LA LETTRE A L’ILLUSION

8/14/2019 LA LETTRE A LILLUSION

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LA LETTRE A LILLUSION

Tes yeux flous me questionnent sans envies de rponses.

Je repose mon attention, sans un geste, et sans prononcer, tout ce qu il me reste dire.

Ta silhouette se reprend, ton regard se dtourne, avec apparemment, l Image de quelqu un d autre qui penser, pour te sentir autre.

Dans ta fuite en abandon , tes non dits s apparentent tes rponses ;

Celles que j aperois pour tellement !

Avec toutes ces belles phrases ;

Celles que l on vante comme des souvenirs.

Comment les prononcer sans les ressentir ?

Peut-tre parce que ces mots : ne sont plus que des mots qui s prennent des reproches pesant sur nos ranc urs !

Voici toute notre clart, habitue reprendre et relever, pour prtexter nosabsences : avec notre mfiance

Ainsi, le pass s amoncelle dans de ritournelles Obsessions, dsencombr de la raison d aimer vraiment.

Nos voies de peines ont creus leur cul-de-sac, avec des jurements raccourcis, comme ;

Avec toi, tout est si important ! -

Et maintenant ?

L Autre ! Cet unique rapport ! Si transport vers ses Abmes de sur Bonheur, reflte son indiffrence, jusque dans ses mensonges.

Ensuite ;

En bons Camardes, nous nous racontons de nouveaux les mmes choses, sur un Ton plus pronateur : Comment vas-tu ?

- partir de cela, commence l Exil !

Le Mieux, Ennemi jurant, peut nous laisser las.

Alors, autant faire pire !

Surtout avec cette prochaine marque de tendresse, attendue par un pied si ferme,pour assister la naissance du sentiment sparateur de l Union, et admirer une exaltation que nos membres aboient.


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Qui, joues d avance, iront choir dans d videntes sductions.

C est encore un tour de tes principes, dans la zone caractrise de ton

volution !

Ainsi, tu te targues avant d avancer.

Tu contre dis ton inquitude, avec ton nouveau faux attachement.

Celui-ci, comme tout Marcage : n entremet pas que des Transformations !

Biens d autres comme toi ont eu tendance, y btir leur dpotoir ;

En attendant que leur Mpris se terrasse lui-mme.

Fires bestioles !

Les confusions n ont jamais permis qui que ce soit, de reconnatre qui que ce so

it.Les vrais partages ne sont que phmres, pour ceux qui ne veulent surtout pas donner prise, ce Bien-tre , si encombrant.

L aventure, prendrait trop vite un Air d abandon !

L dessus, tes penses ne changent pas :

Elles s allongent avec tes compromissions.

En t coutant prsumer de moi : j ai appris entendre parler de toi

Avec, ta faon d imaginer mes dsirs.

Sauf que pour toi, apparemment ;

Dsir, se confond avec Vice !

Cela m explique un peu dans quel sens tu as pu diriger, ce que tu appelles la jalousie ...

Histoire de justifier tt ou tard, la nature de ce que tu as d supposer tres tes Ractions !

Alors maintenant La reprise continue !

A moins que Changer (et non pas, uniquement de mauvais sens) ;

~Ne soit pas, qu une mesure de Balance, et n arrive que probablement.

~S installe en dehors du sens unique des apports d influences.

~N intervienne que heureusement.

Mais, vouloir ?

La belle Affaire !


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s dans ceux des exigences Industrielles.

- Certains rpondent cela par ;

La Volont unanime est une Utopie, que seuls quelques illusionnistes prtendentreprsenter publiquement !

La plupart des diffrences se sont assembles dans des volutions de plus en plus uniformes, pour rpondre aux besoins quelles supposent !

Mais toi, que restes-tu faire l dedans ?

Il n est personne possible, d expliquer ceux qui doivent comprendre, ce qu ils veulent, ce qui est .

