76
20/07/2009 1 Unité qui présente / Réf présentation Introduction à l’Immunologie Serge Candéias Laboratoire Lésions de Acides Nucléiques CEA-Grenoble

Introduction à l’Immunologie - CIME Nanotechproxy.lmgp.grenoble-inp.fr/sites/smb2009/Presentations-SMB2009/... · Unité qui présente / Réf présentation 20/07/2009 1 Introduction

Embed Size (px)

Citation preview

20/07/2009 1Unité qui présente / Réf présentation

Introduction à l’Immunologie

Serge CandéiasLaboratoire Lésions de Acides Nucléiques

CEA-Grenoble

20/07/2009 2Unité qui présente / Réf présentation

Un peu d’histoire

• La première description de « protection » remonte à Thucydides dans sa description de la peste qui ravagea Athènes au Vème siècle avant Jésus-Christ.

• Dès le Xème siècle les Chinois de la dynastie Ming étaient capables de conférer une protection contre la variole par inhalation de poudre de lésions croûteuses varioliques. Ce procédé de variolisation fut ramené en Europe par la femme d'un ambassadeur anglais vers 1722. Il avait pour inconvénient d'induire une maladie réelle au patient.

• Un médecin anglais, Edward Jenner constata que les garçons vachers qui s'occupaient du bétail, ne répondaient pas à la variolisation. Il fit l'hypothèse que cette absence de réponse était due à l'existence d'une maladie bovine, la vaccine, ressemblant à la variole humaine, mais responsable d'une maladie bénigne chez l'homme. Cela lui donna l'idée d'inoculer, en mai 1796, des pustules de vaccine à un petit garçon pour ainsi immuniser un humain au moyen d'une maladie bénigne afin de le protéger contre une beaucoup plus grave. Le procédé prit le nom de vaccination . Il désigne l'inoculation de sujets sains avec une souche atténuée d'un agent pathogène pour les protéger de la maladie due àcet agent. Dans le cas particulier de la variole, l’immunologie peut être créditée d’un succès sans précédent, puisqu’en 1980, l’OMS a pu annoncer l’éradication planétaire de la variole grâce à sa campagne de vaccination.

20/07/2009 3Unité qui présente / Réf présentation

Corps humain Microorganismes

BactériesChampignons

ParasitesVirus

ADNARN

Protéines Lipides

Glucides

Le système immunitaire est chargé de protéger l’intégri té de l’individu face à son environnement

20/07/2009 4Unité qui présente / Réf présentation

20/07/2009 5Unité qui présente / Réf présentation

Diversité des microorganismes

20/07/2009 6Unité qui présente / Réf présentation

Quelques chiffres….

Un corps humain:

– est composé d’environ 1013 cellules,

– est recouvert d’environ 108 microorganismes,– contient environ 1014 microorganismes.

Au total, bientôt 7 milliards de personnes sur terre……

……….et 1030 microorganismes!

Comment les identifier?

Comment s’en protéger?

20/07/2009 7Unité qui présente / Réf présentation

La discrimination soi / non-soi

Le SOI: l’organisme

Le NON SOI: le reste du monde

Le SOI doit pouvoir reconnaître spécifiquement le NON-SOI pour détecter la présence d’un danger et mettre en œuvre les moye ns nécessaires à

l’élimination de ce danger en développant une réponse immunitaire

Reconnaissance de molécules spécifiques de groupes de microorganismes:enveloppe bactérienneARN double brinssucres

Reconnaissance de l’absence de marqueurs du soi

Immunité Innée

Immunité Adaptative

Reconnaissance de molécules particulières spécifiques d’un microorganisme:protéines ou fragments de protéines

20/07/2009 8Unité qui présente / Réf présentation

Les cellules du système immunitaire

20/07/2009 9Unité qui présente / Réf présentation

Les cellules du système immunitaire

Immunité adaptative Immunité innée

20/07/2009 10Unité qui présente / Réf présentation

Les organes du système immunitaire

Organes lymphoïdes primaires différenciation des lymphocytes

20/07/2009 11Unité qui présente / Réf présentation

Les globules blancs

Nombre moyen de leucocytes (x 10 9 / litre de sang)

Lymphocytes B: 0.3Lymphocyte T: 1.0 - 2.5

Monocytes: 0.15 - 0.6Neutrophiles: 3.0 – 5.5Eosinophiles: 0.05 – 0.25Basophiles: 0.02

