49
Imagerie du lymphome Imagerie du lymphome de la tête aux pieds de la tête aux pieds F MIGNON (1), F MIGNON (1), E LACROSNIERE (1), E LACROSNIERE (1), B MESUROLLE (2), B MESUROLLE (2), B MESUROLLE (2), B MESUROLLE (2), S RIGAUDEAU (1), S RIGAUDEAU (1), P ROUSSELOT (1), P ROUSSELOT (1), C HUBERT (1), C HUBERT (1), S CASTAIGNE (1) S CASTAIGNE (1) 1. CENTRE HOSPITALIER DE VERSAILLES - FRANCE 2. UNIVERSITE MC GILL MONTRÉAL - CANADA

Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

  • Upload
    phamtu

  • View
    219

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Imagerie du lymphome Imagerie du lymphome de la tête aux piedsde la tête aux pieds

F MIGNON (1), F MIGNON (1), E LACROSNIERE (1),E LACROSNIERE (1),B MESUROLLE (2),B MESUROLLE (2),B MESUROLLE (2),B MESUROLLE (2),S RIGAUDEAU (1),S RIGAUDEAU (1),P ROUSSELOT (1),P ROUSSELOT (1),

C HUBERT (1),C HUBERT (1),S CASTAIGNE (1) S CASTAIGNE (1)

1. CENTRE HOSPITALIER DE VERSAILLES - FRANCE 2. UNIVERSITE MC GILL MONTRÉAL - CANADA

Page 2: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

ObjectifsObjectifsPréciser la place et les aspects sémiologiques des Préciser la place et les aspects sémiologiques des

différentes modalités d’imagerie dans la prise en charge différentes modalités d’imagerie dans la prise en charge du lymphome, que ce soit pour le diagnostic ou le suivi du lymphome, que ce soit pour le diagnostic ou le suivi postpost--thérapeutique. thérapeutique. Présenter les aspects caractéristiques et atypiques en Présenter les aspects caractéristiques et atypiques en Présenter les aspects caractéristiques et atypiques en Présenter les aspects caractéristiques et atypiques en

fonction de la localisation.fonction de la localisation.

Page 3: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Matériels et méthodesMatériels et méthodesAnalyse rétrospective des dossiers de 500 patients Analyse rétrospective des dossiers de 500 patients

adultes suivis pour lymphome collectés depuis 10 ans. adultes suivis pour lymphome collectés depuis 10 ans. Illustration par des cas issus de notre banque de Illustration par des cas issus de notre banque de

données.données.

Page 4: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Message à retenirMessage à retenirLe lymphome est une maladie très polymorphe sur le Le lymphome est une maladie très polymorphe sur le

plan histologique et évolutif et dont la présentation clinique plan histologique et évolutif et dont la présentation clinique est extrêmement variée, atteignant de très nombreux est extrêmement variée, atteignant de très nombreux organes et souvent de façon concomitante nécessitant organes et souvent de façon concomitante nécessitant donc un bilan lésionnel très précis pour proposer un donc un bilan lésionnel très précis pour proposer un donc un bilan lésionnel très précis pour proposer un donc un bilan lésionnel très précis pour proposer un traitement approprié. traitement approprié. Le but de cette revue est donc de montrer l'éventail et le Le but de cette revue est donc de montrer l'éventail et le

polymorphisme des apparences du lymphome, en polymorphisme des apparences du lymphome, en l’illustrant par des aspects typiques et atypiques, l’illustrant par des aspects typiques et atypiques, l’utilisation des différentes techniques d'imagerie.l’utilisation des différentes techniques d'imagerie.

Page 5: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Imagerie du lymphome de la tête…Imagerie du lymphome de la tête…

Homme 53 ans. Ulcère cutané du Vertex après biopsie chirurgicale : LNH B grandes cellules

Page 6: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Système nerveux Système nerveux centralcentral

••Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)••Lymphomes cérébraux primitifs les plus fréquentsLymphomes cérébraux primitifs les plus fréquents••Plus rarement : localisations cérébrales secondaires Plus rarement : localisations cérébrales secondaires d’un lymphome «d’un lymphome « systémiquesystémique »»••Patient âgé sinon à tout âge chez le patient Patient âgé sinon à tout âge chez le patient immunodéprimé immunodéprimé

••ImagerieImagerie••L’aspect en imagerie dépend du statut immunitaireL’aspect en imagerie dépend du statut immunitaire

••ImmunocompétentImmunocompétent••1 nodule ou plusieurs lésions nodulaires qui se 1 nodule ou plusieurs lésions nodulaires qui se rehaussent de manière intense et homogène. rehaussent de manière intense et homogène. ••Substance blanche de l’étage susSubstance blanche de l’étage sus--tentoriel péritentoriel péri--ventriculaire et le corps calleux sousventriculaire et le corps calleux sous--épendymaires et épendymaires et intraintra--ventriculairesventriculaires••TDM : lésions isodenses ou spontanément TDM : lésions isodenses ou spontanément hyperdenses (bien que non hémorragiques)hyperdenses (bien que non hémorragiques)••Discordance entre l’œdème périphérique modéré par Discordance entre l’œdème périphérique modéré par rapport au volume lésionnelrapport au volume lésionnel••IRM, isoIRM, iso--intense ou en hyposignal sur les séquences intense ou en hyposignal sur les séquences

LNH B à grandes cellules (Richter d’une LLC prouvée par biopsie). Aspect atypique en TDM et IRM (nécrose centrale). PET : hyperfixation intense

LNH (Lymphomes cérébraux primitifs). Aspect typique en TDM et IRM (3 patients différents) : lésions périventriculaires sous épendymaires.

••IRM, isoIRM, iso--intense ou en hyposignal sur les séquences intense ou en hyposignal sur les séquences T2.T2.••En diffusion : ADC diminuéEn diffusion : ADC diminué••Spectroscopie par résonance magnétique : dominance Spectroscopie par résonance magnétique : dominance des pics de choline et de lipides distinguant des autres des pics de choline et de lipides distinguant des autres tumeurs cérébrales primitives, des métastases et des tumeurs cérébrales primitives, des métastases et des abcèsabcès

••Immunodéprimé (SIDA)Immunodéprimé (SIDA)••Nodule à centre d’allure liquidien, rehaussement Nodule à centre d’allure liquidien, rehaussement périphérique annulaire «périphérique annulaire « pseudopseudo--abcèsabcès »»••ADC est significativement plus bas dans le lymphome ADC est significativement plus bas dans le lymphome que dans les abcès toxoplasmiquesque dans les abcès toxoplasmiques••La TEP a montré la capacité à différencier entre le La TEP a montré la capacité à différencier entre le lymphome qui consomme du glucose par rapport à la lymphome qui consomme du glucose par rapport à la toxoplasmosetoxoplasmose

••Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels••Tumeur cérébrale primitive, métastases et abcèsTumeur cérébrale primitive, métastases et abcès••Après traitement : hémorragie, nécrose, calcification…Après traitement : hémorragie, nécrose, calcification…

Page 7: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

MéningesMéninges Généralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)cliniques)

Les lymphomes méningés sont rares, Les lymphomes méningés sont rares, mimant volontiers un méningiome. mimant volontiers un méningiome. Contrairement aux LNH B cérébraux à Contrairement aux LNH B cérébraux à

grandes cellules, les lymphomes méningés grandes cellules, les lymphomes méningés sont souvent des LNH B à petites cellules de sont souvent des LNH B à petites cellules de type MALTtype MALTLa MH existe dans cette localisation mais La MH existe dans cette localisation mais

sans spécificité quand à son aspectsans spécificité quand à son aspectImagerieImagerie

L’IRM est l’imagerie à privilégier :L’IRM est l’imagerie à privilégier :L’IRM est l’imagerie à privilégier :L’IRM est l’imagerie à privilégier :épaississement et nodules rehaussés épaississement et nodules rehaussés de manière homogène et intense de manière homogène et intense après Gadoliniumaprès Gadolinium

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsAutres lésions leptoAutres lésions lepto--méningées : métastases méningées : métastases

(cancer du sein et des poumons). (cancer du sein et des poumons). Pas d’envahissement du corps vertébral ce Pas d’envahissement du corps vertébral ce

qui le distingue des métastases ou du qui le distingue des métastases ou du myélome, où l’atteinte épidurale se fait par myélome, où l’atteinte épidurale se fait par contiguïté.contiguïté.

Homme 71 ans. LNH B grandes cellules (Richterisation d'une maladie de Waldenstrom). Localisation méningée épidurale. IRM T2 et T1 GADO : nodules « en chapelet » homogènes hyperintenses

Page 8: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

OrbitoOrbito--palpébral et des annexes palpébral et des annexes oculairesoculaires Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

rare mais est la tumeur maligne la plus fréquente (entre rare mais est la tumeur maligne la plus fréquente (entre 1010--15%) des masses de l’orbite 15%) des masses de l’orbite Processus infiltrant : exophtalmie, ophtalmoplégie Processus infiltrant : exophtalmie, ophtalmoplégie

(diplopie), ptôsis (diplopie), ptôsis

Patientes plus de 50 ans.Patientes plus de 50 ans.

Glandes lacrymales (plus fréquent) ou tuniques de l’œil Glandes lacrymales (plus fréquent) ou tuniques de l’œil (conjonctive) (conjonctive)

10% d’atteinte bilatérale10% d’atteinte bilatérale

LNH B type MALT (Chlamydia psittaci)LNH B type MALT (Chlamydia psittaci)Formes intraFormes intra--oculaires : lésions de haut gradeoculaires : lésions de haut grade

MH et lymphomes T rarissimesMH et lymphomes T rarissimesMH et lymphomes T rarissimesMH et lymphomes T rarissimes

ImagerieImagerieInfiltration se moulant généralement autour du nerf Infiltration se moulant généralement autour du nerf

optique et des muscles intrinsèques de l'œil. optique et des muscles intrinsèques de l'œil.

TDM : lésions homogènes faiblement rehausséesTDM : lésions homogènes faiblement rehausséesIRM : infiltration de la graisse orbitaleIRM : infiltration de la graisse orbitale

TEPTEP--scanner sensible pour la détection. En cas de scanner sensible pour la détection. En cas de faible volume lésionnel elle peut être mise en défaut, faible volume lésionnel elle peut être mise en défaut, confondue avec les mouvements musculaires oculaires confondue avec les mouvements musculaires oculaires involontaires.involontaires.