- Je n aurais heureusement jamais, ta Volont ! Pas mme quivoque !

De cette faon ;

Se comprendre n est plus une Obligation ou, une Attente.

J aimerais : ainsi, se soustrait une promesse que la plus part

photographient pour leurs Albums d antoccupations.

Ces genres 'accompagnateurs adulent leurs semblables avec des conjectures, qu aucune Dignit ne saurait projeter sans s ignorer.

Et, s il est vrai que l affirmation ne peut suffire clairer toutes les considrations produites, il appartient chacun de dvelopper ses solutions

Jusqu la suppression encore efficace, des sentiments et de leurs Biens par quelques-uns et leurs Rsultats ;

Chacun peut adapter les impossibilits de ses connivences des chtiments plus pervers.

De cette faon, certains se sont quips d exutoires voluant en toute lgalit dans les Parties parfois intimes de toutes les Socits.

La Strilisation du Progrs, devenant difficile, l o quelques Promus d office lajugeait profitable, ceux-ci la dplacrent auprs d instances plus sociodirective

s, pour investir les populations et les patrimoines d tats plus corruptibles.

Quoi de plus ethnique ?

Devant une telle proprit, les Industriels de la Justice d une grande part des Nations ;

Peuvent engranger les Moyens dont ils disposent, et dtourner le sens des besoins pour leurs usages, avec la bndiction des Complices qui les font prosprer C est

dire ;

Nous Tous !

Pourquoi ?La peur d intervenir perturbe, au point de dtacher tous ceux qui voudraient entre


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prendre des mesures contrlables, avec les scrupules les plus indiqus par le Laxisme la Mode du moment.

Nos fidles Lchets remplissent les Tribunes de ceux qui empchent

quelques rares Audacieux, de draciner ces pouvoirs lus tantt par la

Rumeur, matin par la Promesse

Depuis le dtournement du sens Politique par les Dialecticiens du commerce, lesmarges d intrts individuelles constitues par chacun ont d se parquer , dans les zones de crdits que dveloppent les Banques de ces Commerces.

Apparemment, quelques milliers d annes ne suffisent pas, pour occuper ce genre de Culture .

La mission salariale ne rpondant qu aux Subordinations ;

Suppose qu'il est difficile pour ceux qui s y sont habitus, de prendre le temps d ychanger quelque chose ! .

Du moins, de se laisser aller retirer de toute forme de dpendance, sa subsistance ou, sa famille, et de s adapter cette hantise nomme,

Libert ! .

Comment ?

~Curieusement !

~Sans faire uvre de mfiance !

~Avec ce partage absolu de la Transparence , que l on dit : fomentatrice de Troubles!

Pour qui ?

Toujours les Mmes !

Les Alarmistes du manque gagner, tous, prconisateurs d incapacits.

Convaincus que nous sommes, d arriver ce qu il est convenable d appeler des Principes contenant le rgne de nos Dsirs, nous nous risquons jusqu de propres essais de

respectables simulations.

Seulement, via ceci ;

Les Ambitions abordables par tout le monde, ressemblent beaucoup aux spectaclesde Cirques dont les atouts majeurs reste, tre aprs le Dressage , les congratulations !

cause de cela, les bonnes Raisons d exister, tant devenues trop chrement sotriques pour l ensemble des gens : font l objet d acquisitions rserves leur peu d usagers.

Heureusement, la Nature intrinsque de notre monde n absorbe rellement que l oubli,avec les empreintes de toutes les existences, et l intgralit de leurs hritages

De cette faon, l oubli nous laisse avec ses permissions


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Non pour que nous n amenions que nos choix, ni pour que nous ne fabriquions que ses consquences !

Mais, pour qu il nous damne prserver des besoins comme les Souvenirs, ou autres Collections , et de nous rendre la ncessit de nos Limites.

Celles-ci ont eu la grce de devenir religions ;~ Idologies mtaphysiques, qui parlent d Elles-mmes.

