Je Suis Le Donneur (Comte de St Germain)

5/17/2018 Je Suis Le Donneur (Comte de St Germain)

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JE SU ISLE DONNEU,R

Edil! " b I'll eommeree,OI1""1t" pa T !ill ,hb 'ph H.riCn .~ r~teJ' d"UftU lin ue.

1 SUfS fa Voie er vous ne me suive: pas,I E I 10 Virile e t IjQU He /III! c ro ve p as ,IE VIS la Vic et IlOUS IfC m e ch erc he s pas.iVaLlS ~Ies malheureux IIOUS ne ll1 reprochez pasIJ MOl.

Et D ietl d it a Moi C~- Tu diras comme ea am fils d'i rael:Ce lu i qui s'a pp L Ie r~SUJSII m'a envo ~ 11 Y OU


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-1-IE SUlS

1. - A toi, qui Us, Je parle.2. - A toi qui. pendant de longues annees,as cherche, ~ et li. tetJo~nt de trouver danales livre! et dans les enseignements. dansIes philosophies et dans Ie religions: 1&VERI-TE. le BONBEUR, la LIBERTE DlEU - nssavoir actement ce que tu cherchais.3. - toi, dont l'Ame est las e. dUourag~eet presque denuee de tout espoir,4. - A toi, qui ouvent as pe~u une lueurde cette Verite ~ qui 'evanouissait devant tot.comme un mirage du desert, quand tu essayaisde la poursuivre et de l'aUeindre.6. - A toi, qui avais cru l'avoir t}'onvee danscertain etre eleve. et peut-etre reconnu eornmeMaitre de quelque Communaute, de Fraternlte

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-16-ou de Religlon, par la merveilleuse doctrine qu'llenseignait et les oeuvres qu'j} auompUssail ..Mais, tu as dQ te rendre compte, plus lard, queco c Maitre. o'etait qu'une personnalit' bumai-ne comme 1 8 tienne, avec ses imperfections, leafaiblesses, et ses decauts caches, bien que cettepersonnallte ait servi de moyen pour la dlvul-gRlion des mervellleux enseignements qui te sem-blerent elre la plus haute c Verite -.6. - Te void done, tune indlgente, ne sa-chant 1 \ qui recourir :7. - A toi, 1 SUIS Celul qui vient.S. - Et. de marne, Je viens Ii vous tons, quiavez commence il sentir la presence de cetteVERITE au fond de vous-memee, de ce qU Icberche depuis si longtemps il s'exprimer d'uneCa~n vivante en vous.9. - Oui, il vous tous qui etes aJfames duvrai c Pain de Vie ., JE gUIScaUl QUI VTENT.10. - Es-tu dispose a en prendre part ?11. - S'il en est atnsi, reveille-loi et apaise-toi. Calme ton esprit humain et obeis, point parpoint, il Ma Parole ici enoncee. ear, sinon, tut'eloignera , encore une oil d~u et, au Ueu de18 satisfaction d'un besoin imperieuJ., ton ec:eursentlra Ie vide.

-17-12. - MOl IIS. - Qui suis-Je ,14. - Moi, qui parle avec un o telle connais-

.. nee et une telle autorite.15. - Ecoute !18. - JE SillS Toi, eette partie de tol quiEST et SAlT,17. - QUI SAlT TOUTES CHOSES,IS. - Et qui louJoafl nu et qui toujour (at.19. - Oul, JE SUlS Tol, ton Mol intime jeette partie de toi qui dit: JE SOlS! et c'estMOl qui SUIS.20. - Cette partie de toi la plus inUme etauperieure qui s'eveille au-dedans de tot, a me-lure que tu lis, et repond Ma Parole, peree-vant Sa Verite, celle qui reconnaIt toute Veriteet rejette toule erreur, ell quelque lieu qu'ellesoit; et, non pas cette partie de tol qui s'estnourrie de I'erreur pendant tant d'ann~es.21. - Car, Je Suis ton vrai Prkepteur, Ie seulreel que tu devras connaJtre et le seul MaUre etSeigneur;22. - Moi, qui Suis ton Moi Divin..23. - Moi - ton JE SUIS, Je t'apporte ceMessage, - Ma Parole vivante, comme Je t'ai loutdonne dans la vie, que ce soient des livres ou des

-18- Maltres " la pauvrete ou la rlcbesse, des ex-periences ameres, ou de I'amour, pour te .mon-trer que Moi, et Moiseul, ton propre el verl~leintime Mol, JE SUIS ton Maitre, ton uruqueMaUre, et Ion unique Dieu, Celui qui Ie donneet fa toujour donne, non seulement Ie Pain etIeVin de Vie, mais aussi loutes les choses neces-saires II Ia subsistance physiqu~, II ton develop-pement tant mental que spirituel.24. - Done, tout ce qui attire ton atlentionlorsque tu lis, est Mon Message s'adressant au-

dedans de toi a I.Q .conscience (1 ) burn sine. IIn'est que la confirmation de ce que Ie JE SUlSen lui II. toujours su, inlerieurement, mais qu'J1n'avait pas encore communique iI la conscienceesterleure, en termes clalrs et precis.25. - De meme, tout ce qui a jamais attireton attention sur quelque expression corporeU.e,n'a He que la confirmation de Ma Parole d e j aexprimee au-dedans de toi. Gette expression COT-porelle ayant servl de canalou de moyen cholsi(1) I.e mot conscience. est ici emplo,e dana lesens de condition luclde de connalsaanceet non danscdul de c notion de bien ou de mal qu'iJ eomportee,.lemenl.

-le-par Mol,en eette oc:ca,ion,pour arrtver impret-sionner ta conscience bumalne et penonnelle.28. - Cependanl. ce JE SUIS n'est paa tonaprlt humain, ni Ion rns, l'lntellect.27. - Ceux-cl ne sont que l'exprcsaion deIon ~tre. comme Tu es I'expression de Mon Etre ;Us ne sont aulre chose que des phases de tapenonnaliu humaine, comme Tu es une phasede Ma Divine Impersonnalite.28. - Pke et etudie soigneusement ces paroles.29. - I..eve-tolet delivretoi de la dominationde ta penonnalite, doni I'esprlt et I'intellect or-gueilleux sont aptes a se gloriOer eux-m~mes.Delivre-toi d'elle une fois pour loutes.30. - Car. desormais, sl tu veux que Ma Pa-role penetre dans ta conscience interieure, tonesprit humain dolt ~lre ton servlteur et l'Intel-lect ton esclave.31. - JE SUIS Celul qui mainLenant vient

ta conscience spirituelle que S'al eveillee. Iapr~parant expressement, pour la perception deMa Parole.32. - Si done. tu es aasez fort pour la com-prendre.


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-20-3S. - Si tu peux elimlner toutes tel lllu-sioDt, tel eroyanul et tel opinions personnellesqui ne lonl qlle des debris rejetU par d'.ultesd recueillil par tel,34. - SI tu es alSH fort pour te defaire detoul eels,35. - Alon, Ma Parole sera pour toi unesource inep.Jisable de joies et de bienfails.36. - Mais, prepare-toi ~ ce que la penon-nalile doule de Ma Parole, ~ mesure. que -tu Iis.37. - Car. elle .salt que sa propre vie estmenaeee. Elle Depourra plus vivre at .'epanouir,ru domlner plus longtemps tes penUes. tes sen-timents. la vie [ournaliere, eomme autrefois, sito ouvres ton eeeur ~ Ma Parole et Lui permetsd'y demeurer pour toujours.38. - Oui, JE SUIS celui q\li vieDt ~ tol main-tenam,89. - PoUl' te readre eonseient de Ma Pr~senee,40. - Car, r a i egalement prepare ta menta.lite humaine alin que, jusqu'. un eertain point,tu puiltes comprendre Ma Signification.41. - J'ai toujoun ete avec toi, mais tu neM'as pas reconnu.42. - A dessein, Je t'aj conduit . travers Ie

-21-.-...n des IIvres et des enseignements, des reU-..... et des philosophies, en main tenant tou-joan devant ton regard la vision de la Terre~.e,43. - Te nourri ... nt de la manne du desert,pour que tupui es Ie rappeler, appreeier etcWairer ardemment, Ie Pain de l 'Esprit.44. - Je t'a! mainlenanl amene au bord duJourdain qui te aepare de ton Dim Hl!rilage.46. - A present, le temps est venu pour toide Me connat.ll'e conaelemment. Le tempa estWllI pour toi de Ie dlriger "en I. Terre deCbanaan, la terre du Lait et dn Miel.

4 4 1 . - Ea-tu prel ,47. - Deaires-lu y entrer'48. - Alon. Sat. Ma Parole qui eat I 'Ardlede Mon A1lianee et tu paaaeral pleda see

-n-

APAlSE-TOI ET SACREI. - Maintenant, a6n qu'il te soit possible".pprendre it Me eonnattre et pour que tu sols

IIieIl sl1r que c'est Mol, ton propre, rntime etwai Moi qui dit ees paroles, tu dois, pl'emi~-nment, apprendre it t'APAlSER, it calmer ton. . .,. .u et ton corps humains et toutes leurs aeti-..... de sorte que tu perdes toute comcienee" e a x .2. - Peut-etre n'es-tu pas encore en etal deIe raire.a. - Alors Je te montrerai comment y am -.... si vraiment tu desires Me connatlre et sl.. IS dispose it l 'essayer par ta confiance en MOlton obeissance e.n tout ce que, de s mainte-..m. Je t'ordonnerai de Iaire,4. - Ecoute atlenUvement !


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-7.4-5. - Essaie d'imaginer mentalement, que IeMoi qui parle ici, en ces pages, est ton intimeMoi, Ie plus Eleve et Ie plus Divin, qui exhorte etdirige ton esprit et ton intellect humains, auetu dois considerer, pour Ie moment, comme et;nl

une personnalits distincte, ou separee, de toi.Ton esprit humaln est constitue de lelle manie-re qu'Il ne peut rien accepter qui ne soit con for-me A ce qu'iJ a expl!rimente ou appris jusqu'alorset que ton intellect ne considere comme raison-liable.Ainsi, en t'adressant A lui, tu emploles, preci-sement, les 1ermes et les expressions qui expli-quent Ie plus clairement A ton intellect, la ventequ'iJ dolt com prendre, avant que ton esprit puis-se s'eveiller A la comprehension de ce que tuveux exprimer. I6. - La verite est que ce JE sms est toi-meme, ton intime et vrai Moi. Jusqu'A present tonesprit humain a ete A tel point absorbe par latache de fournir a ton intellect et A ton corpstoutes sortes de satisfactions egotstes que, ja-

mais, iI. n'a pu trouver le temps de se lier IIton 1 1 1 0 1 . reel, son veritable Seigneur et Maitre,Au lieu de cela, tu t'es tellement interesse au)plaisirs de - ton corps et de ton intellect, et laissl

\. -25- 1atfecter par leurs soutrrances, que tu en es venuII. croire que Toi, tu e$ ton intellect et ton corps.En consequence, tu M'as ouhlie, Moi, ton tioiInUme et Divin.7. - Je ne SUlS pas Loncorps. ni ton intellect;ce Mes~age vient t'apprendre que' Toi el Moisemmes Un. Les paroles que .Ie prononee iciont pour but principal de te rendre conscientde -cette grande Verite.8. - Mais. toi, tu ne pourras saisir cette gran-de Verite que lorsque tu te delivreras de la cons-cience de ee corps et de cet intellect que tucrois etre et dont tu as ete esclave si longtemps.Tu dois Me se1\tir au plus pro[ond ~e tot-me-me avant que tu puisses savoir que JE SUIS J A .9. - Maintenant, afln que tu puisses arrivera faire abstraction totale de ton esprit et de sespensees, de ton corps et de ses sensations, pourque tu puisses Me sentir au-dedans de tot-me-me, iJ est necessaire que tu obeisses et suives

assldnment Mes instructions ci-apres.10. - Assieds-toi et detends-toi, sans faire

aucun mouvement, recherche la position qui de-tende ton corps. tes muscles. Quand lu te sen-tiras completement repose, detendu, decontracte,

- 26-penetre-lni me:nlalement du ens de ees parolea.:

1 1 . - c Apaise-toi I - et Sathe, - JE SUlS-Dieu .12. - San pen8er , pe.netr&-tol de ce Com-maadament Divin, jusqu'au plus profond de loi-m6me. Laisse entrer librement, sans aucun eJ-fort ou intervention de til part, les lmpressionsquI to viendronlll. I'esprtt, quelles. qu'eUes soient.ote avec soin leur Importance, ear, c'est Molqui, du lond de toi-m~me, t'lnstru:l.s. au moyende ee impressions, Alora, quand une partie deleur lignification vltale cornmencera a poindreit ta. conscience, repete Mes Paroles, lenlement,lmperativement. A chaque cellule de ton corp ,a cheque faculte de Ion esprll. de tout Ie pou-voir conscient doni tu es capable:13. - c A paise-te l - et Sache, - .IE SUIS- Dieu1 4- . - Rapilte.les exaetement eomme elles sontecrlles icl, en essayant de reaUaer que la Cons.-elenee de Dieu, en toi, exige de ta consciencehumnlne el mortelle une obeis ante impJicit.e.16. - Medite-les proioad~menL Cherehe [us-qu' co que lu dEcouvres en elles une puissancesec.rete.

