétaire et de commercial. Mais si l’écriture demeure un exercice solitaire, la tribu se reforme immédiatement lorsqu’il s’agit de tester les créations. « Et ce n’est pas le plus facile car les jugements sont sans concession », expliquent-ils en chœur.Si leurs spectacles respectifs sont forcé-ment frappés de la marque de fabrique déposée au fil des années par Marie Guer-zaille, chacun a su évoluer avec ses spécifi-

cités. Et là encore, pour l’une comme pour l’autre, le succès est au rendez-vous.

« Mépris des cultureux »Chaque week-end, au volant de leurs semi-remorques respectifs, qui contiennent chacune plusieurs tonnes de matériel, les trois artistes et leurs conjoints prennent des routes différentes pour honorer leurs contrats. Compte tenu de la demande, ils peuvent même se permettre le luxe de choisir les associations pour lesquelles ils souhaitent jouer. Il est vrai que ces der-nières savent qu’elles feront quasiment à chaque fois salle comble et qu’il faudra même souvent rajouter une séance.Pour Marie Guerzaille, depuis déjà très longtemps ; pour la Guerzaillette et le Guerzaillou depuis moins de temps... Le succès populaire est évident. Mais ils ne parviennent pas pour autant à se détacher d’un préjugé qui a la vie dure.

« Visiblement nous n’appartenons pas au monde de la culture, regrettent-ils. Même si nous remplissons les salles, il y a une espèce de mépris des «cultureux» à notre égard. »

Si les trois humoristes en souffrent sans doute un peu, cela ne les empêche assu-rément pas de continuer de travailler et de faire évoluer leurs spectacles. «  Nous sommes là pour apporter du bonheur et du sourire aux spectateurs » résument-ils. Et les spectateurs peuvent être rassurés car la famille n’est sans doute pas près de s’arrê-ter. La fille de la Guerzaillette, Laura, qui n’a encore que huit ans, participe en effet déjà aux spectacles de sa maman avec une assu-rance déconcertante. Décidément, l’esprit Guerzaille se transmet de génération en génération. Et le rire suit...

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Page 34: Ici et là magazine - Numéro 4

Du 2 au 13 février à Pontivy :Le festival

des Gamineries

Au début du mois de février, la cité pontivyenne va vivre au rythme de la 9e édition du festival des

Gamineries. Théâtre, marionnettes, concert ou encore magie... Il y en aura pour tous les goûts et tous les

âges et chacun devrait pouvoir trouver son bonheur parmi les 15 spectacles inscrits au programme.

Lundi 2Le village des petites bouclesUn clavier, une pédale de boucles, quelques instruments-jouets, et nous voici plongés dans le petit monde de Mami Chan, à la voix singulière et aux chansons polyglottes.Par la compagnie Armada.9 h 15 et 10 h 30,  au  théâtre des Halles,  (à partir de 4 ans).

Juliette + Roméo = AESDAprès «Super Hamlet», voici un Shakespeare passé à la moulinette des formes, de la réduction de texte et de l’in-solence... Le tout pour le jeune public. Quoique...Par Scopitone et Compagnie.9 h 30 et 14 h 30, au palais des congrès,  (à partir de 8 ans).

Mardi 3Sur le bancDeux silhouettes bien dessinées, aux mains chargées de valises, choisissent par hasard le même banc public. Entre deux rendez-vous, entre deux trains, elles vont devoir par-tager un espace, une histoire.Par la compagnie Girouette.9 h 30, au théâtre des Halles, (à partir de 3 ans).

Enfablées, le monde merveilleux des fables de La FontaineDeux personnages trouvent un livre... d’où sortent un corbeau puis un renard ! Le livre les avale et nos deux créatures sont plongées dans le monde merveilleux des «Fables» de La Fontaine. Par la compagnie Carabitabouilles.14 h 30, au palais des congrès, (à partir de 4 ans).

Mercredi 4GastonC’est l’histoire d’un voyage avec la musique comme ba-gage... Neuf musiciens qui prennent la vie au fil d’un crayon qui s’enfuit.Par la compagnie Fatras.14 h 30, au théâtre des Halles, (à partir de 8 ans).

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JEUNESSE

Jeudi 5Legum’secFantaisie sensorielle avec petites graines et légumes secs... Pour petites oreilles et petits doigts, dès 3 mois.Par héliotrope Théâtre.9 h 45 et 11 h, au palais des congrès, (dès 3 mois).

Spectacle de magiePar la compagnie Santini.9 h 30 et 14 h 30, au théâtre des Halles, (à partir de 7 ans).

Vendredi 6Le Grand bazarLes grands gamins du Weepers Circus sont retombés en enfance, ils ont décidé de revisiter avec un plaisir évident l’univers des chansons enfantines.Par les Weepeers Circus.14 h 30, au palais des congrès.

Samedi 7MédiévalReprenant les passages significatifs de l’histoire de France, de la chute de l’empire romain aux débuts du XVIe siècle, la pièce se partage en différentes époques rythmées par un duel oral entre la Mort et le Fou.Par la compagnie Via Cane.20 h 30, au palais des congrès, (à partir de 7 ans).

Dimanche 8Brigitte, la brebis qui n’avait peur de rienBrigitte est très gourmande et elle n’a peur de rien... Même pas du loup. Le loup ! Quel loup ? Jamais vu !Par la compagnie Troupuscule.15 h et 17 h, au  théâtre des Halles,  (à partir de 3 ans).Lu

Lundi 9La succulente histoire de Thomas FarcyPrenez une marmite, plongez-y une carotte et un saucisson. Puis épluchez délicatement une banane en retenant vos larmes lors de l’éminçage de l’oi-gnon. Mangez des choux et sacrifiez une courgette. Bienvenue dans l’affaire Thomas Farcy.Par la compagnie A la thé, à la rue.10 h 30 et 15 h, au palais des congrès, (à partir de 5 ans).

Mardi 10En plein dans l’œilCiné-concert Mélies. Des pépites cinématogra-phiques qui fonctionnent à merveille et des effets spectaculaires qui subjuguent les enfants.Par Alcoléa et compagnie.10 h 30 et 15 h, au palais des congrès, (à partir de 5 ans)

Mercredi 11Mamine ThéoCe personnage malicieux nous invite à parler de la pluie et du beau temps... et de la création de notre univers ! Il nous fait vivre sa fascination du cosmos, pour nous conduire à la révélation d’un secret.Théâtre des Dominos.15 h, au palais des congrès, (à partir de 5 ans).

Jeudi 12Marrons et châtaignesDe champignons en prunes molles, d’écorce brune en feuilles rousses, une farandole de chansons nous promènent dans une belle atmosphère forestière.Production Nid de coucou.15 h, au palais des congrès, (à partir de 4 ans).

Vendredi 13Petit BonhommeUn spectacle de théâtre masqué visuel et sans texte, à la fois tendre et drôle.Par la compagnie Démons et Merveilles.10 h 30, au palais des congrès, (18 mois à 4 ans).

Réservation Par téléphone : 02 97 25 06 16

Par mail : [email protected] unique : 2,50 €

Page 35: Ici et là magazine - Numéro 4

MOUSTOIR-REMUNGOL31 janver – 20h30Salle des fêtes

LOCMINE29 janvier – 14hLa Maillette

PLUMELINdate à définir – 20h30Salle des fêtes

Résidence d’artiste : Cie Gilschamber - «Trace»

Cie Paradoxewww.paradoxes.over-blog.org

« Femmes de fermes »

Théâ

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Dans

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Cie Gilschamberwww.gilschamber.com

« Intrusion » - création 2014 Théâ

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Le spectacle s’invite

chez vous (au pays de Pontivy)

Renseignements :02.97.27.86.66

[email protected] - www.pays-pontivy.fr facebook : [email protected]

Mutualiser la diffusion de spectacles vivants professionnels et l’action culturelle

Mil Tamm mène une mission de soutien à la création en s’as-sociant aux réseaux culturels régionaux et nationaux dans le choix des projets soutenus afin de mener une politique de coproduction de projets artistiques afin d’ancrer un temps de travail d’artistes professionnels sur notre territoire per-mettant de tisser des relations entre les artistes et les ha-bitants.

En mars 2011 la compagnie Paradoxe(s) créée un spectacle à partir d’un essai sociologique sur la vie des femmes à la ferme.Mêlant confessions, anecdotes et scènes de la vie de tous les jours, trois comédiennes donnent vie à de multiples figures féminines que l’on peut croiser dans les fermes d’hier et d’aujourd’hui : l’amour, les enfants, les vaches, la lessive, les comptes… Toutes les générations sont représentées et ces témoignages dressent un portrait juste et émouvant de la condition paysanne et féminine en pleine mutation. Dès 15 ans

L’Intrusion est un éloge de la danse écrite qui réinterroge par une gestuelle contemporaine une tradition académique. Les corps des interprètes partagent une même énergie. Les solos, duos et trios, animés par une vie organique qui leur est propre, font sur-gir sur scène des êtres hybrides qu’on pourrait croire issus du chaos primordial. Le public est ainsi transporté dans un autre monde, celui de l’émergence de la singularité.

La comédienne et conteuse Katia Belalimat nous embarque dans son univers, entre contes traditionnels et brèves de vie. « No-made si j’veux » c’est : • quatre histoires qui commencent par quatre vérités et finissent par trois mensonges. • quatre histoires qui parlent du temps, d’avant et de maintenant, de hyène, de mou-ton, de dinosaure, d’ogresse, de génies des sables. • quatre histoires qui parlent de la vie par Serge Boulier et Katia Belalimat.Spectacle poétique pour toute la famille dès 4 ans.

