6011e ANNiE. - Ni 154' J6(IREAOX : RIll3 SAINT-1 MME, DIMANCHE 5 JUIN 1861k.

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Toulouse, 5 Juin

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Tsitualon us rL sl g - d I :rectionest ail, pro le J. pin,,; Ils ,e,aee denvoloelu ville at de el,assm le miaislre prévarca.Leur.

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LConsul 1. 1 ] p6 i.

Irea'..

nt II Il I l fid .I td il,, 0 si; aopm,mon,dort le ISyté:I. I yer,

Lr C osul da l ion s ose cppusu an d, berqucmenl de,, T rus.

Antre elépAChe.Paras, 4 Jmv au suie.

La Cour, le cass.lon, ronformament ansonclus uns de M. le pro:,urew général Dup i n,

jelé le pourvu du doeteu Court' de I.rpo-uncris.

Saint lot., a.L' C f( 11 ode nbbe u un"Ilq b d6 l t I p ,oédés du prineo l

poix Ip L t au. t 1 v.nnnn rie188. le chair 0e t !. I'tlon let bapois d nscntemlut du Surelan

duos t

Les Chasseurs d'AbeillesIndienne, ee sont let cep P ailles, g Ma

dire le massucrc des blancs. Mon mariage asecuue Mexicaine est un, gage ae paix cite nousl'armons aux Espagnols et u e sdc pourl'avenir de leur taammrroe et r

ed,' de

des queScénee de la rie lexfeaine.n u nous 8subliro rs arions( ) ,,euxs rq u ,elles)que-- -'- soient les ohjecliuvs des chefs de iras tril9ns5G notre route cet tracée; le I1hoI.'l'Igre et moi,

nous e en dévimfons pas d'ue lie,,. Je vousdé.(

W fi,.aéra se dont che et 1q aleVoir le Journal de Toulouse du 4 Juin`, ale( ,

aes"I q

Un splendide déjeuner élan servi.

Les premieesmomcode

furent silencieux; lesconvives se blaient glués, mais peu à pou,geler aux efforts de ""a Ilermosa et de sonpère pour égayer le jeune homme, la glace serompit et la convetrsation prit une tourneraplus gaie i en voyai que don 'forribio se fai-sait violelee pour m,fermor dans son amm-mr Flot de pensées qui lui monmieot aux lèvreset qu'il ue voulait pas 11111,,1 échapper,

Vers la fn du repas, le chef te tourna versdons Ilermosa.

- Ovoneile, loi dit-il, ce soi, tout se dit :

on assissent en costume de chef indien à la cérémonie d'aujourd'hui, aurai franchement jeu'le gsnt à mes onmplleiotes en leur faisant cam-ppr e dre que je me suis franchement rallié à,u ça se dus l'oaux-Rogs et quo, grille aChat-'figer et à moi,

ceuqueils

ont pris dans leprincipe pose été course indienne était le sou-lèvement d'un peuple tout entier; je connaisl'orgueil des blancs : quoiqu'ils neteepuicimissent

parvenir à féconder les Il naex resqu ils poeséde.ol, ils ne voudront pas nouslaisser joaie en paix ds l'héritage que noususus sommes taillé à la pointe de nos lances,le gouvernement mexicain notes fera une guer-re acharnée. Puis je compter sur vous.

- Avant de vous répondre, dos 'forribio,j'attends que vous verre expliquiez plus claire-

ment.- C'est ce que je vais faire. Ce que les Es-

linoredoutant surtout dat4 lino ipsurreo-

eeuorlla 701150-vons m o000rdcr votremain? e

- Qui nous presse eu ce moment de traitergrave matü<re, dan 'forribio? répondit-

elle,sN'ales-vons pas sûr de moi YLe jeune ehel' fi nuça le sourcil.- 'Toujours la mime réponse ! dit-il. En-

fant qui jouez aveu le lion si je ne vous avaispas sontemie depuis hoir jours, vous asrlez616 mssaa és déjà. Croyez-vons doue que j'i.goure vos petites manmuvres et qui je n aiepas vol clair dans vos combinaisons v Vous avezvoulu jouer un jeu qai tue; imprudente ! vous

us lies laissé prendra dans les flots quevous m avion tendus. Yods rites en mon pou-

i mainlcn:rat à vues dicter mea ami-dilions ; drmoin , vous m la...Iera : la 'Alede volve porc et celle de don Foeoando nie ré,pondront de voire ohéisxsneo,

Et, lai iseant un ,rate cil cristal pleined'une eteuslimpido sil remplit son noces et lavida d'rm Irsit, tondis que dons llermoea lisaitsur lui un regard dbnngo.

- Dans une heu e, 0/0515 4ü en posant surla table son ver e ,rgni se brisa , je veux quevous assistiez à la cérémonie auprès de moi.

- J'y serai, répondit-elle.- Adieu! di1.1 d'ana voix sombre; et il

sortit en lui lancent un dernier regond.La jeune fille se leva vivement, saisit la ca-

rafe et en vida le cootenn en murmurant :- Don Torribio , don Terrible , lu me l'as

dit loi-méme, entre le coupe et les lèvres il y

cli,

Autre di,pês'he lut. e, 1( 11 7 d t. Air. 7. 1 1 p l I i r

Pans, 4 juiv. I ( 1 C Il d 1 1 11 p l i r, d l' I ura d I l! lulle

Le ProRris, de Lymy a é16 suspendu pno-1 Mme t , p I I. 1 I I. ,

1 e[, d ( erll ,r e ar se sen I. .e a ctal l d nsi ilel de ,x mri s ool Ll é dlbdu , p pu l ansu sr c e,son u^ do jeudi, injurieux pour le nn réchal

Ilruxellon, 4 maiM. Thomissen 11I q l guerre conb-

ml enfle do gaucl i f droit..Dans sa épons , M. déclare yue le

Chambre sera dissoute, r ais pas le Sénat. LnChambre sera avertie de P6poquo de sa dies..lotion.

La Chambre reçoit cotte communiealinnavec calme, le publié aussi.

Autre depéehe.

Paris, dimanche, 5 juin.

urla Mur publie un rapport à l'Empe-La

s11,reur sur la 'uslice1 civile et commerciale.

Les professeurs du Collége de France sontinvités à présenter deus candidats à la chairede grammaire compar6e.

Il sera ultérieurement penr-,ajoute le No-ilenr, à la cheire de langues n66rotque, chai'

daïque es syriaque, devevoIr vocnndo

cil verradu décret du f.' juin.

Afarcl.é de Paris dn 4,5/6 Betterave, 69 et fié f.

( sI 201 1. 1.. abn dl'ab t pire le 1 rie.

Is, sont la ies ci, ter r vlermsils ne nenlent pr.s ip uuarr d'in.terraptian dans l'enruirdis journal.Toute demaaad. d'ab annen.ent, 15x5.,

nepagres'e dur prix, sera ronsi-deree eemrne non avenue.

COËIONUQUE LOCALE(.

emrr.avna 4 n,crr onnonsr,

ARHfTpot t l d ' , 1 , 1, 1 Il

l l J I f, i -1 I

ri t I 1 I 1

loi aes formait le, ,.5 mes 1 dés.oLe,snt co sol é p . laie f 17 teedananràe 1 )ju , 1 1 1,,61'1 1 1 6il, ilder a l r nv II ment le surla p Ici ledu I: gl I et u 1 t de son desCo I 1 1

5 t 11 lé dl savoirToulouse (Nu J), 1 1., aillerdarned,sse-

n Tonlome (SA), 1 Conseiller i 'r disse.ilnu

Toton e (oucsp, 1 Conseiller général.

Cador es, 4 Cou I . ] '- tCnstanct, 1 Cou 11 ] lisse u,t.fronton, t Con - II ,,.aéra 1. 1 Lonsullce

2', erondissemnnl,Moum'ira., 1 cnnsnillnr a'a...ruissmuenl.Cnamn,ACon II e) dssen eutLanm, 1 fonseill. gC 6 a 1

Monts scard, t C II d'ou o dssemerl.Ira c1, O Cons, ail 7 r , Ir ..... oves

Ydhl anche, 1 fonsedlar général,

a la mort l- Il faut en cuir, dit de, Pedro.Sur un signa de su fille il sortit sur la mn

e de In oison et plaça deux jardinièresGecharg e la 0eo s dn la bel, trad..

ja r -i : car oves

iti Jéses designa

pa pois gaeqoesmi-notes h peine, lorsque Manuels mitré vue

eut i cul le salon en disantm-I I est I à.

- Qai il entre ! s'écrièrent à la fois don Pe.dru et sa Elle.

Don Estovan entra dans la salle à manger,L'naciemmro, npri's avoir recommandé à du'

s Ma,mela la pros grande vigilimrs, horionles perles avec sain et vint s'asseoir auprès dujeune homnrc auquel il dit àdemi-voi-s

- Eh bien Lstevas, mon ami, quoi de cou-voba

plana cab edu purbi, présentait ce jour-là au ospeol iuacooumm6 : un large échafaud,recouvert de lapis de v01051m ronge, s'élevaisau entre.

Sa, cet échafaud brait planée une bulacruen bois do mahogany ou bols excise; à droitede ce l'aulcuil, il s'ou bossait an notre plusbas et plus simple, plusieurs Gquipales Gtaicuta mangés n demi-cercla derrière cas deux aiéges.i IA

midi prévis, aa momet no le soleil arriveà son z6nih l'ait esyonnor nos ,,bauds et bcla.lents rayons, cinq coups de canon tirés ointervalles égaux éclalarent majestueusement.

Au Il, e, iustent, par chacune des obsde la place, déloouchè:em les diverses tribusapaches qui composaient l'armée du ChatT'i-

ovdires par leurs principaux sachems etrevalues de loura babils de edrGmon=os.Ces guerriers sils lent peu nombreux et for-

maient ne el'feolil'de, uin.e cents ho rnos lentan plus, car, psou,md

risese la cantonne indienne, ans-

'fAl après la p du prrsiin, le bure, avaitété envoa soue banne escorte dans les monta-

gnes, et la plus grande partie des Indices gé-

Mamesquion-Volvestro, I Consea6cr gén5-ra1. 1 Conseiller rl'errondissemenl.

Blnral, 1 Conseiller d'urrondisselnenL.Rimmel, 1 Conseiller général.R. e 1C II gd d lS' L Ly, 1 6 II r,. dr al

It gvleou de 1 e,l on, 1 Lunseiller généra I1 Conseiller a'arronuissmncns.