Ou bien, de s intgrer des ralits dites rationnelles , que beaucoup confondent,avec le rationnement des Ides, attribuables tout ce qu il est raisonnable de donner en change de sueurs froides ou chaudes, pour accompagner leur conditionnement .

Il est galement possible pour certains grands assassins de faire valoir des actes prconiss comme religieux auprs de vritables suicidaires convaincus, que leur mise mort provoquant celles d innocents citoyens, dont l opinion ne peut tre

prsume, reste nanmoins ncessaire.N importe quel tordu mental peut donc dvier les prceptes de possibles obdiences

pour assouvir avec la haine un besoin commun bien d autres, en alinant encoreplus loin d autres volonts personnelles, obliges par un mouvement devenu trop global pour tre contr.

Comment qualifier de sainte religion : le cautionnement d actes de guerre, dont lamise mort d tres humains semble tre l objectif principal ?

Comme tout domestique, les meneurs de Causes sont d abord instruits.

Ensuite, rcuprs par les Objecteurs de leurs ambitions, ils se proposent de devenir les boucliers des tablissements en cours.

Et quand due, la Crdulit ne s achte plus ;

-Elle lutte pour sa gloire !

-Se reprend

-S interpose !

Dans quel Sens ?

Gnralement, dans un Oppos : tout aussi prometteur

moins que recentrs par de plus Persuasifs, les Sens se plient nouveau sousle poids souverain d une dernire Trouvaille , adaptable de plus Fiers redressements.

Sur ce plan l, rside l insouponnable faon de rcuprer ceux qui font semblantse rendre compte ;

~Que se laisser berner, quivaut encourager ceux que l on dit mpriser comme destratres, parce que mme par contournements, il serait trop difficile d tre Coura

geux ! .

Il faut croire !


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La Confiance, dchue de ses attributs premiers depuis toujours, est entre dansles Ordres des plus Pitres, pour permettre de meilleurs Volontaires de s installer crdulement dans leurs Fois.

Bien des extrmistes l ont montr ;

Pour eux, y croire , insinue se sacrifier ! , ou plus prcisment :~Abandonner sa personne l usage et aux Convictions d autrui, dans l histoire perptuelle des exemples, avec,

~ Dans l esprit tout est dcrit ! Cela se conoit trs bien,

~ Dans la Nature, mme l horreur son utilit ! C est toujours vident,

~ La suite est fortement longue donc, etc. !

quelques desseins prs, le choix imaginaire de ces preuves a valu chez quelques-un

s d viter toutes Raisons de comprendre quoique ce soit plus loin !Heureusement, chez quelques autres, ce style d effet secondaire n a pu entrer dans l laboration de leur comportement, les laissant exempts des maladies mentales auxquelles les uns s adonnent volontiers. Cela permis ces quelques autres, de profiter du temps passant Pour que, dans l esprit et dans la Nature, selon ceux qui le

certifient ;

~Les Gots perptrent l enjeu d normes probabilits, dans toutes les catgories deconsommations, pour toutes les populations.

ce rythme, tous les profits possibles auront tt ou tard fini par digrer tousles moyens existants.

L volution, abandonne de ce monde, fera de ses droits ce que peuvent devenir laplus parts des dtritus sur leurs terrains vagues.

Ensuite, dans un programme fini, pourra sjourner la Fatalit dans sa transformation de Paradis... Pour elle seulement.

moins que l imprvisible : lui encore !

Ne nous joue un de ses tours prfrs, et laisse le Transformisme tre

toujours !

videmment, cette question d poque ne concerne pas que nous spcialement Quel retour !

Peut-tre dtenons-nous la permission naturelle de passer outre le Destin ?

Cela signifierait au moins que nos sens de tlguids appartiennent d autres Fins.

condition de ne pas contribuer un Enfer ternel ! Bien sur

L'ignorance qui a permis aux religions de se btir contient, elle, dans ses non-

descriptions : toutes les terreurs qui rendent si adorables ses Modes d admissions.