« Nomade si je veux »Cie Bouffou théâtrewww.bouffoutheatre.com

Gilles Schamber choisit de créer une suite à L’Intrusion, une pièce pour trois danseuses et un danseur pour explorer la permanence de la trace, la survivance de l’expérience esthétique vécue par le public.D’un côté, une route jonchée de rencontres, d’accidents, d’aven-tures… de l’autre, le corps, la création, le spectacle vivant.« Mes outils créatifs sont des ventres, des dos, des visages, des bras, des jambes, des êtres, femmes et hommes qui me sont in-dispensables. Je souhaite laisser une empreinte du travail de ces danseurs afin de réveiller l’émotion, celle de ceux qui regardent, voient, entendent, perçoivent, sentent, comprennent... Bref, laisser une trace dans leurs chairs, leur espace émotionnel, juste un ins-tant. ». Gilles Schamber

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Les coups de cœur

Pontivy

Poulbots – François Prugne Ed. MargotAu cœur de la butte de Montmartre, été 1905, nous suivons cinq enfants pauvres, petits poulbots qui vont avoir maille à partir avec un promoteur immo-bilier véreux bien décider à les déloger de leur mare aux grenouilles. Cette fable met en lumière, à travers les aventures de ces cinq enfants, la pauvreté qui ré-gnait sur la butte à l’époque, mais de fa-çon légère. Frondeurs et gouailleurs, ils luttent pour préserver le peu qu’ils ont : leur terrain de jeu, leur coin de paradis.

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LIRE ET ECOUTER

Louis 1er, roi des Moutons - Olivier Tallec Ed. Actes Sud junior – dès 5 ansUne histoire pleine d’humour sur la question du pouvoir et de ses dérives servie par de jolies illustrations. Louis, un mouton semblable à tous les moutons de son troupeau, broute tranquillement dans le pré quand le vent apporte à ses pieds une couronne. La posant sur sa tête, il se rêve en Louis 1er, roi des moutons et se laisse griser par la folie des grandeurs. Mais son rêve cesse bien vite quand le vent emporte la couronne qu’il avait sur sa tête pour atterrir sur la tête du loup !! Aïe ! Une jolie fable ! Bénédicte

Le teckel – Hervé Le Bourhis Professeur CyclopeFaisons la connaissance du binôme de visiteurs médicaux formés par Guy Far-kas dit « le Teckel », le vieux de la vieille aux manières pas très catholiques, et, Jérémy Labionda, un jeune loup secrètement chargé par sa direction de surveiller les agissements de son aîné. Ils partent sur la route pour vendre la dernière génération de médicaments soupçonnés d’avoir causé des centaines de mort. Mais sur le terrain rien ne se passe comme prévu et les apparences sont parfois bien trompeuses. Drôle, piquant, cynique, Hervé Le Bourhis nous emmène là ou on ne s’attend pas. Bénédicte

Les Vieux Fourneaux T2 Lupano et Cauuet DargaudEnfin, le deuxième tome est sorti ! On se régale des aventures de ce trio de vieux briscards. Post-soixante-huitards coincés dans leurs utopies vieillissantes, ils se confrontent avec beaucoup d’hu-mour aux dysfonctionnements de notre société actuelle. Des dialogues drôles et désopilants, un graphisme très expressif et vivant qui nous rend ces personnages encore plus attachants. Bénédicte

ALISIK T1, T2, T3, T4 – VOGT et Rufledt Le Lombard (à paraître courant 2015)Un cimetière, la nuit, il fait froid et la jeune Alisik se réveille sans comprendre. Elle fait la rencontre de drôles de personnages qui lui ex-pliquent qu’elle est morte ! Alors pourquoi son âme erre-t-elle encore entre deux mondes ? Chaque fin de chapitre nous permet de rassembler les pièces du puzzle qui composent cette histoire. Le dessin est original avec ses allures de film d’animation, le couver-ture est soignée, et le vernis qui est apposé fait apparaître des détails supplémentaires. Un régal ! Déborah

Avonmore – Bryan Ferry BMGPour son 14ème album solo, Bryan Ferry n’a rien perdu de sa superbe : il renoue avec les valeurs qui ont fait son succès et celui de Roxy Music. Pour preuve ce nouvel album, voulu comme un retour aux sources. Un pop chic et intemporel, où l’artiste s’offre des invités de marque tels que Nile Rodgers, Mark Knopfler….

Moan Snake Moan - Bror Gunnar Jansson Normandeep Blues RecordsLe répertoire de Bror Gunnar Jansson explore à la fois le blues rugueux et primitif de Charley Patton et fait jouer la corde sensible sur de belles complaintes et ballades. Bror Gunnar Jansson possède un grain de voix habité et une intensité poignante.

13 à table ! PocketVoilà des nouvelles fraîches ! 13 auteurs sont ras-semblés ici pour notre plus grand plaisir. De la littérature d’aujourd’hui, de l’humour, du polar, des souvenirs personnels… Cela nous permet de découvrir ou redécouvrir des auteurs par une brève histoire avec un point commun : la nourriture. Abordée sous différents angles pour réjouir tout le monde, laissez vous emporter par ces histoires d’un instant. Déborah

Pour l’achat de ce livre, 3 repas sont distribués aux Restos du Cœur.

PRIX

Landerneau

BD

PRIX

Landerneau

Jeunesse

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Page 37: Ici et là magazine - Numéro 4

Palais des Congrès et de la CultureEspace Culturel Yves RopersBoulevard des Priteaux • BP 242 • 22602 LOUDEAC CedexTél. 02 96 28 65 50 • Fax 02 96 28 94 05 • [email protected] • www.facebook.com/loudeac.pccLicences d’entrepreneur de spectacles n° 1-1039836, 2-1077347 et 3-1077348

CirqueSamedi 10 janvier20 h 45Nouveau Cirque National de ChineAlice in Chinawww.gruberballetopera.com

DanseSamedi 24 janvier20 h 45Jeune Ballet EuropéenPuzzlewww.jeuneballeteuropeen.eu

ThéâTreVendredi 6 février20 h 45Théâtre du TotemLe joueurwww.theatredutotem.com

ThéâTreDimanche 22 février17 hBernard Menez Alexandra Kazan Nadège Lacroix...A vos souhaits !www.casejoue.com

MusiqueVendredi 20 mars20 h 45siiAnUn tour ailleurs, Mazar e Sharif / Philadelphiawww.siian.frEn première partie : eclats de VoixMoulin à sons

huMourVendredi 3 avril20 h 45Carole GuisnelManiac !

LiVres, aniMaTionsDu 7 au 11 avrilPrintemps des livresTronches de vie Tranches de vieSamedi 11 avrilSalon du livre

DanseSamedi 2 mai20 h 45 bi-p / Mickaël PhelippeauPour Ethanwww.bi-portrait.net

huMourJeudi 7 mai20 h 45Arnaud TsamereConfidences sur pas mal de trucs plus ou moins confidentiels (nouveau spectacle)www.arnaudtsamere.com

MusiqueVendredi 19 juinFête de la musique Centre-ville

Offrez des places de spectacles

Idéescadeaux

Loudéacsaison culturelle///1er semestre 2015

Les coups de cœur

Pontivy

Poulbots – François Prugne Ed. MargotAu cœur de la butte de Montmartre, été 1905, nous suivons cinq enfants pauvres, petits poulbots qui vont avoir maille à partir avec un promoteur immo-bilier véreux bien décider à les déloger de leur mare aux grenouilles. Cette fable met en lumière, à travers les aventures de ces cinq enfants, la pauvreté qui ré-gnait sur la butte à l’époque, mais de fa-çon légère. Frondeurs et gouailleurs, ils luttent pour préserver le peu qu’ils ont : leur terrain de jeu, leur coin de paradis.

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LIRE ET ECOUTER

Louis 1er, roi des Moutons - Olivier Tallec Ed. Actes Sud junior – dès 5 ansUne histoire pleine d’humour sur la question du pouvoir et de ses dérives servie par de jolies illustrations. Louis, un mouton semblable à tous les moutons de son troupeau, broute tranquillement dans le pré quand le vent apporte à ses pieds une couronne. La posant sur sa tête, il se rêve en Louis 1er, roi des moutons et se laisse griser par la folie des grandeurs. Mais son rêve cesse bien vite quand le vent emporte la couronne qu’il avait sur sa tête pour atterrir sur la tête du loup !! Aïe ! Une jolie fable ! Bénédicte

Le teckel – Hervé Le Bourhis Professeur CyclopeFaisons la connaissance du binôme de visiteurs médicaux formés par Guy Far-kas dit « le Teckel », le vieux de la vieille aux manières pas très catholiques, et, Jérémy Labionda, un jeune loup secrètement chargé par sa direction de surveiller les agissements de son aîné. Ils partent sur la route pour vendre la dernière génération de médicaments soupçonnés d’avoir causé des centaines de mort. Mais sur le terrain rien ne se passe comme prévu et les apparences sont parfois bien trompeuses. Drôle, piquant, cynique, Hervé Le Bourhis nous emmène là ou on ne s’attend pas. Bénédicte

Les Vieux Fourneaux T2 Lupano et Cauuet DargaudEnfin, le deuxième tome est sorti ! On se régale des aventures de ce trio de vieux briscards. Post-soixante-huitards coincés dans leurs utopies vieillissantes, ils se confrontent avec beaucoup d’hu-mour aux dysfonctionnements de notre société actuelle. Des dialogues drôles et désopilants, un graphisme très expressif et vivant qui nous rend ces personnages encore plus attachants. Bénédicte

ALISIK T1, T2, T3, T4 – VOGT et Rufledt Le Lombard (à paraître courant 2015)Un cimetière, la nuit, il fait froid et la jeune Alisik se réveille sans comprendre. Elle fait la rencontre de drôles de personnages qui lui ex-pliquent qu’elle est morte ! Alors pourquoi son âme erre-t-elle encore entre deux mondes ? Chaque fin de chapitre nous permet de rassembler les pièces du puzzle qui composent cette histoire. Le dessin est original avec ses allures de film d’animation, le couver-ture est soignée, et le vernis qui est apposé fait apparaître des détails supplémentaires. Un régal ! Déborah

Avonmore – Bryan Ferry BMGPour son 14ème album solo, Bryan Ferry n’a rien perdu de sa superbe : il renoue avec les valeurs qui ont fait son succès et celui de Roxy Music. Pour preuve ce nouvel album, voulu comme un retour aux sources. Un pop chic et intemporel, où l’artiste s’offre des invités de marque tels que Nile Rodgers, Mark Knopfler….