- 27-II. - ApprofondJs-les, prends-les avec (Q I, IItravail, quel qu'il solt, F is-liD Ie fa leur~ et principal de ton labeur. dans tontes tetpmsees creatrlce .17. - Dls-les mllle foh PJU' jour,18. - Ju qu'h ce que Lu aie pCll~tre ~on sensplus seer t.H I. - JUllqu'Il. ce que ehaque cellule de Ioncarps tress aille, rl!pondant joyeusement au (tom--..nd~ent c Apalse-to !.el oMuse Instantane-_t.20. - JUJiqu's ce que lout penaee errante,woItigeanl autour de ton esprit, e dissolve etmnouiase.21. - Alor . ~ mesure que Ie Paroles se ri-pettutenl ju qu'nux profoadeurs d lout tonmalntenant depoullh! de ton moi per onnel,22. - Alor:s. S eIa D q u I Soleil de In Connaj ommencera it se lever B l'hortson de In

renee,- Til te 1Ientitas Sonne d'un etrange etIllewt soume vital qui envahirn tous tesres, les fa l ani Tegorger par l'esta e qu'ilcau 1:8. De~ lars, andes apr~ ondes, surglra

Ioi un Pouvoir irrcsistible et pulssant qul te_IIU-YeTajusqu'l l t'enlevee de terre et tu sentlras


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-28-.au-dedans de tol la Glo1re, 18~ te~. Ia Majestide Ma Presence.24. - Et alors .... alors tu $aura, que JE SOlS

-DIEU I26. - Lorsque' tu M'auras 'Mil alnsl en tol,en de tels moment , quand tu auras gOilLe deMon Pouvoir, compris Ma Sagesse et connu l'Ex-lase de Mon Amour qui embrasse tout. aucunemaladio ne pourra plus t'atteindre, aueune eir-constance t 'aiTaiblir, ni -aucun ennemi te vaincre,Car, maintenant tu ,ais que JE SU15 an-dedanede tol-meme et a I'avenir, toujOUl' s tu reeourras

A Mo\, dans tes besoins. e n plaeant lOUIeta con-fiance en ~oj et Iu Me lainer s manitester MaVoIont6. '26. - Et, quand tu recourras ainsi ~ Moi, tutrouveraa toujours un recours InfaUllble.ct prHa t'aider, chaque lois que tu en auras besom.Cv Je te (erai sentir M a Presence et MOD Pou-voir de telle sorte que. pour atteindre quoi ~e

ee .soIl- ille SuJl'irli de t'apai,u et de 'Me lalsauCaire ee que tu veux qui solt fa.lt. tel que : guUirtes maux ou ctux dea autres, iIIuminer ton es-prit .. an tet point que tu paisses voir avec MeaVeax la V6rlt.e que to cberches. ou exuter l

- 30-volonte a la Mlenne et Me laisaerent, dans Ma Sa-gesse, determiner l'heure opportune pour I 'action,C'est seulement apres qu'ils eurent obei A rim-pulsion de Ma Volonte pour faire l'effort neccs-saire qu'ils purent entrer dans la Vie NouveUe.38. - Toi, avec ta personnallte, tu peus es-sayer mille et mille fois par toi seul de briserla coque de la conscience bumaine.39. - Mais, en Ie supposant, tu arrlveras seu-lemet l\ 1a rupture des bareieres que J'ai dispo-sees entre Ie monde des formes tangibles et laregion des reves .intangibles et, Ja porte etantouverte, tu ne pourras Iongtempa.eviter l'entreedes intrus dans ton domaine prtve, sans beau-coup de difficultes et de souffrances.40. - Cependant, meme eeci, Je le permets,parrots. pour que par de telles souft'ranc-es tuobliennes la force qui te manque et le discerne-ment necessaire pour savoir qu'il faut abandon-ner tout dbir de connaissanee, de bonte, et m~me d'union avec Moi. devant te procurer un avan-tage personnel ; stnon, tu ne pourras [amals epa-nouir tes petales pour manifester Ma BeauteParfaite, ni abandonner la coque de ta person-nalite humaine, pour entrer dans 1a LumisreGlorieuse de Mon Royaume C6leste.

-29-perfecllon les travslU qu'aulrefois. it te sem-t impoSSible d'accomplir.27. - Mais, ceUe Ccnnaissance, ou eeue Rea-lion, par laquelle tu 1& . rendras compte de Ie!Wahte, de la Verile lei espliquee, De. vlendra pas

t.mediatement.28. - Elle peul ne venir qu'apres de tonguesa D l l e e et, cependant, elle peul venir demain.29. - Cela ne depend de personne d'autre queloi-memo.30. - on pas de ta per onnalite prop re, ni ~ d6siT. et de son entendemenl humains,JI. - Mai de ton Je Suis qui e 1 Dieu,a-dfdIlDl de toi.n.- Que! esl eelul qUI fait s'ouvrir Ie bour-1

33. - Qui fait klor le poussln ?Jot. - Qut decide de I'heure el du jour?1$_ - C' I 1'0 te conscient et nature] de lainltilieure qui e t en eux, pat legueJ Ma, eoop4ront avec Mil Voiontti, foil parve- maturitti Ie fruita Mon Idie qui S C I manlfes-dans 1a fleur- et dans le poussin... - La Ileur el Ie poussin deciderent-ilsque ee soil par eux-m mo.'; ?11_ - Non. ils subordonnerent et unirent Ieur

-31-41. - C'est pourquoi, Je te donne ces instruc-tions d e s maintenant, afin que tu apprennespar quel moyen Me connaltre.42. - Car, Ici-meme Je te promets que si tu'vere)! el t'efforces sincerernent it comprendreS obeir A Mes Instructions qu'ici Je te donne..Ie onnaitras bientet. Je te ferai comprendrece que Ma Parole contient, qu'Elle soit ecri-dans Ie livres ou dans Ies enseignements,la nature, ou dans I'homme. ton sembJable.43. - S'iI est quelque cho e qui te paraisseadictoire dans ce qui esl ecril icl, avant derepousser, cherehes-en Ie sens reel..... - Ne passe pas un eul paragraphe, ruseule des pensees icl enoncees, sans avoirclairemenlle sens de chacune d'elles, dansleur portee.- Mais, que lous tes efforts et les inves-

~~iorIS scient fails avec foi et conflance en Moi,et lntime MoL Ne l'impalienle pas. NeIIIl1pu~lle pas des resultats car ceux-ci sont tousGarde et c'est Moi qui en prendrai soin,dootes et tes inquietudes ne viennent quepenonnalite et, si tu leur permets de persia-Ds te conduiront seulement A l'tnsucces etdicouragem-ent.


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MOl - LA VIE - DIEU1. - Si ce que tu viens de lire a trouve unecbo au-dedans de toi et que, interteurement; tuaspires Aen connaltre davantage, alors tu es pret

A recevoir ce qui suit.2. - M als, s"i tu doutes encore, ou si tu terevoltes contre I'autorite Divine de ce qui estec.nt lei, si differente de ce dont te parle tOD'inteUect, en te disant que tout ceci n'est qu'unenouvelle tentative pour s'emparer de ton espritau moyen de suggestions astucieuses et desophis-mes subtils, tu n'obtiendras aucun profit de cesparoles. Leur signification restera encore cacheea til conscience modelle ee Ma Pa.l'Ole devre teparvenir par d'autres moyens d'expression.~. - Or, c'es\ Dlen que \a per's'onna\i\e avecson intellect te pousse A douter et a se

-lUvolter centre une autorite ~ue tu ne reconnalspas romme Mienne. Car, c'est Moi. en reaUt~qui inelte ta personnalite a.se rllvoller de Ia sorte,avec sa sensation orgueiJleuse d'Indlviduallte ;elle M'est encore necessalre, afin que Je puissedevelopper un esprit at UJ) corps uinsatnmentror~ pour pouvoir M'e1primer avec perfection.J'aj done~donn4 a ta per onnalite la mission d e -douter et de se revolter ainsl, auss! longtemp quolu ne sems pas apte a Me c onn e tt re . M l I .i s~aussi-t61 que 1 1 1 auras reconnu Mon Autorite, la de .tructi


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-36-geant. JmpersonneLlemeru. ebaeune d'eHes, aflnde t'amene, flnalement. tol et Mes autres es.pre,S-sions momUes," UDe reeonnalesanee definitiveet conselente de Mol.10. - J'ai toujours 6t6 au-dednns, au plulprotond de toi. J'ai e t e avec toi dans tou les e v e .nementa de ta vie, dans toutes te joles et tadculeurs, dans tea succ~ et ~ errenrs, ti! man-vai!Jes ,!lt~tions, dans ta honte, dans les crimeeentre ton frere et centre Dleu, comme, tu l'acru. Done, soit que tu sui'Ves le droit chemin,soit que tu t'en eeartes, ou que tu loi. retour-

m! en arriere, 1. 3 be que c:'e t Mol qui te le fitfllire alns .11. - Cleat Mol qui to poussal It marcher, teguidant par une fllible lueur de oi to p erm e t-tAnL de I'apereevoir an loin, d'une fact0n confusedans La conscience.J2. - C ' I Jdoi qui te detouma] dn drollchemin par 10 vision que Je te donnal de Moidaiui quelque Visage enchanteur, un bean corps,un plaisir enivrant, ou dans une aJJlbition insft-tiBbIe.13. - C'est Moi qui t'apparus seus le v~tementdu Pecbt. de 18 Faiblesee, de l'Envie, du Sophis-me pour te rejeln dans lea bru (roids de la

-38-voir exh~tant n'eat autre que 1. manlfestaU nde Mi l Volont~ en, ction,18. - La T Iple Force qui se manUeste eom-me louie Sagesae. toul Amour, et toute Puissan-ce ou, ai tu almes mienx, comme Lumiue. Cha-

leur et Energie, c'ell-a-dil'e. ce qui maloUentunies loutes les {ormes et ce qui est au fond elan-dedens de toutes lea eltpressions el phA e devie quellea qu'elles solent : ctutrlees, eOlu!slvesou destructive., n'est autre chose que 13 manl-restatlon de Moi-M~me en aclion ou en t!tnL d'Elre19. - II n'esl rlen qui n soit une manU'eslo-t on ou une, expression de quelque. pha~ d MoLJe Sub. non seulement, le Conslructeur de touteslea rermes, maia encore, J'hnbile en ebaeuned'elles, comme ao fond de ehaque chose ut!6e.J'hablte .dlln~ Ie CW1 r de I'elre humaln, de 1'8nl.mal, de Ia neur, et dona le ceeur de Ia pIerre.!)aM Ie creur de chaque chose, Je via. Je Me meuset J'al Mon Etre, Oil coeur de cbaque chose J'ex-teriori e eeue phase de Moi que Je d~sire cJ:prlmer et qui se manifeille dans Ie monde mat6rielcomme une pierre, ene Jleur, un animal, ou [email protected]. - M~i!l. Je t'enteuds demander; N'y a-t-il done rien, nl peesonne, en dehora de ce grand

-17-(notion du bien ou du mal), Je l'ytt' dt!battre dans une Incertitude v.gue.- ........ jour ou , te rend nt compte de ton lm-ill te .Fevoltu de d6gotit et, in plre

Ja nouvelle revelAtion, tu deehlra Mon Voil~.J . - OuI, e'est Mol qui te fal Iaire toutes!Ij et si tu peux Ie omprendre, c ' r .. .s l Moi' f l i tout co que tu [ais et tout ce que tonralt, ar . lE I CELUI Q 1 EST en Lol

lui, c 'e sl M O I- M E~ fE .- Paree que JE SUlS LA VIE.- Je ui Celul qui onlme ton corps, qui

peDRr' ton e prH, battr ton cceur ; Je Suiqui attire sur toi 13 douleur ou le plai ir,tent de la chair, de l'Intellect, ou des_ - Je Suia ee que tu as de plu inlimeJe 01 1 0 Cause qui anlme ton ~tre et

.. e . tontes IC $ choses vlvantes, toot vi 1-.. 'invisibles. II n'exlste rien qui solt mOrl,run lmpersonn I, Je Suil la Ream!!de lout ee qui est, Je Sui 1'lnClni etlII.eat UUmile. L'Univers est Moo Corps;IaleJllgence emane de Mon E pril, loul

qw exate delcoule d M n ~ur. tout Pou-

-89-e me sera-t-ll pas permis d'nvoir un in-

-.oiidn;!>ltl' pro pre, it mol?- 9", il n'exlste rlen, o.b olument rieoIR soil une partie de Ma propIIe Substance,

el rtgi cUernellem nt pllr Mol, car.l'Unlque et Iaflnie Realil~.- Quant a til pretendue lndlvidualite, elleTieD de plus que ta pcrsonnnlile qui cherchea conserver son exlsteece s e p a e de- MaJs. I'll urns blent6t qu'll n'e:xi. teindividUllllle en debar de Man In-et qoe toute personnallle e fondroJMPER. NNAUTE DIVINE.- Oul, tu arrtveras Ijienll}t it eel eUit doil to pcrcevras une lueur de Mon Imper-Tu ne riesil'eT3S plus d'Individuallte. marne, oi d'exi tence 6paree de ,foi, carrendras compte qu'elle ne sont qu'unede plus de ta personnalite.


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-JV-

~lDrCE - INTELLIGENCE - VOLONTE

De fois de plus. Je te dis que ce J6. parle ici, I Ion reel Moi. En llsant,rendre com pte qu' n rtialite. c'est Toi,el !ntime Mol qui transmets ces paro-CIODIClencehumnlne, POUI'"qu'elle com-

JI I t lDement lear slgnilicnU n.

