Jeunes pousses : de la brindille au baobab - Les premiers résultats du Démoscope pluri-annuel des nouvelles sociétés présentés dans le cadre du Salon des

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Jeunes pousses : de la brindille au baobab - Les premiers résultats du ‘’Démoscope™ pluri-annuel des nouvelles sociétés’’présentés dans le cadre du Salon des Entrepreneurs de Paris - 6 & 7 février 2008 - Palais des Congrès de Paris

6 février 2008Partenaires

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Conférence Salon des Entrepreneurs 06/02/2008

« Objectif Croissance » :que sont devenues les entreprises créées

depuis 1998 ?

8 années de création d’entreprises en Franceet focus sur 58.000 entreprises personnes morales créées en 1998 :

5 à 7 ans plus tard, sont-elles devenues brindille ou baobab ?

Françoise SAVES – Présidente du Comité création et développement des entreprisesConseil Supérieur de l’Ordre des Experts Comptables

André LETOWSKI – Directeur des Etudes APCE (Agence pour la Création d’Entreprises)

Patrick SENICOURT - Directeur Général Ordiméga

Salon des Entrepreneurs6 février 2008




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Ordiméga (depuis 1986)

Méthodes et logiciels PREFACE™ d’appui aux PME et à leurs conseils (création, développement, diagnostic, évaluation, analyse géo-sectorielles…)

Près de 500 sites équipés en France et à l’étranger : experts comptables, CCI, collectivités territoriales, syndicats professionnels, entreprises grandes et petites, consultants en fusion-acquisition, enseignement supérieur…

Son dirigeant fondateur : Patrick Sénicourt, professeur en entrepreneuriat à l’ESCP-EAP pendant 35 ans

Le Démoscope™ : une initiative d’Ordiméga




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L’APCE en coopération étroite avec son Observatoire

LE CONSEIL SUPERIEUR DE L’ORDRE DES EXPERTS COMPTABLES et les conseils avisés de ses représentants

BUREAU VAN DIJK et l’historique de la base de données financières Diane sur 10 ans

LE SALON DES ENTREPRENEURS et la tribune qu’il ouvre à ces travaux

Le Démoscope™, une inititiative d’Ordiméga soutenue par…

22 janvier 2008Partenaires

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Nombre de créations (nouveau concept)

Evolution

Le nouveau concept création : une définition d’Eurostat pour comparer l’évolution du nombre de créations dans les différents pays européens en vigueur depuis le 1er janvier 2007

2007 2006 2002 1998

322 000 285 732 214 874 204 902

Source : fichier SIRENE de l’INSEE – exploitation APCE : estimations APCE 2007 basée sur les onze premiers mois 2007

2007/2006 2007/2002 2007/1998

+ 13 % + 50 % + 57 %

Une hausse de 50 % du nombre de créations depuis 2002




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Evolution des créations d'entreprises de 1987 à 2006

150 000

170 000

190 000

210 000

230 000

250 000

270 000

290 000

310 000

330 000

350 000

1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006

Total créations nouvelle définition Eurostat Total créations ancienne définition Insee dont créations pures

STATISTIQUES DES CREATIONS D’ENTREPRISES 1987-2006INSEE AVANT 2007 ET EUROSTAT A PARTIR DU 1er JANVIER 2007




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Evolution des créations d'entreprises pures en sociétés générations 1998 à 2005

0

50 000

100 000

150 000

200 000

250 000

1 998 1 999 2 000 2 001 2 002 2 003 2 004 2 005

Créations pures en sociétés - dont Génération 1998 dans DIANE - dont Génération 1999 dans DIANE- dont Génération 2000 dans DIANE - dont Génération 2001 dans DIANE - dont Génération 2002 dans DIANE- dont Génération 2003 dans DIANE - dont Génération 2004 dans DIANE - dont Génération 2005 dans DIANECréations pures totales

Des entrants en nombre croissant, mais on en perd en route…

SINE 1998/1 SINE 1998/2 SINE 1998/3

SINE 2002/1 SINE 2002/2

Création pures totales

Création pures en sociétés

Echantillon de chaque génération(75% des créations pures en sociétés)

COHERENCE AVEC LES ENQUÊTES SINE

(INSEE/APCE)




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72 % des créations pures (dont le dirigeant a l’intention d’en faire une activité durable) sont toujours en activité trois ans après leur création

(Source : INSEE/SINE 2002-2005, exploitation APCE)

15 % seulement des créations font l’objet d’une procédure de défaillance avant leur 5ème anniversaire

(Source / Ministère des PME, étude 2004)

19 % des créateurs ayant cessé au cours des cinq premières années, interrogés 18 après leur cessation d’activité, avaient à nouveau créé une entreprise et 24 % envisageaient de le faire dans les deux à trois ans

(Source : Ministère des PME, étude 2004)

Un rappel : la pérennité des créations nouvelles, une situation plus favorable qu’on ne le dit habituellement




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La tendance est à la baisse du nombre d’employeurs– Au démarrage de l’entreprise : 20 % en 1998, 18 % en 2002, 15 % en 2006– Trois ans après : génération 1998-2001 (43 %), génération 2002-2005 (31 %)

Mais l’emploi salarié dans les entreprises employeurs pérennes à trois ans a presque doublé : de 2,21 en moyenne au démarrage à 3,9 trois ans après.

A trois ans toujours, 40 % des emplois salariés sont localisés dans des entreprises de 10 salariés et plus.

FilialesParticipation minoritaire de

personnes morales au capital socialAutres sociétés

Entreprises individuelles

1 à 2 salariés 9 13 20,5 45

3 à 5 salariés 12,5 20,5 24 32

6 à 9 salariés 13,5 19,5 18 11

10 salariés et plus 65 47 37,5 12

Total 100 100 100 100

En % du nombre de créations 6 3,5 38 52,5

En % des salariés 19 9 58 14

Source : INSEE/SIRENE et SINE 1998-2001 et 2002-2005, exploitation APCE

L’emploi salarié (hors dirigeant) dans les créations nouvelles




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Les créations sous forme de société ont doublé entre 1998 et 2007

90 % des créations en société sont des SARL : une importance qui ne varie pas entre 1998 et 2007

1998 2002 20042007

(Estimation)

Nombre de créations en société 80 192 91 224 123 793 160 000

% de sociétés au sein de l’ensemble des créations 39 42,5 46,1 49,7

Source : INSEE/SIRENE, nouveau concept création, exploitation APCE

Une montée en puissance de la création en société, notamment sous forme d’EURL




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Situation trois ansaprès la création

Entreprise individuelle Société

Pérennité (création avec objectif de durer dans le

temps)68 % 77 %

Importance des entreprises employeurs

15 % 49 %

Type de clientèleParticuliers : 73 %

De proximité : 62 %

Entreprise : 47 %

Régionale, nationale ou internationale : 54 %

Capitaux réunis au démarrage (prêts compris)

Moins de 4 000 € : 50 % Plus de 15 000 € : 39 %

Représentation qu’a le chef d’entreprise de sa fonction

Indépendant : 84 %

Chef d’entreprise : 8 %

Indépendant : 48 %

Chef d’entreprise : 36 %

Création sous forme d’entreprise individuelle ou de société :deux voies différentes pour entreprendre




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21 % des entreprises individuelles ont plus de 76 300 € de chiffre d’affaires, contre la moitié des SARL et 90% des SA

Près de 45 % des SA ont un chiffre d’affaires de plus de 763 000 €.

