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Nos bébés de l’année 2012!

De nobles guerriers québécois en Virginie

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Stade du Centre des sports :le plancher remis à neuf

Article en p. 27

– PHOTO : FACEBOOK/35E GROUPE-BRIGADE DU CANADAMille quatre cent cinquante réservistes du Québec ont participé à l’exerciceNOBLE GUERRIER au début de janvier à Fort Picket, en Virginie.

Article en p. 11. Plus à suivre dans la prochaine édition!

p. 19

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Un portrait de l’équipe canadienne au «Consolidated Fielding Center».

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2 ADSUM, 17 JANVIER 2013

3ADSUM, 17 JANVIER 2013

Conseiller canadien en Afghanistan : témoignage d’une transformationPAR LE CAPITAINE MATHIEU CHABOT

Opération ATTENTION / CCMF-A

Camp Alamo, Kaboul – Je suis lecapitaine Mathieu Chabot et j’agis àtitre de conseiller à l’officier logisti -que afghan de la brigade responsa -ble du cours de recrues de l’Arméenationale afghane. L’opérationATTENTION est ma première mis-sion à l’étranger et cette expériencedemeure jusqu’à présent l’une desplus importantes de ma vie person-nelle et militaire. Alors que je voisun pays à travers son armée setrans former, je suis obligé d’admettreque je change aussi.

Comme Canadien, j’ai appris que mes gestes avaient une incidence indi-viduelle et collective. Je retrouve cettemême dynamique collective et indivi -duelle au sein de l’armée afghane. Ilexiste des différences majeures entrenous. En dépit des différences, lerespect entre nous est crucial.

Avant de me déployer, j’envisageaisde réfléchir sur la transformationafghane, sur l’implication canadienneet sur moi-même. Ici, cette réflexion estdésormais concrète. En dépit de lapetitesse de mon mandat, je crois à uneinterprétation large de mon travail. Jecrois que je participe à l’établissement

d’une démocratie avec un État de droitset un monopole légitime de l’emploi de la force. Je crois à une améliorationde la condition de vie des Afghans. Jecontinue d’y croire après quelquessemaines ici. Je crois aussi à monamélioration comme personne.

La clé de cette amélioration passe parune mise de côté des biais culturels. Je

ne suis pas ici pour appliquer mes solu-tions. Je suis ici pour accompagner des Afghans en quête de solutions bien à eux. Du même coup, les Afghans se cons truisent une identité. Ilss’appro prient le sens de leur vie et deleur pays.

Le rapport à l’aide matérielle inter-nationale est l’un des meilleurs exem-

ples du processus d’autonomisation des Afghans. Par exemple, des piècesd’équipement sont mal utilisées par lesAfghans, voire prises pour acquises, etfont l’objet d’un mauvais traitement.Parfois, certains Afghans pensent ques’ils brisent quelque chose, l’aide inter-nationale remplacera l’objet brisé.Heureusement, il existe des Afghansqui ont une vision à long terme et quicomprennent que notre présence pren-dra fin bientôt, incluant notre aide matérielle. Autrement dit, ilsdoivent se prendre en main. Notre travail est donc de les aider à trouverleurs propres solutions, lesquelles lesmènent vers l’autonomie face à l’aideinternationale.

Par conséquent, j’essaie d’être, pen-dant mon séjour ici, un autre Afghan,lequel pense avec d’autres Afghans àune solution afghane. Vraisembla ble -ment, cette expérience risque d’êtrel’une des plus enrichissantes de monexistence, et ce, considérant mes projets d’avenir. À mon retour de mis-sion, je vais continuer et terminer monbaccalauréat en travail social. L’expé -rience acquise ici me servira sansaucun doute à accompagner monprochain, et ce, comme futur inter-venant dans le réseau de la santé et desservices sociaux.

– PHOTO : CPLC JAMES NIGHTINGALE, QG CCMF-AKaboul, Afghanistan, 23 décembre 2012 – Le capitaine Mathieu Chabot devant la «Central Issuing Facility» lorsde la distribution initiale des vêtements aux recrues du cours d’instruction élémentaire des guerriers K 199, auCentre d’entraînement militaire de Kaboul.

Le brigadier-général Giguèrerend visite aux troupes à Kaboulpour Noël

PAR LE CAPITAINE VINCENT BOUCHARDOpération ATTENTION/CCMF-A

Du 24 au 26 décembre, le brigadier-général Richard Giguère, comman-dant du Secteur du Québec de laForce terrestre et de la Force opéra-tionnelle interarmées (Est) (SQFT/FOI[Est]), s’est rendu en Afghanistan

pour démontrer son appui aux trou pes des Forces canadiennes dép -lo yées sur la Roto 2 de l’Opéra tionATTENTION.

Le bgén Giguère était accompagnéd’une équipe sélecte composée dumajor-général (ret) Alain Forand, dubrigadier-général (ret) Robin Gagnon,de l’adjudant-chef Philippe Turbide,

sergent-major du SQFT, de l’adjudant-chef Jean-Marc Godin, sergent-majordu Centre d’instruction du SQFT, de lachanteuse Eve Avila et du chanteurRichard Petit.

«C’est important pour moi de venirvisiter nos troupes déployées durant lapériode de Noël pour partager avecelles ce moment particulier, d’autantplus que nos hommes et nos femmessont séparés de leur famille pour lesFêtes, et pour souligner l’excellent travail que nos troupes accomplissenten Afghanistan», a déclaré le bgénGiguère.

L’équipe a effectué une tournée desdivers camps situés dans la région de

Kaboul pour être en mesure de rencon-trer le plus grand nombre possible denos militaires. C’est donc au rythme dedeux ou trois camps par jour que lesvoyageurs sont allés remercier etsoutenir nos troupes déployées.

Accompagnés d’une guitare, RichardPetit et Eva Avila ont généreusementoffert une prestation musicale. C’est aumilieu des troupes, pour donner uneatmosphère chaleureuse, que nosartistes ont chanté avec les militairestoute une variété de chansons qui ontfait le bonheur de tous. Si M. Petit estun habitué des voyages pour appuyerles membres des FC, Eva Avila en étaità son premier voyage de ce genre.

– PHOTO : SGT DOUG DESROCHERS, QG CCMF-AKaboul, Afghanistan, 25 décembre 2012 – L’équipe du SQFT qui a rendu visite aux troupes de la Contributioncanadienne à la mission de formation en Afghanistan (de gauche à droite) : adjuc Philippe Turbide, adjuc Jean-Marc Godin, mgén (ret) Alain Forand, bgén Richard Giguère, bgén (ret) Robin Gagnon, Eva Avila et Richard Petit.

– PHOTO : LT COREY ANHORN, CCMF-AKaboul, Afghanistan, 25 décembre 2012 – Les chanteurs Eva Avila et Richard Petit ont fait un passage très appré-cié au Camp Black Horse.

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Un combat singulier contre un ennemi envahissantPAR LE LIEUTENANT-COLONEL FRÉDÉRIC JEAN

Opération ATTENTION / CCMF-A

Vous pensez sans doute que je vaisvous parler de la guerre en Afghanis -tan et du combat que nous y livronsdepuis toutes ses années. Mais non!En fait, je souhaite vous parler d’unautre combat qui a commencé il y alongtemps, qui continue et conti -nuera encore bien longtemps de noustoucher : le combat contre le cancer!

Étant à nouveau en Afghanistan, afinde combattre cet ennemi, j’ai décidé de lancer ma propre petite collecte defonds auprès de mes collègues poursoutenir l’équipe des Ski Town-Chickson Sticks, et particulièrement ma con-jointe qui s’est personnellement inves -tie encore cette année et a participé au24 h de Tremblant.

Cet événement annuel regroupe deséquipes de skieurs et skieuses pouramasser des fonds afin de soutenir larecherche, le réconfort et la qualité devie des jeunes atteints de cancer. Maiscomme tout n’est jamais simple enAfghanistan, je me suis fait un peudamer le pion lorsqu’au même momentoù j’allais lancer ma campagne, unsous-officier afghan très influent denotre unité (le CFC pour «ConsolidatedFielding Center») s’est gravementblessé dans l’exercice de ses fonctions.

Il a été transféré à l’hôpital militaire oùil a reposé entre la vie et la mort pen-dant plusieurs jours, son père à sescôtés. Il était évident par la nature deses blessures qu’il ne pourrait plusjamais servir l’armée afghane.

Face à cette tragédie, notre comman-dant, le colonel Ian Hope, a décidé dedemander des dons volontaires aux membres de la coalition sur notre camppour aider cet homme qui a une familleà soutenir et dont le futur finan cier estmaintenant incertain. La réponse futinstantanée!

En trois jours, nous avons récoltéprès de l’équivalent d’un an de salaireafghan. On doit savoir ici que l’arméeafghane ne possède pas de système desoutien financier pour les militairesblessés ou mutilés dans l’exercice deleurs fonctions.

Dans les circonstances, j’ai décidé deremiser mon projet jusqu’au week-endsuivant. J’ai profité d’un barbecueorganisé par une des équipes de mento -rat pour discuter avec mes collègues, et à ma grande surprise, en une heureseulement, j’avais amassé 400 $! Jecroyais que c’était très bien, car jen’avais alors approché qu’environ 50personnes.

En soirée, je suis allé faire le tour deschambres du personnel, et j’en suissorti ébahi! Non pas par le montant deprès de 1000 $ que j’avais amassé, mais

par la réaction spontanée des soldats,sous-officiers et officiers que je croisaissur mon passage. Alors que je m’étaispréparé à voir les gars et les filles sesauver à ma vue, tout le monde sem-blait content de me voir et certains, quiétaient absents de leur chambre lors demon passage, sont venus me retrouverplus tard pour me remettre leur don.

Alors que je comptabilisais les gainsqui s’élevaient à plus de 1300 $, je fuscomplètement estomaqué lorsqu’unlieutenant est venu élever le total à1500 $ d’un seul coup! À l’heure dusouper le jour même, c’était le repré -sentant d’un peloton entier qui venaitme remettre 466 $. Du coup, je me suiscouché le dimanche soir avec 2263 $d’amassés pour la cause, en seulement48 heures. Il n’a suffi que de quelquesjours supplémentaires pour rejoindreles membres éloignés de quelquescamps, notamment le personnel duAFAMS, l’Académie des Sciences médi-cales des Forces armées afghanes, quiont collecté une belle somme et aprèsseulement cinq jours de campagne,nous avions un don tota lisant plus de3000 $.

Pendant cette période de sollicita-tion, je ne me suis jamais senti commeun «quêteux». D’une part, je me suisrendu compte que presque tout lemonde a sa propre histoire avec le

cancer. D’autre part, avoir la chanced’aider à soulager la souffrance despetits malades ou d’altérer l’issue deleur combat difficile et parsemé d’embûches, touche absolument tout le monde droit au cœur. Si nos soldatssont capables de combattre au nom duCanada loin de leurs familles poursoutenir un peuple étranger, jamais ilsne baisseront les bras devant les com-bats les plus durs.

C’est ainsi que le jour J, je pouvaisannoncer avec grande fierté que lesmembres de la mission d’entraînementen Afghanistan ont versé un total de près de 3300 $ pour le 24 h deTremblant. J’ai été d’autant plustouché d’apprendre que ce don a ététrès remarqué et puisque l’annonceurde l’événement s’est fait un point d’honneur de mentionner la générositéde nos troupes déployées à quelques 10 000 kilomètres de leur location.

En guise de conclusion, il ne nousreste qu’à souhaiter une excellentesanté à tous les courageux enfants vic-times de cancers et de traumatismescrâniens dans leur quête de guérison et de soulagement. Nous savons com -bien nos contributions vont aider larecherche, les soins ou l’assistance tantrequise pour les familles éprouvées.Bonne chance!

– PHOTO : SGT STÉPHANE RATTÉ, COMMIS-CHEF, CFCKaboul, Afghanistan, 27 novembre 2012 – Un portrait de l’équipe canadienne au «Consolidated Fielding Center»,dont la majorité des membres n’ont pas été très durs à convaincre pour contribuer à une cause qui touche toutle monde.

Le Congrès des États-Unis a adopté récemment une loi visantà protéger une catégorie de soldats trop souvent oubliés : leschiens militaires à la retraite. La nouvelle législation permet -tra à ces «vétérans» canins de trouver une famille d’accueil ensimplifiant le processus d’adoption, et autorise un système desoins vétérinaires dédiés à ces animaux, sans aucun fraispour les contribuables. «Les chiens militaires sont des héroset jouent un rôle critique dans la défense de notre nation. Ilsméritent d’être soignés adéquatement et adoptés dans de bonsfoyers, après des années de service pour leur pays», déclaredans un communiqué Nancy Perry de la Société américainede prévention contre la cruauté envers les animaux. Leschiens militaires accomplissent des tâches dangereuses et difficiles – souvent impossibles pour un humain – telles que ladétection des engins explosifs et des matériaux pouvant servirà leur fabrication, en Afghanistan et en Irak. (P.B.)


Du hockey à Kaboul pour conserverun esprit sain dans un corps sain

PAR LE CAPITAINE VINCENT BOUCHARDOpération ATTENTION / CCMF-A

C’est le 15 décembre que la saisonde hockey-balle a officiellement com-mencé au Camp Phoenix, à Kaboul,en Afghanistan.

Pour l’occasion, une courte cérémonied’inauguration a eu lieu au gymnase enprésence d’une majorité des 63 joueursqui sont répartis dans les sept équipesqui composent la ligue.

Durant la cérémonie, le colonel RochPelletier, commandant adjoint de la

– PHOTO : SGT DOUG DESROCHERS, QG CCMF-AKaboul, Afghanistan, 15 décembre 2012 – Afin de lancer la saison de hockey-balle pour la Roto 2 de la CCMF-Aà l’arène du Camp Phoenix, l’adjudant-chef Martin Colbert et le colonel Roch Pelletier (au centre) laissenttomber la balle pour le sergent François Langlois (à gauche) et le caporal-chef Jean-François Beaulieu (àdroite).

Con tribution canadienne à la missionde formation en Afghanistan (CCMF-A), a rappelé l’importance de conserverl’esprit sportif pour éviter les blessures.«D’apporter un petit peu de notre sportnational ici en Afghanistan est uneexcellente façon de maintenir la bonneforme physique, de renforcer la cohé-sion et d’oublier pendant quelquesinstants que l’on est en théâtre opéra-tionnel loin de nos familles», a-t-ilajouté.

C’est ainsi qu’après quelques semai -nes de camp d’entraînement, les équi -pes ont débuté la saison de hockey-balle. Dès les premières parties, il futévident que l’excellent travail desorganisateurs pour construire des

équipes équilibrées a porté ses fruits.Nos adjudants-maîtres ont multipliéles ajustements pour que tous profitentd’une saison plaisante et que chaqueéquipe soit en mesure d’affronter lesautres.

Les joueurs ont augmenté le niveaud’intensité dès que les parties officiellesont débuté; la saison de 18 parties paréquipe sera extrêmement excitante.Nos joueurs s’exécuteront quelques foispar semaine, selon l’horaire de disponi-bilité du gymnase du Camp Phoenix.

La saison régulière sera suivie deséries éliminatoires pour déterminerune équipe championne au printemps2013.

UNE LOI POUR PROTÉGER LES CHIENS MILITAIRES


– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCDes stagiaires du cours d’instruction élémentaire des guerriers de l’Armée nationale afghane participent à unatelier sur les munitions explosives non explosées au Camp Alamo à Kaboul, le 12 décembre.

– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCLe lieutenant-colonel Joseph Po (à droite), conseiller médical en anesthésiologie et soins intensifs enseigne lagestion de crise peropératoire à des résidents, des professeurs et des employés diplômés en enseignementmédical, à l’Hôpital militaire national de Kaboul, le 15 décembre.

– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCL’adjudant Mario Benard, conseiller, observe des soldats du bataillond’appui tactique de l’ANA durant des scéna rios d’entraînement dansle secteur d’entraînement du Centre consolidé de mise en service del’équipement, à Pol-e-Charkhi, en Afghanistan, le 16 décembre.

– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCLe capitaine André Parent, du 34e Régiment du génie de combat, à Westmount, au Québec, vérifie la communi-cation radio avec un soldat afghan, durant un entraînement au Centre consolidé de mise en service del’équipement, à Pol-e-Charkhi, en Afghanistan, le 17 décembre.

– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCUn instructeur de la brigade d’instruction des soldats de l’Armée nationale afghane donne un cours sur les muni-tions explosives non explosées aux stagiaires du cours d’instruction élémentaire des guerriers au Camp Alamoà Kaboul, le 12 décembre.

– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCLe sergent Benoit Renaud, du 5e Régiment d’artillerie légère du Canada, àValcartier, observe l’exercice des soldats de l’infanterie de l’ANA, dans lesecteur d’entraînement du Centre consolidé de mise en service del’équipement, à Pol-e-Charkhi, en Afghanistan, le 17 décembre.

– PHOTO : CPLC JAMES NIGHTINGALE, FCDes membres de l’Armée nationale afghane (ANA) défilent à titre deporte-drapeaux lors de la cérémonie de remise des diplômes auCentre d’instruction militaire de Kaboul, l’établissement d’entraîne-ment principal de l’ANA.

– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCDes policiers afghans de la force d’intervention rapide de la police frontalièreafghane (PFA) s’exercent à des procédures d’urgence au quartier général dela PFA, à Kaboul, le 18 décembre.

– PHOTO : CPLC MARC-ANDRÉ GAUDREAULT, CAMÉRA DE COMBAT DES FCDes militaires canadiens prennent part à un dîner organisé le 8 décembrepour souligner la visite du chef d’état-major de la Défense au CampPhoenix, à Kaboul.

– PHOTOS : CPL FRANÇOIS CHAREST, 430 ETAHLes capitaines Caron et Hollock s’apprêtent à servir de bons déjeuners en tenue de saison.

Les fiers gagnants de l’édition 2012 du match de hockey amical du 430, les mem-bres du rang.

Le capitaine Caron, capitaine d’équipe des officiers, reçoit «fièrement» le trophéedes Pee-Wee qui lui remet le lieutenant-colonel Levasseur, commandant du 430ETAH, pour souligner la «performance» des officiers sur la glace…


LE TEMPS DES FÊTES DES FAUCONS!

PAR LE CAPITAINE L-S MOROSEPilote, 430e Escadron tactique d’hélicoptères

À l’approche du temps des Fêtes,l’es prit de compétition s’est emparédes Faucons du 430e Escadron tactique d’hélicoptères (ETAH) pour le match de hockey annuel desofficiers contre les membres du rangle 5 décembre.

Les champions en titre du matchl’édition 2011 ont remis leur titre enjeu, mais n’ont pas su le conserver. Eneffet, les membres du rang leur ontinfligé une défaite de quatre à un. Lesofficiers avaient pourtant commencé enforce avec un but dans les premièressecondes de la partie, mais n’ont pas su maintenir le rythme. Même qu’en finde partie, à 3 contre 6, les membres du rang ont pu conter dans un filetdésert. D’ailleurs, l’adjudant Maltaisinvite les officiers à emporter leurssavons et cela lui fera plaisir de leslaver de nouveau.

Après les hostilités, les Faucons ontdû se réconcilier. Comme le veut la tradition, les officiers, sergents et adjudants ont servi les membres durang lors du brunch de la troupe le 14 décembre. C’était l’occasion des’échan ger les vœux de Noël et de fêteren équipe cette fois-ci.

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Le 430 ETAH au service de lasoupe populaire de Québec

PAR LE CAPITAINE MATTHIEU DION Pilote, 430e Escadron tactique d’hélicoptères

Les 11 et 12 décembre, des membresdu 430e Escadron tactique d’hélicop-tère (ETAH) se sont rendus dans lequartier Saint-Roch de Québec pourservir le dîner à la soupe populairesituée rue Saint-Joseph.

«Cet endroit me donne l’image d’unelanterne dans le noir. La flamme ali-mentée par l’amour des employés etbénévoles qui y travaillent et le bon-heur qu’ils répandent autour d’eux. Lanoirceur étant l’ignorance du reste denotre population, les yeux fermés denotre société face à ce problème quinous dérange, comme si nous avionspeur d’en parler ou de l’attraper commeune grippe», soutient le capitaine Dion

Ouverte depuis plus de 25 ans, lasoupe populaire est l’une des seulesplaces dans le centre-ville de Québec oùles gens les plus démunis peuvent trou-ver un petit peu de chaleur et d’espoir.

En général, les gens ne connaissentpas la soupe populaire ou la confondentavec Lauberivière, mais elle est biendistincte et contribue à notre société

bien plus que nous pouvons le penser.La clientèle grandissante, composée de gens à faible ou sans revenu, parfoisinfirmes, de jeunes mères monopa -rentales avec leurs jeunes enfants oudes personnes âgées sans réseau social,se rassemble tous les jours à cet endroitpour partager le repas.

Le café-rencontre sert en moyenne de 25 à 40 déjeuners et de 250 à 350dîners par jour. Il offre également de l’aide aux devoirs aux jeunes quiveulent s’en sortir ou qui viennent defamilles de réfugiés qui ne parlent pasfrançais. Il organise des soirées rencon-tres pour permettre aux gens de briserleur solitude et les aider. Des inter-venants sur place peuvent égalementaider les personnes qui fréquentent lecafé-rencontre à réintégrer la société.

«Le 25 septembre, la soupe populairea servi son millionième repas. Preuveque la pauvreté au Québec ne diminuepas, mais bien au contraire ne cessed’augmenter», affirme Mme GhislaineGodin, membre de la direction depuisplusieurs années.

Les membres du 430 ETAH ontd’abord fait la visite des lieux accompa-gnés de M. Pascal Hardy, un autre

membre de la direction. Après avoirmangé un copieux repas, ils ont effec-tué différentes tâches telles que servirles personnes à mobilité réduite, fairela vaisselle ainsi que nettoyer les tableset le plancher. Ils ont également décoréla salle pour le repas de Noël, événe-ment que l’organisme planifie pour lesgens qui n’ont nul autre endroit oùaller. Ce repas à places limitées se rem-plit rapidement. «J’ai eu un pincementau cœur lorsque j’ai su qu’un membredu personnel a été dans l’obligation de

refuser des gens, car les places étaientcomplètes», indique le capt Dion

Somme toute, le message a été bienreçu par les militaires : venez aider etparlez-en! Déjà, quelques membres ontaffirmé qu’ils retourneraient y donnerdu temps et le 430 ETAH compte yretourner après les Fêtes. À noter quejanvier et février sont les mois où ilsont le plus besoin d’aide.

Pour plus d’info sur la Soupe populaire et café-rencontre :www.caferencontre.org

– PHOTO : CPL FRANÇOIS CHAREST, 430 ETAHL’équipe qui était au comptoir de la soupe populaire, composée de membres du 430 ETAH, d’intervenants et debénévoles, a permis de servir un repas chaud aux plus démunis.

NOUVELLES EXPRESS

Afghanistan : moins de décèspour la coalition en 2012

L’année 2012 a été moins meurtrièrepour les soldats de la coalition en Afgha -nistan, le bilan passant de 566 décès en2011 à 405 en 2012, selon le site spécia -lisé icasualties.org. Les Américains, quifournissent le plus gros contingent de laForce internationale d’assistance et desécurité (FIAS), avec 68 000 hommes, ontsubi le plus grand nombre de pertes en2012 avec 310 morts. Les Forces cana -diennes n’ont quant à elle perdu aucundes leurs en Afghanistan durant ladernière année, malgré la présence deprès de 900 militaires à Kaboul.

Recours collectif des vétérans :entente de 887 M $

Les vétérans des Forces canadiennesqui ont intenté un recours collectif contrele gouvernement fédéral, qu’ils accu-saient de déduire de façon injuste lesprestations offertes aux vétérans grave-ment blessés ou malades, ont conclu uneentente de principe évaluée à 887,8 M $,selon un article de la Presse canadienneparu le 10 janvier. L’entente inclut unesomme de 424,3 M $ en prestationsrétroactives remontant jusqu’en 1976, unpaiement de 82,6 M $ en frais d’intérêt etune estimation des sommes qui serontversées aux vétérans dans l’avenir. Unfonds de bourses d’études de 10 M $ pourles vétérans et leurs familles a aussi étémis sur pied.

2013, année des vétérans de la Corée

L’année 2013 a été décrétée l’Année desvétérans de la Guerre de Corée par leministre des Anciens combattants,Steven Blaney, le 7 janvier. L’année 2013marque le 60e anniversaire de l’armisticede 1953, qui a sonné la fin des combats enCorée. «Il est de notre devoir, aujourd’hui,

de rendre hommage aux 26 000Canadiens et Canadiennes en uniformequi sont venus en aide aux Sud Coréenspendant la Guerre de Corée, et plus par-ticulièrement, aux 516 Canadiens qui ontdonné leur vie au service de leur payspour défendre les valeurs de paix et deliberté dans la péninsule coréenne», adéclaré le ministre Blaney.

Le Canada déploiera un avion militaire au Mali

Le Canada entend déployer un avionmilitaire au Mali afin d’aider la commu-nauté internationale à contrer la montéedes groupes extrémistes dans ce paysd’Afrique, selon un article de La Presse

publié le 14 janvier. Un avion de trans-port C-17 des Forces canadiennes fourni-ra un appui logistique aux troupesfrançaises déployées au Mali, notammentdu transport d’équipement lourd vers lacapitale, Bamako. Le 13 janvier, laFrance a amorcé une intervention arméeau nord du Mali, tombé aux mains degroupes islamistes affiliés à Al-Qaïda.Les Nations Unies ont approuvé la création d’une force africaine de 3300hommes. Pour l’instant, le Canada neprévoit pas envoyer de troupes de combatau Mali, mais pourrait aider à la forma-tion des soldats africains.

– PHOTO : OFFERTE PAR L’ARMÉE DES ÉTATS-UNISLes soldats américains ont été les plus nombreux àperdre la vie en Afghanistan en 2012, avec 310 décès.

– PHOTO : ARCHIVES PUBLIQUES DU CANADADes troupes canadiennes traversent un pont en Coréedu Nord, en février 1951.

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Les cinq doigts de la mainPAR LE CAPORAL SIMARD

Stagiaire au sein du cours PP1 fantassin 1202

Les premiers moments d’un coursdemeu rent toujours très spéciaux.Nous essayons de voir avec qui nousaurons le plus d’affinités, car les gensautour de nous formeront notre famillepour les trois prochains mois. Main -tenant, imaginez les premiers momentsd’un PP1 fantassin, quand tous les militaires savent bien que c’est uncours de métier extrêmement difficile.Immédiatement, un lien se crée entreles stagiaires, et ce dernier grandira au fil des jours, afin de surmonter tousles défis et les épreuves auxquels nousferons face.

Le maniement des armes et leschamps de tirs font partie de la pre-mière moitié du cours. M203, C9, C6,M72 et Carl Gustav sont les armes surlesquelles les stagiaires doivent sequalifier. De petites leçons «bonbons»,car tous les futurs fantassins adorentmanier des armes et des explosifs. Deplus, ces leçons sont bénéfiques pourapprendre à mieux nous connaître.Certaines personnes ont eu plus de difficulté que d’autres, mais il y avaittoujours quelqu’un pour venir en aide àun membre de l’équipe. Ce fut là nospremiers défis à surmonter : apprendreles forces et les faiblesses de chacunpour rendre notre travail plus efficace,car le plus dur était à venir.

L’enseignement en campagne consti -tue la deuxième partie du cours. Dès lespremières journées, nous savons que cene sera pas facile. Ceux qui ont eu de la

difficulté dans le maniement des armessont les meilleurs dans la topographie,les patrouilles de reconnaissance et lespatrouilles de combat. Plus le tempspasse et plus l’exercice final approche,la fameuse semaine défensive, là oùnous devons mettre en pratique tout ceque nous avons appris.

Creuser, établir un poste de contrôlede véhicule, exécuter des patrouilles dereconnaissance et le désengagementd’une position défensive font partie decette dernière semaine éprouvante.C’est pendant cette dernière semaineque nous voyons toute la chimie s’enclencher et c’est à ce moment-là quenous pouvons dire que les stagiaires ducours de fantassin 1202 sont comme les«5 doigts de la main». À partir de la gauche : soldat Roberge, caporal Gagné, caporal Ouellet-Thibeault, caporal Ricard du cours PP1

Fant 1202 à la tour de rappel de la Garnison Valcartier.

Un classique : le creusage de tranchée, mettant en vedette les soldats Baril et St-Laurent.

Les soldats Smolla et Gagnon en pleine descente de la tour de rappel.

Assistez à nos présentations*en vous inscrivant auprès du Centre d’orientation et de sélection du personnel (COSP) au :418 844-7705

* Les places sont limitées. Contactez-nous le plus tôt possible afin de réserver votre siège.

Lieu : Garnison ValcartierAcadémie, bâtisse 534

Heure : 13 h 30 – 15 h 30

Dates :14 et 28 novembre 201212 décembre 201216 et 30 janvier 201313 et 27 février 201313 mars 2013

COSPCentre d’orientation et de sélection du personnel

PrésentationsOptions à considérer concernant les indemnités de départ des Forces canadiennes (IDFC)Vous serez davantage outillé à prendre une décision éclairée concernant vos options en regard de l’indemnité de départ.


LE GÉNIE DE COMBAT ET

L’ARTILLERIEFÊTENT ENSEMBLELA SAINTE-BARBARA

PAR LE LIEUTENANT VINCENT DUPONTCommandant de troupe,

35e Régiment du génie de combat

Dans la tradition chrétienne, SainteBarbara est considérée comme unemartyre qui aurait, grâce à sa foi,provoqué la foudre des cieux afinqu’elle châtie ses oppresseurs. Elle est aujourd’hui une icône spirituelle ausein de la branche des ingénieurs mili-taires et de l’artillerie dans plusieurspays à travers le monde tels que leCanada, les États-Unis et la France.

À Valcartier, nous avons notre façonpropre à nous de la célébrer : camara -derie et cohésion sont les mots d’ordre.C’est le 4 décembre que le 5e Régimentd’artillerie légère du Canada (5 RALC)et le 5e Régiment du génie de combat (5 RGC) se sont réunis pour un tour noi amical de ballon-balai entre des équi pes mixtes dans l’unique but des’amuser.

L’équipe des soldats et caporaux estsortie victorieuse de ce tournoi augrand désarroi de l’équipe des officiers.Après les joutes, les membres des deuxunités se sont rassemblés au 5 RGCpour y déguster un buffet froid. Cetteactivité a permis à tous de passer dubon temps dans une ambiance amicale.La journée a été très appréciée par la majorité des quelques centaines depersonnes qui y ont pris part. De l’avisgénéral, ce fut un franc succès!

Les branches spéciales unissent leurs forces!PAR LE CAPORAL GAGNONPlongeur de combat,

5e Régiment du génie de combat

Du 26 au 30 novembre, se tenait àValcartier un exercice réunissant les«pathfinders» (éclaireurs) du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada et lesplongeurs de combat du 5e Régi mentdu génie de combat (5 RGC). Des étin-celles étaient à prévoir!

En effet, les plongeurs de combat ontpu démontrer leur polyvalence en sejoignant à d’autres branches spécialesdes Forces canadiennes : des pathfin -ders, des membres de la reconnaissanceet des tireurs d’élite des trois bataillonsdu Royal 22e Régiment (R22eR). Cesforces ont su faire la démonstration deleur large éventail de compétences.Insertion héliportée tactique, rappel,escalade, mou ve ments amphibies ren-dant l’appro che terrestre possible ensécu risant le passage d’un pont, pourensuite faciliter l’extraction de la pre-mière ligne en procédant à une démoli-tion de réserve sur ce même pont. Biensûr, tout cela conjugué à un froid glacialpendant une pleine lune. Tout le mondeétait au rendez-vous!

Tout au long de cette semaine de pré-paration, les organisations se sontéchan gé les habiletés respectives à leurspécialisation, afin de déployer une forcecommune amphibie et polyvalente. De cefait, la recce et les snipers du R22R ontdû s’exercer en piscine, sous les conseilset la supervision des plon geurs de com-bats du 5 RGC. Ils ont pratiqué lesmanœuvres amphibies avec les bateauxd’assaut, la nage en surface (déplace-ment furtif en surface avec équipement),

mais surtout la méthode d’entrée à l’eauà partir du patin d’un hélicoptère. Toutcela dans un but opérationnel, maissurtout afin d’éviter des blessuresinutiles.

