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M∗BnvDpMcgsQlmttReI—s—bp—TdDeL——mLgtCnLd’hémoglobine bas au moment du diagnostic de lymphome étaientparticulièrement à risque, notamment lors d’épisodes infectieux,en début de chimiothérapie.
http://dx.doi.org/10.1016/j.jmv.2012.07.073
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ntibiothérapie. Les symptômes du foyer infectieux primitif sontanquants dans 14 % des cas.
a modalité de l’antibiothérapie reste controversée, elle estcquise en préopératoire, probabiliste, large par la suite, la duréeotale est sujette à discussion.a chirurgie idéale associe une résection maximale du foyer sep-ique initial et donc de l’aorte infectée avec une revascularisationn situ par allogreffe artérielle. Elle permet de traiter le foyereptique, de corriger la rupture tout en offrant au patient une revas-ularisation ayant une perméabilité à long terme meilleure qu’unontage extra-anatomique.e traitement endovasculaire est séduisant pour les patients fragilesu pour les lésions « mal placées » soit dans une optique curative, sie patient présente un sepsis peu sévère et un germe peu agressif,oit comme une solution d’attente comme par exemple dans unestule aortique.onclusion.— Cette pathologie relève d’une prise en charge multi-isciplinaire : elle constitue un challenge diagnostique, un challengeactériologique, et un challenge chirurgical. Les résultats de la chi-urgie dépendront de plusieurs facteurs. La revascularisation in situemble être la meilleure solution chez les patients en bon étaténéral.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.jmv.2012.07.071
5tude du comportement des veines épifaciales sousas de compression : hypothèse pour expliquer
’action de la compression après sclérothérapie. Rastel a,∗, B. Lun b
Selurl Philangio, Grenoble, FranceSigvaris, St-Just St-Rambert, France
ots clés : Compression ; SclérothérapieAuteur correspondant.ntroduction.— Le rôle des bas médicaux de compression (BMC) uti-isés en post sclérothérapie, soit pour réduire les effets secondaires,oit pour en améliorer l’efficacité, est débattu. La littératureontre une réduction du nombre de microthrombectomies sur les
eines épifaciales. En revanche, les BMC n’auraient aucun effet sures veines grandes et petites saphènes. L’objectif de ce travail est’étudier le comportement des veines épi- et sous-faciales sousompression pour tenter d’expliquer ces divergences.atériel et méthode.— Les veines du plan cutané ont été étudiéesar échographie mode B (sonde de 13 MHz) sous BMC au niveau deinq zones de varices jambières chez deux volontaires avec insuf-sance veineuse superficielle (C2EPAsPR), en position debout. Uneotte à eau fenêtrée a été mise au point pour pallier tout biais lié àa pression de la sonde sur la peau. Un BMC de classe 2 (norme AFNOR
30 102 B), a été utilisé. Le rayon de courbure local du plan cutanén regard des varices et les sections intraluminales des veines (ratioe l’ellipse R/r) ont été mesurés, par traitement d’images numé-iques, par deux opérateurs (chaque mesure répétée cinq fois) puises médianes comparées.ésultats.— Le rayon de courbure médian des veines pathologiquespifaciales sans et avec compression est augmenté (p = 0,0001),a section des veines sans et avec compression est diminuéep = 0,018). Il n’y a pas de variation significative des paramètresn ce qui concerne les veines dans les compartiments saphéniensp > 0,05).es veines épifaciales modifient donc leur forme mais moins quea courbure de la peau créée par la veine variqueuse qui disparaîtous compression. Aux pressions exercées la section des veines sous-
aciales n’est pas modifiée par les BMC.onclusion.— L’hypothèse avancée est donc que les compartimentsaphéniens jouent un rôle naturel protecteur des effets secondairese la sclérothérapie qui n’existe pas pour les veines épifaciales.es dernières, sous l’effet des BMC de classe 2, se déforment sanscrasement mais s’enfoncent dans le plan cutané ce qui équivau-rait à créer un compartiment protecteur. Par ailleurs, ces résultatsonfirmeraient qu’avec un BMC de classe 2 on parvient à modifier’anatomie d’une veine dans laquelle la pression intravasculaire luist au moins égale.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.jmv.2012.07.072
6ncidence et facteurs de risque de la maladiehrombo-embolique veineuse dans le lymphome àrandes cellules. Dupas a,∗, C. Mane-Vandwalle a, S. Samy-Modeliar a, B. Royer b,. Damaj b, J.-P. Marolleau b, M.-A. Sevestre a
Service de médecine vasculaire, CHU d’Amiens, FranceService d’Hématologie Clinique, CHU d’Amiens, France
ots clés : Lymphome ; Maladie thrombo-embolique veineuseAuteur correspondant.ackground.— L’incidence des accidents thrombo-emboliques vei-eux chez les patients présentant un lymphome à grandes cellulesarie de 11,5 % à 12,8 % dans la littérature.ans cette population, les facteurs de risque liés à ces évènementséjoratifs sont mal connus.éthode.— Nous avons analysé rétrospectivement les dossiers médi-aux des patients diagnostiqués ou en rechute de lymphome àrandes cellules, de janvier 2009 à décembre 2010, et suivis dans leervice d’hématologie clinique du CHU d’Amiens.uatre-vingt-quatre patients ont été identifiés et nous avons colligé
eurs caractéristiques cliniques, les examens biologiques réalisés auoment du diagnostic, les données relatives au lymphome et à ses
raitements, aux types et circonstances de survenue des accidentshrombo-emboliques veineux documentés.ésultats.— Dix patients ont présenté un accident thrombo-mbolique veineux pendant la période étudiée (11,9 %).l s’agissait :
d’une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs dansix cas (dont deux compliquées d’embolie pulmonaire) ;d’une thrombose veineuse jugulaire interne ou du tronc veineux
rachiocéphalique dans trois cas (dont une compliquée d’embolieulmonaire) ;d’une embolie pulmonaire isolée dans un cas.
ous les évènements sont survenus durant les trois premiers cyclese chimiothérapie.ans sept cas sur dix, la survenue d’un événement thrombo-mbolique veineux était contemporaine d’un épisode infectieux.es autres facteurs de risque identifiés dans l’étude sont :le sexe féminin ;un taux de LDH > 450UI/mL et un taux d’hémoglobine < 10 g/dL auoment du diagnostic de lymphome.
’Index Pronostique International (score IPI) n’a pas pu être rensei-né chez 17 patients (20 %), mais ne semble pas influencer le risquehrombo-embolique veineux.onclusion.— L’incidence des accidents thrombo-emboliques vei-eux dans notre étude est comparable aux données de la littérature.es patientes qui avaient un taux de LDH élevé et un taux