Rnnlogne, 1 Conseiller d'arrondissemonl.

Suint.Réai, 1 Conseiller gbn6ral.Saiol.Bertrand, 1 Conseiller l'arrondisse.

mentSainbCaudeos, 1 Conseiller d'arrondisse-

mentSninl-Martory, 1 Conseiller général.

Salles, 1 Conseiller gaooeai. 1 Conseiller

d'arrondissement.

Les bleclrurs rie canton i le e ' oulonse Atirééliront, 'amvmo temps qu'au membre du

d'aConseil rrondissement, un membre du Con-brui lé rav, ce remplacement de M. MassaLieu, missionnadé ire.

Les élemours dit canton de Rienx éliroo l enne romps qu'un ambre un C.enseil

ae6né

l,r an membre d a Conseil d'o rrondissemeai,p lit 71 11 (1 )ire or

lI LImine q

i 1 C : I y b l

A t 3. [)air le 1 1 6 p l IIt 200106, ! tel l1- 1 tl d t' I

continué jusqu'à I 1 1

II,c

sept cadra le le 1 d h I

lord'I

PS d n malin, et seau c: os à q aire ho i es dsoi r

Dans les communes andessous de 2.:100 hu-billots, le scrutin ne éouyrira que le dira^^,che19 juin à hall heures de matin ; il ara oloequatre heures du soir.

Art. 3. Les listes bre,' 1 s qui ont às 6leelious son) colles qui ont été

serrhu'esle

51 mors User. Aucune, ic00plion o veltefaite. I.es culs cols 5 le-

pôlarero

sont ee 'roll oie rlL., ,,ions deJ

pis de paix mlr,a0005 depuis la rimera, dedéeea, oo te I t 1 t l' p 't6es de.enus drf i l'

C Il t 4 7l ]-tll de il.u { lenoir I cinq jour - 1I elle

ure1 ' l 1 D' il. I t I 1 il il 'I'r'l i, I( I I . g ' I t I I I . d

d' I 3 l 'I l i:tle 1 II I 1 I lill l' vro II I t fi t

1 i 1 . 1 . 1 I. 1 III 1or, jv a il, pour l'unIb le géeé'na nue. Oonx l i ondi +s

nl.mA 1. '. Lu_, lofflKies de te smont sil pa

bl ne et s rxlcPAi L. 6. Le ,al z o nr dechnun ouil .rumeur, d.I II do la m

,t' is taule a,lr ale des1oée par le Mo, e.

3It I

l'as.0 0 0 0 , 0 0 5, I St' , t Ü mdw

comme nc, su.vamos:

Arrondisasmeul de Toulouse.

La ennnnune de Ralma sera divisée eu doux

f I l 1nt les olecleurs des

I rmtaox des 10,01 ;d ux, de Lofent, )il Cl:à-1e:m, lu bouquet et :m Ires parsies do terri-toi,,,, le tout burinant ensemble la seollon diraJe Ilulma, se réunira au Douillet, dans la salledo la maille;

La 2e tien comprenant les éleotours davile ge de Lasborde et de' iIr ..,arlicrs

r,a s a Lou.ville, Yzarni, Nov-Cesse et la e se uau h ameau de L oi

dsonans

lo locnt

al quisera désigné par

eSi, . le Maire.

Les électeurs do la commune de 'loulous,,centon Nos rI formeront cinq sections:

La leIdi

or,,

comprenant les élpass dela ville don

tt

lesles nome eo lors le par

1 l,

ie t,,lesaieIres A B, 1), e rdans le Prélcire deIl .Ioilica do P.ixe rue Louis-NaIolGon,

La 2^ section, emuprenant les Il,vlours de lacilla dont les noms commencent pro les Iel(resE, F, c, IL I, J, E, I., M, se réunira dans

1 s- II le Foule des I tl s, ruay I I -

e t p lit éI t ors del I I nt oi loir les l'i.I,s ocrest 8,0, 1 g R S 10, Y, 7 a

I leé l'l ul II duNeta,anciencol-Sciai- R

L 4 s: nt tous les électeursfil ,:,rtie, da el.al; nJe, e réunira dans lasalle ldr l'Écolo nnln,la Ce quartier;

La 5 Ici n r,umpirenart dons les électeursdu qua )lier dis Aliniines (culé ouest lie I

onie an p:ail et du choir:in da I.amiagneq, seeurdia duos noir, salle dépendant du ire

des 811000:1001.

Les (' octu, vu aie la eonunune de Toulouse(canton Sud;, fmn,enoal 1 Il'I. I'o cvt un, cil npiena lI Sl etears de lavilla do: s coron eut par les 10501,,6A, IS, rrun ha duos une aes salies de laL 1v`I

s, nI' Z ,o I tl 61 l de lu. I I I s l l I. I tls

0 4 1 E I I 1 1 K, t haC I se[

I . al: I l'I I l 1 le- et p`. t I été" e ale

I II 11 r 11 1 sien'su "'. I \ I , N, 0, P, se rée ra a 1 Lwle d'agni-rl1. l col p ns les électeurs 7 la

ville L 1 , 0 , cent per ules leu ..sQ I i S T,

1l A \ 1 / 1 dan

la salie du 'la datchales

: ecl n`

e1 1 l es daroi ê

e. o f . 'I'na larémin,t

0,01 1' l'Un l ) ale i n gaa,uerLà w

;s tIs 'I l sdu

1 11 L umao, tenant, tans uneIlIlede loabo eu laM 8.05. ne.

Les 3lncteurs de la er r e de Toulouse('amen Ouest), formerom ti x sections :

I.a b'» accola, cumpre out les électeurs dej,1 1 ! font I , t par le, lot.t ., 1 lia l Il N 11, t l l 'i oo le 1 Ci.,.

s e n ] 1 I (8 d'iodes 0co dep x, rue H naparte,

taient d6bandds pour rejoindre leurs alepedü; étincela.,!, tenant on main 1, tufe,0, et ayant àrestaient dlaiont les fdèles des ler-n )lui g sa t saloué lion T o rribio Po rtan lu and cale-gnenlds et dévoués decmm auexpérit 1 met sacréGhal-Tigre.

Celui ci, après la défaite des Espagnols, n'a-va il pas cru vlcessaiee de corrservnr plus demonde auprès de lui, d'autant plus qu'il savait

dd'aenPimmédliémenles démon louis le rejoin-

Au fur et à mesure quo les tribus orri-vaient sur la place, elles se rangeaient en Nunordre sur trois c61ls, laissant vide le gnatrie-

e, qui du reste foi presque immédialemenlenpé pm ana troupe demadeux cens

à evagnnros

poo près, qui, de 1 quo les Indiens,roslèrenl i mmobiloe à l'endroit qui leur étuisassigné,

Seulement les Iudimns blutera à pied os lenmus.roque sens armes, n'ayant uue que leurs

aot vlus ocinlmro,ou

Bléqqua

les

vaquoroscubant

à

cheval et armés jnsqu'uux items.I)oelnyu Anglais, lrro rnsou

1112;adsos

gm'adsaient rout6.s bans la virlÎerà lavelte ,le l'eecupation, monlraieot ,Ja et là leurs

ares e1'farIs aux fenltres de, maisons du laIdac

Les femmes indiennes, groupées no désordrederrière leste guerriers, av uu::'ent cil iause-memla li pur-dessus l'épaule io -,cipour voir ce qui allait le passer.

Le contre de lu place étais libre,'levant l'échafaud se tenait ou pied d'un au.

tel r en ferme de tagosier bre aveu ne profonde raiu"Il, momd d'eu soleil le grimé

uvdzin oea. Apaches, accompagné ders dun ordre ivlOri. 'fous

bras croisés sur la poitrine et les regards diri-

gés vers la terre.

Lorsque chacun cul pris place, cinq autrescoups de canon elentirem,

Alors raie brllaulo oavaloude arrivé en ea-Mentant anr la place.

bu 17to venait le Chaf-Tigre, l'air Ber et l'mil

Derrière e lx venaient don Predra, sa filleet plusinnrs dues principaux habitants de laill..

Le Chat Tiare descendis de cheval, moular l'é I,afuud et se plaça devnnL le premier

fauteuil, mais sans s'y asseoir.Don'forribiq aprosavoir aidé dons Ilermosa

meure pieds terre, vielle placer devant leLes t fauteuil,selev trolls' du jennrihomme, ordinairement

pétas, étaient cufl ramée, ses veux cr,or, smn-Llaiem rem ie per les veilles; i i Issu yaitinees.somment la sueur qui p01 lait sur son front, ilparaissa ou prise à une v ambition enté-; parfois révél.it s sagemuigrd les violants efforts yui il fo sait pour lamailriser.

Doua llermosa s'était placée derrièreson poreà yuelyors pas à peine du l'échafaud, elle aussiruait sons le roue d'nnc farte émotion ivlé.

vile 51eit pâle, ses Sonos étaient 51e's, p0, 7010 n ,ressoillament n agitaiéeao

atonerougeurrv fébxrile

e-tous I .ombresrv;:sa, r' e, yui presq roi aus

dc, ait nï une Inijem lividm elle tenaitvu.aes ro-

gardsobslin6meet BxGs sur do. Toi, trio.Los couche se groupèrent au pied

do l'hcimfand qu'ils entonnèrent.La canon retentit uue troisième fois; alors

les pintas s'6cartérent ot Iuimerrem voirun houxm' diroitemelit garottd qui gisait sur le sol aumilieu d'ras.

