AVRIL 2014

LE MAGAZINE DU PÔLE UNIVERSITAIRE LÉONARD DE VINCI

ERWAN MANCHEC DE BEWARE

Il nous dit tout sur le succès de son webzine

dédié à l'art visuel !rendez-vous page 4

Alors que la tant at-tendue soirée des associations (#28) se clôture, le mois d’avril s’annonce co-loré avec les Léolym-piades qui font leur grand retour sur le thème de Rio. Nous espérons que tu es d’ores et déjà en train de composer une équipe digne de re-lever tous les défis. En attendant cet événement, nous te proposons quelques distractions  : Erwan nous dévoilera tout sur la création de son magazine en ligne Beware, puis «  In-terpôle a testé pour vous  » te présentera les meilleures boites d’Europe. Nous irons faire un petit coucou du côté de Vancou-ver et Furtwangen, un petit village où l’une de nos chro-niqueuse préférée découvre le mode de vie Allemand.

Enjoy !

EDITORIAL

INTERPÔLE MARS 2014

INTERVIEW ERWAN MANCHECRetrouvez pages 4 et 5 l’interview

d’un ancien pas comme les autres

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Big Brother so-ciety

Bien choisir sa tablette

Ils ont braqué Colette !

IIMEMLV ESILV8 1210

Crédits photo : PôletechIllustration : Fabien Grandvalet

PÔLE

UNIVERSITAIRE

LÉONARD DE

VINCI

INTERPÔLE

> PAGE 4 : INTERVIEW

> PAGE 8 : ZOOM SUR ...

> PAGE 10 : PAGES EMLV

> PAGE 12 : PAGES IIM

> PAGE 14 : PAGES ESILV

> PAGE 16 : PAGES SPORT

> PAGE 20 : UN PETIT COUCOU DE...

> PAGE 22 : LA SÉLECTION INSTAGRAM

> Salut Erwan, tu es co-fondateur du magazine Beware. Est-ce que tu peux te présenter ?

Ouais carrément, je m’appelle Erwan je viens de finir l’EMLV avec un mas-ter finance. A côté de ça, je m’occupe d’un magazine qui s’appelle « Beware magazine  ». C’est un magazine que j’ai crée en 2009 pendant ma pre-mière année au pôle. On l’avait créé à deux, nous sommes maintenant une soixantaine de collaborateurs des-sus. A côté de ça je suis photographe et j’ai fait partie du projet Kohlok que j’ai monté avec deux étudiants du Pôle Sacha Nastat et Adrien Melchior.

> Beware, en quelques mots c’est quoi ?

Beware magazine est un webzine es-sentiellement concentré sur tout ce qui est l’art visuel. Ça va être de la photo, de la sculpture, de l’architec-ture, du design, du graphic design, de l’illustration… On couvre vraiment beaucoup de champs de l’art, et de-puis quelques temps une grande par-tie musique, mode et bien sûr, soirées et évènements sur Paris.

> Comment ce projet est-il né?

Juste une envie de faire quelque chose, j’étais avec un pote on aimait bien la photo, le graphisme, on s’est dit vas-y on va lancer un blog. Au début c’était un blog qui s’appelait « Beware blog »

> PAR ESTELLE LAUTRETTE

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INTERVIEW ERWAN MANCHEC

qui est devenu ensuite « Beware mag » et nous sommes passé de deux personnes à a peu près soixante collaborateurs.

> Comment avez-vous trouvé des fonds pour créer ce magazine en ligne ? Faites-vous des bénéfices à présent ?

Nous avons financé le magazine avec notre argent de poche. L’avantage du web est que cela ne coûte pas très cher au final. Tu peux lancer un site pour 10 balles par mois, max. On a commencé avec ça et pendant longtemps on a al-longé, allongé. Depuis quelques temps on commence à avoir des retours. Nous avons des annonceurs et des marques qui nous contactent pour faire des choses ensemble. Je ne peux pas dire que je fais du bénéfice actuellement, mais nous commençons à pouvoir investir dans de nouvelles choses. > Aujourd’hui avec qui travaillez-vous ? Comment est composée votre équipe ?

Nous travaillons avec beaucoup de monde, notamment des marques, des agences, des jeunes créateurs et jeunes

illustrateurs… Faire une liste paraît qua-siment impossible. Notre équipe est com-posée de pleins de profils différents allant des profils d’école de commerce aux illus-trateurs, graphistes et photographes qui sont des professionnels du milieu et qui sont des gens vraiment à même de par-ler des sujets que l’on traite. On va avoir des étudiants en stylisme aussi, vraiment de tout, mais surtout des gens qui aiment écrire et parler des belles choses.

> Votre logo représente une moustache dans un triangle, pourquoi ce choix ?

C’est très très con en faite, quand tu dis « beware » à quelqu’un, ça veut dire « at-tention » en soit et le symbole pour at-tention c’est le triangle. Ça vient vraiment de là à l’origine. Quand on a bossé sur ce logo on était à Copenhague avec un il-lustrateur Suisse, un sacré illustrateur, qui est aussi un très bon photographe. On a bossé sur le logo on ne savait pas du tout comment le former, on avait la base qui est le triangle et on ne savait pas quoi mettre à l’intérieur. La moustache en faite est un « B », on l’a stylisé et on s’est dit « ça passe bien !». Il faut savoir

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que le logo a 4 ans et que c’était un peu avant la mouvance « hipster », avec les triangles, les moustaches… Après coup on s’est souvent remis en question, si on devait le changer ou pas, mais on s’est dit que non, on était là quasiment avant, on reste un peu…

> Il existe également un commerce en ligne ou l’on peut trouver t-shirt, photo-graphies… Tu peux nous en dire plus ?

Ouais carrément, on a un petit shop qui est vraiment sans prétention, nous l’avons ouvert il y’a moins d’un an et on ne l’a jamais vraiment mis à jour on a juste vendu dessus des t-shirt qu’on a fait, pour donner des goodies que les gens achètent, ça a plutôt bien marché, les gens en commandent. Puis récem-ment on s’est dit qu’on allait développer un peu la chose, on va essayer de mettre dedans ce que l’on aime porter, ce que l’on aime voir, donc on s’est dit que l’on allait vendre de la photo. Pour cela nous avons contacté plusieurs photographes, des canadiens, des turcs, des français, des anglais, ils ont accepté de travailler avec nous. On a aussi des illustrateurs qui vont proposer leur t-shirt parce que généralement tu as pas mal d’illustra-teurs qui vont dessiner pour eux mais qui ont très peu de visibilité. Le shop grossit au fur et à mesure grâce à ça.