20/07/2009 12Unité qui présente / Réf présentation

Les récepteurs de l’immunité innée

Toutes les cellules de l’immunité innée portent les mêmes récepteurs:

il y a beaucoup de cellules capables de reconnaître et détruire un même agent pathogène���� réponse immédiate mais peu spécifique

20/07/2009 13Unité qui présente / Réf présentation

Les récepteurs de l’immunité adaptative

Chaque lymphocyte porte un récepteur antigénique diff érent:il y a peu de cellules pour répondre à un antigène do nné���� réponse lente mais extrêmement spécifique

20/07/2009 14Unité qui présente / Réf présentation

Le système immunitaire inné

20/07/2009 15Unité qui présente / Réf présentation

Les défenses naturelles

Les barrières naturelles

20/07/2009 16Unité qui présente / Réf présentation

Les défenses naturelles

La cascade du complément

Un ensemble de protéines circulantes qui s’activent à tour de rôle dans une réaction en chaîne pour former des pores dans la paroi bactérienne

20/07/2009 17Unité qui présente / Réf présentation

L’activation du complément

20/07/2009 18Unité qui présente / Réf présentation

Les cellules phagocytaires:Leur rôle est d’absorber (phagocyter) les

microorganismes pour les neutraliser

20/07/2009 19Unité qui présente / Réf présentation

Activation du macrophage

Production de facteurs solubles:� recrutement d’autres effecteurs

Digestion du microorganisme:� élimination du pathogène

20/07/2009 20Unité qui présente / Réf présentation

Effets de l’activation des macrophages

20/07/2009 21Unité qui présente / Réf présentation

La réponse immunitaire

Réponseinnée

Réponseadaptative

20/07/2009 22Unité qui présente / Réf présentation

Coopération entre acteurs de l’immunité innééEn se fixant sur la paroi bactérienne, certains éléments du complément

favorisent la phagocytose via des récepteurs spécifiques

Plusieurs produits de clivage ont la propriété de recruter au site de l’infection

d’autres cellules immunitaires

20/07/2009 23Unité qui présente / Réf présentation

L’activation du complément favorise la phagocytose

20/07/2009 24Unité qui présente / Réf présentation

Le système immunitaire inné possède différents effecteurs

Différents types de cellules phagocytaires portent différentes classes de récepteurs et produisent différents facteurs solubles

� modulation de l’effet en fonction du pathogène

20/07/2009 25Unité qui présente / Réf présentation

Le système immunitaire adaptatif

20/07/2009 26Unité qui présente / Réf présentation

Les organes du système immunitaire

Organes lymphoïdes primaires différenciation des lymphocytes,acteurs de l’immunité adaptative

20/07/2009 27Unité qui présente / Réf présentation

- Les lymphocytes B se différencient dans la moelle osseuse.- Chaque lymphocyte B qui sort de la MO porte un récepteur antigénique spécifique appelé anticorps , immunoglobuline (Ig) ou BCR. Ce récepteur peut être sécrété .- Les Ig sont composées de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères reliées par des ponts disulfures- Chaque chaîne est composée d’un domaine variable (V) et d’un domaine constant (C).- La combinaison des domaines variables confère à la molécule d’Ig sa spécificité antigénique

Les anticorps

20/07/2009 28Unité qui présente / Réf présentation

Les anticorps

20/07/2009 29Unité qui présente / Réf présentation

Les Ig reconnaissent un déterminant antigénique sur une molécule

20/07/2009 30Unité qui présente / Réf présentation

Diversité de structures des sites antigéniques des anticorps

20/07/2009 31Unité qui présente / Réf présentation

Immunité à médiation humorale

20/07/2009 32Unité qui présente / Réf présentation

Coopération entre immunité innée et adaptative

20/07/2009 33Unité qui présente / Réf présentation

Les différentes classes d’anticorps

20/07/2009 34Unité qui présente / Réf présentation

Certains anticorps sont des multimères

20/07/2009 35Unité qui présente / Réf présentation

Différentes fonctions pour chaque classe d’Ig

20/07/2009 36Unité qui présente / Réf présentation

Le récepteur à l’antigène des lymphocytes T

Les lymphocytes T se différencient dans le thymus à partir de progéniteursissus de moelle osseuse.

Chaque lymphocyte T produit par le thymus porte à sa surface un récepteur antigénique (TCR) spécifique d’un peptide antigénique .

Ce peptide provient de la dégradation d’une protéine dans une cellule de l’organisme.