Quant aux plongeurs du 5 RGC, ils ont pu bénéficier des judicieux conseilsdes pathfinders et autres membres duR22eR lorsque la descente en rappel del’hélicoptère a été pratiquée ainsi quel’escalade avec l’équipement complet.

La mission du contingent était de con-firmer une cache d’explosifs et la pré sen -ce de deux talibans armés patrouil lant àl’extérieur de la cache. Une fois la cached’armes confirmée, il fallait éliminer lamenace armée afin de pouvoir y faireatterrir un Chinook avec à son bord undétachement d’infanterie et une équipede neutra lisation d’explosifs. Le but finalétait de détruire la cache et le pontBouchard que les talibans utilisaientpour fin de ravitaillement. FÉBRILES ET EFFICACES…

Malgré une Dame Nature impertur -bable avec un -20°C, les hommes étaientprêts à mettre toutes leurs connaissan -ces à bon escient. Une reconnaissancefaite dans les dernières heures a quel quepeu changé les plans. En effet, l’inser-tion en «helocasting» était impraticable,les eaux de la riviè re étant trop gelées.Peu impressionné et loin d’être enmanque de moyens pour accomplir lamission, notre conti ngent a décidé quel’insertion se ferait en rappel héliporté.Dès que la noirceur l’a permis, lesoiseaux de nuit ont pris leur envol.

Au son des hélicoptères, nos hommesse sont déployés sur les points straté gi -ques définis. Les tireurs d’élite étaientdissimulés sur le mont Grecco afin

d’abattre leurs cibles d’un seul tir simul-tané pour rendre l’infiltration possible.

Pendant ce temps, les plongeurs decombat ont sécurisé le pont Bouchard ety ont installé une démolition de ré ser vepour détruire la voie de poursuite aprèsle passage des troupes, et du même coupcouper la voie de ravitaillement talibane.

Comme une horloge suisse réglée à laperfection, la mission s’est déroulée, fluide et efficace. La fébrilité et l’adré-naline n’ont fait qu’une bouchée de MèreNature et de ses intempéries. Ce déploie -ment de testostérone a prouvé que lesforces conjointes des différen tes spécia -lités, des groupes de métiers pou vaientaccomplir des tâches extrê mes dans desconditions toutes aussi extrêmes.

Après des heures d’attente par untemps glacial, les cibles ont été attein tes.Les tireurs d’élite et la reconnaissanceont entrepris leur descente du montGrecco en rappel pour se diriger au pontBouchard, où des membres de la recon-naissance établissaient un cordon étan -che sécurisant la zone où les plon geursinstallaient la démolition de réserve.

Encore une fois, nous avons pu cons -tater l’efficacité des différents grou pes,les voyant défiler sur le pont vers le ren-dez-vous au point d’extraction à l’heureprévue.

Cette démonstration de force nous apermis de jouir de bons moments vécuspar des hommes souhaitant se surpas ser,recherchant toujours un défi plus grand àchaque fois. Pour nous, plon geurs decombat, autant que pour la reconnais-sance ou bien les tireurs d’élite, ce sontprécisément pour ces moments que nousnous entraînons chaque jour.

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EXERCICE NOBLE GUERRIER 13

L’Élément de soutien national s’entraîne à Fort Pickett, VirginiePAR LE MAJOR CHARLES TEASDALE

Commandant adjoint, Élément de soutien national

Sous les cieux d’un paysage autom-nal, plus d’une centaine de militairesdu 34e Bataillon et du 35e Bataillondes services du Canada ont unifiéleurs efforts afin d’appuyer près de1450 réservistes du Québec, formantla Force Phoenix, et ce, dans le cadreannuel de l’exercice NOBLE GUER-RIER, tenu au Fort Pickett, enVirginie.

Tôt le matin du 26 décembre 2012, unavion militaire de type CC-130 emportedes réservistes en provenance de diffé -rentes régions du Québec. À leur bord,des membres du 34e Bataillon et du 35e Bataillon des services du Canada(Bn S du C) ont pour mission de formerles rangs de l’Élément de soutiennational (ESN) et de préparer les assi -ses logistiques qui faciliteront l’arrivéedu gros des troupes, prévue le 2 janvier2013.

Travaillant de pied ferme, l’équipeembryonnaire de l’ESN s’affaire rapide-ment à prendre possession d’une tren -taine d’édifices de Fort Pickett qui ser -vi ront de postes de commandement et de contrôle, de point de réception et d’émis sion de véhicules — aussi biencana diens qu’américains — d’entrepôt,de garage, de cuisine, de centre médi-cal, de poste de police et de bureauadministratif.

Les quelques jours qui les séparentdes huit pro chains huit vols d’arrivéesont critiques puisque la préparationdes lieux et la routine quotidiennedoivent déjà être bien établies. Le peude temps dispo nible sera consacré àpeaufiner les métho des de travail alorsque la phase offensive des groupementstactiques (GT) des 34e et 35e Groupes-brigades du Canada (34 et 35 GBC)débutera à peine deux jours plus tard,soit le 4 janvier.

Il va sans dire que la clef de voûte,quant à la réussite des opérations desoutien au combat, reposera essentiel -lement sur une synergie harmonieuseentre les différentes capacités de trans-port, d’approvisionnement, de mainte-nance et de l’alimentation des unitésdes deux bataillons des services. Lecommandant de l’ESN, le lieutenant-colonel Éric Gosselin, et son sergent-major de régiment, l’adjudant-chefDonald Pelletier, sont fort confiantsque ce défi, en termes de personnel etd’harmonisation des procédures inter -

nes, se traduira par un franc succès,malgré les disparités procédurales quiexistent normalement entre ces diffé -rentes entités organisationnelles.D’ailleurs, la philosophie fondamentalede la chaîne de commandement del’ESN est que tous travaillent à l’unis-son, envers une qualité irréprochabledu service offert, et qu’aucune distinc-tion régionale (Montréal et Québec)n’ait d’importance entre ses 116 mem-bres. «Nous sommes une seule et uni -que équipe cohésive et non pas deuxbataillons des services qui se conten -tent de travailler ensemble», précise lelcol Gosselin. L’ABOUTISSEMENT DE CINQ MOIS D’ENTRAÎNEMENT

Même si le fait que l’exercice NOBLEGUERRIER 13 se déroule en Virginie,en plein hiver, est motivant pour leréserviste, il n’en demeure pas moinsque cette expérience concrète de neufjours constitue l’aboutissement d’unelongue période d’entraînement de cinqmois. En effet, pendant plusieurs finsde semaine, les membres de l’ESN onteu à soutenir les groupes principaux à l’entraînement, les préparant parfai -tement à rencontrer les objectifs de l’exercice en cours. Graduellement,l’ESN a ajusté son soutien intégral,

– PHOTOS : CPL ISABELLE PROVOST, 35 GBC

rapproché et général aux GT des 34 GBC et 35 GBC, pendant les mois de septembre, d’octobre et de novembre2012. La tâche n’était certes pas unemince affaire; les états-majors ainsique les différents services de soutienont dû revoir et ajuster leurs procé-dures en conséquence, car la réalité du

terrain de Fort Pickett et le scénariotactique de cette année diffèrent tota -lement de ceux du Camp Shelby, auMississipi (2005 et de 2007 à 2011), etdu Camp Lejeune, en Caroline du nord(2012).

Catherine Turgeon, pht Kathleen Dubé, pht

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Caporal Olivier Duguay-BoucherPromotion1 R22eR

Sergent François ChampouxMédaille du jubilé de diamant*

Promotion5 GSS USP (Est)

Caporal-chef Dominique MasséMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS CTSE

Caporal EmondPromotion1 R22eR

Caporal DaigleMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS

Caporal David-OlivierDeschesnesPromotion1 R22eR

Caporal Mathieu LemoynePromotion1 R22eR

Sergent Benoit ChevretteMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Svc Trans

Caporal FournierPromotion1 R22eR

Caporal-chef OuelletMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS

Adjudant-maître Gino Savard

Médaille du jubilé de diamant*5 GSS Svc Génie

Caporal Charles Morin-Bélanger

Promotion1 R22eR

Sergent Sylvain MathieuMédaille du jubilé de diamant*

Musique R22eR

Sergent Geneviève MartinMédaille du jubilé de diamant*

Musique R22eR

Caporal Vincent CormierPromotion1 R22eR

Caporal Raynald GenoisMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS CTSE

Caporal Bastien MartelPromotion1 R22eR

Caporal-chef Isabelle FillionMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Sn Pers

Caporal-chef Maxime ForgetMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Svc Trans

Caporal Danick LangloisMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS CTSE

Caporal Rachel LavertuMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Sn Pers

M. Gustave ParisMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Sn Pers

Caporal Keven Pearson-Dallaire

Promotion1 R22eR

Caporal Jean-Marc PlourdeMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Sn Pers

Caporal Simon BulgerDécoration des FC

5 GSS Sn Pers

Sergent Nathalie GodinMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Svc Génie

Sergent Priscylla GouinMédaille du jubilé de diamant*

Musique R22eR

Caporal-chef BoilyMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Svc Trans

Caporal Frédéric DavidPromotion1 R22eR

Adjudant Daniel PaquetMédaille du jubilé de diamant*

Musique R22eR

Sergent Stéphane BoucherMédaille du jubilé de diamant*

5 Bn S du C

Adjudant-maître Pierre Duchesneau

Médaille du jubilé de diamant*5 GSS Sn Pers

Adjudant-maître Jacquelin Harvey

Médaille du jubilé de diamant*5 GSS Sn Pers

Adjudant-maître André Renaud

Médaille du jubilé de diamant*5 GSS CTSE

Élève-officier DubéMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS

Capitaine RoyMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS

Capitaine Marc PlatzMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Sn Pers

Adjudant-maître Stéphane Béland

Médaille du jubilé de diamant*5 GSS CTSE

Mme Line LétourneauMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS Sn Pers

Caporal PoissonMédaille du jubilé de diamant*

5 GSS

BRAVO ZULU

*MÉDAILLE DU JUBILÉ DE DIAMANT DE LA REINE ELIZABETH II

Créée dans le cadre des célébrations entourant le 60e anniversaired’accession au trône de la reine Elizabeth II, cette médaille sera offerteà 60 000 Canadiens, dont 11 000 militaires, afin d’honorer leurs contributions. «Persévérance», «stabilité», «excellence», «dévoue-ment» et «bâtisseur» sont les cinq critères retenus pour choisir lesrécipiendaires militaires. «Nous avons sélectionné des gens de tous les grades et de tous les métiers qui ont fait preuve d’un ou plusieursde ces attributs, soit dans un événement particulier, soit pendant leurcarrière, explique le colonel Sirois, commandant du 5 GSS. La médailledu Jubilé nous a permis de reconnaître des gens qui ne le sont pas nor-malement. Il y a eu des comités de sélection aussi rigoureux que ceuxde l’Ordre du mérite militaire. […] Les gens sélectionnés méritentcette médaille. Ils peuvent être fiers de la porter.»

Capitaine Junior Caron1er Bataillon, Royal 22e Régiment

Le capt JuniorCaron s’est personnel -lement distingué parsa perfor mance exem-plaire alors qu’il occupait le poste d’officier de service pendant l’opérationATHENA Rotation 7, de mars à octobre2009. Tout au long de la mission, il a


DES LOUANGES POUR LE DIRECTEURDU CENTRE PLEIN AIR CASTOR

- PHOTO : SARAH QUIMPER, PSP

Denis Jullien, directeur du Centreplein air Castor de la Garnison Val -car tier, a reçu en décembre le Certi -ficat du mérite de la Division desProgrammes de soutien du personnel(PSP) pour les réalisations accom-plies dans le cadre de ses fonctions.

«Le professionnalisme démontré etl’esprit entrepreneurial exceptionneldont [M. Jullien] fait preuve dans ledéveloppement et l’évolution du Centreplein air Castor contribue fortement àla progression des standards d’excel-lence des PSP», peut-on lire sur le certi -ficat, qui lui a été offert le 11 décembrepar Martine Cimon, gestionnaire PSP – Région Est (photo).

«Ses pratiques de gestion exem-plaires ajoutent de façon unique aubien-être et au moral de toute la com-munauté militaire de Valcartier. Grâce

à sa persévérance, et à sa détermina-tion, il relève remarquablement le défid’innover dans l’exploitation de la mon-tagne à des fins de plaisir et d’entraîne-ment physique, un élément fondamen-tal de la mise en forme des militaires.

Structuré et organisé, et dans unsouci constant d’offrir un service clé en main de haute qualité, il crée desalliances stratégiques essentielles etles utilise à bon escient.

Pour ce faire, il sollicite la collabora-tion de partenaires-experts à la mise en œuvre de ses projets; il maximise les ressources disponibles en alliant lesactivités des Fonds publics à celles desFonds non publics afin de permettrel’accès au plus grand nombre et d’assu -rer la pérennité de nos activités.

Grâce à son implication, la GarnisonValcartier dispose d’installations quisuscitent la fierté de toute la commu-

nauté, nous apportent des retombéeséconomiques qui assurent notre auto -financement, notre renommée et l’acha-

landage de groupes d’experts (de com-pétitions) dans le domaine des activitéshivernales.» (P.B.)

Des membres du 5 GBMC reçoivent une mention élogieuseQuatre membres du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada (5 GBMC) ont reçudes mentions élogieuses lors de cérémonies ou de parades régimentaires aucours des derniers mois. Ces distinctions ont été décernées afin de reconnaîtreles exploits ou activités qui dépassent les exigences des fonctions normales.(P.B.)

Capitaine Karine ThibaultQuartier général 5 GBMC

À titre de capitaine-adjudant des troupesde la brigade de laForce opérationnelle –Kanda har de novembre 2010 à juillet2011, capt Thibault se démarque parses capacités intuitives et proactives derésolution de problèmes. Elle élaboredes initiatives administratives effi-cientes pour aider les troupes à mieuxatteindre les objectifs opérationnels,permettant ainsi aux commandantsd’espace de bataille et au QG de concen-

trer les efforts à rencontrer les inten-tions du commandant. Le leadership, lacompassion et le professionnalisme ducapt Thibault ont grandement con-tribué au maintien en puissance destroupes de la brigade.

Caporal Kevin Bernier-Drolet1er Bataillon, Royal 22e Régiment

Le 18 février 2011,pendant son déploie -ment dans un posted’obser vation enAfghanistan, cpl Bernier-Drolet s’estdistingué par son sang-froid et sonleadership quand une grenade exploseet blesse grièvement deux soldats, dontle technicien médical du poste. Il se

charge immédiatement de la situationet prodigue efficacement les premierssoins aux blessés avant d’initier leurévacuation vers des soins appropriés.Le niveau de professionnalisme et lesactions décisives démontrés par cplBernier-Drolet assurent ainsi la surviedes deux soldats.

fait preuve de leadership et ses initia-tives personnelles dans la gestion dessituations critiques au sens du Centredes opérations tactiques ont directe-ment contribué au succès des opéra-tions de combat et de contre-insurrec-tion du groupement tactique, ce qui apermis d’instaurer la stabilité et ledéveloppement dans la province deKandahar.

MENTION ÉLOGIEUSE DU COMMANDEMENT DE LAFORCE EXPÉDITIONNAIRE DU CANADA (COMFEC)

MENTION ÉLOGIEUSE DU COMMANDANT DE LA FORCE OPÉRATIONNELLE INTERARMÉES

EN AFGHANISTAN MENTION ÉLOGIEUSE DU COMMANDANT EN CHEFÀ L’INTENTION DES UNITÉS – GROUPEMENT TAC-TIQUE DU 3E BATAILLON, ROYAL 22E RÉGIMENT.

Caporal David Blier5e Régiment du génie de combat

Pour avoir fait preuved’une ténacité et d’uncourage extraordinaireslors des affrontementsavec les insurgés en Afghanistan, dejuillet 2007 à février 2008.

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– capitaine Alexandra Parent, officiersubalterne de l’année;

– caporal Janie Perron-Beaudet,chauffeur de l‘année (absente de laphoto);

– caporal Simon Gerbeau, artisanarmurier de l’année (absent de laphoto).


REMISE DE PRIX ET DE BOURSESLors du dîner de la troupe du 35e Bataillon des services du Canadadu samedi 8 décembre, le colonel hono-raire Gaëtan Gagné et le commandant,le lieutenant-colonel Gosselin, ont pro -cédé à la remise de plusieurs prixannuels dont deux bourses d’études de500 $ au caporal-chef Frédéric Fortin etau caporal David Morin.

