Là-haut sur la montagne… - market.ch...« Nous travaillons sur la conception de ces chalets depuis 2008, période à laquelle la demande pour des projets dits « res-pectueux de

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Quand on pense aux clichés qui affublent la Suisse, une image nous vient souvent en tête : celle d’une prai-rie verdoyante au milieu de cimes enneigées avec, en son centre, un troupeau de vaches et un cha-

let. Une vision un peu trop simpliste, car la Suisse, multilingue et multiculturelle, a mille fois plus à offrir que du chocolat, des montres et des banques où déposer son argent. Néanmoins, le paysage montagnard en fait bien partie et certains sites sont d’une beauté à couper le souffle. Les habitants des cimes l’ont bien compris et ont su en profiter en y construisant des villages en plein cœur de ces écrins naturels. Des chalets en bois ont fleuri et, avec les années, ils sont devenus de véritables trésors du patrimoine helvétique, témoins d’une époque et d’une culture. Aujourd’hui, la moderni-sation progressant, on a vu certains se transformer en résidences de luxe où rien n’est trop beau pour

satisfaire le confort des habitants. Sauna, piscine, bain à remous, salle de cinéma et de sport, ma-tériel high-tech, rien ne semble impossible. Les acheteurs du monde entier s’arrachent les terrains souvent à prix d’or, allant jusqu’à 50’000 francs le mètre carré ! Demeure principale pour certains, résidence secondaire pour d’autres, les chalets représentent, pour de nombreux villages alpins et stations de ski, la pierre angulaire de leur éco-nomie. Des célébrités du monde entier y élisent domicile, à l’image de Johnny Hallyday ou du mil-liardaire Richard Branson.

La « tendance » du moment étant aussi à des préoccupations environnementales, nombre des nouvelles habitations ont choisi d’intégrer une di-mension écologique à leur construction et à leur consommation énergétique. C’est le cas à Gryon, dans le canton de Vaud, où cinq résidences ver-ront le jour prochainement, toutes répondant aux critères Minergie ®.

Mais un séjour à la montagne peut également se faire dans des hébergements tout à fait insolites comme par exemple dans un véritable igloo fait de neige et de glace mais disposant de tout le confort nécessaire. Traditionnel ou moderne, petit ou grand, rustique ou technologique, il y en a pour tous les goûts.

Là-haut sur la

montagne… Sabrina Ammann

99novembre 2010 | market.ch

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Qui dit construction en montagne dit souvent chalet, et qui dit chalet, dit bois. Matériau na-turel par excellence, en plus d’être un très bon isolant thermique et phonique, il est égale-ment facilement disponible, recyclable, résis-tant et durable. Populaire, il l’est encore plus grâce au boom de la construction de maisons respectant l’environnement. Minergie®, bio,

BBC (bâtiment basse consommation), le nombre de labels certi-fiant le caractère écologique des édifices explose. En montagne, les chalets deviennent eux aussi plus respectueux, tout en conser-vant leur aspect traditionnel. On les équipe de panneaux solaires, de pompes à chaleur, ou encore de collecteurs d’eau de pluie et on les isole avec des matériaux authentiques. Construits parfois dans des endroits isolés et non raccordés aux réseaux d’approvisionne-ment en eau et électricité, les nouvelles technologies en matière de production et d’utilisation des énergies naturelles leur confè-rent une liberté et une autonomie que d’autres constructions plus classiques ne pourraient avoir.

Certains, à l’exemple de l’entreprise de construction EMEG, ont choisi de favoriser ce créneau encore peu répandu. A Gryon, non loin de Villars-sur-Ollon dans le canton de Vaud, cinq chalets baptisés « Terra Nostra » et réunissant 55 appartements de standing verront le jour courant 2012. Construits selon le label Minergie®, ils ont été pensés en intégrant autant les habitants et leur bien-être que la nature et le développement durable. L’entreprise EMEG dé-veloppe en interne près de 70% de son chiffre d’affaires en produits Minergie®.

