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JOURNAL COMMUNAL 29 e ÉDITION MARTIGNY – COMBE JUIN 2012 SOMMAIRE 1 Sommaire Bovine 2 Bovine, suite 3 L’enfant en souffrance 4 L’enfant en souffrance suite 5 La Persévérance, concert 6 Consortage du «Frigo» 7 Marche des fours à pain Il y a 100 ans 8 Photos-mystères 9 Fête de Plan-Cerisier Expo. Eliette Graf 10 Budgets communaux 11 Budgets, suite Plan de scolarité Messe à Saint-Jean 12 Mots croisés + solution du N° 28 Adresse utile Lucien Tête, 1921 Martigny-Croix 079 282 63 08 [email protected] BOVINE UN PAYSAGE IDYLLIQUE LE BONHOMME (2708m), EN FACE, LE GLACIER DU TRIENT ET CELUI DES GRANDS

Juin 2012 Layout 1 - Martigny-Combe comm… · sannes et bernoises, une heure plus haut les massifs gran-dioses du Mont-Blanc et du Trient et le panorama des 4000 qui nous entourent

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J O U R N A LC O M M U N A L

2 9 e É D I T I O N

M A R T I G N Y – C O M B E

J U I N 2 0 1 2

S O M M A I R E

1 SommaireBovine

2 Bovine, suite

3 L’enfant en souffrance

4 L’enfant en souffrancesuite

5 La Persévérance, concert

6 Consortage du «Frigo»

7 Marche des fours à painIl y a 100 ans

8 Photos-mystères

9 Fête de Plan-CerisierExpo. Eliette Graf

10 Budgets communaux

11 Budgets, suitePlan de scolaritéMesse à Saint-Jean

12 Mots croisés+ solution du N° 28

Adresse utileLucien Tête, 1921 Martigny-Croix

079 282 63 [email protected]

BOVINE UN PAYSAGE IDYLLIQUELE BONHOMME (2708m), EN FACE, LE GLACIER

DU TRIENT ET CELUI DES GRANDS

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La région de Bovine (avec celle de l’Arpille) est cer-tainement l’un des plus beaux points de vue du Bas-Valais. Et dire que certains natifs comberains n’y

ont jamais mis les pieds! Il n’est jamais trop tard pour yremédier.

On ne décrit pas Bovine, on s’y rend et on admire, le cielbleu, la plaine du Rhône jusqu’au Léman, les Alpes valai-sannes et bernoises, une heure plus haut les massifs gran-dioses du Mont-Blanc et du Trient et le panorama des 4000qui nous entourent. Plus subtils, l’anémone, la gentiane, lerhododendron, la soldanelle, l’arnica, le bouton d’or,… où

gambadent le chamois, le lièvre blanc et la marmotte. Unvrai régal pour le regard et l’esprit, une caresse de grati-tude au sublime et à la Providence.Depuis toujours, Bovine fut l’alpage privilégié des Combe-rains. Des siècles d’histoire et d’anecdotes, de luttes pourle sol, de l’évêque aux bourgeois puis aux consorts etc. Audébut des années 60, le consortage de Bovine compte 163fonds (en principe 1 par vache). Guidées par des projetstouristiques, les familles Desfayes et Roduit de Leytronachètent quasi tous les fonds. Aujourd’hui, l’hoirie de M.André Roduit, propriétaire principal, en possède 159, les 4autres appartiennent toujours à 3 propriétaires initiaux.Loué depuis 1994 par M. Gérard Rouiller, l’alpage accueillechaque été plus de 150 têtes de bétail, cette année, du 10juin au 15 septembre, ce sera 25 veaux de 6 mois, 35 génis-sons, 40 génisses et 50 vaches «taries» qui estiveront àBovine, dont le 95% de la race d’Hérens. Un immense trou-peau à contempler dans son élément naturel, à l’allure etau caractère en phase avec la montagne, avec une vraiereine d’un vrai fief, à l’abri de la récupération people, ducoca et du clinquant.