> Tu fais partie tu projet Kohlok, peux-tu nous expliquer le principe ?

Pendant un an j’ai vécu en coloc avec deux de mes amis Adrien Melchior et Sa-cha Nastat, qui sont deux anciens du pôle, nous étions en cours ensemble un jour on a décidé de vivre en coloc ensemble, on s’est pris une coloc rue Jean-Pierre-Timbaud donc la meilleure rue de Paris, des bars partout, proche du métro, vrai-ment le kiff. Après ça, on s’est dit « allez, on a terminé nos études, on fait un truc, on se casse en Asie ! ». On a fait un road trip en Asie de Sud-Est. On a commencé par le Vietnam, au début on devait faire Vietnam, Cambodge, Thaïlande, vrai-ment faire un petit paquet de pays et ter-miner par Bali. Le fait est que ça s’est un peu raccourci donc on a fait quasiment tout le Vietnam. A un moment on était dans les montagnes à Dalat, on a fait de la moto, premier jour niquel et deuxième jour notre pote Adrien s’est mangé un nid de poule qui était plus un cratère qu’un nid de poule. Il s’est retrouvé avec triple fracture ouverte de la cheville et fracture du péroné. Autant dire que c’était très sympa à gérer là-bas, que les niveaux d’urgences sont bien dégueulasses, bref ça a un mis un peu un point final à notre aventure.

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> Allez-vous refaire ce voyage ?

On s’est souvent posé la question, on s’est dit que l’on repartirait en voyage ensemble. Ouais il faut qu’on continue parce que c’est une aventure inachevée, il ne faut pas que ce soit un regret. Donc je pense qu’on repartira.

> En faisant plus attention... !

Pas forcément plus attention car au final, on a fait attention. Il y a toujours des im-prévus quand tu fais des voyages comme ça. Tu pars avec ton sac à dos, forcément il y a des merdes qui arrivent. Mais ouais, on le refera, dans un contexte différent car on sera surement marié avec des gosses mais, on le refera.

Retrouvez l’intégralité de cette interview sur notre site interpolemag.com

Retrouvez notre vedette du mois sur son siteBeware ainsi que son blog personnel de photo !

w w w. b e w a r e m a g . c o mwww.erwanmanchec.com

INTERVIEW

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ZOOM SUR...ADA, AIDER DONNER AGIR

ADA est une association étudiante ayant pour principal but le rassemblement d’étu-diants motivés et généreux autour de différents projets caritatifs. Comme vous le savez sûrement, il n’est pas donné à tout le monde de vivre en toute dignité, mais la générosité et la bienveillance des membres d’ADA apportent un certain réconfort à de nombreuses personnes démunies. En bref, ADA c’est avant tout une association composée de membres conscients de la dure réalité de la vie, chose extrêmement rare de nos jours.

> PAR REDOINE KHERBACHE

Qu’est-ce que la vie associative ? On vous la décrit souvent comme un groupe de personnes voulant s’éclater durant leurs études. Mais est-ce vraiment l’unique but des associations de notre Pôle ? La réponse est non, et pour vous le prouver Interpole a décidé de faire un zoom sur une association pas comme les autres : Aider, Donner, Agir, connue plus généralement sous le nom d’ADA.

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ZOOM SUR...

Afin d’apporter leur aide et leur soutien à différents événements caritatifs, ADA dé-veloppe de nombreux projets. On y retrouve notamment une collecte de fond pour soutenir l’association Magev qui propose des spectacles aux enfants hospitalisés afin de redonner joie et sourire à ces derniers « Pour guérir, nos enfants ont aussi besoin de sourire ! ». De plus, ADA participe à la distribution de repas chauds aux personnes démunies, et oui figurez-vous que le simple fait de manger à sa faim demeure un luxe que certains ne peuvent s’offrir. Pour pouvoir financer ces différentes associa-tions, ADA organise régulièrement des p’tits déjs ou des journées à thèmes au cours desquelles l’ensemble des Pulviens participent indirectement à ces récoltes de fonds. Enfin, il reste à préciser qu’ADA organise souvent des événements en partenariat avec des associations tels que Maryse pour la Vie, Coup de Pouce aux sans-abris ou la Banque Alimentaire.

Les petits gestes d’attention du quotidien peuvent changer la vie de nombreuses personnes, alors toi aussi Aide, Donne et Agis !

« C’est une assoc au top, ils oeuvrent pour des bonnes causes, et leurs petits dej’ sont géniaux ! »

Un étudiant qui vous aime”“

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Au total, 2,5 trillions (soit, mille milliards) d’octets de données sont générés chaque jour. De ce fait, est apparu le phénomène de « Big Data » qui a été mis en place face à l’explosion du volume d’informations produites. De plus, on note que cette expansion s’est surtout faite ressentir au cours des deux dernières années, ce qui semble être en corrélation avec la démocratisation des nouvelles technologies.

EMLV

Sommes nous réellement en sécurité dans le monde aujourd’hui ? Enfin, plus précisément dans le monde technologique qui nous entoure ? Oui, nous par-lions des NTIC lors de notre dernier numéro, alors parlons ce mois-ci des « Big data », c’est-à-dire des données qui sont produites chaque jour et véhi-culées sur internet.

BIG BROTHER SOCIETY> PAR MANON SOIHET

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EMLV

Ce n’est qu’à titre d’exemple évidemment, mais cela provient du fait que toutes les données vont constamment être collectées, analysées, croisées et catégorisées afin de cibler les préférences des utilisateurs. Ceci, ne va pas sans poser de problèmes, en effet, ce genre de pratiques apparaît comme étant une intrusion, et peut parfois laisser flotter un sentiment d’insécurité.

Tout peut alors être remis en cause, quelles données sont vraiment capables d’être collectées ? Paradoxalement, beaucoup de personnes utilisent les réseaux sociaux pour la sécurité affective qu’ils peuvent apporter, mais c’était sans compter sur l’arri-vée des « Big Data » qui semblent bien partis pour bouleverser les pratiques internet.

