Intégrer une Grande École de Commerce après une prépadocshare01.docshare.tips/files/6036/60362859.pdfLes années prépas La prépa, mode d’emploi Les grandes écoles de commerce

Choisirson école

Les concours2009

après une prépa

Intégrer uneGrande École de Commerce

Les conseilsdes experts

2ème édition - 2008/2009

www.guidformation.com

�� Pour recevoir des infos, cliquez ici.

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Sommaire

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GUID’FORMATION INTEGRER UNE GRANDE ECOLE DE COMMERCE APRES UNE PREPA – 2ème éditionEditeur : ACL CONSEIL (fi liale de SMBG-EDUNIVERSAL), 12 rue d’Aguesseau, 92513 Boulogne Cedex – Tél. : 01 46 03 84 84Fax : 01 46 04 01 21 – e-mail : [email protected] – SA au capital de 50.000 € - RCS Nanterre B 323 635 680Directeur de la Publication : Jean-Paul LAIDET – Directrice de la Publicité : Astrid ALEXANDRERédaction : AEF et SMBG – Assistantes Commerciales : Chloé KABLAN et Virginie LE LAY Réalisation : H&PL – Impression : Coyote Communication – Routage : Inter-RoutageDépôt légal : novembre 2008 – Tirage : 15 000 exemplaires

Conformément à la Loi Informatique et Libertés, répondre est facultatif. Les informations que vous nous communiquez font l’objet d’un traitement informatisé afin de vous adresser des informations. Vous bénéficiez d’un droit d’accès, de modification ou de suppression des données vous concernant,ainsi que d’opposition à traitement. Sauf refus de votre part exprimé lors de la collecte ou ultérieurement auprès du responsable du traitement (ACL CONSEIL adresse ci-dessus), vous pourrez recevoir par courrier postal des informations de nos partenaires ou de nous-mêmes. Vous pourrez recevoir par mail ou SMS des informations de nos partenaires ou de nous-mêmes, si vous avez renseigné la rubrique correspondante.

Faire le bon choix

Votre projet, vos goûts, vos ambitions peuvent prendre de multiples formes : marketing, études-conseil, commercial,

fi nance, banque ou assurance, audit, ressources humaines... Les domaines d’intervention des jeunes diplômés d’écoles de commerce sont très variés, tout comme les fonctions qu’ils occupent. Les écoles de commerce traduisent, elles aussi, cette diversité. C’est pourquoi les années de prépa sont aussi un temps de réfl exion sur l’avenir.

Ce guide peut vous mettre sur la piste : en vous posant les bonnes questions, en proposant à la fois des conseils d’experts, directeurs d’écoles ou représentants de la profession, et le calendrier des concours, leurs modalités, ainsi que les adresses indispensables pour en savoir encore davantage.

Bonne lecture !

> > Posez-vous les bonnes questions ........................page 4

> > La prépa,mode d’emploi ........page 6

> > Des clés pour choisir son école ..........................page 11

> > Concours : un vrai marathon ..........................page 14

> > Calendrier des concours .............................page 14

> > Poursuivre après l’école ? ..................................page 19

> > L’étranger, un passage obligé ? ..................................page 21

> > Des Grandes Ecoles se présentent .....page 23

Imprimé sur papier offset éco-responsable. Normes FSC de gestiondurable des forêts et ISO 14001 de certifi cation de production.

79,6 % d’étudiants sortis d’écoles de com-merce en 2007 ont trouvé un emploi en moins de 2 mois, au 1er janvier 2008. Leur salaire est de 32 800 euros brut, selon l’enquête d’insertion de la CGE de juin 2008.

Près de 20 % des élèves de la promotion 2007 des écoles de commerce de la CGE ont été embau-chés dans le secteur de l’administration/gestion.comptabilité, 13,8% dans le conseil, 10,3% dans l’audit.

Il est déconseillé de passer trop de concours. Évaluez votre niveau !

4 L’essentiel pour décider de votre avenir...

��Questions/Réponses

Posez-vous les bonnes questions !

Une fois en prépa, vous pouvez avoir le sentiment d’être sur des rails qui vous conduiront à votre premier emploi, après l’intégration d’une école. Mais la route reste longue et les choix, nombreux, seront déterminants pour votre futur. Voici quelques-unes des questions que vous devez impérativement vous poser dès cette année !

��Que voulez-vous faire plus tard ?

• Déterminez votre spécialité. Vous savez que vous voulez faire une

école de commerce mais vous n’avez aucune idée de la suite et de quel métier précis vous

envisagez. Renseignez-vous auprès d’un centre d’orientation

(CIO, CIDJ).

• Tenez compte du marché. Pour savoir quels sont les secteurs qui recrutent dans votre domaine, pensez à consulter la 16ème

enquête d’insertion profession-nelle 2008 de la Conférence des

Grandes Ecoles (www.cge.asso.fr) mais aussi celle de l’APEC sur les

diplômés 2007 (www.apec.fr).

• À vous les salons et les journées portes ouver-tes : N’hésitez pas à poser des questions aux écoles directement, à l’occasion des salons qui vous sont des-tinés, ou du forum grandes écoles organisé dans votre établissement. Dans ces forums, les anciens élèves de votre prépa reviennent présenter l’école qu’ils ont inté-grée, ce qui apporte un vrai retour d’expérience.

��Quelles écoles visez-vous ?• Toutes les écoles n’ont pas un niveau égal, mais

elles ont dans l’ensemble de bons taux d’insertion professionnelle. Consultez les classements, mais tenez compte aussi des points forts des établisse-ments : croisez les informations !� ��Consultez le chapitre Des clés pour choisir son école .

• Visez les écoles de votre niveau. Si vous ne vous sentez pas tout à fait à la hauteur des plus presti-gieuses, concentrez-vous sur des écoles un peu moins réputées, mais dont le programme correspond à votre projet professionnel. Les belles carrières ne sont pas réservées aux diplômés des écoles parisiennes !� ��Consultez le chapitre Concours, un vrai marathon.

• Prenez contact avec les élèves de l’école ou en-core les réseaux d’anciens. Mieux connaître l’école vous aidera dans votre choix. Les anciens élèves sont les mieux placés pour vous en parler, mais aussi pour vous donner des conseils en tous genres.

��Combien de concours passer ?

• Faites des choix. Il serait à la fois inutile, coûteux et contreproductif de passer trop de concours. Plus vous choisirez d’écoles, plus vous aurez d’épreuves, notam-ment à l’oral, puisqu’elles diffèrent selon les écoles. En enchaînant concours sur concours, vous risquez d’être moins performant.

• Sachez évaluer vos forces. Pour mieux faire le tri dans les concours et savoir quelles écoles viser, dé-terminez d’abord votre potentiel.��Vos enseignants peuvent vous aider dans ces choix

stratégiques. Si vous hésitez, faites-leur part de vos doutes.

Insertion professionnelle : des chiffres rassurants !81 %, c’est le taux d’emploi des diplômés 2007 des écoles de commerce.

84 % c’est leur taux d’insertion profession-nelle.

Leur salaire médian est de 30 300 € par an.

Source : APEC-les jeunes diplômés de 2007

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Bien avant les concours, il faut prendre le temps de réfl échir à son avenir profes-

sionnel et à ses objectifs. Au moment des inscriptions, élargissez au maximum votre palette d’écoles afi n de pouvoir choisir, lors des oraux, celle qui vous correspond vrai-ment. L’appartenance d’une école à la CGE (Conférence des Grandes Ecoles) est un gage de qualité. Ensuite, chacune a sa pédagogie et ses spécifi cités...