Moan Snake Moan - Bror Gunnar Jansson Normandeep Blues RecordsLe répertoire de Bror Gunnar Jansson explore à la fois le blues rugueux et primitif de Charley Patton et fait jouer la corde sensible sur de belles complaintes et ballades. Bror Gunnar Jansson possède un grain de voix habité et une intensité poignante.

13 à table ! PocketVoilà des nouvelles fraîches ! 13 auteurs sont ras-semblés ici pour notre plus grand plaisir. De la littérature d’aujourd’hui, de l’humour, du polar, des souvenirs personnels… Cela nous permet de découvrir ou redécouvrir des auteurs par une brève histoire avec un point commun : la nourriture. Abordée sous différents angles pour réjouir tout le monde, laissez vous emporter par ces histoires d’un instant. Déborah

Pour l’achat de ce livre, 3 repas sont distribués aux Restos du Cœur.

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Isolation par l’extérieur :Un manteau pour votre maison

Très efficace, l’isolation par l’extérieur n’est pas réservée aux constructions neuves. C’est aussi un bon moyen de rénovation thermique, à mettre en œuvre lors d’un ravalement de façade.

Offrir un manteau à votre maison, c’est possible même en rénovation. En recouvrant entièrement l’enveloppe murale de l’habitation, l’isolation par l’extérieur protège le gros-œuvre en supprimant les ponts thermiques, ces points de jonction où la discontinuité entre les matériaux et les parois entraîne une perte de chaleur. Autre avantage : elle évite de rogner sur l’espace intérieur qui garde ainsi la même surface habitable. De ce fait, la pose peut être réalisée alors que le logement est occupé. Néanmoins, il est vrai que cette technique est plus délicate à mettre en œuvre dans l’ancien qu’en neuf car elle peut changer l’aspect initial de la maison. Si vous souhaitez garder intact le charme des vieilles pierres d’origine, mieux vaut envisager une autre solution. De même, si votre maison a de grandes surfaces vitrées, un balcon ou un bow-window. Autrement, l’idéal est de prévoir une isolation par l’extérieur à l’occasion d’un ravalement de façade.

Enduit ou façade ventiléeAvant d’entamer des travaux, assurez-vous que le plan local d’urbanisme (PLU) de votre commune n’inclut pas de contraintes esthétiques. Vous pouvez opter pour un enduit mince armé de fibres de verre, ou hydraulique (mortier projeté) qui recouvrira un isolant. Souvent en polystyrène expansé, ce dernier sera collé ou fixé sur les murs extérieurs. Pour une meilleure esthétique, l’isolant peut être recouvert de parements divers : pierres minces, carreaux de céramique… La technique de la façade ventilée est également appropriée. Elle

est composée d’un isolant fixé directement sur le support  : laine de verre, de bois, polystyrène, etc. À l’aide de tasseaux en bois, une ossature secondaire est ensuite posée puis recouverte d’une peau extérieure que vous choisirez selon vos souhaits esthétiques et en fonction de sa résistance au climat, à la saleté et aux chocs. Les possibilités sont nombreuses : bardage bois, briques de parement, ardoises, matériaux synthétiques, plaques en fibre ciment… Grâce au vide d’air qu’elle procure, la façade ventilée assure une bonne étanchéité. En permettant une bonne évacuation de la vapeur d’eau, elle évite les risques de condensation.

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HABITAT

AURAY LORIENT PONTIVY VANNES

Constructeur de Maisons Individuellesde référence en Morbihan.

Garanties Constructeur.

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Page 40: Ici et là magazine - Numéro 4

Dès que le frois s’installe, les oiseaux ont du mal à survivre à la rigueur de l’hiver. Nous pouvons aider nos amis à plumes à trouver plus facilement de la nourriture. Le régime alimentaire d’hiver des oiseaux devrait commen-cer dès le mois d’octobre et se prolonger jusqu’au mois de mai. Il vaut donc installer les nichoirs de bonne heure. Ils ser-viront d’abri contre le froid et la pluie aux différentes espèces d’oiseaux sauvages qui couvent dans les cavités.

En hiver, il faut veiller à ce que la nourriture apporte suffi-samment de matières grasses et d’énergie aux oiseaux. Les boules à mésanges traditionnelles contiennent tous les constituants énergétiques essentiels dont ils ont besoin, no-tamment des graines de tournesol. La période de couvaison s’étend de mai à septembre. Pendant ces quelques mois, il vaut mieux nourrir les oiseaux sauvages avec une nourriture d’été. Vous pouvez par exemple leur donner des aliments pour oiseaux de jardin, qui contiennent souvent des baies et des protéines animales sous forme d’insectes séchés. Des compléments alimentaires comme des flocons de céréales et des minéraux sont également recommandés pour l’élevage des jeunes oiseaux.

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JARDINAGE

Une pelouse au top se prépare en hiver !Jaloux de la pelouse bien verte du jardin d'à côté ? Plus de risque que cela arrive, si vous préparez votre pelouse pendant l'hiver ou en février. Préparation des sols, soins d'hiver et désherbage : suivez les conseils de votre magasin Jardiland à Pontivy.Lorsque vous aurez enlevé les végétaux gênants l'installation de la pelouse, il vous faudra remettre de la terre végétale de bonne qualité. Si votre terre est argileuse n'hésitez pas à rajouter de 15 à 20 cm de bonne terre. Dans le cas de pelouse en pente, tout au-tour de la maison par exemple, formez des remblais avec la terre du sous-sol et prévoyez comme ailleurs une couche de 20 cm de

terre végétale. Si le terrain est humide ou en pente, il vous faudra sans doute prévoir un drainage constitué de tuyaux percés dispo-sés à 30-40 cm de la surface, installés sur des lits de graviers. Les drains devront conduire les eaux de ruissellement vers un puisard ou pourquoi pas un petit bassin. Attention à respecter des pentes d'au moins 1% pour permettre un bon écoulement. Vous pourrez ensuite vérifier que le sol n'est pas trop compacté. Si c'est le cas, notamment en terrain lourd, n'hésitez pas le bêcher sur 15-20 cm afin d’émietter les mottes de terre.

Le jardin en hiver

Lorsque surviennent les premières gelées hivernales, les plantes entrent dans une période de repos végétatif. Il est important de les protéger du gel et du froid pour les retrouver au printemps dans les meilleures conditions ! Quelques gestes de protection simples vous permettront de les protéger fa-cilement :Les plantes caduques, (qui perdent leurs feuilles), n’ont pratiquement plus aucune activité durant l’hiver et elles sont donc beaucoup moins sensibles au froid. Il est donc moins utile de les protéger même si certaines plantes vivaces apprécieront un paillage fait de feuilles séchées ou d’écorces par exemple.

Plantes persistantes. Il n’en est pas de même pour les plantes persis-tantes dont la végétation n’est que ralentie à cette période. Elles conti-nuent à réclamer certains soins notamment par rapport aux gelées. Protéger les plantes de pleine terre : Elles peuvent être protégées par un simple paillage végétal tel que des écorces, du paillis de lin, un tapis de feuilles mortes, quelques centimètres de compost ou de fumier. En protégeant ainsi vos plantes vivaces mais aussi vos jeunes arbustes, vous assurez aux racines une protection contre le gel. Tous les paillis végétaux ont l’avantage d’être également de bons fertilisants.Les arbustes peuvent être em-ballés dans une toile de protec-tion appelée voile d’hivernage qui protégera leur ramure.

Plantes en bacs et en pots. Elles sont les plus exposées aux gelées car l’ensemble de la sur-face du pot est au contact de l’air.Il est important de disposer vos plantes en pot à l’endroit le mieux protégé du froid et du vent.

Protéger les plantes méditerranéennes contre le gel.Un citronnier ou un oranger qui résiste à une température de -7° sans voile résistera avec un voile d’hivernage à une température de -10°. Dès lors que votre région est fréquemment soumise aux gelées hivernales, il est fortement conseillé de mettre un voile d’hivernage sur vos plantes médi-terranéennes, surtout si elles sont cultivées en pot. Enfin, comme pour les autres végétaux, un paillage est toujours recommandé pour protéger les racines du froid.

74, rue Albert-de-Mun PONTIVY

Ouvert le dimanche de 14h à 18h30

Aidez les oiseaux du ciel

LES SOLDES CHEZ JARDILAND! du 7 janvier au 17 fevrier 2015

Protéger les plantes du gel et du froid

Page 41: Ici et là magazine - Numéro 4

Dès que le frois s’installe, les oiseaux ont du mal à survivre à la rigueur de l’hiver. Nous pouvons aider nos amis à plumes à trouver plus facilement de la nourriture. Le régime alimentaire d’hiver des oiseaux devrait commen-cer dès le mois d’octobre et se prolonger jusqu’au mois de mai. Il vaut donc installer les nichoirs de bonne heure. Ils ser-viront d’abri contre le froid et la pluie aux différentes espèces d’oiseaux sauvages qui couvent dans les cavités.