-42-8. - Je te repele egalemcnt que ce meme Je Sub eet la Vie el !'&sprlt qal animenltoutes les chases vlvantes dans I'Univers, depuisI plus petit atome [usqu'au plus grand soleil.Ce Je Suis est l'lntelligencc en toi, en ton fre.re et en La ~teU1",comme c'est 6galemenl l 'Intelli-gence qui fait vivre et crottr toutes hoseseree.es. pour d venir ce a quol d ie sont destinees.4. - Mal. tu ne peux encore com prendre

comment ce c Je Suis peat etre en memetemps. Ie c Je Suis de 101et le Je Suis de Ion frere. et aussl, l'Intelligence qui st dansla pierre, Is plante ou dans I'animal., 5. - Cependant. tu Ie eomprendras, itn esattenlif a Mes Paroles et si tu obeis ala mstru -

tiOJ:lS que Je donne icl. Si tu continues a UTeel t 'errorees ardemment a eompr ndre Ma Signi-fication. J:apporte~i bient6t a ta conscience uneLumiere qul illurninera les parties les plus se-cretes de ton esprit, e liberant de louie cettefoute de faux concepts, d'idees et d'opinions hu-maines qui, ,\ present, obscurcissent ton inleUed.6. - Done, ecoute, aUentlvement :7. - J Suh Toi, ton Vrai d Intim MoL Jenis lout ee que tu es reellement. Cc que tuerois etre n'est pl;l5 ce que tu es. Car, ce que tu

erois eire n'est qu'une illusion, une ombre de tonlfrol Eire i ce Vrai Etr-e est Mol. ton Mol .Intime,Dlv!n et lmmortel.8. - Je uls ce point focal de La con ctencequi, dans lon .espri], humain, Be nomme lui-mil-me - M ()i . Je Suis ce MoLMail, ce que tu ap-pelle c ta conscience est, en rialile Ma Cons-cience. quoique st~nu~e, pour qu elle 'PUis e s'a-dapter 3 1 0 capaclte de ton esprit humain, Mals, 'c ~ t encore Ma Conscience et, quend tu pourras

cha ser de Ion esprit tons ses fault concepts. sestllu ses idees et oplnlons humalnes el J'en puri-fier entierement, alln que Ml l Conscienc puisses'y eltprimer llbrement. a101"$, In Me connaitras.T~ auras que t.a personnalit n'est, .rien qu'nnpoint focal de Mil.Conscience, un onduit, ou unmoyen, par Jeque! Je puis exprlmer. exlerieure-ment, dans III mRti~re. M a Signlfication,9. - Cependant, tu D peux encore concevoir

ceci ct. naturellement, tu De POU rt 'I IS Ie eroire siJe ne prepare d'abord ton esprit et convaincs Ionlntellect de sa verite.]0. - On t'a dlt que chaque cellule de toncorps pC l llSede une conscience et une intelligencepropres et que. sans ceUe conscience, eUe DC


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-"- -45-pourralt faire le travail que ai inlelllgemme:nleUe exeeme.

J 1. - Mais, chaqub cellule est entouree demillion d'autres wluJea. Chacune aecomplit In-lellig.emmenl son propre travail, evidemment dl-rlg6 par 18 consclenee unie de loule ce cellu-Ies qui forment une inteJlIgence-groupl,l dominantel dirigeant ce traY il. .cette intelligence-groupeoat, apparemment, I'intelligence de I'orga~ queforment les enutes comprises en lui. De m&meII y a d'autres lntelllgenees-gecupee en d!aulresorganes, chat-nne contenant -des millions de. eel-lules et tous ces organea forment {on corp p6ysique,12. - Tn 5Ilis- maintenant que til. es I'e-ir-e In-. l.elligenl qut dirige le travail des organes de. toncorps, que cette direction oil efl'eeUve, eons-clonlc ou Inconsclente, quant , a u mode d'ex~u.-lion. Chaque cellule, chaque organe est, reelle-ment, un poinlIoeal de eeue Inlelligence-dlrectri-ce, Lor que cette Intelligence se retire definitive.menl de I'ol'ganisme. lea cellules se separent, tODcorps pbysique mew.. et eesse d'exi tel" comtneorganlsme. vivant.13. - Mais, qui est ee Toi qui dlrige et con-trole lea activites de tes org\IDes et, par conse-

quent, eelles de chacnne des eellules -qui let composent?14. - Tu ne peux pas dire. que c'est tonc mOL bumain, ou personnel, qui I'aceompltt,

Ca.rpersonnellemenl, tu ne peu.'1sans gl'ande r u . f -nCI1It~ contreler eon ciemmenl I'action d'un seulorgane de ton corps.15. - CedOll done ell:e ton c J.e Suis , Imper-sonnel, qui est TOi, ans eire cependant toi (dansle sens personnel).t6. - Beoule 117. - TOi , Je c Je Suis , de toi, est A Moi ee

que (0 conscIence ele eelIures de lon corps est ata eonsclene du c Je .Suis t.1 . - Tu es, pour ainsi dire, une cellule deMOD Corp1l.To con cienee (eomme une de MesCeUule$) e 1 it oi, ce que 10 conscienca d'unedes ellulcs de ton corp est a toi.I .. ,c - d'. -..... on crene une cellule de ton corps~l done M:l Conseienes, de meme que ta cons.Cl ncee 1 Mn Conscleaee -ei, pour eUe raison ~ cellule. toi et Moi, devons etre U en OriS:crenee.

20. - Cependant, tu ne peux d A pr6~sent dlrlger ou controler. eonsclemment uneseule des (!e1Jul~sde ton cceps, Mala, qU!l~d Lu

-46- -47 -pourras, it volonte, entrer dans la conscience deton c Je Suis ., et connaltre son Identite avecMoj, alors. tu pourras contreler non seulementchacune des cellules de ton corps, mais encorecelles de n'imporle quel autre corps, si lei estton desir.21. - QU'arrive-t-il quand, ton etre intelligentcesse de controler les cellules de ton corps 122. - Le corps se desagrege, les cellules seseparent et, pour un temps, leur lravail est ter-mine. M"ais, est-ce que les cellules meurent ouperdent leur conscience? Non, elles dorment toutsimplemenl ou se reposent pendant une cer-taine periode. Apre.sun laps de temps, elles s'uni-root a d'autres cellules, pour former de nouvelleseombinaisons et, tot ou lard, elles reapparaltronten d'autres manifestations de vie, soit minerales,vegetates ou animales. Pendant tout ce tempseIJes montrent qu'elles ont garde leur conscienceorlginelle et qu'elles aUendent uniquement l'ac-lion de ,MaVolente poUT se joindre dans un nou-vel organisme, afin d'executer les oedres du nou-vel etrejnteUigent, par lequel Je desire Me mani-fesler.23. - IIsemble done que ceUe conscience dela cellule esl apparemment commune II . taus tes

corps, soit mineral, -vegetal, animal ou bumain,chaque cellule e t a nt, sans doute par experien-co, adaptee pour un certain travail, commun Iitons ces corps?24. - Oui, cette conscience de la cellule estcommune Ii toute cellule de tout corps de quel-que nalure qu'il soit, parce que c'est une Cons-cience Impersonnelle, n'ayanl d'autre but qued:executer Ie travail qui lui est assigne. Elle neVlt I:{uedans Ie but de travailler oil I'on a be-soin d'elle. Quand elle a Iermine de construireune forme, elle en entreprend une autre, sousla direction de I'etre intelligent II . qui J~ desirequ'elle serve.25. - n en estainsi de toi (en ce qui concer-ne ta conscience hnmaine).26. - Toi, comme une des cellules de MonCorps, tu pessedes une eenscrence qui est MaConscience, one intelligence qui est Mon Inlelli-~ence el aussi, une volonte qui est Ma Volonte.Tu ne possedes aucuoe de celles-ci par toi-meme.Toutes sent II . Moi et pour Mon Usage seulement.27. - Or done, Ma Conscience et Moo Intel-Iigence, comme MaVolonte, sonl entierement Irn-personnelles. Elles te sont done communes, ain-si qu'-a toutes 1 e _ 8 celJules de Mon Corps, de me-


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-48-me qu'ElIes sont communes loutes lea uUuleade ton corps.28. - JE SUlS ENTlEREMENT ThIPERSON-NEL. Ma Conscience, Mon Intelligence et 1tbVolonU qui op~l'ent en toi et dans le a autrescellule. de Mon Corp et qui eonstltuenr Ion _IeSuls. el Ie leur, doivent operer Imper$Onne1le-menI dans toutes lea cellule de Ion corps. Done,Moje t Ion cJe Suis " et celal de Ion rr~re. ainltique la conJCienee et I'intelligence de toutes leac-eJJulesd lous lea corps, sommes ON.29. - Je Suls l'Etre Intelligent, Ie ~teurde loul : I'Esprtt qui anime, la Vie, 18Col\Seien-ce de toute Mati~re, cia loute SubaltLnce.30, - Et. I tu sals Ie comprendre, Toi IeVral, I'lmpersonnel, tu es en tous, tu eS 'UNavec tous, tu es en Moj et tu es UN avec Mol,comme Ie Suis en toi et en tous et, de ce Calt,J'u.prilne Ma Reallte par toi et 'par tous.31. - ;elte volonte que tu appellee La velon-

II! n'est pas plus la Henne personnellemen! quene Ie .ont la conscience et l'ihtelligeoce de tonesprit el des cellules de ton corps.32. - Elle n'est pas autre ChOM qu'une pe -ti,le.~rllon de .M a Volonte. que Je te permetsd utiliser. Del que tu parviendras a reconnattre

-48-ell toi qUelque pouvolr ou rac:ult~et que tu eOID-lDeDCeraa.. en USer cODlCiemment..Je te ~deral Mon Pouvoif"Inlioi a un de"re pronnO D e t j -.D c ! . . I. i D r_r on-conna saanee que tu en .uraa et I'usa-ge que tu saura. en Caire.33, - T?ut pouvoir et $Onemplol De d~pen-dent que dune plul ou moiDS grande connaaanee et comprehension de I'emploi de u_ ViS-lonte. ...... 0-34. - Ta Volo1)ti et tous lea pouvoin .ne

IOn! que des phases de A la Volont. que J'atte-nne, afin qu'Elie s'adaple La capaciM d'enUser.36. - SI Je te conllaia lout Ie Poovoir de Ha~olonte, .avant que tu sae,hea consciem.mentten SO.rvJr,ee Pouvoir annihilerait en1i6tementton cerps.36. - C'est doDe pour eprouver L a lorce et,plw IOUvent encore. l?,Ourte monlrer le relul-

tat au mnuvais eRlplol de Mon PouVQir que Jeto penne ts, padois, de commeUre ee que to ap-pellC1lun peche, ou bien, une erreur. Je te pu_meta mbne de l'enorgueUlir de Is sensation deM a Pre enee CD 101, quand elle se manHestecomme Iaconscience de MonPouvoll'rde MODIn-

-50-te11igenceet de ~on Amour et " 0 te I.iaso ellCaireusage pour tcs fins particu]i~res ; mats DODpour longtem~, car, D'etant pas allez fort pourlea dominer, H i se retournent bieDt6l conlre to;.lll-I'emparenl de tOi,te renversent et to ualnentdans la rAbgeet, ftnalement, clisparaissent de L aeonseleaee pour un lapi de temps,37. - Mats. toujours Je Suis h\.,pour te me-ver a_pres Is chute quoique II . ce moment, luno Ie saches pas; d'abord, en te f1liullt honte.ensuite, en te redressant et to Iflilant contiDuerde nouveau Ion chemin en l'indlquant 111causede La chute. Et finalement, quand \u e5 sutrf-samment humille, Je 10 Iai eomprendre queus pouvoira, en IemnnifCJtanl en toi par run-ge eenselen] de M a VoJonl6. de Mon Intelligeneeel de Mon Amour, te .soru concedes pour ~tr.employ~s uniquement it Mon Service. et non papour tes fins personnelles,33. - Est-ce que Ie c:eUoJes de ton corpl,lea muscles de lea bras vont se ccnslderer commeay_ot une volooU dIstincte de la tienne, ou oneintelligence diJJerenle de 10 D intelligence?39. - NOD,ils ne connalllent pas d'autre in-t emgence que Is Henne, aUCOD e autre volon"que Ia tienne.