1,', mamzin se tourna vers la foule,- .,Il I1 u ,aloi rci éooubua, dit-il, vouspnury oi`u sommes rc ais ici : umregra,r,

d père Îe Sole., a souri in nos soleil; leW,,,,, h a combauu pour nous, r suis

ainqueurs, ainsi yue nous lo po

me'ai',il y n nu mois à peine, roi abat illustre. CetatopeR est à nens; ce chef élu par nous, pour

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

La 2e section, comprenant hs électeurs dola ville dent les noms conmencent par les lettreS G,11,1, J, N, L, M, N, 0, P, Q, R, S, 'f,U, V, X, Y, Z et. l'hopit d Saint-i:'j es, seréunira dans la salle rle l'i 'lie ruutuelle, ritedu R nt-1'ïeux;

La 5e sectitn, comprenant les ldecteurs deSrint-Marl.in du 'l'ouch, se réunira dais la sallede l'Eeole cammtnlale de ce quartier;

ha 4e section, comprenant les électeurs deLardent(' , Se réunira dans la salle dl'Ecolé' 1coniri oi le de ce quartier;

f.ai !ie section, comprenant les électeurs duquartier de Latburguette, se réunir dans unesalle de la maison de M. Fort, limonadier, àL ifonrpneIte;

Lai tte section, comprenant les éleçteurs deSaiut-simc,n, SC réunira dans une salle de lamaison de M. Bézian, limonadier, place del'Eglise, à Saint-Simon,

Les électeurs militaires de la commune deToulouse, autres que ceux désignés sons lenom générique d'officiers sans troupe, qui setrouveraient à Ton!ouse, voteront dans la Ireseet;on de leurs cantons respectifs. Des cartesd'entrée IOUI' seront délivrées sur leur de-dnande à la Mairie.

Arrondissement de Ville franche

La commune de Bourg-Saint-Bernard seradivisée en deux sections

La Ire section, comprenant tons les électeursappartenant à la paroisse du Bourg-Saint-Ber-nard, se réunira dans la salle de la Mairie;

La 2e section, comprenant tous les électeursappartenant à la paroisse de Roques, se réuniraau village de ce nom dans le local qui sera dé-signé par M. le maire.

J,a commune de Lanta sera divisée en deuxsections

La tre section, comprenant les électeurs dela partie de la commune dite section de Lanta,se réunira à Latta dans la salle de la Mairie;

La 2e section, comprenant les électeurs deSaint-Anatholy, dausle local qui sera désignépar M. le Maire.

La commune de Revel sera dfvlsée en troissections :

La Ire section, dite de Revel, comprendrales eiectenrs de la ville et de la partie du mi-lieu de la commune, limitée au nord par lechemin de Garrevagues-Gandels et le vieuxchemin de orèzo, s'embranchantl'unet l'autreà la route départementale ne 20, de Revel àl'uylaurens, au lieu dit des Cinq-Coins, et aumdi, par le ruisseau dit Goutemirou. Elle seréunira dans ur A salle de l'Mtel de la Mairie;

La 2e section, dite Couffinal, eomprendra lesélecteurs de la partie du t."rd de la commune,limitée au midi par les dits de Garre-vagues et de Sorèze,qui la séparent la seeLion de Revel. Elle se réunira à Couffinal, û'nue salle du Presbytère;

La 5e section, dite de Dreuilhe, comprendrales électeurs de la partie sud de la commune,limitée au nord par le ruisseau de Goutemirouqui la sépare de la section de Revel. Elle seréunira à Dreuilhe dans une salle du Presby-tère.

Arrondissement de Muret.

La commune de seradivisée en ('feux sections

La Ire section, comprenant les électeurs duchef-lieu et autres quartiers du territoire de Incommune, à l'exception tics quartiers désignésdans la 2e secoua ci près, se réunira dans lagalle de la Mairie ;

La 2e section , comprenant les électeurs dessections d'Argaing, de Piques et tin Caujoulette, et des quartiers du hameau de Laseioozet-tes, du Roué et des Counses, se réunira bansnn petit Incal clépentlant de l'église d'Ar-aing.

La commune de Muret sera divisée en troisSeetions

La 1 section , eomprenant les électeurs dela ville, tics rues de l'Esplanade et tin Petit-Versailles, du quartier de Lhérisson et du fau-bourg de la Garonne, se réunira dans ta salle dela Mairie ;

La 2e section, comprenant les électeurs dufaubourg de Longe à partir tin pont, du ha-meal, d'Or et du faubourg de Salles, se réuniradans une dis sales de la Sous-Préfecture ;

La 3e section, comprenant les électeurs des

réunira dal;s la salie de l'école communale d'Es-tanteus.

Arrondi.ssemcci de Saint-Gaurlens.

La commune dit Rclhèze sera divisée en deuxsections

La Ire sectio:r, comprenant !es .électeursdu chef-lieu, se réunira dans la salle de laMairie ;

La 2e section , comprenant les électeurs duhameau d'Escoulis, sè rétinira t1'Jns le local quisera indiqué par M. le Maire.

La commune de Boutx sera divisée en deuxsections

La 1Te section, comprenant les électeurs deBoutx, se réunira dans ce hameau, dans lasalle qui sera désignée par M. le Maire ;

La 2e section , comprenant les électeurs deGers-de-Boutx, se réunira dans ce hameau ,dans la salle qdi sera désignée par M. leMaire.

La commune de Muntastrue-Salies formeradoux sections

La 11e section, comprenant les électeursdu chef lieu, se réunira dans la salle de laMairie ;

La 2e section , comprenant les autresélecteurs , se réunira au hameau de Saint-Martin, dans lelocal qui sera indiqué par M.leMaire.

La commune de Montespan formera douxsections

La Ire section, comprenant les électeursdu chef-lieu, se réunira dans la salle de laMairie ; .

La 2e section, comprenant les autres élec-teurs, so réunira au hameau de Léoudray ,dans le local qui aura été désigné par M. leMaire.

La commune de Saccourvielle-Benqué seradivisée en deux sections

La Ire section, comprenant les électeurs deSaccourvielle, se réunira dans la salle de laMairie ;

La 2e section, comprenant les électeurs deBenqué, se réunira à Benqué, dans le localqui sera désigné par M. le Maire.

La commune de Saleich formera deux sec-tions

La 4re section , comprenant les électeurs duchef-lieu, se réunira dans la salle de la mai-rie;

La 2e section, comprenant les autres élec-teurs , se réunira au hameau d'Urau, dans lelocal qui sera désigné par M. le Maire.

La commune de Sauvelerre formera troissections :

La Ire section, comprenant les électeursdes hameaux de Barry , Garnère, Bruncan,Bagen, Milhau et Reston, se réunira dans lasalle de la mairie;

La 20 section , comprenant les électeurs desrameaux de Boucou , Gesset , Lezan et Gége ,se rai;dira à Boucou; dans le local qui sera dé-signé par :aë. le Maire ;

La 3e section, les électeurs dela paroisse de Lô, se roi. 'tra à Lô, dans le lo-cal qui sera désigné par M. le ibafre.

Art. 8. - Le bureau de .chaque a0mbléeélectorale se composera d'un Président, de qua-tic Assesseurs et d'un secrétaire.

La présidence des colléges et sections appal-tient aux maires, adjoints et conseillers.municipaux de ta commune ; à leur défaut,tes présidents sont désignés par le Maire , par-mi les électeurs sachant lire et écrire.

Les assesseurs sont pris, suivant l'ordre eutableau, parmi tes conseillers municipaux sa-chant lire et écrire; à leur défaut, les asses-seurs sont les deux plus égés et les deux plusjeunes électeurs présents sachant lire et écrire.

Art. 9. - Les cartes d'entrée, dans les as-semblées, seront remises aux électeurs parles soins de MM. les Maires.

Art. 10. - Dans les communes divisées onplusieurs ctions, le dépouillement se feradans chaque section. Procès-verbal en seradressé. Le recensement général des votes dela commune se fera ensuite par tous les pré-sidents réunis sous ta présidence du Présidentde la le section , qui sera chargé de trans-mettre le travail

A'l'oulouse, le recensement générai des vo-les aura lieu, savoir

f'oui' les sections dépendantdu canton Nord,dans le prétoire de la Justice de paix, rue

agneaux d'Estantens et de Saint-Amans, si- Louis-Napoléon , sous la' présidence du Prési-ués sur la rive droite de la Garonne , se dent de la Ire section de ce canton ;

n )us commander et nous dét6,Idre, est le Chat-'l'i;re; nous allons en son nom eô au ntltre offrir au maître de la vie le sacrifice qui lui estle plus agréable, afin qu'il nous continua satoute-puissante protection; sorciers, apportezla victime.

Les amantzins saisirent le malheureux qu'ilsgardaient et l'étendirent sur l'autel; c'était unMexicain fait prisonnier à la prise du vieuxpresidio. Le pulquero dans la maison duquelse passe une des premières scènes de ce récit,poussé par l'avarice malgré les représentationsqui Lui avaient été faites, n'avaient pas vouluabando>;ner sa misérable pulquera et il étaittombé enh'e les mains des indiens.

Cependant don Torribio se sentait de plusen plus mal; ses yeux s'injectaient de sang,ses oreilles bourdomtaient, ses tempes bat-taient avec force, il fut obli3é de s'appuyer suran des bras de son fauteuil.

- Qu'avez-vous 9 lui demanda clona Her-mosa.

- Je ne sais, répondit-il, la chaleur, l'émo-tion peut-être, j'étouffe. Cependant j'espèreque cela ne sera rien.

Le pulquero étendu sur l'autel était dépouilléde ses vêtements; on ne lai avait laissé queson pantalon; le misérable poussait des criseffroyables.

L'amantzin s'approcha de lui en brandissantson couteau.

- Ah! c'est affreux! s'écria doua lier mosaen se cachant le visage avec les mains.

- Silence! murmura don Torribio, il lefaut t

Le sorcier, sans tenir compte des cris de lavictime, choisit prudemment la place où ilvirolait frapper, tandis que le malheureux, lesyeux démesurément ouverts, le regardait avecune expression d'épouvante impossible ii ren-dre.

Tout à coup l'amantzin leva le couteau, etl'enfonçant dans la poitrine do la victime, il 1i;

L liii fendit dans toute sa longueur.Le misérable poussa un hurlement effroya-

ble.Alors le sorcier, plongeant sa main dans la

poitrine béante du malheureux, lui arracha lependant que ses aidesc(atrr tout palpitant ,a

recueillaient avec soin le sang qui coulait àflots. La victime se tordait avec des cris atro-ces et des efforts surhumains. En ce moment,les sachcros montèrent en foule sur l'échafaud,et, asseyant le Chat-Tigre sur la butacca, ilsl'élevèrent sur leurs épaules en criant avecenthousiasme:

Vive le vainqueur des visages pâles, legrand sachem des Apaches !

Les piaïes aspergeaient la foule avec le sangde la victime.

t..es Indiens, en proie à un véritable délire,trépignaient de joie avec des cris assourdis-sauts.

- Enfin ! s'écria la Chat-Tigre avec orgueil,j'ai tenu ma promesse, j'ai chassé à jamais les.blancs de ce pays.