Vous n’en avez pas assez de ces publicités qui vous agressent dès que vous ouvrez une page internet ? Quand même les encarts publicitaires sur les sites s’y mettent, ça a le don de vous agacer n’est-ce pas ? Et, alors, ce qui vous fait littéralement sortir de vos gons repose évidemment sur le fait que ces publicités vous correspondent totalement ! Ah oui, vous venez de « liker » une page de mode sur Facebook et deux minutes plus tard, des chaussures avec des prix défiants toute concurrence appa-raissent de partout sur votre écran !

Ces données peuvent provenir de nombreuses sources, mais intéressons-nous prin-cipalement à celles produites sur les réseaux sociaux. Ainsi, par le biais de tout ce que les utilisateurs publient quotidiennement, que ce soit, les messages, les photos, ou encore les vidéos…, ces données vont être enregis-trées à notre « insu », et on peut alors se demander comment elles vont être utilisées et à quelles fins ?

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IIMILS ONT BRAQUE COLETTE

> PAR EVA PINTO

Colette, concept-store Parisien est victime d’un braquage le samedi 22 Mars. Le butin du délit s’élève à 600.000€. Plusieurs coups de fils échangés et cinq amis de longue date, amusés par la situation décident de créer un t-shirt ayant pour intitulé « J’ai Braqué Colette ».Qui aurait cru que ce concept à la base humoristique et pensé entre amis au-rait pu générer un tel buzz.. .?

« J’ai braqué Colette, punchline à la mode ! »

- Le Monde”“

IIM

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> Peu de temps après que l’information sur le braquage de Colette ait été relayée, le concept était déjà lancé. En une heure de temps, les mots « J’ai Braqué Colette » résonnaient dans la tête de ces 5 amis. Dès lors, tout s’enchaine. A 16 heures le design était créé et à 17h il était imprimé. 18 heures rendez-vous devant la boutique pour prendre les photos du tee-shirt porté et floqué avec le fameux slogan20 heures, le site ayant pour but de commercialiser le tee-shirt est en cours d’éla-boration. Sur les coups de 03h00 du matin il était en ligne.

LE LANCEMENT

La stratégie de nos 5 protago-nistes était la suivante : laisser le site et la possibilité de aux utilisa-teurs d’acheter le tee-shirt durant un laps de temps de 12 heures.Il est midi, nous somme le lende-main de l’incident et le buzz com-mence à fleurir. Une heure plus tard, nos 5 créateurs assistent au début de leur consécration. Mi-nute-Buzz partage sur son site ainsi que sa page Facebook, le lien direct vers le site de vente du t-shirt.En moins d’une heure on comp-tabilise plus de 200 partages, 200 clics par minute, c’est un véritable succès. Les heures défilent et les partages via Minute-Buzz et sur les réseaux sociaux se succèdent.

ET CA NE S'ARRÊTE PAS...

Les commandes grimpent, le buzz est incontrôlable.1 jour, 1 buzz c’est le slogan qui pourrait convenir à cette expérience dans laquelle nos jeunes créateurs se sont aventurés.La morale de cette histoire ? N’ayez pas peur de vous lancer, les idées les plus simples sont parfois les meilleures.

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Vous voyez des tablettes partout ? De vos amis à des étrangers dans le métro et vous vous demandez pourquoi ? Interpôle vous répond. Plus mobile qu’un ordinateur et plus grand qu’un smartphone, la tablette est un parfait outil de travail : on peut ac-céder à ses mails, rédiger des documents et préparer des présentations. Facile à em-mener en vacances, elle peut aussi remplir un rôle de distraction : regarder des films pendant les longs trajets, jouer à des applications exclusives, on citera notamment celle du dernier Assassin Creed qui permettait d’utiliser certaines fonctionnalités même loin de sa console.

ESILV

Le mois dernier, le Rédac’ vous présentait le Windows Phone. On continue sur les outils indispensables pour travailler à l’Esilv, chez soi, ou partout  : la ta-blette. Déjà convaincu ou encore réticent ? Le phénomène est bel et bien ins-tallé ! Découvrez les avantages d’une tablette ou décidez-vous entre l’iPad et la surface.

BIEN CHOISIR SA TABLETTE> PAR ARTHUR ÉLIE & MÉLANIE JOURNÉ

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> Fana d’Apple ? Programmeur sur Mac ? La réputation d’Apple n’étant plus à faire voilà ce que vous propose l’enseigne : l’iPad 2, l’iPad mini ou encore l’iPad Air. Première marque à avoir parié sur le marché de la tablette, vous n’avez que plus qu’à choisir quel modèle vous correspond le mieux si vous choisissez cette marque.

> Chez Android, on retrouve de nombreux distributeurs : Sony, Asus, Samsung. Ce dernier étant un concurrent sérieux avec sa Galaxy Tab. Les avantages : système open-source, diversité des prix et des modèles, les google apps, et enfin le côté per-sonnalisable. Ne relançons pas un énième débat, à vous de voir !

> La contre-attaque Windows. Microsoft arrive sur le marché fin 2012 avec la Surface, une tablette avec des allures de petit ordinateur. Depuis, Windows 8 est apparu comme l’interface créée pour les tablettes. Disponible avec un clavier portatif, Surface apparaît comme l’originalité des tablettes.

Maintenant, comment choisir ? Les critères se résument souvent au prix, à la mémoire, à la qualité photo. N’oubliez pas non plus de considérer le système d’exploitation, un point important est d’être à l’aise avec celui que vous choisirez. Zoom sur 3 différents types de tablettes :

ESILV

SPORTLES COMPETITIONS LES PLUS INSOLITES

Swamp soccer  : Deux équipes de 6 joueurs s’affrontent dans un match de foot de 24 minutes… dans une bonne boue bien dense… mmh !

Lanceur de menhirs ! Dans la catégorie des plus de 25 kg, le record est quand même de plus de 5 mètres  ! Qui pour défier Obélix ?

Course de chaises de bureau ! Descendre 200m sur une chaise de bureau à roulettes… dangereux, mais tellement kiffant !