Claude RIAHIDirecteur de l’ISC - Paris

Réfl échir à son orientation en amont des concours

Guid’Formation / Edition 2008-2009 5

��Questions/Réponses

��Comment tenir le rythme de la prépa ?

• Gérez la quantité de travail. Les classes prépara-toires impliquent deux ans de travail acharné, à la fois en cours et à la maison. Les heures de cours sont nombreuses, le travail personnel est conséquent. La prépa est aussi un moyen de tester votre motivation et votre ténacité. Vous devez vous montrer capable de tenir bon sur la longueur et, en bout de course, d’affronter les concours. Apprenez à planifi er votre travail.

��Plus que jamais, vous devez travailler toutes les ma-tières régulièrement.

• Adoptez une bonne hygiène de vie. Parce que la prépa suppose de l’endurance, vous devez être atten-tif à votre hygiène de vie : faites régulièrement du sport (les cours d’EPS sont généralement facultatifs mais recommandés), apprenez à gérer votre sommeil, et aménagez-vous des temps de loisirs.

� ��Nombreux sont les candidats qui arrivent trop fati-gués aux concours et qui ne tiennent pas le choc, physiquement et nerveusement.

• Travaillez en équipe. Il ne s’agit pas de se disperser mais travailler à deux permet de tenir le rythme, et de s’entraîner à reformuler les informations.

� ��Ne vous coupez pas de vos camarades : ne les considérez pas comme des concurrents mais com-me des alliés !

• Ne vous découragez pas trop vite. La prépa est une montée en régime. Il peut vous falloir un temps d’adaptation.

��Et en cas d’échec ? Il existe des conventions entre prépa et universités qui vous permettent de faire valoir des équivalences. Depuis mai dernier, les CPGE sont offi ciellement intégrées dans le LMD : le chef d’établissement doit délivrer à l’issue de cha-que année d’études, une attestation descriptive du parcours de formation suivi par l’étudiant. Cette at-testation sera établie sur la base d’une grille natio-nale de référence (encore à paraître) et permet l’oc-troi de 60 crédits européens (ECTS) pour la première année, et de 120 crédits pour le parcours complet.

Les khôlles (ou colles)

Les khôlles sont des interrogations orales (2 à 3 par semaine), d’une vingtaine de mi-

nutes (et autant de préparation), dans toutes les disciplines. En langues, il s’agit souvent d’un commentaire d’articles, en culture géné-rale et économie, d’un oral traditionnel avec préparation d’un sujet puis exposé (cassette ou audiovisuel) ; en maths, d’exercices pra-tiques au tableau. Les khôlles peuvent être l’occasion de demander un conseil ou une ex-plication au professeur.

On appelle bizuths les 1re année, carrés les 2ème année et cubes les redoublants de 2ème

année.


��Les années prépas

La prépa, mode d’emploi

Les grandes écoles de commerce recrutent sur concours après les prépas économiques et commerciales. Ces deux années de prépa vous demanderont beaucoup d’investissement, car quel que soit votre niveau, le travail est la clé du succès.

Les classes préparatoires permettent d’acquérir à la fois des méthodes, de la rigueur, une grande capacité de travail et d’organisation. Les enseignements de culture générale développent la capacité de réfl exion ; les ma-thématiques, la rigueur, le raisonnement et l’analyse. L’histoire et géographie économiques donne des outils de compréhension du monde contemporain. Quant aux langues, ne les négligez pas : elles peuvent aussi faire la différence.

��Vous devrez faire preuve d’une résistance au stress et à la compétition, indispensables pour les concours.

Recrutement : Les prépas économiques et commercia-les recrutent environ 42 % de bacs ES, 50 % de bacs S, 8 % de bacs technologiques, et quelques rares élèves de L spécialité mathématiques, répartis dans les op-tions technologiques (STG), scientifi ques (S) et écono-miques (95 % de ES et quelques L et S).

Type d’enseignement : Classes d’une quarantaine d’élèves, situées au sein du lycée. Il s’agit d’une forma-tion pluridisciplinaire, dans la continuité avec le lycée. Chaque discipline est assurée par un professeur uni-que, que ce soit pour le cours magistral ou les travaux dirigés de mathématiques.

Les matières : Analyse économique et historique des sociétés contemporaines, histoire et géographie éco-nomiques, économie, mathématiques (un quart des coeffi cients), culture générale, langues vivantes 1 et 2, techniques de gestion et informatique, droit.

Emploi du temps : Environ 35 heures de cours hebdo-madaires, ainsi que 4 heures de devoir sur table (DST) et 1 heure de khôlle.

��Il ne faut pas oublier la charge de travail personnel à faire le soir et le week-end : compter environ 23 heu-res par semaine, en moyenne.

58 heures, c’est le temps de travail heb-domadaire moyen, en prépa (source : OVE, 2007).

Bien vivre ses études

> financer vos études > vous loger> protéger votre santé > profiter de votre statut d'étudiant

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> Demandez le programme !• 1ère année : 31 semaines de cours, ponctuées par 3

concours blancs (avant Noël, après février et courant mai).

Programme : - histoire et géographie économiques : les mutations

de l’économie mondiale du début du XXème siècle aux années 1970, et la mondialisation (genèse, ac-teurs et enjeux).

- mathématiques : algèbre et combinatoires, algè-bre linéaire, fonction de deux variables, fonctions élémentaires sur les suites et les séries, fonctions réelles d’une variable réelle, calcul différentiel et intégral, probabilités, éléments d’algorithmiques.

- culture générale : 9 notions à connaître qui vont de l’héritage de la pensée grecque et latine au droit et l’État moderne, en passant par quelques grands courants artistiques et esthétiques depuis la Re-naissance.

- économie : programme différent, selon que vous êtes en voie scientifi que, économique ou technolo-gique.

• 2ème année : 23 semaines de cours, 2 concours blancs (avant Noël, après février).

Programme : - histoire et géographie économiques : géodynami-

que continentale de l’Europe, de l’Afrique, du proche et moyen Orient et géodynamique continentale de l’Amérique et de l’Asie.

- mathématiques : algèbre linéaire, complément sur les suites et les séries, calcul intégral, fonctions numériques de variables réelles, probabilités, élé-ments d’algorithmiques.

- culture générale : une notion défi nie chaque année par la direction des concours (en 2007, il s’agissait de la science ; en 2008, c’est l’action).

- économie : programme différent selon que vous êtes en voie scientifi que, économique ou technolo-gique.

��Pour le détail complet des programmes : www.prepa-hec.org

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…Ne faites pas

d’impasse sur une matière ! Travaillez

régulièrement tout au long de l’année.

Isabelle WAQUETVice-présidente d’APHEC (Association des professeurs de classes préparatoi-res économiques et commerciales).

Ne vous limitez pasaux écoles réputées !

Passer tous les concours coûterait cher et ne servirait à rien. Le mieux est de tenter

une grande école, des moyennes et une pe-tite. En général, les élèves de prépa en choi-sissent une dizaine. Il ne faut pas se limiter aux Parisiennes, la terre ne s’arrêtera pas de tourner si vous n’avez pas HEC ! Vous aurez autant de débouchés avec d’autres écoles.



> Quelques conseils de méthode

• Dès la première année, il faut penser à se rensei-gner sur les différents concours et écoles. Assistez aux conférences que les écoles viennent faire dans votre prépa, interrogez les anciens élèves, demandez des conseils à vos professeurs et consultez attenti-vement les brochures des écoles, qui vous donneront une idée de leurs spécialités.