- pas encore t lui dit don Pedro d'une voixincisive : regarde i

Un véritable coup de théMre venait d'avoirlieu.

Les vaqueros, jusgne-là spectateurs impassi-bles de cette scène, s'étaient tout à coup préci-pités au galop sur les Indiens sacs défense,tandis que par toutes les issues de la place en-traient au pas de charge des troupes mexicai-nes, et que toutes les fenêtres se garnissaientde blancs armés (le fusil, et qui faisaient impi-toyablernent feu sur la foule.

Au milieu de la place on distinguait don Fer-nando Carril, Luclatn Pedralva et don Este-van , qui massacraient impitoyablement. lesIndiens éperdus en criant

- Sus i sus ! à mort ! à mort I- Oh ! s'écria don Torribio en brandissant le

totem, quelle affreuse trahison i£t ll l'élan;a pour voler au SQCOUt'S des i1:

Pour les sections dépendant du canton Sud,dans une des salles de la Cour impériale, sousla présidence du Président de la Ire section dece Canton";

Pour les sections dépcndantrlu canton Ouest,dans le prétoire de la Justice de paix, rue Bo-naparte , sous la présidence du Président dela Ire section de ce canton,

Art. I9. Les procès-verbaux de chaque com-mute, arrétés et signés par les membres dubureau;seront portés au chef-lieu' du cantonpar deux de ces membres. Le recensementgénéral des votes sera fait, le 20 juin, à dixheures du matin, par le bureau central sié-geant au chef-lieu du canton, qui proclameraMembres du Conseil général et du Conseil d'ar-rondissement les candidats qui auront réunile nombre de suffrages déterminé par l'article!p de la loi du 7 juillet 1852.

Nul n'est élu au premier tour de scrutin,s'il n'a réuni

le La majorité absolue des suffrages; 2e unnombre de voix égal au quart de celui desélecteurs inscrits.

Si celte double condition n'était pas remplie,il serait procédé à un nouveau tour de scrutin,le samedi et le dimanche (ou le dimanche seu-lement selon la population des communes),qui suivront la proclamation du résultat dupremier tour de scrutin.

A cette seconde opération, l'élection auralieu à la majorité relative, quel que fût lenombre des votants. Si plusieurs candidatsobtenaient le même nombre de suffrages, l'é-lection serait acquise au plus àgé.

Art. 12. Immédiatement après la fin desopérations, le Président du bureau central ,siégeant au canton, nous adressera, directe-ment pour l'arrondissement chef-lieu, et parl'intermédiaire de MM. les Sous Préfets pourles autres arrondissements, un exemplaire desprocès-verbaux, ainsi que les bulletins et pro-testations qui y seraient annexés.

Fait à Toulouse, le 30 mai 1864.BOSELLi. '

Un porte-monnaie, contenant une somme enpièces d'or, trouvée, a été déposé au bureaucentral de police.

SALLE DE M. MEISSONNIER , RUE SAINT-ROME.

Mardi 7 juin 4864, à S heures du soirCONCERT

Donné par Mesdemoiselles Caroline et Henriette

MEZERÀY,Avec le concours de MM. Méric, Leybach,

Fauré et Luigiui.

PREMIÈRE PARTIE.4. Grande fantaisie pour piano, sur les mo-

tifs de la Fiancée du Roi de Gerbe, exécutéepar l'auteur (J. Leybach.)

2. Air du Pardon de Ploërmel, chanté parMlle Caroline -Mézeray (Meyerbeer.)

3. Nocturne espagnol, grande fantaisie pourla harpe, exécutée par Mlle lenriette Méze-ray. (Th. Labarre.)

4. L'Aveugle, mélodie composée pour 111.

alériç.5. So de violon, exécuté par M. Fauré.6. Duo de Si j'étais Roi ! chanté par Mite Ca-

roline Mézeray et M. Méric. (A. Adam.)DEUXILME PARTIE.

1, Médilatioi sur le 1er Prélude de Bach ;pour soprano, harpe, violon et harmonium,exécutée par Mesdemoiselles Caroline et Heu-nette Mézeray , MM. h'aui'é et Leybach.(Gounod,)

2. Romance de Joconde, chantée par M. Mérie. (Nicolo.)

3. Les Gouttes de Rosée, andante caractéris-tique pour harpe, exécuté par Mite HenrietteMézeray. (E. Godel4'oid.)

4. Fantaisie pour harmonium, exécutée parl'auteur. (J. Leybach )

5. Mariette, chantée par Mlle Caroline Méze-ray. (E. Arnaud.)

0. Duo et variatlous brillantes sur des airsde Norma,'pour harpe et piano, exécutés parMesdemoiselles Henriette et Caroline Mézeray.(Lorivière.)

Le piano d'accompagnement sera tenu parM. Luigrm.

Prix du billet, 3 francs.Ou trouvera des billets chez M. Meissonnier

et chez tous les marchands de musique.

diens, mais il chancela, un voile sanglant s'é-tendit sur ses yeux, et il tomba à genoux.

-Mon dieu! s'écria-t-il avec désespoir, qu'ai-je donc?

- Tu as que tu vas mourir! lui dit à l'o-reille don Estevan en lui saisissant le bras avecforce.

- Tu mens, chien ! fit-il en cherchant à serelever : je veux sauver nies frères!

- Tes frères sont massacrés; ne devais-tupas tuer demain don Pedro, sa fille, don Fer-nando et moi-même ! Meurs, misérable, avecla rage de voir ta lâche trahison punie! C'estmoi qui t'ai fait boire du leche de palo : tu esempoisonné i

- Oh I s'écria-il avec désespoir en se traî-nant sur les genoux pour gagner le bord dela plate-forme, malheur! malheur! Dieu estjuste.

Sur la place les Mexicains faisaient un car-nage horrible des indiens!

- Souvenez vous de don Antonio Valverde !criaient-ils; vengez le major Blum !

Ce n'était plus un combat, c'était une effroya-hie boucherie.

Plusieurs chefs fuyant devant don Fernando, Luciano et don Estevan, se précipitè-rent sur la plate-forme, comme dans un der-nier refuge.

ter 1u uIaII:N'r DE LIGNE.

Programme des morceaux qui seront exécute.'saujourd'hui 5 juin l(54, au Grand-Rond,de S à t) heures et demie.e1, Don Juan. (NIzart).

2. Ouverture de Zampa. (lIéi'old).3. La Fiancée. (Auber).4. Le Trouvère, deuxièmefantaisie. (G. Verdi),5. Air de danse. (d. Josneau).6, Les Echos des forêts, polka. (Riedel).

OBSERVATIONS METEOROLOGiQUES.

De M. Bianchi. - Du 4 juin 1864,;Minimum:+930,4,Thermomètre centigrade. Maximum: 28 ,0.

BAROMÈTRE. ÈTAT DU CIEL. VENTS.

9 h. du m., Om,751 2- Nuageux.- S. E.3 h, du soir, Om,759 8- id. - N. E.

Le baromètre continue d'osciller un peu au-dessus de Variable.

Le temps est assez beau. De forts nuagesvoltigent pourtant dans l'air, mais ils laissentvoir par intervalles un beau ciel bleu.

La température est fort élevée.Pour bouta la Gàrooiqua foula at tout ce qui pr0cida,

A. Purot.

M. Legros, maître répétiteur (2e classe) aulycée impérial de Carcassonne , est nommémaître répétiteur (même classe) au lycée im-périal de Montpellier (emploi nouveau).

Foix, 4 juin.Les assemblées électoralés des cantons de

La Bastide-de-Sérou, Tarascon, Vicdessos, Mi-repoix, Pamiers, Castillon et Massai sont con-voquées pour élire chacune un membre duConseil général.

Sont pareillement convoquées, à l'effet d'é-lire des Conseillers d'arrondissement, les as-semblées électorales des cantons suivantsCabannes, Lavelanet, Quérigut, Tarascon,Mas-d'Azil, Varilhes, St-Lizier, (chacun unConseiller), Pamiers, Castillon et Oust (chacundeux Conseillers).

A partir du 45 juin 1864, un dépôt demendicité sera établi à Foix et remplira, pourle département de t'Ariége, la double destina-tion voulue par le décret du 5 juillet 4808.

En conséquence, il sera ouvert : 4e aux in-dividus qui auront subi une condamnationcorrectionnelle pour délit de mendicité; 20 àceux qui, sur leur demande et après que leurindigence absolue aura été régulièrement cons-tatée par les comités de bienfaisance, serontautorisés par M. le Préfet à y entrer.

A partir de la même époque, la mendicitéest défendue dans toute l'étendue du départe-ment de l'Ariége, et tout individu, valide ounon valide, qui aura été trouvé mendiant, seraarrêté et mis à la disposition de M. le Procu-reur Impérial du ressort.

On lit dans le Mémôrial des Pyrénées:M. E. Pereire, président du conseil d'ad-

ministration du chemin de fer du Midi; M.ltenri Pereire, administrateur; M. Surell, di-recteur de la môme Compagnie, et M. Sézan-ne, directeur de l'exploitation, sont arrivéslundi à Pau par un train spécial. Lis sont re-partis hier, à trois heures, pour Bordeaux,après avoir étudié sur les lieux les diversesquestions qui se rattachent à la continuationde la voie do fer depuis Billières jusqu'àAressy. n

Alérie.Le Moniteur de l'Algérie du 28 mai nous

apporte les nouvelles suivantest Le général Deligny continue ses opéra-

tions dans le Sud; à la date du 24 mai, il étaitrevenu à Géryville, ramenant des approvïsion-nemenls de toute nature dans cette place, dontil a fait sa base d'opérations.

Pendant qu'il était redescendu vers ItI e-neg-el.Souk, les tribus insurgées s'étaient éta-blies entre Ksel et Géryville, afin d'avoir del'eau pour leurs troupeaux, Les Harrars étaientvenus boire jusqu'à Kheneg-Azir. Ces popula-tions, en voyant sou mouvement, se sont reje-tées au sud-ouest de Géryville, vers SidirelHadj-ben-Amour et A'in-et-Orak. Elles sou.frent beaucoup et le manque d'eau va les for-

- Ainsi périssent tous les traltres ! dit..- Mon Dieu, s'écria don Torribio en se rele-

vant sur les genoux par un effort suprêmeet levant au ciel un regard brillant d'espoir ,mon Dieu ! je vous remercie, vous m'avez par-donné !