BOVINE SUITE

Située sur l’itinéraire du Tour du Mont-Blanc, la buvette de Bovine (1987m) satisfera tous vos souhaits d’intendance:boissons, roestis, fondues, tranches et autres mets du terroir servis avec le sourire par Nathalie et son équipe.

Une promenade enchanteresse pour petits et grands et l’occasion de redécouvrir notre région et ses merveilles.Itinéraires: La Forclaz-La Giéte (la Dzite)-Bovine: 1h1/2 à 2h00

Bovine-le Signal-le Bonhomme-Pointe- Ronde: 1h1/2 à 2h00Le Borgeaud-les Assets-Bovinette-Dessous- Bovinette-Dessus-Bovine (véhicules réservés aux ayants droit uniquement).Possibilité de coucher à Bovinette, ( s’adresser au bureau communal de Martigny-Combe) et à Bovine.

La Buvette de Bovine

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La causerie donnée par M. Philippe Theytaz, Dr ensciences de l’éducation, était destinée en premierchef aux parents d’élèves. Un sujet sérieux, traité

avec dignité, sans démagogie, bien au-dessus des on-dit etdes bla-bla stériles, avec uniquement l’enfant commethème central.

Suivie par les enseignants, une importante cohorte d’étu-diants de la Haute Ecole pédagogique et seulement une poi-gnée de parents, elle aurait mérité une plus large audienceencore tant le sujet est primordial et d’actualité pour tousles acteurs de l’éducation, en particulier les parentsd’élèves.Un certain nombre d’enfants (restreint, il faut en convenir)souffrent et cette souffrance se concrétise dans différentsregistres: somatique*, mental, apprentissages scolaires etcomportements. (*qui concerne le corps, nos cellules)Hier, dans la majorité des familles et dans bien des écoles,l’éducation se résumait au «domptage» et à l’inculcation,aujourd’hui, on la situe parfois entre dressage et surtoutsurprotection.Enfants-adultes. L’on peut valablement tirer un parallèleentre la souffrance de l’enfant et celle de l’adulte. L’onconstate que les enfants battus sont souvent rustres etbagarreurs, tandis que les enfants surprotégés, voire oua-tés, risquent la dérive vers l’égocentrisme, voire l’égoïsme,outrancier. Or, l’apprentissage de la liberté exclut que lesenfants ne deviennent le décalque du génie intuitif desparents ou la concrétisation de rêves ou d’ambitions mort-nés ou inachevés.A l’école, l’enfant souffre de difficultés relationnelles, d’ap-prentissage, d’adaptation.

A la maison, il souffre par rapport à l’école, aux autresmembres de la famille, à la séparation ou sur-occupationdes parents, à la désaffection de l’un d’eux et parfois à lamaltraitance. Cette affliction peut perdurer également dansles activités extrascolaires, clubs, sociétés,… ainsi quedans les cas d’orientation sexuelle différente.Manifestations. Cette souffrance se manifeste dediverses manières, sur le plan instrumental du dévelop-

pement cognitif et desacquisitions et surtoutsur le plan comporte-mental.La désobéissance, lagrossièreté, la violenceverbale ou physique, laparesse volontaire, lesinfractions au code dusavoir-vivre et du savoir-être ne sont jamais lesextériorisations d’un

tempérament fort, équilibré et naturel, mais démontrentau contraire la fragilité, la détresse et une panoplie debesoins inassouvis tels que la sécurité, l’affection, l’estimeet la réalisation de soi.

Comment faire? la grande question qui s’adressed’abord aux parents. Reconnaître la souffrance de l’enfant et ses manifesta-

tions. Analyser objectivement ses propres attitudes et les réac-

tions de parents. Etre à l’écoute Créer un équilibre entre la liberté de l’enfant et les exi-

gences de l’enfant. Il y a des limites à ne pas franchir.Un excès de lien, de valorisation peut entraîner la pertede confiance, l’insécurité, comme un excès de loi peutconduire à la perte d’autonomie, à l’enfermement et àla soumission.

