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Infos tous azimuts ! au collège Anne Frank de Plescop Trimestriel n° 3 (avril – mai - juin 2016) Edito Toute l'équipe de la rédaction se réjouit de vous proposer ce troisième et dernier numéro trimestriel d' Infos tous azimuts ! au collège Anne Frank .... pour cette année !! "Last but not least" car nous espérons bien vous retrouver l'an prochain ! Merci à tous les élèves cités en fin de journal pour leur contribution à la rédaction de ce journal et des précédents ! Merci à tous les adultes qui ont accepté de répondre à nos questions ! Comme pour les 2 numéros précédents, vous pourrez retrouver l'intégralité du journal sur le site Internet du collège à l'adresse suivante : http://www.collegedeplescop.ac- rennes.fr/ Mettre en route un journal n'est pas chose si facile et nous sommes toujours un peu en mode "rodage". Gageons que nous serons encore plus au point l'an prochain ! De très belles vacances! On se retrouve en pleine forme en septembre prochain ! Mme Dérouin, Prof doc au collège Au sommaire de ce numéro... Des rencontres avec de belles personnes dans les murs du collège : - Madame Kolinka, survivante des camps de concentration - Yves Grevet, auteur de littérature jeunesse Des voyages que les élèves ne sont pas prêts d'oublier : - Un séjour à Londres - Un échange scolaire avec de jeunes Allemands de la ville de Constance. - Une classe de 3e participe aux commémorations de Verdun dans le cadre d'un projet français-histoire Une interview de Mme Le Berre, professeure d'allemand Notre rendez-vous avec la Guadeloupe: Monsieur Sainte-Luce nous propose une recette pleine de soleil et de saveurs Nos pages sportives : - Jeux Olympiques et Paralympiques 2016 à Rio de Janeiro - Basket-ball Pour les mordus de mangas : - Prix mangawa 2015-2016 proposé aux collègiens Et bien sûr , nos rubriques habituelles : - La fiche fimo d'Elisa - Une fiche métier : esthéticienne - S.o.s. Animaux : tortues et pandas en danger - Critique littéraire, top quinze des livres les plus empruntés au C.D.I. et quelques lectures "coup de coeur". Et, pour ce dernier numéro, nos rédactrices vous parlent un peu d'elles et de leurs motivations quant à faire vivre ce journal tout au long de l'année. Bonne lecture ! 1

Infos tous azimutsPour les mordus de mangas : - Prix mangawa 2015-2016 proposé aux collègiens Et bien sûr, nos rubriques habituelles : - La fiche fimo d'Elisa - Une fiche métier

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Infos tous azimuts ! au collège Anne Frank de Plescop

Trimestriel n° 3 (avril – mai - juin 2016)

Edito

Toute l'équipe de la rédaction se réjouit de vous

proposer ce troisième et dernier numéro trimestriel

d' Infos tous azimuts !au collège Anne Frank.... pour cette année !!"Last but not least"car nous espérons

bien vous retrouver l'an prochain !

Merci à tous les élèves cités en fin de journal pour leur

contribution à la rédaction de ce journal et des précédents !

Merci à tous les adultes qui ont accepté de répondre à

nos questions !

Comme pour les 2 numéros précédents, vous pourrez

retrouver l'intégralité du journal sur le site Internet du collège à l'adresse suivante :

http://www.collegedeplescop.ac-rennes.fr/

Mettre en route un journal n'est pas chose si facile et nous sommes toujours un peu en mode "rodage".

Gageons que nous serons encore plus au point l'an

prochain !

De très belles vacances! On se retrouve en pleine forme

en septembre prochain !

Mme Dérouin,Prof doc au collège

Au sommaire de ce numéro...

Des rencontres avec de belles personnes dans les murs du collège :

- Madame Kolinka, survivante des camps de concentration- Yves Grevet, auteur de littérature jeunesse

Des voyages que les élèves ne sont pas prêts d'oublier : - Un séjour à Londres- Un échange scolaire avec de jeunes Allemands de la ville de Constance.- Une classe de 3e participe aux commémorations de Verdun dans le cadre d'un projet français-histoire

Une interview de Mme Le Berre, professeure d'allemand

Notre rendez-vous avec la Guadeloupe: Monsieur Sainte-Luce nous propose une recette pleine de soleil et de saveurs

Nos pages sportives : - Jeux Olympiques et Paralympiques 2016 à Rio de Janeiro - Basket-ball

Pour les mordus de mangas : - Prix mangawa 2015-2016 proposé aux collègiens Et bien sûr, nos rubriques habituelles :- La fiche fimo d'Elisa - Une fiche métier : esthéticienne- S.o.s. Animaux : tortues et pandas en danger- Critique littéraire, top quinze des livres les plus empruntés au C.D.I. et quelques lectures "coup de coeur".

Et, pour ce dernier numéro, nos rédactrices vous parlent un peu d'elles et de leurs motivations quant à faire vivre ce journal tout au long de l'année.

Bonne lecture !

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Madame Ginette Kolinka, une survivante des camps de la mort durant la Seconde Guerre mondiale...

Nous demandons tout d'abord à Mme Kolinka dans quels camps de concentration elle a été déportée. « J'en ai fait plusieurs », nous a-t-elle répondu. « Tant qu'à faire, pour le même prix, il fallait que je visite. (Sourire ironique) On se plaint, mais on a vu du pays. Alors... j'ai d'abord été au camp de Drancy qui était un camp d'internement. »Elle nous explique qu'elle a donc d'abord connu la prison, l'internement au camp de Drancy et qu'elle a ensuite été déportée au camp de concentration de Birkenau puis dans celui de Bergen-Belsen et qu'elle a terminé au camp de Theresienstadt.

Nous l'interrogeons sur la date de son arrestation et ses déportations successives. Elle nous dit avoir été arrêtée le 13 mars 1944. Là, ce n'était pas les camps, c'était la prison. « Seulement », précise-t-elle, « c'est vrai qu'en prison c'était déjà pas agréable. Je suis arrivée le 31 mars dans les camps et je les ai quittés vers la mi-juin 1945. » Si elle ne souvient pas des dates exactes de ses passages dans les camps elle se rappelle être arrivée en avril à Birkenau et l'avoir quitté en novembre. En novembre, elle est transférée à Bergen-Belsen où elle restera jusqu'en février. Puis, de février jusqu'en avril, elle sera en usine (travail forcé) et en avril-mai, elle arrivera à Theresienstadt. »

Elle nous explique aussi que c'est la Gestapo qui l'a arrêtée et que ce sont les Russes qui l'ont libérée. Nous lui demandons ce qu'elle a ressenti à l'instant de sa libération.Elle nous répond qu'elle était trop malade pour réaliser quoi que ce soit.