Son visage prit une expression de' joieradieuse, et, retombant en arrière, il ex-pira.

Don Hermosa avait disparu ILorsque le Chat-Tigre, qui longtemps avait

combattu comme un lion au plus fort de lamêlée, avait reconnu que tout était perdu etqu'il ne lui restait plus qu'à échapper par uneprompte fuite au sort que lui réservaient lesMexicains, s'il tombait entre leurs mains, ilavait rallié autour de lui une poignée de sesbraves guerriers, s'était emparé de doua lier.mosa malgré ses cris et ses prières, l'avait je-tée en travers sur sa selle, et, poussant soncheval au milieu des combattants, il s'était ou-vert un passage, et, suivi des guerriers qui luiétaient restés fidèles, il avait réussi à sortir dela ville et à gagner la campagne.

Lorsque les Mexicains s'aperçurent de safuite, il était trop tard pour le poursuivrecomma l'aigle emgorlant sa proie dans ses ser-res, le vieux bandit était déjà hors de toute at-teinte.

- Ah I s'écria don Torribio en bondissant XXXIV.comme un jaguar et saisissant don Fernando UN Mots A r R È s.à la gorge, au titoins je ne périrai pas sans ven. D était environ quatre heures du soir, lesgeance ! rayons du soleil, de plus en plus obliques ,

11 y eut un moment d'anxiété terrible. allongeaient démesurément l'ombre des arbres.- Non, ajouta le jeune homme eni làchant Les oiseaux regagnaient à tire d'ailes leurs

son ennemi et en retombant, ce serait loche , gttes de nuit et se blottissaient à qui mieuxma vie appartient à cet homme, il me l'a ga- mieux sous la feuillée avec des cris et desgnée t piaillements assourdissants, quelques troupes

Les assistants ne purent retenir un cri d'ad- de loups rouges commençaient à apparaltre aurniration. loin prenant le vent et préparant leur chasse

ton Estevan épaula froidement son fusil et nocturne au dessus des grandes herbes; onle déchargea à bout portant dans la poitrine du voyait çà et là surgir les hautes ramures desjeune boume étendu à ses pieds. elles et des qui soudaig rejetaient

cer à se diviser.a Le général Vusuf, tout en maintenant dans

le devoir le sud de sa division, menace leDjebel-Amour. Les tribus qui s'en étaient éloi-gnées pour se joindre à Si-Mohammed-ben-llamza, sont revenues chez elles en voyant sa'colonne à Gementa et à Leurs ca-valiers ont tenté quelques incursions dansl'est.

, Le 27 mai au nombre de 400 envi-ron, ils ont attaqué, en vue d'Aiu-Marhi,un détachement de 50 spahis et de 50 tirail-leurs indigènes, envoyés pour prendre, danscette ville, du matériel laissé par le généralYusuf.

. Le capitaine Letellier, chef du bureauarabe de Laghouat, revenait en ce moment deTadjeromra avec un goum; il s'est porté ausecours du détachement, et l'ennemi, vigoa-reusement poussé, a disparu, laissant 25 pri-sonniers entre nos mains, et 155 tués. Nousn'avons eu dans cette affaire que deux hom-mes du goum tués et unde spahis iéssé'. '

A Dans )fl subdi i,ion de Mostaganem, lemarabout Si-Lazereg a vu grossir ses contiu-g ents par la défection de la plus grande par-tie des Beni-Ouragh, Beni-Meslem et Meck-nessa.

. Le 26, au soir, Il campait à peu de dis.tance d'Ammi-Moussa, et le 27, au matin, il a.attaqué ce poste sans succès. Repoussé, aprèsavoir perdu une centaine d'hommes, il est allés'établir à un kilomètre du bordj.

Le caïd des Marioua, fils de l'agba Moham.med bel Hadj, a été tué dans cette affaire encombattant pour nous.

Le 31, le colonel Lapasset, avec 2,500hommes d'infa#tlerie, deux escadrons de cava-lerie et trois pièces d'artillerie, sera à Ammi-Moussa.

, Vers le ter juin, le général Rose partirade Belizane avec les 42e et 82e de ligne, qua-tre escadrons du ter hussards et trois piècesd'artillerie, pour se porter au ('cour des Flit-tas.

Le calme continue à régner dans l'Est dela division d'Alger et dans la division de Constantine. Les tribus tunisiennes n'ont tentb au-cune attaque contre nos gens de la frontière.Les insurgés de la régence sont occupés en cemoment à bloquer le Kef.

- On lit dans le Courrier d'Otan du 20mai

Nous sommes heureux d'annoncer que, de-puis l'arrivée .de la colonne à Relizane, on avu disparaltre toute trace de la panique quiavait un moment troublé la population. Par-tout les colons se sont remis à l'couvre, et lesirrigations ont été reprises.

L'autorité militaire a pris de vigoureusesmasures pour que la plus grande sécurité soitmaintenue.

Tout fait espérer que le service des dépêches,momentanément suspendu- par mesure deprudence - entre Alger et Oran, ne sera paslongtemps interrompu.

Paris, 3 juin.(Correspondance particulière,)

Le Moniteur du soir a publié une note ongue sur la Conférence, et nous y avons avide-ment cherché le dernier mot de la situation.Hélas I cette note n'était que le résumé desnouvelles que nous avons enregistrées il y atrois jours. Nous cherchions le résultat de laréunion d'hier, et le Moniteur en est encore àla séance du 28. Il faut avouer que, pour ptiorgane officiel, le Monitezr du soir est hi@nlentement informé.

Si la Conférence a fait un pas hier, c'est unpas en arrière,ll résulte, en effet, des rensei-gcements apportés par tous les journaux deLondres sans exception, que l'Allemagne s'estmontrée apssi hostile que le Danemark auxpropositions des neutres, qui tendaient

.8edü-

per le Slesvvig en deux.Les allemands veulent conserver les trois

Duchés, et le enemark consegl à peine à encéder deux, voilà où l'on en est. Le désac-cord est donc complet et le premier résultatde ce défaut d'entente est que le Danemarkrefuse de consentir q la pfolgngatign tle lparmistice. Cette question a été disct}tée hier,mais iriutiletnent, et la Contéronçe s'est ajour-née à lundi,

leur tête en arrière et se remettaient à fuiravec une rapidité vertigineuse; le soleil, pres-que au niveau de la ligne d'horizon , n'appa-raissait plus entre les troncs des arbres quesous la forme d'un énorme globe de feu.

Tout annonçait l'approche rapide de la nuit.Dans une forêt vierge, éloignée de deux

cent milles environ du presidio de San Lu-car, où se sont passés les derniers et terri-bles épisodes de notre histoire, au centre d'unevaste clairière , deux hommes recouverts ducostume des gambucinos mexicains étaientassis sur des crânes de bisons desséchés, de-vant un feu clair qui ne produisait aucunefumée.

Ces deux hommes étaient don Estevan Diaz,le mayordomo de don Pedro de Luna , etLuciano Pedralva le capataz, le fusil appuyésur la cuisse, afin probablement de pouvoirs'en servir à la première alerte; ils fumaientleurs pasillos de paille de maïs sans échangerune parole.

Plusieurs peones et arrieros étaient couchéeà quelques pas de là, auprès de quelques mu-les de charge qui mangeaient à pleine bouchela ration de blé indien placée sur des montasétendues devant elles sur le sol; huit ou dixchevaux étaient entravés à l'amble, non loind'un jacal en branchages devant l'entrée du-.quel, en guise de porte, était attaché un za-rapé. Un peone immobile sur le bord d'unétroit ruisseau qui coulait à l'extrémité de laclairière veillait, le fusil sur l'épaule, à la sû.raté commune.

GnsTAVE AIMARD.

(La suite à demain).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Le br u't coi 1, d: n. I , sicles, s s Co s ro des Al t clonera eti I'l:coloI; n e 1,, r s,ue,s q e cscloutn. impG calo des poule at ehaussees;

.a , ii, niasacque 1 I t t AI J h fdn c,bmol, eaorcl }sutde n v II I p d b t It lSt-J.,,,, p 1 d f médiation

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1 cardé 0 ajouterl! 11 , t;. ls é..I 1 p : I 1, 'I 1

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d 41 "Il un liés long cool.nequd p l ü des , Couille l' sal,on du gon an004 des

Arabes. Ce ccmmnniga6 se termine parce pa-oommmmoiv

E invitant la eEdaction do l'Alhbar à satir de la mauvais, voie cil elle esL 0010ée, souspains d'ana et a répre e

l'adni ,islraliao sa aube fidèle ans pri pnuet'ux Dodiiions Je l'illuNre réduit dune cejournal lut nuàme a prooiamd, en fort bous Ire-

s, les gseliics b,nicroIre et libarales. Touteu faisant 6 la presse la us grande ailladepour la discussion da les

plpropres soles, la ma-

réchal n'a sala is héailé à lui signaler le dangerda oerlainThéories et à répïimer ses (colisau besofv. L'sumril6 ale droit de poncer qu'ilsera tenu compte de cet avis. ,

D'opres les bruits qui circulent, il srrmlquestion de l'rnvo

de

n veaux rcnforls nAl brio. I cs[ nlaoce Puisinous de1 Zndepend lcclge dit quo ces nesforus l'Ala-

tà

dol coin nav,

et sareposeraient l la l ,sn parI_ é 1 D I0 k' 'dois uni autre carres-

p 1 ee it savoir qudeux r lu jouea il Je11 ddépart ",ai . -livraient seuls l'ordre de ce

.0u parla nossi de ferai de Lro, pas de dé-ridé,.(lu pari

à Taros; mors rien r'e1a précisénet égard.

A parue l te l II t proclrmv, foula i.,chua.,,le 1él-ae don bureau n Paul JFranco et 1 R e ara uniform6me0el Eà trois francs.

[ d morde fermée par I farauds le 11 Ira"ely contre A1. de T II i l'6 Sen u

ul

'u patron de nom, a lié ppelee or,lina

la mm-dire Chambre du 'ra,,vil, présidée pur Ni. Ilenoit Ilhampy S

demanda des avocats, l'affaire a été reb ahine

L I I o t I I tlp oL, unpd 111 pl d I G t l I,.,je P 1 la

nl 1

1 lie , I,n .. 1 l et qm av locre voeln pa as ou i a la loué a,teoln Gt t

ou areet ntére Laeln

iF - i r n t 1 1

t G 11 L }

a1 '0

7 1 1F

L P l f I J o l dé à

col ;

P PIMil

fp 1. tlrp - pa trio le ilcl 1p'. o r écrit a ce I t amis

1 ll e a leu ,antes ; ll' d I I l p s aentre mes minus al o lic ma arracha des Pai_mes.