Christine Vergoin, directrice générale, nous explique la volonté de l’entreprise de s’associer à ce label :

« Nous travaillons sur la conception de ces chalets depuis 2008, période à laquelle la demande pour des projets dits « res-pectueux de l’environnement » était grandissante. La prise de conscience écologique de la société s’est répercutée sur le mar-ché de l’immobilier et de la construction, avec de nouveaux clients souhaitant mettre leur pierre à l’édifice en choisissant d’acquérir des produits à faible impact écologique. Cela leur permet de participer au mouvement tout en diminuant consi-dérablement leurs charges. De plus, dans le secteur du logement locatif, les principaux clients, tels que les investisseurs privés ou les caisses de pension, ne souhaitent investir que dans des projets respectant des normes écologiques semblables. Du fait de notre expérience en la matière, et d’un point de vue commer-

cial, aucun projet de ce type n’était proposé sur le marché en question, il nous paraissait donc incontournable d’en proposer un répondant aux critères Minergie ®. »

Vous certifiez sur votre site l’utilisation exclusive de matériaux naturels et recyclables. Est-ce une technique que vous avez tou-jours employée ou avez-vous développé ce créneau avec les pré-occupations environnementales grandissantes?

Depuis 1998, l’entreprise EMEG s’est toujours appliquée à utili-ser des matériaux propices au développement durable comme le béton cellulaire et le bois ou en suggérant des labels écologiques pour ses constructions. Nous avons également pour habitude de proposer aux communes faisant appel à nos services d’intégrer un système de chauffage à distance, laissant la possibilité d’y raccorder les bâtiments existants ou futurs, et ayant pour effet de minimiser la consommation et les coûts énergétiques. Certifier que nos construc-tions n’utilisent que des produit 100% recyclables serait un peu uto-pique, toutefois nous nous efforçons de recourir à des produits na-turels avant-gardistes et le premier réflexe pour aller dans ce sens est avant tout de mandater des entreprises régionales. Néanmoins, les exigences de ce label ont évolué, engendrant des répercutions im-portantes sur le coût des constructions et logiquement sur les prix de vente. Mais, nous nous devons de proposer des produits adaptés aux besoins et aux demandes du marché.

En harmonie avEc La naturE

© EMEG



Gstaad, Verbier, Crans-Montana, autant de noms qui évoquent l’univers de la montagne, du luxe et des cé-lébrités. Avec ses nombreuses stars internationales et ses enseignes pres-tigieuses (Cartier, Hermès, Ralph Lauren, Rolex pour

n’en citer que quelques-unes) Gstaad est sans doute l’une des plus huppées. Non loin de là, dans la vallée voisine, à Crans-Montana, se trouve un des chalets les plus chers des Alpes, l’Eden des Neiges, dont le prix au mètre carré oscille entre 22’000 et 30’000 francs. Ici aussi les person-nalités sont légions, à l’image de Sylvie Vartan, Alain Delon ou encore Roger Moore. Dans un décor comme celui-là, il n’est pas étonnant de trouver des chalets riva-lisant de beauté et de prestige. L’aspect rustique de l’ex-térieur n’est qu’une façade car, lorsqu’on pénètre à l’inté-rieur, on est saisi par le calme, la beauté et la modernité des lieux.

Situées au cœur du village ou au milieu des pistes, ces enclaves de luxe possèdent tout le confort nécessaire. Rien n’est interdit à l’instar des salles de sport et de ciné-ma, ou encore des piscines intérieures, saunas et jacuzzis. Les services d’un cuisinier privé sont également possibles dans certains chalets ainsi que la mise à disposition de personnel de maison.