Elle ajoute avoir vu depuis des reportages télé montrant des femmes dans le « Paris libéré » , des femmes sautant de joie, chantant, dansant et elle nous dit : « J'aurais aimé connaître ça... » A des amies qui n'étaient pas malades et avaient donc pu quitter Theresienstadt avant elle, elle a demandé si elles avaient sauté de joie à leur libération et si elles avaient réalisé tout de suite qu'elles étaient libres; la réponse a été non. Ces amies n'ont pas sauté de joie et Madame Kolinka nous explique pourquoi : «On avait toutes connu des amies qui étaient mortes ; pour certaines, c'était leur mère ou leurs sœurs, leurs amies qui étaient mortes. Donc, personne n'a sauté de joie.» Elle nous explique aussi qu'on disait des Russes qu'ils étaient « des sauvages », et les femmes, même libérées par eux, avaient peur de se faire violer. Elle dit que les femmes qui étaient encore dans le camp après la libération s'enfermaient dans les chambres par crainte d'être agressées par eux. A propos des chambres, Mme Kolinka ajoute que comme elle était malade, elle se trouvait dans l'hôpital du camp : elle y avait un lit avec des draps. Elle a su par la suite que les femmes de Theresienstadt qui n'étaient pas malades n'avaient ni lit ni draps mais qu'elles dormaient par terre sur des paillasses. Madame Kolinka nous dit : « alors que moi j'ai toujours cru qu'à Theresienstadt il y avait des lits avec des draps…. »

Les 3e ont rencontré, au collège, Madame Kolinka, survivante juive des camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale. En tant que rédactrices du journal, nous avons pu assister à cette rencontre chargée d'émotions et à la suite de laquelle Mme Kolinka a bien voulu répondre à nos questions. Avec les 3e, elle a beaucoup parlé de son arrestation et puis de la déportation. Avec nous, elle s'est davantage penchée sur son retour des camps.

A la question : « Lors de votre retour en France, était-il difficile de reprendre vos habitudes ? » Madame Kolinka répond :

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…. rencontre les 3e. Un témoignage fort pour ne pas oublier ! (Vous retrouvez cet entretien en vidéo sur le site du collège!)

« Ça n'a pas été difficile pour moi parce que j'ai été accueillie par ma famille. » Elle nous explique que cela n'a pas été le cas pour tout le monde : beaucoup sont rentrés qui n'avaient plus de famille. « Des associations les ont pris en charge mais ce n'est pas l'amour d'une famille, ça. Moi j'ai eu la chance de retrouver ma mère et mes sœurs. » Elle enchaîne alors sur la condition pas toujours facile de ceux qui ont été recueillis par des neveux, des tantes, des cousins... En effet, souvent, ces gens avaient des enfants qui ont été jaloux de l'intérêt porté par leurs parents à ces survivants de la déportation. « C'est vrai », dit-elle « que les gens venaient nous voir comme des bêtes curieuses » et les enfants se sentaient négligés, « c'était la cousine qui était à l'honneur. » « Moi, ajoute-t-elle, j'avais mes sœurs, elles m'ont chouchoutée. Je suis restée à la maison sans travailler pendant plus deux ans parce que j'étais malade et j'étais en dépression» Des personnes qui n'avaient plus de famille ont été recueillies par des associations : « On les a nourrit, on les a habillées, on les a soignées, on leur a appris un métier... Mais, au bout de quelques mois, allez, débrouillez-vous maintenant ! Moi, j'ai pas eu ça. Moi, j'aurais pu vivre 4 ans, 5 ans auprès de mes sœurs. Jamais elles ne m'auraient dit ''dis donc Ginette, il serait peut-être temps de te mettre au boulot, on en a assez de t'entretenir''. En plus mes sœurs étaient intelligentes et elles étaient jeunes elles aussi, (…) elles ont pleuré tout le temps où on a été déportés. » Ces pleurs étaient aussi, comme nous l'explique Madame Kolinka, pour une autre de ses soeurs, déportée, quant à elle, dès 1943.Madame Kolinka nous montre aussi que cette période qui a suivi son retour fut une époque où il fallait se débrouiller pour (sur)vivre; elle dit : « Il y avait des jeunes femmes qui venaient à la maison, elles étaient toute une équipe et il y avait des tablées parce que mes sœurs faisaient les marchés. Il y avait encore des restrictions à l'époque, quand on est rentrés ; eh bien, la table était pleine à la maison.

Elles vendaient, elles étaient en province, elles étaient en contact avec des fermiers. Ils donnaient de la marchandise, elles donnaient du poulet… La table était pleine à la maison alors que d'autres n'avaient rien. Moi quand je suis arrivée, il y avait des ''équipes'' de jeunes à table. Mes sœurs ne leur ont pas dit ''allez, maintenant les filles, c'est fini, notre sœur est rentrée, elle a été malheureuse, elle a souffert, alors on ne se réunit plus chez nous''. Non, elles ont continué à se retrouver à la maison et moi je me suis retrouvée dans une ambiance gaie. Ça n'a peut-être pas été le cas pour tout le monde. Et c'est peut-être pour ça que j'aime bien blaguer, j'aime bien rire, ça vient peut-être de là. Alors qu'elles auraient pu dire '' allez, maintenant c'est fini, plus personne à la maison''. Et je me serais retrouvée avec la tristesse de ma mère. Ma mère, certainement, était triste, mais pas mes sœurs. » On sent bien à quel point Ginette Kolinka a été aidée par la gaieté de ses sœurs Elle dit ainsi : «J'ai des photos où ça fait à peine un mois que je suis rentrée, on voit encore, si on me détaille, que j'ai des bras et des jambes maigres, je n'ai pas de cheveux et, du coup, j'ai un turban qui me cache le crâne, et je me vois faisant l'imbécile en équilibre sur la rampe d 'escalier ! » Elle explique que cette gaieté l'a aidée à aller mieux et qu'au bout d'un mois elle recommençait à avoir des formes. Un an plus tard, elle se trouvait ''énorme''.Pourtant, le traumatisme de la déportation avait causé des dégâts dans son corps ; elle dit : « Dès qu'on a été arrêtés, je n'ai plus eu mes règles et mes camarades non plus et heureusement, car on n'avait rien pour nous protéger. J'ai eu beaucoup de mal à reprendre un cycle régulier. J'avais des furoncles,… j'étais vraiment en mauvais état...

Nous terminons l'entretien en lui demandant si elle pense que le nazisme est toujours présent dans la société actuelle. A cela elle répond : « Oui, hélas, on le voit encore. Mais est-ce que ce sont des « nazillions » qui jouent ? N’empêche que les dégâts que tu trouves dans les cimetières, dans les synagogues, dans les mosquées : qu'est ce que c'est ? Est-ce que c'est encore la haine de l'autre ou est-ce que ce sont des casseurs ? On n'en sait rien ... »

Merci d’avoir répondu à nos questions.Merci à vous de m'avoir interrogée,

Article réalisé par Le Gal Constance et Le Crouhennec Mathilde

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Des 4e en voyage à Londres

Nous. – Bonjour, nous aimerions vous poser des questions sur le voyage en Angleterre.Madame Boisnard. – Bien sûr.

Où étiez-vous en Angleterre ?Alors, nous sommes allés à Londres, essentiellement dans les alentours de Londres pour voir, par exemple, le stade de Wembley et nous sommes aussi allés dans une ville qui est au nord de Londres et qui s’appelle Cambridge. C’est une ville universitaire.

Avec quelles classes êtes-vous partie ?Deux classes de quatrième sont parties cette année, c’était les quatrièmes B et C.