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L obscurantisme qui prospre dans ces appartenances, n a obtenu qu une adhsion trs globale dans l ensemble des nations, et il reste encore trop d illumins isoler ou rduire, pour considrer que Tout puis tre vendable.

Cependant, mme les Marginalits s utilisent ;

Il suffit de constater quel point il est facile de faire valoir n importe quel

Contre pour justifier l opinion des plus nombreux, surtout pour ceux dont l honntetne concerne que les critres de leurs semblables.

En plus, avec un peu de compassion bien joue auprs du troupeau, il est aussi possible de faire passer n importe quelle ide de chandelle pour un phare de penses

*

Reste chacun de ne ressembler en rien, ce que beaucoup de mimtismes

accompagnent du regard, vers les plus dsigns.

*

La Honte guette d abord les plus dmunis, ensuite, uniquement ceux dont

l Analyse rvle l impossibilit de pouvoir revenir sur des fautes trop dmontres.

Malgr cela, l irrparable se recycle inexorablement, laissant supposer ouvertement son existence, et se permettre de continuer.

Aprs la Complicit , n y a t il pas toujours eu la Participation ?

travers ;

Aimer son prochain prend un sens trs pervers !

Il faut bien nourrir ses sensations de quelque chose !

Faut-il pour cela, aller jusqu ronger son espace, et le striliser dfinitivement ?

Bon creux !

Jusqu la morbidit la plus acheve, dite facile : les solutions les plus appropriatives ce type d affection, ne peuvent tre amenes traduire ce qu elles supposent de Consommations.

Il suffit pour cela d optimiser constamment toutes les dviances possibles.

Le principal tant, de faire passer comme enviables , les propositions avances.

Les plus Adeptes n hsiteront pas, moyennant quelques avantages , se pavaner devantl admiration potentielle ou, mondain et crdibilisant, des plus brillants crtinsde la scne mdiatique.

La Crdulit globale ayant dj fait l objet de toutes les spculations ; Elle res


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te encore la Grave part des changes que peuvent se jouer jusqu au dernier : les coucous rigolos du commerce politique, ainsi que tous les participants du sous coulement des partages qui peuvent s y ajouter.

Il n est donc l nul mensonge, nulle escroquerie, cela supposerait-en

quelque sorte une forme de considration !

Cela signifie surtout que concerner n est ni l ordre, ni la question ;

Obtenir est la clef de toutes les raisons et, du procd au rsultat finalement, tout le monde se comprend !

Dans ce sens authentique, ce vrai Bonheur ci s'appelle surtout ;

TRANSGRESSion.

Mais, pour qui est-ce sincrement dommage ?

En dehors des promoteurs de Vrits, qui n'ont que faire d Explications dpourvuesde leurs Intrts, et dont les dcouvertes ne concernent la plus part du tempsque des trouvailles gares dans l oubli ;

Il y a, Ceux qui aiment n importe quoi ! , avec tout ce que n importe comment, n importe qui peut s offrir n importe o Avec tous ceux que le Choix importune.

Comment rsister ce genre de bien fait ! ?

Sans devenir un toi-mme ! ?

L imagination en cela, a vertu de pense

Les partisans inconditionnels du contraire, n ont de cesse absolue ;Que de vanter les effets gracieux de l intelligence voire, en annexe, cette telle Raison qui n est que leur(re) : demeure trop sotrique pour tre confie de quelconques personnes, ne pouvant trs curieusement, que dformer le sens vritable des

notions pour lesquelles ces tres, ni plus ni moins auto suprieurs se sont auto missionns.

~Heureusement pour leurs convictions, la foutaise sociale qui les entoure, vu son potentiel de similitude, ne risque mme pas de les dranger.