• Apprendre ses cours (qui sont censés fournir l’es-sentiel) de façon sélective et hiérarchisée : certaines

choses sont indispensables, d’autres moins. Il faut rete-nir les défi nitions en maths, le plan du cours et ses mots-clés en économie, les dates importantes en histoire, être capable de reformuler les raisonnements.

� ��N’hésitez pas à participer et à aller au tableau : c’est très formateur.

• Refaire les exercices de maths avant les devoirs sur table (DST). Reprendre systématiquement les DST que vous avez ratés.

• S’informer. Lisez la presse régulièrement, regardez les informations... Autant d’exemples, de matière à

réfl exion qui peuvent vous servir lors des épreuves.� ��Lire la presse étrangère permet à la fois de tra-

vailler ses langues... et de développer son esprit critique. Attention, cela ne vous dispensera pas d’apprendre du vocabulaire par cœur.

• Faire des plans, étayer chaque idée avec des exemples précis et concrets.

• Ne pas transiger avec l’orthographe : relisez-vous, soyez rigoureux. Une copie propre donnera une im-pression favorable !

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connaître les codes> Un stage dans les règles> Un stage à l’étranger

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N’attendez pas les écrits pour vous renseigner sur les écoles. Y réfl échir en

amont vous permettra aussi d’affi ner votre projet

professionnel et d’être plus effi cace à l’oral.

Vous devez en priorité regarder l’attrac-tivité et la sélectivité de l’école. Par

le biais des classements, vous vous ferez une idée de son rayonnement, de son in-ternationalisation, de la qualité du campus et des professeurs. Les meilleures écoles sont celles qui attirent les élèves qui ont eu les meilleures notes aux concours... Mais essayez de choisir surtout l’école qui vous

Jean-Pierre HELFERPrésident de la CEFDG (Commission d’Evaluation des Formations et Diplômes de Gestion) et Directeur d’Audencia-Nantes

Comment faire le bon choix ?


Des clés pour choisir son école

Il existe une quarantaine d’écoles de commerce qui recrutent après prépa, mais toutes ne se valent pas. Il n’est donc pas toujours facile de s’y retrouver. Voici quelques clés pour vous aider à faire votre choix : celui-ci ne doit pas s’appuyer uniquement sur la notoriété des écoles mais aussi -et surtout- sur votre projet personnel.

Pour juger de la qualité d’un établissement, il faut pren-dre en compte toute une série de critères : le niveau de recrutement, la notoriété de l’établissement, la durée

des stages, l’impor-tance donnée à l’in-ternational dans le cursus, l’insertion professionnel le , etc. Même si tou-tes ces données ne sont pas toujours accessibles pour toutes les écoles, n’hésitez pas à fu-

reter sur Internet ou à poser des questions aux écoles directement, à l’occasion d’un salon, par exemple.

��Connaître les spécifi cités de l’école

• Des spécialisations possibles. Même si les écoles de commerce sont souvent plutôt généralistes, cer-taines proposent des spécialisations à partir de la deuxième ou troisième année. Cette spécialisation peut prendre différents aspects : options ou masters, année à l’étranger, doubles diplômes, missions. Vous devez tenir compte de ce que l’école peut vous appor-ter pour construire votre projet personnel.

� ��Par exemple,Euromed Marseille met l’accent sur le développement durable, ou encore le CERAM sur la création d’entreprise.

• Des études permettent d’évaluer l’employabilité des jeunes diplômés : les cabinets d’audit, les sociétés d’études et de conseil, le secteur de la banque et de l’assurance ont recruté plus de 2 diplômés des écoles de management de la CGE, sur 5. La part du commer-ce et de la distribution diminue peu à peu.

• Tenez compte aussi des initiatives des écoles et de leurs innovations pédagogiques : certaines sont

plus innovantes que d’autres. Explorez leurs sites !

��Rendez-vous sur www.futurformation.com, le portail des écoles avec leurs plaquettes interactives.

��Tenir compte de l’insertion professionnelle

• La rapidité de l’insertion professionnelle après le diplôme, le niveau de salaire à l’embauche, la visibi-lité du réseau d’anciens sont également des critères à prendre en compte.

• La renommée de l’école joue sur les salaires. Après trois ans d’activité professionnelle, les jeunes diplô-més des écoles les plus réputées peuvent ainsi espé-rer un salaire annuel brut qui va de 30 000 à 40 000 euros annuels.

��Pour en savoir plus, consulter l’enquête d’insertion professionnelle 2008 de la Conférence des Grandes Ecoles.

��Les écoles

Les écoles préférées des étudiants, en 2007

D’après les données du Système d’Intégration des Grandes Écoles de Management (SIGEM),

qui gère les admissions pour les concours BCE et Écricome, les 20 écoles les plus choisies par les étudiants à l’issue des concours 2007 BCE et Écricome, sont : HEC, ESSEC, ESCP-EAP, EM-Lyon, EDHEC, Audencia, Grenoble École de management, ESC Rouen, Reims Management School, ESC Tou-louse, Bordeaux École de management, EUROMED, ESC Lille, ESCEM Tours-Poitiers, INT Management, ICN Nancy, CERAM Sophia Antipolis, IECS Stras-bourg, ESC Rennes, ISC Paris.

L’environnement économique et les partenariats industriels d’une école comptent aussi beaucoup dans le choix.


��Les écoles

��Évaluer les relations avec les entreprises

• Les stages. Ils permettent d’acquérir de l’expérience professionnelle et de se frotter à la réalité du monde des entreprises. Si toutes les écoles en proposent, ils sont plus ou moins longs selon les établissements. Il est possible de faire un stage en année de césure : cette coupure, facultative ou non (selon les établis-sements), entre les 2ème et 3ème années (parfois avant), est l’occasion d’avoir une première expérience professionnelle signifi cative, avant de se spécialiser.� ��À l’ESC Montpellier, par exemple, les élèves ont 20

à 28 mois de stage durant leur cursus, dont une année en entreprise.

• L’apprentissage. De nombreuses écoles de com-merce se sont mises à l’apprentissage ou à l’alter-nance. Certaines proposent l’ensemble de leur cursus en alternance, d’autres ne le font qu’à partir de la deuxième ou troisième année.� ��L’ESSEC a, la première, développé ce type de for-

mation. La plupart des écoles de commerce propo-sent désormais un cursus par apprentissage.

��Choisir selon la localisation• Parisiennes ou provinciales ? Les premières sont

généralement très bien placées dans les classements

et jouissent d’une réputation fermement établie auprès des entreprises... C’est cependant une école de province que rejoignent la très grande majorité des candidats, sans que cela nuise à leur insertion professionnelle, heureusement !� ��Le cadre de vie, les infrastructures, le TGV notam-

ment, jouent aussi leur rôle dans le choix d’une école.

• Le positionnement régional : l’environnement éco-nomique et les partenariats in-dustriels d’une école comptent aussi beaucoup dans le choix. Le cursus ainsi que vos stages et futures pers-pectives d’emploi en dépendent.� ��Reims management school, par exemple, a créé

une chaire en management du champagne. L’ESC Lille propose des formations liées à la vente par correspondance, très bien implantée dans le Nord.