D’accord. Quelles activités avez-vous faites ?Beaucoup, je crois. Cette année, le projet, c’était mathématiques et anglais. Donc, j’ai essayé de trouver des visites en rapport avec les mathématiques : les élèves ont assisté à un cours de cuisine en anglais, ils ont dû préparer un goûter anglais. Donc, en fait, là, les mathématiques, c’était pour la conversion des unités de mesures anglaises qui ne sont pas forcément les mêmes qu’en France.Ensuite, ils ont visité le stade de football de Wembley, qui est le stade le plus récent, dernièrement construit. Ils ont aussi visité Londres en car et sont descendus du car pour assister à la relève de la garde au château de Buckingham, qui est le château de la Reine, le palais de Buckingham. Ensuite, ils ont pique-niqué dans un parc du côté de Kensington puis ont visité le musée des sciences qui était en rapport avec les mathématiques ou les sciences en général. Les élèves ont eu un questionnaire à remplir.Le premier jour, nous l’avons passé entièrement à Cambridge, donc la ville universitaire. Le matin, on a eu une visite guidée par des Françaises et puis, l’après-midi, nous avons fait une promenade en barque sur la rivière, qui s’appelle la Cam, d’où le nom de la ville Cambridge.

Un autre jour, ils ont aussi visité le British Museum où, là aussi, il y avait des mathématiques à faire puisqu'il fallait essayer d’évaluer des longueurs de statues ou de morceaux de statues, imaginer la taille de la statue au final, en entier.

Dans Londres, on a fait un peu de shopping, un peu de marche dans la ville.Nous sommes montés dans le London Eye, la grande roue qui est sur le bord de la Tamise.

Les 4e ont aussi assisté à une comédie musicale, le dernier soir. C’était « Mathilda », qui est, à l’origine, un roman de Roald Dahl.

Cette année, deux classes de quatrième ont pu profiter d’un voyage en Angleterre. Madame Boisnard, professeure d’anglais et organisatrice du voyage

nous en dit un peu plus sur ce voyage…

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Quels monuments avez-vous pu voir ?Alors, beaucoup de monuments dans Londres, lors de la visite en car. Nous sommes montés dans le London Eye. Nous sommes aussi allés dans le grand magasin Harrods, où la Reine va faire ses courses, par exemple. Nous avons vu aussi le palais de Buckingham puisque nous avons assisté à la relève de la garde. Nous sommes passés devant la maison du premier ministre.Et puis nous sommes passés au pied de Big Ben, évidemment ! Donc tous les monuments classiques que l’on connaît de Londres, nous avons pu les voir pour de vrai. Et puis la ville de Cambridge aussi, que l’on a traversée en long, en large et en travers, plusieurs fois dans la journée.

Combien de temps êtes-vous restés là-bas ? Alors nous sommes partis le dimanche soir et nous sommes revenus le vendredi après- midi, donc cela nous a fait quatre jours pleins en Angleterre.

Est-ce que les élèves ont été hébergés dans des familles ? Oui, hébergés dans des familles que nous ne connaissions pas car ce n’était pas un échange. On appelle cela des familles «hôtesses », donc les élèves étaient hébergés à deux ou trois dans les familles. Voilà !

De l'anglais mais aussi des mathématiques au programme !

Merci d’avoir répondu à nos questions et au revoir !Au revoir, et tout le plaisir était pour moi !

Article réalisé par Julie Février, Mathilde Le Crouhennec, Amélie Pesson et Loïcia Nahélou 4e D

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Les 3e C aux cérémonies de commémoration de VerdunNous, les 3ème C, sommes partis à Verdun pour représenter l'Académie de Rennes aux cérémonies officielles du centenaire de la bataille de Verdun. Nous avons été mis en lien avec une classe allemande pour renforcer l'amitié franco-allemande. En tout, pas moins de 4000 jeunes Français et Allemands étaient présents !

Ensemble, nous avons visité le centre mondial de la paix où nous avons fait des activités, et nous avons aussi visité la ville de Verdun. Nous avons eu beaucoup de répétitions pour être au point pour la cérémonie dans le cimetière de Douaumont. Nous avons pu voir des tranchées et des trous d'obus dans la terre. Nous y sommes allés pour la cérémonie du dimanche où nous avons dû apprendre une chorégraphie. La cérémonie était un moment très fort et touchant où nous avons pu voir le Président de la République François Hollande et la Chancelière allemande Angela Merkel.

Ci-dessus, le Centre Mondial de la Paix

Cimetière de Douaumont ci-dessus Trous laissés par les obus ci-dessous

Ce séjour s'inscrivait dans un projet mené en français avec Mme Kermorvant et en histoire avec Mme Le Borgn'. Nous avons ainsi réalisé des travaux d'écriture autour d'objets emblématiques de la Première Guerre mondiale, activités que le Recteur de l'Académie de Rennes a pu apprécier lors d'une visite au collège. Nous avons également rendu visite aux élèves de CM1 et CM2 de Plescop pour leur parler de notre projet pédagogique.

Article réalisé par Léana Maudouit et Léa Lacourieux-Cordel 3e C6

Portrait de Mme Le Berre, professeure d'allemand

Bonjour Madame Le Berre !Vous autorisez-nous à vous filmer ?Oui, bien sûr ! Pas de souci.

Pour quoi avez-vous choisi ce métier ?

Alors... C'est une question que je ne me pose plus. Je pense que ça date de très longtemps. J'ai commencé à apprendre l'allemand en 6ème, donc comme vous, et puis à l'époque c’était une langue qui me plaisait énormément. Et je savais aussi que je voulais être enseignante et donc, enseignante d'allemand, ça c'est imposé à moi.

Depuis combien de temps êtes-vous professeur d'allemand ?

Je suis professeur d'allemand depuis 15 ans, c'est ma 15ème année.

Avez-vous toujours voulu enseigner l'allemand ?

J'ai toujours voulu enseigner, c'est sûr, et puis

comme je vous l'ai dit tout à l'heure, oui, l'allemand, plus qu'une autre matière. Alors, j'aime beaucoup les langues vivantes. J'aimais aussi le français mais comme l'allemand était ma matière préférée à l'époque, voilà, c'était pour moi une évidence.

Comment trouvez-vous le collège ?

Super, je le trouve très beau, très coloré, très ouvert et puis assez proche de la nature aussi. Je trouve vraiment qu'il est très agréable à vivre. Super ! J'aime beaucoup.

L'allemand est une langue très stéréotypée, que pensez-vous de ces clichés ?

Alors, c'est vrai que, souvent, lorsque je dis que je suis professeur d'allemand, les gens ont tout de suite des clichés en tête concernant cette langue, et c'est quelque chose qui me tient à cœur que d'essayer de détruire ces clichés, ces stéréotypes, et de tout faire pour que les élèves à qui j'enseigne

cette langue aient une autre vision de l'allemand, une langue qu'ils ont plaisir à apprendre et puis qui va leur servir lorsque qu'ils partent à l'étranger, une langue d'un pays moderne, et j'essaye de tout faire pour contre-carrer ces stéréotypes.

Est-ce que l'apprentissage de l'allemand est difficile ?

Bah, c'est plutôt à vous qu'il faudrait que je pose la question puisque vous apprenez l'allemand. Moi, je trouve que non, c'est pas forcément difficile. Alors, peut-être qu'au début, la prononciation est un peu compliquée parce que ça ne ressemble ni à l'anglais, ni au français mais je pense que si on travaille sérieusement et progressivement, ce n'est pas plus compliqué qu'une autre langue. Qu'est ce que vous vous en pensez ?

Léa : Bah, ça va.Constance : … Avec de l'habitude

Êtes-vous déjà partie en Allemagne seule, sans une classe ?