La technologie au service du confortTout ce confort peut être complété par l’installation de

domotique ultramoderne (ensemble des techniques de l’électronique, de l’informatique et des télécommunica-tions utilisées dans les domiciles et ayant comme but de réduire au maximum l’intervention d’une personne dans des tâches programmables). Ecrans de télévision cachés derrière des tableaux, dans les miroirs ou dans la douche, haut-parleurs dissimulés dans les boiseries de toutes les pièces, vitres fumées selon l’envie, régulateur de tempé-rature relié à la station météo, tout semble possible pour maximiser le bien-être des habitants tout en minimisant leur consommation d’énergie et en garantissant leur sé-curité. A Gstaad, la gestion centralisée et à distance de tous les équipements électroniques d’un chalet, ainsi que le matériel, a coûté un demi-million de francs à son pro-priétaire. A Grimentz, dans le Val d’Anniviers, outre une construction respectant les critères Minergie®, un chalet a été entièrement pourvu en domotique dernier cri, pi-lotable à distance par simple connexion Internet. Il est doté d’appareils permettant de contrôler le chauffage, les lumières, les stores ou la sécurité générale des lieux, ainsi que de caméras assurant la surveillance des extérieurs. Un système spécial à cristaux liquides a même été installé

luxe, calme et volupté

© Rieder Architektur


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sur certaines fenêtres afin de pouvoir modi-fier leur pola-rité et les rendre opaques ou transparentes.

L’immobilier en temps de criseMalgré un contexte de tourmente économique mondiale, les

stations de montagne suisses semblent en être victimes dans une moindre mesure. Denis Burrus, fondateur de l’agence Burrus & Partners située à Gstaad et spécialisée dans l’immobilier de luxe l’af-firme : « Certes, il y a eu une nette baisse des ventes dans les objets chers, mais depuis quelques mois le marché est plus animé et de nouveaux acheteurs viennent. » Nombre d’entre eux proviennent de Grande-Bretagne, de Russie et d’Europe centrale mais depuis peu, Denis Burrus constate l’arrivée d’acheteurs des pays de l’Est et de l’Inde. Attirés par la qualité de vie élevée et le niveau de service à disposition, ils le sont aussi par la multitude d’écoles prestigieuses présentes sur le sol helvétique, à l’exemple de l’Ecole hôtelière de Lausanne, ou encore des collèges privés de Beau Soleil à Villars-sur-Ollon, de St-Georges à Montreux et à Neuchâtel, et du Rosey à Gs-taad et à Rolle. Ce qui a surtout changé avec la crise est la façon dont les clients achètent.

« Les achats, surtout ceux représentant plusieurs millions de francs, se font de manière beaucoup plus réfléchie et prennent plus

de temps. Il en résulte aussi que les acquisitions suite à un coup de cœur sont plus exception-nelles », explique Denis Burrus. Mais l’immobi-lier de luxe a, selon lui, encore de beaux jours à venir. « La clientèle reste bien présente malgré le fait qu’il s’agisse, dans le cas des Suisses, plus de successions que de nou-veaux achats. »

Une vingtaine de propriétés sont actuel-lement listées chez Burrus&Partners, avec des prix de vente allant de 6 millions de francs pour un appartement de 200 m2, à plus de 30 millions pour un chalet entier, ce qui représente un prix au mètre carré de 22’000 à 52’000 francs.

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rieder architekturLe bureau Rieder Architektur, basé à Saanen non loin de Gstaad, a

fondé sa réputation sur un travail individualisé et de qualité tout en portant une attention particulière au respect de l’architecture et des matériaux authentiques. Depuis plus de 20 ans, l’utilisation de la pierre naturelle et du bois ancien, travaillés de façon traditionnelle ou mo-derne, lui permettent de créer une ambiance unique.

Pour Max Rieder, « la qualité est une règle absolue ». Lumière, es-paces extérieurs, dimensions généreuses et installations raffinées sont autant d’aspects auxquels il attache une importance toute particulière.