Les gagnants des trophées du meil -leur militaire dans son métier sont lessuivants (de gauche à droite sur laphoto en commençant par la rangéeavant) : – caporal Élyse Quenneville, cordon

bleu de l’année;– caporal Sonia Lainé, gestionnaire

des ressources de l’année;– caporal André Morin, technicien

d’approvisionnement de l’année;– caporal Bernard Bourgault, artisan

de l’année; – adjudant Willie Bergeron, trophée

du sergent-major du régiment;

– PH

OTO

: CPL

ISAB

ELLE

PRO

VOST

, 35

GBC

À l’hôpital Enfant-Jésus le 18 décembre 2012, à l’âge de 48 ans et 7 mois, est décédé l’adjudant-maître GillesAsselin, membre de la branche du Génie électrique et méca -ni que (GEM). Il est parti entouré de l’amour de ses proches.

Il laisse dans le deuil sa famille, sa conjointe GuylaineTremblay ainsi que ses filles Stéphanie, Marie-Josée et Danyka.

Au cours de sa carrière militaire, Gilles a été employé à Valcartierau 5e Bataillon des services du Canada, section Remorquage, au 202e Dépôt d’appro-visionnement à Montréal, à Petawawa avec les Royal Canadian Dragoons et le 2 Combat Engineer Regiment et, de retour à Valcartier, au Centre d’instruction duSQFT en tant qu’officier de la maintenance. Sa dernière mutation a été à Ottawa auposte de LCMM pour DGLEPM / DCSEM 4-5.

Tous ceux qui ont connu Gilles le reconnaissent comme un vrai militaire, fier d’êtredans les Forces canadiennes (FC) dans la branche du GEM. Il était un travailleuracharné qui a tout au long de sa carrière accumulé un bagage de connaissancesimpressionnant qu’il a su partager avec tous ses confrères des FC et de la branche duGEM.

Le service militaire religieux a eu lieu à la chapelle Sainte-Jeanne d’Arc, à laGarnison Valcartier le 22 décembre 2012. Nos plus sincères condoléances accompa -gnent la famille ainsi que les frères d’armes de Gilles.

In MemoriamAdjudant-maître Gilles Asselin

Nouveaux membres de l’Ordre du mérite militaireLe gouverneur général du Canada et commandant en chef desForces canadiennes, David Johnston, a pré sidé une cérémonied’investiture de l’Ordre du mérite militaire à Rideau Hall, le 12 décembre. Parmi les 39 nouveaux membres, l’Adsum vousprésente neuf militaires évoluant au Secteur du Québec de laForce terrestre (SQFT).

Cette année marquait le 40e anniversaire de la création de l’Ordre dumérite militaire. Créé en 1972, l’Ordre «reconnaît les services excep-tionnels de Canadiens et Canadiennes qui, dans l’exercice de leursfonctions au sein des Forces armées régulières et de réserve, ont faitpreuve d’un dévouement et d’une assiduité bien au-delà de ce que ledevoir leur commandait».

Adjudant-maître Claude LavoieÉcole de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC)

Adjudant-maître Alain Marcil1er Bataillon,

Royal 22e Régiment (1 R22eR)

Adjudant-chef Robert UngerThe Black Watch Royal Highland

Regiment of Canada

Adjudant-chef Chadley Wagar5e Régiment d’artillerie légère du

Canada (5 RALC)

Adjudant-chef Patrick RicherQuartier général et escadron

des transmissions du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada

(QGET 5 GBMC)

Adjudant-maître Claude Rodrigue12e Régiment blindé du Canada (12 RBC)

Colonel Daniel Farris

Quartier général du 4e Groupe des services de

santé (QG 4 Gp Svc S)

Lieutenant-colonelTelah Morrison

35e Bataillon des services du Canada (35 GBC)

REÇUS COMMEOFFICIERS

REÇUS COMME MEMBRES

Adjudant Dominic RouxQuartier général et escadron

des transmissions du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada (QGET 5 GBMC)

L’Ordre comprend trois grades :- Le grade de Commandeur (C.M.M.) reconnaît «des services méri-toires exceptionnels rendus dans l’exercice de fonctions d’un niveaude responsabilité élevé».

- Le grade d’Officier (O.M.M.) souli gne «des services méritoiresexceptionnels rendus dans l’exercice de fonctions comportant desresponsabilités».

- Le grade de Membre (M.M.M.) honore «des services exceptionnelsou rendement exceptionnel dans l’exercice de leurs fonctions». (P.B.)

– PHOTOS : SGT RONALD DUCHESNE, RIDEAU HALL

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* Les employés de Capitale Chrysler Québec et de Capitale Fiat (Fiat de la Capitale) ne sont pas admissibles au concours.

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« RABAIS SPÉCIAL POUR LES MILITAIRES »


Aux petits soins pour l’équipement médicalPAR PHILIPPE BRASSARD

Journal Adsum

Un soldat en santé est un soldat apteà accomplir sa mission. Chaque jour,le personnel du Centre de santé Val -cartier (CSV) veille à la santé de nosmilitaires. Cette semaine, l’Adsumvous présente l’équipe du génie bio-médical du CSV, qui prend soin del’équipement médical.

Qu’est-ce que le génie biomédical?Il s’agit d’une petite équipe qui s’oc-

cupe du soutien technique pour lesappareils médicaux et dentaires à tra-vers tout le Québec.

De la civière à l’appareil d’imageriemédicale de pointe, les technologues en génie biomédical sont ceux qui s’as-surent que tout l’équipement fonc-tionne selon les normes en vigueur.Chaque année, ils font le tour de 48unités militaires différentes (Valcar -tier, Bagotville, Montréal, centres derecrutement, unités de réserve, etc.)pour effectuer l’entretien périodiquedes appareils.

«On a environ 3000 pièces d’équipe -ment à vérifier à toutes les années,sans compter les bris, les rappels, lesmodifications. On vérifie pratiquementtout sur place, pour ne pas déranger lebon déroulement de la clinique», indi -que André Abran, responsable del’équipe du génie biomédical depuisplus de 17 ans.

Lorsqu’un appareil est brisé, l’équipedu génie biomédical s’occupe aussi des réparations sur place ou dans sonate lier situé au bâtiment 10 de laGarni son Valcartier. Dans certains cas, quand l’appareil est considéréessentiel à la continuité des soins, lestechnologues prêtent un appareil deremplacement.

En quoi consiste le travail de technologue en génie biomédical?

Qu’il soit militaire ou civil, le techno -lo gue en génie biomédical mise sur uneformation en électronique médica le, en hydraulique et en pneumatique. Ildétient même des connaissances enbiologie humaine. «Il doit comprendrel’interaction entre l’appareil et le corps.C’est important d’avoir une bonne base,pour comprendre pourquoi la machineréagit de telle façon avec le client» etvice-versa, note André Abran.

Puisque le cours de génie biomédicaln’est pas offert au Québec, plusieurstechnologues militaires ont appris lemétier en œuvrant dans un hôpital civilet en cumulant différentes formations.

Machine à rayon X, appareils de labo -ratoire, de chirurgie ou d’anesthésie,civière, moniteur de signes vitaux, man-nequins d’entraînement, défibrillateurs;les technologues connaissent une varié -té d’appareils et sont capables de réglerla majorité des problèmes, qui vont dubris physique à la batterie défectueuse,en passant par les défaillances électro -niques ou mécaniques.

«Nos technologues sont beaucoup pluspolyvalents qu’au civil, parce qu’ils ontla chance de toucher à tout», préciseAndré Abran. «D’un appareil à l’autre, ily a des similarités, souli gne-t-il. Mêmes’il y a des spécificités selon la compa -gnie, un moniteur à signes vitaux resteun moniteur à signes vitaux. Des fois, ony va à l’œil et on s’organise avec l’expé -rience. Sinon, on demande des forma-tions et géné ralement ce n’est pas com-pliqué à apprendre.»

Lorsque les appareils sont encore cou-verts par une garantie, c’est la compa -gnie qui se déplace pour réparer, «mais

c’est nous qui prenons action pour avoirun suivi», dit M. Abran. Hors garantie, il arrive que les technologues militairesse fassent qualifier directement par

le fabricant pour pouvoir réparer l’ap-pareil, ce qui est particulièrement utileen théâtre d’opérations.

Leurs plus grands défis?Trouver la cause d’un problème sur un

appareil sophistiqué peut représenterun beau défi pour les technologues, quiauront parfois besoin de plusieurs jourspour mettre le doigt sur le bobo.

Récemment, l’équipe a réparé unmannequin d’entraînement dont le sys-tème simulant la respiration humainene fonctionnait pas normalement. À tra-vers des tubes et des composantes élec-troniques, une minuscule fuite sur untube caché au fond du mannequin étaitresponsable de la défaillance.

En théâtre opérationnel, le travailpeut devenir encore plus ardu pour lestechnologues, qui n’ont pas toujours depièces de rechange à portée de la main.

«On est bien équipé, on se débrouille»,soutient toutefois M. Abran, qui a étédéployé en Bosnie comme technologuemilitaire. À l’époque, il s’arran geaitpour trouver de l’équipement en Europe.

Parfois, le technologue peut réparersa machine à l’aide d’une pièce prise sur un appareil identique brisé ou renduen fin de vie. «Avec l’expérience, ondevient de bons réparateurs Maytag»,lance M. Abran à la blague.

L’important est d’être imaginatif,comme tout bon bricoleur «Si on n’a pasce côté bricoleur, ce n’est pas un métierqui va être facile, convient-il. Ça nousprend ça absolument.»

– PHOTO : PHILIPPE BRASSARD, ADSUMYvan Grondin et le caporal-chef Louis Breau, technologues en génie biomédical, effectuent des tests sur un man-nequin défectueux, normalement utilisé pour des simulations médicales.

Le major Damato présente la Médaille du jubilé au sergent Mailloux, de la compagnie A au cours de la paradequi a eu lieu le 6 décembre.

– PHOTOS : PHOTOGRAPHE 2 R22ERLes récipiendaires de la Médaille de jubilé au sein du 2e Bataillon, Royal 22e Régiment.


Journée de hockey au 3 R22eRPAR LE CAPORAL DAVID R.J. ROBITAILLE

Pon 2, cie A, 3e Bataillon, Royal 22e Régiment

Le 11 décembre, le 3e Bataillon,Royal 22e Régiment a organisé unejournée de hockey à l’aréna de laGarnison Valcartier. Les membres du Bataillon se sont affrontés aucours de deux parties. La premièreopposait les officiers aux sous-officiers et la seconde, les caporaux-chefs aux soldats-caporaux.

Dès 7 heures du matin, les membresde l’unité étaient présents, prêts àencourager leurs confrères hockeyeurs.Les participants à la première partieétaient à peine entrés sur la patinoireque les acclamations et les encourage-ments ont fusé de toutes parts.

Ce fut une partie pleine de rebon -dissements qui s’est terminée avec un

score très serré. Les deux équipes onttenu tout le monde en haleine jusqu’àla fin. Malgré une performance excep-tionnelle de la part du gardien de butdes sous-officiers, les officiers l’ontemporté.

Quelques instants plus tard, l’autreaffrontement commençait. Tout autourde la patinoire, les fans encourageaientl’une ou l’autre des équipes avec beau-coup d’entrain et ce, jusqu’à la fin de latroisième période, ce qui a rempli l’en-ceinte d’une ambiance électrisante. Lavictoire est allée aux soldats-caporaux,mais les deux équipes ont donné à leursfans un spectacle rempli d’énergie!

À la fin de l’activité, les membressont sortis de l’aréna le sourire auxlèvres, ce qui était une preuve du francsuccès de la journée. Tout s’est déroulésans violence du début à la fin, dans

la bonne humeur et l’enthousiasme.Saine compétition et esprit d’équipeétaient au rendez-vous pour faire de

cette activité une journée inoubliable.À l’année prochaine!

Les officiers et sous-officiers du 3e Bataillon, Royal 22e Régiment.

– PHOTO : 3 R22ER

La Médaille du jubilé remise à des membres du 2 R22eRPAR LE LIEUTENANT PHILIPPE GRATTON

Commandant, peloton 13

Le matin du 6 décembre, le 2e Batail -lon, Royal 22e Régiment s’est rassemblédevant son commandant, le lieutenant-colonel Laforest, pour une remise desMédailles du jubilé de diamant de lareine Elizabeth II. Par la même occa-sion, plusieurs autres membres de l’unité ont été honorés, notammentpour leur service en Afghanistan. Entout, 84 personnes de tous grades sesont vu décerner la Médaille du jubilépour souligner l’excellence de leur tra-vail au sein des Forces canadiennes.

La Médaille du Jubilé de diamantmarque le 60e anniversaire de l’acces-sion au trône de la reine Elizabeth II entant que reine du Canada, une occasionqui ne s’est présentée qu’une seule fois auparavant, soit en 1897, lors dujubilé de diamant de la reine Victoria.Cette médaille commémorative a étéremise à tous les pays du Common -wealth, dont le Canada, afin d’honorerleurs contributions et réalisationsimportantes et de reconnaître ceux etcelles qui, comme Sa Majesté, ont con-sacré leurs efforts à servir leurs conci-toyens, leur collectivité et leur pays.Durant l’année de célébration, 60 000

citoyens canadiens seront reconnuspour leur mérite. Parmi eux ne figurentque 11 000 militaires.

C’est donc devant le Bataillonrassem blé que les méritants ont vu leurtravail souligné par cette marque dereconnaissance unique. La solennité de l’instant a d’ailleurs été rehausséepar la présence d’un détachement pro -ve nant de la Musique du Royal 22e

Régi ment. C’est donc en grande pompeque plusieurs membres de l’unité ontreçu d’autres décorations, notammentdes barrettes additionnelles à l’Étoilede campagne générale – Asie du Sud-Ouest ou la Décoration canadienne

soulignant leurs années de bons et loyaux services.

De façon générale, la cérémonie du 6 décembre a permis de rendre hom-mage aux accomplissements remar-quables des membres de l’unité, qu’ils’agisse d’actes précis ou de l’ensembled’une carrière. Bien qu’il demeure diffi-cile à définir, le mérite, critère communà toutes les décorations remises, con-stitue ce qui distingue nos hommes etfemmes en uniforme qui ont choisi d’ac-cepter la responsabilité illimitée qu’im-plique l’éthos militaire. Il était doncjuste que l’événement soit à la hauteurde leur valeur.

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RECYCLONS, C’EST NOTRE MISSIONPAR L’ADJUDANT MARTIN TREMBLAY

Compagnie d’Approvisionnement, 5 Bn S du C

La politique de gestion des matièresrésiduelles du ministère de la Défensenationale, des Forces canadiennes etdu 5e Groupe de soutien de secteur estbasée sur le concept bien connu des 3R-V-E (Récupération, Réutilisation,Recy clage, Valorisation ou Élimina-tion) selon les installations en place surle site.

Encore de nos jours, il arrive que certains déchets soient jetés dans lesconteneurs bruns à déchets et les conte -neurs bleus de recyclage. Les grosdéchets tels que les meubles, les pneus,les matériaux de construction, le béton,le métal ferreux et non ferreux, lesdéchets électroniques et les résidus dangereux (peinture, bouteille de pro -pane, huile, lampe fluo compacte, batte -rie, etc.) doivent être acheminés vers lasection Gestion intégré des déchets(GID), Réparation et disposition (éco-

centre) conformément au concept des3R-V-E.

La section GID, Réparation et dispo -sition de Valcartier est responsable de la manipulation, de l’entreposage, de la récupération, de l’élimination ainsi que de la disposition et la gestionde tout le matériel acquis au moyen defonds publics ou non-publics de façon à protéger la santé, l’environnement et le matériel.

Déjà, grâce aux nombreuses actionsmises en place, des résultats concrets et positifs ont été constatés aux points de vue environnemental, économique et social. Par de simples gestes, il est denotre devoir comme citoyen de s’assur-er que le recyclage est exécutéadéquatement afin de protéger l’envi-ronnement et les ressources pour lesgénérations futures. Recycler, c’est agiraujourd’hui pour demain!

Pour en savoir davantage sur nos services, composez le 418 844-5000, poste 7132.