- Btenl6t, tu comprendraa, et ta te ren-CIDBIpteqe, 10 1 auui (conJider~'lci comme_ " ! l I C e ecrperelle humalne) tu n'ea qu'unelei d e - Mon Corps, que La volont~ n'estTalonti, mals la MlenDe; que Iaccnsclen-mtemgen:ce que tu pcssedes sont entiere-Mlennea : qu'll n'exiete pas en toi tellecomme tu le crois. En efJet personnel-to n'es qu'une forme physique doueehumain, cree par It{oi,dans Ie bul

_IIIl.IRer dans 18m tiere une Idee. une cer-par laqueJle Je pouvals M'uprimeret, unlquement, dans ceUe rorme par-- Tout cecl peut encore, en ee moment,

_1lbL~r difJi Ue a copter. n est possibleque tu protestes enerl$iquement. que celaare airisi, que LouteLanature se revolteconlre un. tel abandon et uneAllIordlJitatiionQ un pouvoir inconnu et In-queJqu'lrnper onnel et Dlv n qu'll soil.- Mais, ne crains rien. Ce n'est que taqui e revolte ninst, i tu perse-itudJer avec attention Mes Paroles, bien-t'appa"r:a1traclJljr. D'une maniere cer-J. r Ie rerlli entendre, (nlerleuremenl, beau-


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coup de V&itia merveUleuia quIll t'ei~ poura'wlant. impo.uible de comprendre. Et tu terejobiml jllaqU'au plUl l'rofond de toi et hi en-tonneral dea louange.. ~nil5ant caPal'olu pourle Mellage qu'eUeI t'apporl.eDL

son (lorp., lion eaprit et son Intellect mortelaest une phase de ta nature humalne.4. - Non, Lu ne t'eD ~nds pas encore compMais, Je te parle- de tout eeci d~s malntenant.

pour que tu puilSes eomprendre ces verita.quand elles commeneeront a poindre a ' L a cons-elenee, comme elles le rel'ont. inhilablemenL5. - Mall, avanl que tu puisses reeonna1treces VirlMs, tout ee qui luit dolt elre eludi6 etmedite pa r toi '9ec soln, et tu n'ira pa s au-dela sans avolr comprl~ au moins en partie.Moo En,eignCment.6: - Lorsque tu allrli camnris parrailemenlte prinelpe que Je . et;ahlir lei, alors, tout . , . 0 I lMessage deviendra clair et InLeUigible.7. - Dabord. Je vais te"donner 18 CI6 de toUilei mys1!tes qui, poUT I'instanl, te eachent IeSecret de Mon Etre.8. - Lorsque tu saural Iaire usage de cetteCle. elle te permettra d'aceedee a toute Sageue.

a tQu~ Pouvolr, au elel {"pril $ub,jeetiO eLsur Iaterre. Oul, elle te donnera ~cees au Royaurne desCleau (e prlt Divin). et aloes tu n'auras plusqu' y entrer pour devenlr, consciemment,Ilv ee M O l,9. - La Cle est celle..cl :

-v-

LA CLEI. - n lie peut que, mime maintenanl tu neche. m De eroies qJe Je Sui. reeJJemeot toi,ou que Je Sull ~galemenl ton {r~e et ta S(rur_1 que vous- ~te. lOUf del parHea de Mol et Un.':ec ot,2. - nse peut auni que tu ne croies pal nonplull que ton Ame, eelle de Ion (rire el celle de

ta saul', les seules parties rielle. el inde true-tiblea de VOUI qui 6tel morLelJ. .olent .autre eho-te que des phases diiriJ"~tel de Mot en elLpres-lion dans ce qui .'~ppene 1$ .lure.

3. - De m~e, 11 est polsible que tu ne lerendes 1 > 8 . 1 encore compte 'We tol, tes {r6res etsoeun IOnt del plaue.s, Oilaltrlbutl de Ma N_tureDivine, de meme que ta . persormaUt6, avec

-66-_ PENSER C'~8tCREER, ou,_ Ce que La PENSES en ion. Ca;UR

IllllUrmenf} Sf! rd!1Ci~tra _ D 6lenQ s-tQ i et medite ce s paro)es pourIegravenl (ermement dan Lon"pdt

- Un pep&eur est un er leur.- Un penseur vit dans un monde 'Il'.eIIt cr~, conscitmmenl.- Quand to Ijlurau- commenl i1 faut pen-pourras, a volante. creer tout ce que. l~que ee soil une nouvell personnalite,

"lft!IlU milieu, ou un nouveau champ d'ac-_ V O Y O D S malntenant si tu peux sa.i.s~rdes Ve.riles ea h es et aceessi-moyen de ~LLe Cle. .On t'a montre jusqu'f! que! point louteest Une et eQmrneot elle efSt llaCons-IoGte entiere : cependant, e J L e est aussiinsi qu e eelle de t.animal, de la plan-pierre et de I'jnv~ihl~ cellule. . ._ To a eompris que c~Ue eonscience estpar Ma Voltmle qu determine les eel-_riaiibll~ i\ 'unir et lI . former Ies diversD~essllires A j'expressioll et a . I'usa-


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-&8-ge dea dU'~rents ~eutrea d'jntellipnce. par I....queis Ie d6aire Y:'nprimer.19. - Mais, tu ne peult encore compr:eDdre dequeUe maniire tu poUttu dir;iger el ~ntJ'6IMla conscience des cellules de ton propre eorps,et eneore molns, celles des autrea corps, mfmeII i tol, Mol et e1)~ aommes UN, en conscienceel ~'n intelligence.20. - Cependant. .1 tumets loute ton . tte~-Uon ~ m~ter ee qui suit. tu lera. en iltal de Ieeomprendre :21. - '1"es-tu quelque{ols- donn~ la p ei ne c 1'a p-profondir ee qu'esl I.conscience t Par quel fail

elle esl, l n'en paS' douter, une condition de 10-ctdlU vigilante. ou de conna.iuanee, d'une dis-posltien pa_rticuJiet:e, toujonr" prate ~ aervir et~ Itre diTigile ou utilisee par quelque pouvoirlatent en -eIle et intirnement li~ a elle-meme ,n. - Par quel Iait I'b(jmme est-if, propre-meDI el i&,Ie type Ie plus parrait des otgal l iamucrU, lJOUT rerueuner eette conscience. qui estdirigi!e C It utilisee par Ie Pouwir qui est en elle T23. - De mAm'e. par quel fait encore, ee Pou-v,oir latent dans la eonseienee de I'bomme -et entoute conscience. n'eat-II autre chose que voloR-t~, Ma VoJonU T

-57-2 . 4 . - CAr, mainten~t tu sais que tout pou-voir n'esl autre chose qu'une maniCea!.AUon deMa Volonte.25. - On t'.8 .dit qu'au commencement Je em uL'bomme '8 Moo Image 'It.Ma Ressemblance

et, ~u'ensuile, Je lui lnsuJflai le soume de Vie etiIdevlnt une Arne VLvan\e.26. - M eetivem en& , .en Cl~nl L 'hom me. lMon poage. et a Ma Ressemblance .Ie erelli enlui un orglUiJ me capable d'ex.primer loute. MaConscien~e et tout lIa Volonte, ee ,ui veut din'salemenl, lout. Mon Pouvolr, louie Mon Intel-ngenc:e et tout Mon mow . Je Ie creal done par-fait dill le COmmtllctmenJ, Ie mode111,11tcion M apropre Perre "on.27. - Ainst done, quand J'in ull'la,i dana l'or-pnisme de l'bomme Mon SouJJle, Je lui donnaiMa Vie, Cal' ee Cut alors que Je lrlUlsmis em onorganisme 14'a Volonte. non du dehors mais dudedana, du Royaume des Cjeux oil, toujol;lJ:S, JeSulll. Et, depuis IQrs, toujoun Je respire, Je viJlel Fai Mon Eire au-dedan de l'homme, car JeIe ubi a Mon Image et lL Ma . Reuem.b!Anc:e.DDiquemenl dans ee but28. - loll preuve de ceci est que I'homme nerapire, ni ne peul resplrer, par lui-m&ne. QI1e1-

-58-que ,cbose de. plus grand que so~ mol collllCientnature! vil dana son eorps-et respire par ses pon-mons . Une [01"ce j>uissante existant dans l IOnWrps uti.liA ainsl tes poumens, de la mame ma-niere qu'elle utilise Ie eeeur, pour infuser, dansebaqne cellule do corps le sang qui renfermeL a vie, dont it est S8tur~ en passant par lesponmona; comme elle utilise l'estollUte et Jellautres orgnnes pour digerer .It a.s imlle.r Jea ali-ments arin de produire le lang. lea linus, lMebeveUlt et les 0 ; omme elle utilise le cerveau,la langue, les mains et.Ies pieds, pour penser, direel faire lout ce que I'homme fail, dil ef T'en e.29. - Celle fol"U est ~ Volante d'Etre: et

de. Vine dans L'homme quel qu'Il soil, c'est M orqui uia .en lui et, quoique l'homme 8 se, ouque Lo faues, c'est Moi qui le Cais, et quai quelu disea au penses, e~t Moi qui Ie dis au Iepense, par ton ergamame,30. - On t a dit 'egalemenl qu'au moment ouI'bomme tut pourvu de Mon Souffle, iI lui fuldonne 10 domination de tau lea, r!go.e:s de laTure. Celli vt!ut dire qU';1dtWIm msttr dt! tout~ ~i oxillto- .or I. te.rre. dans I.~ meta, dan

J'ail' et 1M espace., .1 1 que lous- le& ~tres Vlv~

c J a M ces region. lui I'endjrent bommage et hlrenlsoumis a sa volonl~31. - Ceci fut nalureUemenl ainsi, ear Je Sui-au-dedans de la conscience de l'bomme. cemmeau-dedans de toute conseieaee manifestant !d BVolonle, et parce que Mol, le Seigneur et Mai-

tre de I'organisme de I'homme, Je Suls egale-ment Ie Seigneur el le 1diiUre de tous lea orga-nismes ou la conse enee dem ure. Et, comme tou-te. conscience est Ma Conscienee et demeure par-loul ou I y a 'Vie. ear II n'y a pas de suh~-t an ce. . s an a vie, iI s'e.nsult que M .a Consclen edoit !tre en toules ehoses : sur la terre, dam leseaua, dans l'air et dans Ie leu et, pour eeue raj-son, Ene doil remplir tout espaee, En feaJile,Elle e$ t Elle-meme ce que l'hemme appelle I'es-pace..3~. - Par consequent, Ma Volonte elant IePouvoir latent en toute conscience, dolt s'exereeren tous Ileus. Par la suite, la conscience de- toU!les orgl lnismes, y eomprts la conscience de SODpropre organisme. C IS soue Ie conlrole el 14 dl-reetion de I'homme.33. - Tout ee qu:'i1 lui r ut pour cela, e'estqu'll $~n rende compte, cons iemmen]. 1J doilrendre compte que 'est Moi, 80n MOi Imper-


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-60-KlDel en lai, qui dirige-coa.alamment, gouvemeet utlUae I. colllCle~ de . loUi le a organiJDlet. Achaque m9ment de ebaque jour de leur vie.34. - CHt avee et par aa ~e que Je Iefail.M. - Je Ie tail avec et par l'organlsme deI'bomme. L'homme p e n s e que c'eal lui qui peRle.Mail. c'est Moi, Ion wal Mol. qui pease pilI ' IODorpniaiDe, au moyen de sa pe"see et de IIparolecrialricea. C'est Moi qui m~ne il bonne fln toutee que I'homme (all, el c'est Mol q_ui rail deI'homme et de son monde tout ee qu'Ils- IOnl36. - Qu'lmporl.e si I'homme et lIO n monde Desont PIlS ee que Jill sqppos-= qu'n. soot. TI s 50nte.uetiment ee que Je lea, -a t crit!s pour qu ilsIcrRM Mes Dcsst:ins.37. - ~lais, Je l'emends dire que. Ii Je Sui.CeJui qui pease tout. I'homme ne pense pas nlnepeul pens r,88. - Oul, eecl semble etre un mystAre. Mais,i! le lIera rev61i, ~i tu notes lOigneU.tement eequi .uil.Bil. - Car, Je vais ~etueigner, It toi, homme,COMMENT tu doil _penser.

-V-PENSER ~ CREER

I. - J'al dil que l'homme ne pense pque c'est Moi, au-dedana de lui qui pease pouriul.2. - J'aJ .egalement dit que I'homme P8lloseque c'elt lui qui pense.S. - Comme ceei e I une eontradl tion appa-rente, .T.edais neee slIiremeot te dl!monlrer que\!O 0 t pas l'homme qui pense, pas plu qu'lIne tail, quoi que ee soit de ee gu'" eroit Iaire.4. - ClIr. Moi. au-dedan de lul, Je fals t utee qu't! f ,to Mai J8 Ie raia necessairemem parlion organlsme, par n personnaHtt, S01 l corps,100 esprit et .son ame.S. - Je vais t'expllquer comment.6. - En premier lieu essaie de Le rendrecomple que Je te lis a Mon lmase et a Ma- Res-

-62-sombJan.ce et . que Jj Mon ELre au-d$DI de toi.Bien que tu ligoore!! encore maiotenanl et crolaquo. ~(ol. Dleu, hSols quelque part en dehorsde toi et que Lol el Moi semmes stpn~, es-saie d'Imaginer que Je Suis au-dedans de tol.7. - Ensuile, rends-tel compte que, ce que turaia. loraque tu pense , ee D'est pas, ~ellel1lent,penser, ear L u ne le fait pas eenselemment, no eopourrnll ':lre autrement, puisque tu o'as pa Mconscience de Mol '1111Suis l'Insplrateur et IeGuide de to ute s .te s id~ ct pe.n.ees gui eotr-enldans ton es.pJ'it.8. - Reeonnais de plus, qu'en rnJ.son de eeque,le U1 en tol, que tu es coneu It on Ima-ge et a MARessemblance, el que tu poallides lou-tes Mea- Facult6s, tu IIIJe polW()ir de pense:r.M:8is, otlant p as c o.O I ci eo t q ue penser e'est cner,

'en Je tal.SIlnl. tu 'Isea d'un de Mu Pouvoira Di-vjol. En reallte, teute 1J l Vie,tu 81 eeMe, mais cela0'8 jamais tite qu'un penser lao OU, ee queloi II I appeJlerals une fa~n errooee de penser,9. - C'est eeue {a~n erronee de penser, ceUeignoran e de ee que.t Mon Pouvoir dent, tq III

'aU auBe d'uae maniere ah~ive, qui t'a e e p a -r6 de Mol, en conscience, t'6loignanl de pIll' .e n