Oui, très très souvent. Je suis partie en Allemagne pour la première fois quand j'avais 16 ans, je crois, et c’était pour travailler en été dans une mairie qui était jumelée avec la ville dans laquelle j'habitais à l'époque. Et donc les premières années, évidemment, je suis partie sans élèves. Et je continue à partir sans les élèves, mais j'ai plaisir aussi à partir avec eux parce que c'est super de découvrir comment ils réagissent pour la première fois, les pieds en Allemagne, c'est un plaisir qui est complètement différent, donc voilà, j'aime les deux. Merci !Merci à vous ! Au revoir !

Article réalisé par Léa Goarin, Constance Le Gal,Julie Février et Amélie Pesson 4D 7

Un bel échange scolaire avec l'Allemagne pour les 4e et 3e germanistes

Une vingtaine d'élèves germanistes de 4e et 3e se sont rendus à « Konstanz » sur les rives du lac de Constance, dans le sud de l'Allemagne. L'échange était organisé, tant pour le programme en Allemagne qu'en France, par Mme Le Berre, professeur d'allemand au collège, et avait lieu avec le lycée « Suso ». Mesdames Dérouin et Vigneron se sont jointes à Madame Le Berre pour nous accompagner durant notre séjour.

Nous sommes partis du 21 au 28 avril. Et nos corres allemands sont venus du 2 au 9 juin.

Voici quelques activités que nous avons faites pendant notre séjour :

Nous avons assisté à des cours avec nos corres allemands du Lycée « Suso »

Un jeu de piste a été organisé dans la très belle ville de Konstanz, avec nos correspondants pour guides.

Ensemble, nous avons fait aussi de l'accrobranche … sous une averse de neige !!! ☻☺C'était sportif !!

Notre groupe devant le lac et la ville en arrière-plan

Nos corres et nous au lycée « Suso »

Le Lycée Suso, comme la plupart des « lycées » allemands, accueillent les élèves du CM2 à la terminale !

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Nous avons visité l’île de Mainau couverte de fleurs qui font sa renommée … Mainau est d'ailleurs aussi appelée « L'Ile aux fleurs »

… pris le bateau jusqu'au Musée Zeppelin (musée

du célèbre dirigeable)

… été initiés au théâtre avec Denis, un professeur de théâtre. Éclats de rire garantis !

Ce beau séjour s'est terminé sur une soirée d'adieu (animations, jeux et

buffet froid)avec tous les

correspondants, les parents

et les professeurs.

En France, nos correspondants allemands ont aussi apprécié un programme varié avec des activités comme du char à voile avant de faire du shopping dans Carnac, une visite guidée du port de pêche de Lorient suivie d'une découverte de la rade en bateau. Ils ont aussi assisté à des cours au collège et, ensemble, nous avons passé une journée ensoleillée sur l'Île aux Moines avec jeu de piste et visite d'un parc ostréicole.

Quant au week-end, que ce soit à Konstanz ou chez nous en Bretagne, le programme a été défini par les familles.

Article réalisé par Constance Le Gal, Julie Février et Mélanie Le Cornec 4eD

Étaient aussi inscrits au programme, une intéressante visite chez un apiculteur, et, pour finir de nous immerger dans le bain allemand, un après-midi partagé avec les corres aux « Thermes » : une grande piscine avec bassins intérieurs et extérieurs avec vue imprenable sur le lac et la silhouette Alpes enneigées à l'horizon !

... qui restera longtemps dans les mémoires !

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Le 8 mars, vingt-huit élèves sont réunis au CDI. Tous ont lu au moins un des romans de l'auteur, la plupart en ont apprécié plusieurs et, dès le début de la rencontre, les questions fusent pour lesquelles l'auteur montre un intérêt évident. Il prend son temps pour répondre avec précision au plus grand nombre. Malgré la gravité des thèmes qu'il aborde dans bon nombre de ses romans, Yves Grevet se révèle aussi plein d'humour, surtout quand il nous raconte des anecdotes personnelles qui l'ont inspiré dans ses romans.La plupart de nos questions portent sur le contenu de ses romans, souvent à clés, en tout cas énigmatiques. Leitmotiv de nombre de ses romans : un futur aux univers sombres, des sociétés souvent concentrationnaires dont l'enfant est la principale victime mais aussi celui par qui l'espoir revient, celui qui transgresse et renverse l'ordre établi. La série Méto en 3 tomes (récompensée 14 fois !) est sûrement la fiction qui nous a le plus intrigués tant elle soulève de questions.

Une belle rencontre au C.D.I. avec Yves Grevet, auteur de jeunesse

Le Prix des Collégiens proposé aux élèves de 4e et 3e n'a pas été reconduit cette année car la médiathèque de la ville de Vannes et les professeurs documentalistes qui l'organisent depuis 20 ans ont choisi de faire une « pause » pour réfléchir à un nouveau prix littéraire « rafraîchi » .

La rencontre avec un auteur, qui s'inscrivait tous les ans dans le Prix, a, quant à elle, été maintenue. Ainsi, au collège Anne Frank, nous avons eu la chance de rencontrer Yves Grevet, auteur d'une bonne quinzaine de livres dont certains ont été plusieurs fois primés ou récompensés.

Commentaire de Mélanie sur l'auteur et son style :

Yves Grevet est né en 1961 à Paris. Il a récemment arrêté son métier de professeur des écoles pour se consacrer entièrement à l'écriture. Il écrit dans tous les genres littéraires mais semble privilégier la science fiction. Il aime inventer des mondes imaginaires où la population est souvent malheureuse. Je trouve que certains de ses livres sont pessimistes. Ils se déroulent souvent dans le futur. Il écrit aussi du policier comme dans Seuls dans la ville de 9 heures à 10 heures du matin.

Nota bene : Deux titres de Grevet se situent dans les dix livres les plus empruntés au CDI pour cette année : Des Ados parfaits se place au 4e rang des livres les plus lus quand le premier tome de Méto, intitulé Maison, occupe la 9e place !

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Mélanie Le Cornec et Manon Bédard 4D / Madame Dérouin

- C'était mon oncle : un ado découvre qu'il a un oncle dont on lui avait caché l'existence et tente de comprendre le pourquoi de ce secret de famille.

- L'école est finie : ou quand l'école du futur ne prépare plus à apprendre, à lire ou à écrire mais à former la future main-d’œuvre des entreprises ou usines dans un régime totalitaire ...

- Méto, tomes 1 à 3 : Méto grandit dans l'univers étriqué d'un institut situé sur une île coupée du reste du monde. Les règles de vie et d'éducation y sont cruelles et semblent immuables. Méto, pensionnaire appliqué, transgresse pourtant quelques interdits et travaille, peu à peu, à la destruction de ce seul monde qu'il connaît.

Et ses romans que vous retrouverez au CDI

- Nox, tomes 1 et 2 : Deux mondes, deux sociétés qui ne se rencontrent pas : il y a ceux d'En-Bas qui vivent dans une nuit perpétuelle et polluée et ceux d'En-Haut qui, nantis, ne semblent manquer de rien et respirent au grand jour.

- Celle qui sentait venir l'orage : une adolescente assiste à la pendaison de ses parents accusés de sorcellerie avant de trouver refuge en Italie, chez un médecin. Un roman -presque- historique.