Un concert près des gensPAR LE CAPORAL MAXIM OUELLET

Les Voltigeurs de Québec

Le 8 décembre dernier, la Musiquedes Voltigeurs de Québec a célébré le 150e anniversaire de la fondationde son régiment par un concert à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. Les bancs ont accueilliplus de 500 spectateurs, une assis-tance dont les Voltigeurs peuventêtre fiers, selon le lieutenant-colonelà la retraite Claude Pichette, l’un desorganisateurs de la soirée.

Les musiciens impressionnaient toutd’abord par leur disposition particu -lière, adapte à la géométrie de l’autel et

à l’acoustique particulière de la basi -lique, une réverbération chaleu reusemais étonnamment claire pour uneéglise. Les percussions et les trombo -nes étaient en évidence, hauts-perchésà l’arrière de la scène, tandis que les bois étaient tout près du public, àquelques centimètres de la premièrerange.

Le directeur musical, le capitaineFrançois Dorion, avec son équipe deprogramme, a réussi à intégrer lesnombreuses thématiques de la soiréepar un choix de répertoire diversifié etjudicieux. L’Ave Maria de Schubert etle Joyeux Noël se prêtaient au tempsdes Fêtes, le second titre rejoignant les amateurs de jazz et de saxophone,

avec comme soliste le caporal ChantaleBrassard. Le côté virtuose de l’ensem-ble a été mis à l’épreuve dans l’ouver-ture de Colas Breugnon de Kabalevskiet dans Molly on the Shore deGrainger. Les racines du régiment ontquant à elles été honorées avec deuxextraits de la Suite caractéristique de Vézina, premier directeur musicalde renom de la Musique des Voltigeurs,et la marche Salaberry, commandéepar l’ensemble auprès du prolifiquecompositeur Bert Appermont.

La Musique des Voltigeurs de Québecreste toujours près de ses anciens membres, et c’est avec l’extrait de lasymphonie Pour ma patrie de BernardZweers qu’a été souligné le décès récentde Christian Thibault, ancien adju-dant-chef de la Musique. Un momenttouchant en mémoire d’un homme qui a laissé sa trace, notamment dans ledossier des tenues d’époque portées parles musiciens. On pourrait aussi dire

que l’ensemble se tient aussi près deses futurs membres car, pour le temps de deux pièces, les musiciens du Corpsde cadets 2913 Bourg-Royal se sontjoints aux Voltigeurs. Le lieutenantAlexandre Marois, responsable du programme musical du CC 2913, aalors pu montrer qu’il a le potentiel de diriger un ensemble musical professionnel.

Finalement, le concert se voulait prèsde la communauté, les profits étantredistribués aux corps de cadets de larégion de Québec, aux œuvres de cha -rité de la paroisse Notre-Dame-de-Québec et aux anciens du régiment.

Les amis de la page Facebook de laMusique des Voltigeurs de Québec peu-vent accéder à des photos du concert du 8 décembre et des autres événe-ments de l’année, peuvent commenteret poser des questions sur les activitésde l’ensemble.

– PHOTOS : DANIEL ABELLe concert s’est donné à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec.

Le capitaine Dorion, directeur musical de la Musique des Voltigeurs, avait choisi un répertoire diversifié qui a suplaire aux nombreux spectateurs.

1re e

L’EXPRESSION BON MATIN EST FAUTIVEL’expression bon matin est un calque

de l’anglais good morning. On l’utilise àtort pour saluer des personnes le matin.Il est donc fautif de dire, par exemple :

– Bon matin! J’espère que vous avezbien dormi.

SOLUTIONLorsqu’on rencontre quelqu’un ou

qu’on s’adresse à un auditoire le matinou l’après-midi, la salutation à employerest bonjour. En soirée, on dira bonsoir.

SALUTATIONS EMPLOYÉES POUR PRENDRE CONGÉPour prendre congé de quelqu’un, on

peut utiliser différentes expressionsconsacrées, selon le moment de lajournée. Dans tous les cas, on sous-

entend «Je vous souhaite de passer unou une…».– Bonne journée – Bon avant-midi (ou Bonne avant-midi) – Bon après-midi (ou Bonne après-midi) – Bonne soirée – Bonne nuit

Bien que bon matin suive le mêmemodèle que les salutations ci-dessus, il ne fait pas partie des salutations consacrées pour prendre congé dequelqu’un.

Source : Recommandations et rappels linguistiques, Bureaude la traduction, Travaux publics et services gouvernemen-taux Canada, www.btb.gc.ca


LE TOYOTA VENZA 2013 :UN BON COMPROMIS!

PAR JEAN-FRANÇOIS ROSSChroniqueur automobile

Le marché des multisegments est trèscompétitif et, contrairement au cré -neau des minifourgonnettes qui est endéclin, Toyota nous propose un boncompromis avec ce Venza 2013. Pré -senté pour la première fois au Salon deNew York 2012, le Venza 2013 est undérivé de la très populaire ToyotaCamry. Toyotaayant fait unemise à jour de saCamry en 2012,c’était donc unincontournableque la silhouettede la Venzasubisse une curede rajeunisse-ment pour l’année modèle 2013.

Inspirée par la nouvelle tendance entermes de design, de son studio deCalifornie, Toyota nous offre une lignebeaucoup plus attrayante depuis lelancement du Venza de premièregénération en 2009 et cette toute nou-velle venue pour l’année modèle 2013.

Contrairement à la minifourgon -nette, le Venza nous est présenté enconfiguration cinq passagers seule-ment. L’habitacle est spacieux. C’estfacile de prendre place à bord. On y estparfaitement assis dans des sièges confortables. La présentation inté rieu -re est agréable. Tout comme l’allure

extérieure, le tableau de bord respectecette même tendance; les cadrans sont surdimensionnés pour en faciliterla lecture et l’instrumentation est adé quate pour un multisegment. Lesespaces de rangement sont bien pré -sents et l’habitacle est modulable...comme chez la concurrence. L’espacecargo est volumineux, quoique le seuildu coffre soit un peu surélevé à mongoût.

Ce ToyotaVenza 2013 offredeux motorisa-tions. Bien sur-prenant danscette catégorie!Toyota nous pro-pose un moteurquatre cylindresemprunté de la

Sienna de 2,7 litres qui développe182 chevaux à 5800 tours/minute et182 livres-pieds de couple à 4200 tours/minute; il s’est avéré un peu bruyantmais économe de carburant. Le V6 de 3,5 litres produit tant qu’à lui268 chevaux à 6200 tours/minute et246 livres-pieds de couple à 4700 tours/minute. Ce dernier sera probablementle plus populaire pour la clientèle, car il est mieux adapté à un véhicule decette catégorie. Au menu, une seuletransmission disponible : une automa-tique à six rapports qui fonctionne tout en douceur, tant en traction qu’enversion intégrale.

Mis à part le prix qui peut augmenteren flèche selon le groupe d’option, leToyota Venza 2013 d’entrée de gammedemeure un excellent choix pour unconsommateur qui recherche ce type de véhicule. Son prix est de 28 690 $pour la version de base munie dumoteur quatre cylindres. Ce véhiculepeut être très attrayant pour une jeunefamille recherchant un compromis

FICHE TECHNIQUEMARQUE : TOYOTAMODÈLE : VENZA AWD 2013 (modèle d’essai)AUTRE(S) MODÈLE(S) : VENZA, VENZA V6 et VENZA V6 AWDCATÉGORIE : MultisegmentPRIX : 37 795 $ (modèle d’essai)GARANTIES : 3 ans/60 000 km, 5 ans/100 000 km MOTEUR : L4 de 2,7 litres PUISSANCE CH. (KW) : 182 (136) à 5800 tr/minCOUPLE LB-PI (N.M) : 182 (247) à 4200 tr/min AUTRE(S) MOTEUR(S) : V6 de 3,5 litres de 268 ch. TRANSMISSION : Automatique à six rapportsAUTRE(S) TRANSMISSION(S) : Aucune TRACTION : IntégraleSYSTÈME ANTIPATINAGE : Oui avec antidérapage SUSPENSION :Avant : indépendante à jambes de force Arrière : indépendante à jambes de forceDIRECTION : À crémaillère à assistance variableélectrique FREINS :Avant : disques ventilés (ABS) et (EBD)Arrière : disques (ABS) et (EBD) COUSSINS GONFLABLES : Frontaux, genoux côté conducteur, latéraux et rideaux gonflables EMPATTEMENT : 277,5 centimètresPOIDS : 1790 kg

CHRONIQUE AUTO

intéressant à la minifourgonnette. Sivous éprouvez le désir de posséder tous les équipements de luxe, le VenzaV6 AWD est disponible pour la joliesomme de 39 550 $ en plus de la trac-tion intégrale qui rajoute un élémentde sécurité à toute la famille.

Je tiens à souligner l’excellente collaboration de ToyotaCanada pour l’essai routier du Toyota VENZA AWD 2013.

CAPACITÉ DE REMORQUAGE : 1134 kg (L4) - 1587 kg (V6) CAPACITÉ DU COFFRE : 870 litres (derrière 2e rangée)CAPACITÉ DU RÉSERVOIR : 67,0 litresCONSOMMATION :Ville : 10,2 l/100 km ou 28 mi/gal*Route : 7,1 l/100 km ou 40 mi/gal* Émission de CO2 : 4048 kg/année**Selon Ressources naturelles Canada

SÉCURITÉ : Top Safety Pick selon les tests de collision par www.iihs.org AUTRES MODÈLES CONCURRENTS :- Dodge Journey - Ford Edge- Honda Crosstour - Hyundai Santa Fe- Mazda CX-7 - Nissan Murano POUR :- Ligne agréable - Choix de moteurs- Sièges confortables - Douceur de roulement- Système intégral- Habitacle spacieuxCONTRE :- Finition intérieure plastique - Prix élevé (AWD Touring)- Poids à la hausse- Seuil de coffre surélevé- Pneus de remplacement coûteux (19 et 20 po)


Adam MalikNé le 27 février

Fils de Selma-Nada etAbdelaziz Bouchema

AlexanderNé le 1er février

Fils de Jennifer et Bruno Mc Auley

AliceNée le 21 octobre

Fille de Sarah Lavoie et Nicolas Tremblay

AnaéNée le 9 juillet

Fille d’Annie Desaulniers et Louis Lepage

BryanNé le 4 février

Fils de Joannie Corriveau et Patrick Allen

DérekNé le 12 octobre

Fils de Cindy Simard et Dany Rodrigue

JacobNé le 10 juin

Fils de Marie-Ève Ouellet et Daniel Ouellet

James Né le 16 mai

Fils de Nancy Richard et Luc Durand

Lili-Rose Née le 13 juillet

Fille de Joëlle Bard et Jean-Pascal Doucet

Lily-RoseNée le 20 juillet

Fille d’Annie Leblanc et David Gélinas

LucasNé le 12 septembre Fils de Kim Dassylva

et Daniel Bernier

MaelieNée le 23 janvier

Fille de Christina Thibault-Mercier

et Sonny Gauthier

MarieNée le 7 août

Fille de CatherineLachapelle et Phil Chainé

MathiasNé le 1er mars

Fils de Vicki Pariseau et Marc-André Morin

MathisNé le 14 mars

Fils de Martine Deschêneset Maxime Gauthier

MaverickNé le 2 juin

Fils de Vicky Savoie etAntoine Desrosiers

MilanNé le 13 janvier

Fils de Karine Desrosiers et Sébastien Cayer

NathanNé le 8 juin

Fils de Julie Grondin et Pascal Mayrand

NathanNé le 30 septembre

Fils de Mélanie Beaudet et Billy Ross

OliviaNée le 11 février

Fille de Mylène Roy et Noah Calkins

Olivier Né le 18 juillet

Fils de Sandra Lacombe etSébastien Magnan Tessier

Ruby Née le 30 juillet 2012

Fille de Monika Fortier etVincent Meilleur

SamuelNé le 14 février

Fils d’Audraey Petitclerc et Dominic Thériault

SarahNée le 20 septembre

Fille de Catherine Gagné et Alexandre Givry

SimonNé le 30 avril

Fils de Julie Maranda et Jonathan Bujold

TéoNé le 6 août

Fils de Lucie Boisvert etPatrice Cardin

WilliamNé le 26 juillet

Fils d’Anne-Marie Bélangeret Joël Thibeault

YohannNé le 7 août

Fils de Maureen A. Guénetteet Etienne Leprohon

BÉBÉS DE L’ANNÉE 2012

CharlieNée le 26 mars

Fille de Véronique St-Germain et Audrey

Richard-Dussault

ÉlodieNée le 10 octobre

Fille de Stéphanie LangloisLétourneau

et Xavier Jalbert

PROMOTION DE LA SANTÉ


L’arrêt tabagique, suivre les étapes vers la réussite!1. LA PRÉ-INTENTION (PRÉCONTEMPLATION)

À cette étape, on ne parle pas encorede changement. Le fumeur se ditheureux et ne se pose pas de questionsparce qu’il refuse de voir le comporte-ment comme un problème. On peutmême remarquer une grande résis-tance au changement. Si le fumeur est contraint d’arrêter lorsqu’il se situeà cette étape, il est très susceptible de recommencer lorsqu’il en aura l’occasion.

Plusieurs raisons peuvent justifiercet échec. D’abord, puisque le fumeurne voit pas ce comportement commeproblématique, il aura peu de motiva-tion à ce que le changement soitdurable. Aussi, sans s’être préparé, lefumeur n’aura pas trouvé de stratégiesefficaces pour braver les moments lesplus difficiles.

2. L’INTENTION (LA CONTEMPLATION)À cette étape, le fumeur est indécis, il

se pose beaucoup de question sur sonusage du tabac. Souvent le fumeur estambivalent et voudrait pouvoir conti -nuer à consommer le tabac tout en évi-tant les risques qui y sont associés. Lapersonne envisage de modifier cettehabitude, mais ne se lance pas encoredans l’action.

Pour appuyer le fumeur au stade del’intention, son entourage peut l’aider à visualiser les pour et les contre dutabac. Cependant, faire la morale oudes reproches ne sera pas efficace etpeut même produire l’effet inverse; lefumeur retournera au stade précédentet refusera de voir que l’usage du tabacest une dépendance néfaste pour lasanté.

3. LA PRÉPARATION Choisir de vaincre une dépendance

est une situation si stressante que cer-tains ont l’impression de se lancer dansle vide. Plusieurs vont jusqu’à croirequ’ils ne se souviennent même plusd’avoir déjà été non-fumeur. Une pré-paration adéquate augmente les chan -ces de réussite (voir l’encadré ci-contre).

4. L’ACTIONUne fois bien préparé, c’est le temps

de choisir le jour J, la date d’arrêt, et demettre en œuvre toutes les stratégiesélaborées pour faire de ce projet uneréussite pour la vie. Le soutien et l’en-couragement de l’entourage est primor-dial pour garder le courage de conti -nuer malgré les périodes plus difficiles.5. LE MAINTIEN

Maintenir un nouveau comportementest le travail d’une vie. On sous-estimesouvent l’importance de cette étape.Pourtant, elle est cruciale pour pré ve -nir la rechute. Même si certains aurontquelques écarts, sans minimiser le faitd’avoir fumé une soirée par exemple, onpeut se servir de cette situation pouranalyser quels sont les moments lesplus à risque de toucher au tabac. Une «chute» est un écart de conduitequi permet de se centrer sur de nou-velles stratégies à adopter pour conti -nuer vers son objectif. Alors qu’une«rechute» est associée au fait de seretourner complètement vers l’anciencomportement. Dans l’étape du main-tien, l’important n’est pas de ne jamaisavoir de «chute», mais plutôt de nejamais perdre de vue son objectif : unevie sans fumée.

Si vous êtes prisonnier du tabac et vous voulez vous endébarrasser pour de bon, participez au programme«Écrasez-la» offert le mardi à 10 h au Centre des sports, bât.516, local 182. Aucune inscription n’est requise. Pour plusd’information, composez le 418 855-5000, poste 4677.