Source : INSEE/SINE 2002-2005, exploitation APCE

Moins de

15 000 €

De 15 00

à 76 300 €

De 76 300

à 153 000 €

De 153 000

à 763 000 €

Plus de

763 000 €Total

Entreprise individuelle 35 44 14 7 0,3 100

Société 21 22 19 30 9 100

Dont EURL 17 27 22,5 28,5 4 100

Dont SARL autres 22 22 19,5 30 7 100

Dont SAS 12,5 9 4,5 27,5 46,5 100

Dont SA autres 12 13 3,5 33 38 100

Moyenne toute nature juridique

28,5 33 16,5 18 4 100

Le chiffre d’affaires varie beaucoup selon la nature juridique des créations




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1 998 1 999 2 000 2 001 2 002 2 003 2 0042005

(corrigé)2006

(anticipé)

663 392 679 509 695 176 718 879 748 396 765 870 800 973 824 808 846 261

75 277 77 874 84 134 84 442 85 261 97 453 116 451 119 160 125 844

57 557 58 099 62 243 63 845 62 849 70 994 78 404 81 029 88 091

Référentiel des entreprises déclarantes disponibles dans DIANE

Créations pures en sociétés

dont disponibles dans DIANE

NB : 2006 est encore incomplet et 2007 encore indisponible

En s’alimentant de Conditionnement de 16 bases de données regroupant 8.000.000 de bilans. Fouilles et extractions pour l’analyse financière en profondeur sur la période 1998-2005

– d’un référentiel du parc actif de 660.000 à 824.000 sociétés déclarantes– des générations successives 1998 à 2005 de nouvelles sociétés : 60.000 à 80.000 / an– soit quelque 500.000 sociétés créées sur la période

Choix de 1998 pour avoir suffisamment de recul et être en phase avec les enquêtes de l’INSEE-APCE :

– SINE 2 (1998-2001-2003)– SINE 3 (2002-2005-2007)

Méthodologie, pour y voir clair dans un vaste entrepôt de données…




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- dont Génération 1998 dans DIANE


Créations pures totales

Entreprises disponibles dans DIANE

Stock d'entreprises en société (estimation)

Stock d'entreprises (INSEE, hors exploitations agricoles)

GENERATION 2005

17 03835 674…54 58657 557

119 160116 451…77 87475 277

224 830223 944…169 661166 174

824 808800 973…679 509663 392

1 086 4151 053 145…902 624874 640

2 617 8682 568 647…2 344 4792 301 684

2005







GENERATION 2004

17 03835 674…54 58657 557

119 160116 451…77 87475 277

224 830223 944…169 661166 174

824 808800 973…679 509663 392

1 086 4151 053 145…902 624874 640

2 617 8682 568 647…2 344 4792 301 684

20052004







GENERATION 2003

17 03835 674…54 58657 557

119 160116 451…77 87475 277

224 830223 944…169 661166 174

824 808800 973…679 509663 392

1 086 4151 053 145…902 624874 640

2 617 8682 568 647…2 344 4792 301 684

200520042003







GENERATION 2002

17 03835 674…54 58657 557

119 160116 451…77 87475 277

224 830223 944…169 661166 174

824 808800 973…679 509663 392

1 086 4151 053 145…902 624874 640

2 617 8682 568 647…2 344 4792 301 684

2005200420032002







GENERATION 2001

17 03835 674…54 58657 557

119 160116 451…77 87475 277

224 830223 944…169 661166 174

824 808800 973…679 509663 392

1 086 4151 053 145…902 624874 640

2 617 8682 568 647…2 344 4792 301 684

20052004200320022001







GENERATION 2000

17 03835 674…54 58657 557

119 160116 451…77 87475 277

224 830223 944…169 661166 174

824 808800 973…679 509663 392

1 086 4151 053 145…902 624874 640

2 617 8682 568 647…2 344 4792 301 684

20052004…20012000







GENERATION 1999

17 03835 674…54 58657 557

119 160116 451…77 87475 277

224 830223 944…169 661166 174

824 808800 973…679 509663 392

1 086 4151 053 145…902 624874 640

2 617 8682 568 647…2 344 4792 301 684

20052004…20001999

GENERATION 1998 1998 1999 … 2004 2005


2 301 684 2 344 479 … 2 568 647 2 617 868


874 640 902 624 … 1 053 145 1 086 415

Référentiel des entreprises déclarantes disponibles dans DIANE

663 392 679 509 … 800 973 824 808

Créations pures totales 166 174 169 661 … 223 944 224 830

Créations pures en sociétés 75 277 77 874 … 116 451 119 160


57 557 54 586 … 39 765 35 674

Pour y voir clair, un vaste entrepôt de données…

En s’alimentant de

16 bases de données regroupant plus de 8.000.000 de bilans.

Analyse de quelque 500.000 sociétés créées, dont 200.000 pérennes en 2005.

En phase avec :SINE 2 (1998-2001-2003)

et SINE 3 (2002-2005-2007)




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Comparaison des taux de survie

Nombre de créations 166 174 100,0% 90 897 100,0% 75 277 100,0% 57 552 100,0%2001 (3 ans) 105 354 63,4% 52 175 57,4% 53 597 71,2% 41 495 72,1%2003 (5 ans) 84 416 50,8% 41 540 45,7% 43 209 57,4% 32 402 56,3%

Personnes morales

Personnes morales

Selon OBSPLANE / Selon Enquête SINE 1998

EnsemblePersonnes physiques

– % PERSONNES MORALES / TOTAL CREATIONS PURES 1998 : 75.277 / 166.174 = 45,3% 2001 : 53.597 / 105.354 = 50,9% 2003 : 43.209 / 84.416 = 51,2%

– % PERSONNES MORALES DEMOSCOPE / TOTAL PERSONNES MORALES SINE 1998 : 57.552 / 75.277 = 76,5% 2001 : 41.495 / 53.597 = 77,4% 2003 : 32.402 / 43.209 = 75%

– TAUX DE SURVIE QUASI SIMILAIRE ==> LE SOUS-ENSEMBLE DE 75% EST REPRESENTATIF

DEMOSCOPECREATIONSPURES

Représentativité




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… pour mieux connaître et caractériser l’après-création, au-delà même des 5 ans traditionnels

… pour positionner chaque caractère et indicateur par rapport à celui du parc d’entreprises existantes, afin de percevoir les similitudes/différentielles ainsi que les convergences/divergences

… pour pouvoir mener des analyses de cohortes aussi bien que d’entreprises identifées, sur la base des déclarations comptables des entreprises, informations du domaine public permettant de s’affranchir du secret statistique

… pour permettre ultérieurement des découpages multi-critères, notamment sectoriels et géographiques, sur des volumes statistiquement significatifs

Le Démoscope™ pluri-annuel des nouvelles entreprises :un nouveau référentiel national d’analyse récurrente…




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CROISSANCE OU PERFORMANCE ?