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsLa pseudotumeur inflammatoire de l’orbite est le La pseudotumeur inflammatoire de l’orbite est le

principal diagnostic différentiel dont l’aspect hétérogène principal diagnostic différentiel dont l’aspect hétérogène se distingue de celui du lymphomese distingue de celui du lymphome

Femme 82 ans. LNH B petites cellules (zone marginale) MALT. TDM : condensation de la graisse périorbitaire bilatérale asymétrique (Flèches)

Page 9: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Lymphomes des cavités nasoLymphomes des cavités naso--sinusiennessinusiennesGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Rares en dehors de certaines régions d’ExtrêmeRares en dehors de certaines régions d’Extrême--Orient Orient

Destruction centrifuge progressive du massif facial Destruction centrifuge progressive du massif facial (anciennement Granulome malin centro(anciennement Granulome malin centro--facial)facial)Rhinorrhée, obstruction nasale, épistaxis, douleurs, Rhinorrhée, obstruction nasale, épistaxis, douleurs,

œdème de la face,œdème de la face,

Lymphomes T/NK (cellules cytotoxiques infectées par Lymphomes T/NK (cellules cytotoxiques infectées par Epstein Barr virus) plutôt que LNH BEpstein Barr virus) plutôt que LNH B

ImagerieImagerieÉrosion osseuse : cloison interÉrosion osseuse : cloison inter--nasale, palais osseux, os nasale, palais osseux, os

alvéolaire, paroi interne de l’orbite, cloison interalvéolaire, paroi interne de l’orbite, cloison inter--sinusosinuso--nasalenasale

L’IRM distingue l’inflammation des zones de rétention L’IRM distingue l’inflammation des zones de rétention purulentes en hypersignal T2/hyposignal T1 de l’infiltrat purulentes en hypersignal T2/hyposignal T1 de l’infiltrat tumoral (envahissement des tissus mous) en isosignal T1 tumoral (envahissement des tissus mous) en isosignal T1

Femme 44 ans. LNH T/NK. TDM : érosion osseuse centro-faciale et comblement sinusien

Homme 59 ans. LNH B. IRM SE T1 IV+ : masse bourgeonnante des fosses nasales et sinusienne droite

tumoral (envahissement des tissus mous) en isosignal T1 tumoral (envahissement des tissus mous) en isosignal T1 et T2 et rehaussés après injection. et T2 et rehaussés après injection. Envahissement ganglionnaire régional rare dans les Envahissement ganglionnaire régional rare dans les

lymphomes type T/NK, plus fréquent dans les LNH Blymphomes type T/NK, plus fréquent dans les LNH B

TEPTEP--scanner : intérêt après traitement du fait de rechutes scanner : intérêt après traitement du fait de rechutes fréquentes dans la détection des reliquats.fréquentes dans la détection des reliquats.

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsAutres tumeurs et processus destructeurs des fosses Autres tumeurs et processus destructeurs des fosses

nasales : carcinome épidermoïde (ayant plutôt une nasales : carcinome épidermoïde (ayant plutôt une prédilection pour le sinus maxillaire), adénocarcinome des prédilection pour le sinus maxillaire), adénocarcinome des glandes salivaires accessoires, rhabdomyosarcome, glandes salivaires accessoires, rhabdomyosarcome, chondrosarcome, mélanome des fosses nasales, chondrosarcome, mélanome des fosses nasales, métastases (adénocarcinome rénal), métastases (adénocarcinome rénal), esthésioneuroblastome, tumeur lymphoesthésioneuroblastome, tumeur lympho--épithéliale, et les épithéliale, et les lésions non néoplasiques (maladie de Wegener (touchant lésions non néoplasiques (maladie de Wegener (touchant plusieurs organes), syphilis et autres tréponématoses, plusieurs organes), syphilis et autres tréponématoses, tuberculose, aspergillose, leishmanioses, granulomes tuberculose, aspergillose, leishmanioses, granulomes pyogéniques, addiction à la cocaïne….pyogéniques, addiction à la cocaïne….

Homme 80 ans. LNH T/NK. IRM SE T2 : masse bourgeonnante des fosses nasales et sinusienne gauche. Le signal distingue la tumeur de la rétention inflammatoire.

Femme 85 ans. LNH B. TDM IV+ : masse obstructive de la fosse nasale et sinusienne droite

Page 10: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

MandibuleMandibule Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Lymphome de Burkitt : LNH lié au virus Lymphome de Burkitt : LNH lié au virus

EpsteinEpstein--Barr (EBV) haut grade de malignitéBarr (EBV) haut grade de malignitéExtrêmement agressif (temps de doublement Extrêmement agressif (temps de doublement

= 24 heures)= 24 heures)

Forme dite «endémique» (Afrique) chez le Forme dite «endémique» (Afrique) chez le jeune enfant : tumeur de la mâchoire distinct jeune enfant : tumeur de la mâchoire distinct de la forme « sporadique » (occident), peut de la forme « sporadique » (occident), peut toucher aussi l'adulte infecté par le VIH : toucher aussi l'adulte infecté par le VIH : atteinte souvent extraatteinte souvent extra--ganglionnaire (moelle ganglionnaire (moelle osseuse, du système nerveux, du tube osseuse, du système nerveux, du tube digestif… )digestif… )

La localisation mandibulaire est La localisation mandibulaire est vraisemblablement liée à la richesse du vraisemblablement liée à la richesse du vraisemblablement liée à la richesse du vraisemblablement liée à la richesse du contingent médullaire de cet os. contingent médullaire de cet os.

Oncogène cOncogène c--mycmyc

ImagerieImagerieRadiologie conventionnelle (panoramique Radiologie conventionnelle (panoramique

dentaire ou clichés occlusifs) : lyse osseuse dentaire ou clichés occlusifs) : lyse osseuse alvéolaire aboutissant à la perte dentairealvéolaire aboutissant à la perte dentaire

TDM : masse tissulaire ostéolytique centrée TDM : masse tissulaire ostéolytique centrée sur la mandibule, mal définie, expansive.sur la mandibule, mal définie, expansive.

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsKyste apicoKyste apico--dentairedentaire

Tumeurs osseuses de l’enfant,Tumeurs osseuses de l’enfant,ChloromeChlorome

Rhabdomyosarcome de l’enfantRhabdomyosarcome de l’enfant

Homme 62 ans, SIDA. LNH Burkitt. TDM : masse avec lyse de la mandibule, perte de l’os alvéolaire (déchaussement de plusieurs dents). Dans les parties molles externes : artéfacts de clips métalliques post chirurgicaux de la biopsie.

Page 11: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Anneau de WaldeyerAnneau de WaldeyerGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Atteinte ganglionnaire cervicale associée dans 70 Atteinte ganglionnaire cervicale associée dans 70 % des cas% des casLNH B à grandes cellules (30%)LNH B à grandes cellules (30%)LNH B à petites cellules folliculaires (22%)LNH B à petites cellules folliculaires (22%)LNH B de type MALT (6%) ( amygdales palatines) LNH B de type MALT (6%) ( amygdales palatines)

avec grande fréquence des atteintes gastriques avec grande fréquence des atteintes gastriques associées (20%) qui doivent être conjointement associées (20%) qui doivent être conjointement recherchéesrecherchées

ImagerieImagerieTumeur homogène exophytique, ulcérée, avec Tumeur homogène exophytique, ulcérée, avec Homme 53 ans, SIDA. LNH petites cellules Tumeur homogène exophytique, ulcérée, avec Tumeur homogène exophytique, ulcérée, avec

réduction du défilé aérienréduction du défilé aérienExtension en superficie plutôt que d'infiltrer les Extension en superficie plutôt que d'infiltrer les

tissus profonds tissus profonds Otite séroOtite séro--muqueuse pour localisation au cavummuqueuse pour localisation au cavumLocalisation laryngée : processus sous muqueuxLocalisation laryngée : processus sous muqueuxTEPTEP--scanner : fixation intense des LNH B à scanner : fixation intense des LNH B à

grandes cellules à distinguer de la fixation faible grandes cellules à distinguer de la fixation faible physiologique symétrique et sans syndrome de physiologique symétrique et sans syndrome de massemasse

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsCarcinome nasoCarcinome naso--pharyngien (tumeur plus pharyngien (tumeur plus

infiltrante que végétante, propension à envahir la infiltrante que végétante, propension à envahir la base du crâne, adénopathies hétérogènes)base du crâne, adénopathies hétérogènes)

Homme 53 ans, SIDA. LNH petites cellules folliculaire.TDM : infiltration sous muqueuse du larynx à droite. PET positif.

Femme 18 ans, SIDA. LNH Burkitt. TDM : masse du cavum avec obstruction nasale et tubaire gauche, comblement des cellules de la mastoïde et de la caisse du tympan à gauche.

Page 12: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Glandes salivairesGlandes salivairesGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Parotide la plus fréquemment atteinteParotide la plus fréquemment atteinteFemme de plus de 50 ans.Femme de plus de 50 ans.

État préÉtat pré--lymphomateux : maladie de Gougerot lymphomateux : maladie de Gougerot Sjögren (risque de 6 % par an de développer un Sjögren (risque de 6 % par an de développer un LNH)LNH)

Lymphome B de la zone marginale de type Lymphome B de la zone marginale de type MALT. MALT.

Lymphomes b à grandes cellules secondaires à Lymphomes b à grandes cellules secondaires à la transformation d’un lymphome de malt la transformation d’un lymphome de malt préexistantpréexistant

Femme de 76 ans, LNH B petites cellules type zone marginale (MALT) avec hépatite C. TDM : masse homogène de l'hémiface gauche englobant la région parotidienne

Homme de 74 ans, LNH B petites cellules type zone marginale (MALT) sur maladie de Sjögren . TDM : nodule hypodense de la parotide droite. Sialographie : sialadochite

préexistantpréexistant

Lymphome T dans cette localisation salivaire est Lymphome T dans cette localisation salivaire est rarissime et la MH est pratiquement inexistante.rarissime et la MH est pratiquement inexistante.