La famille et l’école forment un tout, il importe que lesparents gagnent la confiance des enseignants et vice-versa: pour ce faire, Considérer les enseignants comme les professionnels de

l’école. Donner aux enseignants les informations qui leur per-

LA SOUFFRANCE DE L’ENFANT EN DIFFICULTÉS SCOLAIRES

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LA SOUFFRANCE DE L’ENFANT EN DIFFICULTÉS SCOLAIRES

mettent de mieux connaître votre enfant, pour qu’ilspuissent mieux le comprendre pour mieux l’aider àapprendre.

Soutenir les enseignants qui osent encore exiger des civi-lités, du savoir – vivre et des efforts dans l’acquisitiondes connaissances.

Lorsqu’il y a un problème Présenter calmement, avec sérénité, vos observations de

la situation problématique. Donner son point de vue n’empêche pas d’entendre et de

prendre en compte un autre point de vue. Partager et vérifier pourquoi il y a un problème. Définir en commun un projet de changement. S’entendre sur qui fait quoi: enfant, parents, enseignants. Retenir une date pour vérifier les résultats.

Ce qu’il y a de commun dans les attentes réciproquesIl y a le besoin de se rencontrer, de se respecter, de parlerde ses différences et de les accepter, de s’informer, de s’in-téresser et surtout de se faire confiance.

Ce que les enfants attendent des parents et de l’ensei-gnant Que les parents leur donnent le «bon exemple». Que les parents et l’enseignant s’entendent et soient en

bonnes relations. Qu’ils soient informés sur ce qui s’est passé dans l’en-

tretien entre ses parents et son enseignant. Qu’ils soient associés chaque fois que c’est possible et

utile.

Synthèse• Ecouter l’enfant dans sa souffrance et la reconnaître. • Croire aux ressources de l’enfant et lui faire confiance.• Maintenir le lien tout en aidant l’enfant à devenir auto-

nome.• L’accompagner et le valoriser.• Accorder le droit de se tromper.• Aimer et exiger sans tout permettre.• Accepter qu’il ne soit pas comme on voudrait qu’il soit.

Reconnaître et accueillir ce qu’il est pour qu’il devienne cequ’il doit devenir.

M. Philippe Theytazhttp://perso.netplus.ch/sensortir

(conf. résumée: L./T.)

En conclusion, il paraît pertinent de citer Mme Isabelle Chassot, conseillère d’Etat et directrice de l’Instructionpublique du canton de Fribourg.

«L’enseignant doit pouvoir appuyer son action pédagogique sur la confiance des parents et de la société. L’école esttrop souvent considérée comme un marché où chacun vient puiser le meilleur pour son enfant. Il s’agit de trouver lerapport qualité-prix le plus adéquat, les yeux rivés sur l’efficacité immédiate des savoirs acquis. Trop souvent, malgréles efforts de l’institution, l’enseignant n’a plus le sentiment d’être porté par la collectivité. L’école ne pourra retrou-ver sa sérénité sans l’ensemble de ses partenaires. Il s’agit d’une responsabilité collective qui concerne égalementchaque citoyen.»

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LA PERSÉVÉRANCE UN NOUVEAU DIRECTEUR

Bien fréquenté, comme d’habitude, ce concert annuel du3 mars dernier fut un peu à l’image du nouveau direc-teur, M. Johan Jacquemettaz, dégageant un univers

musical varié, inspiré notamment de musique celtique, latinoet des Balkans. Le nouveau maestro est originaire de Liddes,il débute au trombone à l’Union instrumentale de son village,puis s’intègre facilement dans différents ensembles, dont celui,prestigieux, de l’Orchestre de la Suisse romande. Il dirigerales fanfares de Bovernier et de Martigny-Bourg tout en s’ac-tivant au sein du groupe les Glen of Guinnes. Actuellement, iltient la baguette de la Persévérance de Martigny-Combe,l’Helvétia d’Ardon et de la fanfare de l’usine Alcan.