- Seuls dans la ville de 9h à 10 h du matin : un professeur de français a demandé à ses élèves lycéens de se poster à différents endroits de la ville pour qu'ils prennent note de ce qu'ils observent et transforment ces notes en production écrite, sous forme d'exercice de style. Or, un meurtre est commis ce jour-là, en ville. Chaque élève a ainsi, peut-être, été témoin sans le savoir, d'une scène qui pourrait être en lien avec le crime. L'un des lycéens concernés, assisté de son amoureuse, va reprendre les travaux d'élèves pour opérer des recoupements qui l'aideront à reconstruire l'histoire du meurtre et remonter jusqu'à l'assassin.

- Des Ados parfaits : Dans l'école, certains élèves qui s'avéraient particulièrement pénibles sont revenus après une absence prolongée. Ils semblent devenus des élèves modèles. Toutefois, leur silence et leur attitude quasi « robotique » posent question à un élève un peu rebelle : qu'ont-ils subi pour avoir tellement changé ? A croire qu'il ne reste plus d'eux qu'une enveloppe physique …

- U4 : Koridwen : Un virus a frappé notre planète et seuls les enfants et adolescents ont survécu. Koridwen, une ado rennaise, maintenant seule et orpheline, décide de se rendre à Paris. Elle répond ainsi à un mystérieux maitre de jeu en ligne qui, dès le début de l'épidémie, l'a invitée à le rejoindre dans la capitale. Koridwen espère y retrouver aussi d'autres partenaires de jeu dont elle ne connait que les avatars mais qui auraient pu avoir la même idée qu'elle. Or, si certains jeunes survivants cherchent à s'organiser dans Paris, Koridwen découvre une ville où règnent des bandes rivales et la loi des plus forts ... Ce roman fait partie d'une tétralogie dont chaque tome a été écrit par un auteur différent.

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Titre : A silent voice T1Auteur: Yoshitoki Oima Éditeur : Ki-oonCatégorie : Shonen

Titre : Orange T1Auteur : Ichigo TakanoÉditeur : AkataCatégorie : Shojo

Titre : Les deux Van GoghAuteur : HozumiEditeur : GlénatCatégorie : Seinen

Une quinzaine d'élèves de 5e, 4e et 3e ont participé au prix Mangawa proposé par la Librairie L'Ange Bleu et encadré au collège par Madame Dérouin, prof documentaliste.Une sélection de 15 mangas étaient proposée à la lecture dans trois genres de mangas

différents : shonen, shojo et seinen. Pour les élèves participant au prix, il s'agissait de lire tous les mangas et de voter en mars pour leurs titres préférés dans les trois catégories représentées. Les votes des élèves ont été envoyés en ligne à la librairie qui les a comptabilisés avec ceux d'autres

établissements participants.

Prix Mangawa 2015 - 2016

A l'issue du vote, les trois mangas gagnants sont :

Par un beau matin, alors qu'elle se rend au lycée, Naho reçoit une lettre du futur. Quelle surprise quand elle constate que c'est elle-même qui a écrit cette lettre… 10 ans plus tard !!Cette lettre lui dit qu'elle doit sauver Kakeru, un nouvel élève de sa classe ... Thème : Science-fiction

Shoko est sourde de naissance. Quand elle est inscrite dans une nouvelle école, elle se fait persécuter par Shoya Ishida, le leader de la classe. Shoya lui rend la vie impossible. Ses agressions se font de plus en plus violentes jusqu’au jour où elle change d 'école. Alors les autres élèves commencent à persécuter Shoya. Tel est harcelé celui qui persécutait ... Thèmes : Handicap - Harcèlement

Théodorus Van Gogh est un célèbre vendeur d'art. Ses clients sont de grands bourgeois, conservateurs, en quête de signatures prestigieuses et qui pensent que l'Art n'est fait que pour une couche supérieure de la société, excluant ainsi les gens ignorants. Mais Théo voit les choses différemment et en particulier dans la peinture hors norme de son frère Vincent. Thèmes : Art – Amour fraternel

Les autres titres proposés dans la sélection étaient les suivants :

Mon étoile secrète / Mangaka & Editor in Love / Rin / The world is still beautiful / The Cradle of the Sea (Le berceau des mers) / Your lie in April / Mimie royal princesse/ je reviendrais vous voir / Altair / pandemonium / Minuscule / Les gardiens du Louvre

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Ouvrez vos livres à la page ...

Le stylo rougePar Mathilde Le Crouhennec, Amélie Pesson,

Loïcia Nahelou, Constance Le Gal, Manon Bédard

Résumé du romanLéonore est une petite fille très renfermée, secrète. Si elle aime aller en classe et surtout écrire desrédactions, elle est pourtant persuadée que les autresne l'aiment pas. A la maison, une toute petite maison aubord du canal, les conversations avec Maman sontrares depuis que Papa est parti. Un jour que Léonore aécrit une rédaction pour laquelle la maîtresse lui a mis10 sur 10 et qu'elle a lue devant tout le monde, onapprend enfin la vérité sur le mystère qui entoure lafillette; du jour au lendemain on s'intéresse à elle, onsemble la comprendre : Léonore se sent enfin aimée !L'auteur : Marie-Claude Bérot

Un roman court et facile à lire mais très beau et émouvant. Vous le trouverez au CDI.

Le top 15 des livres les plus empruntés cette année au CDI :

- 1 : Divergente (par Véronika Roth) - 2 : La Sixième (par Susie Morgenstern) - 3 : Le Suivant sur la liste (ManonFargetton) - 4 : Des Ados parfaits (Yves Grevet) - 5 : Le Journal d'Anne Frank (Anne Frank) - 6 : Le journal d'un dégonflé tome 1 (Jeff Kinney) - 7 : Nos étoiles contraires (John Green) - 8 : Oniria Tome 1 (B. F. Parry) - 9 : Les Misérables (Victor Hugo) - 10 : La Sélection (Kiera Cass) - 11 : Starters (Lissa Price) - 12 : Hunger Games T2 (Susann Collins) - 13 : A silent voice (Yoshitoki Oima) - 14 : Le Réveil des sombres (Jean-Marie Defossez) - 15 : Enders (Lissa Price)

Les lectures coups de coeur du professeur documentaliste

pour l'année 2015-2016 … qui vous donneront peut-être

des idées de lecture pour les vacances

- Le merveilleux voyage de Nils Holgerssonà travers la Suède (Selma Lagerlöf)- Harcèlement (Guy Jimenes)- Miss Peregrine et les enfants particuliers (Ransom, Riggs) - Le premier qui pleure a perdu (Sherman Alexie)- Moi, Delphine, 13 ans (Brigitte Peskine)- La pyramide des besoins humains (Caroline Solé)- Méto, tomes 1 à 3 (Yves Grevet)- Autres mondes ; t1 et 2 (Maxime Chattam)- La Passe-Miroir t1 et 2 (Christelle Dabos)- A silent voice (Yoshitoki Oima) (manga)- BD Seuls T9 : Avant l'Enfant-Minuit- Super sourde (Cece Bell) (roman graphique)

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Un métier pour demain

A travers ce petit article, je vais vous faire découvrir un métier,le métier d'esthéticienne.

Qu'est ce qu'une esthéticienne ?

L'esthéticienne est une personne qui a une parfaite connaissance

de la peau, des cosmétiques,du maquillage, de l'épilation,

des massages esthétique, de la manucure…Ses clientes sont souvent des femmes même si les hommes sont de plus en plus nombreux.

Quel salaire gagne-t-on lorsque l'on débute ?