ImagerieImagerieSialographie : calcifications au sein de la glande Sialographie : calcifications au sein de la glande

et arguments pour maladie de Gougerot Sjögren.et arguments pour maladie de Gougerot Sjögren.

TDM et IRM : formations tissulaires homogènes TDM et IRM : formations tissulaires homogènes prenant modérément le contraste prenant modérément le contraste

Parfois de taille importante Parfois de taille importante

Diagnostic différentielDiagnostic différentielAdénome pléomorphe parotidien (traitement Adénome pléomorphe parotidien (traitement

chirurgical avec risque mutilant du nerf facial) => chirurgical avec risque mutilant du nerf facial) => justifie la cytoponction de toute lésion justifie la cytoponction de toute lésion parotidienne avant chirurgieparotidienne avant chirurgie

Page 13: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

ThyroïdeThyroïde

Femme 43 ans, LNH B grandes cellules (Hashimoto)

•Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)•LNH B petites cellules de type MALT•LNH B diffus à grandes cellules (transformation d’un MALT). •Cas sporadiques de MH thyroïdiens

•Imagerie•Échographie : goitre avec des plages asymétriques hypo-échogènes pseudo-kystiques caractéristiques •TDM : infiltration diffuse•Masse encerclant la trachée : « signe du beignet » (doughnut sign). •IRM : signal de l’infiltration de la thyroïdite et du (Hashimoto)

Homme 37 ans. LNH B grandes cellules du médiastin. TEP-Scan : Fixation fortuite au sein de la thyroïde (flèche)

•IRM : signal de l’infiltration de la thyroïdite et du lymphome équivalent rendant cette modalité peu utile pour l'identification du lymphome

•Diagnostics différentiels•Calcifications et plages de nécrose, généralement absents dans le lymphome => arguments pour le carcinome•En TEP-scanner, une fixation focale peut correspondre jusqu’à 50% des cas, à un carcinome papillaire découvert fortuitement•Le diagnostic de lymphome peut être délicat à affirmer sur la seule cytoponction de la thyroïde et peut nécessiter le recours à une micro-biopsie. L’immuno-histochimie permet alors de faire la différence entre lymphome à grandes cellules et carcinome anaplasique.

Page 14: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Adénopathies périphériques (cervicaux, Adénopathies périphériques (cervicaux, axillaires et inguinaux)axillaires et inguinaux)

Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Ganglion cervical ou axillaire doit être exploré si son Ganglion cervical ou axillaire doit être exploré si son

plus petit diamètre > 10 mmplus petit diamètre > 10 mmGanglions inguinaux > 15 mmGanglions inguinaux > 15 mmGanglions susGanglions sus--claviculaires quelque soit la taille si claviculaires quelque soit la taille si

palpablepalpableMH : adénopathie isolée ou un paquet ganglionnaire MH : adénopathie isolée ou un paquet ganglionnaire

unilatéral, non inflammatoire, non douloureux qui grossit unilatéral, non inflammatoire, non douloureux qui grossit lentement. lentement.

ImagerieImagerieCritères échographiques de ganglions suspects :Critères échographiques de ganglions suspects :

Rapport petit axe/grand axe ≥ 33% (ce qui Rapport petit axe/grand axe ≥ 33% (ce qui traduit leur aspect rond et non ovalaire)traduit leur aspect rond et non ovalaire)Homme 57 ans. LNH B

petites cellules (folliculaire).

Femme 52 ans, LNH B petites cellules (folliculaire). TDM : reconstruction coronale MIP : paquet ganglionnaire axillaire traduit leur aspect rond et non ovalaire)traduit leur aspect rond et non ovalaire)

Rapport cortex/petit axe ≥ 55%Rapport cortex/petit axe ≥ 55%Regroupement en masseRegroupement en masseHypoéchogénicitéHypoéchogénicitéHétérogénéitéHétérogénéitéContours irréguliers avec infiltration de la Contours irréguliers avec infiltration de la graisse adjacentegraisse adjacenteDisparition ou l’excentration du hileDisparition ou l’excentration du hileNécrose liquidienne Nécrose liquidienne DopplerDoppler--Couleur : vascularisation anarchique Couleur : vascularisation anarchique débordant vers le cortexdébordant vers le cortex

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsToute adénopathie chez un patient ayant eu un ATCD Toute adénopathie chez un patient ayant eu un ATCD

de lymphome n’est pas systématiquement une rechute. de lymphome n’est pas systématiquement une rechute. Des infections banales peuvent être à l’origine d’adénites Des infections banales peuvent être à l’origine d’adénites réactionnelles d’où la nécessité d’établir un diagnostic réactionnelles d’où la nécessité d’établir un diagnostic formel.formel.

petites cellules (folliculaire). Écho creux axillaire : hypertrophie hypoéchogène du cortex avec conservation du hile.

paquet ganglionnaire axillaire bien mis en évidence

Homme de 43 ans. LNH B petites cellules (Manteau). Écho Doppler Energie : ganglion hyper-vascularisé

Femme 22 ans. LNH T (anaplasique) ALK+ traité. TDM : adénite inguinale (primo-infection toxoplasmose prouvée).

Page 15: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Adénopathies médiastinalesAdénopathies médiastinalesGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Atteinte ganglionnaire thoracique médiastinale présente dans Atteinte ganglionnaire thoracique médiastinale présente dans 45 % des LNH et 85 % des MH (mais concerne aussi le 45 % des LNH et 85 % des MH (mais concerne aussi le thymus).thymus).

ImagerieImagerie«« BulkyBulky » signifie «» signifie « volumineuxvolumineux » défini par un élargissement » défini par un élargissement

radiographique de la largeur du médiastin de plus d’un tiers du radiographique de la largeur du médiastin de plus d’un tiers du maximum du diamètre du thorax (mesuré au niveau du disque maximum du diamètre du thorax (mesuré au niveau du disque T5T5--T6 sur un cliché de face debout postéroT6 sur un cliché de face debout postéro--antérieur) ou par la antérieur) ou par la présence d’une masse ganglionnaire dont le diamètre maximal présence d’une masse ganglionnaire dont le diamètre maximal est supérieur à 10 cm.est supérieur à 10 cm.

Compressions trachéales, bronchiques proximales ou Compressions trachéales, bronchiques proximales ou syndrome cave supérieursyndrome cave supérieur

Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels

Homme 64 ans. LNH B Grandes Cellules. TDM : masse ganglionnaire compressive sur l’artère

Femme 56 ans. LNH B petites cellules. Biopsie sous TDM voie extra pleurale masse ganglionnaire médiastinale postérieure. Il est difficile de différencier la MH du LNH sur la base de la Il est difficile de différencier la MH du LNH sur la base de la

distribution ganglionnaire seule. Il existe cependant quelques distribution ganglionnaire seule. Il existe cependant quelques caractéristiques distinctescaractéristiques distinctes : :

MHMHRégions ganglionnaires médiastinales supéroRégions ganglionnaires médiastinales supéro--

antérieures et paraantérieures et para--trachéales supérieures, trachéales supérieures,

Groupes ganglionnaires contigus. Groupes ganglionnaires contigus. LNHLNH : :

Atteinte des chaînes inférieures (paraAtteinte des chaînes inférieures (para--aortiques, paraaortiques, para--vertébrale, sous carinaire et vertébrale, sous carinaire et infrainfra--médiastinales postérieures (rétromédiastinales postérieures (rétro--crurales))crurales))

Épanchement pleural ou péricardique Épanchement pleural ou péricardique Atteinte extra médiastinaleAtteinte extra médiastinale

Infiltration en plage et non pas d’une structure Infiltration en plage et non pas d’une structure nodulaire ganglionnaire, se moulant à la surface nodulaire ganglionnaire, se moulant à la surface des structuresdes structures

Homme 41 ans, MH. TDM et TEP : ganglions médiastinaux non significatifs en TDM mais positifs en TEP (MH prouvée)

Femme 71 ans. LNH B grandes cellules. TDM : Adénopathies médiastinales hilaires atypiques (spontanément hypodenses).

pulmonaire. médiastinale postérieure.

Page 16: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

ThymusThymusGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)Tous les types et sous types de lymphome Tous les types et sous types de lymphome

sont possiblessont possiblesLNH de type B de haut grade du médiastin LNH de type B de haut grade du médiastin LNH T (lymphoblastique) LNH T (lymphoblastique)

ImagerieImagerieQue ce soit le LNH ou la MH : masse solide Que ce soit le LNH ou la MH : masse solide

nécroticonécrotico--kystique du médiastin antérokystique du médiastin antéro--supérieursupérieur

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsEn cours de traitement la survenue d’une En cours de traitement la survenue d’une

masse médiastinale antérieure, peuvent masse médiastinale antérieure, peuvent correspondre au développement d’une correspondre au développement d’une hyperplasie thymique, phénomène connu sous hyperplasie thymique, phénomène connu sous le terme de phénomène de «le terme de phénomène de « rebond » rebond » immunologiqueimmunologique ou du développement de ou du développement de immunologiqueimmunologique ou du développement de ou du développement de kystes thymiques notamment après kystes thymiques notamment après radiothérapieradiothérapieLe rebond thymique est un phénomène qui Le rebond thymique est un phénomène qui

survient après chimiothérapie chez l’enfant et survient après chimiothérapie chez l’enfant et plus rarement chez l’adulte dont le mécanisme plus rarement chez l’adulte dont le mécanisme invoqué est le rétablissement de l’immunité invoqué est le rétablissement de l’immunité après l’arrêt des traitements. après l’arrêt des traitements. La TEP par sa bonne valeur prédictive La TEP par sa bonne valeur prédictive

négative peut être un outil efficace pour négative peut être un outil efficace pour distinguer ce phénomène d’une récidive distinguer ce phénomène d’une récidive Lorsque le diagnostic est incertain, une Lorsque le diagnostic est incertain, une

biopsie peut être aussi effectuée.biopsie peut être aussi effectuée.Autres masses thymiques : tumeurs Autres masses thymiques : tumeurs

épithéliales (thymomes, carcinomes épithéliales (thymomes, carcinomes thymiques), tumeurs germinalesthymiques), tumeurs germinales

Homme 41 ans. LNH B grandes cellules. TDM et TEP :image thymique apparue à distance du traitement. Pas de fixation : rebond thymique Homme 19 ans. LNH B grandes

cellules du médiastin révélé par un syndrome cave supérieur Reconstruction MIP et TDM : masse thymique compressive.