Échecs/Boxe. Défier un adversaire sur 11 rounds : 6 sur un échiquier (4 min),

8 - La plus FATIGUANTE

6 - La plus GAULOISE

7 - La plus KIFFANTE

5 - La plus BIPOLAIRE

Ce mois ci, la rubrique « Découvre un sport » a décidé de vous faire rire ! Enfin… au moins vous divertir en vous faisant découvrir des compétitions… comment dire… assez insolites ! Voici notre top 8 :

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SPORT

Concours de bombes à la piscine. Qui n’a jamais essayé ? Le faire dans le cad-re d’une compétition, c’est possible ! Et en plus vous le faites pour une œuvre caritative !

Course de talons aiguilles  ! Courir un relais de 180 mètres avec des talons de 8 cm… pas facile quand même ! Qui est tenté ? N’empêche que les revenus sont versés au Téléthon.

Le porter d’épouse. Chers messieurs, je vous conseille de ne jamais la laisser tomber ! Tenir sa conjointe sur 253 mètres d’herbe, de sable, de bitume, d’eau et de tout autre obstacle peut quand même vous rapporter l’équivalent de son poids en bière ;)

Course de bébé en couche. Super bi-zarre : ils ont entre 6 et 12 mois et sont déjà mis en compétition « encouragés » par leurs parents… Soit !

4 - La plus DEJA FAITE

2 - La plus DURE

3 - La plus FIDELE

1 - La plus IMPENSABLE

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RESULTATS SPORTIFS DE MARS 2014SPORT

LE SPORT AU TOP: L’ESCRIME est omniprésent depuis le début de l’année et ils ne s’arrêtent JAMAIS  ! Ce mois-ci, ils ont TOUT raflé lors du championnat de France à Vittel. On note 2 troisièmes places (Aymeric ESCURAT en fleuret Hommes et Alice VIDAL en fleuret Dames), un titre de vice champion de France (équipe fleuret féminin) et 2 titres de champions de France (Olivier STOLZ en épée Hommes et l’équipe de fleuret masculin). Encore bravo ! :)

LES AUTRES RESULTATS: Nombreux sont les résultats ce mois-ci  ! On commence avec une 3e place de l’équipe garçon de KARATE. On poursuit avec l’équipe fille de JUDO, vice-championnes IDF. Petit détour avec Antoine MAZEYRAT qui a fini 2e du tournoi Open IDF de Tennis de table. Ce mois-ci, le PULV a sorti ses gros muscles ! On finit donc avec 3 champions IDF  : l’équipe de DEVELOPPE COUCHE, Peter EID (HALTERO FORCE +90kg) et Cedric REY (HALTERO FORCE -80kg)  ! Merci de représenter aussi bien la force et la puissance pulvienne, Bravo à tous !

Le LEO D’OR de Mars : Ce mois-ci, pas de Léonard d’Or mais au contraire, un Léonard en carton ! Carton rouge pour l’équipe de rugby du pôle qui est forfait jusqu’à la fin de la saison à cause du manque de motivation, de présence et d‘amour du rugby. C’est la première fois en 15 ans que cela arrive. Heureusement qu’il y a quelques (très peu) irréductibles pour sauver l’honneur. Ils ont peut être pas le niveau, mais, au moins, le comportement de Sportifs Haut Niveau.

Le fil rouge de la saison : Quelles mauvaises langues que nous sommes ! Après avoir annoncé la semaine dernière que les EAGLES avaient perdu ses 6 premiers points le mois dernier… et bien ce seront les 6 seuls points perdus par nos Eagles avant LEUR TITRE DE CHAMPION IDF  !! En effet, ils ont officialisé leur 2e titre de Champion IDF suite à leur victoire 14/00 le 27 mars face à UP7, après avoir battu Dauphine 28/00 et avoir fait trop peur à l’EISTI pour qu’ils disputent le match… Bravo  ! Direction championnats de France !

UN PETIT COUCOU DE...

Café en terasse, pique-nique sur l’herbe … Alors que pour certains le mois de Mars a été plutôt estival à Paris, qu’en est-il pour nos expatriés aux quatre coins de la planète ? Ce mois-ci, nous avons été à la rencontre d’étudiants de l’IIM et de l’EMLV qui en stage ou en erasmus, nous font part de leur expérience. Direction l’Allemagne, et le Canada !

> PROPOS RECEUILLIS PAR CELIA DELBARD

L’authenticité Allemande !

Marre de ta grande ville ? La pollution te remplit les poumons ? Ta vie c’est métro, boulot, dodo ? Viens donc chercher bon-heur à Furtwangen, petit village étudiant en pleine forêt noire où le monde te sou-rit. Ici c’est de la très bonne bière à 1 eu-ros, balade en pleine forêt, luge et ski en hiver, baignade dans les lacs et séjour à Europa Park en été. Tous les week-ends une excursion bien organisée t’attend. Entre la nature grandiose qui nous est offerte ici, le tourisme historique de nos cousins germains, leur culture de fê-tards et leurs délicieuses « bratwurst » (énormes saucisses locales… NO SOUS ENTENDUS !) tu ne pourras que t’éclater, comme jamais !

plus d’infos ? patricia.awad@devinci.fr <

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UN PETIT COUCOU DE...Vancouver, une ville étonante.

¡Viva Madrid!

Il faut savoir que cette ville n’a vraiment rien à envier à Paris ou New-York. Au prémices de l’automne quoi de mieux que se balader en bord de mer pour certains ou faire flamber son compte en banque dans les magasins pour d’autres. Quand la saison hivernale et la neige ar-rive, il ne faut pas croire que le monde s’arrête de tour-ner (pas comme à Paris)... Il n’y a rien de mieux que de faire un break chez Starbucks (présent à chaque coin de rue) pour prendre un bon café bien chaud ou même au Starbucks local : Tim Hortons à des prix défiants toute concurrence. N’oublions pas que Vancouver a accueil-li les JO d’hiver de 2010, les pistes de ski sont donc à moins d’une heure du centre. N’hésitez pas non plus à voir l’équipe la plus connue du Canada : l’équipe de Hockey sur Glace des Canucks. N’oublions pas les fê-tards : cette ville est jonchée de boites et de bars en tout genre. Enjoy it while improving your English !

plus d’infos ? fanny.gregoris@devinci.fr <

Après avoir passé mon erasmus dans un pays nordique, j’ai décidé de changer d’horizon et ai opté pour Madrid, la capitale Espagnole. Je conseille à tous les fêtards du PULV d’y aller, c’est une ville étudiante qui bouge et le soleil et la chaleur sont présents dès le mois de Mars. Les prix des loyers sont raisonnables tout comme le niveau de vie. Gran Via ou encore le parc Retiro sont des endroits parfaits pour flâner le week-end sans dé-penser un sous. Il est assez facile de trouver un stage à Madrid mais il est très rare de recevoir un salaire en contre-partie. Les locaux sont très ouverts envers les étrangers mais malheureusement la majorité d’entre eux ne parlent pas anglais, il est donc assez difficile de communiquer, du moins à début. Mais pas d’inquiétude, de nombreux Erasmus n’attendent que vous pour faire la fête !

plus d’infos ? pauline.alix@devinci.fr <

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> PAR CÉLIA DELBARDLA SELECTION INSTAGRAM

Des voyages, des assos déchainées, des shows, des soirées, des cours et des diplômes bien mérités. Un mois au PULV en image.A vos hashtags!