Un m' e que le privée C.ierls feall odonna loin,

réelmmcnu ea démission d du

gauvenoment n, ne sel p Il1

i anstai,

n Angl,terce. q110 lin fcoo 'c

é

difficiletache co rl (était

impwdo.ra

Le r[gmsna rc que pr d 6Ile prncme global 11 1 d 1 fl' LaPommerai I 1 I l f ',t de7uridigne ol et phil oplnqur la quesfion de la l.' de Siori.

Pour extrait : A. Pulol.

Le illonilrne publie eujoord'hni un long rap-port dit ininlee ae du cmette ci des travaux publics sen' le commercedos engrais. A défaut des evgreis provenantlv 661,11, dep i lonetampe sufdsauls,Î'agril olore, a Jd a rajartillciels; aussi la cousommatiov de cas séries

d a t elle acq, is des prop,nfons cm,m-dérableequi s'élèvent par année à oing censmillions de quintaux molr,quea dune valeurde 900,000 000 do f .

W o fraude a i l le tulle da i p plm qd'une ma .ro i éh ntép q - I . , i dadanser u I rieulleoe d e. .nt t 1étoutes les gcran Uns qû II est ei. droit do lI l

mer dte la Ici,lin aonea9nepca le minier. propos. ]a m

prsrtion dune mmlcs, pl ie dson avis sur l'oljl Ib et P p1 t t6 d I

desliséo soit à piévamr, soit a lépr,me, lesirait das c mmises dans la commerce des egg aie; llle aurait nopaiema t sI aneinle qu'Oural{ à sui I llcrlo commue.ciel, par la 16gisla,ioq ino v h r l ecjésoud.

en4 II ée par lu nalura et Icmpalier.des Inlérbls à saucmgmder. -

La prop uiliou ministérielle 11,001 été ap-prouvés, la commission demeure composéecomme suit

MM.Le ministre, président

Durons, pénaleur, vice-président;Elle de Deaumnnt, sdnaleur1loaeoau, députéUenrtier, conseillas d'Elnt;Leslibondeis, conseiller d'étalIIayle-6fouihlaed, conseiller à la cour de 000-

110 Raynl, premier avocat général à la couran lie

De 6funn do Mornay, directeur le l'agri-culture

Dailly, membre do laSociété

impériale etcendrel'agrirallors;

Valette, propriétaire dans l'Indre;Tisserand, Let de division au ministère d0

la Maison de l'empereur et des Réaux-Arls;Relia, direcmnr de recale impériale d'ogrii

collure de Grignon;Roussingault, membre de l'Institut,ton,

au Cosservalafra des Arts etII ce;

$arvlf-F1angon , ingénieur, prafasieur ail

Pailler, h t I bareaa, remet , avaitu sulmtice.

O

litd s 1 Acide

1 I 1 II t triennal dess 'té haut d'evu

culs L [ é l I d' A ynbsnovsqui 1 I I c1 { 6. I legislalA-ds o,a,ale par les GI clams ou parles wuls.

Ce cem ib se cour, d qHl. , lu-lev j'avis, I slou,.l f é y I

out, Eliut, H. P,-

rl, SG o 1 I1. Il. 1 E. llar,er, (.R. Id J J Lf 'tee an, Lh. l leyuct, J.I } f' b h Dée, Derorsln, cté II

les'I } tl 1,0101.Les ,cations doivent être d . rées

a M. Ila, je, , as N lie des Peuls [moi p bi

oe lie.AI, Uel mchq an

généraliovu es pre-

sanln comme eonselIl,,géclnéral

à l'auehes,contre 31. de Pracontal, candidat de l'admfnis-tratien.

Le Courrier de SaintLrieuno se dhelore au-toriIé à avnoncer vue 51. Uorian, député auCorps Idgisla Pif, on II lait paella de l'opposition,

elle la cvndidmure au conseil général danslerc

cordon de C,amben.Nmi ns dt quo les circulaires des candi-

dats devaient fore soi

an Ginaba', cou,rivions devoir ajouter que cette formalité

est imposée quauà circulaires a"Ochbes etpluéardéas. Taxila Mord,

- Nous lisons dans le Courrier du IJae-Rhin, du 2 juin <

q re l'ordre de pa air pourN I leul'Ace l l rui, 1 12^ b a i l -l o i d I.10001,s a p i e d en gars, tin à

SslUas-

bor g..

On t 1 1 Op an lxnnale:Erinus I R.. as fat Ihon0enr du nous

l' l ultraconiield 1 1 tioo pobliive 11

refis

se, '---a vous la pressenti hier, lanouvelle position qui loi est oflorte; el, a

tt il ce refus, l .tichoirac1 l appelé le saff g, d. 1 fsscnrs de

e di. Fisses end es coihues de l'Oea.loi, es inso,iptioss et belles-lettres. 11 fera

son r thcr. lui, Gamme parle passé; senI cent il e recevra plue de Irmlemonl. }1.

Î s'i d' ol

nd ,dal a;na

dleliberté dele'p it.

gJ. L616

de ia

Sevrer, 2 juin IRl61 I mnistrc,

J pp 1 n, par la loure que corsa.

aitl l de n'edcrcioe 1 p lamonal,

17 ,1 q àlaje6 l'Cmdue p,ni, J L

a11 avait l ç 6

1 .i t a..jo, ep I t d a oser 1a de la R hlcaILb-f..'I. al 1 1 d SOI t

e

Io, L g f t I I. bI ti1

eet1 par I f 1 Iq il S FI l'Etope

L brait d ino1 démission 'la la claire que Jaceapoas.

collé d

7 Il plinieurs lois II cor dex-

V, est unpois'I le de donner dcou fa-dieeclo il,lirecte coi Ln démission. J'ai

(,té porté à la Ilion' do laoguas bébralque,IoIlty I i j p rfoc, d 1111

1 t f l 1 d l t doutre' 1 d I '1.1 ,

R ll s 1 u Coin, h r,, d illesrs, n est pasprend ,ea lie va, le r<, vouwe

n tlao pour ! t tnm eent qui1 attaché. Las s{ ( a lq t

sont ma r1b ' I I iienl lque. l'alla'cllaes baauaoup d'Imp I à un

le,cscni

j rance t,]a des études

a grande partie, selon Ici, àla nullité dont les aneievnes études sdmiligncsson, depuis longtemps frappées parmi eue

llclc500 ces olnIes dans nos grandes écoles aocou ours lié co7 uav j'ai

unetee parte

tiedde

e mmaiscientifq e

eft

udevoirs moraux.

, Oncle que soient les excellente souvenirsquel g dé 1 clbparlemenl das manvserimde la Intl u j pd lofe, jooseceple douap as la fonctbi ion

11S 161 1E plu o Idt blu

I mie, e, Ils o laque , h ld q VI ,1 u G elle o 1rs an éc je lie sois pas[ auto t

V'

ppdB nlue, ec ilement la traitement de laditechaire 9 effec16 p, y s '1 lit h en 00100orage. G (,aillaient, M. lo

M,m'ira

javasonliené de le [cocher sans que ma r dignité

1111I- 1 q ue I a espérer, lots de I'00011f

ec Iunpleu,Prompte i6oilvcrlure;enci,

d

e'pa,-do état de choses

contre h { i p torts , t tir nsmnçpitroisième I p , n e cté al, n-

pci n f 1 usant q,iil dépend t det aine, selon mon opinion, de Iq nul

i'e a plus ftuptgenâ,;. Dès qc Il nie fut prouvé, en effet, que la

rboavnrloro la mou courre panerait encore lierfwq éloirénbo, ri fait cher moi au petit nom.cru, d'onenfabsfes t la qua nx'aI00ons devaient intéresser le oours quo j'auraislait dans la . salie des langues n au Col-legs de Fiance. Ces sortes d'onselgnergonls

dcslf-(i'e rai",jours

dit 1 s sI ttni siccils

) (j o q me Ipréparées0 à dix ou douar pen sonies sri

c vouées six travaux sud. Collège .lux ron-.cqe,0las

a maîlresllesssplusac111,,reo

Ont dp000111dI

cote ni ro, et jbse croire Sue bien dèse q ci cal Il mot a l e s

celles 6g1 - ntall as nom pas pm.tb aiitani dofruits ino le mien. Il ne faut as ue,olesq

n0 étroi-

teslésasininislrat"de ocre mps anDansportment

d'une"'ou

trop abs0luo dapsl'ordre des chosea de l'esprit.

L'économie supoc Ouielle qui regarde cam-m la suprême sagesse do voir

ilproduit mu-

gible et immédiat du' ses derniers, ea àfaire avec la s e, Le sc

c

masure les

(1) Voir ma leçon d'ouveetcere, p.

mS

G,

50,

mG nies sue rcnnllats u 'qu et a

il.. pl rI

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fut y Iq ! 1 1

g 11, b1 I Il fil I

led c cc 1 .1 1 s

IL et II 'l 1 -. t ['nul cil.

A I

q1 le ministre

I fonds l p I l de languehob

a1qde,t Ida Il I v 1 a tell, fin quo

J . 101u105. 1 taec,e uu fineq 1 l' de larbin Présentation deMu s professe L Ilba. d I t

.def Il 1I S'

jetll

I d a

t d a l a ll I -le t p g des rudes sont la1rddC aI Ib

A 6 II I t c, l'assuranced

la1, ic t d profond respecta-as,

lenoe, LJ Irès Il omble et Très obéissant svuv,leur,

Ernest Rnvsa, .