Page 17: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

PlèvrePlèvre Généralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)cliniques)

Maladies disséminées ou rechutesMaladies disséminées ou rechutesÉpanchement pleural : obstruction Épanchement pleural : obstruction

mécanique veineuse/lymphatique plutôt mécanique veineuse/lymphatique plutôt qu’atteinte spécifiquequ’atteinte spécifiqueMasses pleurales solides plus ou moins Masses pleurales solides plus ou moins

visibles car parfois de petites tailles sous visibles car parfois de petites tailles sous forme de plaques (épaississement diffus ou forme de plaques (épaississement diffus ou focal) ou de nodulesfocal) ou de nodulesLe lymphome primitif des séreuses ou Le lymphome primitif des séreuses ou

PEL (Primary Effusion Lymphoma), est un PEL (Primary Effusion Lymphoma), est un LNH de type B de haut grade, associé à LNH de type B de haut grade, associé à l’infection HIV au stade SIDA et d’infection l’infection HIV au stade SIDA et d’infection par HHVpar HHV--8, avec un envahissement des 8, avec un envahissement des

Homme de 38 ans. MH, VIH. TDM : nodules pleuraux (flèches) MH prouvée. Notez l'atteinte péri- par HHVpar HHV--8, avec un envahissement des 8, avec un envahissement des

séreuses (pleurales, péricardiques, séreuses (pleurales, péricardiques, péritonéales) sans atteinte ganglionnaire ou péritonéales) sans atteinte ganglionnaire ou masse pleurale. masse pleurale.

ImagerieImagerieNodule, masse ou épaississementNodule, masse ou épaississementÉpanchementÉpanchement

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsLes diagnostics différentiels sont Les diagnostics différentiels sont

essentiellement le mésothéliome malin et la essentiellement le mésothéliome malin et la carcinomatose pleurale dont les carcinomatose pleurale dont les carcinomes de nature glandulaire sont les carcinomes de nature glandulaire sont les grands pourvoyeurs.grands pourvoyeurs.

Homme 38 ans. LNH B petites cellules (Folliculaire). TDM : épanchement pleural gauche hypodense (chylothorax).

prouvée. Notez l'atteinte péri-sternale associée.

Page 18: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

PoumonsPoumons Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Le lymphome primitif bronchoLe lymphome primitif broncho--pulmonaire (LPP) : pulmonaire (LPP) :

prolifération lymphoïde, atteignant un ou les deux prolifération lymphoïde, atteignant un ou les deux poumons sans atteinte extrapoumons sans atteinte extra--pulmonairepulmonaireAtteinte du parenchyme pulmonaire trois fois plus Atteinte du parenchyme pulmonaire trois fois plus

fréquente dans le LNH que dans la MHfréquente dans le LNH que dans la MH

Rechutes Rechutes

Isolé ou par envahissement de contiguïté à partir d’une Isolé ou par envahissement de contiguïté à partir d’une localisation ganglionnaire médiastinale.localisation ganglionnaire médiastinale.

ImagerieImagerieL’aspect radiologique de l’atteinte pulmonaire dans la MHL’aspect radiologique de l’atteinte pulmonaire dans la MH et et

le LNH est identiquele LNH est identique--PseudoPseudo--tumoraletumorale

-- Nodule pulmonaire solitaire (alvéologramme aérique)Nodule pulmonaire solitaire (alvéologramme aérique)

Homme, 20 ans. MH. TDM et PET : nodule pulmonaire excavé spécifique prouvé par biopsie. -- Nodule pulmonaire solitaire (alvéologramme aérique)Nodule pulmonaire solitaire (alvéologramme aérique)

-- Nodules multiples, à contours flous, avec ou sans Nodules multiples, à contours flous, avec ou sans cavitation cavitation

-- la plus fréquente et la plus évocatrice est la forme la plus fréquente et la plus évocatrice est la forme pneumonique, avec un aspect de condensation pneumonique, avec un aspect de condensation alvéolaire chronique comprenant un alvéoloalvéolaire chronique comprenant un alvéolo--bronchogramme aérique parfois précédé d’une plage en bronchogramme aérique parfois précédé d’une plage en verre dépoli univerre dépoli uni-- ou pluriou pluri--focale, lobaire ou segmentaire. focale, lobaire ou segmentaire.

-- Syndrome interstitiel constitué d’images linaires, Syndrome interstitiel constitué d’images linaires, septales, par obstacle lymphatique/veineux du fait des septales, par obstacle lymphatique/veineux du fait des adénopathies médiastinales ou par lymphangite adénopathies médiastinales ou par lymphangite intrinsèque, correspondant à un stade précoce de la intrinsèque, correspondant à un stade précoce de la maladie, avant que les cellules lymphomateuses maladie, avant que les cellules lymphomateuses n’envahissent les espaces alvéolaires distaux.n’envahissent les espaces alvéolaires distaux.

biopsie.

Femme 56 ans. LNH B grandes cellules (transformation zone marginale) . TDM : nodules pulmonaires à contours flous, confluents. Biopsie pulmonaire positive)

Page 19: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

BronchesBronches Généralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)cliniques)

L’atteinte trachéale ou bronchique ou le LPP L’atteinte trachéale ou bronchique ou le LPP est généralement un lymphome de B de bas est généralement un lymphome de B de bas grade, de type BALT dans 60 %, touchant le grade, de type BALT dans 60 %, touchant le sujet âgé, de progression lente et de relatif bon sujet âgé, de progression lente et de relatif bon pronostic pronostic

ImagerieImagerieL’atteinte des parois bronchiques peutL’atteinte des parois bronchiques peut--être être

péripéri--bronchique et endobronchique et endo--bronchique où elle est bronchique où elle est nodulaire, sous muqueuse, responsable d’un nodulaire, sous muqueuse, responsable d’un rétrécissement de la lumière, entraînant des rétrécissement de la lumière, entraînant des atélectasies ou des pneumonies obstructives. atélectasies ou des pneumonies obstructives.

Diagnostics différentiels chez le patient traitéDiagnostics différentiels chez le patient traitéHomme 82 ans. LNH B grandes cellules. Masse Diagnostics différentiels chez le patient traitéDiagnostics différentiels chez le patient traitéRechute Rechute

Infection opportuniste Infection opportuniste Pneumonie radique,Pneumonie radique,

BronchoBroncho--pneumopathie oblitérante organisée pneumopathie oblitérante organisée (BOOP) (BOOP)

Atteinte toxique induite par la chimiothérapie Atteinte toxique induite par la chimiothérapie

Pneumonie intersitielle lymphoïde (LIP) bénigne Pneumonie intersitielle lymphoïde (LIP) bénigne souvent associée au syndrome de Sjögren, à souvent associée au syndrome de Sjögren, à l’infection au VIH ou à la maladie de Castelman l’infection au VIH ou à la maladie de Castelman multimulti--centrique. caractérisée par la présence de centrique. caractérisée par la présence de kystes tandis que le lymphome se traduit par un kystes tandis que le lymphome se traduit par un syndrome de condensation ou des macrosyndrome de condensation ou des macro--nodules.nodules.

Homme 82 ans. LNH B grandes cellules. Masse médiastinale infiltrant la bronche souche. (vue fibroscopique).

Homme 56 ans. LNH B grandes cellules. TDM : masse médiastino-pulmonaire. Infiltration bronchique visible en fibroscopie.

Page 20: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Paroi thoraciqueParoi thoracique••Généralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)cliniques)

••Prolongement direct d’une masse Prolongement direct d’une masse médiastinale antérieuremédiastinale antérieure••Adénopathies de la chaîne mammaire Adénopathies de la chaîne mammaire interne interne ••Plutôt observée lors des récidives que ce Plutôt observée lors des récidives que ce soit dans les LNH que dans la MH.soit dans les LNH que dans la MH.

••ImagerieImagerie

Homme 19 ans. LNH B grandes cellules du médiastin. Rechute paroi thoracique. TDM coupe axiale et reconstruction 3D : infiltration péri-costale.

Femme 85 ans. LNH B grandes cellules. TEP et scanner : Masse nodulaire mammaire interne.

••ImagerieImagerie••Densification des tissus mous ou de Densification des tissus mous ou de nodules dans la graisse extranodules dans la graisse extra--pleurale pleurale ••Perte subtile des espaces graisseux Perte subtile des espaces graisseux intermusculaires à une masse focaleintermusculaires à une masse focale••Destruction corticale osseuse focale est Destruction corticale osseuse focale est mieux vue en TDM qu’en IRMmieux vue en TDM qu’en IRM

••Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels••Autres types de tumeurs infiltrantes de la Autres types de tumeurs infiltrantes de la paroi thoracique ou ostéomyélitesparoi thoracique ou ostéomyélites••Biopsie exigée pour confirmation du Biopsie exigée pour confirmation du diagnosticdiagnostic

Page 21: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Cœur Cœur ••Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)••Rare que ce soit les LNH ou la MH liée à Rare que ce soit les LNH ou la MH liée à l’absence d’organe lymphoïde cardiaque, et plutôt l’absence d’organe lymphoïde cardiaque, et plutôt observée chez l’immunodéprimé (greffe d’organe observée chez l’immunodéprimé (greffe d’organe ou SIDA).ou SIDA).••Lymphome cardiaque primitif ou secondaire d’un Lymphome cardiaque primitif ou secondaire d’un lymphome disséminé, survenant d'habitude lymphome disséminé, survenant d'habitude tardivement.tardivement.••Propagation rétrograde par les voies lymphatique,Propagation rétrograde par les voies lymphatique,••Dissémination par voie hématogèneDissémination par voie hématogène••Infiltration directe de contiguïté d'autres Infiltration directe de contiguïté d'autres localisations intralocalisations intra--thoraciques thoraciques

••ImagerieImagerie••Épanchement péricardique Épanchement péricardique ••Nodules tissulairesNodules tissulaires••N'importe quelle cavité, mais plus généralement N'importe quelle cavité, mais plus généralement

Homme de 54 ans. LNH B grandes cellules. TEP et scanner : Masse infiltrante du myocarde (oreillette droite) et du péricarde décelée en TEP. Notez l’engainement de la coronaire droite par un tissu homogène..