La croissance : le must de la compétition Elle ne concerne pas toutes les créations

La performance : efficacité économique et équilibre financier, gages de pérennité




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NOTE PREFACE™ >= 8 / 10 6-7 / 10 4-5 / 10 2-3 / 10 < 2 / 10

SITUATION FINANCIERE… EXCELLENTE TRES SAINE TOUT JUSTE EQUILIBREE

FRAGILE à DIFFICULTES

A LA DERIVE

L’indice de performance :une note pour mesurer la santé financière…

Cet indicateur multi-critères éprouvé est un véritable thermomètre du développement harmonieux et de la pérennité des entreprises.

Il est notamment utilisé par Les Echos tous les mois depuis plus de 2 ans pour valider sa sélection du Prix de la Performance.

8 millions de bilans notésCombinaison d’une quarantaine de ratios selon trois critères principaux

- Rentabilité (de l’exploitation, des capitaux…)

- Solvabilité (trésorerie, endettement, délais de remboursement, besoin en fonds de roulement…)

- Robustesse (capitaux permanents rapportés aux immobilisations, au total du bilan, au chiffre d’affaires…)




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NOTE PREFACE >= 8 / 10 6-7 / 10 4-5 / 10 2-3 / 10 < 2 / 10SITUATION FINANCIERE… EXCELLENTE TRES SAINE TOUT JUSTE

EQUILIBREEFRAGILE à

DIFFICULTESA LA

DERIVE

QUELQUES INDICATEURS TYPIQUESBénéfice ou perte / CA > 20% > 5% > 2% > -5% < -5%Trésorerie / Actifs > 30% > 15% > 5% > -10% < -10%Fonds propres / ressources > 40% > 20% > 10% > 0% < 0%Dettes LMT / Fonds propres < 20% < 70% < 100% < 150% > 150%Durée de remboursement < 1 an < 3 ans < 5 ans < 7 ans > 7 ans

Une note pour mesurer la santé financière…Un indicateur multi-critères d’efficacité individuelle et de hiérarchisation des entreprises.Fonction de la qualité de leurs équilibres économiques, il est le thermomètre de leur pérennité.




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Note moyenne comparée de la Génération 1998 / Toutes entreprises

5,00

5,10

5,20

5,30

5,40

5,50

5,60

5,70

5,80

1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005

Note moyenne toutes entreprises Note moyenne Génération 1998

HORIZON DE MATURATION DES JEUNES SOCIETES :il a fallu 7 ans à la génération 1998 pour rattraper le parc d’entreprises

1 - Le parc de référence des 800.000 entreprises, sur la période 1998-2005, connaît une tendance générale à l’amélioration, la note moyenne évoluant de 5,4/10 à 5,7/10.

2 - La Génération 1998, dans ce contexte, réduit progressivement l’écart de sa note moyenne, qui part de 5,2/10 pour rattraper en 2005 la note moyenne de 5,7/10 du parc de référence.

Toutes entreprises

Génération 1998




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Note PREFACE génération 1998 tous secteurs

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

>= 8 7 à < 8 6 à < 7 5 à < 6 4 à < 5 3 à < 4 2 à < 3 <2

1999 toutes entreprises Génération 1998 en 1998 Génération 1998 en 1999

Génération 1998 en 2000 Génération 1998 en 2001 Génération 1998 en 2002


Génération 1998 en 2006 2006 toutes entreprises (estimations)

La générations 1998 progresse et rejoint la conformité du parc existant en 7-8 ans…

>= 6/10 4 à <6/10 < 4/10

- Année après année, la proportion des entreprises de la génération 1998 notées >= 6 progresse, avec régression concomitante pour celles les moins performantes notées <6.

- Il faut noter que l’évolution du parc d’ensemble (barres achurées pour 1999 et 2006) progresse également.

à 2006 >

Evolution de toutes les entreprises du parc

< de 1999




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Les jeunes sociétés des générations récentesprogressent plus vite que leurs ainées

- Les générations anciennes (1998, 1999, 2000) démarrent avec une note de 5,3/10, et mettent 5 à 7 ans à rattraper la note moyenne Toutes entreprises 2005 de 5,7/10

- Les générations les plus récentes (2002, 2003, 2004) démarrent plus fort (note de 5,5-5,6), pour rattraper et dépasser la note moyenne Toutes entreprises 2005 en 2 à 4 ans

Evolution de la note moyenne de chaque génération après x années

5,00

5,10

5,20

5,30

5,40

5,50

5,60

5,70

5,80

5,90

6,00

1 2 3 4 5 6 7 8

Génération 1998 Génération 1999

Génération 2000 Génération 2001

Génération 2002 Génération 2003Génération 2004 Note moyenne toutes entreprises en 2005

Age de la société =>




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Un peloton de tête performant quasi-majoritaire :l’exemple de l’une des générations les plus récentes (2004) à la fin de son premier exercice

Les performantes : pratiquement 50% de la génération 2004 affiche plus de 6/10 après un an d’activité (et 33% > 7/10)

Les intermédiaires Plus : 18% ont une note « encourageante » entre 5 et 6/10.

Les intermédiaires Moins : 12% ont une note « préoccupante » entre 4 et 5/10.

Les fragiles : à peine plus de 20% sont dans une position problématique en dessous de 4/10.




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Les jeunes sociétés des générations récentesprogressent plus vite que leurs ainées…

Note PREFACE Générations 1998 à 2005 tous secteurs

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

>= 8 7 à < 8 6 à < 7 5 à < 6 4 à < 5 3 à < 4 2 à < 3 <2



Génération 2003 en 2004 Génération 2004 en 2005 Génération 2005 en 2006 (estimation)

2006 toutes entreprises (estimations)

>= 6/10 4 à <6/10 < 4/10

- Après un an d’activité, la proportion des entreprises de chaque génération notées >= 7 s’accroît plus rapidement que le parc existant, de 19% à environ 30%.

- A l’opposé, la tranche 2-4 a un poids nettement plus fort que pour le parc existant.

à 2006 >

Evolution de toutes les entreprises du parc

< de 1999




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ENTREES, SORTIES, CROISSANCE…

Fragiles, les jeunes sociétés ? Créatrices d’emploi ? Croître ou ne pas croître ? Et les gazelles ?...