En hiver, il faut veiller à ce que la nourriture apporte suffi-samment de matières grasses et d’énergie aux oiseaux. Les boules à mésanges traditionnelles contiennent tous les constituants énergétiques essentiels dont ils ont besoin, no-tamment des graines de tournesol. La période de couvaison s’étend de mai à septembre. Pendant ces quelques mois, il vaut mieux nourrir les oiseaux sauvages avec une nourriture d’été. Vous pouvez par exemple leur donner des aliments pour oiseaux de jardin, qui contiennent souvent des baies et des protéines animales sous forme d’insectes séchés. Des compléments alimentaires comme des flocons de céréales et des minéraux sont également recommandés pour l’élevage des jeunes oiseaux.

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JARDINAGE

Une pelouse au top se prépare en hiver !Jaloux de la pelouse bien verte du jardin d'à côté ? Plus de risque que cela arrive, si vous préparez votre pelouse pendant l'hiver ou en février. Préparation des sols, soins d'hiver et désherbage : suivez les conseils de votre magasin Jardiland à Pontivy.Lorsque vous aurez enlevé les végétaux gênants l'installation de la pelouse, il vous faudra remettre de la terre végétale de bonne qualité. Si votre terre est argileuse n'hésitez pas à rajouter de 15 à 20 cm de bonne terre. Dans le cas de pelouse en pente, tout au-tour de la maison par exemple, formez des remblais avec la terre du sous-sol et prévoyez comme ailleurs une couche de 20 cm de

terre végétale. Si le terrain est humide ou en pente, il vous faudra sans doute prévoir un drainage constitué de tuyaux percés dispo-sés à 30-40 cm de la surface, installés sur des lits de graviers. Les drains devront conduire les eaux de ruissellement vers un puisard ou pourquoi pas un petit bassin. Attention à respecter des pentes d'au moins 1% pour permettre un bon écoulement. Vous pourrez ensuite vérifier que le sol n'est pas trop compacté. Si c'est le cas, notamment en terrain lourd, n'hésitez pas le bêcher sur 15-20 cm afin d’émietter les mottes de terre.

Le jardin en hiver

Lorsque surviennent les premières gelées hivernales, les plantes entrent dans une période de repos végétatif. Il est important de les protéger du gel et du froid pour les retrouver au printemps dans les meilleures conditions ! Quelques gestes de protection simples vous permettront de les protéger fa-cilement :Les plantes caduques, (qui perdent leurs feuilles), n’ont pratiquement plus aucune activité durant l’hiver et elles sont donc beaucoup moins sensibles au froid. Il est donc moins utile de les protéger même si certaines plantes vivaces apprécieront un paillage fait de feuilles séchées ou d’écorces par exemple.

Plantes persistantes. Il n’en est pas de même pour les plantes persis-tantes dont la végétation n’est que ralentie à cette période. Elles conti-nuent à réclamer certains soins notamment par rapport aux gelées. Protéger les plantes de pleine terre : Elles peuvent être protégées par un simple paillage végétal tel que des écorces, du paillis de lin, un tapis de feuilles mortes, quelques centimètres de compost ou de fumier. En protégeant ainsi vos plantes vivaces mais aussi vos jeunes arbustes, vous assurez aux racines une protection contre le gel. Tous les paillis végétaux ont l’avantage d’être également de bons fertilisants.Les arbustes peuvent être em-ballés dans une toile de protec-tion appelée voile d’hivernage qui protégera leur ramure.

Plantes en bacs et en pots. Elles sont les plus exposées aux gelées car l’ensemble de la sur-face du pot est au contact de l’air.Il est important de disposer vos plantes en pot à l’endroit le mieux protégé du froid et du vent.

Protéger les plantes méditerranéennes contre le gel.Un citronnier ou un oranger qui résiste à une température de -7° sans voile résistera avec un voile d’hivernage à une température de -10°. Dès lors que votre région est fréquemment soumise aux gelées hivernales, il est fortement conseillé de mettre un voile d’hivernage sur vos plantes médi-terranéennes, surtout si elles sont cultivées en pot. Enfin, comme pour les autres végétaux, un paillage est toujours recommandé pour protéger les racines du froid.

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Ouvert le dimanche de 14h à 18h30

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Protéger les plantes du gel et du froid

Une nouvelle résidencede standing à Pontivy !

Votre appartement neuf... au prix de l’ancien

2 appartements témoins à visiter - Rue de Kerjalotte à Pontivywww.villa-juliette-pontivy.com - Tel: 06.60.12.74.03

La résidenceNous avons apporté un soin tout particulier à l’aména-gement de cet immeuble de trois étages, qui dispose également d’appartements en rez-de-jardin. Il com-prend 18 appartements T2, 18 appartements T3, 41 garages en sous-sol (dont 18 garages doubles), places de stationnement en extérieur, un ascenseur desser-vant tous les étages. Chaque logement est doté d’un large balcon ou d’une terrasse. Tous les séjours sont baignés de lumière grâce à une exposition plein Sud.

Des prestations de qualité• Menuiseries extérieures en aluminium (noire en face extérieure et blanche en face intérieure)• Portes intérieures en bois rainurées• Volets roulants sur l’ensemble des fenêtres et portes-fenêtres• Sols souples sur l’intégralité des appartements (gamme Transit de GERFLOR)• 2 placards à façades coulissantes• Équipement des salles de bains : meuble vasque à 2 tiroirs, miroir et applique lumi-neuse, douche faïencée, paroi et porte de douche en verre, sèche-serviette...

Les avantages du neuf :Choisir un appartement neuf c’est bénéficier d’un confort optimal (fonctionnalité, luminosité, modernité...) et profiter des der-nières normes (isolation thermique et phonique, sécurité...). C’est aussi avoir la possibilité de personnaliser son logement selon ses envies et d’y intégrer des travaux modificatifs.En choisissant de vous installer à la VILLA JULIETTE ou en y investissant pour du locatif, vous bénéficierez de toutes les ga-ranties du neuf (garantie de parfait achèvement d’1 an, garantie de bon fonctionnement de 2 ans et garantie décennale).Vous bénéficierez d’avantages financiers déterminants :• Des frais de notaire réduits ; de l’ordre de 3%, contre 7 à 8% dans l’ancien• Une exonération partielle de la taxe foncière pendant 2 ans

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Jacques Lemeille pilote ce programme immo-bilier et se tient à votre disposition pour des visites sur rendez-vous ou tous les mercredis après-midi, de 15h à 18h, sans rendez-vous.

Jacques Lemeille, Promoteur Immobilier

Sur les hauteurs de Kerjalotte, à deux pas du centre-ville de Pontivy, la Villa Juliette béné-ficie d’un panorama exceptionnel sur la cité napoléonienne. Idéalement située, à proximité immédiate d’établissements scolaires et proche des commerces, elle offre également la quiétude d’un quartier résidentiel. Son environnement dégagé et ses prestations de grande qualité lui confèrent des atouts indéniables !

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Page 42: Ici et là magazine - Numéro 4

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SANTE

Rester en pleine forme l’hiverPour prévenir les infections hivernales telles que maux de gorge, nez qui coule et toux, il est conseillé de privilégier certains aliments possèdant des propriétés nutritives, des vitamines et des sels minéraux capables de freiner l’apparition des premiers symptômes.

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* Sur présentation de ce coupon, votre bilan diététique de 15 mn est valable une seule fois par personne jusqu’au 31/12/2015 et sans obligation d’achat.

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Le bêta-carotèneIl peut également participer à réduire les risques d’infection, et on le retrouve dans les carottes, le potiron, les abricots, les poivrons rouges, les tomates et les légumes de couleur vert foncé.

Les oligo-élémentsLe zinc et le sélénium (présents dans les fruits de mer, la viande rouge, les céréales complètes, les noix et les rognons) renforcent les défenses immunitaires.

Les compléments alimentaires et la phytothérapiePour s’aider à mieux traverser l’hiver, certains utilisent des compléments alimentaires, riches en extraits de plantes, de fruits ou d’autres substances. Ils peuvent aider à la défense naturelle de l’organisme. On les trouve généralement sous forme de comprimés, mais aussi sous forme d’huile à appliquer, de tisanes ou d’homéopathie. Votre médecin généraliste ou votre homéopathe pourront vous conseiller.

Parmi les compléments alimentaires les plus plébiscités : La spiruline (une algue verte aux nombreuses vertus) ; la propolis (un mélange de cire d’abeille, de résine et de pollen riche en oligo-éléments et vitamines). Elle possède des vertus antiseptiques, bactéricides, antivirales et anti-infectieuses et contribue à renforcer les résistances naturelles de l’organisme notamment en saison hivernale ; l’extrait de pamplemousse (très efficace dans la prévention des rhumes et des infections respiratoires) ; le ginseng (plante chinoise aux vertus tonifiantes et qui améliore les fonctions immunitaires).

Vitamine C• Elle aide les cellules à se protéger des attaques des virus. Un fruit apporte environ 40 mg de vitamine C : ainsi trois fruits et des crudités consommés chaque jour satisfont les besoins de vitamine C quotidiens qui sont de 110 Mg/J.• Aliments contenant de la vitamine C : agrumes, kiwis, goyaves, poivrons, choux rouges, cassis, fraises. ...

Vitamine E Elle a une action anti-infectieuse et renforce les défenses immunitaires. On la retrouve dans les fruits oléagineux (amandes, noisettes), les graines de tournesol, les patates douces, le germe de blé, l’avocat…

Les accessoires nous tiennent

chaud ! Que vous soyez plutôt adepte des tenues simples et sobres ou raide dingue des looks percutants, une

chose est sûre : pas question d’éluder les accessoires !