••N'importe quelle cavité, mais plus généralement N'importe quelle cavité, mais plus généralement l'oreillette l'oreillette ••Masse, hétérogène, intraMasse, hétérogène, intra--luminale, ou lésion mal luminale, ou lésion mal définie, infiltrantedéfinie, infiltrante••IRM avec les séquences couplées avec l’ECGIRM avec les séquences couplées avec l’ECG••Infiltration cardiaque peut être méconnue en TEP Infiltration cardiaque peut être méconnue en TEP du fait de la fixation intense physiologique du du fait de la fixation intense physiologique du myocarde ou être confondue avec des myocarde ou être confondue avec des phénomènes ischémiques en particulier chez le phénomènes ischémiques en particulier chez le patient transplanté cardiaquepatient transplanté cardiaque

••Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels••Les sarcomes et métastases peuvent avoir un Les sarcomes et métastases peuvent avoir un aspect en imagerie semblable au lymphome aspect en imagerie semblable au lymphome cardiaque et péricardique cardiaque et péricardique

Page 22: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

SeinSein••Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

••Lymphome primitif du sein (LPS) : rareLymphome primitif du sein (LPS) : rare••LNH B à grandes cellules unilatéral femme âgéeLNH B à grandes cellules unilatéral femme âgée••LNH B de type Burkitt bilatéral femme jeune LNH B de type Burkitt bilatéral femme jeune ••Malgré l’appellation «Malgré l’appellation « primitifprimitif », il est admis que », il est admis que des adénopathies axillaires ipsilatérales soient des adénopathies axillaires ipsilatérales soient présentes lors du diagnosticprésentes lors du diagnostic••Particularité de la localisation mammaire : Particularité de la localisation mammaire : propension à disséminer secondairement au SNCpropension à disséminer secondairement au SNC

••ImagerieImagerie••Mammographies : un ou plusieurs nodules Mammographies : un ou plusieurs nodules denses bien définis sans altération stromale denses bien définis sans altération stromale stellaire associée ni de micro calcificationsstellaire associée ni de micro calcifications••Échographie : masses hypoéchogènes Échographie : masses hypoéchogènes

Femme 71 ans. LNH B petites cellules (Manteau). Localisation conjointe ganglionnaire médiastinale et sein droit.

••Échographie : masses hypoéchogènes Échographie : masses hypoéchogènes homogènes, de formes irrégulières, de contours homogènes, de formes irrégulières, de contours nets, sans atténuation du faisceaunets, sans atténuation du faisceau••DopplerDoppler--Couleur/Énergie : plutôt Couleur/Énergie : plutôt hypervasculariséeshypervascularisées••IRM : masse ayant une cinétique du contraste IRM : masse ayant une cinétique du contraste caractéristique de malignité (hypercaractéristique de malignité (hyper--vascularisation vascularisation précoce intense) précoce intense) ••TEPTEP--scanner : intense fixation du radioscanner : intense fixation du radio--traceurtraceur

••Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels••Le lymphome primitif se présente d'habitude par Le lymphome primitif se présente d'habitude par une masse de croissance très rapide en une masse de croissance très rapide en comparaison avec le carcinome plus lentement comparaison avec le carcinome plus lentement évolutif et il existe une proportion plus grande de évolutif et il existe une proportion plus grande de patients masculins.patients masculins.

Page 23: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

ŒsophageŒsophage••Généralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)cliniques)

••RareRare••LNH B dans la plupart des casLNH B dans la plupart des cas••La plupart des cas de LNH œsophagiens La plupart des cas de LNH œsophagiens primitifs supposés qui ont été décrits ont des primitifs supposés qui ont été décrits ont des ganglions périphériques concomitants au ganglions périphériques concomitants au moment de la détection de la lésion ou moment de la détection de la lésion ou secondairementsecondairement••Plus fréquemment, l’atteinte œsophagienne Plus fréquemment, l’atteinte œsophagienne

Homme 67 ans. LNH B grandes cellules multifocal (localisation conjointe grêle, estomac, et testicule). PET, Fibroscopie et TDM : masse végétante et infiltrante circonférentielle du bas œsophage.

••Plus fréquemment, l’atteinte œsophagienne Plus fréquemment, l’atteinte œsophagienne est secondaire à l'extension d’adénopathies est secondaire à l'extension d’adénopathies adjacentes médiastinales ou par la diffusion adjacentes médiastinales ou par la diffusion contiguë du fundus gastrique. Elle est contiguë du fundus gastrique. Elle est généralement observée lors des rechutes.généralement observée lors des rechutes.

••ImagerieImagerie••TDM : épaississement circonférentiel de la TDM : épaississement circonférentiel de la paroi de l’œsophage paroi de l’œsophage ••TEP : hyperfixation du traceurTEP : hyperfixation du traceur

••Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels••Carcinome de l’œsophage, qui peut être Carcinome de l’œsophage, qui peut être exclu par la réalisation de biopsies lors de exclu par la réalisation de biopsies lors de l’endoscopie.l’endoscopie.

Page 24: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

EstomacEstomac Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Les localisations digestives sont les plus Les localisations digestives sont les plus

fréquentes des formes extrafréquentes des formes extra--ganglionnaires ganglionnaires Le lymphome primitif du tube digestif en dehors Le lymphome primitif du tube digestif en dehors

des patients greffés ou SIDA est douteux quant à des patients greffés ou SIDA est douteux quant à sa réalité. sa réalité.

Les cas digestifs de la MH sont rarissimesLes cas digestifs de la MH sont rarissimes

LNH de bas grade de type MALT (MucosaLNH de bas grade de type MALT (Mucosa--Associated Lymphoid Tissue) sinon LNH B à Associated Lymphoid Tissue) sinon LNH B à grandes cellulesgrandes cellules

Caractère multifocal et discontinu Caractère multifocal et discontinu

Localisations gastriques plus fréquent esLocalisations gastriques plus fréquent esInfection par Infection par Helicobacter PyloriHelicobacter Pylori

ImagerieImagerieImagerieImagerieSituation sousSituation sous--muqueuse des follicules muqueuse des follicules

lymphoïdes lymphoïdes

UlcérationsUlcérations

Épaississement des plisÉpaississement des plisImages nodulaires polypoïdesImages nodulaires polypoïdes

ÉchoÉcho--endoscopie : infiltration de la paroi endoscopie : infiltration de la paroi

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsAdénocarcinome Adénocarcinome

Plus fréquent. Plus fréquent. Infiltration des plans graisseux adjacentsInfiltration des plans graisseux adjacents

Épaississement focal et modéré Épaississement focal et modéré

Rehaussement marqué Rehaussement marqué

Lumière digestive restreinte Lumière digestive restreinte

Femme 73 ans. LNH B grandes cellules. Fibroscopie gastrique : lésion bourgeonnante polypoide, ulcérée, fragile et molle de la base de la grande courbure, TDM et TEP-scanner concordants.

Page 25: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Intestin grêleIntestin grêleGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

LNH de bas grade de type MALT (anciennement LNH de bas grade de type MALT (anciennement appelé maladie des chaînes lourdes alpha) est appelé maladie des chaînes lourdes alpha) est dénommé IPSID (Immunodénommé IPSID (Immuno--ProliferativeProliferative--Small Small Intestinal Disease) et est associé à l’infection par le Intestinal Disease) et est associé à l’infection par le Campylobacter jejuni Campylobacter jejuni Lymphome de Burkitt de l’iléonLymphome de Burkitt de l’iléonGrêle (iléon>jéjunum>duodénum) Grêle (iléon>jéjunum>duodénum) Lymphome primitif du tube digestif (LPTD) de Lymphome primitif du tube digestif (LPTD) de

12,5 à 18 % des tumeurs malignes du grêle12,5 à 18 % des tumeurs malignes du grêleMaladie cœliaque dans sa forme réfractaire peut Maladie cœliaque dans sa forme réfractaire peut Maladie cœliaque dans sa forme réfractaire peut Maladie cœliaque dans sa forme réfractaire peut

être un facteur favorisant la survenue d’un être un facteur favorisant la survenue d’un lymphome de type T, caractérisé par la présence lymphome de type T, caractérisé par la présence d’un épaississement de la paroi intestinale, la d’un épaississement de la paroi intestinale, la présence d’adénopathies, d'invagination et présence d’adénopathies, d'invagination et d’hyposplénismed’hyposplénisme

ImagerieImagerieLa TEPLa TEP--scanner peut être mise en défaut dans ce scanner peut être mise en défaut dans ce

type de localisation du fait du type histologique du type de localisation du fait du type histologique du lymphome de type MALT fixant faiblement le radiolymphome de type MALT fixant faiblement le radio--traceur d’une part et d’autre part de la fixation traceur d’une part et d’autre part de la fixation physiologique du tube digestifphysiologique du tube digestif

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsMaladie de CrohnMaladie de Crohn

Homme 50 ans. LNH B grandes cellules. TDM : masse pariétale circonférentielle du grêle avec élargissement de la lumière visible sur le topogramme.

Page 26: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

ColonColon--RectumRectum Généralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)cliniques)

Chez les patients atteints par le SIDA, le Chez les patients atteints par le SIDA, le lymphome du colon est la localisation la plus lymphome du colon est la localisation la plus fréquente, d'habitude multifocal, associé à fréquente, d'habitude multifocal, associé à des masses pérides masses péri--rectales et a tendance à rectales et a tendance à être une lésion agressive (de haut grade). être une lésion agressive (de haut grade). Leur prévalence a nettement baissé depuis Leur prévalence a nettement baissé depuis l’avènement des tril’avènement des tri--thérapies antithérapies anti--rétrovirales. rétrovirales. Particularité de l’appendice vermiculaire qui Particularité de l’appendice vermiculaire qui

peut être exceptionnellement le siège d’un peut être exceptionnellement le siège d’un lymphome mais dont l’histologie est alors le lymphome mais dont l’histologie est alors le lymphome de Burkitt chez l’enfant et le LNH lymphome de Burkitt chez l’enfant et le LNH lymphome de Burkitt chez l’enfant et le LNH lymphome de Burkitt chez l’enfant et le LNH B à grandes cellules chez l’adulte B à grandes cellules chez l’adulte

ImagerieImagerieTDM : lésion infiltrante diffuse avec des TDM : lésion infiltrante diffuse avec des

nodules à la surface de la muqueuse. nodules à la surface de la muqueuse. Pas de perforation. Pas de perforation. Pour la localisation appendiculaire : Pour la localisation appendiculaire :

appendice augmenté de taille avec appendice augmenté de taille avec infiltration de la graisse périinfiltration de la graisse péri--appendiculaireappendiculaire

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsEn ce qui concerne l’appendice, plutôt que En ce qui concerne l’appendice, plutôt que

l’appendicite aiguë le diagnostic différentiel l’appendicite aiguë le diagnostic différentiel est le carcinoïde est le carcinoïde

Femme 52 ans. LNH B Grandes cellules. TDM : épaississement pariétal circonférentiel. Colonoscopie : Masse ulcéro-bourgeonnante du cæcum .