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FORMES JURIDIQUES DES CREATIONS PURES EN SOCIETESDE LA GENERATION 2005

EURL 9,3%

SA 6,0%

SARL 71,6%

Sociétés coopératives 0,3%

SAS 10,8%

SA à Directoire 0,5%

SARL EURL SA SA à Directoire SAS Sociétés coopératives

Libre choix du capital social pour les SARL (« loi Dutreil 2003 ») :l’hécatombe redoutée par certains ne s’est pas produite

80% de SARL et EURLMoins de 20% de SA et SAS

Un choix raisonné et raisonnable (génération 2005) :- Capital > 7.600 € : 50% des SARL et 38% des EURL

- Capital = 7.600 € : 18% des SARL et EURL

- Capital entre 1.000 et 5.000 € : 21% des SARL et 28% des EURL

- Capital = 0 ou 1 € : pratiquement jamais adopté

Des performances non correlées au capital :Quel que soit le capital social retenu (supérieur ou inférieur à 7.600 €) :

- 50 à 60% des sociétés ont une note > 6/10

- 20 à 22% ont une note entre 4 et 6/10

Cette répartition est très proche de celle du parc d’ensemble




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Proportion des SARL et EURLselon leur capital social en euros (générations 2003 à 2005)

0,0%

10,0%

20,0%

30,0%

40,0%

50,0%

60,0%

SARL créées 2003 en 2004



EURL créées 2003 en 2004



= 0 ou 1 > 1 et <= 1 000 > 1 000 et <= 5 000 > 5 000 et <= 7 400 > 7 400 et <= 7 700 > 7 700

SARL EURL

Liberté de choix du capital des SARL et EURL depuis 2003 :en 2005, 30% des SARL et 44% des EURL démarrent sous l’ancien minimum de 7.600 €

CAPITAL SOCIAL 0-1 € 1-1.000 € 1.000-5000 € 5.000-7.400 € 7.400-7.700 € > 7.700 €

La loi Dutreil de 2003 d’initiative économique a ramené à 0 € le capital minimum des SARL et EURL. On observe :

- une stabilité des sociétés fixant leur capital au-delà de l’ancien minimum de 7.600 € (50% pour les SARL, 38% pour les EURL)

- une régression de l’ancien minimum de 7.600 € (40% à 18% pour les SARL, 48% à 18% pour les EURL)

- les parts s’amplifient sur les tranches inférieures, plus particulièrement 1.000-5.000 € (atteignant 20% pour les SARL et 29% pour les EURL)

- le capital à 0 ou 1 € n’a pratiquement jamais été adopté




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Proportion et note PREFACE de performance/fragilité des SARL et EURLselon leur capital social en euros (génération 2005 en 2006)

0,0%

10,0%

20,0%

30,0%

40,0%

50,0%

60,0%

70,0%

= 0 ou 1 0,5% 54,7% 7,9% 13,7% 23,7% 1,0% 55,9% 4,4% 20,6% 19,1%

> 1 et <= 1 000 8,8% 56,8% 10,0% 11,2% 22,0% 12,3% 61,8% 7,9% 11,9% 18,5%

> 1 000 et <= 5 000 20,2% 56,7% 11,4% 12,5% 19,5% 28,6% 62,6% 9,6% 12,5% 15,3%

> 5 000 et <= 7 400 4,4% 54,5% 11,6% 13,3% 20,7% 5,1% 62,1% 9,5% 13,6% 14,7%

> 7 400 et <= 7 700 15,3% 53,8% 12,9% 11,4% 22,0% 15,7% 54,6% 13,1% 13,4% 19,1%

> 7 700 50,8% 51,0% 14,1% 11,4% 23,6% 37,4% 55,0% 12,8% 11,6% 20,6%


Mentions Excellent, Très bien et bien

(note > 6)

Mention P assable (note >= 5 et < 6)

Mention Repéchable (note

>= 4 et < 5)

Mention En difficulté ou A la dérive (note < 4)


Mentions Excellent, Très bien et bien

(note > 6)

Mention P assable (note >= 5 et < 6)

Mention Repéchable (note

>= 4 et < 5)

Mention En difficulté ou A la dérive (note < 4)

CAPITAL

SOCIAL

CHOIX CHOIXSARL EURLCONSEQUENCESCONSEQUENCES

NOTES > 5-6/10 4-5/10 <4/10 5-6/10 4-5/10 <4/10

Un capital minime sur-fragilise-t-il les jeunes société ?

L’hécatombe redoutée n’a pas eu lieu

Les SARL et EURL s’étant ajusté à un capital inférieur à l’ancien minimum de 7.600 € ont des équilibres sensiblement équivalents à celles disposant d’un capital supérieur à7.600 €.

51 à 63% ont une note supérieure à 6/10.

CAPITAL SOCIAL 0-1 € 1-1.000 € 1.000-5000 € 5.000-7.400 € 7.400-7.700 € > 7.700 €

>6/10 >6/10




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100%D’UNE

GENERATIONDE

NOUVELLESSOCIETES

90% PAR AN DE PERENNES

10% PAR AN DE

DISPARITIONS

8%DE CESSATIONS VOLONTAIRES

2%DE

DEFAILLANCES

1,2%DE

LIQUIDATIONS (60-65%)

0,8% DE REGLEMENTS JUDICIAIRES

(35-40%)

Ne plus jamais dire« 50% d’échecs après 5 ans »,

mais plutôt« Environ 1 % sont mises en liquidation chaque année »…

Pérennes / Disparitions

Cessations / Défaillances

Liquidations / Continuation

dont près de la moitié de « phénix »1 re-créateurs

(1) Phénix ou entrepreneur qui « renaît de ses cendres » : serial entrepreneurs effectifs (19%) et intentionnels (24%) – Chiffres du Ministère des PME, étude 2004

MODELE TYPIQUEDE PERENNITE / DISPARITIONS




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Dynamique de la génération 1998 : la proportion de « casse brutale » diminue sensiblement au fil du temps

Génération 1998 : 78.860 sociétés 1999 % 2000 % 2001 % 2002 % 2003 %Nombre d'entreprises pérennes 67 851 60 475 53 254 46 899 40 925Taux de pérennité 90,2% 80,4% 70,8% 62,3% 54,4%Nombre de cessations pures -7 376 10,9% -7 221 11,9% -6 354 11,9% -5 974 12,7% -5 950 14,5%

dont cessations volontaires -5 783 8,5% -5 561 9,2% -4 865 9,1% -4 689 10,0% -4 771 11,7%dont règlements judiciaires -644 0,9% -708 1,2% -741 1,4% -685 1,5% -686 1,7%dont liquidations judiciaires -953 1,4% -954 1,6% -748 1,4% -601 1,3% -493 1,2%