�Se repérer dans les labels• Le visa. La reconnaissance d’une école par l’État est

accordée après une enquête sur la qualité du corps enseignant, le contenu des enseignements et les outils pédagogiques. Si l’école est reconnue, elle peut notamment recevoir des subventions publiques et accueillir des étudiants boursiers. Seules les écoles reconnues peuvent demander le visa de leurs diplô-mes par l’État, comme gage supplémentaire de qua-lité.

• La CGE. La Conférence des Grandes Ecoles regroupe 34 écoles de commerce, sous le nom Chapître des grandes écoles. Leur label ? Les Mastères spécialisés, des formations post-diplôme, très sélectives, qu’elles sont les seules à pouvoir délivrer. Ces formations durent au moins deux semestres, et incluent des enseignements théoriques, un travail personnel de recherche en entreprise et la soutenance d’une thèse professionnelle.��Pour en savoir plus : www.cge.asso.fr

+ 5 % C’est l’augmentation des inscriptions des élèves de classes préparatoires aux écoles de la BCE, en 2007.

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Avant les concours, décortiquez les pla-quettes et les sites des écoles : program-

mes, spécialités… Examinez si les écoles ont un diplôme visé et un grade de master. Vous pouvez consulter les palmarès mais ils ne vous donneront qu’une représentation par-tielle de l’école. Pendant les oraux, mettez de côté vos préjugés et essayez de vous pro-jeter dans l’école. Choisissez celle où vous vous sentez le mieux.

Andrès ATENZAPrésident du chapître des écoles de management de la CGE et Directeur Général de l’ESC Clermont

Choisissez l’école où vous vous sentez le mieux


��Les écoles

• Les labels internationaux. Ils apportent des garan-ties de qualité, en attestant que la formation suivie est en adéquation avec les besoins des entreprises nationales et internationales, et que tout le process (du recrutement au diplôme) est sérieux. Ils permet-tent aussi aux écoles de se positionner sur le plan international.

Le plus prestigieux est le label américain de l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Busi-ness), qui évalue les moyens mis en œuvre par l’école pour tenir ses engagements. Au niveau européen, EQUIS (European Quality Improvement System), qui insiste davantage sur la recherche, regroupe des éta-blissements de très bon niveau. L’AMBA, également européen, est accordé aux programmes MBA.

• Le grade de master. Les écoles de commerce ont dé-sormais une commission d’habilitation et d’évaluation de leurs formations, à l’instar de la CTI pour les écoles d’ingénieurs. Cette commission a attribué le grade de master (bac +5) à 34 d’entre elles. Les trois prin-cipaux critères sont : l’ouverture internationale, le poids du corps professoral permanent et la capacité des équipes de professeurs à faire de la recherche.

�Anticiper les coûts• Les frais de scolarité varient entre 5 000 et 8 500

euros par an, auxquels il faut ajouter des frais an-nexes tels que le logement ou le transport.

Les moins chères : L’IECS rattachée à l’université de Strasbourg, l’ISCID à celle de Littoral-Côte d’Opale et l’ICN à celle de Nancy ont des frais un peu moins élevés (de 4 500 à 5 000 euros). Seule l’INT Mana-gement d’Évry, école publique, propose des frais de scolarité inférieurs à 1 000 euros par an.

• Ne vous censurez pas ! Les frais de scolarité ne doi-vent pas trop infl uencer le choix de l’école : si vous décrochez une école cotée, vous pourrez toujours sol-liciter auprès des banques un prêt spécifi que. Si vous êtes pris dans une école reconnue par l’État, vous pouvez également bénéfi cier d’aides, en fonction de vos revenus et ceux de vos parents : les prêts sur

l’honneur (national ou départemental) ou les bourses (bourse nationale de l’enseignement supérieur sur critères sociaux ou bourses régionales, départemen-tales et municipales). Renseignez-vous auprès de votre CROUS.��Pour en savoir plus, consulter le Hors-Série Guid’Forma-

tion Bien vivre ses études sur www.guidformation.com

��Consulter les classementsLa presse produit régulièrement des palmarès des écoles de commerce, à partir de données recueillies à la fois auprès des entreprises (salaires à l’embauche, salaires à 3 ans, niveau d’exigence du recrutement) et auprès des écoles (nombre des articles de recherche publiés dans les revues de gestion, richesse documen-taire, nombre de doubles diplômés). S’ils ne sont pas toujours consensuels et peuvent être contestés par les établissements, ces classements méritent néanmoins qu’on les consulte !• Palmarès Le Point : www.lepoint.fr• Palmarès L’Express : www.lexpress.fr• Palmarès du Nouvel Économiste des meilleures

écoles de gestion.• Le classement des masters de management du

Financial Times : www.ft.com

Le calendrier des concours 2009• Écricome- Inscriptions : du 7 janvier (14 heures) au 21 janvier

(18 h)- Épreuves écrites : les 15, 16 et 17 mai- Résultats d’admissibilité : le 15 juin (16 h)- Oraux (langues et entretiens) : du 22 juin au 13 juillet- Résultats d’admission : le 17 juillet (16 h)

• BCE- Inscriptions : du 5 décembre au 15 janvier- Épreuves écrites : les 27, 28, 29 et 30 avril, 4, 5, 6,

7, 11, 12 et 13 mai (selon les options)- Résultats d’admissibilité : les 11, 12 et 15 juin- Oraux (langues et entretiens) : du 15 juin au 8

juillet- Résultats d’admission : à partir du 10 juillet

Les différentes écoles piochent

dans les épreuves et leur attribuent

le coeffi cient de leur choix.


��Concours

��La banque commune d’épreuves (BCE)• Le principe. 32 écoles de commerce ont adopté

cette banque d’épreuves en concours ou en banque de notes pour recruter leurs élèves. Gérée par la CCIP

(Chambre de Commerce et d’In-dustrie de Paris), elle regroupe les écoles parisiennes les plus cotées mais aussi des ESC de province. Les sujets sont conçus et corrigés par six écoles. Les épreuves de culture générale et de langue sont les mêmes pour tous les candidats, quelle que

soit la spécialité de leur prépa. Certaines épreuves, en revanche, s’adaptent à leur spécialisation.

Les écrits ont lieu dans une trentaine d’établisse-ments répartis dans toute la France. Les différentes écoles piochent dans les épreuves et leur attribuent le coeffi cient de leur choix. Chacune choisit le seuil d’admissibilité et organise ses propres oraux.

� ��Vous pouvez consulter la liste des centres d’exa-mens (écrits) sur www.prepa-hec.org.

• Les écoles concernées : HEC, ESSEC, Audencia, ESCP-EAP, EDHEC, EM Lyon, CERAM Sophia Antipolis, École de Management de Normandie, ESC Amiens, ESC Brest, ESC Chambéry, ESC Clermont, ESC Dijon, ESC Grenoble, ESC La Rochelle, ESC Lille, ESC Mont-pellier, ESC Pau, ESC Rennes, ESC Saint-Étienne, ESC Troyes, École de Management de Strasbourg, INT Ma-nagement. L’ESCEM Tours-Poitiers quitte la BCE pour Ecricome en 2008.

• Les écoles en banque de notes : Certaines écoles utilisent également les épreuves du concours de la CCIP, auxquelles elles appliquent ensuite leur propre barème. C’est le cas de l’ENASS, l’ENSAE, l’ESM de Saint-Cyr, l’INSEEC Paris et Bordeaux, l’ISC, l’ISCID et NEGOSUP.