Ce peptide doit être exposé à la surface d’une cellule présentatrice, en association avec une molécule du complexe majeur d’ histocompatibilité(CMH ou HLA).

20/07/2009 37Unité qui présente / Réf présentation

Le Complexe Majeur d’Histocompatibilité (CMH)

PolygPolyg ééniquenique et et polymorphiquepolymorphique

JusquJusqu ’à’à 15 MHC 15 MHC exprimexprim ééss

�������� large large gammegamme de de peptides peptides prpr éésentsent ééss

�������� NombreuxNombreuxallall èèlesles

�������� FaibleFaibleprobabilitprobabilit éé pour pour queque 2 2 individusindividusaientaient les même les même MHCMHC

�������� SensibilitSensibilit éédiffdiff éérentesrentes aux aux pathogpathog èènene

DD ’’aprapr èès s ImmunoImmuno --BiologyBiology , 3th , 3th editionedition , , JanewayJaneway & Travers, 1997& Travers, 1997

20/07/2009 38Unité qui présente / Réf présentation

Le CMH

Les allèles paternels et maternels des protéines du CMH sont exprimés en même temps à la surface des cellules.

Immunology, Kuby

20/07/2009 39Unité qui présente / Réf présentation

Polymorphisme du CMHEach polymorphic variant is called an allele

In the human population, over 1,200 MHC alleles have been identified

α β α β α β

2

317

19

89

20 45

DR DP DQ

Class II

381

185

91

A B C

No

ofpo

lym

orph

ism

sClass I

657 alleles 492 alleles

D’après Colin R.A.Hewitt; Data from http://www.anthonynolan.org.uk/HIG/index.html July 2000

Un même peptide antigénique pourra être présenté de manière différente aux lymphocytes T par des allèles MHC différents

� différences dans l’initiation de la réponse immunitaire selon les individus

20/07/2009 40Unité qui présente / Réf présentation

Skin from an inbred mouse grafted onto the same strain of mouse

Skin from an inbred mouse grafted onto a strain of mouse differing only at MHC genes

ACCEPTED

REJECTED

Transplantation of skin between strains showed thatrejection or acceptance was dependent upon

the genetics of each strain

D’après Colin RA Hewitt

CMH et greffes

20/07/2009 41Unité qui présente / Réf présentation

Activation des lymphocytes T helpers

20/07/2009 42Unité qui présente / Réf présentation

Activation des lymphocytes T cytotoxiques

20/07/2009 43Unité qui présente / Réf présentation

Immunité à médiation cellulaire

20/07/2009 44Unité qui présente / Réf présentation

Interconnexion des mécanismes immunitaires

20/07/2009 45Unité qui présente / Réf présentation

Après la bataille……

Les cellules effectrices meurent .Seules restent les cellules « mémoire », qui induiront une réponse immunitaire plus rapide , plus forte et plus efficace lors d’une deuxième rencontre avec le même pathogène.

20/07/2009 46Unité qui présente / Réf présentation

La vaccination

Le principe de Pasteur

20/07/2009 47Unité qui présente / Réf présentation

La réponse secondaire

La réponse secondaire est quantitativement et qualitativement différente

20/07/2009 48Unité qui présente / Réf présentation

6 months

Transplant rejection is due to an antigen-specific immune responsewith immunological memory.����rôle des lymphocytes T

Réponse secondaire et rejet de greffe

Secondary rejection of strain skin

e.g. 3 days

Primary rejection ofstrain skin

e.g. 10 days

Naïve mouse

LycTransfer lymphocytesfrom primed mouse

D’après Colin RA Hewitt

20/07/2009 49Unité qui présente / Réf présentation

La vaccination

Influence de la variabilité de l’agent pathogène

20/07/2009 50Unité qui présente / Réf présentation

Plusieurs armes contre un pathogène

20/07/2009 51Unité qui présente / Réf présentation

Hiérarchie des mécanismes immunitaires

Mémoire

20/07/2009 52Unité qui présente / Réf présentation

�Plus de 25 maladies/syndromes humains d’immunodéficience pour lesquelsun modèle animal est disponible

Déficits immunitaires

20/07/2009 53Unité qui présente / Réf présentation

20/07/2009 54Unité qui présente / Réf présentation

- Blocage sévère de la différenciation des lymphocytes T et NK; - Nombre normal voire élevé de lymphocytes B peu fonctionnels (pas de production d’Ig)