Mme si la marginalit des uns, qualifie comme rciproque par les autres, ne saurait signifier vritablement comment leur exhortation de diffrences, se met en

place avec la ncessite ;

Que les uns associent leur apparence.

Que les autres entreprennent pour leur subsistance !

Ici, pour tous, pour quoi et pour qui ;

Exister ne suppose rien avant d tre !

Par contre : aprs

Que de reconnaissances !


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Si Disparatre n tait plus, la Ralit semblerait-elle pour autant ?

La Connaissance n ayant d autre moyen que la Mmoire , il nous faudrait comprendre inteigemment : l Oubli

Hors celui-ci, n est-il pas la consquence des deux ?

La Disparition est pour beaucoup, le plus terrible mystre de l existence.

Pour pallier cette inquitude, le ftichisme global montre bien, la place qu occupent les objets et les monuments de nos proccupations temporelles, pour comblernos effets d ignorances, avec des mises en scnes du style ; comment faire passerdes Dcouvertes pour des Inventions ?

Seulement, tout ce qui est rellement pensable n a que peu d'importance.

Nos fins d'histoires ne supposent que des choses, que plus loin les suivants s'imagineront Crer comme nous mme, avec celles de nos ascendants : ainsi

qu eux aussi, depuis le giron de leurs prdcesseurs.

La ralit dpasse le possible , parce que beaucoup l optimisent sans comprendre ce qui la compose, outre ce qui leur permet de la reconnatre. Dpass cela, les effets de toutes actions peuvent bien distraire certains ;

Elles n intressent personne !

Grce cette mprise, la ralit prend une allure de dcor aux accs imperceptibles.

Sauf pour ceux dont risques et suicides, ne sont que les conclusions ventuellesde la peur, l instar de toute attente, comme pour recrer ce monde que l on estime bon dtruire travers Soi, pour en instaurer un meilleur.

Pour l instant, les crateurs que nous sommes ont promu loin devant eux, des dunesde sables qui circulent inexorablement plus nombreuses, sur un horizon l image

de notre uniformit grandissante.

Encore un toujours qui ne s'applique pas un avenir d eau frache ctoyant essentiellement quoique ce soit.

Nos sciences finalement trs chres ont amen d invitables pollutions, dont la nature en engrenage nous laisse le soin d expliquer ceux qui suivront, comment justifier les rattrapages peut-tre possibles qu entament nos forces de consommations.

Ceci se dduisant de cela, les vendeurs de poisons peu coteux connaissent bienleurs clients

En d autres termes ;

La plus simple faon d amener une vraie participation pour de faux avantages, estd attribuer une culpabilit incontestable aux acteurs engags, dans un profit mdiocre de pseudo qualits, contaminant la sant des marchs et des personnes. Ceci, afin de rinstaller incidemment des produits maquills o, des prtextes de meilleures rfrences vont pouvoir permettre de collecter plus massivement des surventes dus aux mme colifichets mais, mieux situs et bien prsents.


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Les comdiens de l erreur savent combien leur rle est prpondrant pour l ensembledes consommateurs assidus que nous sommes ;

Preuve est, que notre vulgaire acceptation du sens contraire de l conomie, auprsd un largissement promis comme mondial, drange un partage des acquisitions que

l occidental et ses quivalents internationaux disent prserver, sans faire cas des issues de leur destructrice vanit.

De cette faon, la rpartition de privilges rservs peu, ne suppose dans cestermes : qu une dgradation de l Existence et des Moyens de la plupart

Aucune volution forte et riche ne peut s accomplir tous les chelons sans ce paramtre, qualifi d Utopie par les colonisateurs de ressources.

Les grands utilisateurs financiers ne connaissent que les armes de la Dpendancepour aliner les plus influenables leurs formes d acceptations, avec le concou

rs de nos couardises psycho fonctionnelles.