• Les modalités d’inscription. L’inscription se fait obligatoirement par Internet, sur le site www.concours-bce.com, de décembre 2008 à la mi-janvier 2009, en 2 étapes :

- jusque mi-janvier : saisie et validation des don-nées. Lors de l’inscription et quels que soient les concours, le candidat reçoit un numéro d’inscription unique et un code signature confi dentiel pour ac-céder au serveur. Une fois les données remplies et l’inscription validée, il peut faire des modifi cations jusqu’au 15 janvier.

- de mi-janvier à fi n janvier : paiement et édition du bordereau pièces justifi catives, puis envoi des pièces justifi catives. Après avoir imprimé le bordereau, le candidat est orienté vers un site sécu-risé pour effectuer le paiement. Il envoie ensuite le bordereau signé, accompagné de toutes les pièces justifi catives, par l’intermédiaire de sa classe prépa-ratoire, à l’adresse suivante : Direction des Admis-sions et Concours – Concours BCE -BP 31– 78354 Jouy-en-Josas cedex.

Pour faciliter le recrutement des élèves, les grandes écoles ont mis en place des concours communs. Ce qui limite les déplacements, du moins pendant la période des écrits, les oraux restant généralement organisés par les écoles elles-mêmes. Le plus gros des sélections se fait par l’intermédiaire des concours communs BCE et Écricome. Quelques écoles conçoivent leur propre concours.

Concours : un vrai marathon

4,7 % c’est la baisse des tarifs d’inscription aux concours de la BCE, entre 2006 et 2007, pour les candidats non boursiers (et -11,6 % pour les boursiers).

Soyez très réactifs !

Attention, pour les oraux, il faut être réactif pour l’inscription sur internet. Le premier arrivé, le

premier servi pour le choix des dates. C’est d’autant plus important lorsque l’on a plusieurs oraux à passer, dans des villes différentes. Il faut arriver à jongler en-tre les dates et les heures.

Le c

onse

il de

…

Ne vous travestissez pas derrière un per-sonnage fabriqué ou une présentation

toute faite. Cultivez votre personnalité et exprimez-la telle qu’elle est avec ses quali-tés et ses défauts, en essayant de rendre le tout intéressant. Le jury a besoin de savoir qui vous êtes, quel est votre projet de vie et votre vision des choses. Démystifi ez l’oral : le but est de vous découvrir, pas de vous démolir.

Michel ROLLINDirecteur de l’ESC Saint-Étienne

Soyez vous-même lors de l’entretien

Les oraux comportent systématiquement des

épreuves de langues LV1 et LV2, ainsi qu’un

entretien de motivation.


��Concours

• Les épreuves d’admissibilité et d’admission Épreuves d’admissibilité : les écrits, en avril-mai.

Ils sont éliminatoires. Selon les écoles, les épreuves comportent une dissertation de culture générale, une analyse économique et historique, une synthèse ou contraction de texte, des épreuves de LV1 et de LV2 (versions et thèmes).

Il y a aussi des épreuves spécifi ques : - option économique : mathématiques, analyse éco-

nomique et historique ; - option scientifi que : mathématiques, histoire et

géographie économiques ; - option technologique : mathématiques, technique

de gestion, informatique et droit, économie ; - option lettres et sciences humaines : dissertation

littéraire, dissertation philosophique, épreuve à op-tion, histoire.

��Après avoir passé les premières épreuves, vous pourrez accéder à vos résultats d’admissibilité sur le site de l’école de votre choix. Toutes les notes des épreuves écrites seront disponibles dans votre dossier personnel sur le site de la BCE.

Épreuves d’admission : les oraux, en juin-juillet. L’oral comporte systématiquement des épreuves de langues LV1 et LV2 (20 minutes de préparation, 20 minutes d’entretien), ainsi qu’un entretien de motiva-

tion. Ensuite, selon les options et les écoles, il peut y avoir en plus des épreuves de cultu-re générale, d’analyse économique, d’his-toire-géographie, de technique de gestion,

d’informatique, de droit, d’économie, de mathémati-ques, d’aptitude logique ou de sciences sociales. Il s’agit en général d’un exposé à partir d’une question

ou d’une notion puis d’une discussion avec les exami-nateurs.

• Le coût du concours. Il dépend de la notoriété de l’école visée. Il va de 142 euros pour l’ESSEC à 60 euros pour l’ESC Brest (tarifs 2007). Il faut compter plus de 80 euros en moyenne.

À noter : les ESC Clermont, Dijon et Rennes, par exemple, proposent une offre groupée, en matière d’inscription (100 euros pour les 3, au lieu de 80 euros par école). C’est le cas également des ESC Chambéry,La Rochelle, Saint-Étienne et Troyes (une école 60 euros, jusqu’à 4 pour 130 euros, tarifs 2007).� ��Pour en savoir plus : www.concours-bce.com Les

différents tarifs sont indiqués dans concours prépa, puis droits d’inscription.

��Écricome• Le principe. C’est la banque commune de six écoles

de management généralistes. Cette fois encore, les épreuves écrites sont les mêmes pour toutes les écoles. Seuls les coeffi cients et barres d’admissibilité changent, selon les écoles. À l’oral, l’épreuve de lan-gue est commune, mais l’entretien spécifi que à cha-

Boursiers : des frais d’inscription réduits• Banque Écricome : les boursiers sont exonérés de 50 % des droits d’inscription en fournissant une attestation avant le début des épreuves écrites. L’inscription coûte 350 euros pour une école, 370 euros pour 2, 390 euros pour 3,... et 450 euros pour les 6 écoles.• Banque BCE (CCIP) : les boursiers paient la moi-tié des droits ; ils sont exonérés de ces frais pour 5 d’entre elles (ESC Troyes, Chambéry, La Rochelle, Amiens, Saint-Étienne).

80% c’est le nombre de candidats issus de classes préparatoires qui ont été affectés dans l’une des écoles des concours Sigem (épreuves BCE et Ecricome). En 2007, 6 461 élèves ont ob-tenu une place sur 8 126.

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uest

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à…

Mettez toutes les chances de votre côté. Depuis l’année dernière, nous avons

ouvert notre concours d’admission parallèle ESG aux étudiants de prépa. Si vous êtes ad-missible à une école, que vous ayez raté ou non l’admission, vous pouvez passer notre concours de quatre épreuves en avril, mai, juillet ou septembre, pour rentrer en troi-sième année de l’école.

Pierre AZOULAYPrésident de Paris Graduate School of Management (PGSM)

Que faire en cas d’échec ?


��Concours

que établissement. Ces concours peuvent être passés dans plusieurs centres d’examens en France.

• Les écoles concernées. BEM- Bordeaux Manage-ment School, Euromed Marseille École de Mana-gement, ICN Business School, Reims Management School, l’ESC Rouen et l’ESCEM Tours-Poitiers.

• Les modalités d’inscription. L’inscription s’effectue entre la date d’ouverture (janvier) et la date de clô-ture sur le site www.ecricome.org.

Attention, le candidat doit disposer d’une adresse mail personnelle valide durant toute la période du concours. Vous recevrez un numéro d’inscription unique et un mot de passe confi dentiel, nécessaires pour tout accès au serveur. L’inscription sera validée une fois effectué le règlement en ligne. Les boursiers et les étudiants bénéfi ciant d’un tiers-temps supplé-mentaire doivent ensuite envoyer les pièces justi-fi catives à Écricome, 23 rue Louis Le Grand, 75002 Paris.� ��Aucune modifi cation ne peut être effectuée après

la date de clôture des inscriptions (à l’exception d’un changement des coordonnées).

• Les épreuves d’admissibilité et d’admission Épreuves d’admissibilité : les écrits, en avril.