20/07/2009 55Unité qui présente / Réf présentation

Interleukin-2 receptor chain mutation results in X-lin ked severe combinedimmunodeficiency in humans

Masayuki Noguchi a, Huafang Yi b, Howard M. Rosenblatt c, Alexandra H. Filipovich d, Stephen Adelstein a, William S. Modi e, O. Wesley McBride b and Warren J. Leonard a

Cell 73: 147-157 (1993)

Détermination du rôle de γc (récepteur IL2, 4, 7, 9 et 15) dans le développement de la maladie et la différenciation des lymphocytes T chez l’homme

γγγγ

20/07/2009 56Unité qui présente / Réf présentation

PNAS 92:377-381 (1995)

Absence d’activité NK

MAIS

développement des lymphocytes T moins affecté que chez les patients XSCID développement des lymphocytes B plus affecté que chez les patients XSCID

����relevance du modèle?

20/07/2009 57Unité qui présente / Réf présentation

Mise au point chez la souris d’une stratégie de thérapie génique visant à corriger le défaut d’expression du gène codant pour la chaîne γc

Blood 95: 3071-3077 (2000)

Réintroduction d’un gène fonctionnel dans les cellules souches hématopoïétiquesRéintroduction des cellules corrigées dans la souris

20/07/2009 58Unité qui présente / Réf présentation

Science 288:669-672 (2000)

Les lymphocytes T et B, les cellules NK, les monocytes et les granulocytes, les cellules souches de moelle portent le gène γc transduit.L’expression de γc se traduit par une restauration des niveaux de lymphocytes B et T et des cellules NK dans le sang des patients.

20/07/2009 59Unité qui présente / Réf présentation

Cependant......

Ces lymphoproliférations sont apparues 3 ans après la thérapie.

Aurait il fallu expérimenter:chez des primates?sur des durées plus longues?

� limites de l’expérimentation animale?

20/07/2009 60Unité qui présente / Réf présentation

Production et utilisation d’anticorps

20/07/2009 61Unité qui présente / Réf présentation

Production d’anticorps pour la recherche

20/07/2009 62Unité qui présente / Réf présentation

Lymphocytes B de la rate

a

+

PRODUCTION DPRODUCTION DPRODUCTION DPRODUCTION D’’’’ANTICORPS MONOCLONAUXANTICORPS MONOCLONAUXANTICORPS MONOCLONAUXANTICORPS MONOCLONAUX

Immortalisation par fusion cellulaire avec une cellule tumorale : obtention d’hybridomes

Lymphocytes B tumoraux immortalisés

b

v

a

c

b cFusion

Lymphocytes B de la Lymphocytes B de la Lymphocytes B de la Lymphocytes B de la rate nrate nrate nrate n’’’’ayant pas ayant pas ayant pas ayant pas fusionnfusionnfusionnfusionnéééé ou ayant ou ayant ou ayant ou ayant fusionnfusionnfusionnfusionnéééé entre euxentre euxentre euxentre eux

Lymphocyte B de la rate Lymphocyte B de la rate Lymphocyte B de la rate Lymphocyte B de la rate ayant fusionnayant fusionnayant fusionnayant fusionnéééé avec un avec un avec un avec un

lymphocyte tumorallymphocyte tumorallymphocyte tumorallymphocyte tumoral

Lymphocytes B tumoraux Lymphocytes B tumoraux Lymphocytes B tumoraux Lymphocytes B tumoraux nnnn’’’’ayant pas fusionnayant pas fusionnayant pas fusionnayant pas fusionnéééé ou ou ou ou ayant fusionnayant fusionnayant fusionnayant fusionnéééé entre euxentre euxentre euxentre eux

20/07/2009 63Unité qui présente / Réf présentation

Culture sur milieu sCulture sur milieu sCulture sur milieu sCulture sur milieu séééélectif (HAT)lectif (HAT)lectif (HAT)lectif (HAT)

b

v

a

c

Seuls les hybridomes provenant deSeuls les hybridomes provenant deSeuls les hybridomes provenant deSeuls les hybridomes provenant dela fusion dla fusion dla fusion dla fusion d’’’’un lymphocyte B normalun lymphocyte B normalun lymphocyte B normalun lymphocyte B normal

et det det det d’’’’un lymphocyte B tumoral un lymphocyte B tumoral un lymphocyte B tumoral un lymphocyte B tumoral survivent et se divisentsurvivent et se divisentsurvivent et se divisentsurvivent et se divisent

en milieu sen milieu sen milieu sen milieu séééélectiflectiflectiflectifa

c

aaaaacccccc

Jerne, Milstein, Kölher, prix Nobel de médecine 1984

20/07/2009 64Unité qui présente / Réf présentation

Les anticorps thérapeutiques

Dès 1986, autorisation d’essais thérapeutiques d’un anticorps monoclonal OKT3, anti CD3 humain, utilisé pour prévenir le rejet de greffes en bloquant les lymphocytes T.