Voici la fin de la Chronique da lade la Ifevua des Deux-Nondes :

Os peut an figurer les divers rôles. Voicid'abord les trois Allemands : lo Prussien plushardi, pins sec, plus tranchant, i'AutriohiwtPl." modéré, plus réservé, le représentant dela 11110e observant, 6aouhaut , épiant l'occasiond, placer un mot qui, sans le séparer de saspuissants allègues ,marqua ponnaOL la placeet la paysan o on du cette trolsieme Allema-gne rêves parles 6Lats -vers et peuls de laonfedérahou. Nous jure io, e yin l'a t VII la,accords

out coudait les choses eliculeaaeont i.t d nue fs{un cautcleuso. Q - 1 -I 6

gseston le lame stoe, ds ai,te' .Incti 1 bl . p I U r 4 lep0010 ' 11 d- 1 lé jolie dû l l

a

le t p l é Plénipotentiaires1 gl 1. 1 1 l était la

o f t 1 1

P"ii.J J 11 J t

qu'il était équitable que'le

I cu t i

Ji tla r l lut -allé. 0 I bl - 7.Allemands; M.de ne .I. p 1f' s, palela doue , n'aura 1 l 0 douce utendre qui siie I t t ril,masr cent

ont , la Avale prcnd,mt part anx bnslTléssui ferre.

l 1 1 fl 16 il a I, Ilo c6d, l'. u.. I p 1.

tel 11 1 1 i il"laroin

a dé lde I. f 1 1 i. l I l t'mlo'aou ? L b' I II était le t 1 1 18àl,1 p ll1 l i t -d a t,cite bals. I t t cou II 1 O 'dl

h p 1 g q l l I n'avait l.'t ] g 1 t11 ff

ad q 1 ] t p. L I Pbl I{ t i l l6 l1 ire gndqu,temps dbleudu I I bill atone, la Rossa et laF i t t tan de psucipe.

1 N' t{ I balle ,it t t 1

h q 1 I D' k l I

n'ae

g' clous, 1 'I til I l S { lie pt L 1 t ic' . t'II i ..It 1 l'1 II.e 1

Lu L u six yr I nt sir ui. Lord Rassell,10 1 I I 1 Sld Il ,qui sucs lele 11 5 , 1 I ',,tien do LSd2,ont du v ment ,sler sur ,e p>mL La il-

lestancs irlla Prusse et de l'Autriche a blé ln-cibla la l'russe au -donnant dansuneques-

Ii n de forma, at b ellendaut quoi les ralifica-} tl 6 - b e, ire les six

li o II t .ÎL traités. 1511q, . D L

On a I1 t d l 1' d. p p:de le ira l ecmci pd "'I 'd dopaitp i1p

rblc à es p, op . u M. de R, unmvpiod'gv f sue o II g 11, ode les admo-nions conservatrices, car la liuasre a repris

dansles conseils européens la tut,], d'a mai-

'escor cu esaLenrn u il nous semble vair le mol.

heureux lord liusaelb, qui a loi dans Ils d6pa-ches, I si gr'si en éprit mot ,lira de sas por-tcl'eeifle Ics dipbclms Jv ,jan r, dansIre,vant

d'enlvehie le Slclceid , les iniufslresde Prusse et d'Autriche rewnnaissuiont encore

la velldibé du traitédo

1512 ; il u semblesir lard Clsreude" essayent de lu méthode insi-

dey

IPie t

.ngla,e, e, allénuautq ea e abandonnant l' alidit6 absolue du

o'l' éclair.lue le mains pou, blo, elle wlnrdcode discosio da I d l t l u lyi. f à y introduire

,e variantes lev e l 1 gava ndcessmi es.

Mme 69. de Rernslari esL mdonble 1 J repousseles culnaves dn onlral antérieur, la Prusse

rut avoir devant allé table rase et inslilvee desm"sagonouds euh,

N t 1 f -is qu"1 A suffi an cep 6sestaotde la t ra d nt'e de nos pays e1 d aimer laschoses c

n ce

la ires pou t 2-tyéd bli li l601 de ça chiennes. Il dl dire t.. p élads p us 4 sot I L1 Ç 11 qsui , pieds , avant q la b' a' t II do l

chilien cois aba d nnée.fanr. onseennaiIro d n uuicsceque Vuus vaulezel la combinaisonquo vous avec à uousproposoe, La coufique desplbnipolcntieici allenlonds, p00nnét par uneinteeOOJOtiop a, mou sraiseviblemen, 616euricuse, Ail bous voulez savoir si suas avonsquelque abuse à proposer Y Vous voulez eon-naitre notre coslLinnlsan Y Eh bien 1 ui, nousavens une combinaison, nous vous la révolu.

es à notre heare, et le Lheure ne sonneraque lu que vous aurez colonel au traité de1x52> rpour le momont, uonlontez:lions de colladéelaraliou : nous voulons poser la base d'unepaix solide, et pour élablir celle paix il flot qual i dép J I SI s b et du G l t is1a-,io du lug A I plèlo, t 1 les du-chés soient btro cament mais entre eus par lesmêmes instilulions.

On devait se récoler sur une telle ddclara-lian ul laissait la porte ouverte aux comblai.sans

luphis diverses. Devant -bancs eon-

s&Itenms de la déelaralien prussienne, Icsenvoyés danois ne pouvaient que protester enlegua0I de l'insuffisance de leurs pouvoirs. Unode ces cousdquenees 61511 la combinaison queplu

a uomman l'union pcrsonnelio, qui, touten é,ablissant la séparation ppolitique des du-chés et du Denemutb1 aurait Inissb à leur cite

11 ô Il. l f.1t t

Coula, qu'un hasard a misa la 1.1 das1 Ille -! Il d i I t I I A III i p' utés L-suoe, est, lai aussi, un son

lui aima f fifre parler de loi. 11 v 000b é I. tan flunemark et - 'I r l'lï.arope par nous n ns q,elleIrais il

111point l I,

Ics eomPlrcatioi I n'a p J Elat aumlr duquel les 1611'eau , gou Ilpal, co S I F e e ccu l d ns grxn es font lnpage. Le ponce Conza, s

I , i . p

'il"'que

les co

coud lia s liant L, modo a tous las temps et 'efous lead mou ,ps'xedn , , bic, o le l i e pont épouser cane boue, do, 'a' la dmtaluie dont il mpur, Is.

I eo leur d ct e révolutra 1 Vine I.eI lent :s Isprusera Oueston so,,cvre prétexte qu'il a ehmsipeur I l, bercép l d l u 1 Prussienne t elle 1 on- ,le la preste et chasser le parlement roi mol , a

qIvre

1

damoisould

1 I1... I Mie projet délai rurale qui doi conférer auxla ? , L .,a dû Pour { '}s"s le dro t de proprvet6 Ce p, élexle esL

I H a 1 d M d Il t v[ ta, , tin peut tramp r las hommes purblacdo do made almv et d 1. naja qui liuy ,os d Eemopa que out observé la c ri

enc1 ' L lien la position disunct ie la t o e du t ri a depuis aliéna ail.

rson

4ll magne en dehors et à , t d la p sa et . L cru nos, psolec ran-ntr c he, le dlelslee l fond, oe q r'a voera

'a

de

PA Je Repour (, q ast dro 1 Paulo r arbilrmre. Entre son a ItdoitP.

nt nommer le Slesvig, qui es[ I af etlui,

, la 05 110. L; véritable ne portait it point

Dtd 1 I felconl )1 Lest a Is sur la loi rurale. Le pnn

Pl cl ,n'airs a `

n'a

',' q 'I 1 p I t ber 00110l i;l le temps de d t, L ] volerconhe le sauve légitime et d 1 dl - celte loi; la malo isde l'assemblée était notoi-Vous nous la hachez belle M . de iBars[ , ncn, favorablef à la rénovation social, qui da

Aveo '. procédures légales semelles, il faut à voit donner aux paysans la propriItb. Ce rlnila Diète an moins deux gavées pour Juger la est évidant pour ceux qui ont b, là 1'h ie faimès de légitimité que us éve cnain

su pas des priCcwa amuis c'est queOr, vous et vosamies,

, vous maca

z pas princeCouz. n'

n'a point montré les quali!6ados-

sque, tant gu'us arrangement se ser pasa pagant prit tort do couda Il par le.quelles tin rh,l d'6-'I vous seule ev, le Doletain, le Slesvig et lot argon se ne natio nalité et fonde ule Jalloud. F.'esL doue à une occupation fndbfi- rnennen,

u

i-

de

lade la presgo'île danoise, c'est à on démem- VeponF se re qo'i! a bien pl:ieynenbrament indéterminé du Danemark qû ebou- l'assemhlée,raojonrd'hui accusée par 'mi, ctrscenI les prétentions allemandes , lorsque tribué à l'instabilité. des choses en Roumanie',

l'Europe réclame une paix immédiate et quel: 1l tiy a golf rappeler un lait, Ilr l'avGne-qao chose qui -semble au respect de nté- ,but du pruine, c osl-àdire r

r010

III danoise. vingt cabinetsNous supposons quo les choses n'étaient pas se sont su loolà en i Boumatis.

q de ces millislares senlntnent sont incubésplus débrouillées quo Dols, lorsque la Cacao- devant un vote de la chun,bre; les aunes outrance, api es I ll d 17 été élevés - p, I L plcisfr dnon 1

urial I d .: de la p p, C. L nu, "Il ,t ehombrepwtleo8le, E p de tl f s tA 1 t est,o nsble de l'état do t

non-blé le eeu-la, gonds ç { tenaient ü l'p

non, ont dh p d la [ If { ol p dl a v., onsomm q

la:ai, .

1 1 } { 11 dt 1l.

f .1 1 é P t deuxl a I b quo la lu ir'o Clo'n sa dlsliu-b"Ilt

la en "'Ired1 6 t Il f II t f 1

I

p I 0-solide 1. et1

t1 1

1Ige l' 'l{I le

1, Lu ,

Lt1 l 7 il les laps

d b 1 ttlq lu ton',.I e 1 t clos. il'IL Il fII't 1,et 1n8 domo la honnirais' et

{ I l qui altver

elque chatte et q.el'oeq 'I 1 bic ai e V1 r bs

1 t liapparence amete v l e

esIi9 u t les grief, t Il l flou,I

asiles la Daaonaune

ie 01 soc ,Soc s

1 o t Il c.

d po { 1 If on4e lin, LeI. ,. uai il

1 1 I 1 de ouq .

as, 6 e t I . I 1 I uonsdod [ f q- avant l l

dnnon. d r T I. It I I tl F Migre

l l 1 .u ] 9 , C ét e rt du onces ']ans la chambresein, I

1d. b [art Ieo orlom'.01 e;, l' -a1

'1 l' pour Uu, I I I 1 L P 1 roui,r ou llé-l 1 I I t6 1 , I It

t l i P P é p' In'i I Ip J 1

t [Ies , sol1

i- ,

i'

leu. .né iv l 1 IF tl Li, il .q 11 1J 1

ladmdiPau 1- p Ils C p d l t, 1 t 1 a, e d l 1 isi ^I t p éil p d ce,t L I 4 1 1 L .ta i e, t mis I- I t. y t 1 1 1 IsI d d 1 1 Ill. d l l. bt r pros epou I l Id l. d l d q l L .. s

aie, e

1

,

l t. I q. l i t Point I

grandsles fin.