Page 27: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

PéritoinePéritoineGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)La lymphomatose péritonéale es une atteinte La lymphomatose péritonéale es une atteinte

areareL’infiltration péritonéale ou de l’épiploon est L’infiltration péritonéale ou de l’épiploon est

un tableau clinique rare, exclusivement un tableau clinique rare, exclusivement observée avec des LNH de haut grade.observée avec des LNH de haut grade.

ImagerieImagerieÉpaississements péritonéaux en bandes Épaississements péritonéaux en bandes

linéaires linéaires Fixité de l'intestin grêle,Fixité de l'intestin grêle,Ascite exsudative (qui peut être hyperdense Ascite exsudative (qui peut être hyperdense

en TDM du fait du contenu protéique accru)en TDM du fait du contenu protéique accru)Nodules ou masses péritonéalesNodules ou masses péritonéalesAdénopathies mésentériques Adénopathies mésentériques En TEPEn TEP--scanner, aspect stellaire de la racine scanner, aspect stellaire de la racine

du mésentère du mésentère Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels

Carcinose péritonéale Carcinose péritonéale Péritonite tuberculeusePéritonite tuberculeuse

Homme 14 ans. LNH Burkitt. TDM : épaississement tissulaire des espaces péritonéaux engainant les structures digestives.

Page 28: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

FoieFoie Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)La MH du foie est presque toujours associée avec La MH du foie est presque toujours associée avec

une atteinte splénique alors que le LNH une atteinte splénique alors que le LNH (généralement un LNH B à grandes cellules) peut (généralement un LNH B à grandes cellules) peut être uniquement hépatique..être uniquement hépatique..

ImagerieImagerieQue ce soit dans la MH ou dans le LNH :Que ce soit dans la MH ou dans le LNH :Infiltration diffuse sans nécessairement Infiltration diffuse sans nécessairement

d’hépatomégalied’hépatomégalie

Lésions nodulaires Lésions nodulaires Franchement hypoéchogènes en Franchement hypoéchogènes en

échographieéchographie

Faiblement hypodenses en TDM,Faiblement hypodenses en TDM,

Hypointenses en T1 et hyper en T2Hypointenses en T1 et hyper en T2Peu rehaussées après injection,Peu rehaussées après injection,

Homme 70 ans.LNH B grandes cellules (Richterisation d'un Waldenstrom), TEP : nodule Peu rehaussées après injection,Peu rehaussées après injection,

Homogènes quelle que soit la modalité Homogènes quelle que soit la modalité d’imageried’imagerieHyperfixations en TEPHyperfixations en TEP--scanner scanner

Infiltrats irréguliers des espaces périInfiltrats irréguliers des espaces péri--portauxportaux

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsPatient immunodéprimé : candidose systémique.Patient immunodéprimé : candidose systémique.

Hépatocarcinome Hépatocarcinome Métastases Métastases

Autres étiologies d’hypodensités périAutres étiologies d’hypodensités péri--portales portales

S’il existe un doute quand à la nature du processus S’il existe un doute quand à la nature du processus hépatique, une biopsie peut être envisagée hépatique, une biopsie peut être envisagée

Waldenstrom), TEP : nodule hépatique du segment II, adénopathies rétropéritonéales et localisations sus diaphragmatiques.

Femme 70 ans.LNH B grandes cellules localisation ORL. Échographie : Rechute hépatique.

Homme 81 ans. LNH B grandes cellules. TDM : foie et rate multinodulaire.

Page 29: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Voies biliaires et vésiculeVoies biliaires et vésiculeGénéralités (incidence, Généralités (incidence,

caractéristiques cliniques)caractéristiques cliniques)ExceptionnellesExceptionnellesAtteinte par contiguïté Atteinte par contiguïté

d’adénopathies du pédicule ported’adénopathies du pédicule porteImagerieImagerie

Masse polypoïde intraMasse polypoïde intra--luminaleluminaleMasse remplaçant la vésicule Masse remplaçant la vésicule Masse remplaçant la vésicule Masse remplaçant la vésicule

biliairebiliaireÉpaississement diffus de la paroiÉpaississement diffus de la paroi

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsAdénomyomatoseAdénomyomatoseAdénocarcinome de la vésiculeAdénocarcinome de la vésicule

Femme 67 ans. LNH B grandes cellules multifocal (localisation conjointe grêle, estomac..).TDM : engainement de la vésicule.

Page 30: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

RateRate Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Classification de Ann Arbor différente selon le type :Classification de Ann Arbor différente selon le type :

Organe «Organe « ganglionnaireganglionnaire » dans la MH => » dans la MH => classée III1classée III1

Organe «Organe « extraextra--ganglionnaireganglionnaire » dans le » dans le LNH => classée stade IV.LNH => classée stade IV.

ImagerieImagerieL’aspect en imagerie ne diffère pas selon le type de L’aspect en imagerie ne diffère pas selon le type de

lymphome : lymphome :

Splénomégalie homogène Splénomégalie homogène Anomalies focales,Anomalies focales,

Masse solitaire focale,Masse solitaire focale,

Lésions nodulaires multifocales ronds, bien limités, Lésions nodulaires multifocales ronds, bien limités, homogènes, homogènes,

Homme 28 ans, LNH B grandes cellules. Échographie : masse splénique hétérogène. Biopsie splénique sous écho permettant le diagnostic.

Femme 60 ans. LNH B petites cellules (zone marginale), TDM : homogènes, homogènes,

Hypoéchogènes voir anHypoéchogènes voir an--échogènes pseudoéchogènes pseudo--kystiques en échographiekystiques en échographie

Hypodenses mais non liquidiens en TDM,Hypodenses mais non liquidiens en TDM,Peu rehaussés après injection,Peu rehaussés après injection,

Infiltration diffuse en plages dépassant les limites de Infiltration diffuse en plages dépassant les limites de la ratela rate

Associés à des adénopathies du hile Associés à des adénopathies du hile

HypoHypo-- ou isoou iso--intenses en T1 et hyperintenses en T2intenses en T1 et hyperintenses en T2

TEP TEP --scanner : fixation globale diffuse ou zones scanner : fixation globale diffuse ou zones focales plus ou moins recoupées avec les données focales plus ou moins recoupées avec les données du scannerdu scanner

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsSarcoïdose, métastases, les infections fongiques Sarcoïdose, métastases, les infections fongiques

(immunodéprimés ) et les granulomatoses(immunodéprimés ) et les granulomatoses

Homme 47 ans. LNH B petites cellules (zone marginale), TEP pré opératoire : faible fixation homogène de la splénomégalie. Pièce macro : Micro ponctuation splénique.

marginale), TDM : splénomégalie homogène avec adénopathies sus et sous diaphragmatique.

Page 31: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

PancréasPancréasGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Absence de capsule pancréatique => infiltration Absence de capsule pancréatique => infiltration secondaire de contiguïté d’adénopathies dont elle secondaire de contiguïté d’adénopathies dont elle est difficile à distinguerest difficile à distinguerQuasiment exclusivement un LNHB à grandes Quasiment exclusivement un LNHB à grandes

cellules ou lymphome de la zone marginalecellules ou lymphome de la zone marginale

ImagerieImagerieHypertrophie de la totalité de la glande à contours Hypertrophie de la totalité de la glande à contours

flous, mimant l’aspect d’une pancréatite aiguëflous, mimant l’aspect d’une pancréatite aiguë

Syndrome de masse focal homogène Syndrome de masse focal homogène

Compression extrinsèque du duodénumCompression extrinsèque du duodénumMasse hypoéchogène en échographie Masse hypoéchogène en échographie Masse hypoéchogène en échographie Masse hypoéchogène en échographie

Retentissement sur les structures canalaires Retentissement sur les structures canalaires pancréatiques peut rarement survenir pancréatiques peut rarement survenir

Compression des voies biliairesCompression des voies biliaires

En TEPEn TEP--scanner, il s’agit d’une hyperfixation scanner, il s’agit d’une hyperfixation focale ou diffuse du parenchyme. focale ou diffuse du parenchyme.

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsPancréatite,Pancréatite,

Adénocarcinome pancréatique Adénocarcinome pancréatique

PonctionPonction--biopsie guidée d’une masse biopsie guidée d’une masse pancréatique doit être proposée pour pancréatique doit être proposée pour l'établissement du diagnostic et éviter une chirurgie l'établissement du diagnostic et éviter une chirurgie inutileinutile

Homme 77 ans. LNH B petites cellules. TDM, écho-endo et fibroscopie : ulcération duodénale en regard d’une masse de la tète du pancréas (notez la densité différente : flèches)

Page 32: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

ReinsReinsGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Fréquent dans sa forme secondaire Fréquent dans sa forme secondaire Asymptomatique le plus souvent ou aspécifiqueAsymptomatique le plus souvent ou aspécifique

LNH à grandes cellules et le lymphome de Burkitt LNH à grandes cellules et le lymphome de Burkitt

Exceptionnelle dans la MHExceptionnelle dans la MH

ImagerieImagerieTDMTDM : Homogène, isodense, faible rehaussement: Homogène, isodense, faible rehaussement

Masses multiples Masses multiples

Masse solitaire unilatérale Masse solitaire unilatérale

Extension contiguë au rein de la maladie Extension contiguë au rein de la maladie ganglionnaire rétroganglionnaire rétro--péritonéalepéritonéale

Homme 73 ans. LNH B. TDM : infiltration péri rénale circonférentielle régulière isolée quasi-pathognomonique.

ganglionnaire rétroganglionnaire rétro--péritonéalepéritonéale

Infiltration régulière de l'espace périInfiltration régulière de l'espace péri--rénal rénal

Néphromégalie bilatérale avec conservation des Néphromégalie bilatérale avec conservation des contours rénauxcontours rénaux

TEPTEP--scanner du fait de l’excrétion rénale du FDG : faux scanner du fait de l’excrétion rénale du FDG : faux positifs et négatifspositifs et négatifs

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsMétastases rénales (cancer bronchoMétastases rénales (cancer broncho--pulmonaire, pulmonaire,

mammaire ou rénal synchrone controlatéral) mammaire ou rénal synchrone controlatéral)

Carcinome tubuloCarcinome tubulo--papillaire papillaire

Processus bénins généralement inflammatoires Processus bénins généralement inflammatoires (urinomes, pancréatites, fibrose rétro(urinomes, pancréatites, fibrose rétro--péritonéale, péritonéale, maladie d’Eirdheimmaladie d’Eirdheim--Chester).Chester).Homme 51 ans. LNH T. TDM : infiltration

rénale nodulaire confluente bilatérale.