A propos des possibles effets de la crise sur le marché de l’immobilier de luxe, il se veut rassurant : « La valeur des biens y est préservée, grâce au cadre incomparable de la région, à sa réputation et à son ouverture internationale. Les objets de standing sont toujours recherchés, et plus particulièrement encore lorsqu’ils sont situés au Saanenland. »

www.rieder-architektur.ch






Si vous aimez sortir des sentiers battus, venez profiter d’un séjour inou-bliable dans un véritable igloo, fait de neige et de glace, en plein coeur des pistes. Répartis entre cinq sites en Suisse, et ouverts de fin décembre à avril, Iglu Dorf propose à ses visiteurs une nuit dans un igloo naturel, mais avec tout le confort d’une chambre classique (équipement électro-nique excepté bien sûr !). Il existe même une suite romantique équipée d’un jacuzzi !

Conçus pour des groupes comme pour des familles ou des couples, ces igloos peuvent accueillir des soirées comme des mariages ou des réu-nions de travail, le tout dans un cadre absolument unique. Les différents sites possèdent également chacun leur restaurant, où l’on peut déguster une fondue traditionnelle, ainsi qu’un bar lounge. De plus, diverses offres d’activités sont organisées dans les environs telles que des balades en ra-quettes et une initiation à la construction d’un igloo.

Fort de son succès, le concept, né en 1996, s’est depuis exporté en Allemagne et dans la principauté d’Andorre. En 2007, Iglu Dorf a reçu le Swiss Economic Award, décerné à une entreprise jeune, dans la ca-tégorie de « service », pour sa performance entrepreneuriale.

Informations et réservations : www.iglu-dorf.com

la montagne insolite

Iglu Dorf dans le monde des esquimaux


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En plein cœur de Genève, non loin des hôtels cinq étoiles Président Wilson et Kempinski, se dressera bientôt un immeuble résidentiel alliant prestige, sécurité et services.

Livrable courant 2012, le 1.Gevray, du nom de la rue, sera constitué de 25 appartements de très haut stan-ding, allant de 80 m2 à 470 m2. Lake Property Deve-lopment s’est associé à des bureaux d’architectes et de design de renommée internationale pour sa concep-tion : JSK International (Aéroport de Zurich, Al Zubara Tower, Doha, Qatar), Lissoni Associati (Hotel Monaco&Grand Canal, Venise) et BMS Architecture

(Stade de la Praille, Genève). Répartis sur huit étages, les différents appartements, accessibles avec un

ascenseur privatif, pourront également profiter d’un service de concierge-

rie 24h/24 et 7j/7, un concept totalement inédit à Genève. La sécurité sera garantie par des caméras de surveillance placées dans les espaces partagés, comme le parking, le hall d’entrée et les jardins extérieurs.

Autre innovation majeure : chaque futur propriétaire sera libre de décider de l’agencement des pièces de son appartement et de son de-

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Les premières statistiques du nouveau Programme Bâtiments de la Confédération et des cantons ont été publiées récemment. Les résultats sont plus qu’encourageants, avec pas moins de 14’000 de-mandes déposées en six mois, de janvier à juin 2010, pour un montant total de quelque 123 mil-lions de francs. Les propriétaires immobiliers ma-nifestent donc un vif intérêt pour l’assainissement

énergétique de leur bien, qui leur permet de profiter à long terme de dépenses énergétiques réduites, tout en apportant une contribu-tion importante à la protection du climat. Pendant les dix ans que doit durer le programme, 133 millions de francs seront disponibles chaque année pour l’assainissement de l’enveloppe de bâtiments. Pour l’heure, les différents centres de traitement ont vérifié et ap-prouvé environ 7’500 demandes, pour un montant total de 61 mil-

lions de francs. Mais les subventions versées à ce jour, de l’ordre de 430’000 francs, ne concernent que 152 demandes. Cela s’ex-plique par le fait qu’un projet de construction ne se réalise pas du jour au lendemain. Une fois l’accord obtenu, les maîtres d’ouvrage disposent d’ailleurs d’un délai de deux ans pour la mise en œuvre des mesures d’assainissement. Les subventions sont donc rarement versées immédiatement et les requérants utilisent ce délai pour planifier soigneusement leur projet. Le montant moyen des subventions versées s’élève actuellement à 2’824 francs par projet, soit un chiffre nettement inférieur à celui des demandes en cours, qui est de quelque 8’800 francs. Quant aux demandes approuvées, elles s’élèvent en moyenne à 8’156 francs. L’explication est simple : les petits projets (rem-placement de fenêtres par exemple) sont réalisables à bref dé-lai, contrairement aux assainissements de grande envergure.