#pulv #RH

#nuitinterécole#ski #2alpes

#mmoustache

#NIE #nightlife#28 #TrashPulv

#chillin #ski

#pulvbynight

#poletech #pulv #shooting

#pulv #spring

> PAGE 24 : INTERPOLE A TESTÉ POUR VOUS

> PAGE 26 : LA CHRONIQUE CINÉMA

> PAGE 28 : #YOLOSWAG

> PAGE 30 : ARTS & CULTURE

> PAGE 32 : OH MY BUZZ !

> PAGE 34 : LA MINUTE MODE

> PAGE 36 : LES TIPS BEAUTÉ DE LYSOU

> PAGE 38 : A XXXKM DE CHEZ NOUS

> PAGE 40 : A XXXKM DE NOS TÉLÉS

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Ah les voyages, on les aime! En Erasmus, en vacances, et même en stage, un voyage ça se prépare pour en profiter pleinement. Qui dit partir à l’étranger, dit soirées, et pour que vous ne soyez pas trop perdus à l’arrivée, Interpôle vous a préparé sa sélec-tion des meilleures boîtes d’Europe!

INTERPÔLE A TESTÉ POUR VOUSLES MEILLEURES BOÎTES D’EUROPE

Le Meatpackin District se révèle être la zone prisée des noctambules. Repenti en quartier branché, il abritait autrefois des abattoirs, imaginez alors un ancien quartier industriel désert qui se transforme en réel haut lieu de la vie nocturne. On pause son vélo et on fonce au « Karriere bar » avec ses Djs et artistes internationaux ou au « Jolene bar » entre musique électronique et ambiance berlinoise.

The Place to Be à Londres, c’est bien la Fabric ! Une immense surface de 1000m2 avec trois salles où passe un line-up des plus grands noms de la musique électronique! Une soirée exceptionnelle qui vous fera vite oublier le prix de l’entrée (20£). Une ouverture d’esprit à la londonienne et di-verses rencontres surprenantes assurées ! La Fa-bric c’est une programmation hors norme avec du son toujours au top!

Trouver un spot pour admirer le coucher de so-leil sur la ville, prendre l’apéro dans un « Vikings bar » et filer au Café Opéra. Attention, une tenue correcte y est exigé et les moins de 21 ans sont gentiment remerciés. Mondialement connu, c’est sous ses célèbres lustres que les Dj internatio-naux vous ferrons vibrer jusqu’au bout de la nuit ou presque. Ici, on fait la fête de 22h à 3h du matin. Chic et électro, voici les deux mots à retenir.

Rendez-vous au dernier étage d’un building. Exit les files d’attentes interminables, ici on prend l’as-censeur pour rejoindre le dance floor. On choisi son ambiance, musiques généraliste ou hip/hop et c’est parti! N’oubliez pas entre deux pas de danse, de prendre une petite bouffé d’air frais sur la ter-rasse avec une vue panoramique sur la capitale Finlandaise et de commander un rafraîchissement au bar surplombé d’un aquarium géant.

Meatpackin District, Copenhagen

La Fabric, Londres

Café Opéra, Stockholm, Sweden

Tiger Club, Helsinki

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Partagez vos bons plans à contact@interpolemag.com

INTERPÔLE A TESTÉ POUR VOUS

Alors, convaincu de ta destination? Allez hop, on réserve les billets et go faire la fête à l’étranger et n’oublies pas les photos souvenirs! Et si tu veux partager tes soirées ou bons plans, ou nous demander de tester pour toi tout et n’importe quoi, contactes nous!

Inutile de t’attarder au rez-de-chaussée qui n’est rien d’autre qu’un bar, descend tout de suite au -1 où tu te retrouves dans une salle presque glauque aux murs rouges remplie de clubbers venus de toute l’Europe. Il ne te reste plus qu’à choper ton absynth-redbull au bar et kiffer ta soirée. A deux pas du pont Saint Charles, t’auras même l’occa-sion d’aller l’admirer à ta sortie tranquillou.

C’est la plus grande boite de la ville, et de loin la meilleure. 5 salles, dont 2 immenses, et vous êtes sûrs de trouver votre style de musique ! L’attente peut être longue, donc prévoyez vos sorties, car les «petites» soirées n’existent pas là bas. Qu’ils soient locaux ou internationnaux, les gros noms se succèdent aux platines, que du bonheur.

Warschauer Strasse, ou, autrement dit, le coin des boites un pas trop prout prout de la capitale alle-mande. Un large choix s’offre à toi, mais si la mi-nimale, c’est ta came, fonce au Suicide. Une salle dedans, une salle dehors, un vrai DJ qui connait autre chose que Deezer, mais surtout, même si le prix des consos est plus élevé qu’au Kaiser, on reste à Berlin ! Que du bonheur pour tes oreilles !

Ibiza est bien connue pour sa festivité unique au monde! Après s’être ambiancé à l’Ushuaïa, il faut foncer au Space pour y faire la fête de minuit à 7h du mat’. 4 salles dont une immense terrasse avec 4 styles de musiques allant de la housse à l’électro avec les meilleurs Dj internationaux et les danseurs faisant le show. Malgré les prix exor-bitants, le Space est un incontournable! Et hop, After sur la plage!