Matières chaleureuses Cet hiver sera marqué par l’omniprésence des matières douillettes et chaleureuses sous l’égide du chic. La fourrure (lire ci-contre), le tricot grosse maille, la laine et l’effet laine, la soie, la dentelle, le métal, le cuir et le similicuir ainsi que le daim… un florilège de matières exceptionnelles pour un look chic et chaud ! La vague de grand froid ne nous fait pas peur ! Plus de tête non coiffée, c’est la règle ! Du simple serre-tête au plus sophistiqué headband, des barrettes au foulard artistiquement noué, du chapeau bibi, capeline ou cloche au béret ornementé, de la casquette au bonnet, il y en a pour tout le monde et toutes les circonstances. Côté mains, c’est la fête aussi. À l’élégance des doigts gantés se mêle le plaisir de les mettre au chaud. En maille colorée et agrémentée de broderies, nœuds ou boutons, ou en cuir tout en nuances ou motifs animaliers (les écailles et le zèbre font un tabac), doublés de flanelle ou bordés de fourrure, les options ne manquent pas.

Protection et superposition On note le retour en force du parapluie. Pliant par commodité, mais beaucoup plus spectaculaire autrement, il gagne en diversité, en originalité et en style. Chacun le sien et de préférence gai, très gai. Le foulard, lui, est partout. Sur la tête, dans les cheveux, autour de cou, de la taille ou du poignet... La ceinture se refait une beauté. Fine liane ou large bande, elle reprend du galon et se porte sur les pulls, robes et manteaux mais surtout sur les vastes châles ou les longues écharpes, ainsi que sur les ponchos pour les maintenir au plus près du corps.

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MODE

Les cols en fourrure ont la cote

C’est la pièce maîtresse de tous les dressings de l’hiver 2015. Le snood en fourrure a été la star de nombreux défilés de mode. Uni ou imprimé animal, lisse ou avec un effet relief/texture, de couleur sobre ou vive, le col en fourrure est dans tout ses états. C’est aussi un premier prix pour une excellente imitation fourrure.

Les couleurs tendance de l’hiver

• Le bleu... ou plutôt devrait-on dire les bleus : bleu ciel, bleu piscine, bleu Klein, bleu marine, bleu nuit... le bleu se décline à l’infini.• Le rouge bordeaux règnera en maître cet hiver. La gamme de teintes intenses et pro-fondes des tanins s’éclaircit progressivement pour laisser place à la douceur du vieux rose.• Les blancs d’hiver on eux aussi conquis les podiums: blancs immaculés, écrus, ivoires et crèmes viennent illuminer notre garde-robe invernale. Ajoutez-leur une pointe de gris, de taupe ou de camel et vous obtiendrez la combinaison gagnante de la saison !

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SANTE

Rester en pleine forme l’hiverPour prévenir les infections hivernales telles que maux de gorge, nez qui coule et toux, il est conseillé de privilégier certains aliments possèdant des propriétés nutritives, des vitamines et des sels minéraux capables de freiner l’apparition des premiers symptômes.

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Les compléments alimentaires et la phytothérapiePour s’aider à mieux traverser l’hiver, certains utilisent des compléments alimentaires, riches en extraits de plantes, de fruits ou d’autres substances. Ils peuvent aider à la défense naturelle de l’organisme. On les trouve généralement sous forme de comprimés, mais aussi sous forme d’huile à appliquer, de tisanes ou d’homéopathie. Votre médecin généraliste ou votre homéopathe pourront vous conseiller.

Parmi les compléments alimentaires les plus plébiscités : La spiruline (une algue verte aux nombreuses vertus) ; la propolis (un mélange de cire d’abeille, de résine et de pollen riche en oligo-éléments et vitamines). Elle possède des vertus antiseptiques, bactéricides, antivirales et anti-infectieuses et contribue à renforcer les résistances naturelles de l’organisme notamment en saison hivernale ; l’extrait de pamplemousse (très efficace dans la prévention des rhumes et des infections respiratoires) ; le ginseng (plante chinoise aux vertus tonifiantes et qui améliore les fonctions immunitaires).

Vitamine C• Elle aide les cellules à se protéger des attaques des virus. Un fruit apporte environ 40 mg de vitamine C : ainsi trois fruits et des crudités consommés chaque jour satisfont les besoins de vitamine C quotidiens qui sont de 110 Mg/J.• Aliments contenant de la vitamine C : agrumes, kiwis, goyaves, poivrons, choux rouges, cassis, fraises. ...

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Du blanc avec le poisson, oui mais lequel ? Du rouge

avec le fromage, dans tous les cas ? Le

champagne, en apéritif ou en dessert ?...

Savoir que boire avec quel plat, n’est pas

chose facile.

Pourquoi rechercher l’harmonie entre un plat et le vin servi ? Pour augmenter le plaisir ! Parce que certains vins semblent sublimer la saveur d’un mets, tandis que d’autres peuvent la couvrir… Parce qu’un excellent vin et un excellent plat ne font pas forcément un très bon mariage. Mais dans un monde où il existe des milliers de références de vin et autant de combinaisons d’aliments, comment s’y retrouver ? De fait, l’art des accords mets-vins est plutôt difficile pour les néo-phytes. On a longtemps misé sur des principes (voire des préjugés) rassurants transmis par la génération précédente. Mais voilà que les sommeliers d’aujourd’hui nous invitent plutôt à l’aventure avec des accords créatifs, qui bousculent les certitudes et créent la sur-prise. Pensez donc : on peut boire du blanc avec le fromage ! Tout fout le camp…

Expérimentez !« Le bon accord est d’abord celui qui vous séduit », nous dit-on désor-mais. Voilà qui ouvre la porte à toutes les possibilités mais qui ne nous aide pas beaucoup pour faire les bons choix. Alors rappelons

tout de même quelques règles sur lesquelles les spécialistes sem-blent s’accorder. Sachez d’abord qu’il est difficile de trouver un vin qui conviendra à tous les mets qui composent un repas, il est donc recommandé de varier à chaque plat.Dans la succession de ces vins, vous monterez toujours en qualité. Vous les présenterez du plus léger au plus puissant, du plus jeune au plus vieux, de l’acide au sucré… Pour composer vos alliances, vous pouvez jouer la carte régionale (choucroute et riesling par exemple), choisir le ton sur ton (un vin léger sur un plat léger, un vin corsé sur un plat relevé) ou plutôt la complémentarité (un vin complexe sur une simple viande grillée). Expérimentez pour affiner vos goûts. Pour vous aider, il existe de nombreux ouvrages dédiés à ce sujet ainsi que des sites Internet suggérant différents vins selon le plat que vous prévoyez de préparer (toutlevin.com, idealwine.com, platsnetvins.com, accordmetsvins.com, quelvin.com, sommelier-vins.com…). Vous pouvez aussi trouver conseil auprès de votre caviste ou encore vous faire offrir une initiation avec un sommelier pour épater vos convives !

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ŒNOLOGIE

Accords mets-vins : un art subtil

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Page 45: Ici et là magazine - Numéro 4

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GASTRONOMIE

Recette de Chef :Christophe Le FurAuberge Grand’Maison

Galette de riz croustillante et coquilles Saint-Jacques de la baie de Saint-Brieuc

Galettes de rizMélanger le riz, les blancs d’œuf et le persil et confectionner des galettes de riz. Faire cuire les galettes à l’huile d’olive dans la poêle. Débarrasser et ajouter les noix de Saint-Jacques, quelques minutes. Assaisonner.

SorbetLa veille, faire bouillir l’eau le sucre et ajouter la bettrave rouge cuite. Mixer et mettre au congélateur.

MayonnaiseCentrifuger le choux rouge afin de récupérer deux cuillères à soupe de jus. Ajouter la mayonnaise et mélanger.

DressageDisposer quelques points de mayonnaise dans l’assiette.Déposer la galette croustillante de riz au milieu de celle-ci.Surmonter de trois noix de Saint-Jacques.Déposer la quenelle de sorbet sur les noix de Saint-Jacques.Déguster.

Ingrédients (pour 4 personnes) :

12 noix de Saint-Jacques100 g de riz basmati cuit100 g de riz sauvage cuit2 blancs d’œufs20 g de persil haché150 g de betterave rouge cuite50 g d’eau50 g de sucre en poudre1/8 de choux rouge50 g de mayonnaise

Merci à Christophe Le Fur, chef de l’auberge Grand’Maison, à Mûr-de-Bretagne. Une étoile au guide Michelin 2014.

Page 46: Ici et là magazine - Numéro 4

La montagne sans ski, c’est bien aussi !Grâce aux multiples activités qui se développent dans les stations, il devient possible de profiter du grand air et de la neige même quand on n’est pas amateur de ski.

Regorgeant d’imagination pour les petits comme pour les grands, les stations misent de plus en plus sur ces activités annexes pour attirer les vacanciers en quête de renouveau. De jour ou de nuit, voici quelques idées pour profiter d’un séjour insolite.

Kart, VTT, gyropodeJouer les pilotes sur neige, ça vous branche ? À Breuil-Cervinia dans la Vallée d’Aoste, il est désormais possible de s’initier à la conduite sur glace à bord de petits karts, pour des courses de 15 minutes. L’activité, qui reste ouverte tard en soirée, peut aussi être une pa-renthèse après une journée de ski, et se pratique dès l’âge de 6 ans. Pour les plus grands qui maîtrisent le coup de pédale, Val Ferret mise sur une activité encore plus surprenante : le VTT sur neige. Au coucher du soleil, les participants s’évadent, frontale sur le bonnet, pour une balade au son du crissement des pneus dans la neige.Jamais à sec au niveau des idées, à Dévoluy, l’insolite prend la forme d’un gyropode ou segway, ces gros engins électriques à deux roues sur lesquels une personne se tient debout. Zig-zag entre les plots, circuit d’adresse ou bien balade sauvage sur le domaine nor-dique, le gyropode se déguste aussi bien chez les contemplatifs que chez les actifs !