Selon les fi lières, l’écrit comporte des épreuves en mathématiques, culture générale, résumé de texte, analyse économique et historique des sociétés

contemporaines, LV1 (2 essais aux choix) et LV2 (an-glais obligatoire, pour l’une des deux).� ��Pour en savoir plus : les programmes du concours

sont disponibles sur le site www.ecricome.org. Les candidats admissibles, à l’issue des épreuves écri-

tes, doivent alors prendre rendez-vous aux épreuves d’admission sur le site.

Épreuves d’admission : les oraux, en juin-juillet. L’oral comporte une épreuve d’anglais, une épreuve d’une autre langue vivante (ou de latin). Vous aurez, chaque fois, 20 minutes de préparation et 20 minu-tes d’entretien. L’évaluation se fonde à la fois sur la compréhension de la langue, l’expression (la fl uidité et la capacité à communiquer), la richesse et la préci-sion du vocabulaire, ainsi que celle de la syntaxe.

La troisième épreuve orale est un entretien de 30 à 45 minutes, spécifi que à chaque école et dont vous trouverez les modalités sur son site.

• Le coût du concours. 350 euros pour une inscription, 20 euros par école supplémentaire du même groupe (donc 450 euros pour les 6 écoles).��Pour en savoir plus : www.ecricome.org

��Les autres concoursIl existe également des écoles qui organisent leurs pro-pres concours : l’ESCO Wesford, l’ESCI Fontainebleau, l’ESCT Toulon, l’ESG Paris, l’ESM-A Marne-la-Vallée, l’ISG Paris et l’ESLSCA recrutent toutes leurs étudiants sur concours, après une prépa HEC. Chacune conçoit cepen-dant ses propres sujets et son système de notation.


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3,3 % des diplômés de la promo 2007 des grandes écoles de commerce de la CGE poursui-vent leurs études en 2008. Après une école ma-nagement, 28 % choisissent un master, 27 % un master spécialisé, 5 % un MBA, 2 % un master of sciences, 2 % une thèse académique et 35 % autre chose (dont des formations à l’étranger).

Il faudra d’abord vous poser cette question

essentielle : recherchez-vous à vous spécialiser

ou à acquérir une double compétence ?


Poursuivre après l’école ?

Certains, au sortir de l’école, envisagent de poursuivre en mastère spécialisé, master professionnel ou encore en MBA (master of business administration). Attention, il ne s’agit pas d’empiler les diplômes pour le principe : ne choisissez une formation complémentaire que si elle ajoute une valeur ajoutée à votre CV.

Vous avez une idée précise du secteur où vous voulez travailler, et vous savez que votre cursus généraliste d’école de commerce ne sera pas suffi sant. Dans ce cas, une formation complémen-taire devient quasiment in-dispensable. Pour la choisir, il faudra d’abord vous poser

cette question essentielle : recherchez-vous à vous spécialiser ou à acquérir une double compétence ?

Pour fi nancer votre troisième cycle, il existe plu-sieurs moyens. Vous pouvez faire une demande d’al-location d’études auprès de votre CROUS. Attribuée

aux étudiants en diffi -culté, elle ne concerne que la première année d’un troisième cycle. Il existe aussi les bourses sur critères universitaires (en-viron 4 000 euros). Elles sont accordées aux meilleurs élèves

qui s’inscrivent en master professionnel ou recherche. Si vous n’avez pas été retenu, vous pouvez faire une demande pour une bourse sur critères sociaux. Par ailleurs, un peu plus d’un tiers des thésards reçoivent l’allocation recherche (1 500 euros brut mensuel).

��Les Mastères spécialisés (MS)

• C’est quoi exactement ? Une formation pointue, post-diplôme, labellisée par la Conférence des Gran-des Ecoles. De deux semestres au minimum, elle vise à acquérir une compétence reconnue par les entrepri-ses, une expertise professionnelle.

• Pour quoi faire ? Approfondir un domaine particu-lier, les systèmes d’information ou le management de l’édition, par exemple. D’autres MS, spécialisés dans les sciences de l’ingénieur, peuvent vous offrir une double compétence. Les MS les mieux cotés consti-tuent un vrai plus en matière d’insertion profession-nelle.

• Comment cela se passe-t-il ? La formation com-prend des enseignements théoriques, des travaux di-rigés et de groupe (350 heures minimum), un travail personnel de recherche de quatre à six mois en entre-prise et la soutenance d’une thèse professionnelle.

• Coût : environ 8 000 euros

��Pour en savoir plus : la liste des mastères de la CGE et son enquête d’insertion 2007

��Le master professionnel• C’est quoi exactement ? Un enseignement profes-

sionnalisé et tourné vers l’entreprise, proposé par l’université. Le master professionnel est très apprécié des étudiants et du monde du travail.

• Pour quoi faire ? Être spécialisé et préparé à un métier en un an. Un peu comme avec les mastères spécialisés, mais à l’université.

• Comment cela se passe-t-il ? La formation com-porte des enseignements théoriques et pratiques dispensés par des professionnels, ainsi qu’un stage en entreprise pour mettre en pratique ses connais-sances théoriques.

• Coût : il est variable (à l’inscription à l’université s’ajoutent parfois des frais annexes).

��Et après ?


��Et après ?

��Le MBA : un cas un peu à part

• C’est quoi exactement ? Le Master of business administration est un programme qui apporte des connaissances complémentaires en management et permet de gagner en compétence et en responsabi-lité. Pendant généraliste du mastère spécialisé, il est considéré comme le nec plus ultra des troisièmes cy-cles. C’est un diplôme de post-expérience.

• Pour quoi faire ? Suivre un cursus de haut niveau et obtenir un diplôme reconnu internationalement, qui ouvre les portes des grands groupes. Le MBA permet d’accéder à de très hautes fonctions managériales dans les secteurs des affaires et de l’industrie.

• Comment cela se passe-t-il ? La formation dure 1 à 2 ans. Les cours sont, la plupart du temps, en anglais et les étudiants de toutes les nationalités. Certains masters MBA sont accessibles après un bac + 4 ou + 5, mais la majorité des écoles exige un minimum de 3 à 5 ans d’expérience professionnelle. Il est donc plutôt réservé aux jeunes cadres qui veulent évoluer et donner une impulsion à leur carrière.

• Coût : entre 10 000 et 25 000 euros en France.

��Pour en savoir plus : La liste des MBA en France sur www.edufrance.fr, le classement des MBA par le Fi-nancial Times ; le site de l’AMBAS (www.mbaworld.com)

��Le doctorat• C’est quoi exactement ? La suite logique du mas-

ter recherche et le grade universitaire le plus élevé. Il correspond à un travail de recherche très pointu. Il n’est délivré qu’à l’université.

• Pour quoi faire ? Il sanctionne la valeur d’un travail de recherche et l’approfondissement des connaissan-ces dans un domaine très pointu. C’est un passage obligé pour obtenir un poste de chercheur ou de pro-fesseur à l’université.

• Comment cela se passe-t-il ? Après un master re-cherche, les doctorants préparent pendant 3 ans une thèse, qu’ils doivent ensuite soutenir devant un jury qui validera ou non le diplôme.

Choisir votre future école

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les plaquettes intéractives des écoles

et leurs vidéos de présentation

1 sur 2... 1 diplômé d’école de commerce sur 2 préfère commencer sa carrière à l’étranger, selon une enquête TNS Sofres de mai 2007.