Notre fanfare compte aujourd’hui une quarantaine de mem-bres dont la moyenne d’âge se situe au-dessous de 30 ans.Cette année, 4 nouveaux membres sont venus grossir ses rangs:Mrs Skender, Chr. Mariéthoz, T. Roduit et A. Goy.La section Tambours compte 7 membres dirigés depuis 2 anspar un chevronné des percussions, M. Gex-Collet de La Fon-taine. Les prestations offertes ont bien mis en valeur leurs dis-positions et démontré qu’ils étaient entre de bonnes mains.Merci à tous les prestataires de cette soirée, sans oublierM. Samuel Saudan, vigneron-encaveur, qui a généreusementoffert le vin d’honneur en fin de soirée.

Section des tamboursDe g. à dr.: Romain Petoud, Simon Udriot, Kurly Joris,Julien Willeneger, Alexandre Pfister, Bastien Rebord etEmilien Roduit.

Les jubilaires entourés du directeur Johan Jacquemettaz et de la présidente Anne-Marie Rouiller. De g. à dr.: 5 ans: Sabrina Guex,Sandy Jacquemettaz, Steven Jacquemettaz, Jérémy Guex, Anita Pfiffner, 10 ans: Adeline Moret. En médaillon: M. Gex-Collet,responsable des tambours.

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50e ANNIVERSAIRE DU CONSORTAGE DU «FRIGORIFIQUE»

Qu’est-ce que c’est ? diront certains. Grâce à l’ini-tiative de Monsieur Eugène Moret, à qui nousrendons hommage, a été créé en 1962 le Consor-

tage du Frigorifique de Martigny-Croix.

Aujourd’hui discret et efficace, c’était à l’époque uneinnovation bienvenue pour toute la population et qui rendencore service à bon nombre de citoyens. C’est d’ailleursle seul consortage de ce genre qui subsiste encore dansla région. Le «Frigorifique» se trouve en face du caféGiroud à Martigny-Croix et, accessible 24 heures/24,abrite toujours 116 cases de 100 litres et 17 de 200litres.

Avant 1962, c’était la laiterie du village de La Croix oùles éleveurs apportaient leur lait pour y être vendu outransformé en beurre, fromage et sérac. A part la saisond’été où le bétail était dans les alpages, chaque jour del’année, matin et soir, les paysans venaient «couler»,c’est-à-dire apporter leur lait à la laiterie dans desbidons en bois (seillons) ou en métal. A la fin des années50, il me souvient qu’il y avait encore 11 propriétairesde bétail dans le seul village de La Croix.

Fondé à la fin du XIXe siècle, le consortage de la laite-rie de La Croix comprenait encore 44 fonds en 1962.Chaque consort en possédait initialement un nombre pro-portionnel à ses têtes de bétail. A la création du consor-tage, neuf fonds furent vendus à la nouvelle société, les35 restants formant dès lors l’ensemble du consortage.Les éleveurs restants adhérèrent à la société de laiteriedes Rappes, un service de ramassage du lait rationnel futorganisé. La fabrication se faisait aux Rappes et 2 pointsde vente furent créés, dont un à La Croix (bâtiment MmeE. Dorsaz, près de la Place).

Il est quasi certain que le bâtiment actuel était jusqu’aumilieu du XIXe une maison d’habitation. On y voit encoreà l’étage, une chambre basse avec son faux-plafond enruines et une cuisine, au sous-sol, un réduit et une bellecave. C’est dans cette chambre que la première fanfarecommunale connue, La Concordia, un nom bien idéalisteen regard des circonstances de ce temps-là, répétait sespartitions, une fois par semaine entre 1910 et 1920.

Le comité actuel du consortage, de g. à dr.Paul-André Giroud, président depuis 1988Jean-Marie Tête, caissier depuis 1980Lucien Tête, secrétaire depuis 1968

Aujourd’hui, le Consortage du Frigorifique est toujoursfonctionnel, les cases servent de compléments aux congé-lateurs privés. A ce jour, il reste 6 cases à louer à Fr. 50.–par année, le tarif de 1962 était de Fr. 40.–.Pour les intéressés:Pierre-Louis Giroud, tél. 027 722 42 50

1962

Merci à la présidente de la société de développementde Ravoire, Mme Suzanne Saudan, qui nous aaimablement communiqué le programme de la

39ème marche des fours à pain. La marche aura lieu les 4 et 5 août 2012. Cette annéeencore, 3 parcours sont proposés, 10, 20 et 30 km, avec desdénivellations respectives de 580m, 1240m et 1260m. Par-cours familial de 5 km, sans aucune difficulté et accessibi-lité aux enfants dès l’âge de 4 ans.Parcours sportif chronométré (contre la montre) de 30kmet 1240m de dénivellation.