De la glisse sous d’autres formesAvez-vous déjà testé le snake glisse ? À Puy-Saint-Vincent, à la fer-meture des pistes, des petits groupes se forment en haut du télé-siège de la Bergerie avec une série de luges... accrochées les unes derrière les autres, tel un serpent des neiges.

Vous imaginez le pire ? Vous avez raison ! Gamelles, neige dans le cou et fous rires sont garantis !

Du côté de la Grave, la luge est remplacée par l’airboard, une sorte de grand coussin gonflable sur lequel on est invité à s’allonger la tête la première et à tenir fermement les poignées. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’engin, léger, est très facile à manier pour amorcer les virages et s’arrêter... même s’il arrive que certains mangent un peu la neige lors de leurs premiers essais !

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VOYAGES

Page 47: Ici et là magazine - Numéro 4

Pays de Loudéac et de Pontivy

300 points de distributionsur les Pays du Centre Bretagne et de Pontivy

Loudéac

PlouguenastUzel

La Chèze

Mûr-de-Bretagne

Cléguérec

PontivyRohan

Corlay

Baud Locminé

Saint-Jean-Brevelay

Collinée

Merdrignac

Un magazine gratuit de 44 pages, sur papier brillant, format A4

Un tirage de 8 000 exemplaireset une distribution au coeur du bassin de vie Loudéac-Pontivy

300 points de distribution : commerces, mairies, professionnels...

Un lectorat de près de 100 000 habitants, répartis sur plus de 80 communes des Pays de Pontivy et du Centre Bretagne.

Annonceurs, n’hésitez pas à contacter notre service publicité au 07 87 36 05 64 @icietlamagazineici et là

Page 48: Ici et là magazine - Numéro 4

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Cette grille se compose de 64 cases réparties en 8 rectangles de 2X8. Elle doit être complétée avec toutes les lettres de : L O U D E A C

Chacune des lettres devant être utilisée une fois dans chaque ligne, chaque colonne et chaque rectangle. Dans les cases colorisées vous

pourrez découvrir un mot mystère.

BAUD BIEUZY BIGNAN BILLIO BLAVET BULEON DAOULAS EVEL

GAUSSON GUERN KERFOURN LE QUILLIO LE SOURN LOUDEAC MENEAC MERLEAC

MOHON MOREAC NAIZIN OUST ROHAN SAINT CARADEC SARRE UZEL

Retrouvez dans cette grille les 24 mots de la liste. En partant du haut de la grille reporter alors les 14 lettres restantes. Vous pourrez ainsi

découvrir le mot mystère.

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JEUX

Page 49: Ici et là magazine - Numéro 4

Associations

Idest communication - 54, rue du Général-de-Gaulle -56300 PONTIVY - 07 87 36 05 64 [email protected]

Particuliers

L i s t e d e s R u e s

Adresses Utiles27 Aire de Camping Car J625 Arboretum J401 Bibliothèque municipale K602 Centre Socio-culturel J403 Chapelle N D d’Yron I603 Prieuré N D d’Yron I622 Cimetière K523 Nouveau Collège K304 Collège François Rabelais J505 Ecole maternelle J. Prévert K406 Ecole Notre Dame d’Yron K507 Eglise Saint-Georges K408 Accès SNCF L626 Maison des Services Publics L609 Gendarmerie J610 Groupe Scolaire S. Pitard K511 Gymnase - Complexe Sportif J312 Hôtel de Ville J518 La Poste J513 Maison de Retraite I614 OfficedeTourisme J415 Parc de Loisirs J316 Parc Emile Zola J429 Passerelle J428 Piscine K217 Pompiers J424 Plateau Multi-Sports J424 Skate Parc J419 Tennis K320 TerraindeMobCross K6/721 Parcd’ActivitésSaintSéverin M6/7

MAIRIE1, Place Gambetta

02 37 98 53 18www.cloyes-sur-le-loir.com

Maison des Services Publics1, Place Gambetta

02 37 98 65 80

Bibliothèque Municipale40, rue Jean Chauveau

02 37 98 44 67

OfficeduTourisme23 rue Nationale02 37 98 55 27

www.ot-cloyes.com

La Poste1, place Gambetta

02 37 44 52 80

Plande VillePratique&Touristique

Edition 2009

Numéros UtilesPompiers 18(d’unfixe) 119(d’unportable)SAMU 15Gendarmerie 17 ou 02 37 98 65 06Sida Info Service 0800 23 13 13EDF 0801 28 48 68GDF 0801 28 27 26 Centre Anti-Poison 02 41 48 21 21

Acacias rue des H5Argent rue Charles d’ I5Bas de Romainville chemin du A3 I4Bel Air chemin de K6 L7Bois de la Roche impasse du H3 I3Bouche d’Aigre rue de L6 7Boussa rue du Colonel I6 J6Bouville rue de K5Brèche venelle de la J4Brou rue de J5Brune cité Charles J6Chanzy place K4Chartraine rue K3 5Châteaudun rue de J4Chatonnerie chemin de la I4Chauveau rue Jean J5 K6Chesneraie rue de la HI5

Courtalain rue de I3 4Croisés rue des Petits K4Dix-Neuf Mars 1962 rue du K4Dix-Neuf Mars 1962 place du L6Droué route de C4 I5Fossés rue des K4Français Libres rue des K5Galoire route de la J6 K7Gambetta place J4 5Ganne impasse K4Gourmond rue J5Haut des Rovarières chemin du K5 L3Hervé rue Yves K4 L3Huit Mai 1945 rue du J5 K5Isambert rue Victorien J5Jars chemin du I3Legrand rue Auguste K4Longères chemin des I3 I4

Montigny route de K2 4Montgreffier rue I5Nationale rue J5Onze Novembre avenue du K5 6Péan rue K5Péguy rue Charles I5Piscine chemin de la J3Pohu rue Alexis L3Ponceaux impasse des K3Prévert rue Jacques K4 Prieuré rue du I6Proust impasse Marcel I4Quatre Vents rue des I5Roche imp. du Bois de la H3 I3Romilly route de L6 M6Saint-Georges rue K4Saint Lubin ruelle J5

Saint Michel résidence J5Saint Michel rue I5 J5Saint Séverin lotissement KL5Sanitas chemin du I3 4Sources chemin des I6Taupineau cité H3 I3Temple rue du J4Terrauderie rue de la I4Teyssier imp. du Dr J7Teyssier rue du Dr J5 J9 Torrent impasse du J5Torrent rue du J5Vendôme résidence J6Vert Côteau rue du HI5Vieux Moulin rue du H5Vignes rue des J7Vivier rue du K5

SEMAINE DE LA

MUSIQUE

Le Conseil général d’Eure-et-Loir et Cinq sur Cinq présentent la

www.eurelien.fr

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abel

lya.fr

Conservatoire de l’agriculture - COMPA à ChartresStationnement prévu pour les visiteurs

Château de Maintenon

Par le train :Gare de Maintenon sur la ligne Paris-Montparnasse / Chartres.

Par la route :Venant de Paris : Par l’A13 (pont de Saint-Cloud), suivre l’A12 Rambouillet, puis la N10 Rambouillet. Passer les 4 sorties de Rambouillet, prendre la sortie Orphin-Epernon. Suivre Epernon, puis Maintenon. Par l’A11 (pont de Sèvres), sortie 10 Ablis, puis N10 direction Chartres.Suivre Saint-Symphorien-le-Château, Gallardon puis Maintenon.

Venant du Mans :Par l’A11, quitter l’autoroute à la sortie Thivars, contourner Chartres, suivre direction Dreux puis rejoindre Maintenon par la D906.

Venant de Tours :Par l’A10, quitter l’autoroute à la sortie Allainville, direction Ablis, suivre Chartres puisGallardon et Maintenon.

EDITO En lien avec le travail de valorisation et de sensibilisation mené dans le domaine de la musique et à l’échelle du territoire (Schéma départemental de développement de l’ensei-gnement musical, dispositif « Musique à l’école »…), le Conseil général d’Eure-et-Loir et Cinq sur Cinq vous présentent la deuxième édition de la Semaine de la Musique. Composé de temps d’écoute mais aussi d’initiations ouverts à tous, le rendez-vous annuel dédié à la célébration de la musique laisse place aux jeunes talents comme aux artistes les plus confirmés.Avec près de 5500 visiteurs et spectateurs lors de la première édition, la Semaine de la Musique est avant tout un moment festif à partager en famille et entre amis, entièrement gratuit. Comme l’an passé, la programmation 2009 se veut variée et éclectique pour satis-faire aux goûts de chacun mais aussi faire découvrir des talents originaux.La Semaine de la Musique 2009 propose du 17 au 21 juin, en journée et en soirée, des concerts et animations autour des musiques du monde, de la musique classique (lyrique et orchestrale), des musiques actuelles (pop, rock, electro et autres musiques amplifiées) ou encore de la chanson. La manifestation se déroule du mercredi au dimanche sur le site du COMPA et s’installe au château de Maintenon pour le concert du samedi soir.Cette soirée est marquée par la venue de grands noms de la musique représentants de différents registres, l’occasion de rencontres entre plusieurs artistes talentueux dont la complicité et la générosité sont indéniables sur scène.Autant d’occasions de vivre pleinement la musique !