Page 33: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Glandes surrénalesGlandes surrénalesGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)Lymphome surrénalien primitifLymphome surrénalien primitif (LSP) (LSP)

exceptionnelexceptionnelBilatéral chez 50 % des patients Bilatéral chez 50 % des patients Insuffisance surrénalienne Insuffisance surrénalienne LNH B à grandes cellulesLNH B à grandes cellules

ImagerieImagerieMasses uniformes si petites Masses uniformes si petites Masses uniformes si petites Masses uniformes si petites Masses hétérogènes si géantesMasses hétérogènes si géantesTEPTEP--scanner : fixation intense en rapport scanner : fixation intense en rapport

avec le haut gradeavec le haut gradeDiagnostics différentielsDiagnostics différentiels

MétastasesMétastasesPhéochromocytomePhéochromocytomeCorticoCortico--surrénalomesurrénalome

Homme 50 ans. LNH B grandes cellules. TDM : masses surrénaliennes bilatérales géantes hétérogènes.

Page 34: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Adénopathies rétroAdénopathies rétro--péritonéalespéritonéalesGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

LNH ou MHLNH ou MHImagerieImagerie

Distinctes entre elles même si volumineuses Distinctes entre elles même si volumineuses coalescentes en gangue refoulant les structures coalescentes en gangue refoulant les structures

avoisinantes comme les vaisseaux qui restent en avoisinantes comme les vaisseaux qui restent en règle perméables et non envahis règle perméables et non envahis Rehaussement homogèneRehaussement homogèneInvasion de contigüité du muscle psoas …Invasion de contigüité du muscle psoas …Epaississement des fascias Epaississement des fascias

Femme. MH. TDM : masses ganglionnaires distinctes rétro péritonéales séparant les structures

Biopsie à l’aiguille, dirigée par contrôle TDMBiopsie à l’aiguille, dirigée par contrôle TDM

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsFibrose rétropéritonéale «Fibrose rétropéritonéale « idiopathiqueidiopathique »»Gamme des tumeurs malignes rétropéritonéalesGamme des tumeurs malignes rétropéritonéales

Lipo / Fibro/ Léiomyo /sarcomesLipo / Fibro/ Léiomyo /sarcomesTumeurs nerveusesTumeurs nerveusesChordomeChordomeNeuroblastome chez l’enfantNeuroblastome chez l’enfant

Hématome rétropéritonéalHématome rétropéritonéalAbcès du psoas Abcès du psoas

vasculaires des pédicules rénaux. Notez l'existence d'une infiltration hépatique associée.

Femme 79 ans. LNH B petites cellules (zone marginale), TDM : masse infiltrante rétro péritonéale refoulant les structures digestives.

Page 35: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Adénopathies MésentériquesAdénopathies MésentériquesGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Lymphome = origine maligne la plus fréquente des Lymphome = origine maligne la plus fréquente des adénopathies mésentériques adénopathies mésentériques Non systématiquement associées avec un lymphome Non systématiquement associées avec un lymphome

digestif digestif

Toujours un LNH Toujours un LNH

Maladie cœliaque : adénopathies possibles qui Maladie cœliaque : adénopathies possibles qui régressent sous régime sans gluten. Persistance doit régressent sous régime sans gluten. Persistance doit faire évoquer un lymphomefaire évoquer un lymphome

ImagerieImagerieTDM : signe du «TDM : signe du « sandwichsandwich » couches de graisse » couches de graisse

Femme 51 ans. LNH B grandes cellules (transformation folliculaire). TDM : Masses ganglionnaires mésentériques et rétro péritonéales. (sonde JJ à droite).

TDM : signe du «TDM : signe du « sandwichsandwich » couches de graisse » couches de graisse mésentérique / structures vasculaires / masses mésentérique / structures vasculaires / masses ganglionnaires.ganglionnaires.Masses résiduelles persistantes stellaires, rétractiles Masses résiduelles persistantes stellaires, rétractiles

panniculite mésentérique : densification de la graisse panniculite mésentérique : densification de la graisse mésentérique au sein de laquelle peuvent se trouver des mésentérique au sein de laquelle peuvent se trouver des ganglionsganglions

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsAdénopathie hypodense : maladie de Whipple ou Adénopathie hypodense : maladie de Whipple ou

tuberculosetuberculose

Panniculite : carcinomatose, pancréatite , maladie Panniculite : carcinomatose, pancréatite , maladie inflammatoire de l'intestininflammatoire de l'intestinTumeurs carcinoïdesTumeurs carcinoïdes

Tumeurs desmoïdesTumeurs desmoïdes

Homme 62 ans. LNH B grandes cellules (transformation folliculaire). TEP-scanner : Adénopathie mésentérique méconnue en TDM car confondue avec l'intestin.

Page 36: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Vessie, prostateVessie, prostateGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)ExceptionnelExceptionnelSymptomatologie clinique variable et non Symptomatologie clinique variable et non

spécifiquespécifiqueLNH B soit de type MALT soit à grandes LNH B soit de type MALT soit à grandes

cellules.cellules.ImagerieImagerie

Syndrome de masse prostatique infiltrant le Syndrome de masse prostatique infiltrant le plancher pelvien dont les PSA sont normaux plancher pelvien dont les PSA sont normaux

Homme 80 ans. LNH B petites cellules (Folliculaire). TDM masse ganglionnaire iliaque externe compressive sur la plancher pelvien dont les PSA sont normaux plancher pelvien dont les PSA sont normaux

chez un homme jeune chez un homme jeune tumeur végétante dans la lumière et infiltrant tumeur végétante dans la lumière et infiltrant

la paroila paroiDiagnostics différentielsDiagnostics différentiels

Le cancer de vessie et de la prostate sont bien Le cancer de vessie et de la prostate sont bien plus fréquents que les lymphome dont le plus fréquents que les lymphome dont le diagnostic de lymphome est posé après la diagnostic de lymphome est posé après la réalisation de biopsies.réalisation de biopsies.

iliaque externe compressive sur la vessie distincte de l'infiltration prostato-séminale (liseré graisseux).

Femme 79 ans. LNH B grandes cellules . TDM : infiltration de la paroi latérale droite de la vessie (flèche).

Page 37: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

TesticuleTesticuleGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)LNH primitif des testicules (LPT) sujet âgéLNH primitif des testicules (LPT) sujet âgéAtteinte testiculaire secondaire rareAtteinte testiculaire secondaire rareLNH B grandes cellules LNH B grandes cellules Haute incidence de récidive du système Haute incidence de récidive du système

nerveux central, du testicule contronerveux central, du testicule contro--latéral latéral et d'autres sites extraet d'autres sites extra--ganglionnaires ganglionnaires MH rarissimeMH rarissime

ImagerieImagerie

Homme 67 ans. VIH. PET et TDM : fixation d'une masse testiculaire droite dans le contexte de multiples autres ImagerieImagerie

Masse testiculaire Masse testiculaire Augmentation de taille du testicule Augmentation de taille du testicule Échographie : masse hypoéchogène Échographie : masse hypoéchogène TEPTEP--scanner : révèle une localisation non scanner : révèle une localisation non

préalablement cliniquement suspectée oupréalablement cliniquement suspectée ounon habituellement explorée en TDM qui non habituellement explorée en TDM qui évitent l’acquisition testiculaireévitent l’acquisition testiculaire

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsTératome Tératome SéminomeSéminome

contexte de multiples autres localisations viscérales.

Homme 64 ans. LNH B grandes cellules. Échographie : masse testiculaire hétérogène non calcifiée.

Page 38: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

OvaireOvaireGénéralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)

Lymphome primitif de l'ovaire (LPO) exceptionnel Lymphome primitif de l'ovaire (LPO) exceptionnel LNH B à grandes cellulesLNH B à grandes cellules

Lymphome de BurkittLymphome de Burkitt

ImagerieImagerieAspect en imagerie aspécifiqueAspect en imagerie aspécifique

Tumeurs ovariennes solides homogènes Tumeurs ovariennes solides homogènes En échographie : hypoéchogènes. En échographie : hypoéchogènes. En échographie : hypoéchogènes. En échographie : hypoéchogènes.

En TDM : hypodenses, peu rehaussées après En TDM : hypodenses, peu rehaussées après injectioninjection

En IRM, : hyposignal T1, intermédiaire T2En IRM, : hyposignal T1, intermédiaire T2

En TEP: fixation multifocale. En TEP: fixation multifocale.

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsAutres tumeurs solides (nécrose, hémorragie ou Autres tumeurs solides (nécrose, hémorragie ou

calcification) dont les métastases ovariennes.calcification) dont les métastases ovariennes.

En TEP, l’hyperfixation doit être distinguée de la En TEP, l’hyperfixation doit être distinguée de la fixation physiologique des ovaires et de l’utérus fixation physiologique des ovaires et de l’utérus pendant les règles.pendant les règles.

Femme 65 ans. LNH B grandes cellules. TDM : Masses ovariennes bilatérales tissulaires homogènes (LNH prouvé par cœlioscopie).