Heures de départ: samedi et dimanche de 7h00 à 15h00 Fin des contrôles: samedi et dimanche à 17h00Inscriptions: 12Fr.- par personne, à verser au départ

(timbre IVV 2Fr50)Ravitaillement: à mi-parcours, aux postes de contrôle.Départs et arrivées au couvert de Ravoire. Restauration àtoute heure, à l’arrivée.

Une médaille en bronze àl’image de la Pierre duCorbi sera remise à tous lesparticipants qui termine-ront leur marche. Le pro-duit net de la marche estdestiné, en partie, à l’entre-tien des fours à pain. Possi-bilité d’acheter du pain cuitau four.Pour les collectionneurs:possibilité d’acheter lesmédailles de 1974 à 2012(collection complète).

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RAVOIRE 39e MARCHE DES FOURS À PAIN

Il y a 100 ans, sous la présidence de M. Antoine Mathey, quelques décisions importantes du Conseil prises en 1912et qui peuvent nous faire «sourire» aujourd’hui:

M. Giroud Alexandre du Chanton est nommé taupier communal au prix de 20 ct. par bête. L’engagement est àtitre d’essai pour 8 jours.

La demande de Mme M. L. tendant à obtenir une déclaration de pauvreté est refusée, vu qu’elle possède une mai-son à La Croix.

Le pupille J. Pierroz d’Honorine est placé chez le conseiller Gustave Guex durant le cours scolaire 1912/13, du1er décembre au 1er mai. Celui-ci s’engage à le loger, le nourrir, le vêtir et l’instruire.

Il est pris acte que C. A. du Borgeaud n’a plus son chien. Il est émis un bon de Fr. 20.– à titre de charité, en faveur de C. E. pour être pris en marchandises chez le boulan-

ger Pillet. La livraison sera surveillée au mieux, dans l’intérêt de la famille. Gardes des vignes: sont nommés: Gay-Crosier Edouard, Fr. 3,20 par jour et Jules Cretton, Fr. 3.–.

Mme Saudan-Petoud,prés. de la SD

31 juillet: Cortège aux lampions: départ: place de l’ancien hôtel à 21h00, jusqu’auFeylet. Feu d’artifice organisé par la commune à 22h00.Animation au Feylet.15 septembre: fabrication du pain au four Sur le Mont, vente du pain dès 11h15.13 octobre: fabrication du pain au four du Demé.

Renseignements:Tél. 079 776 24 04 ou 079 611 06 99

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QUELLE RUE QUELLE MAISON?

Le fond de La Croix (dit autrefois abusivement rue des Juifs, aujourd’hui rue des Mazots) au débouché de la rue des Mazotsactuelle sur la route du Gd-St-Bernard-Forclaz. Début de la construction de la route de la Forclaz en 1954, du Gd-St-Bernarden 1963/64.

Maison actuelle, angle ruedes Mazots-rte du Gd-St-Bernard. Même maisonphotographiée en 1953 –éd.n° 28

Rue des Mazotsactuelle (à dr. Parcde la Ported’Octodure). Mêmerue en 1953 (à dr.(granges) futurePorte d’Octodure)La fontaine étaitentre la voiturejaune et la blanche

Pour sa 5e édition, la Commission bourgeoisiale a enregistré plus de 50 inscriptions. Contre toute attente, la pluie trop insis-tante, samedi matin, n’a pas permis à ces bénévoles de visiter les 7 sites prévus au programme. Quelques volontaires qui avaientrepéré des objets à évacuer ont procédé à leur récolte, un grand merci pour leur ténacité et efficacité.Les regrets face à la météo perturbatrice ont été vite oubliés, tous les participants se sont retrouvés en fin de matinée au Cou-vert de Ravoire pour partager un repas dans une ambiance très conviviale qui laissera un agréable souvenir à chacun.Dans son message de remerciements, la Présidente de la Commission bourgeoisiale, Mme Lilia Saudan, a indiqué que cette actionsera certainement inscrite au calendrier 2013.