Albéric de Montgolfier Président du Conseil général d’Eure-et-Loir

ACCES

INFOS PRATIQUES

LES ANIMATIONSPOUR LES SCOLAIRES

Mercredi 17 juin

Ateliers d’initiation à la musique klezmer, compagnie Tour de Babel, 14h-16h /16h -18h, (pour musiciens ayant 2 à 3 ans de pratique minimum)Conservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres

Jeudi 18 juin

Concerts pédagogiques « Musique de danse au temps de Louis XIV », compagnie Euréliades, 10h et 14h, durée 1h (pour cycle III) Esplanade du COMPA à Chartres

Ateliers « Découverte des instruments », 10h-16h, durée 1h (pour cycle I et II) 2 séances le matin, 2 séances l’après-midiConservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres

Vendredi 19 juin

Ateliers Mix, association Les Bouchers doubles, durée 2h (pour collèges, lycées et Maisons pour Tous)Conservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres

10h/14h « Musique de danse au temps de Louis XIV », concert pédagogique - Esplanade du COMPA à CHARTRES

10h/11h/14h/15h « Découverte des instruments », atelier Au COMPA à CHARTRES

18h Le clavecin, de la facture à l’interprétation - Archives départemen-tales d’Eure-et-Loir à CHARTRES

20h30 Soirée Mozart, par le Grand Choeur du Conservatoire de Chartres et l’orchestre Les Violons Virtuoses - Esplanade du COMPA à

CHARTRES

Jeudi 18 juin

9h30/13h30/17h Ateliers Mix - Au COMPA à CHARTRES

dès 19h Scènes musiques actuelles : Va T’en Chez Moi / GRISBI / TheAnt / TAHITI 80 - Esplanade du COMPA à CHARTRES

Vendredi 19 juin

14h30 Concerts des écoles de musique d’Eure-et-Loir Esplanade du COMPA à CHARTRES

20h30 ANAÏS invite Jeanne Cherhal, Juliette, Gonzales et Florence Foresti - Château de MAINTENON

Samedi 20 juin

16h30 ROCK EN STOCK par les chorales Voix-si, Voix-la et le Chœur des Loups - Esplanade du COMPA à CHARTRES

Dimanche 21 juin

Programme14h/16h - « Initiation à la musique klezmer », atelier Au COMPA à CHARTRES

16h - 18h45 Premières Pressions, jeunes groupes amateurs du département - Esplanade du COMPA à CHARTRES

20h FAREN KHAN, concert de musique klezmer avec la participation des stagiaires de la journée - Esplanade du COMPA à CHARTRES

Mercredi 17 juin

Réservations ateliers scolaires : Conservatoire de l’agriculture - COMPA

02 37 84 15 00

Covoiturez malin sur www.eurelien.fr/covoiturage

Restauration rapide sur les deux sites

Pour plus d’infoswww.eurelien.fr/semainedelamusique

entrée gratuite du 17 au 21 juin 2009

Animations pour les scolaires

Concerts

Les Bouleaux28290 ARROU

Tél : 02.37.97.01.95Fax : 02.37.97.09.03

[email protected]

Nous apportons un soin tout particulier à la confection de nos produits (Charcuterie Traditionnelle).

Tous nos transports se font en camionréfrigéré et nous mettons à votre dispositiondes remorques réfrigérées pour vos buffets.

N ’hésitez pas à nous contacter pour vos mariages, communions,

fêtes de famille, comités d’entreprises, repas d’associations, banquets ...

Garnitures de Légumes

CèpesChampignons de ParisChampignons farcis, Courgettes à ma façonCressonEndives braiséesFagots de haricots vertsFeuilleté d’épinardsFlan aux légumesGirollesGratin DauphinoisGratin de CourgettesMorillesPleurottesPommes aux airellesPommes de terre boulangèresPommes DuchessesPurée de Céleri

Riz créoleSoufflé aux trois puréesTimbale de riz trois couleursTomate farcie aux petits oignons glacés

Tomate Provençale

Desserts MaisonBûche de Noël aux fruits ou au chocolatCrème brûléeFondant au chocolat et sa crème anglaiseFruitier (fraise, framboise, mandarine, ananas)Galette des RoisGâteau au chocolatMousse au chocolatNougat glacé sur son coulis de framboisesPoire chocolatProfiteroles au chocolatSuprême au chocolatRomano (gâteau au chocolat et griottes)Salade de fruitsTartes (abricots, citron, fraises, pommes, coco, poire-amande...)Sorbets

Fontaine de Champagne

Les Bouleaux28290 ARROU

Tél : 02.37.97.01.95 Fax : [email protected]

Pour tous renseignements, n’hésitez pas à contacter l’accueil au 02 37 44 00 85

[email protected]

Au coeur de la ville, plus proche de vous et imaginé pour vous

30, rue Jean-Chauveau - 28220 Cloyes-sur-le-Loir 02 37 44 00 85

Foyer Résidence

Maurice Dousset

Au coeur de la Ville

L’Espace Maurice Dousset

c’est aussi :

Un centre de loisirs

Une Médiathèque

Des salles associatives

Les Petites Canailles : un espace de plus de 560 m2 réservé aux enfants de 3 à 12 ans. Les résidents du foyer peuvent participer bénévolement au Ludo-cartable, à une aide aux devoirs ou aux activités si ils le souhaitent.

Avec une collection de plus de 10000 documents (livres, CD, CD ROM, DVD et périodiques sur plus de 400 m2.Ouverte au public du lundi au samedi

Des salles à la disposition des associations cloysiennes. Elles y développent leurs activités et proposent des animations ouvertes à tous, y compris aux résidents.

Des servicesà la carte

SécuritéAccessibilité

Une présencequotidienne

ConfortCadre de vie

Foyer Résidence

Maurice Dousset

Un espace où il fait bon vivre

Des professionnels de santé

Installés dans l’espace Mau-rice Dousset, de nombreux professionnels de santé sont à votre service (infir-miers, podologue, ostéo-pathe, nutritionniste, etc...)

Accueil du public : Lundi

de 14h à 18hdu Mardi au Jeudi

de 9h à 12h et de 14h à 18hVendredi

de 9h à 12h et de 14h à 17h30Samedi

de 9h à 12hou sur rendez-vous

Prestationsincluses

• Nombreuses associations

sportives et culturelles

• A 400mde la gare

• Professionnels de santé sur place

• Arrêts de transports

(Transbeauce, TER Centre)

• Commerces et services à 100m

• A proximité du Centre nautique

Cloyes-sur-le-Loir

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Entreprises Associations

Bulletins

Rédactionnel

Dépliants

Tracts

Affiches

CommunicationAgence de Conseil en Communication

Id’Est

Logos

CollectivitésPontivy

Chem

ins de Randonnées

Arrou Autheuil Boisgasson Charray

Cloyes-sur-le-Loir Châtillon-en-Dunois

Courtalain Douy Langey

La Ferté-Villeneuil Le Mée

Montigny-le-Gannelon Romilly-sur-Aigre

Saint-Hilaire-sur-Yerre Saint-Pellerin

Carnet de Route

Quinze communes composent à la foisle Canton de Cloyes sur le Loir

et la Communauté de Communes des Trois Rivières :

Le Loir, L’Aigre, L’Yerre.

Le Loir prend sa source à Saint Eman à 2 km environ au Nord d’Illiers Combray. Sa longueur totale est de320 km. C’est un espace de rencontre entre la Beauce et le Perche. Ce cours d’eau est une rivière de plaineà larges méandres, pente faible et écoulement lent. Le Loir atteint une largeur de 20 m.

L’Aigre prend sa source dans le Nord Est du Loir-et-Cher, à Tripleville puis traverse le Sud de l’Eure & Loirpour aller se jeter en rive gauche du Loir à Bouche d’Aigre (commune de Romilly-sur-Aigre) après un“parcours” de 20 km.

L’Yerre, affluent qui se jette en rive droite du Loir, descend du massif collinaire qui sépare le bassin del’Huisne de celui du Loir, vers l’est. Ce cours d’eau coule régulièrement sur un parcours de 30 km.

Ces quinze communes, intégrant la verdoyante Vallée du Loir située au sud du Perche et de la Beauce, représentent une superficie de 264 km2 occupée

par un patrimoine bâti qui témoigne de l’importance historique de la Région.

A deux heures de Paris, l’ensemble de ce territoire comporte de nombreuses églises renfermant souvent desoriginalités comme des fresques romanes un mobilier particulier, (un tabernacle pivotant, un banc d’œuvre)ou encore une fontaine, mais également un moulin à eau, un cadran solaire…

Et aux détours des rivières s’élèvent des demeures plus imposantes notamment le château de Montigny leGannelon surplombant le Loir, qui possède de magnifiques salons meublés agrémentés de collectionsde tableaux.

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Communauté de Communes des Trois Rivières

La Charte du promeneur Ces circuits empruntent des routes et des chemins du domaine publictraversant des propriétés privées. Ils peuvent être fréquentés par tous

types de promeneurs (marcheurs, cyclistes, cavaliers). À ce titre, nous vous invitons à suivre les conseils suivants :

- En vélo, ralentissez à l’approche d’autres usagers et avertissezde votre arrivée dans les zones sans visibilité.

- Respectez la nature et la propriété privée.- Ne jetez pas vos déchets.

- Évitez de fréquenter les circuits en période de chasse.- Soyez prudents aux croisements routiers.

- Tenez vos chiens en laisse.

CHATEAUDUN

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Informations Office du Tourisme 02 37 45 22 46

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L’ARBORETUML’arboretum a été inauguré le 7 juin 1997, réalisé dans le cadre du Fonds de Gestion de l’Espace Rural et initié par les agriculteurs du village. Il faisait partie d’un projet plus global de création et d’aménagement de chemins de randonnée.