-63--plas, mala toujoura. accompli.sanl ,..es D_inaC J U l eox te seront r6v61 plu Urd.10. - L a. preuve de ce qui precMe eat queto penses etre separe de Mol. que tu vis dansun monde ma[erlel, que too corp de ~ha1r en-pdre et Mberge 13douleur et Ie plaistr Ilt qu'uneinfluence maligne, appelee Ddmon, se- manU -te dans Ie monde en s'opposant J\ Ma Volonti.U. - Oul, tu crois que. toutes ces c h O l S e s sonltHllemenl alnsl,12, - Elle soot, en e1 te t ains]. pour tol, car.pour Ia eonsclenee mortelle de l'homme, loutesles cbases S()nt ee que le M Ol en lui pease etcroll gu elles sont.13. - C'~sL encore Mol qui fais qu'elle pa-raiSlent eire au m ol de l'homme ee qu'Ilpense qU'elles son I, dans le seul but de servlrMe8 Dcsseios et pour que s'accomplh se 18 101

de la erea\ton.1l. - Voyons maintenan\ sl eed esl uarl.16. - 51 tu Grois qu'une chose_ est de cer-taine manlere, cette chose n'est-elle pas .reelle-ment alnsi pour tol?J6. - West-it paiil "rai que torsqu'un chagrin,un mallieur, une douleur, nne ouffranee, ou uneinquiHude te semblenl nels. c'es\ parce que til


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-84-penlce, OU ta e ro y am r ,e le s lont te ls que tuimagines 6q-e? D'autre pertOnD pourraiftll"Voir cea memes eh~ de lOuto autre ra~comidi!rei i. a manlere do les oir comme absu rde .N'on est-ll pa s .ainsi 117. - SI cecl est vnrl, alor. ton corpe.penonnaliM, ton caraclue, tan miiieu, ton moa -de, lont ee qu'iJs to parai'4enl Ure, paree quelea a penSe& tell qu1ls wstent, actueUemeut.18. - Par consequeat, lu p e . U % k,. modf(iBpa r je mllJle p.roctd~, I'ils ne te plaisent pas .....pen lea bansrormel" a ton g t e , en pensant qu'iJssont ee que tu desUes qu'Usoient. N'eske ,.que Lu peux Ie faire? Mais, comment peut~a:iellement III eonselemment penser de IIlJlIliaw1 \ obtenlr eette modiflcation. te demandes-lu!19. - En premier Jieu, nche que c'cstlon Intime el VnP Moi qui aUirai. mtentioD-nellement, ton altention !UJ: e1!8choses qui, mala-tenant, Le 1I0ot si desagreablea et to rbot peDIa"eo -qu'actuellement, dl.es te paraiqent eire.egalemen! que e'est Moi qui pr6pare ailW b:aesprit humaln din que, quand tu ~ccourrasMol, int:erieureme.ru. avec une. Foi 0 une eo.fiance (ormes et permanentes, Je pWlse te met.tre en 't~l de voir 1!t de Iaire manUener, may..

-65-~lIeJnetlt la REalite de ces choses quI, p*le semblent si de a~i!able.s.D. - Car, Je te donne tout ce qul, par sonexterleur, peul attirer ou lnduire lon e . p1'\l

",IIIUUBII pour uivre sa reeberebe ou son lnves-.... tiion terrestee, Je te prouve aiDSI comblen e ta 1'1:sprit humaln, I'aspect ext~rleurtoules J e l l tho e m.llc\tieU,lIs, et III. fail! bi-de - lout entendemenl humaln, dana le but delaire aceourlr, intil' ieuremen.l, a Moi et Saga e, eomme ie Seul et Uniqlle Intupr't-et Guide.J. - El. quand tu auras eu recours it Moi,:.1tJ1ellremetnt, J'ouvrirai I s yeux et te CeraiI'unique moyen, par lequel Iu puissesbperer III. IT;msformaUon de La manierepenser, est de c .hanger . .avant loul, La mllDlereJaser Cell ehc es que tu 3 pensaes et qui -ne

pllS ee ~u'elles devraient 6ll'e.- Or, si ces chcses Ie paraissent peu $11-

_IIJ$SnIL'!:S, OU odreuses et t'ifreetenl au pointeD.1Uitn' un malaise physique, ou des tnqule-mentales, h bien! CC8se de pen er qu'ellest'nfJ"ecler ou t'Incommoder de III sorte. - Car quel est celul qui commande ?

-66- -67-ton corps ion esprit au Toi, I c Je uis au-dedans d toi?24. - AJors , pourquoi De pas montrer qu tues celul qui commande, -en peasant le I el et Ipositif qlle ton e J SUlS. de tr que tu penses ?21). - C'est eulement parce que tu pen esque 18 5 choses soot comme lu les vots qne tolab es entrer dans ton esprlt l~ p en u s Inhar-monleuse el que tu.leur laisses insi le pouvolr-de l'alTecter et d'exereer une telle ruluen e surtol. Quand to c eros de leur donner ce pouvolret que tu accourras it Mol, in~trriel.lrem nt, MeIaissant dirlger- ta pen see. cite' dis parni I rantrmmediatement de La conseienee et retoumerontdan I n ant, d'ou tu le ~i)rti n ~ pen, nt.26. - QutlDd tu seras


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- 8-atteint pa.r toi, elon It degr~ de I!OneenLrnlioDde Ion attention UJ' ~elle idee, toutes les sellvile de ton e prit eLanl palsees, toutes Iesa utres ld e-ese t pe nsee s I!lan t elimln es de ta c en s-den e. afin. que cette idee regne uniquemenl etexeree pleinemenl louie $OD Influence, ont, sen-lemenL lOTS, J'agis el illumine ton esprit elIai se d-eplo 'cr dll 'ant La viston mentale, les

phases el pos ibililes eontenuea danseene idee.34. - Tcutetois, jllsqu'a ce point, e~ci a lieu,an~ plus d'effort lie volonte de ta- part 8 eeque la concentration de Ion attention fh;ee

sur cette idee.8&. - hW s. une foi


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-12-seulement tu 1~u-vai$ I Tu n'ss I'flslntenatlt. ence moment marne, qu'i penser et II pronon erI~ ~role, te rendant compte de ton POUVOiT it~lol, l'Omniseient, I'Omnrpresen! et l'Omnlpotent,Je ferai que '"aectul! ce que tu as eommande.Et In conscience alerte de, cellul; lnviribles detoute mati re, Ul' laquelle se eencentrent ta vo-lonle III ton alfenfion - dont la conscience alertee!lt M:. Consctenee, ouviens-t' n - CO.DlIDClJlCe-fll immMiatemenl It obelr et Ii llgir, en accordselon l'Image ou Ies proj ts que tu as eoneu auprepar~ , au mo en de I.a pensc!e.47 . - C IIr, routes cboses ant t 6 rnlt~ par 111Parole ; 58n La Pa ro le , rlen de ee qui II c! te fa ilne. e serail f.ail .48. - Quand tu pourras te rendre compte detout eet el reconnaltre que la eonsclen e duJe u15 en toi est Uoe avec In eon cienee de toutemaliiire animee eu lnanlmee, que Sa Volonte e!!lne avec tit volonte qul esl Ma Volonte el que

lous tes des!" sonl Mes D~ rs, alors, In com-meneera 8 Me connaltre .el a Me entir inlerlco-rement et III reconnaltras le Pouvoir- el III Gloi-re de Mon T d e c s qui s' prime, elernelle:ment etImpeesennetlement, par toi,49. - Mais. ilest absolumenl neee.ssuir que

-73-to apprennes, d'abord, COMMENT on doll pen-.ser. comment d' Unguer tea pen ees, celles quisent illrig~e.s, par Mol, des"pensees des autre ;comment recher her la provenance des pen~esen remontant II leur source, comment bannir deta conscience, a volonte, elles qui ne te convien-nent pas et finruemeDt, comment dominer etulili er lea d e ir , alln qu'it Ie servent loujoon,au lieu d'elre, tol, leur e CI3V~50. - Tu AS toutes les pouibilites au-dedansde tol parce que Mol. Je Suls. J,A.Mon Idh doits'exprimer et elle doit Hre elliprimc!e pal' toi.Elle s exprimer8 parfaitement, pour peu que IIIcalmes [on e prit humaln en -etoignanl ~ute:s leaid ~ P rsonn n ,1811 croyanees el Ie' opinions.pour lui permeure de se manite ter. Tu.n'as qo'.recourir iI Moi interieurement, et Me lalsserdirtger Is pensee et exprimer quelle que ,soil 13chose que Je veulll en acceptant et en Iaisant,lor, persennellement, ce qUI: Je desire que tufasses. Alol'S, tes desirs se n!a.Jiseronl. Ta viedeviendra tonte une suite d'harmcnles, ton mon-~e un tiel ~Lton M I, l1 N avec Moi-Mme.51. - Quand tu anras commence it te ren-dre compte d ceel at que tu ,Iluras pe~u quel-que chose de sa signiftll"t1on, tu pourras, aJorl,eomprendre l'rmportanee r6e11e de ce qUi suil

-Vr-LE VERBE

1. - Nous sllon. maintenant fail;e .u.ge de1a CJ6. Je Ie mootreral comment Ie plan et Iep~e que Je viens de deerlre sont eeux parJesquels' Ie monde vinl a exisler, et commenttout ee qui est dan el lIur Ia terre, y eompria toi,tes rreres at srenr", ne soot que I~ manilesta-tions materielle d'une Idel!, Mon Id~, qui sederoule dan. M:. PenJie el 58 tradull en eltpru-sian vivant1l.2. - P1'emi~remenl, sacb~ que:3 - Mol , le Cr6aleur, Jo Suia Ie Penseur Ori-ginel, I. e Seul et Unique PenseuJ'.4, - Comme II est demonW, dan ce quiprecede, l 'bomme J\I! pense pas: c'est Moi qulpense it travers lui.o . - L 'homme pense que c'eal lui qui peon.


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-7&mitis, tant qu'U n'esl pas heiU~ ne se ren-dant pas compte qUI: Je Suls au-dedans delui, 11 'elt01l eulement lea ~IlS que ,J'attireou inspire A SOD esprit et, se Lrompanl sur leonvrales signJfl.caUons el desselns, it leur donne uneInterpn!ta1ion personnelle, puis, par des d'sinegoistes ainsl eveilles. 11se c . r e e lui-meme toutesse a calClmilc$.6. - M:als. en r e a l i t . 6 . ces erreure apparentes,~ Iau es Interpretations, ces ~nterventioDl-ne.sonl qUA!. des obstacle, que ,T e pla,c:e IIU" son che-

min POUl'qtr'il lea valDque. el qu'en lriompbantd'eux, U pol se developper un corps et un espritaisez lorts et pun pour Ill.prlmer, d'une ma.nJUeparCnte. Mon Jdee qui o_pUe et~rnellement au-dedans de son Ame.7. - L'bomme est done unlquement Porga-nlsme que Je prepare ainsl, dans 1 0 but de mani-fester par lui ta perrecuon de Mon Idee. Jl pear-vail la p e r s o n n a l i l e avec S O D corps, son etpritet S O D intellect par Je~quell J e c pull exprlmerparfultement cette Idee, aIml que Ie urveaaphysique, au moyen duqnel Je puis la ~erel I' primer, cl par Umoyen, la lrulnllestermaterlellement,It. - Je .eme une Idee - quelle qu'eUe loll

-77-

-7S-le, Verbe - et-llans lui - Ie VedIC - den de c:e'll1i 11 e t c (ail, ne ..e serai] talt .12. - Tu apprendras lei cQmment MOD ~erbe

etail au commeneement, eom.menl II -!taiL enMoi, el comment iJ elait Mol-Mente: commenttoutes chosea.ont c it Wles par Mol et par M O DVerbe el que.~ans Mol el sans 1 I o r O D Verbe, rlende ce qui exisle mainlerumt n'aurai! etc fall13-.- Or, pour I'entendemenl humain, unverbe ou une parole e'est Ie symbOle d'une idee,e esl-ll-dire. qu'j) espri~e, f"epresente el renfer-m e une idee.14. - Tu es IJ,D Verbe. au one Parol~ Ie3ymbole d'une Idee, si 10 parviens a Ie compren-tire, de m~l1)e que l'est un dlamant, un cQeVIlI,one violettte.L5, - QUllnd tu pourras discerner I'ldee ren-remu!e dans Ie symbole. tu eonnaltras alors l"meou la n!.aUte de la manifestation qui lIppa-ullcomme bomme, diamant, ch~aJ ou violette ..16. - Done, un Verb!! Otl une Parole, employecomme dims In. citation ei-dessus slgnifle oneIdee, une ldte lateate, mais non encore manifes-tee, pr~le, touLefqis,i eire e1prlmee, pensee outonnuJee materieJlemenl.17, - Le Verbe qui ,Halt au commencement

Ie cuveau de l'homme, Cette Idee crot-_ U n . . . . III (ructifierait rnpidemeol el com-c la-dire qu'elle se manUesterail

iII".n~l'ot, .J I'homme ne 'y opposail pas,ftJDellail son esprlt et toutes ses pensees,C!RIIf et tou 8M de.sin, en les plaeant en-entre ~{es Mains, iIMe lalsseratt alordans 13 reali ation parfaite de eelte- Je semerai maio ten an t une Ide~ danso et, II i to Me laisses diriger son deve-

.. _rol er son expres ion, elle croltra:, \nQrira::.II_itA Ia rlehe- molsson de Sage: se qui I' 1-

- Dans une de MIlS autres Re elalions,IIIBible, on t'a dit bien de choses tou-au Verbe I (In Parole Crealrlce) mitis,rsonnes. pas msme les inl rpretes resCIOIII JM!tentsde ce tte "Bible, n 'ont com p risM SlgoIJtcntion.- On t'a dlt que :enmmeneement 6lait Ie Verbe et Ie Verbe

eD Dieu, et le Ve rbe . el it Dleu.etail u ecmmeneement en Dieu,aates chose. ont I S t ~ Calles par Lui. - par