■ Observer son propre comportement de fumeur.Pour cesser définitivement de fumer, il est néces-saire de comprendre pourquoi on fume. Quelles sontles situations qui déclenchent l’envie de fumer? Lestress, la colère, la faim, être en compagnie d’autresfumeurs, boire de l’alcool, boire un café?■ Dissocier le tabac des situations déclen-chantes. Par exemple, si le fait d’allumer le moteurde votre voiture vous fait automatiquement allumerune cigarette, tentez de séparer ces deux événe-ments. Par exemple, pour vous préparer progressi -vement à arrêter de fumer, attendez d’être sorti devotre véhicule pour consommer le tabac. Ces exerci-ces ont pour intérêt de vous apprendre à séparerl’habitude de fumer dans son véhicule et l’action deconduire. ■ Explorer les solutions alternatives. Plusieurspersonnes utilisent un traitement de substitution autabac. Afin d’aider les militaires et la communautécivile dans leur démarche vers une vie sans fumée,la Promotion de la santé vous propose le programme«Écrasez-la», à tous les mardis matins, 10 heures.La première séance, en plus d’offrir du soutien et des conseils pratiques, vous permettra de faire lepoint sur les médicaments et les substituts au tabac offerts gratuitement au personnel militaire. Lepersonnel civil et les familles peuvent aussi par-ticiper à «Écrasez-la». Cependant, ils devront aussiconsulter leur médecin pour obtenir les médicamentsà leur frais. Heureusement, plusieurs assurancespersonnelles les remboursent en grande partie.

Source : Prochaska et Di Clemente. (1994) Le modèletransthéorique : les étapes de changement de com-portement.

COMMENT SE PRÉPARER À L’ARRÊT TABAGIQUE?

Spectacle de Noël de l’école de danse AxendansePAR JULIE MAYOTTE

Superviseure des loisirs communautaires -Organisation d’événements

Le 8 décembre avait lieu le spectaclehivernal de l’école de danseAxendanse intitulé «Noël, etc.». Lespectacle proposait des numéros trèsdiversifiés, allant du lyrique aubreakdance en passant par le ballet,le jazz et même le hip hop.

Tout au long du spectacle, les élèvesnous ont démontré leur passion pour ladanse et nous ont fait vivre plusieursémotions. C’est plus de 400 personnesqui se sont déplacées au Cégep deLévis-Lauzon pour admirer et voir lerésultat de plusieurs mois de travail.

Cet événement, organisé par leService des loisirs communautaires,n’aurait pu voir le jour sans le travailde Geneviève Robidoux, directrice et

Le groupe de Ballet Fusion Intermédiaire nous présentait un numéro remplie d’énergie!

Voici quelques danseuses qui ont bien hâte de montrer le résultat de plusieurs moisd’efforts.

professeure de l’école Axendanse ainsique de son équipe. Il est importantaussi de souligner le travail des pa -rents bénévoles qui sont d’une aide pri-

mordiale pour le bon déroulement duspectacle. Un énorme merci égalementaux professeurs qui donnent temps eténergie, et qui font preuve de patience

pour ces jeunes. Au plaisir de vousretrouver au spectacle de fin d’année,en juin prochain!

– PH

OTOS

: JU

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VOTRE HYPOTHÈQUE,C’EST MON AFFAIRE!

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PROMOTION DE LA SANTÉ

LA COLÈRE, ÇA SE GÈRE!

Un voisin déran -geant, une situationdifficile ou encore simple-ment le fait d’être pris dansla circulation… Qu’on se l’avoue, on atous nos moments de colère!

Souvent confondue avec l’agressivité,la colère est avant tout une émotion,qui nous parle de nous et qui peuts’avérer constructive ou destructive,dépendamment de nos habiletés à yfaire face. La bonne nouvelle : appren-dre à gérer sa colère, c’est possible!

Pour y parvenir, le programme«Gérer les moments de colère» proposeune série de quatre ateliers de troisheures chacun qui permettent dedévelopper de nouvelles stratégiesd’adaptation efficaces face à votrecolère.

Les cours se tiendront au Centre communautaire deValcartier, les mercredis 30 janvier, ainsi que 6, 13 et 20février de 9 h à midi. Une rencontre préparatoire à l’atelieraura lieu le mercredi 23 janvier de 13 h à 14 h.

POIDS-SANTÉContrôlez votre

poids en suivant lesquatre séances duprogramme Poids-santé et préparez-vous àchanger vos habitudes ali-mentaires ainsi qu’à vous remettre enforme!

Objectifs– Augmenter ses connaissances sur la

saine alimentation et développer sones prit critique face aux diverses prati -ques et produits sur le marché.

– Accroître ses connaissances sur les types d’activités physiques bénéfiques.

– Apprendre les rôles des principauxéléments nutritifs.

– Se fixer des objectifs atteignables à court, moyen et long terme.

– S’assurer que ses assiettes et ses collations soient appropriées.

– Comprendre les portions et l’impor-tance de la qualité des aliments choisis.

– Lire et interpréter les étiquettes.– Manger sainement au restaurant.Bénéfices recherchés– Maintenir un corps en santé et un

poids santé à long terme.– Se sentir mieux dans sa peau.– Changer ses comportements

alimentaires et sa pratique d’activité physique.

Début du cours le jeudi 24 janvier à 7 h 30 et fin le 14 fé -vrier. Au Centre des sports (bât. 516), salle 182.

VOUS DORMEZDEBOUT!

Vous n’en pouvezplus de voir passer lesheures sur votre cad-ran? Vous avez de la diffi-

culté à trouver le sommeil ou à main-tenir un sommeil de qualité? Ne perdezpas espoir, une sensibilisation d’unedurée de deux heures vous est offertepour vous aider à développer desstratégies en vue de retrouver un som-meil réparateur.

L’atelier aura lieu les vendredis 1er février, 1er mars, 5 avril, 3 mai et 7 juin de 10 h à midi au Centre des sports (bât.516), salle 182.

PARFOIS DIFFICILE DE VIVRE ÀDEUX?

Malgré tout l’amourque nous éprouvonspour notre conjoint ouconjointe, vivre à deuxn’est pas toujours de toutrepos! Vous avez besoin de trucs pourmaîtriser les conflits conjugaux? Vousavez besoin d’outils pour parvenir àvous exprimer sainement? Vousaimeriez préserver l’harmonie dansvotre couple et prévenir l’apparitiondes difficultés conjugales? C’est ce quevous propose le service de la Promotionde la santé par le biais de trois ateliers,offerts en soirée. Vous pouvez y assisterseul ou en couple.

Ces ateliers d’une durée de deuxheures chacun vous permettront dedévelopper de nouvelles stratégies pourentretenir le bonheur de vivre à deux.Il ne s’agit pas d’un service de consulta-tion, mais plutôt d’outils ayant pourobjectif de maintenir une relation satis-faisante.

Notez que vous devez vous inscrire à l’avance pour ces ate-liers.

– Saine communication conjugale : le mercredi 6 février de18 h 30 à 20 h 30.

– Expression des besoins, limites et attentes : le mercredi 13 février de 18 h 30 à 20 h 30.

– Maîtrise des moments de conflits : le mercredi 20 févrierde 18 h 30 à 20 h 30.

COMPOSEZ AVECLE STRESS AUQUOTIDIEN…

Une bonne gestiondu stress est vitale pouraugmenter notre niveaud’énergie et améliorer la qualité de nosrelations. C’est ce que vous propose le département de la Promotion de lasanté en permettant une prise de conscience de vos habitudes de vie et en vous offrant des outils afin demaîtriser votre perception des événe-ments stressants.

Pour y parvenir, le programme «Lestress ça se combat» vous propose une série de quatre ateliers de troisheures chacun qui vous permettront de développer de nouvelles stratégiesd’adaptation pour composer avec lestress au quotidien.

Les cours se tiendront au Centre communautaire deValcartier, les jeudis 24 et 31 janvier, ainsi que 7 et 14 fé vrierde 9 h à midi. Notez que vous devez vous inscrire à l’avancepour ces ateliers.

PROGRAMMES ET ATELIERS DE LA PROMOTION DE LA SANTÉ

SUITE EN PAGE 22

Les employés des FNP-Division Finance& leurs conjoints (es)

remercient ces donateurs pourleur contribution au Party de Noël 2012

Aubergedes 3 canards

La Tabléede Didier

PENSEZ GOLF & CASINO

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LES PROFESSIONNELS

DE L’OPTOMÉTRIE


Toute correspondance doit être adressée à la rédactrice enchef. Les demandes de publication doivent être ache mi néespar courrier élec tronique à +adsum@forces. gc.ca. Soumet -tre les textes en format Word et les photos en jpg. La rédactrice en chef se réserve le droit de rejeter ou demodifier tout matériel rédactionnel ou publicitaire. Lesauteurs des textes ne seront pas nécessairement avisésdes modifications apportées à leurs textes. Les articlespubliés dans ce journal sont la propriété de l’Adsum et nepourront être publiés, utilisés ou reproduits sans l’autori-sation de la rédactrice en chef ou de l’auteur.

Abonnement : 20 $ par année (22 éditions) plus taxesGRATUIT pour les militaires et les employés civils du MDN.

ISSN 0705-0992Journal Adsum, Garnison Valcartier, bât. 516

C.P. 1000, succ. Forces, Courcelette (Québec) G0A 4Z0Tél. : 418 844-5000, poste 5598 • Fax : 418 844-6934

Courriel : [email protected] Web : www.journaladsum.com

Suivez-nous sur Facebook/JournalAdsum

Le journal Adsum est une publication non officielle publiée un mercredi sur deux avec la permission duComman dant du 5e Groupe de soutien de secteur. Lesopinions et les points de vue exprimés dans ce journal ne sont pas nécessairement ceux du MDN, des FC et del’ASPFC/Personnel des FNP.

TIRAGE : 5000 copies

ÉDITEUR : Colonel Sylvain Sirois, commandant 5 GSS

RÉDACTRICE EN CHEF : Caroline Charest• Tél. : 418 844-5000, poste 5672• Courriel : [email protected]

JOURNALISTE : Philippe Brassard• Tél. : 418 844-5000, poste 6656• Courriel : [email protected]

CONSEILLÈRE EN PUBLICITÉ : Isabelle Blouin• Tél. : 418 254-2448• Courriel : [email protected]

COMMIS D’ADMINISTRATION : Annie Marshall• Tél. : 418 844-5000, poste 5598• Courriel : [email protected]

INFOGRAPHISTE : Philippe Dionne-Raymond• Tél. : 418 844-5000, poste 6656• Courriel : [email protected]

41E ANNÉE, NO 14, JEUDI 17 JANVIER 2013

PROCHAINE PARUTION : 30 JANVIER 2013TOMBÉE : 21 JANVIER 2013

Du courrier pour l’Afghanistan

Le comité de soutien du 35e Bataillon des services duCanada a profité du dîner de la troupe pour préparerdes envois de cartes de Noël et des cadeaux aux 14 mili -

taires déployés en Afghanistan et au Koweït. Une attentionbien appréciée par les militaires. De gauche à droite : padréBreton, lieutenant-colonel Gosselin, colonel honoraire Gagné,caporal Tourigny-Lambert, capitaine Caya et adjudant-chefPelletier.

– PH

OTO

: CPL

PRO

VOST AVENIR PROFESSIONNEL

ET RÉSOLUTIONS DE LA NOUVELLE ANNÉEQuelle est votre résolution pour l’année 2013 : une nou-velle carrière? Un retour aux études? Le goût de faire dubénévolat? Changer de vie?

Les débuts d’année mettent généralement en ébullition nosréflexions par rapport à notre avenir professionnel. Il estimportant de s’écouter et d’analyser la situation. Le tempsdes Fêtes, période de réjouissances propice aux rencontresfamiliales et amicales, vous ont peut-être mêlé encore plus, enraison des opinions émises à ce sujet par les uns et les autres!Vous vous posez peut-être plusieurs questions sur vous-même, vos aspirations, vos goûts et intérêts, votre place dansla société.

À quelques mois de la date limite d’inscription dans lamajorité des programmes de formation, vous sentez peut-êtrele besoin d’être guidé dans votre démarche. Un conseiller ouune conseillère d’orientation du programme FORT au Centrede la famille Valcartier peut vous aider à faire un choix et àplanifier un plan d’action.

OPTION SANTÉLe programme

«Option santé» vousaidera à :– établir une saine ali-

mentation et ajustervos portions;

– comprendre et interpréter les étiquettes nutritionnelles et lesmenus de restaurants;

– vous renseigner sur la façon de plani-fier des collations et des repas sains;

– comprendre les mythes courants etles fausses croyances liés à la pertede poids;

– démystifier les différents produitsnaturels et leur nécessité.

L’atelier aura lieu à cinq reprises : les 15 février, 15 mars, 19avril, 17 mai et 14 juin de 8 h 30 à midi au Centre des sports(bât. 516), salle 182. En soirée, cet atelier sera offert le mercredi 30 janvier entre 18 h 30 et 20 h 30.

Programmes et ateliers de la Promotionde la santé - Suite de la page 21

NUTRITION SPORTIVE 101Cet atelier vous

permet tra d’estimer vosbesoins énergétiques,d’apprendre les princi -pes de base d’unesaine alimentation etde les appliquer avant,pendant et après les péri-odes d’entraînement.

Que vous vous entraîniez quelquesfois par semaine ou que vous soyez deniveau compétitif, vous serez en mesurede mieux adapter votre alimentation àvotre pratique d’activité physique.

L’atelier sera donné à cinq reprises : les vendredis 1er février,1er mars, 5 avril, 3 mai et 7 juin de 8 h 30 à midi au Centredes sports (bât. 516), salle 182.

Pour toute information ou inscription, veuillez compo -ser le 418 844-5000, poste 4677, ou envoyer un cour-riel à l’adresse [email protected].

PARTICIPANT AU SERVICE DE RELOGEMENT DES FORCES CANADIENNES

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219 000$

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229 900$

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SHANNON

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VAL-BÉLAIR

259 000$

SAINT-GABRIEL

369 000$449 000$

SHANNON

TERRAIN

BOISÉ

SAINT-GABRIEL

254 500$

VAL-BÉLAIR

VAL-BÉLAIRVAL-BÉLAIR

449 000$

379 900$

SHANNON

289 900$

SAINT-GABRIEL

TRANSFERT

267 000$

LORETTEVILLE

164 500$

PONT-ROUGE

199 900$

VAL-BÉLAIR

NOUVEAU

VAL-BÉLAIR

239 000$

VAL-BÉLAIR

DUPLEX

159 900$

VAL-BÉLAIRVAL-BÉLAIR

161 500$


Nom de la famille : Germain.Race : labrador et pitbull.Âge : 11 mois.Elle est avec nous depuis : 8 mois.Taille : parfaite!Poids : 23,4 kg (52 livres).Couleur du poil : bringé.Caractère : le chien le plus affectueux de la terre!Énergique et hyper social avec tous les êtres vivants,peu importe leur nombre de pattes!Une chose qu’il faut savoir au sujet de ce chien :bien que le pitbull ait très mauvaise réputation, lesvrais amoureux et connaisseurs de cette race vousconfirmeront qu’il s’agit d’un chien extrêmementaffectueux, intelligent et très sensible. Curieux etenjoué, il est toujours de bonne humeur et prêt àaccueillir n’importe qui. Ayant une bonne muscula-ture, le pitbull fait un chien de prédilection pour les maîtres mal intentionnés qui voudrait le dresserpour du combat… d’où sa mauvaise réputation.Comme on dit souvent, il n’y a pas de mauvaischien, juste de mauvais maîtres.Il vous fait sourire quand : il nous fait sourire toutles jours! Particulièrement lorsqu’il m’accueille avecplein de caresses, après une grosse journée deboulot!Il vous donne de la misère quand :Wisky adore la pêche! Il est tellement impatient de nous voir sortir des poissons, ce qui rend souventles choses difficiles en chaloupe!Un dernier mot au sujet de Wisky :Wisky est un chien extraordinaire! Adopté à la SPA, il est toujours heureux et prêt à donner de l’amour!C’est un chien extrêmement fidèle, amoureux incon-ditionnel des ses maîtres et athlète de canicross!.

Qu’il soit à poil ou à plume (ou à écailles…), votre animalde compagnie fait partie de la famille et vous l’adorez!Présentez-nous le en répondant à notre questionnaire eten y ajoutant une bonne photo de votre charmant com-pagnon. Envoyez-nous un courriel à [email protected] pour nous demander le questionnaire. Vous le trou-verez également sur www.journaladsum.com (sectionConcours/Appels à tous) OU encore notre page Facebook(www.facebook.com/journaladsum).

