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SFE Toulouse 2012 / Annales d
ive entre les deux groupes. Concernant l’évaluation de l’anxiété, 53,3 % desatientes et 26,7 % des témoins avaient un score pathologique avec p = 0,02.n épisode dépressif majeur était trouvé chez 30 % des patientes et 6,7 % des
émoins (p < 0,001).iscussion.– La dysfonction sexuelle chez les patientes avec SOPK est duerincipalement aux conséquences cliniques de ce syndrome, le retentissementsychologique notamment dépressif viendra aggraver les troubles sexuels pré-xistants.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.827
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ise au point sur l’exploration radiologique desncidentalomes surrénaliens. Achour
Service de radiologie, hôpital Charles Nicolle, Tunis, Tunisie
ntroduction.– Illustrer les différents aspects en scanner et IRM des incidenta-omes surrénaliens.
atériels et méthodes.– Nous avons revu les examens d’imagerie en coupe dealades explorés pour incidentalomes surrénaliens et discuté les apports respec-
ifs de chaque méthode (TDM et IRM) pour le diagnostic positif et étiologiquee cette pathologie.iscussion.– Les techniques récentes de mesure de densité spontanée en TDM
t d’IRM avec imagerie de déplacement chimique basées sur l’estimation duontenu en lipides de ces lésions, représentent un progrès certain. Notre tra-ail fait le point sur la caractérisation des incidentalomes surrénaliens par lesifférentes méthodes d’imagerie et précise les stratégies d’exploration de cesésions.ésultats.– Une valeur de densité spontanée inférieure à 10UH permet d’affirmer
e diagnostic, le scanner avec injection de produit de contraste, voire l’IRM par lainétique de rehaussement après contraste et l’intensité de la baisse de signal aveces séquences en opposition de phase peuvent aboutir à un diagnostic spécifique.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.828
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ncidentalomes surrénaliens (IS) : étude de 18 cas. Zantour ∗, M. Akrout , W. Chebbi , W. Alaya , S. Jerbi , H. Bouzidi ,.H. Sfar
Hopital Tahar Sfar, Mahdia, TunisieAuteur correspondant.
bjectif.– Décrire les données cliniques, biologiques, étiologiques et évolutives’une série d’IS.atients et méthodes.– Étude rétrospective, menée sur 18 patients explorés pourS durant 1995–2011.ésultats.– L’age moyen 50 ans (24–75). On a noté une prédominance féminine
15F, 3H). Dix patients étaient hypertendus, cinq diabétiques, 12 avaient unebésité androïde. Les circonstances de découverte étaient une symptomatologiebdominale (n = 14), une aménorrhée (n = 2), un sepsis (n = 2).a découverte était par échographie chez 17 patients, TDM chez une patiente.n syndrome adrénergique était présent chez six patients. Le bilan biologiquerévélé une hypertriglycéridémie chez trois patients, une hypercholestérolémiehez quatre patients, une hypokaliémie chez quatre patients. Le bilan hormonalrévélé un hypercorticisme chez cinq patients, une élévation des métaneh-
ines chez quatre patients avec élévation des VMA chez deux patients. Le testu synachtène pratiqué devant des lésions bilatérales chez deux patients étaitormal.
la TDM, la taille moyenne de la tumeur était de 3 cm (2–10), neuf patientsvaient une taille > 3 cm. L’aspect de la tumeur était hypodense (n = 4), isodensen = 3), hétérogène (n = 3), liquidien (n = 4).n traitement chirurgical a été indiqué chez cinq patients ayant un adénome
ortisolique, quatre patients ayant un phéochromocytome, et une patiente ayant
ne lésion non sécrétante suspecte de malignité, qui s’est révélée bénigne.’évolution était favorable chez les patients opérés avec guérison de’hypersécrétion. Chez les patients non opérés, la taille de la tumeur était stablevec absence d’hypersécrétion hormonale.cl
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crinologie 73 (2012) 336–353 349
iscussion.– Les phéochromocytomes ont représenté une proportion importanteans notre série. La chirurgie a été indiquée dans plus que la moitié des patients.es résultats doivent nous faire insister sur l’exploration hormonale de touteasse surrénalienne de découverte fortuite.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.829
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n phéochromocytome surrénalien révélé par un AVCschémique. Brakni
Hôpital central de l’armée, Alger, Algérie
ntroduction.– Il existe des formes graves de phéochromocytomes, secondairese plus souvent à la nécrose tumorale, se manifestant par des dysfonctions
ultiviscérales menacant le pronostic vital.ous rapportons un cas de phéochromocytome révélé par un accident vasculaire
érébral inaugural.bservation.– Patient âgé de 53 ans, admis en réanimation pour AVC isché-ique.émiplégie, paralysie faciale droite, chiffres tensionnels (240/120) avec desypotensions (55/30) Palpitations et sueurs profuses.DM cérébrale.– AVC ischémique temporal gauche.érivés méthoxylés urinaires.– Douze fois la normale.DM abdominale.– Tumeur surrénalienne gauche, bien limitée, mesurant :3,6 × 95,7 × 95,1 mm, densité tissulaire, hétérogène avec des zones de nécrose.cintigraphie à la MIB.– Hyperfixation surrénalienne gauche.e patient a bénéficie d’une surrénalectomie gauche.napath.– Phéochromocytome bénin (PASS < 4).volution.– Post op disparition de l’HTA et normalisation des dérives. Aucune
écidive à un an.iscussion.– Le phéochromocytome peut être secondaire à une nécrose
umorale, entraînant un largage massif de catécholamines responsable d’uneasoconstriction importante avec ischémie tissulaire, pouvant toucher différentsrganes dont la circulation cérébrale.onclusion.– En dehors des manifestations cliniques habituelles, les phéochro-ocytomes peuvent se déclarer lors de complications graves secondaires à la
écrose tumorale.e diagnostic précoce reste le seul moyen pour arrêter ce processus du à
’imprégnation excessive par les catécholamines.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.830
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asses surrénaliennes : aspects cliniques, étiologiques etvolutifs : à propos de huit cas recensés sur une période de6 mois. El Latifi ∗, G. El Mghari , N. El Ansari
Service de diabétologie, endocrinologie et maladies métaboliques,aboratoires PCIM, faculté de médecine, université Cadi Ayyad, CHU
ohamed VI, Marrakech, MarocAuteur correspondant.
ntroduction.– Les masses surrénaliennes sont de plus en plus diagnostiquéestant donné le vieillissement de la population et l’augmentation de la sensibilitées nouvelles techniques d’imagerie.ut.– Analyser le profil clinique, biologique, étiologique, thérapeutique et évo-
utif des masses surrénaliennes dans notre service.atients et méthodes.– Études transversales, concernant huit observations dealades vus en consultation ou hospitalisés au service d’Endocrinologie duHU de Marrakech, colligés durant la période allant de janvier 2011 à avril012.ésultats.– Il y a huit patients, dont cinq femmes et trois hommes. La moyenne’âge est de 36 ans.onclusion.– Deux observations marquantes : la disparition de la masse dans le
as de l’ISL auto-immune et le phéochromocytome malin géant classé 2e dansa littérature.ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.831