Chapeau Rouge, Prague

Razzmatazz, Barcelone

Suicide Circus, Berlin

Space, Ibiza

Par Nawelle Alouani

Récompensé pour son scénario aux Oscars 2014, Her sait comment nous épater. Sans trop en faire et grâce à l’esthétique maitrisée on tombe littéralement sous le charme de Theodore (Joaquin Phoe-nix) mais surtout de la voix envoutante de Samantha (Scarlett Johansson), un système d’exploitation informatique in-telligent. Avec un discours tout en finesse le film nous touche profondément. L’émotion est propulsée au premier plan et nous tient jusqu’à la dernière minute. Cette histoire peu commune mais tout à fait dans l’air du temps pourra en boulever-ser plus d’un. Bien plus qu’une simple amourette pla-tonique Spike Jonze nous interroge sur l’individualisme et l’essor des intelli-gences artificielles. D’une beauté sans égal Her atteint des sommets dans son récit et apporte un peu de nostalgie et de douceur qu’on ne saurait refuser.

LA REVUE CINÉMAHER

LA REVUE CINÉMA

Par Cyril Icekei

Faisant suite à The Avengers où il a prouvé qu’il pouvait en avoir dans le ventre, Captain America revient dans une nouvelle itération bien moins ban-cale que le premier film qui lui a été dé-dié.

Plus sérieux que The Avengers, plus terre à terre qu’un Thor 2, Captain America et le soldat d’hiver vous plongera dans un conflit géopolitique mêlant espionnage et castagne avec brio.

Quelques longueurs viendront hélas parfois plomber le rythme de ce film Marvel qui a pourtant l’audace de sor-tir du déjà vu habituel. Néanmoins, une solide réalisation, d’excellents acteurs et une trame novatrice vous feront vite ou-blier ces petits temps mort.

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CAPTAIN AMERICA

KYO, LE GRAND COME BACK.

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YOLOSWAG> PAR JONATHAN CHAMBERS

Mettons les choses au clair, on a tous essayé de pécho sur « Dernière danse », et ils nous ont bien accompagnés dans nos grands moments de détresse d’adolescent mal dans leur peau. Ok. Mais ça, c’était avant, au collège, où tu pouvais te permettre d’être un peu con-con. Cette année, ils reviennent, et ce n’est pas pour nous déplaire.

Concrètement, la com, c’est pas leur délire. Ils ont annoncé leur retour -inattendu- un peu à l’arrache, avec deux chansons pour nous mettre l’eau à la bouche, sans grand succès hein ! Ils avaient même avancé la date de sortie, pourquoi ? C’est pour dire. Leur logo a eu droit à un petit lifting. Bel effort me direz vous ? Bah non, ça ressemble ni plus ni moins à une éolienne. Raté.

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YOLOSWAGS’il y a bien une chose qui n’a pas changé, c’est leur style mièvre et sans personnalité. C’est un peu comme s’ils étaient toujours coincés dans leur « kyosphère », pendant que nous, on a grandi. Ça se plaint, ça geint, c’est malheureux. Et quoi ? Rien. Mais pour rentrer un peu plus dans le détail, passons à leur album, parce que, eux, on les connait, ça va.

En somme, la chanson d’entrée, « Poupées russes », n’est pas si mal que ça, ça com-mence de façon vaguement molasse mais le refrain est plutôt entrainant. « 300 lésions et les rideaux se ferment » nous autorise un petit flashback émotionnel sur leur der-nier opus. Mais point. Rien. Vide. Le néant. Tout le reste est creux comme une coquille vide. On note tout de même la dernière piste « La route », qui décroche la palme du pire, histoire de finir en beauté. Ta grand mère qui te fait une thèse sur les le tricot au XIIème siècle en milieu aride serait plus intéressante.

Bref, « right in the childhood » me semble tout à fait approprié à l’écoute de cette ga-lette. Une bonne dose de dégueuli pour bien foutre en l’air tes années collège.

> PAR EMMA ROMEU

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ARTS & CULTUREJE NE SUIS PAS UN SOSIE !

Ce mois-ci, chers lecteurs, je vais vous présenter un photographe avec un concept très original.Vous pensiez avoir un physique unique ? Et bien, ce photographe pourra vous trouver, certes, en traversant les quatre coins du monde, un sosie !

Mais qu’est-ce qu’un sosie ? C’est une personne que l’on dit ressembler à une autre, tout simplement. Un peu d’histoire : son origine vient des langues latines, dans une pièce de théâtre un des personnages appelé Sosie voit son apparence être parfaite-ment imitée par le dieu Mercure.

Et oui, on ne vous a jamais dit « oh ! Tu ressembles à quelqu’un que je connais ! » ? C’est pour vous une fierté car se sentir unique est agréable ? Gare à vous ! Cet artiste pourrait bien réduire à néant cette fierté si chère à vos yeux !

François Brunelle, ayant toujours été passionné par les ressemblances entre les personnes, et pas seulement parce que plus jeune on lui disait qu’il ressemblait à Rowan Atkinson l’interprète du loufoque Mister Bean, a décidé de monter un projet autour de cette passion.Il est photographe, basé à Montréal, et parcourt le monde depuis plus de douze ans pour rassembler de parfaits inconnus se ressemblant comme deux gouttes d’eau le temps d’une photo ! Il regroupe ces clichés en noir et blanc dans son projet qu’il a intitulé « je ne suis pas un sosie ! », qu’il aimerait présenter lors d’une exposition puis sous forme de livre.

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ARTS & CULTURE

Mais les deux personnes ont une ressemblance plus ou moins marquée et flagrante, selon la manière de voir de chacun. C’est pour cela qu’au départ, le projet s’appelait tout simplement «Les sosies» ; François Brunelle l’a renommé «Je ne suis pas un sosie!», entre autre, pour répondre aux critiques futures sur Untel et Untel qui ne se ressembleraient pas. Le titre permet aussi de donner la parole au sujet et pas seu-lement à celui qui l’observe, d’autant que certains de ces sosies ne se reconnaissent pas comme tels.Le fils de François Brunelle lui a déjà demandé s’il ne pourrait pas «donner un coup de pinceau» à certains sosies pour qu’ils se ressemblent un peu plus. «Si, mais ça ne serait plus le même projet», a répondu le photographe. «Si on prend des photos de jumeaux, c’est intéressant, mais ils se ressemblent tellement parfois que ça en devient ennuyeux. Ce qui est intéressant avec les sosies, c’est qu’ils se ressemblent plus ou moins ».