Beau succès pour le ProgrammE BâtimEnts !

rue gevray n°1,une adresse de PrEstigE

Intérieur de l’un des appartements décoré selon la ligne « pure ».


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sign intérieur selon trois lignes au choix : « pure », qui verra une domi-nance de tons blancs ; « contemporaine », avec l’utilisation d’un bois clair ; ou « coloniale », caractérisée par un bois plus foncé. En addition, et selon la demande, un système de domotique entièrement pilotable par Internet pourra être installé, permettant de contrôler à distance l’allumage des lumières, du chauffage ainsi que des différents équipe-ments électroniques. Robert Alderton, ingénieur et développeur, l’af-firme : « On pourra même enregistrer son émission préférée à la télé-vision par un simple clic, peu importe que l’on soit à Hong-Kong ou

à New York ! » Mais l’apparence extérieure du bâtiment est également très importante. Les nombreuses grandes baies vitrées assureront aux habitants une luminosité optimale à tout moment de la journée, tout en leur permet-tant de la contrôler grâce à des rideaux métal-liques modulables situés à l’extérieur.

La volonté de construire un immeuble res-pectueux de l’environnement se ressent au tra-vers de l’utilisation de la géothermie, couvrant

70% des besoins en chauffage et électricité, et de l’énergie solaire, avec des panneaux répartis sur 130 m2 de toiture.

A un jet de pierre de la gare et du lac, distant de 15 minutes de l’aéroport international et dans un quartier vivant et en plein essor, l’adresse 1.Gevray deviendra bientôt une référence dans l’immobilier haut de gamme à Genève.

www.1gevray.com

Sabrina Ammann

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Les jardins extérieurs.

Hall d’entrée avec service de conciergerie 24h/24.

Le nombre de demandes présentées ac-tuellement est certes supérieur et le montant moyen des subventions allouées est inférieur aux attentes, mais cela n’aura aucune inci-dence sur le programme. De fait, en raison du délai de réalisation de deux ans, il faut s’attendre à ce que seule une partie des sub-ventions accordées soit réellement versée en 2010. D’un autre côté, si la demande s’est avérée très forte au début du programme, une légère tendance à la baisse s’est ensuite dessinée. Quoi qu’il en soit, même si les 133 millions de francs devaient au final être dé-passés en 2010, cela ne poserait pas de pro-blème, puisque le Programme Bâtiments est pluriannuel, les demandes peuvent ainsi être reportées à l’année suivante.

Olivier RauSecrétaire général de l’Union suisse des profes-sionnels de l’immobilier Vaud (USPI Vaud)

les deux parties qui composent le programme Bâtiments :

– Une partie commune, qui subventionne, dans toute la Suisse, des mesures por-tant sur l’enveloppe des bâtiments. Dans ce cadre, la Confédération met à disposition 133 millions de francs par an, issus de la taxe sur le CO

2 prélevée sur les carburants.

– Des programmes supplémentaires spécifiques à chaque canton, qui encoura-gent le recours aux énergies renouvelables, la récupération de chaleur et l’utilisation de composants domotiques. La Confédération met ici 67 millions de francs à dispo-sition par an, issus également de la taxe sur le CO

2. Les cantons complètent cela par

une contribution au moins équivalente.

Pendant dix ans, un total de quelque 280 à 300 millions de francs pourra être investi chaque année dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables.

Que la lumière soit !

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Documents

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