1 es1I it. 1 plusieurs en-ails s

1 L., un 00l faibles,1 qqne

nt P l l nt I C'estan.

ro.ais d 1, l"m auIp 1 dl

1IIS9 ff

q l d lt a t' I Cnale,moi

ImoI 11 1 d t 4

I l i fil p t 1 I nues, dont on nevouaD renmk

réduitson mlépe idan.,ei cas J,,

l tpo d jl que laesemLléc11111 I Ilt t Cu 1,1,01 dvise I.,cna 1 t

L loi cI ta e le répétons, s'en'l lion,allc, 10 de 1i af' D,u, lemai k la pat 0p t. loh I Iro e le chan

9six

n du suc uval état u rosi formé du tlolsrein ,du Lauosl oing et deala partie méeci;orale dSI ."ait lassé anx population,,

L i I t -ec nmaudc per la Pravice t1ib .' 'alherad probablement la nuss,allait forai 1 adhosion de l'A ulndré, q

01101 h f 16y g d "aillade de Pal musaP - 1 l en ta de sel ae.

ait de douceur 1 austaatiou,ploud a..

i mbi.nt e cu6 colle m re,âasinuea ga ci,

1111000 val,onalxallamand qo cillequestions si ample.,, surexcité, et d'Ic-roftre dans la co0fddération ge soigne la

force des ütls cezondaires.L'accord de la France et de l'Angleterre sur

celle saluliao de la question doua:allemandeest une chose coosidérahle sans doute; maiscette solution n'est point elle:même exempleda dillicnn6. Le Danemark ee Iénignm'u-t-IIà I l s l

u.siRouan lui esL imposée par

La La Prusse et l'Allemagne Il 'IIeh t llos pas à p. long., la querell1

e suilc d'in u, n 1011' fronticoe qu'il ne

se. p t s se do tracer Y Le sentiment mémoqui pousse la France et l'Anqaletmre à ,eccmanda, colle sol ilion, il en (sel pas sole drts-sInuler, on afmfbbl d'avance laulmilé,

Co senWmeni est complexe ; un enlelme dé-sin d'empécber la guerre à tout prix l'y mêle

m doute tl Ùe ev,dant touchant la poss,6ih16dot a uadca atbanoes et à une répugnance àmener de concmf de grandes affaires qui nesemblant pont près de huit. La situation loi ndonne

- nue fIl

sentimentcours

dtgp é ont11

lomaglre rare 1 lis I t n lé s 11 Spas crues capables. Cane situ trop clnrant, on

vint pas poutqu f pin 0xeuiple an hommediniliative tel Ove 31. Je Rismark, qui aimeles avemures par len,péeament, qui est obligépeut lIre do les rechercher pur les nbcessildsde sa pcliligne inlbrioure, eeonncm ait à prollleedes occasions e l na Pibiend désormais godéla renumméa d un h omme ofrcov 31. doRimarsk post donné à lui-.ê

I dep is six

mois le Spectacle la plusamusandeant:la

oursinétain saparo, de Ix Fra,1 et Jo l'Angleterre

P"'la question polonaise, lAuglelsore Mont

séparée de la France par la gneslion du Congrès, il a aria ces trois pniseanoes doua la né-oessil6 de laisser vair au monda quelles sont

culées par leur mol,mant. 11 A appris à l'iflemegne sue, lorsque ces trois puissances so tsmbas, elle est capable i affrnnla il, d ffiaileccet , 01 s - ua r aaon scie de résistance la

t d'obliger la Igc é et es i{indanlerre c! l

Franonoce

de tourner malgré elles s!orbite

ede': affaires germaniques. Nous faisons desVmux pour que al. debis ec veuille

bien sa

conlenlor d'un seul succèsd

de cette sorte.Si la question danoise peut arriver à aa da.

nûment quelconque, il semble qu'allé soit des-,inée è étire bientôt remplacée data les prloc-capelions européennes par une affaire orien-tale, l'affaire das principautés roumaines, La

pyson, et :, I Curopu sur l'oblat et les cannesdu 0onml. C. qui est c i-11 dans le coup d'étatciu prince Cour lest qu'il porte atteinte nan-reulmnent aux droils d'a Iluumaios, nais 6, In

1 pb ae qui n couron-, l lçli 1 avait donné l

s11"

quo ,vientd briser. Les

i

[ea de la en, aIIbon sain clone unis a de.

`soinet

ratl d cuit le veiller .c eauqui sa

s mces,ld c est iio s, pO hccniclIc,rb., Ilrssle

lu'ru,gme,raoi tachent la Roummet

ai' par leursfrouiièras, Si Io peiucc Couza ont blé omm6

n vérileU b ocie l lisanu, é il eu, sincèrementd'ua

uhailé d'asseoir la nalieusliloion, ii

e0., nalm'a tous ses efforts à tour r sessesco oi-loyans eu les u05001aut per la libenb au gou-

menl du 110}0, et il bat évité Ira opolein-sommrt d'ouvrir par des révolutions intérieuresl'aces de lA Romnonlo a l'iulervemion étran-

sans ai r51'

p0111 lice, aémdrnée par d'acteslot la I'adenca, celte mter-

-dieu na j t m,mdcl atemoul; ma se let db e les graves dangers

que recule'a `

,tvation des princpautés. Censqui vinent Jans les coups dbut des tde salut ne pallient e000nuahro dans tut,homme tel qua Cocue, auquel manquant aussinotoirement la dwitera du emaolhro, la fixité,

oImunsuauv e, lades idées 01 la`pleinstrempe d'un souvent do comblé.

Cette affaire des prui p t s amant seioindre à In ques, on dur o sol ne nuviol l'asemoui repéré adressa à notre politalonpour lui rappeler l'importanee de l'alliance

malaise Si en c.s

urgent es présente et sicale nlliunco mous fait début, nous aurons iresoulfi ir dans la part que none avons prise ùl'vo n des pr,naipautos et dors 1'inlérPt querusdevons porter aux ,l stmée-o de ls lionma-

'e. La solution do la 05015 ou danoise pur Indivision du Sleswig sers tin rude déboire pour1 opln

né 0ou=qua anglaise,

tus désirans

q,'ell prouve paie ,o e t

leurs q, ',III none eu vbel de n'avoir pas écartéd'elle cotte humiliation. Nous -

de vair cemmeut s'y prendra dard Polmeristanpour justifier devant la ohambro desle

ommu-s le portage Il. Slesrig-Le vieux lord, api es une assez Ionggme alla.

que de goune, a fait sa rentrée dzcalu cham-bre ea

toilettede printemps anx pplaudisse-

,onts de ses collègues. Il n mautre, en parlantdes affaires de Chine, qu'il n'a rien perdu deI ardeur lie sou e9miL Son absence ac.p néant porte un aéi ceux daminoge aumhfnel qu'il dirige, L, voyant malade

I pensé à sol grand âge, et parmi ses col-lôces et au soi. du parti libéral ou s'est misà - o,ger àPeimeraen

baa Quart'iveraitil si lordv

en,nd

ail 1, sur d'être le chef ducabinet P L'union desr whigs et des radicaux,qui forme la majorilé actuelle, nhsisterei,-elle? A. qui, dans le parti libéral, dounorail-ona place de premier mt istre? On devisaitainsi sur l'avenir; les prudentsc pariaient d'onrepillrage, de la possibilité de marcher quel.,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

I. , t In 11.1x e,do I I ,ns 1, f 1111 "'q',', a',/;, ds s

a 'on,,Fan ,I ,do11 , l pi ., I.

per I1''I1n1,.,,1 1 ,, t,' ra,den, Ii,Ir,Ie r,.1,1n r, r.,

a l I 1.. I 1 A I.tcal I t 1 11 E 11 G 1:1

l'ii t. P t

peu,,, n le e du, il Icail-cal I, ,, as I:e rlCla ie pl brs Iillbu,l

4 l'. l4 Ini.Giar1a,e, cet I,e le oI,1

il 1, I,rs ana r,I.ela, al., ai l,i,

mal Iolleor, m a la Iealp , e, e, r,.ttouta

et, u,ll des p,i, ripes et m, dogmatisme ab.aolnsl

0 , I de , 1 1 1 1 0 1THiRel M.

l sous , I csbl-

I f t . I .611ira, l' i I lq lda,emad+ rus

siall

r l t 1l l 1 1 u t Iu plgr n1 dol AI.! Di..

A VI:NI)ItiLE BEAU DOMAINE

du Petit Erugnu puee ra,noa«rn e sCii rdr,ndo-es

da capIle a.cnmpa,é a,: d'pal,i, _

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'I', .l,e 8 et pilas d,,,.t .pl oislIrI p l t

rt bre do membr-au I.

le r',e,u1i \ b,o Ln n allas lo du chanl ' e de l'éch,quacr d1,, ,nrn ans, u,é phys o-

11 6e, h la campoo+Io sui v, ,ommeu-cc, plac tee /:loch ans d c ales, qui ausout

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t I i d. 11

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d'I1't I Y 7 dél dans

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,,,1l1gr'll4I atWgnei olilb's'eal, Il, mal"lé la dasuvantngo dee posilarslu. orlleil.

9s tf I00d d I yu'.p 1. ricin, ep,11q i il .l o.la Ieib ayable lutte guise pour choisies. On ri i, p, dIe 511 tissus de

eI a aux Glals-ôris, et dont las terril,les i - oeun aan tante amp:,gne. ce quo nous cocidem xierncel elfei5er I Enrape P Du moins ratons aveu plaisir, c'est qu mesur, que le

l labl I.Ifpe 1 d'h d , Fer que (]bu11mc t fl .he, les tommes du nardVol, t he I I I amblent d I q sumac llace ad versmres,IvdeLIS l d I I us la d rect t i paur I ve,llcnses ynal lés gua-i g6 I G 1 11 tl I en ri, Il enl I I me une sourd } p tf G ana,

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