-79-et qui elail en Moi, emit, non seulement, uneIdee, mais ee Cul Mon IdU de Mol.Mime enexprt:uion, do.ns un noa el etat ou conditionque- tu-appelles : la vie terrestre,IS . - Cetle Idee lail MolMbne. parce qu'elleetall une partie de MOi, etllnt encore Iatente etnon manltestee au-dedans de Moi, car elle Haitu.ne partie de l'Essence tit de la Substance de~ O D Eire, lequel est en t.uilof~me une Idee, l'IdeeUne et Originene.19. - Toutes chases ont ele Iailes par Mol,par eeue action vMBanle de Mon 1dee qui futpensee et rormuJt!e en expression. Rien n'o e l eni ne peal ~lre e.x.pr1m6 dans 18 vie terrestre,sans que- t,lon Idee eo soil ta came premiereet le prln tpe rondamental, ou l'cl6menl de son~Ire.20. - Mon Idee est done maintenant en -voiede e derouler, ou d'~Lre pensde en apressionmalerlelle, que les uns appellent evolution, tellela new, quand Ie bouton sort de sa t1ge el, fi-nalement, s'epanouil, obelssant it I'Impulslond'eG'rimer Mon Idee cacbee au-dedans de SODbte.2.1 . - C'est pm:i~mepl ~insi que Ie deve-lopperai et deploierai tOU$},fes M.oy~os d'expres-


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-80-lion qui, du lond de leun Ames. feront reIIOI'-tir, d'une flHjOIL unie et compl~te. MOD Jd&, doaloute I.GJoire de Sa Perfection.22. - Dans Je tempe prisent. eel moyenalOlllde telle nature que. p o O \ t esprimer Mo.n I dN_III nquiel'$t ~ucoup d\dlome.. de dur~rentslypet, depuis let plus simples jUsqU'8U~ plUieomplexel, compoUlI d'un nombre presque ill-flni de Parolet.23. - Mais, lorsque J'aural pense compl~ment M O D Id~e en apression materielle. ou queraurat pedec:llonn~ Mea nombteux moyens d'es-preuions, e'eet alon que Mon Idee .relJplendlradans ehaque Parole : ehacune d'eJle -'tant detan une pha e p:ufaite de Mon Idee. toutes cberi-ales et dlsposeea de leUe maniere qu'elles Deseront reeUement qu'Une Parole. Irradianl faUlbllme expression de Ma SigniOcaljon.24. - Tous les lnngllg se aeront :lIon fon-

dus en un seul, toute les Parol en une seoleParole, car lous Ie moyens se ser nl foita chairet toute hair sera devenue ne chair, le movearendll pa1'fafl pour I'expression complete de M O DIdee dans Ilne Parole - MOI-MEME.26, - Alon, Man MOI-MEME. m4intenant enetal d'~tre exprime par eel Paroles parfailes.

-81-Son Moyen d'uprcsslon -. tra-penoonalitU, leur. corps, leurs esprit.&eJlecl. - et Ie Verbe se lera. fallERA la chaIr.

- Ce ci sipUle que loutes le3 Paroles, aupouVOr r~gtner leur de Mon Ideeella, auront holue a lraver. la cbair,"'_llII'laJILt, 1 & splrltualiaan! ella rend nl It. 1 transparentc et pure, qu'U ne res-

ell elle de 1a penonnalit~, .rie.n de la..... atre qui puisse empeclter l'e1pres-"-rlftMelle, Me mettant en ~lal, Mol-laIR parfailement et de devenir c:DID-manifeste, fondant alns], une roil! deles Paroles et toute chalr, en uneLe Vcrbe qui ellait au comme.ncemenl- travus loute chair creee commede GJolre, le CHRIST de DrEU.Ceci est le plan el le but de Ma Crea- Ioatcs Ie, choses manlre tees.Une lueur du proUd6 de Ma Creationde penser Mon Idee de Mol-Meme enterrestre, te er donne en ce qul suit,

-VD-MON IDEE

I. - OD t'a dit que la terre et loutes les cho-ses qui lui appartlennant ne sont que les ~ffltalions materielles de Mon Idee maintenanlen vole d'elre pensee en expression parfaHe,2. - On t'a montre que Mon Idee est respon-L'Ablede toutes les cboses creees et qu'E1Je eatla Cause etla Raison de toutes lea manifesta-tions qU I existent, en y comprenant toi, t rr~res cl 8Cleurs,qui ont etc! peruu~s en existence parMol, Ie Penseur et Ie Createnr Un et OrigineJ .

.3 . - Nous suh'1'Ons maintenant, pal iI. pas,Ie eours de Mon Idee, depuls Ie commencement. traven ses divers etata d'e:tpresslon terrestre,aimi que le proctde par lequel Je pease ceueI d e e , dans on etal Rcluel de manifettation.4. - SI tu prends soigneusement note de tout


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-84-ce qUI lult. et .1 tu Me . lawn dirlger, intlrleu-remenl, touln tn mHllatioM lUI' leur ligni-fication c : acb~c, U Ie lei'S montr6, DO.n seulemmt,la . m~thode par Iaquelle tu pourrllJ crur pal'Is pensee. quelJe que soilla cllose que tu desirescrier, mais encore, comment tu vinl ~ IItrll etarri~. II ton etat actuel de manlfestation.6. - Au commencement. quand, apm un re-pol Incalculable d'~na, (I) II l'aurore d'un DOU"eau Jour Cosmique, au moment precis oil laeonaclence du monde se meilla it, et pendantqu e la quietude de la Null Cosmique r~naitencore, Moi, le Pensenr Je eonc;us Mon ldh ;tI. - De utt., ldee de MoiMbne en manifes-tallon dans une nouvelle eondltlen, appelee ex-pression terrestre, Je vis I'image parfaite dansle miroir de Mon Esprit Omniscient. Dans comirolr, Je vis la Terre rllelle, rC! ipJendiSsantbrlllammeni dans Ie Cosmos, eomme une sphereperfalle, cla.m laquetle loules lea phases, lesattJibuts et les pouvoins InlinIs de Ma NatureDivine avaient nne expression partalte, au moyena 'Anges de Lumi~re, Message ... vivants de Ma(1) Temp. incakulable d'mnies Nul! comtique ,nne p'rlode de lM~.586,MO'.000,OOO'ann6es Itrr~lrea, pare1l 1U0 daDS )'''emlle de Mon etre.

-85-

;.

Volante, .Mon Verbe dans Is chair, eomme U IlItdan le Monde ~Ieste de ce qui est Elemel.7. - Je Me vis Mol-Meme Me manifoatsntmaleriellemenl comme 18N ture, et Mil Vie com-me la Cause vi Iftante at productrlce de talltes lesmanifestations pnr 1'6voJulion ; Je vis l'Amour.I~ Divin Pouvolr Createur, comme la r o r e e quimime et vivifle, essence de toute vie, et MonDesir de donner une cx.pression parfalte a eelAmour . c omme Is cause et Is r ai so n pc ten ti el le sel l'~eJles du jslmuemmt de MOD Jdle.8. - Tout eeel, Je Ie vi s reprMent6-dans Mon.Esprit, qui voil tout. wt tout, et qui ne pouvailvoir et ne ren~er que l'Ame des choses. ou leurreaJ i te . 0 e!)t pourquol ee que Je vis repre.enUdan Moo Esprit. ful la Terre r~eJle de fait. oncommencement, sa eoneeption, comme ~tre cosmique.9. - Or, Ma Conscience eal I'essence I.nllinede ~l e pace et de toute vie. C'm 1a substanceneUe de :.MonEsprit qui _ p e n ~ t r e et conlient toutet dent Ie centre productenr el vivifiant est .,.r-lout Ilt sa limite, ou eircon(6ren,ee, nulle part.Au-dedans du royaume de Mon Esprit, Je vis,Je Me meus et . r a J MODEtre. Mon Esprit con-tieDt et, en m!me tempi. remplit toutes oboIa

-88-el ehaeune de Sea vibrations n'f!st.que l:npres-lion de que1que pbase de Mon Etre.10. - Etre. c'est nprimer ou loire SOl"-tit . Tu ne peU1 eoneevolr ~tre sans expression. Done, Mol qui Suis tout, J'esprime cons-t ammen t et eontinnellement.11. - ,J'exprime quoi ?12. - Que peurrais-Je exprlmer d'aulre queMoiM6me puisque Je Suis tout ce qul esl?

J 3. - Tu ne: PIIUX encore Me voir ou com-prendre ce que- J e Suis, Mol-M~e, mais tu peuxMe comp rendre, quand Je t'ln plre une Idee.14, - Pal' consequent. 8 L Je Sws tout ee quiest, cette Idee, qui vient directement de Moi, doll~tre une partie, OU une pbase de MoiMeme. en~tat d'~ll'e ou en espressten,15. - Une Idee quelconque, une Iois Dee dansle royaume de Mon Esprit. comme iJ 1'1)e te d~montre, devient Immediatement une Realilc!, cal' ,daDli l'Eternite de ton Eire. Ie temps n'e-xislepu.lS. - Toutefois, UDe idee en lot cree premie-cement le D6s~r, Ie desir de I'exprlmer. Ensui-l!!oce D4!slr t'oblige a pen r. De la pensee pre-vient I'ao.oon el I'aetion produll les resultats,ou I'id~e en manifestation materieUe. tanglble,

-87-17. - Mais, en verite. Je o'aj pas de d~slr&,parce que J'e~prime toutes ehoses et toutes leschose sont de Moi. Je n'ai qu'a penser et lLproeoneer la Parole pour produire des rea1Jaa-liom.18. - Toutefoi,. ee De ir que tu l IeDS en toiprovient de Moi, parce qu'i1 nat. de Mon Id~fIque J'implanle dans ton esprit. aJin qu'elle puisse.'exprimer pal' 101 . En "Verite, ce que to Sflns com-me un desir, e'est Moi qui frappe II la porte deton esprit, annon~anl Mon Des ern de Mil manl-fe5ter Moi-Meme en tol et par toi, dans 1.11orme

particuliere ihd1qu~e par ce d~ tr,1~. - Ce -qui dans In. persoonalite humainese nomma Deair n'est que I'action nec~saire deMa Volonte, donnant l'Impulsion pour l'expre..sion de ~fon ldh, pour la manifestation mate-rielle, ou pour 13 conditlon d'Etre.20. - Ce qul te semble tre en Moi un Desird'upression n'est que la nkes ile de Ma propreIdee d'Etre ou de S'exprimer,21. - .{>ar-col1llequent, tout desir vrai que tulens en loi. lout desir du coeur a lion origine enMoi et tu dois, neceesairement, dans un -tempsdetermin , l'accomplir SOUli une forme ou unitautre.


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-88-22. - Mais, comme Je n'al -pas de desir. pareeque J'exprime toutes lea choses, une fois quenaquit en Moi .l'Idee de M'exprimer Moi-M~medans cette nouvelle condition, Je n'eus plus qu'apenser, c'est-a-dire, II concentrer et a diriger Mon

Attention sur Mon Idee et la vouJolr en npres-sion ou, comme lL a tHe dlt, dans Mon autre R~velation, prononcer 18 Parole Creatrlce pour que,immediatement, Ie. forces cosmiques de ManEire, mises en activite par la concentration de.Ma Volonte att irent les elements consti tutifs D e -cessaires, poises dans la reserve eternelle de MODEspri], D e s lars, avec Mon Idee comme nucleus,ces forces se mirent a combiner ~t a donner oneforme, a modeler en elle ces ~Iements et pro-duire ailui ce qui s'appelle une Iorme-penseed'une planete, la remplissant de Ma Subslartcede Vie, de Ma Conscience et la dolant de toutes-les potentialites de Mon Etre.

23 . - Maj., eel acte de penser produisit sen-lement nne forme-pensee vitalistic d'une pla-n~te et sa manlrestatlon etalt encore dana unetat nebuleux sur Ie plan de la pen.tIe.24. - Toutefots, Ie pouvolr viviflant de l'Ideeau-dedans de eette Iorme-pensee, avec Ma Volon-te eoncentree sur Elle commen~ illa modeler

-89-t et 18 solidiOer, graduellement. donnant uneforme matt!rielle aux elements varies de la subs-tance de vie jusqu'. ce que, finalement, MonIdee put lulre, en maniCestation materielle dansIe monde des formes vislbles sous la forme dela planete Terre, consUtuant ainsi un moyenapproprie pour I'expresslon vivante, et capabledes lors, de Me contenlr et, en msme temps, deM'uprimer.25. - Tel Iut le corps materiel prepare parMa Pensee, dans laquelle vivait d~j. toute I.nature potenlielle de Mon Etre, en vertu du pou-voir organisateur de Mon Idee agissant au-de-dana.26. - L'etape suivante rut celle du develop-pemenl et de 1 3 preparation des conduits. oumoyens d'expression, par lesquels Je pouvais ex-primer lea phases multiples, les possibilites etle pouvotrs de Mon Idee.27. - La demonstration materielle de ceei

lurent les regnes mineral, vegetal et animal qui,tour a tour, entrerent en manile$tation et, d e -veloppeeent graduellement, des etata de cons-cience plus eteves et plus complexes qui Memirent en etat d'exprlmer, ehaque lois plus clai-

-'o-rement, lea ptua.es inllnl" et diverses de MaNatore.28. - Ce rut 8 ce moment que Je vis MaCreation et, comme jJ est r u t dans Mon autre R e . -velation. Je, vis que cette Creation el3il bonne.29-. - Mall._ II res13H en ore II developper Ieplus baJJI el Ie "Ius p.3_rrallde ~les Moyens d 'ex-pression.30. - Jusqu -Iii et, quoiqu chacun desmoyens d'Upre.ssion existnnt cxprimiit parfal-tement qo Ique phss de Ma ature, ils- n'etatent,touteIols, pa conscients de Moi. Us n'~lalentque des moY' ns d'expeesston, eomme I'esl le