WISKY

NOTRE AMIÀ PATTES

BLOC-NOTESTOURNOI AMICAL DE HOCKEY BOTTINE

Tournoi de hockey à 3 vs 3 le 26 jan-vier de 11 h à 16 h au Centre plein air Castor. Équipement obligatoire, 6 joueurs par équipe. Clientèle : 16 anset plus. Coût : 60$/équipe. Inscriptionjusqu’au 5 janvier au 418 844-5000,poste 8143.FÊTE HIVERNALE

Une foule d’activités extérieures pourpetits et grands le 26 janvier de 11 h à16 h au Centre plein air Castor. Repasgratuit pour les enfants de 2 ans etmoins, 2 $ pour les 3 et 4 ans et 4 $ pourles 5 à 12 ans et 6 $ pour les 13 ans et plus. Billets pour le repas en vente àl’accueil du Centre des sports. Aucuneinscription requise pour l’activité, quiest gratuite. Info : 418 844-5000, poste8143.

SAINE ALIMENTATIONAtelier qui vous permettra de faire

les bons choix santé. Clientèle : 18 anset plus. L’atelier se tiendra au Centredes sports de la Garnison Valcartier(bât. 516) de 18 h 30 à 20 h 30.Inscription avant le 25 janvier au418 844-5000, poste 4677.

SKI DE FONDSéance pratique sur les techniques de

ski patin. Le cours aura lieu le 1er févri-er de 9 h à 12 h au Centre plein airCastor. Coût : droit d’accès aux pistes.Location disponible. Info : 418 844-5000, poste 6021.

WINTER FESTSurveillez la programmation à venir!

Les activités se déroulerons au ShannonHall le vendredi à partir de 19 h, same-di à partir de 10 h et dimanche de 10 hà 16 h. Info : 418 844-3778.

LA SAINE COMMUNICATION CONJUGALERéussir à communiquer clairement

est la clé d’une relation harmonieuse.Cet atelier vous permettra de diminuerles styles de communication nocifs pourle couple (critique, mépris, attitudedéfensive) pour apprivoiser les secretsde la communication adéquate et non-violente. Le 6 février de 18 h 30 à 20 h30 au Centre des sports de la GarnisonValcartier (bât. 516). Clientèle : 18 anset plus. Inscription avant le 1er février,

26 JANVIER

30 JANVIER

au 418 844-5000, poste 4677. Info : [email protected].

MISE EN FORMESéance cardiovasculaire et muscu-

laire pour améliorer la condition physi -que et atteindre les normes. Débu -tants/intermédiaires. Tous les lundis,mercredis et vendredis de 8 h à 9 h auCentre des sports de la GarnisonValcartier (bât. 516). Info : 418 844-5000, poste 6538.ESCALADE EN MOULINETTE

Initiation à l’escalade autonome enmoulinette pour débutants/intermédi-aires le 5 février de 9 h à 12 h au Centredes sports de la Garnison Valcartier(bât. 516). Info : 418 844-5000, poste3075.INITIATION AU P.E.C.

Programme d’entraînement au com-bat avec techniques de base en haltéro -philie. De 9 h à 16 h lundi 25 février auCentre des sports de la GarnisonValcartier (bât.516). Info : 418 844-5000, poste 6501.TÉLÉMARK

Équipement et sécurité. Initiationaux techniques de base. Le 25 janvierde 9 h à 15 h au Centre des sports de laGarnison Valcartier (bât. 516) Info :418 844-5000, poste 6534.PROGRAMME D’ENTRAÎNEMENT DE L’ATHLÈTE TACTIQUE - AVANCÉ

Atelier théorique et pratique abor-dant l’haltérophilie et les mouvementsfonctionnels à prescrire. L’atelier auralieu trois jours sur demande de 9 h à 16 h au Centre des sports de la Garni -son Valcartier (bât. 516). Info : 418 844-2000, poste 6501.

BIOMÉCANIQUE DE COURSEAnalyse sur tapis roulant, détecter et

corriger les erreurs. Intégration destechniques de course. Le 31 janvier de13 h 30 à 15 h 30 au Centre des sportsde la Garnison Valcartier (bât. 516).Info : 418 844-5000, poste 6538.AQUAFORME PRÉNATAL ET POSTNATAL

Entraînement aérobie et musculaireen piscine. Femmes enceintes ou retourd’accouchement. Cours donné avec ousans le bébé. Tous les jeudis de 13 h à14 h au Centre des sports de laGarnison Valcartier (bât. 516). Info :418 844-5000, poste 6538

CONDITIONNEMENT PHYSIQUEMILITAIRES SEULEMENT

1ER FÉVRIER

6 FÉVRIER

1ER AU 3 FÉVRIER

POWER SKATINGExercices d’agilité et de puissance

visant une amélioration au hockey, le23 janvier à l’aréna Clément-Boulangerde 10 h 45 à 11 h 45. Clientèle 16 ans etplus. Inscription avant le 22 janvier au418 844-5000, poste 3075.

COMPTOIR DES AUBAINESLe Comptoir des aubaines de Sainte-

Catherine-de-la-Jacques-Cartier, situéau sous-sol de l’église (2, rue Jolicoeur),sera ouvert les samedis 19 et 26 jan vierde 13 h 30 à 16 h. Début février, lecomptoir sera ouvert le samedi 2 fé vrierde 9 h à 16 h et le dimanche 3 février de9 h à 13 h.RECHERCHE ENFANTS DE 7 À 12 ANS

Le Centre de la famille Valcartier(bât. 93) est à la recherche d’enfantsayant un membre de sa famille affectépar une blessure de stress opération -nelle. Onze ateliers visant à développerles forces et améliorer le bien-être individuel et familial. L’implication des parents est demandée durant leprocessus. Prochain groupe : janvier2013. Info : Cindy Girard-Grenier au418 844-6060.FORMATION EN RELATION HUMAINE

Le Centre de formation L’Aidant,situé au 2301, 1re avenue (Patro Roc-Amadour), offre des cours de relationshumaines cet hiver. Coût : 60 $ pour 15 heures de cours (documents inclus).Les thèmes des cours sont : «Commentutiliser nos 13 clés de solutions de pro -blèmes?» (6 mercredi pm ou soirs, débu-tant le 16 janvier); «Subir ou choisirl’influence de mes émotions?» (6 lundispm ou soirs, débutant le 14 janvier);«Comment mieux écouter et compren-dre l’autre?» (6 mardis soirs, débutantle 15 janvier); et «Comment cheminerdans la foi?» (6 lundis soirs, débutant le21 janvier). Offerts par Gilles Gosselin,psychothérapeute et son équipe. Info :Céline, au 418 627-5058, poste 230.ÉCOLE DE MUSIQUE DE LA GARNISON VALCARTIER

Recherche des bénévoles pour formerle comité de direction, certains postesrequièrent d’être militaire. Info :418 844-5000, poste 8711 ou visiter lapage Facebook www.facebook.com/ecolemusiquevalcartier.

DIVERS

CONDITIONNEMENT PHYSIQUEMILITAIRES ET MEMBRES PSL ADULTES

Prochaine parution du Bloc-note :

30 janvier 2013Soumettez vos suggestions d’activi tés auplus tard le 21 janvier par courriel à[email protected], par la poste (voirnotre adresse dans l’encadré en page 22),ou par téléco pieur au 418 844-6934.

« INDEMNITÉ DE DÉPART »Vous recevrez sous peu une indemnité de départdes Forces Canadiennes.c Connaissez-vous vos options?Communiquez avec nous pour obtenir une opinion informée et savoircomment nous pouvons favoriser l’atteinte de vos objectifs financiers.Nous avons l’expertise nécessaire pour vous aider à prendre la meilleure décision.

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Martin BlackburnReprésentant autonomePlanificateur financierConseiller en sécurité financièreReprésentant en épargne collective inscritauprès d’Investia Services Financiers

Josée MénardReprésentante autonomeConseillère en sécurité financièreReprésentante en épargne collective inscrit auprès d’Investia Services Financiers


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20

VIVRE ENHARMONIE

AVEC LA NATURE!

Comme le veut la tradition des dîners de la troupe de Noël, les superviseurs et patrons du 5e Groupe de soutien de secteur étaient aux tables à vapeur et au service aux tables le 13 décembre tandis que les membres du personnelprofitaient d'un moment de détente fort mérité en attendant la dinde et le pâté à la viande.


PAROLES D’AUMÔNIER

Le banquierPAR LE CAPITAINE GUY D’AMOURS

Aumônier militaire, 5e Bataillon des services du Canada C

J’ai écouté l’émission Le Banquier spé-cial des Fêtes, le dimanche 16 décem-bre. Tous les ingrédients étaient réunispour que cette émission soit gagnante :l’animatrice, Julie Snyder, le banquier,qui négocie avec le participant le mon-tant à gagner, déguisé en Père Noëlpour l’occasion, et la cuvée 2012 de StarAcadémie qui a interprété des chantsde Noël. On avait même invité GinetteReno pour l’occasion.

Chaque «beauté» est détentrice d’unevalise qui contient un montant d’argentallant de 1 cent à 500 000 $. Le but del’émission est de gagner le plus d’ar-gent possible. La participante de cetteémission était une jolie demoiselle de23 ans, étudiante en architecture. Ellese disait célibataire, rêvait d’une nou-velle voiture, d’un voyage en Australieet espérait gagner le plus d’argent pos-sible. On a même invité son oncle, unarchitecte de grande renommée, qui l’a

motivée à choisir ce champ d’étude.Elle était accompagnée de deux amisainsi que de sa mère qui, à 49 ans, enparaissait 20 de moins. Ses rêves sontdevenus réalité. Tous ses désirs ont étéréalisés. L’émission s’est terminéecomme bien des auditeurs l’espéraient :elle a gagné près de 100 000 $, un voyage en Austra lie, une voiture flambant neuve et une invitation aurestaurant avec un des membres deStar Académie.

Écouter ce genre d’émission nous permet de nous évader pour un brefmoment de notre quotidien. Nousvivons dans un univers qui ne tournepas toujours rond. Il y a les guerres, les cataclysmes qui amènent famine etdestruction et d’autres folies comme latuerie qui s’est produite aux États-Unis.

Dans la vraie vie, nous sommes à lafois les animateurs et les participants.En tant que participant, nous avonsdes besoins et des désirs à assouvir. Sipour certaines personnes, le succèsreflète le fruit de leurs labeurs, pourd’autres, il se limite à être en santé outout simplement à avoir un peu denourriture dans leur assiette. Nous

sommes également les animateurs dece monde, et ce, quelle que soit notrecondition de vie. Nous sommes tous col-laborateurs pour orienter nos choix afinque ceux et celles autour de nous puis-sent en bénéficier. Y-a-t-il une formulemagique pour harmoniser notre vie

REMERCIEMENTS POUR LA 33E ÉDITION DES PANIERS DE NOËL

La campagne des paniers de Noël2012, orchestrée par l’équipe desaumôniers de Valcartier, a pris finavant le congé des Fêtes. Encore unefois, plusieurs d’entre vous avez faitpreuve d’une grande générosité, nouspermettant de constituer plus de 20gros paniers de Noël (épicerie) etamasser des dons monétaires pouroffrir de l’aide à d’autres familles, toutau long de l’année.

L’équipe des aumôniers tient àremercier tous les donateurs ainsi quetous les bénévoles des différentesunités qui ont participé à la prépara-tion des paniers de Noël et qui sontvenus en grand nombre. D’unemanière particulière, nous tenons à

avec celles des autres? Pour être touteset tous gagnants, sans distinction? Je n’en connais qu’une seule : AIMERSON PROCHAIN COMME SOI-MÊME, chacun à sa manière et selonses dons. Car dans la vraie vie, noussommes toutes et tous des «beautés».

souligner la présence des membres du35e Régiment du génie de combat qui,pour la première fois, se sont joints ànous afin de nous prêter main-forte. Ilimporte également de mentionner l’ef-fort exceptionnel de nos militairesdéployés en Afghanistan qui ontamassé plus de 2300 $.

Si la période du temps des Fêtesnous entraîne dans un tourbillonincroyable d’activités et de festivités,cette collecte se veut un rappel duvéritable sens de Noël où la solidaritéhumaine demeure ce qu’il y a de plusbeau. Au nom de toutes les famillesqui ont reçu un panier de Noël, et aunom de toute l’équipe des aumôniers,encore une fois, un grand merci!

Janick Pelletier418-847-1000Courtier [email protected]

Michel Fawns 418-847-1000

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26 ADSUM, 17 JANVIER 2013SPORTSL’entraînement personnalisé :faudrait être fou pour ne pas en profiter!

sion et dépassement de soi et ce, entoute sécurité.

Pensez-y bien : les athlètes olympi -ques et sportifs de haut niveau expéri-mentés font appel aux spécialistes del’activité physique pour planifier etsuperviser leur entraînement. Il va desoi que tous peuvent bénéficier d’unencadrement personnalisé. Commentpensez-vous atteindre vos objectifssans faire appel à un professionnel?

Dans le monde militaire, le travaild’équipe et la cohésion sont mis de l’avant. Bien qu’il existe des avantagesaux séances de conditionnement physi -

que de groupe, l’entraînement indivi -duel pour sa part tient compte desobjectifs, des préférences, des forces etfaiblesses, des limitations physiques ou problèmes de santé ainsi que de lacondition physique actuelle des indi-vidus. Grâce à une planification per-sonnalisée, les résultats sont assurés et apparaissent dans un délai nette-ment plus court qu’avec l’entraînementcollectif.

L’entraînement personnel a égale-ment son rôle à jouer sur la motivationet sur l’assiduité. Un bon entraîneurdevrait vous aider à vous concentrersur vos objectifs et à maintenir unniveau élevé de motivation. Nul besoinde vous dire qu’avec des suivisréguliers et des comptes à rendre, il estplus difficile de laisser tomber unentraînement ou de trouver des excu sespour ne pas le compléter.

Le kinésiologue est un spécialiste del’activité physique et du système mus-culosquelettique : il connait l’entraîne-ment mieux que quiconque. Que ce soitpour démontrer les bonnes techniqueslors d’exécution de mouvements, bâtirun programme équilibré en lien avecles objectifs ou donner de l’informationsur les principes d’entraînement, sonexpertise peut être mise à profit pourvous guider dans vos démarches.

Bien que ce ne soit pas toujours pos-sible d’avoir accès à un entraîneur per-sonnel pour vous superviser, voici quel -

ques points essentiels à surveiller afind’optimiser vos entraînements:

• Apprenez comment bien exécuterles mouvements et conservez une bonnetechnique. Vous limiterez ainsi les ris -ques de blessures et maximiserez l’effi-cacité de vos entraînements.

• Assurez-vous d’avoir une planifica-tion bien structurée, c’est-à-dire unplan progressif qui respecte les princi -pes d’entraînement, les temps adéquatsde récupération, l’ordre approprié desexercices, etc.

• Sortez de votre zone de confort…intelligemment. Un niveau de surchar -ge adapté vous permettra d’optimiservos résultats et d’éviter les plateauxliés à l’entraînement.

• Assurez-vous d’avoir un program -me en lien avec vos propres objectifs,qui tient compte de votre forme physi -que actuelle et de vos limitations. Unprogramme d’entraînement complet et structuré ne signifie pas d’emblée qu’il correspond à vos besoins ou qu’ilest adapté à votre niveau de conditionphysique.

• Adaptez votre alimentation. Uncorps qui s’entraîne régulièrement ades besoins nutritionnels précis.

• Tenez un registre de vos progrès etde vos réalisations.

Afin de vous guider dans votreentraî nement, n’hésitez pas à commu-niquer avec le moniteur de condition-nement physique et sports desProgram mes de soutien du personnel(PSP) qui est assigné à votre unité. Ilest disponible pour répondre à vosquestions et peut également vous aiderdans la planification de votre pro-gramme personnalisé.

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27ADSUM, 17 JANVIER 2013 SPORTS

Un grand record battu au Défi de la conditionphysique du Centre des sports

PAR STEEVEN MURRAYMoniteur de conditionnement physique et

sports des PSP

Le 4 décembre avait lieu le Défi dela condition physique 2012 du Centredes sports. Cette compétition mili-taire amicale était une opportunitéde rassembler les meilleurs athlètesde la garnison et de battre certainsgrands records en tête d’affiche dansle tableau d’honneur de la conditionphysique des militaires.

Cette compétition annuelle vise lesmilitaires désireux de tester leurniveau de condition physique et de seforger une place dans le tableau d’hon-neur, situé dans le hall d’entrée duCentre des sports.