Année après année, à mesure de la maturation progressive des jeunes sociétés de la génération 1998, on observe que :

- la proportion des liquidations judiciaires diminue sensiblement, de 1,4% puis 1,6% pour redescendre à 1,2% au bout de 5 ans, soit une contraction de 25% (le taux moyen de liquidations judiciaires du parc des sociétés est d’environ 1%)

- les cessations volontaires se multiplient, de 8,5% à 11,7%, soit +38%

Chiffres présentés après proportionnalisation d’un échantillon de 57.567 sociétés




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Un quasi-maintien des emplois créés par une générationGénération 1998 : 75.000 sociétés créent 241.000 emplois en 1998

3,2 emplois par entreprise

7 ans plus tard (2005) : 41.000 entreprises ont maintenu 206.000 emplois

5 emplois par entreprise

=> Grâce à leur développement, les emplois progressivement créés par les sociétés pérennes compensent pratiquement les emplois détruits par les éphémères…

AU SURPLUS : certaines entreprises disparues entre temps ont été rachetées avec leurs salariés, et nombre de « phénix » régénèrent de l’emploi (les données du Démoscope™ ne permettent cependant pas d’en mesurer l’ampleur)

NB : les volumes Sociétés et Emplois présentés ici sont proportionnalisés par rapport à l’échantillon des 57.557 sociétés de la génération 1998 issues de Diane (taux de 76,5%), pour rendre compte au mieux de sa contribution réelle à la création d’emploi.




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Génération 1998 en 2005Volumes proportionnalisés / échantillon : taux de 76,5% Entreprises EffectifsCréations pures en sociétés Génération 1998 75 393 241 004

Perte Sociétés éphémères -34 005 -100 830

Subsistent en 2005Total sociétés pérennes génération 1998 41 420 206 959

dont accroissement d'effectifs des sociétés pérennes 20 263 89 292dont sociétés pérennes aux effectifs stables 13 113 0

dont réduction d'effectif des sociétés pérennes 8 045 -22 507Création ou destruction -33 973 -34 045% rémanence 54,9% 85,9%



TOTAL

Les emplois progressivement créés par les sociétés pérennes compensent presque les emplois détruits par les éphémères…

Sur quelque 240.000 emplois nouveaux créés par 75.000 jeunes sociétés de la Génération 1998, il subsiste en 2005 plus de 200.000 emplois portés par environ 40.000 entreprises, soit 5 emplois par jeune entreprise.

En 1998

7 ans plus tard

En chemin




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Génération 1998 en 2005Volumes proportionnalisés / échantillon : taux de 76,5% Entreprises Effectifs Entreprises Effectifs Entreprises Effectifs Entreprises Effectifs Entreprises EffectifsCréations pures en sociétés Génération 1998 75 393 241 004 64 510 94 922 6 358 47 287 2 519 36 466 2 006 62 329

Perte Sociétés éphémères -34 005 -100 830 -29 666 -40 430 -2 425 -18 102 -1 038 -15 144 -875 -27 154

Subsistent en 2005Total sociétés pérennes génération 1998 41 420 206 959 34 844 111 401 3 933 38 518 1 481 25 272 1 163 31 768

dont accroissement d'effectifs des sociétés pérennes 20 263 89 292 17 227 65 346 2 023 14 154 773 7 767 239 2 025dont sociétés pérennes aux effectifs stables 13 113 0 11 989 0 476 0 73 0 574 0

dont réduction d'effectif des sociétés pérennes 8 045 -22 507 5 628 -8 437 1 433 -4 821 634 -3 818 349 -5 432

> 20




TOTAL <= 5 > 5 & <= 10 > 10 <= 20

7,4 emplois par entreprise 14,5 emplois par entreprise 31,1 emplois par entreprise

3,2 emplois par entreprise 9,8 emplois par entreprise 17,1 emplois par entreprise 27,3 emplois par entreprise

La création-destruction d’emploi selon l’effectif




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Croissance :de la difficulté de sortir de la « cage de verre »Génération 1998 : quel développement à 7 ans ?

– CA > 1 M€ : 9,4% en 1998 ==>> 16,4% en 2005– Emploi > 10 : 6,4% en 1998 ==>> 11,2% en 2005

On observe une forme de pré-déterminisme : 78% des entreprises de la génération 1998 restent « piégées » dans leur tranche de taille d’origine (CA ou emploi).

Des « verrous structurels » sont clairement à l’origine de cette rigidité (voir les clés pour ouvrir ces verrous en annexe 12), notamment :

- Espaces dédiés difficilement reconfigurables (restaurants…)

- Prestations de proximité non stockables ou transportables (produits frais, service à la personne…)

- Marché étroit ou concurrence sévère

- Psychologie frileuse de l’entrepreneur (esprit « artisan », faible propension au risque, auto-emploi…)

- Seuils à franchir (emploi, export, technologies…) et moyens à mobiliser (financiers, humains…)

En 2005, 5% (2.100 sociétés) satisfont à l’un des critères « Gazelles » : plus de 20 emplois




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CA 1999 \ Vers CA 2005 (Keuros constants) <= 575 > 575 & <= 1 150 > 1 150 & <= 11 500 > 11 500 TOTAL % en 1998<= 500 27 469 3 601 1 895 137 33 102 80,1%

> 500 & <= 1 000 993 1 760 1 563 18 4 334 10,5%> 1 000 & <= 10 000 357 327 2 668 212 3 564 8,6%

> 10 000 30 3 46 246 324 0,8%TOTAL 28 849 5 691 6 172 613 41 325 100,0%

% en 2005 69,8% 13,8% 14,9% 1,5% 100,0%

16,4%

Et les jeunes sociétés pérennes qui croissent…

Progression Stabilité Régression

Effectifs 1999 \ Vers Effectifs 2005 <= 5 > 5 & <= 10 > 10 & <= 20 > 20 TOTAL % en 1998<= 5 28 893 4 457 927 502 34 780 84,2%

> 5 & <= 10 973 1 781 867 303 3 925 9,5%> 10 & <= 20 158 315 568 438 1 479 3,6%

> 20 77 51 148 864 1 140 2,8%TOTAL 30 102 6 605 2 510 2 108 41 325 100,0%

% en 2005 72,8% 16,0% 6,1% 5,1% 100,0%

Les croissantes :

18% des sociétés (7.500) passent dans la tranche supérieure, contre 4% (1.700) qui régressent.

Cage de verre :

78% (32.000) se maintiennent dans leur « cour » d’origine.

Evolution du CA du premier exercice 1998 (en lignes) vers le CA 2005 (en colonnes)

Evolution des effectifs du premier exercice 1998 (en lignes) vers les effectifs 2005 (en colonnes)

90,6%

9,4%

93,7%

6,4%

88,8% 11,2%

83,6%

Réservoir des « gazelles » ?