Le salaire qu'un débutant gagne est d'environ

1400 euros par mois.

Pour devenir esthéticienne on peut suivre deux voies :

- Passer un certificat d'aptitude professionnel esthétique, cosmétique, parfumerie ( CAP ECP ) après la 3ème- Passer le brevet professionnel esthétique, Cosmétique, parfumerie ( BP ECP )

- Passer un bac scientifique : bac S, bac STL( sciences et technologie de laboratoire ) ou bacST2S ( sciences et technologie de la santé et duSocial ) - Passer un BTS esthétique, cosmétique et Parfumerie ( BTS ECP )

Les postulantes au poste d'esthéticienne doivent avoir au moins le niveau CAP. Le niveau bac+2 est conseillé pour attendre les postes de gérante d'institut.Source :

Quelles sont les missions de l'esthéticienne ?L'esthéticienne travaille souvent en équipe au

sein d'un institut de beauté. Elle y assure des soins très nombreux et variés auprès de sa clientèle.

Elle peut aussi travailler seule au domicile de sesclients.

Voici un institut de beauté

Quelles qualités faut-il avoir pour exercer ce métier ?

Pour pouvoir exercer ce métier, l'esthéticienne doitavoir un grand sens artistique et maîtriser l'harmoniedes couleurs et des formes afin de guider sa cliente.

Elle doit également avoir des connaissances techniques et scientifiques. Il lui faut avoir

le sens de la communication pour pouvoir dialogueravec ses clientes. Concernant l'hygiène, une

esthéticienne doit être impeccable de la tête au pied : il lui faut être féminine, bien coiffée, avoir les

cheveux attachés, les ongles courts, nepas avoir de piercing et veiller à son

haleine.

Source : http://www.nouvelles-esthetiques.com/

devenir/estheticienne

Article réalisé parJulie Février 4e D

Source : http://www.nouvelles-esthetiques.com/

devenir/estheticienne

http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/metiers/fiche-metier/estheticienne.html 14

Un sport : le Basketle Basket

Par qui le basket a-t-il été inventé ?

Le basket a été inventé en 1891 par James Naismith. Homme d'église mais surtout éducateur, il voulait proposer un sport qui se pratique en salle pour pouvoir y jouer en toute saison et surtout, ce sport devait intéresser les élèves les plus indisciplinés !

Á partir de quel âge peut-on commencer à y jouer ?

On peut commencer à y jouer à partir de l'âge de 4 ans dans une école de mini-basket, dans un club de mini-basket ou dans un club baby-Basket.

Où se pratique-t-il ?Le basket en compétition se pratique en salle, sur des terrains spécialisés pour ce sport. On peut aussi le pratiquer en extérieur (hors compétition) entre ami(e)s.

Quel est le meilleur joueur du monde de ce sport ?

Le meilleur joueur du monde de ce sport est Michael Jordan. Tony Parker le suit de près. Il tient quand même le titre de meilleur joueur de France.

Tony Parker, meilleur joueur de basket de France. Il joue actuellement en équipe de France et dans les Spurs de St Antonio. Bien qu'il soit Français, il vit en Amérique.

Équipe de France de basket

Article réalisé par Aélys Nahélou, 6ème E

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Les jeux olympiques d’été 2016

Cette année, les Jeux Olympiques d’été se déroulent à Rio de Janeiro au Brésil, le pays du soleil, de la plage et de la danse...

Drapeau du Brésil

La mascotte de cet événement : Vinicius

Il tient son prénom d’un des plus célèbres artistes brésiliens du XXe siècle, Vinicius de Moraes. Il a l’agilité de tous les animaux de son pays, il a des pouvoirs spéciaux, il symbolise l’énergie et la joie de vivre du peuple brésilien.

Dans cette compétition sont présents 206 pays, 10 500athlètes (masculins et féminins) et 28 disciplines sont représentées pour 306 épreuves. Les différents pays sont invités du 5 août au 21 août 2016. Ces événements sportifs se dérouleront dans 33 lieux différents répartis dans 4 différentes secteursde la ville, à savoir : Barra, Copacabana, Deodoro et Maracanã.

Informations :

Les anneaux olympiques et

l'emblème des jeux olympique de Rio 2016

Vinicius

Stade de Maracanã

Stade sur la plage

de Copacabana Symboles des jeux olympiques :

Léa Goarin et Manon Bédard 4e D

Bonne chance la France !

La flamme olympique : symbole de la course ou relais pour ouvrir les jeux olympiques, elle existe depuis la Grèce antique.

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Jeux paralympiques de Rio en 2016

Les jeux paralympiques d'été sedérouleront cette année à Rio de Janeiro.

Rio de Janeiro Logo des jeuxparalympiques

Les disciplines paralympiquesdes jeux

Athlétisme

C'est le sport qui mobilise le plus d'athlètes,avec environ 1 100 participants : coureursultra-rapides équipés de prothèses, athlètes déficientsintellectuels ou coureurs aveuglesaidés par des guides valides.On trouve les mêmes disciplinesque chez les valides.

Aviron

Les courses se déroulentsur une distancesupérieure à 1000 mètreset les bateaux,divisés en quatre classes différentes,sont spécialement aménagés.La discipline est ouverteà tous les handicaps sauf intellectuel.

Basket-ball

Une des disciplines handisports les plus populaires,le basket, se joue à deux équipes de cinq.Les joueurs peuvent avoir tout type de handicap (sauf visuel)et sont classés selon leur degré d'invalidité, de 1 à 4,5 points.Chaque équipe ne doit pas aligner plus de quatorze points en tout.L'Australie est tenante du titre chez les hommes.Les États-Unis le sont chez les femmes.

Il existe bien évidemment d'autres disciplines que je n'ai pas mises par manque de place !☺J'espère que mon article vous aura plu et que je vous aurai informés sur les jeux paralympiques !

Article réalisé par Loïcia Nahélou en 4ème D

Cyclistes français Footballeurs Karatékas 17

LA TORTUE DE MER

Les tortues sont nombreuses dans le monde ; il y en a dans tous les océans sauf dans l'Océan Arctique. Elles mesurent entre 50 cm et 2 mètres. Elles sont menacées à cause des sacs plastique qu'elles prennent pour des méduses : elles les avalent et meurent d'occlusion intestinale. Elles sont surtout chassées pour leur carapace car ça se vend très cher.

LE PANDA Le panda est un animal originaire de Chine. Les pandas se nourrissent essentiellement de bambou. Ils sont menacés car on détruit leur habitat, la forêt de bambou, et donc leur principale source de nourriture. Un panda géant peut manger jusqu'à 20 kilos de bambou par jour !Il existe deux espèces de pandas :- le panda géant, noir et blanc, qui pèse entre 80 à 125 Kg.- le panda roux qui ne mesure qu'une soixantaine de centimètres.

Elles sont aussi chasséespour leur

chair et leurs œufs

S.O.S animaux en danger

Article réalisé par Corentin Mainguy 6e C

Article réalisé par Ophélie Steiner et Maëlle Stephan 6e E18

Recette de brochettes exotiques

Ingrédients :-Jus d'½ citron-2 bananes-2 oranges-2 kiwis-1 mangue-1 ananas-3 cuill. à soupe de cassonade ou de sucre blanc-50 g de beurre-Sorbet noix de coco

Préparation :1) Presser les oranges et récupérer le jus des autres fruits exotiques.