Page 39: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

VaginVagin••Généralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)cliniques)

••Le lymphome primitif du vagin (LPV) Le lymphome primitif du vagin (LPV) est exceptionnel est exceptionnel ••Lymphome B à grandes cellules Lymphome B à grandes cellules

••ImagerieImagerie••Lésions bien définies, volumineuses Lésions bien définies, volumineuses plutôt hypoéchogènes en échographieplutôt hypoéchogènes en échographie

Femme 52 ans. LNH B (Lymphome vaginal primitif). IRM (T2) : masse vaginale homogène.

plutôt hypoéchogènes en échographieplutôt hypoéchogènes en échographie••Contour lobulé et densité semblable Contour lobulé et densité semblable au muscle en TDMau muscle en TDM••Hyposignal T1,hypersignal T2 et Hyposignal T1,hypersignal T2 et rehaussé après injection en IRMrehaussé après injection en IRM

••Diagnostics différentielsDiagnostics différentiels••Envahissement du vagin d’un cancer Envahissement du vagin d’un cancer primitif du col utérin primitif du col utérin ••Adénocarcinome du vagin après Adénocarcinome du vagin après exposition au Diethylstilbesterol in exposition au Diethylstilbesterol in utero.utero.

Page 40: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

OsOsGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)MH ou LNH MH ou LNH Lymphome osseux primitif (LOP) os long Lymphome osseux primitif (LOP) os long

(plutôt la région du genou ou l’humérus). (plutôt la région du genou ou l’humérus). Atteinte osseuse survenant au cours d’un Atteinte osseuse survenant au cours d’un

lymphome diffus (squelette axiallymphome diffus (squelette axial (rachis, (rachis, bassin, cotes, sternum ou crâne))bassin, cotes, sternum ou crâne))RechutesRechutesFracture pathologique Fracture pathologique

ImagerieImagerieHomme 55 ans. LNH B Homme 70 ans.LNH B

ImagerieImagerieRadiographie standard : ostéolyse perméative Radiographie standard : ostéolyse perméative

du LNH / ostéosclérose (condensation) de la du LNH / ostéosclérose (condensation) de la MH ou image mixteMH ou image mixteIRM et TDM : extension dans les parties IRM et TDM : extension dans les parties

mollesmollesTEP plus sensible que la scintigraphie TEP plus sensible que la scintigraphie

osseuseosseuseDiagnostics différentielsDiagnostics différentiels

Ostéosarcome, sarcome d'EwingOstéosarcome, sarcome d'EwingMétastasesMétastasesMyélomeMyélome

Homme 55 ans. LNH B grandes cellules (transformation folliculaire). IRM : fracture pathologique col fémoral droit.

Homme 70 ans.LNH B petites cellules. Radio : fracture pathologique du fémur.

Femme 73 ans. LNH B grandes cellules (riche en T). TEP : localisation osseuse humérale gauche entre autres multiples sites.

Page 41: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Tissus mous (muscles et tissus de Tissus mous (muscles et tissus de soutien)soutien)

Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Généralités (incidence, caractéristiques cliniques)Lymphome primitif du muscle (LPM) extrêmement Lymphome primitif du muscle (LPM) extrêmement

rarerareGénéralement secondaireGénéralement secondaire

LNH ou MHLNH ou MH

ImagerieImagerieHypertrophie musculaire : muscle «Hypertrophie musculaire : muscle « gonflégonflé »»

Échographie : masse solide, hétérogène, Échographie : masse solide, hétérogène, hypoéchogène de contours irréguliers ou mal définishypoéchogène de contours irréguliers ou mal définisTDM : densité identique ou TDM : densité identique ou

IRM : hyposignal T1 hypersignal T2IRM : hyposignal T1 hypersignal T2IRM : hyposignal T1 hypersignal T2IRM : hyposignal T1 hypersignal T2

Conservation des structures environnantesConservation des structures environnantes

TEPTEP--scanner : détection des lésions musculaires, scanner : détection des lésions musculaires, oriente les prélèvementsoriente les prélèvements

Diagnostics différentielsDiagnostics différentielsLésions tumorales bénignes (type lipome et Lésions tumorales bénignes (type lipome et

desmoïde)desmoïde)

Lésions tumorales malignes (type liposarcome, Lésions tumorales malignes (type liposarcome, fibrosarcome, ostéosarcome, synovialosarcome, fibrosarcome, ostéosarcome, synovialosarcome, métastases)métastases)

Lésions inflammatoires (sarcoïdose, pyomyosite et Lésions inflammatoires (sarcoïdose, pyomyosite et dermatodermato--polymyosites) polymyosites)

Masses traumatiques et vasculaires (hématome, Masses traumatiques et vasculaires (hématome, hémangiome et malformations artériohémangiome et malformations artério--veineuses).veineuses).

Homme 55 ans. LNH B grandes cellules (transformation folliculaire). TDM et IRM : infiltration musculaire de la fesse gauche mieux analysée en SE T2 fat SAT.

Page 42: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Peau et tissu sous cutanéPeau et tissu sous cutanéGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)Groupe hétérogène d’entités présentant des Groupe hétérogène d’entités présentant des

tableaux cliniques, histologiques, immunotableaux cliniques, histologiques, immuno--histologiques et évolutifs très variéshistologiques et évolutifs très variésLymphome de type T comme le Mycosis Lymphome de type T comme le Mycosis

fongoïde ou le syndrome de Sézary fongoïde ou le syndrome de Sézary Lymphome B cutanés (Borrelia burgdorferi )Lymphome B cutanés (Borrelia burgdorferi )MH exceptionnelleMH exceptionnelle

ImagerieImagerieHomme 60 ans. LNH B petites cellules (zone marginale). Photo : plaques

Homme 58 ans. LNH B petites cellules (Folliculaire). TDM : ImagerieImagerie

Épaississement cutané non spécifiqueÉpaississement cutané non spécifiqueImages nodulaires tissulaires dans la Images nodulaires tissulaires dans la

graisse sous cutanéegraisse sous cutanéeDiagnostics différentielsDiagnostics différentiels

Nodules dits de perméation (métastases de Nodules dits de perméation (métastases de cancers)cancers)Nodules cicatriciels post injectionNodules cicatriciels post injectionKystes sébacésKystes sébacésNodules secondaires à des désordres Nodules secondaires à des désordres

métaboliques ou troubles de stockage, de métaboliques ou troubles de stockage, de maladies automaladies auto--immunes et du collagèneimmunes et du collagène

marginale). Photo : plaques nodulaires rouges de la face et du torse.

cellules (Folliculaire). TDM : nodules denses sous cutanés (flèches) d’une rechute prouvée par biopsie.

Femme 60 ans. LNH B grandes cellules. TDM et PET-scanner : localisations extra nodales sous cutanées, fosse ischiatique, grande lèvre.

Page 43: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

IntraIntra--vasculairevasculaireGénéralités (incidence, caractéristiques Généralités (incidence, caractéristiques

cliniques)cliniques)RareRareSystémique Systémique Prolifération intraProlifération intra--vasculaire de lymphocytes vasculaire de lymphocytes

tumorauxtumorauxOcclusion des vaisseaux de petits calibresOcclusion des vaisseaux de petits calibrestropisme neurologique mais aussi cutané et tropisme neurologique mais aussi cutané et

pulmonairepulmonaireAugmentation des LDH sériques Augmentation des LDH sériques

Femme 59 ans. LNH B grandes cellules (transformation zone marginale). LNH intra-vasculaire pulmonaire. TDM : plages en verre dépoli (Lymphome prouvé par biopsie pulmonaire chirurgicale) régressif après traitement.

Page 44: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

SuiviSuivi

Homme 45 ans. TDM : nodule Homme 45 ans. TDM : nodule médiastinal calcifié en périphérie cicatriciel. ATCD MH stade II, radiothérapie 5 ans.

Femme 19 ans. TDM : rétraction médiastinale et DDB. ATCD MH stade II, radiothérapie .

Homme 16 ans, LNH B grandes cellules. TEP post thérapeutique foyers sus claviculaires et para-rachidiens symétriques de zones de graisse brune.

Page 45: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Efficacité immédiate du Efficacité immédiate du traitementtraitement

Homme 51 ans, LNH T Lymphoblastique. 1er TDM : masse médiastinale et épanchement pleural. 2eme TDM après une seule cure de chimiothérapie: fonte tumorale majeure

Page 46: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Problématique des masses Problématique des masses résiduellesrésiduelles

Homme de 59 ans. LNH B grandes cellules TEP : masse résiduelle mésentérico-pancréatique ne fixant pas le traceur. Suivi évolutif : pas de récidive.

Page 47: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

Détecter les complications et Détecter les complications et séquelles thérapeutiquesséquelles thérapeutiques

Homme 54 ans. Lymphoprolifération EBV induit. TDM : infiltrat bilatéral postérieur se révélant être une pneumocystose.

Page 48: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

… … aux piedsaux pieds

IRM SE T1 IV+ : LNH B à grandes cellules englobant le tendon d’Achille (tête de flèches). Bert P. M. ter Braak, Gerard L. Guit, and Johan L. Bloem. Radiology 2007;243:293-296

Page 49: Imagerie du lymphome de la tête aux pieds.ppt [Mode …pe.sfrnet.org/Data/ModuleConsultationPoster/pdf/2010/1/77bf6878-db... · Illustration par des cas issus de notre banque de

ConclusionConclusionToutes les méthodes d'imagerie peuvent être utilisées, Toutes les méthodes d'imagerie peuvent être utilisées,

mais l'imagerie fonctionnelle (TEP) couplée à la TDM joue mais l'imagerie fonctionnelle (TEP) couplée à la TDM joue un rôle majeur dans l'évaluation au stade initial, dans le un rôle majeur dans l'évaluation au stade initial, dans le suivi thérapeutique et dans l'évaluation de la maladie suivi thérapeutique et dans l'évaluation de la maladie résiduelle. résiduelle. résiduelle. résiduelle. Elle nécessite une analyse attentive, une corrélation aux Elle nécessite une analyse attentive, une corrélation aux

autres modalités d’imagerie et compte tenu de la diversité autres modalités d’imagerie et compte tenu de la diversité des processus une nécessaire confirmation histologique des processus une nécessaire confirmation histologique obtenue par biopsie.obtenue par biopsie.