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JAZZ’N’MORE 4/2013 Une découverte! L’album de piano solo de Michael Borek, Tyrolien né à Lyon, nous transporte dans un monde de sons harmonieux et romantiques. Le quinquagénaire, qui durant la semaine gagne sa vie en tant que médecin, peut sans restriction être qualifié de maitre du piano solo. Son jeu, influencé par Debussy, Ravel, Bartók et Chopin, rappelle naturellement le grand Keith Jarrett. Avec son toucher clair et chaleureux, Borek fait chanter le clavier et touche ses auditeurs par sa sensibilité. Ainsi il célèbre le calme dans « Remembrance », tandis que « Homelands » se construit autour d’un groove rythmique. Les deux standards « Summertime » et « Over The Rainbow », arrangés de manière raffinée, s’intègrent parfaitement dans le concept général. Borek joue ses traits d’une manière impeccablement nette, comme s’il n’y avait rien de plus naturel. Les pièces sont clairement structurées et ne se perdent pas dans d’interminables et erratiques ostinatos, mais sont au contraire nourries par les idées neuves de Borek et sa discrète virtuosité. Quelque part entre jazz et classique, ce pianiste, méconnu dans notre pays, nous offre des moments grandioses de musique belle et harmonieuse. À écouter absolument! ps

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JAZZ’N’MORE 4/2013

Une découverte! L’album de piano solo de Michael Borek, Tyrolien né à Lyon, nous transporte dans un monde de sons harmonieux et romantiques. Le quinquagénaire, qui durant la semaine gagne sa vie en tant que médecin, peut sans restriction être qualifié de maitre du piano solo. Son jeu, influencé par Debussy, Ravel, Bartók et Chopin, rappelle naturellement le grand Keith Jarrett. Avec son toucher clair et chaleureux, Borek fait chanter le clavier et touche ses auditeurs par sa sensibilité. Ainsi il célèbre le calme dans « Remembrance », tandis que « Homelands » se construit autour d’un groove rythmique. Les deux standards « Summertime » et « Over The Rainbow », arrangés de manière raffinée, s’intègrent parfaitement dans le concept général. Borek joue ses traits d’une manière impeccablement nette, comme s’il n’y avait rien de plus naturel. Les pièces sont clairement structurées et ne se perdent pas dans d’interminables et erratiques ostinatos, mais sont au contraire nourries par les idées neuves de Borek et sa discrète virtuosité. Quelque part entre jazz et classique, ce pianiste, méconnu dans notre pays, nous offre des moments grandioses de musique belle et harmonieuse. À écouter absolument! ps

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Le pianiste Michael Borek est fasciné

par Keith Jarrett depuis l’âge de 12

ans. Jarrett est d’ailleurs demeuré

son grand exemple jusqu’à ce jour, ce

qui s’entend de toute évidence au

toucher de chaque note.

Diplômé de médecine, il est né à

Lyon et a grandi en France et au

Tyrol, où il vit désormais. Borek est

également actif en tant que

compositeur de musique contem-

poraine.

Comme le titre du CD le laisse

deviner, l’album a été enregistré en

public au Treibhaus à Innsbruck. Ce

concert solo fut pour Michael Borek

une des expériences les plus

marquantes de sa carrière. Borek y

joue sept compositions personnelles,

dans lesquelles il se révèle être un

pianiste accompli, voué entièrement à

l’esprit de la belle musique.

A la fin du concert, deux standards

étaient au programme: Summertime,

avec un accompagnement en ostinato

rythmique très dense et marqué, et la

ballade Over The Rainbow.

Harmonie et beauté du son de la

première à la dernière note.

(traduction : Valérie Vasner-Borek)

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Michael Borek Live At Treibhaus (MVB Records MVB 9810)

Médecin de formation, [Michael Borek] est également doué d’une fibre musicale. L’influence de Jarrett & Co. y est clairement reconnaissable : une référence qui par moments donne des ailes à ces joyaux en solo, interprétés avec goût.