A l’instar de Chanel et de son désormais célèbre « super marché », le secteur du luxe ne manque pas d’imagination. Chacun y met du sien de pour créer le « buzz » et c’est incontestablement ce qu’a réussi à faire Prada, la marque de vêtements et d’accessoires de luxe. Aujourd’hui, un grand nombre de marques du secteur du luxe utilise l’art pour accroître leur notoriété à l’international. Ce mois-ci, on vous parle du « mirage Prada ».

> PAR CÉLIA DELBARD

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OH MY BUZZLE MIRAGE PRADA

Le Luxe et l’artSi Art, luxe et mode étaient jusque-là dans des mondes bien distincts, c’est seule-ment à partir des dernières années que ceux-ci ce sont rapprochés. La maison fran-çaise Cartier a fait figure de précurseur en faisant apparaître des produits hybrides et en créant la fondation Cartier en 1984. Depuis, la fondation organise cinq expositions annuelles dont le succès ne s’essouffle pas. Cartier, Guerlain, Dior ou encore Chanel, les marques sont de plus en plus nombreuses à investir les musées en exposant leurs pièces. Réel mécénat ou publicité déguisée, la question fait débat.

Prada, « creativity, modernity, innovation » Fondée en 1913 à Milan, la marque de maroquinerie italienne s’est diversifiée vers le prêt-à-porter à la fin des années 80 jusqu’à devenir le groupe de luxe qu’on connaît. Le succès de cette maison de couture réside dans sa capacité à s’implanter dans des milieux culturels différents. En moins de trente ans, la marque Prada est devenue une pointure dans la mode, mais pas que, le groupe explore depuis le début des an-nées 2000 le filon de l’art en bâtissant des monuments architecturaux imposants aux quatre coins du monde.

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OH MY BUZZ

Une boutique en plein désertDe quoi auriez-vous besoin si par malheur vous vous retrouviez bloqués en plein dé-sert ? D’eau, de nourriture, et peut-être d’un sac Prada… Non, non ce n’est pas un mi-rage, œuvre des artistes Scandinaves Michael Elmgreen et Ingar Dragset, une fausse boutique Prada a été installée en 2005 dans le désert de Marfa au Texas. Vandalisée quelques jours après son inauguration, la boutique fût remise à neuf et intrigue tou-jours autant les voyageurs. Il faut dire que Marfa est connu pour être une pépinière d’artistes. La boutique qui fêtera l’année prochaine ses dix ans, continue de faire le buzz et est un lieu de pèlerinage pour les fashionistas, lunettes de soleil sur le nez et Iphone à la main, histoire de prendre les meilleurs clichés Instagram.

Soucieuse de préserver leur caractère d’exception, les marques de luxe ont de plus en plus recours à l’art, en collaborant avec des artistes contemporains. Entre bou-tiques éphémères et réelles œuvres d’art, la concurrence est forte et nous en met plein la vue.

Les Air Jordan’s sont ces baskets Nike signées par Michael Jordan qui portent donc le logo Jumpman.Pour la petite histoire, c’est en 1984 que la star des Chicago Bulls signe la création de ces chaussures qui se sont vendues à plus de 100 millions d’exemplaires à travers le monde et en 1997 la Jordan Brand est créée en partenariat avec Nike.

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LA MINUTE MODEJs ON MY FEET, Js ON MY FEET, Js ON MY FEET ! SO GET LIKE ME

> PAR ADRIEN BRULÉ

En ce mois d’avril, ce n’est pas sur « Mike Will Made It - 23 » mais sur « Wings » de Macklemore et Ryan Lewis que nous allons aborder ces fameuses Air Jordan.

La Air Jordan 1, une des premières créations, était rouge et noire et ne respectait donc pas le dress code Wimbledon qui stipulait que les chaussures des joueurs de la NBA devaient être majoritairement blanches. Michael Jordan pendant quatre matchs a accepté de porter ces chaussures qui vont valoir 5.000$ d’amende à Nike qui va alors saisir l’occasion en expliquant que les « Air Jordan 1 sont tellement puis-santes qu’elles en sont devenues illégales ».

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LA MINUTE MODE

En bref, pour un style streetwear sans prise de tête, ces baskets, un jean classique ou un jean « camouflage militaire » et un tee-shirt du style Obey ou Supreme feront l’affaire.

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LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUX

Fini l’hiver glacial et place aux beaux jours, au beau temps, bref le printemps est de retour ! Il fait toujours aussi froid mais le soleil est au rendez-vous et nous réchauffe de plus en plus au fil des jours. Plus besoin des gros pulls en laine, des bonnets, gants et toute la panoplie pour affronter l’hiver. Désormais nous pouvons ressortir nos tee-shirts, robes, jupes et shorts aux belles couleurs printanières.

HELLO SPRING !!!> PAR ELYSA DZEUANG

L’hiver me rend malade avec son changement de température inconsidérable, il fait bon et le lendemain il fait froid avec un vent glacial qui nous glace jusqu’aux os. Mine de rien l’hiver fait quelques dégâts et ne laisse aucun répit à notre corps. Il faut remédier à cela et vite. Résultat, nous nous retrouvons avec une peau déshydratée et ternie. SOS ! Commen-cez à en prendre soin dès maintenant. N’utilisez pas toutes les crèmes que vous trou-verez chez vous, au contraire, votre peau a besoin d’être hydratée mais elle a surtout besoin de respirer un bon coup.

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Maintenant c’est à vous de jouer, commencez le printemps en retrouvant votre fraîcheur !

LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUXPour s’en sortir, rien de plus simple ! Il suffit avant tout de bien s’hy-drater. En hiver comme en été continuez de boire 1,5L d’eau par jour même si vous n’avez pas la sensation d’avoir soif. Limitez les douches trop longues et surtout trop chaudes car cela attaque l’hydratation naturelle de votre peau. Dès que vous sortez de la douche, séchez-vous en tamponnant votre peau avec une serviette. Concernant le visage, choisissez un soin adapté à votre type de peau.Par exemple, votre peau peut être irritée sans pour autant qu’elle ne soit sèche. N’oubliez pas le contour des yeux et les zones sensibles qui peuvent être vulné-rables en hiver.

Pour le gommage de votre corps, mélangez une cuillère à soupe d’huile végétale comme l’olive ou l’amande douce avec une cuillère à soupe de sucre et une autre de miel. Après avoir fait le mélange, appliquez le gommage sur peau humide et pratiquer de grands mouvements circulaires. Ensuite rincez à l’eau claire et sé-chez vous en tamponnant légèrement la peau.