JiJ metalliqu pour conduire 13 chaleur, la lu-miere, ou 1'energje._SI. - ~pendtlnt. les condition.s e .t tl i n t pro-ptees fI II I creation d'instruments au mo n des-quels Mes Attributs Divins pouvnient avoir uneexpresslcn eonsclente, non seulement de leurs re-lations live\! Mol, mal de leur hnbilele et de leurpouvoir d'exprlmer Mon Idee."32. - Ce fut lors de cetle periode cycliqueque toi, tel! Crete el tes seeurs naqulrent it I exis-tence. comme e presslons humalnes, Vous entrA-tes alors en m3ulfestation, par le m!me processusque les aulres in lruments, c?est-a-dlre .en vertu

-91-de )fa Jeost!e eoneentree, dans laquelle Je vis18 variele Inrlnte de Mea Atlrlbuts s'exprlmantdeja comme des entites, des Iormes ou deli ~tres,ehaeun d'eux manifestant d'une manlere predo-minante quelque pha e partteullere de ttlon Elreet ehaeun, conscient doMoi, Son Crt!al('UI'.33. - Je Te vis en expression parfaite eommeJe Te 01 maintenant, comme Tu 08 vraiment.un Atlribul de Mol-Mbne, parfuit,34. - Car, en verite, Tu es un A_nge de LU-mi:~re, one de Mes Pensees-Rayon, un Attributde Mon Etre demeurant dans une Arne en condi-tions terrestres, sans autre but (celui-ci n' td'allleurs" pas un but en soi, mais une niees itede I'Jdee de Mon Etre) que d'exprimer eomple-tement et dffinitivemenl Mon Idee.35. - Dans l'Elerne.l. II n'y a ni Temps. niEs-_pace, nl lndivldualite : cos illusions ont lieu uni-quement en vertu do phenomene psr lequeI nait

la Pen ee de la matrice de - l'Esprit aU mondede la Mati~re, fait par lequel la Pensee, ou laCrealure. en arrive. la consetenee de separationentre elle et Son Createur, ou Penseur.-3S.- O'es t ainsi que naquil -en loi la len-dance a te croire separ~ de Moi, mills I pleine


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-92-conscience de separation De se produisit d68Jl1.-tivement que Iongtemps ap~h.37. - Au commencement, quand, Tu entraspour la premi~re oit en DUlnifu!aUQn terrestre,oWlssant A I'ilnpulsion que J'avais, donnee p'arM a. pensu Concentree, To], Un de M es Atlri-buts, lu l'entour.as ou te vetis Toi-M4me de ManIdee de Mol-M4me.en expression, comme l'AlIri-but special que 10 reprisenlais,. Tal. tltanl laforce. vlvllnle de cette Idee.; J a . - En d'autres termes, Mon [dee de Moi-Mfme uprimanl eel Atlr 'but parliculier se cons-titua alors en Ame (1) de ton e pression parU-c:,uliue. Mals', cette Idle, ou cite Arne. n'utpas Tor, souvlens-t'en, cal' Tu eft r6ellement unepartie de Mol en expression par Ie moyen de cetAttribut partlcuUer.39. - Alnsl, apres que Tu te lUI! -vetu toi-.mfme de Man [dee. Celle-cl, par la n~site deSon .f.lre commenea, Immediatement, II attirer

vera elle la Pensee-Subslance neeessaire pourJ'expression de eet Attrlbut particulier, la ta-

-93-~oJlllnnt ella modelant it Mon Image et a . MaR emblance. Elle en. fi:t un Temple Satre ane-IiJl~ par Mil Presence- Vivante, pulsque Tu l'ba-bilais, '1'01, un de Mes Attributs Divlns.40. - CIl T-emple, forme a Mon Jmage el ilMa Res mblance et Cait de M a Pensee- ub tan-ce entourant et r vi!tant Moo Idee e, t, par con-sequent. T n corps ve.ritoble. II est don , poureette rneme raison, indestructible, immortel, par-fo:iL U est Ma pensee complete; telle que Je MTenetals rail l'Im ge IJui contlent Mon Essence Vi-vante. et aUend locca,.sion de pouvoir 'exprimerdans le monde, en prenant une forme matti ielleel corporelle.oiL - Ainsi done, nou nvons:42. - Pr mi rment, Je Suis s'e primanteomme Tol, Un d Me Attribuls Dtvins,43. - Deuxiemement, M n Jd e de Tol, Una r t f C 8 Atll'ibuls el tprim'e en conditions terres-

Ires. e'est-a-dire : ton .Arne.4.4. - Trelslemem nt, a Pensee te repre-sentant en Imag , formant Ie Temple de Ton

Am!!T J Corp!! dnn I quel Tu demeure .45. - Ces trois .Hats constituent II I partieDivjne ou hnpersonnelle de Tel, I immortel Trois-

'(l) Arne: Ce qui est Intlme, < Is partie interiwre,Eltp~iOD complete de l'Etre et, C!II m i m e -te m pi;Rloule lDt.trieur de-l. t01'DlI! corportIle,

-94-en-un, c'est-a-dtre : Tal. Ma pensee latente, quoi-que dejA completement tormuh!e, formee A MooImage et a Ma Ressemblance, mais nOD encoreeveillee au mise en expression et n"ayant, com-me telle, ancun lien avec L a personnalite humaine,parce que II cette etape de notre etude. elle n'apas encore ete engendree, au realisee.

-IX-LE JARDIN D'EDEN

1. - Si to n'as pas encore compris claire-ment ce qui vieut d'etre expose, ne Ie rejeUepas comme impossible Il. comprendre, cal' cba-que Ugne renferme un sens cache dont II I reve-lation Ie r&ompensera. avanlageusement. deI'erude necessaire pour Ie cornprendre.2. - Ce Message deslre t'amener ~ la com-prehension de ce que Tu es, it la perception deton pro pre, de ton veritable c Moi ~ poui quetu te rendes, de nouveau conscient de Moi, tonMoi Divin, si conscient que, jamais plus, tu neezas trompe par cet autre c moi ., que tu t'esimagine etre .el qui, pendant 5i longtemps, tOilIeurre, par les futiles et insi,pides plaisirs dessens, les dissipations mentales el Ie.! jouis-sances- emotion nelles,


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-96- - 97-3. - Mais, avant qu'Il puisse en ~tre ain.siil sera necessatre que tu connaisses paTC~temeDlautre _f: mol., ce moi que lo as cree enIe pensant re~1et separe de Mol et que tu as garde-vivant, en lU1 donnant Ie pouvoir de te seduireel de te tro~per_ Oui, ce t moi eree par toi,av:c ses val_D:s et presomptueuses touanges de

501. ses ambitlons et son pouvoir imaginaire, sonamour de la vie et des biens materiels, sondesir d'~tre repute savant or bon ce moi n'est autre que ta personnalite 'b_umaine qU Ipourrait etrc consideree, Iaussement, commeone enli~e independante et personnelle, .mais qU Ine naquit que pOUTmourir et, comme telle, n'apas plus de permanence ou de realite que- cellede III feuille, du nuage, ou de In neige.

4 _ - OuJ, tu seras amene CaceII {ace avec cetin ignifumt c mol personnel ct tu verras, avecune clairvoyance totale, toutes ses vanites .humai-nes, OD egolsme sordide. Et alors, si tu veuxrir it Moi et M'inlerroger avec simplicite,~l eo~iance, lu sauras que c'est Moi, Ia par-inflnie et Imper onnelle de Loi, derneuranten toi, qui le monlre ainsi toutes cesde la per onnalite qui, a travers lei

ages t'ont stSpare de Mol, Ton intim.e et 810rle~,MoiDlvin,0_ - Cette perception viendra assurementquand tu pourras reconnaitre que ce Message

precede de Moi et lorsque tu auras resclu qu IIs!~ccampli$$e. Alors, en temps opportun, Je Ce-rar que pour toi, il qu:i J'ai inspire une teUe reso-lulion, toule illusion disparaisse et, en verite,tu Me eonnattras.6. - L'exercice de ton esprit sur ce fheme

abstrait ne te sera pas mrisible, Au contraire,c'est ee dont ton esprit a besoin, car tant quetu De pourras comprendre Man Enseignementtel qulil est . exprime icl, et que ces idees vien-nent du debars, Lune pourras pereevoir et inter-preter, correetement, Mon Jdee, lorsque Je t'ins-pirerai, Interieurement.7. - Et, c'est ainsi que Je prepare tonesprit pour en falre lUage, non, pour obtenirdavantage, de.connaissances terrestres, mais pourque Lu pui ses reeevoir et donner Me'S Ensei-gnements a ceux que, dans ce but, Je t'amenerai.

8 _ - Alnsi, apre avoir eleve ta priere versMoi, ton Propre, ton Intime et Vral .. Moi tonPere duns les Cieux, pour que 1a vrale .realisa-tion s'efTeclue en toi, dans toutes les choses,

-88- -99-

dans toutes lei eendltlons et e:iperienees quipeuvent se presenter a toi, lis aUenlivement cequi suit.9, - Au ~oors de .notre etude du dev~loppe-m@t de Mon Idee, nOU8en sommes tu:rives aupoint ou ton Je Suis ., se manifestant dans

Ie Corp-~immortel de ton Arne, ou dans la Pen-ue-lm.age creee par Moi, par Ma Pensee pure,est maintenant pret a prendre une fonne ter-resIre substantlelle (1), une fonne approprfeeII l'expresslon de Mea AUrlbuls ur la terre.10. - Le changement de I'etat mental Iila(orm'C martelle eut lieu de Ia meme manlere etpar le m&meprodd~ employe ~ur to-ule pen-s e e et toute creatlon, et Ht lIueraJemenl d~rit

dans til BfbLe, ot) 11est dit: .. ;Ie formal l'hommeavec de la boue, OUpoudre de 1 8 terre (2). Je(J) Corps . plaatique, 0 \\ laJ>ensee-I'.nutgeommence'"pr'lndre une fonne corporelle ; Iorme encore .. subs-l 4I nti el le ., n'elant pa,s encore c m a terleU e ., quoi-que Ihnt dej" PIIW son etat mental.(2) SJJbslallcl! morpbo-plasUque, comme on nom-merait II I phase, ou _elA! de l'~p,rit encore substan-ce, qui sert d ' ntermede entre I elill c menta_) ouc Idealiae , et J'et.t c m lteria lise " ou deYl!l\ucbose ' ..ite : eo d'autrtS termes, une substanc;e pla5-tlqqe emincimment luperieure it celle dont est com-pcn6e c I'lmage de Ie terre et donl I. terre mate-

lOuft1ai elms .et Darines le lOuft'le de vie etl'bomme devint one Ame vivante .11~- Te I'expliquerai-Je davantage ? Eb bien,

Je te dlrai que Ie Pouvoir viviftant contenu dansMon Idu (ton Arne) se mit II attirer ver elleJet diver:;s~ements de la .obstante vitale terres-tre (pous!li~re; vOIr Ia nole prlle-edente) et ato-me apr" atome, cellule par cellule, IJ commenea modeler et a donner une forme a chacond'eux au eoura du temps, jusqu'Q lea corpori-fier en une forme substantielle (as, Ussus, orga-nes) .eJon Ie modele de Ja Pensee-Image qUIeonstltue Ie Corps de .ton Arne, formant de ceuemaniere, pour alosl dire, une enveloppe ede-J'ieure de sub,lance te rre stre , lU lq u'a . ee que,finalemenl, ta Cormemortelle, eorporelle ou hu-maine, se manilesla au leM psychlque, sans etrepourvu encore de ee qu i 'appelle les SeDSmate-riel~ ou pbyslques. Apres quoi, lout ~tanl pn!-pare pour ce moment eyellque, Tol, Mon Attribut,sou1I'la par ses nuines (du dedans) Je lOuJI]e deneUe est on c double phYlique ., cellule par cellu-le, ..tome par atonre, substance {jan. laqul)jle leaformes morteJles existent d'a.bord, avant, de de~e.!LIt m~tel'ielles, .bnt elle-meme morll!lle comme for-me.