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Critique Jazz Hot

Michael Borek Jazz Hot 18 Dez. 2010Meditations Neuigkeit-Entdeckung Meditation I bis VIII, Tristesse, Rain Song, Waltz Michael Borek (p) Veröffentlicht in 2009 Dauer: 40’ 51’’ MVB 9807 (www.mvb-records.at) In diesem erneuten Piano Solo von Michael Borek findet man wieder dieselben Qualitäten wie in „Beyond The Ocean“ (MVB Records 9804), den Anschlag eines romantischen Pianisten, klare und zugleich sanfte Akzente, eine reine und perlende Phrasierung, Lyrismus, Zurückhaltung, alles was man braucht um diesen „Meditations“ das Herz erreichen zu lassen. Ziemlich kurz, zwischen 2 und 6 Minuten, wurden sie zwischen 2001 und 2009 improvisiert, und werden chronologisch präsentiert. Man hat es hier mit melodischen Variationen zu tun die durch die rechte Hand geführt werden, während die linke Hand betonend oder im Kontrapunkt spielt, oder in Chopin-artigen Arpeggio emporsteigt, und das Stück heißt „Tristesse“. Bemerkenswert ist das Booklet, das wie eine reine Nachahmung des Stils der ECM Booklets aussieht, eigenartig, oder? Ist es Jazz? Warum nicht? Man befindet sich zwischen Chopin und Keith Jarrett, und es ist ohnehin großartiges Klavier und schöne Musik. Ein Moment von Schönheit und Ausgeglichenheit. Serge Baudot Jazz Hot Rezension

(Übersetzung: Michael Borek)

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<s> Michael Borek Beyond The Ocean Michael Borek (p) Aufgenommen 1999 und 2000 in Westendorf. MVB Records 9804 (+43 53 34 2903) Keith Jarretts Musik im Alter von 12 Jahren zu entdecken, wenn man seit seiner Kindheit eine klassische Klavierausbildung verfolgt, ist irgendwie ein Schock. Es ist ja doch nicht so leicht, sich von den vereinten Einflüssen Debussys und Messiaens loszulösen.... So kommt es daß die Kompositionen und Improvisationen von Michael Borek (geboren 1963 in Lyon), wie so oft diejenigen von Jarrett und Bill Evans, seine 2 wichtigsten Einflüsse, eine Expressivität, einen Lyrismus und eine Eleganz auf Jazzharmonien legen, die nicht klassischer sein könnten. Mit anderen Worten läßt uns diese CD einen Pianisten hören der über einen herrlichen, präzisen und klaren Anschlag verfügt, sowie über eine Virtuosität die diskret zu bleiben weiß, und die sich völlig in den Dienst seiner Interpretationen stellt. Neben schönen Standards-Interpretationen (« I’m Through With Love ») und einige der eigenen Kompositionen Boreks (das lebendige « Dancing ») wird man sich für acht spontan improvisierte Stücke interessieren, darunter ein schönes « I Remember Keith » und ein meditatives « Valley of Silence ». Manche werden Ihnen sagen, es fehle dem ganzen ein wenig an Kräftigkeit, und da werden sie nicht Unrecht haben, nichtsdestotrotz ist diese eher pastelblaue als feurig rote Musik schön, friedsam und nostalgisch wie ein Sonnenaufgang über dem Ozean.

Domi Truffandier Jazzhot n° 583, September 2001

(Übersetzung : Valérie Vasner-Borek)

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Jazz Zeit N° 24, Novembre 2001 Michael Borek Beyond The Ocean

(MVB) Dans le 2ème morceau de ce disque Michael Borek se souvient de Keith Jarrett. Et des parentés avec le jeu pianistique de l’artiste d’exception Jarrett peuvent en effet être constatées chez Borek. « Beyond The Ocean » est un album de piano solo qui peut tout à fait être recommandé à tout amateur du genre. Comparé au « Over the Rainbow » de Keith, Borek se détache un peu moins de la partie imposée mélodique, il agit plus prudemment, mais justement pour cette raison Michael Borek ne doit pas se laisser faire le reproche de trop courir derrière l’un de ses modèles pianistiques et de le copier. C‘est ce qu’il démontre également avec ses propres compositions qui ne se perdent pas dans le Nirvana improvisatoire, mais qui, au contraire, atteignent dans leur construction et développement, ainsi que dans leur richesse mélodique, un niveau remarquable. De courts morceaux vifs, tels « Dancing », ou de lents standards à la « I’m through with love » lui coulent des doigts avec la même facilité. „Beyond the ocean“ we have a wonderful time. (bak)

remarquable très bien bien moyen médiocre

Concerto Magazine Nr. 2/01, Avril 2001 Michael Borek Beyond The Ocean

MVB 9804 Distribution: www.mvb-records.at Michael Borek (né en 1963 à Lyon) travaille, à vrai dire, dans l’industrie pharmaceutique. A côté de cela, il se consacre à son plus-que-hobby, le piano. Après des études classiques il découvrit à l’âge de 12 ans le monde du jazz en la personne de Keith Jarrett. Cette influence est d’ailleurs audible dans chaque morceau de ce CD. Dans dix compositions personnelles, dont certaines librement improvisées, et trois standards, Borek laisse revivre le temps heureux du „Köln Concert“, sans pour autant se comporter en Epigone obstiné, mais laissant parfois transparaître sa propre voix. Je souhaiterais d’avantage encore de cette indépendance. schu