Les épreuves cardiovasculaire etmusculaires sont celles de l’évaluationEXPRES des Forces canadiennes. Les21 militaires présents à l’édition 2012ont commencé par le test Léger-Lambert pour mesurer leur aptitudeaérobie. Par la suite, ils ont enchaînédes tests d’endurance musculaire :préhensions de la main, extensions desbras et redressements assis.LE RECORD À VIE DU TOTAL MUSCULAIRE BATTU

Premier fait saillant à noter, la per-formance exceptionnelle du caporalGirouard du 430 ETAH qui a battu

par seulement 5 points le record à viedu total musculaire, atteignant un nou-veau sommet de 287 points. Le totalmusculaire est la somme des résultatsdans les tests de préhension de la main,de l’extension des bras et des redres -sements assis. Sa performance a étécomposée de 82 extensions des bras,159 kg à la préhension des mains et 46 redressements assis. Même si le cplGirouard n’a battu aucun record de cestests pris individuellement, il a montréune grande polyvalence dans l’ensem-ble des épreuves D’AUTRES PERFORMANCES DIGNES DE MENTION

Du côté des femmes de 34 ans etmoins, le lieutenant Chamberland du12 RBC s’est vu décerner la premièreposition au total musculaire en obte -nant les meilleurs résultats à la pré -hension de la main et aux redresse-

ments assis. Le soldat Lavoie-Lafleurdu 5 GSS est la seule à avoir réussi àlui rafler la première position dansl’épreuve d’extension des bras avec un résultat de 41 et à égaliser le ltChamber land à l’épreuve aérobie.

Une mention spéciale au caporalLépine du 12 RBC qui a fait lameilleure performance aérobie chez lesfemmes toutes catégories d’âge confon-dues de cette édition 2012 avec un scorede 10. Elle a également obtenu la pre-mière position au total musculaire chez les femmes de 35 ans et plus.

Du côté des hommes de 34 ans etmoins, le caporal Éthier du 12 RBC aété le seul à tenir tête au grand cham-pion 2012 à l’épreuve du redressementassis avec un total de 59. Du côté del’épreuve aérobie, le capitaine Duboisdu 12 RBC s’est échappé loin devantavec 13 paliers complétés, à plus d’unpalier de son plus proche rival. Chez les35 ans et plus, c’est l’adjudant-maîtreDugal du 1 R22eR au total musculaireet le capitaine Fowler du 12 RBC àl’épreuve aérobie qui ont mérité les premières positions.UNE DERNIÈRE CHANCE

Le Défi de la condition physique dedécembre 2013 sera le dernier à vie, en raison du nouveau test d’évaluationde la condition physique qui sera envigueur pour les trois armées à partirdu 1er avril 2014. Profitez-en pourinscrire votre marque sur le tableaud’honneur.

Vous pouvez tenter de battre les records établis en touttemps en communiquant avec la section du condition-nement physique des PSP au poste 6021. Les moniteurs deconditionnement physique et sports peuvent vous guiderdans l’élaboration et le suivi de programmes d’entraînementvisant la performance ou la mise en forme.

– PHOTOS : PHILIPPE BRASSARDLes médaillés pour l’ensemble des épreuves. De gauche à droite, rang arrière : Simon Toupin, caporal Éthier,caporal Girouard, lieutenant Chamberland, capitaine Dubois, capitaine Fowler, caporal Chénard. Rang avant :soldat Lavoie-Lafleur, caporal Lépine, Johanne Morin.

Les participants en action lors de l’évaluation desredressements assis.

LE GRAND STADE DU CENTRE DES SPORTS RÉNOVÉPAR PHILIPPE BRASSARD

Journal Adsum

Le plancher du grand stade duCentre des sports de la GarnisonValcartier brille comme jamais, ayantsubi une véritable cure de jouvencependant les Fêtes avec la réfectioncomplète de la surface et des lignesde marquage.

Représentant un investissementtotal d’environ 50 000 $, les travaux derénovation comprennent la réparationdu tapis, le décapage, récurage, pein-turage et cirage de toutes les surfacesde jeu, sans oublier la pose des lignesau sol.

«Ça faisait 12 ans que ces travauxn’avaient pas été effectués. C’était vrai-ment devenu une nécessité», men-tionne Michel Lambert, gestionnaireadjoint des PSP, précisant que l’anci-enne surface était si usée que 60 % deslignes n’étaient plus visibles.

Maintenant, les 12 terrains de bad-minton, les trois terrains de volleyball,les trois terrains de tennis et le terrainde soccer sont clairement délimités pardes lignes neuves. Fraîchement cirées,

les surfaces de jeu sont plus uniformeset offrent une adhérence comparable àcelle du bois franc, ce qui rend plussécuritaire et agréable la pratique denombreux sports.

De plus, on a profité de l’occasionpour ajouter le marquage de deux terrains pour la course-navette, ce quipermettra à l’avenir à des groupes de30 personnes de passer cette épreuve.

Quant à la piste de course de 200mètres qui ceinture les terrains de jeu,sa surface a été récurée pour lui redon -ner sa texture rugueuse d’origine et sonmarquage a été renouvelé. Fait nou-veau, la piste est désormais balisée àdes intervalles de 50 mètres.

Naturellement, les travaux de réno-vation ont entraîné la fermeture dustade durant plus d’un mois, privantles utilisateurs d’un lieu importantpour pratiquer leurs sports favoris. «Ona fait notre maximum pour limiter les inconvénients subis par les utili -sateurs en ciblant la période des Fêtes, qui est la moins achalandée del’année», souligne Michel Lambert,assurant que l’attente en aura valu la peine. «On est bon pour les huit à 10prochaines années» en considérant

«l’achalandage extrême» du grandstade, dit-il.

Le projet est une collaboration desPSP, de Construction de Défense

– PHOTO : PHILIPPE BRASSARD, ADSUMJason Hunter de l’entreprise GDI qui s’occupe de l’entretien ménager sur la base applique du cirage sur les sur-faces de jeu fraîchement refaites, au grand stade du Centre des sports.

Canada, du service du Génie et de GDI,l’entreprise en charge de l’entretien surla base.

28 ADSUM, 17 JANVIER 2013SPORTSL’adjudant Coupal saute dans le ciel de Dubaï

PAR PHILIPPE BRASSARDJournal Adsum

Grand passionné de parachutisme,l’adjudant Patrick Coupal carbure àl’adrénaline. En décembre, le mili-taire de Valcartier a participé en tantque civil aux Championnats du mon -de de parachutisme, tenus à Dubaï,aux Émirats arabes unis.

Même avec plus de 2700 sauts en 11ans derrière la cravate, l’adj Coupalentretient toujours la même passionpour son sport extrême favori. Chaquefin de semaine est l’occasion de «s’envo -yer en l’air» avec son parachute.

«Je le fais pour l’adrénaline et le tripque ça amène, et aussi pour la gangavec qui je partage une passion com-mune», souligne le superintendant engénie de construction au 5e Régimentdu génie de combat.

L’adj Coupal a attrapé la piqûre duparachutisme comme fantassin au 3e Batail lon, Royal 22e Régiment.

C’est toutefois après avoirchangé de métier pourdevenir électricien militaireque le parachutisme estdeve nu son loisir deprédilection. «Depuis 2002,je pratique ce sport intensé-ment. La première année,j’ai fait 40 sauts, la deux-ième 150, et depuis je faisminimum 200 sauts parannée», raconte-t-il.

En 2010, il commence à s’entraîner en vue de com-pétitions nationales. «J’avaisbesoin de challenge. Avant,je sautais toujours contre moi-même,maintenant, j’affronte les meilleurs»,dit celui qui est rapidement devenumembre de l’équipe canadienne.DUBAÏ, CAPITALE DU PARACHUTISME

L’adj Coupal s’est rendu à Dubaï pourles championnats du monde de para-chutisme tenus du 28 novembre au 9 décembre. L’événement a rassemblé

1500 participants d’une trentaine depays. Il s’agissait d’un deuxième séjourà Dubaï pour le Québécois, après laCoupe du monde en 2011.

C’est le prince de Dubaï lui-même quireçoit les parachutistes comme sesinvités d’honneur, déployant l’artillerielourde pour offrir des moments mémo -rables à ces mordus de sensationsfortes.

«Encore cette année, on a été traitécomme des rois. Lors des cérémonies de fermeture, on a eu un show avecKaty Perry et Usher en première partie, et un party privé avec ChrisBrown», illustre l’adj Coupal, précisantque le budget frôlait les 30 M $.

Côté compétitif, les participants s’affrontent dans plusieurs disciplines,telles que les formations groupées, lesacrobaties et le pilotage de voilure. Ilss’exécutent au-dessus des eaux du golfe Persique, atterrissant sur l’unedes îles artificielles de Dubaï appelées«palmiers percés».

L’adj Coupal représentait le Canadadans la discipline de pilotage de voilure– sa spécialité – qui regroupe lesépreuves d’atterrissage de précision, dedistance et de vitesse.

Les manœuvres sont spectaculaires :rendu à 300 mètres de hauteur, le para-chutiste effectue un virage en balancieravec sa voilure et huit secondes plustard, frôle l’eau à une vitesse horizon-tale pouvant atteindre 130 km/h pourpasser à travers un certain nombre de portes. «Dans les huit secondes quedure mon virage, je peux apporter entre 20 et 25 modifications à ce que jefais pour corriger ma trajectoire», illus-tre le militaire, affirmant qu’il s’agit de la discipline «la plus excitante» dansle parachutisme. «Ça attire beaucoupde spectateurs! Il y a même des projetspour que ça devienne une disciplineolympique aux Jeux d’été 2016.»

Cette discipline très risquée est biensûr réservée aux sauteurs aguerris.«Normalement, on commence à essayerde faire ça à partir de 1000 sauts», pré-cise Patrick Coupal, qui est égalementcopropriétaire de ParaQc, un nouveaucentre de formation en parachutismesitué à Pintendre (Lévis) ouvert en maidernier.

Globalement, l’adj Coupal a faitbonne figure à Dubaï face aux meil -leurs de sa discipline, notamment pourl’épreuve de vitesse, où il a terminé 33e sur 140 participants (temps de 2,84secondes/70 mètres). Il a notammentbattu son record personnel en vitesse.Considérant que la plupart de sesadver saires s’entraînent au parachu -tisme à temps plein, il est très satisfait.

«C’est excellent et je me prépare déjàpour l’année prochaine. Je m’achète unplus petit parachute et je me prépareun plan d’entraînement avec plusieurscompétitions à l’étranger en vue de me requalifier sur l’équipe nationale.Je suis plus crinqué que jamais», con-clut le militaire.

– PHOTOS : OFFERTES PAR PATRICK COUPALL’adjudant Patrick Coupal effectuant une manœuvred’atterrissage à haute vitesse au-dessus des eaux dugolfe Persique, à Dubaï.

L’adrénaline est un mode de vie pour l’adj Coupal, que l’on voit ici enchute libre lors d’un saut de pratique, à Dubaï.

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29ADSUM, 17 JANVIER 2013 SPORTSDébutez l’année en FORCE et en CARDIO

PAR JOHANNE MORINCoordonnatrice du conditionnement

physique des PSP

La section du conditionnement physi -que et sports des Programmes de sou-tien du personnel (PSP) présente uneprogrammation complète qui englobequatre sphères : évaluations, prescrip-tion d’entraînement, classes de groupe,cours et cliniques de perfectionnement,activités hebdomadaires du programmede reconditionnement physique desPSP, et inscriptions des équipes repré -sentatives et des ligues inter-unitésencadrées par la section des sports militaires.

Que vous soyez un adepte de l’entraî -nement en salle, de cardio ou de pleinair, ou que vous cherchiez simplementà découvrir de nouvelles connaissancesou habiletés dans le domaine de l’en-

traînement, l’équipe du conditionne -ment physique et sports est là pourrépondre à vos besoins. À tous les midisde la semaine, une vaste gamme d’en-traînements de groupe vous est pro-posée (natation, spinning, aérobie, pro-gramme d’entraînement au combat[PEC], escalade, course à pied, circuitsd’entraînement variés). Des cours etcliniques de perfectionnement théo ri -ques et pratiques sont également auprogramme pour tous les niveaux (miseen forme, ski de fond, télémark,escalade, natation, aquaforme préna-tal, étirements et échauffements, mus-culation, entraînement de haute inten-sité et haltérophilie, power skating, orienteering, gestion de l’entraînementcardiovasculaire, biomécanique decourse, etc.).

Pour favoriser la santé, les directivescanadiennes en matière d’activité phy -

si que recommandent aux adultes âgésde 18 à 64 ans d’accumuler au moins150 minutes d’activité physique aérobied’intensité modérée à élevée par séanced’au moins 10 minutes. Il est aussibénéfique d’intégrer des activités pourrenforcer les muscules et les os etfaisant appel aux groupes musculairesimportants au moins deux jours parsemaine. S’adonner à encore plus d’ac-tivité physique entraîne plus de bien-faits pour la santé.

Vous trouverez notre livret de pro-grammation sur l’Intranet de la Garni -son Valcartier, sur notre nouvelle pageFacebook (Conditionnement physiqueet sports de la Garnison Valcartier), àla réception du Centre des sports ouauprès du personnel du condition-nement physique et sports des PSP.

Pour plus d’information sur les programmes de condition-nement et sports : 418 844-5000, poste 6534; de condition-nement physique adapté : 418 844-5000, poste 6905; desports militaires : 418 844-5000, postes 6535 et 5215.

PAR LE MAÎTRE DE 1RE CLASSE BILL SHERIDANNCSM Charlottetown

1. Qui a été le premier défenseur à gagner letrophée Conn Smythe?

2. En quelle année s’est jouée la première par tie de type « match des étoiles » dans la NFL?

3. Qu’avait de particulier Wayne Cashman lorsqu’ila pris sa retraite en 1983?

4. Gus Weyhing détient le record pour avoir faitquoi 277 fois?

5. Quel quart-arrière et quel receveur de passe ontréussi «The Catch» lors du match de champi-onnat de la NFC en 1981?

6. Quelle équipe de la NBA a déjà eu comme portd’attache Moline Illinois?

7. Quel partisan des Cubs était assis dans la sec-tion 4, rangée 8, siège 113?

8. Qui a cédé sa place à Roger Neilson durant lesdeux dernières parties de la saison 2002 pour luipermettre de terminer sa carrière d’entraîneuravec 1000 parties?

9. Qui a été le dernier entraîneur des Thrashersd’Atlanta?

10. Qui a été le dernier entraîneur des Flamesd’Atlanta?

11. Qui était «The Fridge»?12. Qui a écrit une autobiographie intitulée «Its not

about the bike»?13. Qui était le directeur général des Chiefs dans

«Slapshot»?14. Qu’est-ce que la ligne des cochons (»hog line»)?15. Quel magazine surnomme-t-on la «Bible du

baseball»?

16. Dans quelle série télévisée jouait-on au RockHockey?

17. Quel système d’éliminatoire a été mis en œuvreau baseball cette saison?

18. Quel lanceur spécialiste de la balle papillon aaccumulé le plus de victoires?

19. Norman Albert a été le premier à faire ceci en1923 à l’égard d’une partie de hockey.

20. Qui a été le premier joueur de la NBA à êtrenommé «joueur le plus utile à son équipe» en1956?

JEU-QUESTIONNAIRE Réponses : 1. Serge Savard

2. En 1938. Les Giants ont battu l’équipe d’étoiles.

3. Il était le dernier joueur à avoir joué dans uneéquipe des «Original Six» avant l’expansion de1967.

4. Atteindre des frappeurs.

5. Joe Montana a fait une passe à Dwight Clarkpour la victoire.

6. Les Tri City Blackhawks, anciennement lesBuffalo Bisons, et maintenant les Atlanta Hawks

7. Steve Bartman. Il a empêché Moises Alou d’at-traper une fausse balle pour effectuer un retrait.

8. Jacques Martin

9. Craig Ramsay

10. Al MacNeil

11. William Perry, joueur de ligne défensif desClemson Tigers et des Chicago Bears

12. Lance Armstrong

13. Joe McGrath, joué par Strother Martin

14. Les pierres doivent s’arrêter entre la ligne descochons («hog line») et la ligne arrière au curling.

15. «The Sporting News»

16. Fraggle Rock

17. Les équipes de division non qualifiées ayant lameilleure fiche s’affrontent maintenant dansune partie éliminatoire, ayant ainsi la chanced’obtenir une «Wild Card».

18. Phil Neikro

19. Décrire la partie en direct à la radio.

20. Bob Pettit

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