2) Éplucher l'ananas, la mangue,les bananes et les kiwis puis les couper en gros dés. Citronner les dés de bananes afin qu'elles ne noircissent pas.

3) Enfiler les dés de fruits sur des brochettes en alternant les fruits. Commencer et terminer par un dés d'ananas.

4) Dans une large poêle, faire légèrement caraméliser la cassonade.

5) Ajouter le beurre et les jus réservés. Laisser frémir environ 5 minutes sans cesser de remuer.

6) Déposer les brochettes dans la poêle et laisser cuire à feu doux en les arrosant et en les tournant pendant environ 3 minutes.

7) Ôter les brochettes accompagnées d'une boule de sorbet à la noix de coco et arroser le tout du coulis. Garnir d'une feuille de menthe.

Les beaux jours arrivent et, avec eux, nos envies de soleil et de recettes rafraîchissantes. Pour notre deuxième rendez-vous avec la Guadeloupe, Monsieur Sainte-Luce nous propose cette délicieuse recette tonique et pleine de vitamines ! Bon appétit !

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Regard en arrière : A propos de la naissance du journal et de la motivation des rédactrices de 4eD

Article réalisé par Loïcia Nahélou, 4ème D. Merci à Julie Février, Mathilde Le Crouhennec, Constance Le Gal,

Léa Goarin, Manon Bédard en 4ème D et à Madame Derouin pour leurs réponses

Madame Dérouin, pourquoi avoir voulu créer un journal du collège ? « En réalité, il y a déjà eu un journal scolaire en 2012, première année d'ouverture du collège. L'initiateur du projet était le CPE d'alors. Mais, après son départ, personne n'a vraiment repris le flambeau. En fin d'année dernière, une élève maintenant en 4e D (coucou Mélanie !) est venue me demander si l'on ne pouvait pas envisager créer un journal du collège. Un peu libérée du travail consistant à monter un fonds documentaire de base pour le CDI, j'ai trouvé l'idée très intéressante et l'ai aussitôt validée. A la rentrée 2015, le projet s'est vite concrétisé grâce à un groupe d'élèves que le projet a également séduit et qui se sont engagés avec enthousiasme. Très vite s'est mise en place une équipe de choc que je tiens vraiment, par le biais de cette rubrique, à remercier, car sans elle(s) - elles se reconnaitont -, rien n'aurait été possible ! Cette équipe a débordé d'idées toutes plus intéressantes les unes que les autres et elle aura donné beaucoup de son temps libre, afin de proposer des articles de qualité. Elle a su aussi donné à d'autres élèves l'envie de participer, ne serait-ce que par la rédaction, ici ou là, d'un article sur un sujet ou un autre de leur choix».

Madame Dérouin, professeur documentaliste

Pourquoi t’être lancée dans la rédaction du journal,Constance ? Comment as-tu eu découvert le journal ?"Je voulais découvrir comment se passait larédaction du journal, et je voulais faire des articles pourle journal"

Constance Le Gal, 4ème D.Et toi, Mathilde ? Pourquoi avoir voulu filmerles interviews et aider à la rédaction du journal ?« J'aime bien filmer et je voulais m'occuperde la technique. De plus, cela me faitune occupation lors de mes temps libres».

Mathilde Le Crouhennec, 4ème D.

Manon, tu es une toute nouvelle rédactrice du journal,pourquoi avoir voulu en faire partie ?« Moi j'ai voulu en faire partie quand j'ai lu le premier numéro du journal car j'ai été très intéressée et cela m'a donné l'envie de devenir rédactrice pour le journal»

Manon Bédard, 4ème D.Et toi, Léa, as-tu toujours voulu faire partiedu journal ou est-ce seulement cette annéeque tu t’es dit : « Pourquoi pas ? » « C'est seulement cette année que je me suis dit : « Pourquoi pas ? ». Je n'ai pas démarré dès la création du journal, mais au deuxième numéro. »

Léa Goarin, 4ème D.

Nous espérons que ce petit articlesur la création du journal vous aura plu !

Nous aimerions aussi vous avoir donné enviede participer à la rédaction du journal !Merci aussi à toutes les personnes qui ont participé

de près ou de loin à la réalisation desdifférents journaux de cette année. Nous espérons

vous retrouver l'année prochaine ! ;)

Et toi, Julie ? Comment es-tu devenue rédactrice du journal du collège ?«Loïcia m'a dit qu'un journal du collège était créécette année et qu'elle se proposait comme rédactrice.Je l'ai donc suivie dans cette idée»

Julie Février, 4ème D.

Comment as-tu débuté en tant que rédactrice du journal,Loïcia ?« Eh bien, depuis que je suis en sixième, je rêve defaire partie du journal du collège, et je me suistoujours demandé quand est-ce que le premier journalsortirait ! Finalement, c’est quand je suis passée audébut de l’année au C.D.I que Madame Derouinm’a dit qu’il y aurait un journal du collège cette année. Alors je n’ai pas hésité et je me suis proposée en tant que rédactrice du journal ».

Loïcia Nahélou, 4ème D.

Mélanie, qu'est-ce qui t'a donné l'envie de faire partie du journal du collège ?« En fait, le journalisme m'intéresse et j'ai commencé par écrire un article pour Géo Ado. Cela m'a aussi donné l'envie de créer un journal pour le collège. J'en ai parlé à Madame Dérouin qui a aussitôt été d'accord et c'est ainsi que le journal est a été lancé cette année ». Mélanie Le Cornec 4e D. Et quant à moi, Amélie, je suis contente de

vous avoir rejointes au troisième numéro du journal !

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Portraits chinois : les rédactrices nous livrent leurs secrets !

Julie Février

Si tu étais une fleur, tu serais une orchidée.Si tu étais un animal, tu serais un chiot.Si tu étais un pays, tu serais l'Allemagne.Si tu étais un océan, tu serais l'océan Pacifique.Si tu étais un continent, tu serais l'Océanie.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais samedi.Si tu étais un mois, tu serais décembre et juillet.Si tu étais une saison, tu serais l'été.Si tu étais une couleur, tu serais le rose.Si tu étais un objet, tu serais un téléphone portable.

Léa Goarin

Si tu étais une fleur, tu serais une jonquille.Si tu étais un animal, tu serais un chat.Si tu étais un pays, tu serais l'Italie.Si tu étais un océan, tu serais l'océan Indien.Si tu étais un continent, tu serais l'Océanie.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais samedi.Si tu étais un mois, tu serais avril.Si tu étais une saison, tu serais l'été.Si tu étais une couleur, tu serais le violet.Si tu étais un objet, tu serais des boucles d'oreilles.

Mathilde Le Crouhennec

Si tu étais une fleur, tu serais une orchidée.Si tu étais un animal, tu serais un phœnixSi tu étais un pays, tu serais l'Italie.Si tu étais un océan, tu serais l'océan Pacifique.Si tu étais un continent, tu serais l'Amérique.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais samedi.Si tu étais un mois, tu serais décembre.Si tu étais une saison, tu serais l'été.Si tu étais une couleur, tu serais le bleu.Si tu étais un objet, tu serais un téléphone portable.