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-100-vie el Tu, appartll alon, pour ]a premiere foil,lur Ia Terre eomme un ~trtl humain, une Amevivante on ld~e d~ 101'1 capable de 1I'1I1IIr1-mer, conselemment., par un instrument lerreatreapproprie) renlermant en Toi-M~Qle toua MeaAUribult. tous !rIea Pcuvolrs et tout-es Me$ POI-.ibllit~. ~12. - C'eal aimi que [ureal mamfesteJ leIdivers ins~enta pour I'apresl on terrestrede 140n Jdee. Et Tol. ~n de m CI Attributa Tucui, natuteU~ment. la domination sur tous eesiDltrumrn~ ce qui veut, dire que Tu pol lsedas111pouvolr d'iltiliser chaeun d'enlre eu , ou t~uau besom. pour Ia pleinb et complete espre Sionde te. pouvoirs et possibilitea (ceux de Mon Atui-but).13. - De eette manlere, III pour ceue seuleraison, tot, tes (reres et tes s~un., vous futesapl'essjons hnmaines. Majs, mbne qu~d tuaVals ta , forme humaine, ton expression ei.'llt en-core c.omplelement Impel'llOnnelfe et quoiquetu f\1tSe~ conscient de toi, (lUsonD Ilement, tuavai encore recours A Moi. inttrieurement. M-ademandant )fin lIiration et la direction.U. - Cecl rut done Ia premlere condition.dam laquelle tu te trouvas au t~veil, quand tu

101 -

entra. en expression turea\re. Ce.t ee qui eli appele c e~t Edtnique ou fa vie a.u Jar-din d'Eaen.16. - Cd et,llt Edenique. ou panadisu.que,reprisente fa phase Di n~ de [8 Con.c.ience ID?-personnelle en tol. ou I'~lal dans lequ,el tu etaulencore eonsetemment Un avee Mol, bien que tute trouvas alol'S dejil dans un instrument d'ex-pression bnmatne,16. - Or. Je ne te dirai pas. en d~tail com-ment et pourquoi iJ M ; e - rut oecessaire de Ie chaa-ser (tol, d e lora manifeste comma Homme, ouHumanite) du Jardln d'Eden. Je te rappelleraiseulement 1.3part que Joue Ie Desir dan I ex-pressi( .)n terrestre et Ia relation qU'iJ garde avecMil Volonti, ou, en d'autres termes, comment 11retienl lon aUent on 6x~1I sur lei ehoses male,.nelle -et te flllt M,'oublier. MOi au-dedans de toi.17. - Cependant, qU3-nd tu aU1'85 eomprls ee-ei et, admis quelque peu la raison que J'eus pouraglr ~insi. peut-etre pourras-tu alo~ taisir a~slcette neces!lite de te Caire tomber, (tOI, Humamtedans un prolond SOJllmei I (~ tu ~t i rriveau lenne d'un autre eycle, ap~l~ Jour Co ml-que). pui.' de te laisser r6vCll"que tu ~t.ai ~ven-It. Mais. en rbtlt~, tu etail enderml, eomme tu

- 102-J'es aICOre. Et. toul ee qui H advenu depula eejour-Ie jusqu'au temp prbertt. lea evenemenlttrom'peun el les eondlllons lerrea\res, tout celane rut qu'un r6ve. duque) tu ne te reve1l1eraaeompl~ement que Iorsque tu redeviendraa (toi,l:lulIUUlit~) totalement eonsclen! de Moi, au-de-dans de toL Alon, tu te trouvas toi-meme n'are eorporelfement, non plus un seul, maisde~; nne partie active. pensante et resoluequi, pour cela s'appelle c homme. _ et l'autre,J. partie. pa$llve. sen~lble et r~~pbve OU ~ fem-m e. _ .18. - To compret)dntl aunt la nieessiti qu'ily eut de m"ttte en [en eeS apparentes et tram-peuses InJluen~s matjdelles. ou terrestres, danaIe but cfarracber ta conscience des delices divi-nes et de Ia maiptenir dans ee DQuvel etat der l I A n que to pulssea dlivelopper u n esp,dtmo:rtel on humain, pour que, par ses tendaneesnature lies et ~otstes, tu puisses te eoneemrereompJ~tement daDa ta mission turelire d'exprea-,ion humaioe.19. - Puisses-tu com prendre aus i, la lIa~-se de Caire que eette inJluenee, ao moyen du ser-pent de 1'goisJDe (forme que Je lui fis prendredans ton esprit) engendrerait Ie Desir dans la

- lOS-partie pallive, IeDlible: et receptive de Toi. caree Delir est l'ilgent mortel de Ma VolonM. quidevait foumir les moUl s et Ie pouvolr pour l'ul-tl!rieure et eomplete expr~lon de Mes Attributssur la Terre.20. - Et. 1inalenumt llJ aai!liras la necessiteque Ie Desir exer~AL sa fascinaUoQ sur to! (Hu-manlte) pour que r a nature .ce:Jesle ot Imper-sonnelle solt plongie dana un pl'otond ommeil,[usqu'au jour ou, sans serttr de ton. reVe, par

l'uaa.ge libre. mals ipQri de M a VolonM, tufusses cnpable de goOter lit de manger. en. abon-dane du Fruit de ce que l'on a appele l'Arbrea e la Selenee du Bien et du Mal, afI:n qu'en man-geanl de ee fruit tu pulsses apprendre A dis-llnguer et it. t:eeonnattre Ion truit pour ee qu'Ileat reellement et aequerir la force, en vue d em-ployer sagement L a coona; sante alnst ebtenue,uniquement pour l'espresslcn de Mon Idee.21. - Il est ausei posslble.que to ]lUISSCII eom-prendre, II present, comment. dans ton ! '!ve, tudevins de plus en plus ab$orba et attache A eeraux ~tat terrestre pour avoiT ma.n~ de ee fruitet apprls A eonrul1tre Ie Bien et le Mat EnauJle.eormaissa.nt ce monde nouveau et l&iuisAnt qUI'ouvrait devanl toi. tn penlis aiPsl ~li eon-


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- 1 0 0 1 -m"U8nc:e de 18 R~Hte de tout. Peul-Mre c;am-prends-tn egalement comment et pourquoi tuVi8que tu etai, nu (tant daru la partie peneanteque dans ta partie ~ltive et aussi, pourquoltu CUll peur et It ayas de te cacber de M'oi. crea.nfalnsi, dans- ta eonsetenee, le sentiment d'6tresepar' de MOl.22. - Peut~tr~ eomprends-tu maintenantpourquot tout eeei devait 6tre: ponrquoi 01Uiumanite), \11 devals sortir de I'etal Psrndis1a-que de Conscience Impersonnelle et titre .suhmetge~mpletemltnt liar l'ilIusion de ce monde de reves,~fln de pou1lOir ertet lin 1:.01"p1 ttl d"eloppern lut une eonselenee persQnnelle. upable d'ex-_prlmer plelnement Ma Perfection.23. - Cest ainsi que naquit LI personnallteburnsine. Depuis sa naisaance, Jc fai incUe Ala soutentr et fI 10 Iortlfler, te r mpltssant deeonvotuses, d'espolrs, d'amblflons et d'upIra-tlons, grAce It tout Jet diverus manifestationsdu Desir, manifest-lions qui ne sont que les pha-ses humalnes de Ma Volonte, lra aiUant a lapriparlltion et an deveJop,pement d'un In tru-menl oapable d'exprimet l'arfaltemenl Mes At-lrlbnu Jur 1a terre.24. - AinJi. Je dOJUlAimon Commandement

-106-ou prononc;ai la Parole et te chanai do JudiDa'eden, te vetant d'one c envelop_pe de. chair ~semblable. II . celle des autres anlmaus. C'esl danaeette nouvelle condition, POIII' que tu pulne,entree pleinement dans le milieu terrestre, flIrla Terre Reelle, 18Terre de Mon Idee et non cellede to~ rhe. afln de donner a Mon - 'Idee lalenteone -vie d'expressien active, POOl' que Toi, MonAUr~but, to ai s un organr me at one enveloppeappllOpries pour Ie milieu dans lequel tu aUailtomanirester dans ton r6ve~25. - En le donnant abu un e en eJoppe dechs,ir l uo organl me pbysique, Je donnai Itt.ron Idee, par ce ralt, une forme adaptee pourl'expeesslcn terrestre, Je te donnai le pouvolrde t'exprimer dans un organlsme dllterJDin! (phy-sique) au moyen de paroles,26. - ans l'lmpersormeJ, Ie mots n'on111i,ens. ni okU$i . Les idees ~ulet ubtent et'Cllprimenl. Elles existent simplement pareequ'elles sont l'espre sion tVss phas~ djvenesde Mon Eire.27. - Mais_ dollS eet etal de rho. II 6taitnke$saire que toute expn!Ssion eut pour ees 6tAtsprlmJUls ii'existence eorpoeelle, uneforme et uneeoaststanee qu i pussent ~tre entendues, wes,

-106-toueb~ lennes et goOt~. Pour que n. slgni-fieation put ~tre ctalremenl pe~ue, il&ldonen6cesS!lil'e de lea pourvolr d'organisiDes upablesd'6lre utili-ses POW' Ie double but d-expression etde comprehension de ce qui a 'f;xpnmait .28. - Et, II mesure que Mon Idu se cUvelop-pait en Elle.Meme, aprea ton expulsion de l'Eden,

Toi, un de Mes Allribullt Bivins, - dem urantdans Mon Idee par cet Altril)ul etLellpression. au-dedans de Ma Pensee-Image pour se manirester ft.-'nalement dans la forme terrestre de ..peroles -quand tu ~us l'impuJslon de Ma Volonte, dansle desk d'U.l'rlmer Ma Signii\eatlon, lucommen-~ eapldement .c a c:rottre et lI ...muhipUer s ,29. - Et dans ta recberclte de conditions plusfavorabl~ pour la manifestatioJl de tes attrl-I)uts p~tleuJiers. hi ta r6pa,ndIs'sur toute la 'IU-face de la terre, 6veillant et stimulant l'Intelli-geace, latente dans toutes tes rcrmes de vie a-veelesquelles tu entras en contact, pour une espres-

sion plus complete et pIns active del phases par-ticu1i~rcs de Mon Idee qu'elles representaient.S O . - AiDsi se fo.nnerept 10$ differents lan-

gages.dela terre, ehaeun d'eult eompo e de beau-ceup de mots, tons clIU dans I'esprit bumainpar Ie dtiJir d'eI.l'l'imer en C O J I C C p t s terrestres lea

-107 -phuel inOnles de Mon ldtie, toujoun activeau-dedans de cbacun.at -,Et, plus la tnenlaJib! bumaine ,'esle1foreee d'uprimer Mon I d e e - en paroles -plll:s son eehee r u t grand et bumilianl32. - Mai , co temps opporlun viendra Iegrand Revell. Alon, i1 sera reconnu que toutes 10 5parol ne ant, que des syPl.bQl~ d'uae Idee,et que toutes res idees,. quelle que soil leW.nature ne sent que des phases d'una aenle ldee.It{on ld~e de Mol-Meme en expression. Tout db!ra-'uprlmer en paroles eette Idee, sans avoil'ecnscienee que Ma Volonte ~ la seule et uni-que Source d'[nspiralion, sera vain. n mil 6ga-lement reconnu que tout deair d'ex-primer c tleIMe en t2uyres et en actes vivanlll. sans verdteeompletement la conscience de ta personnalltebumalne, - de 13 participation personnelte queltl pr nds dans eea ceuvres et actes eoneentranttoul ~n 6lre en Mol, - sera vain et s'~rire etn'aura poor 1"sultats que des khees, des deaap-pointements et des humiliations.


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-x-LE BIEN ET LE MAL

1. - Dans le Jardin d'Eden ou tu demeuraisavanl de commencer ta mis iOD humaine, crois-sail un arbre dont le Fruil fuL appele : 18 Con-nats anee du Bien et du MaJ.2. - Quand tu demeurai dans ee Jardin, tu~tajs encore entlerement 1mpersonnel, ear tun'avai pas encore gouLe. de ce Iruit, Mais, ayantane foos oed' au Desir, cet agent humain de MaVolonte dont 18 mission principale est de LeCaire manger de ce Iruit, au moment oil ru lemangeas, tu descend! tu tomba ou (us npulsede Ion etal P rndi Iaque (tel Ie pou sin. quandiI sort de sa roque, ou In 1'0 e du uton). ute trollVa alors entoure d'un milieu elr'.tngeet nouveau. Car it- partir de ee moment. au Iieud'avoie la domination sur tous Ies regnes infe-

-110- -111 -riean qui .oraient .atiJlait toUt tea betolna,tu dOl labourer la terre pour la (aire frueUfteret gaper too pain la sueur de ton Iront,3. - Mail, ayant pril sur toi eette minionhumalne, U te fut necessaire d'entrer pleine-menl dans tOUI les Hats et conditions de la viehumaine, afin de d~velopper un esprit et de per-rectionner un corps physique capables d'espri-mer parfaitement Mon Idee sur la Terre, ee quiest la v~ritable C8.use el raison de ton entree danaeel etat nouveau.4. - Awl, elanl tomW ou soro de too ~talImpenonnel, ou Paradisiaque, tu cidas com pIe.tement ('attraetion de ce monde ilIusoite.AU5Siiat que tu te laissas conduire par le D~sir,tu oe fus plus en ~lat de voir la Reali~. oul'Ame des choses, Tu t'ita.is ainsi adapt~ it uncorps pbyaique, une enveloppe materieUe, avecun cerveau humain lequel elant inOuence parIe Desir, jeta un voile sur ta conscience inlerieu-re pour obscureir la vue. II voila ton esprit dete1le sorte que la Lumiere de la V~rile ne putpenet.rer travers, san\ donner un faUlt colorisaU1 choses, les defigurant devanl too entende-meot humain.5. - Et, dans cet ~lal de rhe, tu vis toutes

les eboses eoofusement, comme travers unbrouillard. Ce brouillard entourant et envelop-panl lout, tn ne PUI plus voir Ie choses commeelles .sonI reellement, mais tu vis uniquementleur aspect nebuleux, lequel eependant, le sem-blait c!tre la verite, la realile meme des choses,6. - II en fut ainai de tout ce que tu vis avectea. yeus, physiques, de toutes les choses animeesou inanimees, de tout ce que coneut ton espritbums in, meme de ton pro pre et intime Moi, aln-. I l l que tous les autres Mol qui t'entourent.7. - Et. ne voyant plu l'Arne des choses,mais uniquement ses ombres nebuleuses, tu enarrivas A . eroire que ces ombres etaient vraimentmaterielles et que le monde qui t'entourait etaitcompose el rempli de cette matiere.8. - Mals, ce brouillard n'etait dO qu'a l'im-poasibilite dans laquelle elail la Lumlere, de la

Verite de penetrer au travers de ton esprit hu-main. dont I'Intelteet, semblable a une lentilleimparfaile. brouilla et altera tout, te Ie Iaisantapparaltre eomme reel, en maintenant ta cons-cience continuellement oeeupee par des myria-des d'illusions de lon monde de r've,e. - Or J'intellect est 18 creature du D

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