��Conclusion

Vous avez choisi une formation aux débouchés nombreux et aux taux d’insertion professionnelle excellents. Soyez donc sans crainte pour l’avenir. Travaillez sereinement, affi nez votre projet et, surtout, relativisez les différents classements d’école. Ce sont de bons indicateurs mais rappelez-vous que tout ne se joue pas sur une marque.Retrouvez ce guide en version interactive sur www.guidformation.com et accédez ainsi aux sites internet et aux documents ressources…

Bonne chance pour les concours !


L’étranger, un passage obligé ?

Selon votre projet professionnel, vous pouvez aussi envisager une formation à l’étranger pour compléter votre profi l. Une expérience internationale est parfois même indispensable, pour faire de la fi nance à un haut niveau par exemple. Si le MBA est le diplôme international par excellence, il existe aussi d’autres façons de partir.

��Par un échange• En troisième année du cycle grande école : Toutes les écoles ont de nombreux partenariats internatio-naux et proposent des programmes d’échange, sou-vent autres qu’Erasmus. C’est d’ailleurs un des critères essentiels à vérifi er lors du choix de l’école. En général, ce sont les élèves de troisième année qui sont les plus concernés et qui peuvent partir faire un semestre ou une année à l’étranger, sans payer de frais d’inscription supplémentaires.

• En thèse : Si vous envisagez de faire un doctorat après votre école, ce qui est possible puisque certaines écoles permettent de passer le master 2 recherche en même temps que leur cursus, sachez qu’en partant en Erasmus pendant votre thèse, vous pourrez obtenir le label européen.

��Les Masters of science (MSc)• Un troisième cycle en anglais : Vous pouvez aussi opter pour un master of science, un diplôme spécia-lement conçu pour l’international : la majorité des étudiants sont étrangers de niveau bac + 3/ + 4. Il est néanmoins ouvert aux étudiants français, à condition d’être bilingues car les cours sont partiellement ou totalement en anglais. C’est une formation de haut ni-veau de compétence et de spécialisation.

• Comment cela se passe-t-il ? Les enseignements s’étalent sur trois semestres et sont complétés par un stage qui donne lieu à la soutenance d’une thèse professionnelle en recherche et développement. En général, la première année se déroule en France et la deuxième dans l’établissement partenaire. Vous aurez alors souvent le choix entre une mobilité académique diplômante et une mobilité professionnelle dans un grand groupe international.

• Coût : environ 10 000 euros.

�� Pour en savoir plus : Classement des meilleurs masters of science par le Financial Times.

��Et après ?

> L’essentiel pour décider de votre avenir...

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• ENASS - Ecole Nationale d’Assurances - La Défense 2ème de couverture

• ESC Amiens Picardie - Ecole Supérieure de Commerce 24

• ESC TOULOUSE - Toulouse Business School 25

• ISC - Paris 26 et 4ème de couverture

Des Grandes Ecoles se présententCes publi-fi ches sont présentées par ordre alphabétique et sont rédigées par les écoles sous leur entière responsabilité.

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Plus d’infos sur www.guidformation.com

Admissions en 2009� Public concerné : Prépa

� Concours : BCE� Nombre de places offertes : 90� Date du concours : Ecrit : du 27 avril au 13 mai 2009

Oral : du 15 juin au 4 juillet 2009� Inscriptions : www.concours-bce.com

Formation

� Durée : 3 ans

� Présentation de la formation : La formation de l’ESC Amiens est harmonieusement équilibrée entre acquisition des compétences et l’apprentissage des comportements adaptés à l’univers professionnel.

� Organisation des études et options :

La scolarité est organisée par filière (Science Politique, Internationale, Classique, Apprentissage). Les majeurespouvant être validées en 3ème année concernent le marketing, la finance et le leadership/ressources humaines.Elles s’accompagnent d’options qui sont :marketing opérationnel ; communicationet publicité ; développement internationaldes marchés ; audit et contrôle ;marchés financiers ; contrôle de gestion ; gestion des ressources humaines et sociales ; management.

� International : Plus de 250 universités partenaires, dans 25 pays. Programmes Socrates. Réseaux Crépuq et Isep. Doubles diplômes.Accompagnement personnalisé

� Apprentissage : Possible dès la 2nde année. (35 places en 2nde année, 80 en 3ème)

� Stages : Stage ouvrier d’un mois en 1ère année, stage généraliste de 3 mois en 2nde année et stage de spécialisation de 4 mois en 3ème année. Missions en entreprises pour un total de 13 mois en entreprise.

� Activités extra-scolaires : 17 associations d’étudiants sur le campus (Bureau Des Elèves, Sport, Cinéma, Arts, International, Humanitaire, …)

ESC Amiens Picardie(Ecole supérieure de Commerce Amiens Picardie)

Pour plus d’infosContact : Mélanie BONTANTTél � 03 22 82 26 36Fax � 03 22 82 24 13Mail � melanie-bontant@ supco-amiens.fr Web � www.supco-amiens.fr

i

ESC Amiens - Picardie � 18 place Saint-Michel

80038 Amiens cedex 1

L'école� Directeur : Roger DAVIS� Date de création : 1942� Statut : Association Loi 1901� Diplômes délivrés :

Diplôme de l’ESC Amiens (grade de Master)� Labels et visas :

Reconnue et visée par le Ministère de l’Education nationale. Grade de Master. Membre de la Conférence des Grandes Ecole et de l’European Foundation for Management Development.� Frais de scolarité :

6 700 € par an *� Financement des frais de

scolarité : * gratuité de la 1ère année pour les boursiers issus de prépa, bourses d’Etat, bourses départementales, régionales, prêt d’honneur, fonds de solidarité du Groupe Sup de Co Amiens Picardie, prêts bancaires, apprentissage.

Quelques chiffres� Nombre d'étudiants : 895� Nombre de diplômés

en 2008 : 200� Nombre d'enseignants :

+ de 150 permanents et vacataires� Nombre d'anciens élèves :

5 500� Salaire moyen annuel brut

des jeunes diplômés : 31 000 €

Principaux débouchés� Commerce/distribution : 26%��Communication/marketing : 18%��Conseil : 16%��Banque/assurance/finance : 15%��Audit : 8%��Ressources Humaines : 5%��Comptabilité/contrôle de

gestion : 4%��Autres : 8%

Journée Portes Ouvertes� A la demande

��Pour recevoir des infos, cliquez ici.24

Plus d’infos sur www.guidformation.com

Admissions en 2009� Public concerné : Etudiants en classe préparatoire scientifique,

économique et commerciale, littéraire ou technologique.

� Concours : Banque Commune d’Epreuves (BCE) � Nombre de places offertes : 390� Date du concours : - Epreuves Ecrites : du 27 avril au 13 mai 2009 - Epreuves Orales : entre le 16 juin et le 8 juillet 2009� Inscriptions : Du 5 décembre 2008 au 15 janvier 2009

L'école� Directeur : Hervé PASSERON� Date de création : 1903� Statut : Consulaire

� Diplôme délivré : Diplômevisé par le Ministère de l’Education National avec l’attribution du Grade Master

� Labels et visas :- EQUIS- AMBA- AACSB- Conférence des Grandes Ecoles

� Frais de scolarité : 8 000 €

� Financement des frais de scolarité : Bourse d’État, accompagnement à la recherche de financements bancaires, Bourse d’Etudes de la Fondation du Groupe ESC Toulouse sur critères académiques et sociaux.