77,7%

77,8%




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Des verrous et des clés pour leur croissance…

VERROUS CLES (mais barrières d’accès aux clés…)Espaces dédiés difficilement reconfigurablesEx : restaurants, hôtels, salles de spectacles…

Maximiser le taux de remplissage« Copier-coller » le concept (franchise, licence…)Extension, relocalisation (franchir un seuil)

Prestations de proximité non stockables ou transportablesEx : commerce de frais, services à la personne…

Elargir la chalandise en attirant le client distant (Ex : glacier Bertillon)Livrer en flux tendu des prestations désirables

Concurrence Développer des avantages distinctifs

Marché étroitEx : solvabilité, culture…

Elargir et diversifier le marché et l’offreEvangéliser

Psychologie frileuse de l’entrepreneurAuto-emploi, artisan, dilettante, modeste, prudent, anesthésié par la réussite

Elargir le champ des opportunités (marchés, financements…)Former et coacher (rencontres exemplaires…)

Seuils à franchirEx : emploi, export, technologies, certifications et labellisations…

Fluidification des contraintes institutionnelles

Besoins et risques financiers (business model)Délais de pénétration du marché, niveaux d’investissement R&D et techniques, rentabilité des capitaux investis…

Financements risqués (business angels, capital investissement…)Ouverture précoce de marchés institutionnels (Small Business Act…)




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Les plus petits chiffres d’affaires des entreprises individuelles pérennes

Les plus gros chiffres d’affaires des entreprises individuelles pérennes

Source : SINE 2002-2005, exploitation APCE

Activités

Activités récréatives,

culturelles et sportives

EducationServices

personnels (coiffure…)

Commerce de détail

Services opérationnels

aux entreprises

% de créations individuelles dans l’activité 61 68 75 58 48

% de créations avec un CA < 15 000 € 73 54 41 54 43

% de créations avec un CA < 76 300 € 96 93 92 83 86

Activités ConstructionRéparation

et commerce automobile

% de créations individuelles dans l’activité 62 39

% de créations avec un CA < 15 000 € 18 26

% de créations avec un CA < 76 300 € 33 57

Le chiffre d’affaires est lié à l’activité, mais aussi à la nature juridique : ici les entreprises individuelles




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Les plus petits chiffres d’affaires des sociétés pérennes

Les plus gros chiffres d’affaires des sociétés pérennes

Source : SINE 2002-2005, exploitation APCE

Activités

Activités récréatives,

culturelles et sportives

Hôtels-cafés-restaurants

EducationServices

personnels

% de créations individuelles dans l’activité 39 55 32 25

% de créations avec un CA < 15 000 € 28,5 23 16 15

% de créations avec un CA < 76 300 € 22 25 26 17

ActivitésCommerce

et réparation automobile

Transports

Commerce

de gros

et courtage

Industrie

% de créations individuelles dans l’activité 61 54 68 55



Le chiffre d’affaires est lié à l’activité, mais aussi à la nature juridique : ici les sociétés




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40 % des créateurs en sociétés se sont employés à développer leur entreprise, alors qu’ils étaient 66 % à vouloir le faire au démarrage.La démarche du créateur au cours des deux dernières années a été :

Les deux tiers des créateurs en société, déclarant avoir fortement accru leur activité, ont réalisé un chiffre d’affaires d’au moins 153 000 €.La répartition par tranche de chiffre d’affaires à trois ans est la suivante :


En %Accroître fortement

son activitéLa maintenir à son

niveauTenter de sauvegarder

son activitéTotal

Entreprise individuelle 27 48,5 24,5 100

Société 40 39,5 20,5 100

En % Moins de 15 000 € Moins de 76 300 € Plus de 153 000 € Plus de 763 000 €

Entreprise individuelle 23 68,5 14 -

Société 11 28,5 53 14,5

L’action du créateur sur le développement




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78 % des sociétés ont, trois ans après la création, 2 salariés au plus.

La répartition des sociétés selon le nombre de salariés à trois ans est la suivante :

La répartition du chiffre d’affaires selon l’effectif salariés à trois ans est :


0 salarié1 à 2

salariésSous-total

3 à 5 salariés

6 à 9 salariés

10 salariés et plus

Total

En % 51 27 78 12,5 5 4,5 100

0 salarié 1 à 2 salariés 3 à 5 salariés 6 à 9 salariés 10 salariés et plus

Moins de 76 300 € 62 29 16 13 8

Plus de 153 000 € 18,5 45 71,5 83 88

Plus de 763 000 € - 5 13 34 64

L’effectif salarié (hors dirigeant) et le chiffre d’affaires trois ans après la création




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61% des sociétés disent avoir réuni au démarrage au plus 16 000 € (prêts compris)La répartition des sociétés selon les capitaux initiaux réunis est :

La fréquence d’un chiffre d’affaires d’au moins 153 000 € croît avec l’importance des moyens financiers au démarrageLa répartition des chiffres d’affaires selon les capitaux initiaux réunis est la suivante :


Moins de

4 000 €

De 4 000

à 8 000 €

De 8 000

à 16 000 €

Sous-total

De 16 000

à 40 000 €

De 40 000

à 80 000 €

Plus de

80 000 €Total

% de sociétés 15 23 23 61 17 9 13 100

Moins de

4 000 €

De 4 000

à 8 000 €

De 8 000

à 16 000 €

De 16 000

à 40 000 €

De 40 000

à 80 000 €

Plus de

80 000 €

Moins de 15 000 € 26 25 20 16 17 17

Plus de 153 000 € 30 31 37 43 45 56

Chiffre d’affaires des créations en sociétéet moyens financiers au démarrage




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Chiffre d’affaires des créations en sociétéet moyens financiers consacrés aux investissements après la création

La majorité des sociétés (62 %) ont réalisé au moins 7 500 € d’investissements au cours des deux dernières années.La répartition des sociétés selon le montant des investissements réalisés est :

C’est à partir d’un montant d’investissements d’au moins 7 500 € que l’on observe une majorité de sociétés réalisant au moins 153 000 € de chiffre d’affairesLa répartition des chiffres d’affaires selon les montants d’investissements réalisés au cours des deux dernières années est la suivante :


Moins de1 500 €

De 1 500à 7 500 €

De 7 500à 15 000 €

De 15 000à 75 000 €

75 000 €et plus

Total

7 31 20 29 13 100

Moins de1 500 €

De 1 500à 7 500 €

De 7 500à 15 000 €

De 15 000à 75 000 €

75 000 €et plus

Moins de 15 000 € 40 22 11 9 10

Plus de 153 000 € 16 26 43 55 70

Chiffre d’affaires des créations en sociétéet moyens financiers consacrés aux investissements après la création




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Le chiffre d’affaires selon cinq caractéristiques, en lien avec le développement des créations en société pérennes à trois ans :