Constance Le Gal

Si tu étais une fleur, tu serais une rose.Si tu étais un animal, tu serais un cheval.Si tu étais un pays, tu serais la France.Si tu étais un océan, tu serais l'océan Pacifique.Si tu étais un continent, tu serais l'Europe.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais vendredi.Si tu étais un mois, tu serais juillet.Si tu étais une saison, tu serais l'été.Si tu étais une couleur, tu serais multicolore.Si tu étais un objet, tu serais un téléphone portable.

Manon Bédard

Si tu étais une fleur, tu serais une tulipe.Si tu étais un animal, tu serais un dauphin.Si tu étais un pays, tu serais le Royaume-Unis.Si tu étais un océan, tu serais l'océan Pacifique.Si tu étais un continent, tu serais l'Europe.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais samedi.Si tu étais un mois, tu serais juillet.Si tu étais une saison, tu serais l'été.Si tu étais une couleur, tu serais le violet.Si tu étais un objet, tu serais une basse électrique.

Loïcia Nahélou

Si tu étais une fleur, tu serais une violette.Si tu étais un animal, tu serais une panthère.Si tu étais un pays, tu serais le Brésil.Si tu étais un océan, tu serais l'océan Indien.Si tu étais un continent, tu serais l'Asie.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais lundi.Si tu étais un mois, tu serais le mois de juin.Si tu étais une saison, tu serais l'été.Si tu étais une couleur, tu serais le violet.Si tu étais un objet, tu serais une tablette.

Mélanie Le Cornec

Si tu étais une fleur, tu serais une orchidée.Si tu étais un animal, tu serais un éléphanteau.Si tu étais un pays, tu serais l'Allemagne.Si tu étais un océan, tu serais l'Atlantique.Si tu étais un continent, tu serais l'Europe.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais le samedi.Si tu étais un mois, tu serais janvier.Si tu étais une saison, tu serais le printemps.Si tu étais une couleur, tu serais le rouge.Si tu étais un objet, tu serais un livre.

Élisa Nanuel

Si tu étais une fleur, tu serais une orchidée blanche.Si tu étais un animal, tu serais une orque.Si tu étais un pays, tu serais le Japon.Si tu étais un océan, tu serais l'océan Atlantique.Si tu étais un continent, tu serais l'Afrique.Si tu étais un jour de la semaine, tu serais le mardi.Si tu étais un mois, tu serais juillet.Si tu étais une saison, tu serais hiver.Si tu étais une couleur, tu serais le rouge.Si tu étais un objet, tu serais une création en Fimo.

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Tu crois que parce que tu n'as pas les outils que tu vois en magasin tu ne peux pas réussir la Fimo ?... ERREUR ! Avec des objets de tous les jours que tu as sans doute chez toi tu peux faire les même créations qu'avec ces outils !

- Le rouleau, tu peux le remplacer par un tube de médicaments tel que celui-ci :

- La lame, tu peux utiliser un couteau de précision sans dents

- A la place de l'emporte-pièce rond, tu peux utiliser un bouchon de lait ou d'huile … selon la taille désirée.

- Le clou à œil, tu peux le remplacer par du fil de fer coupé à la bonne taille

LA SUITE AU PROCHAIN NUMERO … l'année prochaine !!

Elisa Nanuel 5E

Ma rubrique FIMO « spéciale équipement » Tu n'as pas « les » outils pour réaliser tes créations ?

La récup' est ta meilleure amie ! ♥

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Plutôt sportif (sportive), renfermé(e) ou bout-en-train ? Découvre quel type d'adolescent(e)tu es grâce à ce test !

Par Constance Le Gal et Loïcia Nahélou, 4ème D

1) Que fais-tu de ton temps libre ?

☼ Tu as besoin de te bouger.☺ Tu sors avec des ami(e)s. ♦ Tu lis ou restes devant un écran.

2) Au collège, tu t'inscris...

☺ Dans un club de théâtre. ♦ Dans un club de réflexion. ☼ Dans un club de sport.

3) Il pleut dehors. Tu…

♦ Restes chez toi à t'ennuyer. ☼ Vas à la piscine. Autant en profiter pour se faire les muscles ! ☺ Organises une petite fête chez toi où tuinvites tout(es) tes ami(e)s.

4) Pendant les vacances…

♦ Tu restes tellement dans ta chambreque tes parents t'obligent à en sortir !☺ Tu passes toutes tes journées en dehorsde chez toi avec des ami(e)s.☼ Tu profites de ces quinze jours de congépour faire du tennis et de la rando.

5) Quand on te dit « ballon », tu penses à…

☺ Ta dernière partie de basket-ball avec tesami(e)s. ♦ Ton jeu de football sur ta PS4.☼ Ton sport préféré.

6) Dans la cour de récréation…

☼ Tu engages une partie de foot. ♦ Tu restes seul(e) dans ton coin.☺ Tu discutes avec tes ami(e)s.

Un max de ☼ :

Tu es un ado sportif,qui aime le sport,

et qui profite de sesmoments de liberté

pour en faire.Mais n'oublie pas

qu'il n'y a pasque le sportdans la vie !

Un max de ☺ :

Tu es un ado joyeux,qui aime faire desactivités avec ses

ami(e)s, et qui préfères'amuser que rester

chez soi.Mais n'oublie pas

qu'il faut aussitravailler !

Un max de ♦ :

Tu es un ado renfermé,solitaire qui préfère

rester chez soique sortir seul

ou avec des ami(e)s.Mais n'oublie pas

que rester tout le tempsenfermé(e) est

parfois mauvais pourla santé !

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Monsieur et Madame l’Étoilepolaire ontune fille, comment s'appelle-t-elle ?

Réponse : Eléonore (parce que : elleest au nord l'étoile polaire).

Réponses aux jeux du numéro 2 !

Voici les réponses aux devinettes du journal n°2 !

Né en 1621, de nationalité française, on aurait pu dire de lui:

"C'était un homme affable".Qui est-il ?

Réponse : Jean De La Fontaine

Qu'est-ce qui est mieux qu'un dieu, pire que le diable, les pauvres en ont,

les riches en manque, si on en mange,on meurt.

Que suis-je ?Réponse : Rien ☺

Mon premier est un animal,Mon second est un animal,

Mon troisième est un animal,Mon quatrième est un animal,

Mon tout est un animal.Qui suis-je ?

Réponse : un serpent-python(cerf-paon-pie-thon)

Mon premier a terminé son livreMon deuxième est la 11ème lettre de

l'alphabet.Mon tout est un prénom masculin

Qui suis-je ?Réponse : Lucas.

Merci pour votre lecture et votre suivi tout au long de cette année ! Nous vous donnons rendez-vous l'année

prochaine ! Merci encore et bonnes vacances ! ☺

Et merci à Anysia

Varoquier et Enora

Renaud pour ce clin d’œil final !!

Post-scriptum : Je tiens à remercier tous les élèves qui ont participé aux journaux de cette année : En 6e : Aélys Nahelou,Ophélie Steiner, Romane Lassale, Gabin Le Breton, Corentin Mainguy, Maëlle Stephan En 5e : Élisa Nanuel, Claire Maillard, Émeline Borel, Carla Hassaine En 4e : Loïcia Nahelou, Julie Février, Mathilde le Crouhennec, Mélanie le Cornec, Léa Goarin, Pauline Rech, Constance Le Gal, Manon Bédard et notre dernière recrue : Amélie Pesson, Alban Jacquin et Nolan Lecerf En 3e : Léana Maudouit et Léa Lacourieux-Cordel Merci à vous tous ! Madame Dérouin

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