Quelques chiffres� Nombre d'étudiants : 1 689

� Nombre de diplômés en 2007 : 519

� Nombre d'enseignants :80 professeurs permanents,50 professeurs affiliés,60 professeurs visitants,1300 professionnelsd’entreprise.

� Nombre d'anciens élèves : 11 000

� Salaire moyen annuel brut des jeunes diplômés :38 500 €

ESC Toulouse� 20, boulevard Lascrosses

BP 701031068 Toulouse Cedex 7

Formation� Durée : 3 ans

� Présentation de la formation :« Notre mission est de former les pilotes du changement, sélectionnés sur leur capacité d’action et d’inno-vation, porteurs de valeurs éthiques et humaines, conscients des enjeux globaux. Un dispositif particulière-ment riche est proposé au travers de multiples activités académiques, associatives et professionnelles. »

� Plus de 1500 parcours possibles : Découverte et analyse de l’entre-prise, entraînement à la prise de décisions composent le programme des 3 premiers semestres. Au-delà de ce tronc commun, chaque étu-diant trouvera, quelles que soient sa personnalité et ses appétences, tous les ingrédients et outils pour bâtir son propre parcours, choisir les pistes de développement pro-fessionnel et personnel, gage d’une insertion professionnelle réussie.

� Des parcours d’excellence : Advanced Finance Program, Exper-tise Comptable-Audit et préparation au DSCG, Recherche en manage-ment et double diplôme ESC-Master Recherche, Technology & Manage-ment Program, apprentissage, MBA Jeune Entrepreneur. Tél � 05 61 29 49 66

Fax � 05 61 29 48 06Mail � info.esc@ esc-toulouse.fr Web � www.esc-toulouse.fr

� International : Trois Campus : Toulouse - Barcelone -Casablanca- 102 accords internationaux ;- 17 accords de double diplôme ; - Enseignements optionnels en

anglais, espagnols et allemand ;- Un semestre d’études obligatoire

à l’étranger ;- possibilité d’effectuer la 2e ou 3e année

sur le campus de Barcelone ;- English Track

� Stages : 10 mois de stages minimum en entreprise.

� Activités extra-scolaires :BDE, Bureau des Sports, Bureau des Arts et de la Musique, Sports extrê-mes, AIESEC, Junior Entreprise... les étudiants vivent leur passion en toute spontanéité. Près de 100 manifestations par an sont organisées dans le cadre des pro-jets Delta, dans des domaines aussi variés que l’humanitaire, le sport, la culture, l’économie.

Toulouse Business SchoolGroupe ESC Toulouse

Pour plus d’infosi

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Plus d’infos sur www.guidformation.com��Pour recevoir des infos, cliquez ici.26

ISC Paris

Pour plus d’infosContact : Service

CommunicationTél � 01 40 53 99 99Fax � 01 40 53 98 98Mail � information@

groupeisc.fr Web � www.ISCparis.com

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ISC Paris� 22 Bd du Fort de Vaux

75017 Paris

8 mois à l’étranger et enfin de suivre un MBA gratuit en 4e année.Les plus ISC Paris : 3 langues vivantes possibles à choisir parmi les 10 ensei-gnées et l’International Track (cursus bilingue).

� Stages : - 1ère année : 4 mois (découverte de l’entreprise) - 2e année : 4 mois - 3e année : 6 à 8 mois (stage de pré-embauche)- Année de césure possible entre la 2e et la 3e année (sous réserve de validation de la direction)- Alternance : 2 à 3 jours en entre-prise pendant la 3e année

� Activités extra-scolaires :Accès illimité aux Entreprises Etudian-tes ! Grâce à la dimension profession-nelle des Entreprises Étudiantes : Dès la 1ère année, formation académi-que et expérience professionnelle se conjuguent au sein des Entreprises Étudiantes. Conçues comme de véri-tables sociétés, elles permettent la mise en application des connaissan-ces acquises en cours (gestion de budget, plan de communication…). Au nombre de 25, réparties en 4 grandes familles (Culture et Art-Multimédia, Humanitaire-Social, Ser-vice aux étudiants, Sports et aventu-res) elles ont généré en 2007/2008 un chiffre d’affaires de 5,2 millions d’euros.

Admissions en 2009� Public concerné : Etudiants issus de classe préparatoire HEC� Concours : BCE HEC� Nombre de places offertes : 225� Date du concours : sigem.org� Inscriptions : sigem.org

Formation� Durée : 3 ans

� Présentation de la formation :Le diplôme de l’ISC Paris vous confé-rera la « carte de visite » néces-saire à votre avenir. En effet, depuis 45 ans, l’ISC Paris développe son programme Grande Ecole avec un objectif : offrir à ses étudiants une formation de haut niveau en par-faite adéquation avec les attentes des entreprises. Associant exigence académique, études à l’étranger et multiplication des expériences pro-fessionnelles (Entreprises Étudiantes, stages, année de césure...), l’ISC Paris présente des parcours d’étude complets nécessaires aux bagages des managers d’aujourd’hui.

� Organisation des études et options :

Accès illimité aux savoirs ! Grâce à une formation académique de qua-lité et personnalisée : 48 matières (marketing, droit, communication, gestion…) à valider au cours des 2 premières années d’études - dont 8 matières de spécialisation à choisir parmi les 134 enseignées à l’ISC Paris - en 3e année, 400 heures de cours dans un des 17 domaines d’expertise proposés (finance, marketing, luxe, nouvelles technologies...).

� International :Accès illimité à l’international ! A l’ISC Paris, vous aurez la possibilité en 1ère année de faire un stage de 4 mois à l’international ; en 2e année ou en 3e année de partir 2 semestres chez un de nos 110 partenaires avec, à la clef un diplôme de l’université d’accueil ; d’effectuer un stage de 6 à

L'école� Directeur : M Riahi� Date de création : 1963� Statut : Association loi 1901� Diplôme délivré :

Diplôme Bac+5 de l’ISC Paris� Labels et visas :

Etablissement reconnu par l’Etat, diplôme visé par le Ministère de l’Education nationale, délivre le grade de master, membre de la Conférence des Grandes Ecoles et du Chapitre des Ecoles de Management� Frais de scolarité :

8 505 €/an (moyenne sur 3 ans, réévaluée chaque année)� Financement des frais de sco-

larité : Bourses de l’Educationnationale - Bourse de l’ISC Paris (de 600 € à 3600 €) - Prêt bancaire à taux préfé-rentiel - Job Service interne (missions ponctuelles ou régu-liéres, rémunérées 9 à 10 €/heure) - Stages rémunérés(9 à 18 mois possible)

Quelques chiffres� Nombre d'étudiants : 1 677� Nombre de diplômés

en 2008 : 420� Nombre d'enseignants : 400� Nombre d'anciens élèves :

11 127� Salaire moyen annuel brut

des jeunes diplômés :33 500 €

Principaux débouchés��24% Entrepreneur/Direction

Exécutive - 22% Commer-cial/Export - 18% Marketing/Communication - 11% Audit/ Expertise/Contrôle de gestion - 11% Finance - 8% Logisti-que/Achats/Distribution - 4% Ressources humaines - 2% Juridique et Fiscal

Journée Portes Ouvertes� Nous contacter :

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ISCparis.comDiplôme visé Grade de master

110 universités partenaires dans 43 pays

Un parcours bilingue

200 étudiants internationaux sur le campus

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Intégrer une Grande École de Commerce après une prépadocshare01.docshare.tips/files/6036/60362859.pdfLes années prépas La prépa, mode d’emploi Les grandes écoles de commerce