ACTION DE NETTOYAGE Bourgeoisie de Martigny-Combe samedi 5 mai 2012

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MUSÉE DE PLAN-CERISIER EXPOSITION SAMEDI 7 JUILLET À 16H, VERNISSAGE

Exposition de Mme Eliette Grafouverte jusqu’au 15 septembre 2012Née sur la commune du Noirmont dansles Franches-Montagnes, Mme ElietteGraf est d’abord enseignante, puis sui-vra une formation artistique sérieuse.Un jour, en voyage à Saint-Malo avecsa famille, elle est fascinée par la mer,les vagues houleuses et les variantesmulticolores des ciels marins. Instan-tanément, elle saisit ses pinceaux etd’emblée ses œuvres «accrochent» etinvitent à la rêverie et au dialogue.Puis tout s’enchaîne rapidement.Jusqu’à aujourd’hui, elle a participé àde nombreuses expositions collectiveset présenté plus de 40 expositions indi-viduelles.

Après avoir connu Gonfaron, Saint-Maur-des - Fossés, le «Rosengarten» àSteckborn, le Centre international ArtEmotions à Collonges-sous-Salèves,Washington, Bruxelles, Paris, TheContemporary Fine Art Galerie deMichael Rubin aux USA etc. ellerevient sur ses pas et expose à Plan-Cerisier. Et oui!

Avec les années, la peinture d’ElietteGraf s’est enrichie de techniques diffé-rentes. Peinture à l’huile et couleurspastels ont acquis droit de cité, sansoublier le travail considérable d’illus-tration qu’ Eliette a fourni au point detransformer son atelier en maisond’édition ouverte aux poètes, peintreset écrivains, s’adressant à un publicavide de découvrir les arts contempo-rains.www.ateliette.ch

Aquarelle: oiseau sacré du printemps

Huile: flânerie

Déjà en 1987, un critique d’art pari-sien reconnu écrivait: «Mme Graf atrouvé des bleus bien à elle pourpeindre des marines, des jaunesécarlates pour faire jaillir la lumière,des décadrages pour faire ressentirla pénibilité de la vie jurassienne enhiver, les oiseaux pour éclairer la vie,des silhouettes esquissées pour sug-gérer les solitudes.» Et les compli-ments et reconnaissances se sontsuccédé.

PLAN-CERISIER EN FÊTE le samedi 25 août 2012 dès 11 heures

Cette année encore, le programme proposé très varié devrait attirer la foule.

2 sociétés folkloriques: La Comberintze et la Soldanelle de Moudon4 groupes musicaux: La chorale de Sorens, le Männerchor de Spiez, le Groupe musical

la Tampone et le Boucan’Hut Jazz.Des artistes: Mme Laurence Bender, artiste-peintre et M. Patrick Althaus, sculpteur.Stands divers: Epicerie fine «Christine», potée de Plan-Cerisier etc.

La randonnée gourmande, toujours prisée, devrait encore cette année profiter à une œuvre de bienfaisance. Le programmedétaillé sera envoyé à tous les ménages et diffusé par la presse.

Réservez déjà cette date, vous ne serez pas déçus-es.