Cette réalisation a mobilisé spontanément les habitants du village, les enfants du regroupement pédago-gique, les enseignants qui ont axé leur travail sur l’écologie, les arbres, les plantes, la préservation et la connaissance de la nature. La plantation de cet arboretum, sur l’ancien terrain de football désaffecté, fut l’aboutissement de ce travail. Chaque participant a adopté l’un des 226 arbres plantés appartenant à 89 espèces différentes. Chaque essence est identifiée par une plaque. Ce projet, qui contribue à familiariser le public avec les différentes espèces d’arbres, s’inscrit dans une logique de développement durable puisqu’il répond déjà à quatre des cinq finalités mises en avant dans les textes fondateurs du développement durable :1. la lutte contre le changement climatique,2. la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources,3. la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations,4. l’épanouissement de tous les êtres humains,5. une dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation respon-sables.

En effet, les arbres sont depuis toujours importants pour l’Homme : source d’alimentation, bois de chauf-fage, matériau pour les objets usuels et la construction, mais aussi élément de paysage et de cadre de vie. Ils trouvent maintenant d’autres intérêts encore, pour la préservation de la qualité de l’air et de l’eau et pour la préservation de la biodiversité.

Au cours de votre balade dans l’arboretum, vous allez découvrir, en fonction des saisons, les fleurs et baies des arbres et arbustes qui le constituent (quelques exemples spécifiques sont illustrés sur ce panneau). Elles offrent aux oiseaux un précieux garde-manger, du nectar pour les abeilles et un attrait pour les pa-pillons et les insectes. Respectez cet environnement ! Observez, touchez, sentez mais ne cueillez pas. L’arboretum est ouvert à tous, piétons uniquement !!! Merci de ne pas abandonner vos déchets. Une poubelle à l’entrée du terrain est à votre disposition.

« J’ai connu le plus pauvre des déshérités, celui pour qui l’arbre n’est rien ». Jean Giono.

BaguenaudierFaux acacia

Cerisier tardif

ErableRobinier

Buddleia

Aulne à feuille en coeur Alisier torminalRosier rugeux

Cornouillier sanguin

Poursuivez votre exploration du Parcours Nature en vous rendant au square Houmaire (vers le pont) ou sur la place des Marronniers, où vous trouverez un pupitre présen-tant le cheminement à emprunter pour découvrir la faune et la flore caractéristiques des bords de ri-vière et des plateaux. A découvrir à 4 km l’arboretum de Cloyes-sur-le-Loir et à 20 km l’éco-musée de la Haie à Châtillon-en-Dunois.

85, rue Nationale56300 Pontivy

Tél. 02.97.25.97.30www.cmb.fr

Vente et abattage de volailles pour [email protected]

02 96 28 13 47 - 06 74 28 04 08

Page 50: Ici et là magazine - Numéro 4

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HOROSCOPE

d CANCER (22/06-22/07)Janvier. Malgré le climat de rigueur qui se dé-gage, vous allez bénéficier d’un entourage amical qui aura pour influence de vous faire fourmiller d’idées neuves. Cela peut néanmoins vous mener à certains excès qui peuvent entraver votre éner-gie.Février. Ce mois de février va favoriser avant tout votre vie sentimentale. Elle ne pourra pas rester linéaire, il faut vous attendre à vivre des émotions fortes qui bousculent positivement votre mode de vie et vos habitudes les mieux ancrées. En re-vanche, famille et amours ne feront pas toujours bon ménage. e LION (23/07-22/08)Janvier. Les influx de Mercure vous poussent à fignoler des détails qui vous tiennent à coeur, ce qui vous permettra ensuite de mieux vous consa-crer à votre vie relationnelle. C’est ce pan de votre vie qui va prendre le relais de vos préoccupations majeures.Février. Ce mois de février va vous faire démarrer en fanfare au plan émotionnel. Ce qui va engen-drer des situations qui par des frustrations à court terme, vous poussent à grande vitesse dans des mécontentements qui risquent de rendre cer-taines de vos relations très orageuses.

f VIERGE (23/08-22/09)Janvier. Ce mois va démarrer sur des chapeaux de roues. Vous allez bénéficier d’une énergie de fond hautement efficace pour vous atteler à des questions complexes, des difficultés importantes, des recherches de longue haleine, de grands pro-jets.Février. Vous serez confronté à des contradictions en vous-même, ce qui ne sera pas de tout repos. Cela vous force à agir au-delà de votre logique habituelle, plus proche de vos valeurs affectives, mais vous aurez le sentiment de manquer de prag-matisme.

g BALANCE (23/09-22/10)Janvier. Vous allez débuter cette année dans un climat propice aux changements radicaux, mais malgré vos impulsions en ce sens, il sera indispen-sable de prendre du temps à de la réflexion en pro-fondeur avant de vous mettre vraiment à l’action pure et dure.Février. Ce mois de février sera plaisant sur le plan relationnel. En effet, vous serez entraîné dans un emploi du temps qui ne vous laisse que peu de temps de solitude, ce qui ne sera pas pour vous dé-plaire... D’autant plus que vos contacts s’annoncent agréables et empreints de fantaisie.

h SCORPION (23/10-21/11)Janvier. Les influx planétaires vont engendrer un intense besoin de recueillement, de retrait et de réflexion qui vont vous mener à opérer dans votre vie de profondes mutations et à vous tourner plus largement vers des projets ou des domaines qui vous intéressent.Février. Ce mois de février va vous confronter à des amours intenses, passionnels, qui vont vous permettre d’extérioriser la pleine mesure de vos talents amoureux. Votre excessivité sera en éveil et vous aurez des facilités à sortir de la routine pour plonger dans les plaisirs, au sens large.

i SAGITTAIRE (22/11-20/12)Janvier. Ce tout début d’année 2015 vous entraîne dans des situations extérieures qui vont renforcer votre confiance en vous, votre aisance verbale tout particulièrement. Vous avez besoin d’échanges, plus que de coutume.Février. Les influx de Mars et de Vénus vont favori-ser des amours qui englobent de hautes envolées, et de façon plus pragmatique, vous aurez davan-tage d’occasions de faire des escapades en amou-reux, d’aller à deux dans l’inédit et la découverte au sens large.

j CAPRICORNE (21/12-19/01)Janvier. Vous allez débuter cette année 2015 avec panache et sans manquer de projets à mettre en œuvre. Cela devrait vous inciter à vous consacrer plus intensément à l’équilibre et à la prospérité de votre vie financière. C’est le moment de prendre des décisions importantes dans ce domaine.Février. Les influx planétaires vont positivement stimuler votre vie sentimentale. Vous allez vous sentir spontanément plus optimisme et davan-tage enclin à montrer vos attachements, vos senti-ments, sans crainte de vous sentir trop vulnérable.

k VERSEAU (20/01-18/02)Janvier. Cette année 2015 démarre en force. Ce mois s’annonce intense en contacts, assortis de nouveaux projets et d’idées neuves qui reboostent positivement votre psychisme. Pendant la seconde quinzaine, votre vie matérielle sera au premier plan de vos pensées.Février. Ce mois va vous permettre de lancer des projets qui vous tiennent à cœur, et par la même occasion, de vous libérer de certaines contraintes, notamment sur le plan matériel. Vous pourriez mettre en exergue votre vie financière, que vous allez spontanément chercher à sécuriser.

l POISSON (19/02-20/03)Janvier. Ce mois sera riche en rebondissements dans tous les domaines. Cela devrait vous inciter à ajouter de la fantaisie dans votre vie. Mais vous risquez de manquer de rigueur. Soyez prudents si vous devez vous consacrer à des tâches qui de-mandent de la minutie.Février. Ce mois va ensoleiller votre quotidien et tout particulièrement en vous apportant un cou-rant de chance qui sera le bienvenu, notamment dans le domaine financier et professionnel. Mais un optimisme galopant pourrait vous faire mettre la charrue avant les bœufs.

a BÉLIER (21/03-20/04)Janvier. Ce premier mois de l’année s’annonce intensément remuant, dans tous les domaines. Cela devrait vous permettre d’harmoniser vos désirs avec votre action et d’agir rapidement et effi-cacement, à la fois sur le plan professionnel et sur le plan sentimental.Février. Ce mois vous entraîne dans un climat fait de beaucoup de réflexion, surtout par rapport à vos proches. Vous serez plus sollicité pour aider les uns et les autres, ce que vous accepterez volontiers dans une certaine mesure. Vous aurez raison de ne pas vous apitoyer outre mesure.

b TAUREAU (21/04-20/05)Janvier. Ce premier mois de l’année 2015 va vous pousser à des remises en question de vos habitudes dans le domaine sentimental. Si vous êtes en solo, des changements dans vos habitudes seront profitables pour évoluer vers une rencontre positive.Février. Sur le plan sentimental autant que sur le plan familial, vous serez confronté à des demandes, des attentes qui vont vous paraître incongrues. Elles dérangent et bousculent votre conception des choses ainsi que vos projets. Vous allez donc au devant de découvertes, si vous ne vous braquez pas devant l’inédit.

c GÉMEAUX (21/05-21/06)Janvier. Ce mois vous fait rentrer en fanfare dans cette nouvelle année. Les astres vont favoriser un afflux de créativité et de verve verbale qui servira positivement vos intérêts, dans tous les domaines. Mais il faudra attendre la fin du mois pour vous trouver au devant de la scène.Février. Les instances planétaires seront dans l’ensemble bénéfiques à la progression de vos pro-jets, surtout dans le domaine financier et profes-sionnel. Il y a du lourd en perspective ! Vous pour-riez gagner un temps considérable en matière de négociations, d’avancement de dossiers ou de travail technique.

Janvier / Février 2015C’est bon signe !

Page 51: Ici et là magazine - Numéro 4

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PONTIVY35, rue Albert de Mun. Prox. mc donald’s. Direction centre-ville - 02 97 25 03 49Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 19h

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Page 52: Ici et là magazine - Numéro 4

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