Le plus important est fait, maintenant voilà une petite astuce pour ne plus avoir les mains sèches. Vous connaissez la purée de bananes ? Ce n’est pas pour manger c’est pour vos mains ! Prenez des bananes, faites en de la purée et mélangez avec 50 g de beurre avant de l’appliquer sur les mains. Laissez poser pendant 10-15 minutes avant de les rincer et de sécher. Faites-le avant de vous coucher, de cette façon cela durera plus longtemps car vous n’aurez pas à vous laver les mains à plu-sieurs reprises ce qui enlèverait toute trace de cette crème.

Pour fortifier vos cheveux il existe une recette simple et rapide à préparer chez soi, c’est la Marjolaine.Versez 50 g de marjolaine dans un demi-litre d’eau et faîtes bouillir pendant 10 mi-nutes. Laissez refroidir et appliquez en chaque matin en massant le cuir chevelu. Cela va raviver votre chevelure ! De plus, il est hors de question de garder une mine fade alors pour avoir un joli teint après cet hiver, passez au mixeur une carotte et un bouquet de persil que vous appli-querez sur le visage et le cou. Laissez pendant environ 20 minutes avant d’aller vous rincer à l’eau tiède.

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> PAR ROUCOOL

A 7 617 KM DE CHEZ NOUSLE VENEZUELA GOUVERNÉ PAR UN PRÉSIDENT DÉCÉDÉ.

Rappel sur les mandats de Chavez : Il fut élu trois fois entre 1999 et 2013, Chavez était une personnalité charismatique et appréciée cependant il est considéré comme un dictateur par certains membres de l’opposition : la droite. Il a su encourager un culte de la personnalité comparable à l’union soviétique. D’autre part il avait une politique de redistribution des richesses. Il a signé un pacte pétrolier avec Cuba pour que des médecins cubains viennent travailler dans les zones les plus pauvres de son pays. L’éducation est accessible à tous mais très influencée par la propagande.

Hugo Chavez ancien président du Venezuela est décédé le 5 mars 2013, avant sa mort il avait conseillé à la population d’élire Nicolas Maduro pour lui succéder.

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A 7617 KM DE CHEZ NOUSMaduro est soutenu par la Chine, la Russie et Cuba. Ses promesses, objectifs et opi-nions sont exactement ceux de Chavez, qu’il cite régulièrement. Cependant il est très critiqué par ses voisins mais également par la Maison Blanche qui a demandé un audit après son élection. Des milliers d’étudiants manifestent à Caracas et dans les autres villes du pays, l’intervention des milices civiles armées ont fait plus de vingt-huit morts et trois cent soixante-cinq blessés en un mois. Des opposants ont été arrêtés, d’autres ont simplement disparu et des chaines de télévision de l’opposition ont été fermées.

Exemple : le cas de Tim Tracy. Ce cinéaste américain de trente-cinq ans a été em-prisonné le 24 avril. Il était accusé d’espionnage et d’être organisateur d’une fu-ture guerre civile. La Maison Blanche considère ses allégations comme ridicules  : « le Gringo » était là pour tourner un reportage. Des intellectuels et cinéastes véné-zuéliens défendent l’américain. Il a finalement été libéré et expulsé en juin grâce aux pressions américaines sur le pays. Finalement il a été prouvé qu’il n’y avait aucune preuve démontrant qu’il était espion.

Finalement on peut se demander si le Venezuela va vers une dictature ? Affaire à suivre…

A 2490.68 KM DE NOS TVPOUTINE IS WATCHING YOU !!!

En effet, les russes ont la main mise sur toutes les actions des ukrainiens, ils sont comme surveillés constamment… Ils se disent frères du peuple ukrainien mais lorsque ces derniers évoquent leur envie d’aller voir ailleurs, autrement dit d’inté-grer l’Union Européenne, les russes leur annexent une partie de leur pays nommée la Crimée.

L’Ukraine a changé, mais à quel point ? Depuis quelques mois maintenant, je pense que tout le monde doit être au courant que le pays traverse une crise interne. Et pour résumer en gros mais alors en très très gros, on assiste à une bataille politique qui oppose les Ukrainiens qui veulent vivre dans une démocratie à l’européenne avec des vrais droits de l’Homme, et ceux qui préfèrent soutenir un régime antidémocra-tique oligarchique et capitaliste selon le modèle russe.

> PAR MARIE_CAROLINE ROYET

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A 2490.68 KM DE NOS TVEt afin de ne pas passer pour les méchants, les russes mentent à travers les médias et mettent en avant une propagande de taille concernant les opposants ukrainiens puisqu’ils sont traités de fascistes, de néo-nazis et même de terroristes. Alors là on aura tout vu car on sait très bien que durant la seconde guerre mondiale, la Russie avait abusé de la propagande pour mettre en lumière leur gentillesse et le fait que Staline était le petit père des peuples, bah voyons !!!! Des informations qu’à l’époque nous n’avions pas les moyens de vérifier. Cependant, aujourd’hui grâce à la com-munication entre pays et les nouvelles technologies, on peut tout savoir et surtout quand un pays soit disant ami crache derrière vous (NOT cool). Et le pire dans tout ça, c’est que même à l’intérieur de l’Ukraine on peut voir des pancartes pro-russes appelant les populations à se retourner vers la « nation mère » russe.

Au cours de cette année, le gouvernement russe a approuvé une série de lois an-nonçant les mesures suivantes : une censure et des restrictions sans précédent dans les médias et les sites internet. Mais paradoxalement la libre expression est un droit ancré dans la Constitution russe, c’est pas du joli joli. Mais le pire dans tout cela, c’est que le gouvernement russe refuse de reconnaître le nouveau pouvoir qui dirige l’Ukraine (Oleksandr Tourtchinov, nouveau président par intérim), il le dénigre même en allant jusqu’à le montrer comme « une vraie menace contre les intérêts de la Russie  ». Rappelons tout de même l’implication person-nelle du président Poutine dans l’élection du président ukrainien en 2004, monsieur Inoukovitch présent dans le même parti politique que le président actuel. La Russie veut se donner une image de moralisatrice mais tout le monde sait de quoi elle est capable… A suivre.

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