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ASSEMBLÉES PRIMAIRES: BUDGETS 2012

Budget de la Municipalité

Le budget 2012 a été établi sur la base d’un coefficient d’im-pôt de 1, d’un taux d’indexation à 160%, de la taxe person-nelle à CHF 15. (comme en 2011)Avec des dépenses s’élevant à CHF 8'407’500 et des recettesà CHF 8'415’500, le budget 2012 boucle sur un excédent derevenus de CHF 8’000.Avant la prise en compte des amortissements ordinaires pourun montant de CHF 330’500, le compte de fonctionnementdégage une marge d’autofinancement de CHF 338’500. La diminution importante de la marge d’autofinancement deCHF 4.2 mios pour 2011 à CHF 338'500 pour 2012 est dueprincipalement aux recettes extraordinaires liées au retour deconcessions CFF de CHF 3.9 mios enregistrées en 2011.Cette baisse de marge d’autofinancement doit être nuancéecar une grande incertitude est liée à l’entrée en vigueur de lanouvelle RPT II (réforme de la péréquation financière et dela répartition des tâches entre la Confédération, le canton etles communes). En effet, tous les chiffres ne sont pas encoreconnus et, selon un premier calcul, l’influence de la nouvellerépartition des tâches entre Canton et Communes se monte àenviron CHF 220'000 de charges supplémentaires pour laCommune de Martigny-Combe dans le budget 2012 présenté.

Le volume des investissements nets prévus s’élève à CHF2'730'500 dont CHF 633'000 d’investissements reportés de2011.Le «trafic», la «protection et l’aménagement-environnement»restent les deux dicastères les plus importants en terme d’in-vestissement. Les dépenses représentent au total plus de CHF2'170'000 dont CHF 625’000 de report d’investissement net 2011 non réa-lisé.L’autre poste important des investissements 2012 correspondà l’achat de pavillons et de mobiliers pour l’école de Ravoireainsi qu’un bus pour le transport scolaire pour un montanttotal de CHF 290'000.Le solde des investissements est attribué à l’aménagementdes bâtiments communaux, à l’amélioration des équipementsdes abris PC, de la crèche Scoubidou, au rachat du hangarforestier à la Bourgeoisie et divers autres projets pourCHF 123’500 ainsi que l’amélioration du téléréseau pourCHF 170’000.

Budget du Service électrique

Avec des dépenses de CHF 2'456’500 et des recettes deCHF 2'514’500, le budget 2012 boucle sur un excédentde revenus de CHF 58’000.Avant la prise en compte des amortissements ordinairesde 10%, soit CHF 299'000, le budget de fonctionnementdégage une marge d’autofinancement de CHF 357'000.

Le volume des investissements nets prévus s’élève à CHF525’000 dont CHF 300'000 pour la mise en souterraindu réseau moyenne tension et CHF 225’000 pour la miseen souterrain et l’amélioration des réseaux basses ten-sions.Le budget 2012 prévoit une diminution du prix du kWhpar rapport à celui de 2011. En effet, le Service électriquepeut répercuter la diminution des coûts liés à l’achatd’énergie et des services-systèmes sur la facture finale,pour un total de CHF 0.1832/kWh en 2011 à CHF0.1692/kWh pour 2012, soit une diminution de 7.6%.Les tarifs 2012 ont été épurés. Ainsi, les rabais pris encharge par la Municipalité pour les tarifs 2009, 2010 et2011 n’ont pas été reconduits. Le prix de l’abonnementreste identique, mais celui de la fourniture d’énergie dimi-nue à8,5 cts/kWh. Le prix du timbre d’acheminement passe à7.51 cts/kWh, les services-systèmes à 0.46 ct/kWh et lemontant total perçu pour les taxes fédérales reste iden-tique à 0.45 ct/kWh.

Assemblée primaire bourgeoisiale, budget.

Avec des dépenses de CHF 167'400 et des recettes deCHF 149'900, le budget 2012 de la Bourgeoisie prévoitun excédent de charges de CHF 17’500.Cet excédent de charges est dû principalement à la dimi-nution des recettes concernant le prêt de la Bourgeoisieà la Municipalité et à l’amortissement du bâtiment d’al-page de Bovinette.Au niveau des investissements, le budget 2012 enregistredes dépenses nettes d’investissement pour CHF 117'500.

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BUDGETS 2012 SUITE

ECOLES – PLAN DE SCOLARITE 2012/2013

Le budget 2012 de la bourgeoisie est marqué par l’adhésionau Centre de triage forestier Martigny-Vallée du Trient pourun montant de CHF 143'500 et la vente du couvert du triageforestier de la bourgeoisie de My-Combe à la Municipalité deMartigny-Combe pour CHF 46'000.Pour rappel, la Bourgeoisie va continuer de subventionner lavente de bois à ses bourgeois domiciliés, à raison de CHF 20pour les quatre 1ers stères.