% de sociétés

concernées

Moins

de 15 000 €

Moins

de 76 300 €

Plus

de 153 000 €

Plus

de 763 000 €

Les modalités de financement après la création : par le crédit-bail

12 8 18 64 20

Intention d’embauche la 4ème année de la création

20 10 23 60 18

L’emploi de personnel occasionnel en intérim

11 9 17,5 68 24

Appel fréquent au conseil après la création 9 14 29 54 16,5

La représentation qu’a le créateur de lui-même : chef d’entreprise

36 12,5 28 56 16

Moyenne toutes sociétés et toutes caractéristiques

100 21 42,5 38,5 9


Cinq indicateurs de développement




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% de créateurs concernés

Moins

de 15 000 €

Moins

de 76 300 €

Plus

de 153 000 €

Plus

de 763 000 €

Le niveau de diplôme

- CAP/BP/Bac professionnel 29,5 19 38,5 40 8

- 1er cycle de l’enseignement supérieur 14 21 43 40 9

- 2ème et 3ème cycles de l’enseignement supérieur

26 22 45 38 10

Qualification et expérience professionnelle antérieure (pour qui en a une) :

- Cadre, agent de maîtrise 45 19 40 42,5 12

- Employé, ouvrier 44 18,5 40 37 5

Le fait d’avoir déjà créé au moins deux fois 20,5 23 42,5 42,5 13,5

Co-direction avec associés 27 21 40 43 12

Moyenne toutes activités et toutes caractéristiques

100 21 42,5 38,5 9


Sept caractéristiques de peu d’influencesur l’importance du chiffre d’affaires




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100 sociétés créées en 1998 ou 1999 satisfont les critères suivants : Croissance continue du CA d’au moins 15% par an Note de performance toujours > 5/10 dès la 3ième année « Taille Gazelle » en 2005 : effectif > 20 ou CA > 1.000.000 €

Les 100 champions Tous les secteurs sont représentés CA moyen : 12,5 M€ Effectif moyen estimé : 23 Note moyenne : 6,9 Le super-champion, une création « intrapreneuriale » : FREE (CA de 635 M€ en 2005, 876 M€ en 2006, note 7,25/10)

Le Top 100 des « jeunes gazelles »




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Les 36 premières « jeunes gazelles » du Top 100

Nom de l'entrepriseCode postal

Code NAF Libellé Code NAF Description de l'activité

Chiffre d'affaires

FREE 75008 642C TÉLÉCOMMUNICATIONS (HORS TRANSMISSION AUDIOVISUELLE)OPERATEUR TÉLÉCOM 634 588 159LABORATOIRE HRA-PHARMA 75003 514N COMMERCE DE GROS DE PRODUITS PHARMACEUTIQUESCOMMERCIALISATION ET EXPLOITATION DE TOUS PRODUITS PHARMACEUTIQUES PDT: LYSODREN. NORVALO. KPH PROTECTION ET GYMISO.24 262 872PARTYLITE SARL 95610 514S AUTRES COMMERCES DE GROS DE BIENS DE CONSOMMATIONIMPORT-EXPORT. ACHAT. DISTRIBUTION DE BOUGIES. DE BOUGIES ODORANTES20 641 744ISO 2000 26300 524N COMMERCE DE DÉTAIL DE QUINCAILLERIE COMMERCIALISATION D'ISOLANT EN ALUMINIUM PAR THERMORÉFECTION POUR AMÉLIORER LE BIEN-ÊTRE DE LA MAISON. LA SÉCURITÉ. L'INDUSTRIE13 832 099SIA CONSEIL 75009 741G CONSEIL POUR LES AFFAIRES ET LA GESTION CONSEIL EN MANAGEMENT ET EN SYSTÈME D'INFORMATION. 12 475 389GROUPE PATRICE PICHET 33600 701A PROMOTION IMMOBILIÈRE DE LOGEMENTS ADMINISTRATION D'ENTREPRISES 12 411 195STEAMEO 75008 642C TÉLÉCOMMUNICATIONS (HORS TRANSMISSION AUDIOVISUELLE)CONSEIL EN TÉLÉCOMMUNICATION VENTE EN GROS DE CARTE TÉLÉPHONIQUE9 454 679CEE TRANS 69780 634C ORGANISATION DES TRANSPORTS INTERNATIONAUX TRANSPORT. COURSES. AFFRETEMENT. COMMISSIONNAIRE. 9 118 690DATA BASE FACTORY 92250 724Z ACTIVITÉS DE BANQUES DE DONNÉES ACTIVITES DE BANQUES DE DONNEES 8 104 339TIME 3000 75019 642C TÉLÉCOMMUNICATIONS (HORS TRANSMISSION AUDIOVISUELLE)VENTE DE TÉLÉPHONES PORTABLES. 7 462 802OMNIUM PROMOTION 31200 701A PROMOTION IMMOBILIÈRE DE LOGEMENTS PROMOTION IMMOBILIÈRE. 6 920 874RACCORDS SERVICES 14120 515J COMMERCE DE GROS DE FOURNITURES POUR PLOMBERIE ET CHAUFFAGENÉGOCE. PLOMBERIE. CHAUFFAGE 6 871 837AEROTECHNIC FRANCE 31120 511G INTERMÉDIAIRES DU COMMERCE EN MACHINES. ÉQUIPEMENTS INDUSTRIELS. NAVIRES ET AVIONSNÉGOCE DE PIÈCES D'AVIONS. 6 816 021IDENIX SARL 34790 731Z RECHERCHE-DÉVELOPPEMENT EN SCIENCES PHYSIQUES ET NATURELLESTOUTES ACTIVITÉS RELATIVES À LA RECHERCHE PHARMACEUTIQUE6 736 214TELECA YACCOM 35135 721Z CONSEIL EN SYSTÈMES INFORMATIQUES CONSEIL EN SYSTÈMES INFORMATIQUES ET DÉVELOPPEMENT DE LOGICIELS.6 593 788POSE SERVICES 91210 454D MENUISERIE MÉTALLIQUE - SERRURERIE FOURNITURE ET POSE DE MENUISERIES MÉTALLIQUES 6 325 034ACOFI GESTION 75008 671C GESTION DE PORTEFEUILLES GESTION DE PORTEFEUILLES 6 285 086FRANCE CAPITAL SA 31200 671E AUTRES AUXILIAIRES FINANCIERS DÉTENTION DE TOUTES VALEURS MOBILIÈRES.PRISE DE PARTICIPATION.GESTION DES TITRES.PRESTATION.AGENCE PUBLICITÉ.5 889 434GENIE CLIMATIQUE TUYAUTERIES INDUSTRIELLES77860 453E INSTALLATION D'EAU ET DE GAZ PLOMBERIE. CHAUFFAGE. VENTILATION 5 370 885SUNOPSIS 69760 722A EDITION DE LOGICIELS (NON PERSONNALISÉS) CONCEPTION ET ÉDITION DE LOGICIELS. CONSEIL EN ARCHITECTURE DE SYSTÈMES INFORMATIQUES4 991 964JL INTERNATIONAL 77240 602B TRANSPORTS ROUTIERS RÉGULIERS DE VOYAGEURSIMPORT-EXPORT. DISTRIBUTION DE TOUS TYPES DE MATÉRIEL ET DE PRODUITS4 676 690EXAPRINT 34970 222C AUTRE IMPRIMERIE (LABEUR) IMPRIMERIE. 4 590 041AVITIS 75002 721Z CONSEIL EN SYSTÈMES INFORMATIQUES INGÉNIERIE. INFORMATIQUE. CONSEILS EN RESSOURCES HUMAINES.4 398 846COULEURS DES ALPES 74150 514S AUTRES COMMERCES DE GROS DE BIENS DE CONSOMMATIONIMPORTATION. COMMERCE. INSTALLATION DE MOBILIERS TOUT STYLE.4 355 905PAVES DE RUE 28600 515F COMMERCE DE GROS DE MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION ET D'APPAREILS SANITAIRESNÉGOCE DE MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION 4 216 271G4S MULTISERVICES FRANCE 76000 748K SERVICES ANNEXES À LA PRODUCTION PRESTATIONS SERVICES. MAINTENANCE. LOGISTIQUE. MAGASINAGE4 173 185BARRAQUE PEINTURE 31770 514J COMMERCE DE GROS DE PRODUITS POUR L'ENTRETIEN ET L'AMÉNAGEMENT DE L'HABITATPEINTURE. REVÊTEMENTS DE SOLS ET MURS. DÉCORATION 3 830 722MI-GSO 31670 742C INGÉNIERIE. ÉTUDES TECHNIQUES CONSEIL. ASSISTANCE. PRESTATIONS DE SERVICES EN MATIÈRE D'ADMINISTRATION ET DE GESTION D'ENTREPRISES - ACQUISITION.3 800 458AVANTAGE SERVICES ET PROPRETE 75116 747Z ACTIVITÉS DE NETTOYAGE NETTOYAGE INDUSTRIEL. 3 785 369LES PRODUCTIONS CINEMA THEATRE COMEDIE27290 923B SERVICES ANNEXES AUX SPECTACLES PRODUCTION ET TOURNÉES THÉÂTRALES. PRESTATIONS DE SERVICES THÉÂTRALES. CINÉMA. TÉLÉVISION. ÉDITIONS MUSICALES ET LITTÉRAIRES.3 744 857QUADRIM CONSEILS 91130 741G CONSEIL POUR LES AFFAIRES ET LA GESTION CONSEILS ET ASSISTANCE POUR ENTREPRISES DU BÂTIMENT. 3 739 907RODRIGUE SA 95110 722C AUTRES ACTIVITÉS DE RÉALISATION DE LOGICIELS LOGICIELS DE BILLETERIE INFORMATIQUE. 3 606 064A.G.C. 71640 741G CONSEIL POUR LES AFFAIRES ET LA GESTION RECRUTEMENT ASSISTANCE ÉTUDES CONSEILS INDUSTRIELS ET TECHNIQUES.3 415 069SAINT THIBAULT 77400 524H COMMERCE DE DÉTAIL DE MEUBLES ALIMENTATION GENERALE 3 325 283SOCIETE DE NEGOCE ET DE PROMOT ION75005 514S AUTRES COMMERCES DE GROS DE BIENS DE CONSOMMATIONACHAT ET VENTE DE TOUS PRODUITS ET MARCHANDISES NON RÉGLEMENTÉS.3 179 420CESBRON FRUITS 49620 513A COMMERCE DE GROS DE FRUITS ET LÉGUMES COMMERCIALISATION DE FRUITS ET LÉGUMES. 3 141 372