Problème: les anticorps générés chez la souris contre des protéines humaines ne peuvent être utilisés de manière répétée car ils deviennent immunogènes et induisent une réponse immunitaire qui limite leur demi-vie et peut créer des complications.

Solution: développement d’anticorps chimériques ou « humanisés » : régions variables de souris et régions constantes humaines, régions CDR des souris introduites dans des anticorps humains….

Depuis 1997, 18mAbs ont été mis sur le marché, environ 150 en développement.

Comment produire des anticorps thérapeuthiques plus sûrs et plus efficace?

Nature Biotechnology, Octobre 2007

20/07/2009 65Unité qui présente / Réf présentation

20/07/2009 66Unité qui présente / Réf présentation

Production in vitro de formes différentes d’anticorps

20/07/2009 67Unité qui présente / Réf présentation

Anticorps humanisés et anticorps chimériques

20/07/2009 68Unité qui présente / Réf présentation

pour $120,000,000…….

De la souris transgénique aux anticorps humains…..

VelocImmune ® : Platform for the Generation of HumanMonoclonal Antibodies gy Regeneron

Commutation isotypique in vitro

20/07/2009 69Unité qui présente / Réf présentation

20/07/2009 70Unité qui présente / Réf présentation

Surface de bactéries Gram+ et de bactéries Gram-

Les microorganismes ont une « signature » moléculaire propre

20/07/2009 71Unité qui présente / Réf présentation

Le complexe TCR / peptide / CMH

ege d

zz

a b

CMH

TCR

V

C

Cytoplasme

Cytoplasme

Lymphocyte T

Cellule présentatrice de l’antigène

CD3

peptide antigénique

Membrane plasmique

Membrane plasmique

20/07/2009 72Unité qui présente / Réf présentation

Le contexte de la reconnaissance

20/07/2009 73Unité qui présente / Réf présentation

Interconnexion des mécanismes immunitaires

20/07/2009 74Unité qui présente / Réf présentation

Mécanismes de toxicité des microorganismes

20/07/2009 75Unité qui présente / Réf présentation

InjectionInjectionInjectionInjectionSolution contrôleSolution contrôleSolution contrôleSolution contrôle

InjectionInjectionInjectionInjectionPathogPathogPathogPathogèèèène attne attne attne attéééénunununuéééé ou tuou tuou tuou tuéééé

AprAprAprAprèèèès quelques jours injections de doses ls quelques jours injections de doses ls quelques jours injections de doses ls quelques jours injections de doses léééétales dtales dtales dtales d’’’’agent pathogagent pathogagent pathogagent pathogèèèènenenene

Mort de lMort de lMort de lMort de l’’’’animalanimalanimalanimal Survie de lSurvie de lSurvie de lSurvie de l’’’’animalanimalanimalanimal

Test in vivo de l’effet protecteur après vaccination

Effet mémoire de la réponse immunela vaccination

20/07/2009 76Unité qui présente / Réf présentation

InjectionInjectionInjectionInjectionPathogPathogPathogPathogèèèène attne attne attne attéééénunununuéééé ou tuou tuou tuou tuéééé

AprAprAprAprèèèès quelques jours injections de doses ls quelques jours injections de doses ls quelques jours injections de doses ls quelques jours injections de doses léééétales dtales dtales dtales d’’’’agent pathogagent pathogagent pathogagent pathogèèèènenenene

TransfertTransfertTransfertTransfertDu sDu sDu sDu séééérumrumrumrum

TransfertTransfertTransfertTransfertDes cellulesDes cellulesDes cellulesDes cellules

Injections de doses lInjections de doses lInjections de doses lInjections de doses léééétales dtales dtales dtales d’’’’agent pathogagent pathogagent pathogagent pathogèèèènenenene

Immunisation passiveImmunisation passiveImmunisation passiveImmunisation passive Immunisation Immunisation Immunisation Immunisation adpotiveadpotiveadpotiveadpotive

L’immunité peut être transférée soit par les anticorps soit par les lymphocytes