Début de l’année scolaire lundi 20 août matin à 8h30Fin de l’année scolaire vendredi 21 juin soir

Congés automne mardi 23 octobre 2012 le soir aulundi 5 novembre 2012 le matin

Noël vendredi 21 décembre 2012 le soir, aulundi 7 janvier 2013 le matin

Carnaval vendredi 8 février 2013 le soir aulundi 18 février 2013 le matin

Pâques jeudi 28 mars 2013 le soir, aulundi 8 avril 2013 le matin

Fêtes officielles St-Joseph mardi 19 mars 2013Ascension mercredi 8 mai 2013 à midi

au lundi 13 mai le matinPentecôte lundi 20 mai 2013Fête-Dieu jeudi 30 mai 2013

Les renseignements concernant les études et la répartition des classes seront communiquéspar la Commission scolaire à la rentrée.

MESSE À LA CHAPELLE SAINT-JEAN

Au Pied-du-Château, le dimanche 24 juin à 19h00. Après lamesse: concert de la fanfare sur la place. Apéro et collationofferts par les habitants du hameau et la commune.

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CIMS Martigny – Tirage: 1150 exemplairesComité de rédaction: Marie-Noëlle Bovey (déléguée du Conseil), Pascal Giroud (secrétaire communal), Lucien Tête (rédacteur)

Responsable: Conseil communal de Martigny-Combe

CONCOURS N° 29

Envoyez la grille de mots croisés (découpée, photocopiée ou recopiée) sur carte postale ou sous enveloppe, avant le 8 août 2012.Adresse: Mots croisés, journal communal, Mme Marie-Noëlle Bovey, 1932 Le Borgeaud.Les gagnants seront tirés au sort en séance de Conseil.

SOLUTIONS DU CONCOURS N° 28

MOTS CROISÉS COMBERAINS N° 29 – JUIN 2012

HORIZONTAL1.Tristesse. 2. Irréguliers. L’eau du poète. 3. Indica-tion routière. Chiffres latins. Poss. 4. Ancien nom d’unprédateur. Fruits délicieux. 5. N’est pas français. 6.Gratin provençal. Roi de Juda. Poss. 7. Faux marbre.Alarme. 8. Drame nippon. Vieilles carnes. 9. Quantité.Signal routier. 10. Paquet. Ile. 11. Contractée. Teinter.12. Champion. Suggérés.

VERTICAL1.Instrument de musique. Bel emplumé. 2. Adversaire.Pron. Verbe conjugué.3. Article. Il empoisonnait lesflèches. Au milieu du colin. 4. Opéré. Possèdent. Sud.5. Dupes. De la Ville. 6. Peaux. Iliens. 7. Chien sanstête. Cri. Poss. 8. Buts. Chevalier énigmatique. 9.Vache. Gens de l’Est. Symbole chimique. 10. Greffée.Direction. Note. 11. Ils roulent. A moitié. Dès main-tenant. 12. Sitôt. Trotter.

GAGNANTS DU N° 28

1er prix: Mme Patricia Cheseaux, Ravoire2e prix: Mme Mirella Pierroz, Martigny-Croix3e prix: M. Pierre Derivaz, Martigny-Croix

Adresse utileLucien Tête – 1921 Martigny-Croix

[email protected] – 079 282 63 08

L’une ou l’autre pensée toujours d’actualité

Quand on s’évertue à salir les autres, c’est qu’on désire qu’ilsnous ressemblent. (Ch. P.)

Le meilleur moyen de tenir parole est de ne jamais la donner.(Bonaparte)

Avec une télécommande et une chasse d’eau, l’homme est unanimal sédentaire qui vit heureux. (B. Pivot)

Quand je dis que ma richesse est intérieure, je veux direque mon argent est dans un coffre. (P. Geluck)