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REPARTITION SECTORIELLE

60% pour le commerce et les services

12% pour la construction

9% pour l’industrie hors IAA




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LE POIDS DOMINANT DU COMMERCE (27-28%), DES SERVICES AUX ENTREPRISES (20-21%) ET DES SERVICES AUX PARTICULIERS (13-14%)

Répartiton par secteur d'activité (génération 1998)

0,0%

5,0%

10,0%

15,0%

20,0%

25,0%

30,0%

35,0%

1999 toutes entreprises Génération 1998 en 1999 Génération 1998 en 2000Génération 1998 en 2001 Génération 1998 en 2002 Génération 1998 en 2003Génération 1998 en 2004 Génération 1998 en 2005 2005 toutes entreprises




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Construction et commerce




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SERVICES AUX ENTREPRISES et SERVICES AUX PARTICULIERS




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REPARTITION GEOGRAPHIQUE

CONFIRMATION DE LA HIERARCHIE DES REGIONS




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LE POIDS DOMINANT DEIDF (26-27%), RHÔNE-ALPES (10-11%) ET PACA (9-10%)

Répartiton par situation géographique Génération 1998 (y compris Ile-de-France)

0,0%

5,0%

10,0%

15,0%

20,0%

25,0%

30,0%

1998 toutes entreprises Génération 1998 en 1998 Génération 1998 en 1999Génération 1998 en 2000 Génération 1998 en 2001 Génération 1998 en 2002Génération 1998 en 2003 Génération 1998 en 2004 Génération 1998 en 2005




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HORS ILE-DE-FRANCE, LES OUTSIDERS :AQUITAINE, PAYS DE LOIRE, BRETAGNE, LANGUEDOC-ROUSSILLON,

MIDI-PYRENEES, NORD-PAS-DE-CALAIS

Répartiton par situation géographique Génération 1998 (hors Ile-de-France)

0,0%

2,0%

4,0%

6,0%

8,0%

10,0%

12,0%







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Deux « must » : la performance et la croissanceAutour de la performance La santé financière est globalement satisfaisante Le délai de maturation d’une génération est de 7-8 ans Gains d’efficacité des générations les plus récentes Quelques premiers démentis d’idées reçues : les 2/3 des nouvelles sociétés pérennes

sont saines à 5 ans, les faillites sont assez rares, le libre choix du capital des SARL ne les sur-fragilise pas…

Autour de la croissance La création d’entreprise est un vrai moteur de régénération du tissu économique : la

création nette d’emplois d’une génération est pratiquement stable sur 7 ans, compensant les cessations

Tout les entrepreneurs peuvent avoir la volonté de grandir : il n’y a pas de « secteurs miracles » ni de « secteurs maudits »

Mais 78% des entreprises sont prisonnières de leur « cage de verre »

Les grands enseignements




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QUESTIONS-REPONSES

MERCI

Pour recevoir gratuitement le diaporama de la conférence, merci de remplir et déposer

le questionnaire mis à disposition

Documents

Jeunes pousses : de la brindille au baobab - Les premiers résultats du Démoscope pluri-annuel des nouvelles sociétés présentés dans le cadre du Salon des