L valuation de notre connivence nous aiderait mesurer les possibilits qu elle nous rserve auprs des matres du besoin, grant notre alination pour une humanit conqurante.

Nous n avons pas appris marcher uniquement pour pitiner une innocence que nousapprhendons btement avec les stigmates d exprimentations malavises : qualifies de connaissances

Pourtant, les dsaccords que soulignent les pires complicits, dmontrent bien que l utilisation du chantage des masses contre un seul : fait que nul n intervient vritablement, pour faire face ce dtournement d intentions.Comment traduire ces contrecoups de connaissances dans le dveloppement qui nous attend ?

Sur cette plante, la Raison est globalement trop immature pour imaginer la possibilit du pouvoir dont elle peut disposer ;

Question de nature

La seule grande notion de pouvoir se borne ici, celle d une forme despotique, abstractive, dans lequel tout s excute.

La dmocratie est avant tout, une sorte de maquillage proche de la rclame, dansla quelle la Libert ne revt cependant qu une attribution humaine publicise d

es fins engageantes.

Et mme si les dbuts qui les suivent, laissent supposer des versions plus heureuses ;

Nos consciences actuelles ne nous permettent pas de les aborder sans les introduire avec un minimum de bnfices attribuables aux commanditaires de conflits, dont le Temps reste apparemment : une valeur inestimable !

L utilisation du tiers monde, dans ses confinements, prouve bien que le tout soit possible n est ce jour qu un adage de spculateurs ;


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Du style vendeurs de situations sociales faciles investir, auprs de touristescupides ou d Entreprises toujours plus arrivistes, convaincus que la distributiond une menue monnaie peut permettre quelques Judas de devenir des Dieux vritables

.

Ensuite, ces obsessions rejoignent la banalisation, ds qu elles cessent de flatter leurs figurants : dont la curiosit et leurs supports de propos rsiduels, nous apportent chaque jour un lot de repentirs permissifs, conjurant un comportement infaillible auprs de tous ces amis d un bon genre, apparemment trop incontestablement pourvu pour tre reni.

Du cot des Anonymes, les amuse-gueule populaires mdiatiss, traduisent en procs-verbaux, les initiateurs de nos foires aux laisss pour comptes : la fois si drles parce qu insultantes, que pitoyable pour l essentiel.

Mieux vaut en rire !

Alors ;Rions.

Tu as d, toi comme d autres, deviner la nature de tes occupations travers les rpercussions conditionnelles de ton existence ;

Cela ne laissera rien de plus tout ce qu il y aura connu.

Et l importance rsonne dans le mme oubli que toi

N es-tu que ce trait d union entre commencement et fin, omettant sa liaison avec l avant et l aprs ?Tout ce que tu vois et chemines, a d abord t conu.

Il en est de mme pour ce que tu penses, fait revivre, et prennises travers toi.

travers tout cela, tu as la possibilit ;

-De laisser au hasard le soin de t entreprendre sans atteindre quoi que ce soit d autre, qu une justification possiblement philosophique de toi-mme.

-De t activer dans des ralisations rassurantes, parce que plus proche d une postrit qui ne connatra rellement rien de toi, except ce que tu auras laiss d changeable.

-D tre le principe spirituel d une descendance qui ne reconnatra hypothtiquementde toi que le Nom, voire, ton prnom pour faire valoir les anecdotes rcuprables de ton histoire particulire.

-D accumuler immensment, des richesses et des biens pour une jouissance que tu nesaurais ni ne pourrais utiliser par manque de temps : pour forcment l abandonnerpar privation de ta Vie, aux suivants de l existence.

-De t enfermer dans une Marge secrte qui ne s teindra qu avec toi, et dont la conscience globale n a de toute faon que faire.-D arriver au paroxysme de l excitation ou de l autosatisfaction : avec toutes les per


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sonnes, les moyens, et les excipients possibles, pour atteindre l anesthsie totale que commande une peur douloureuse ou trop profonde de la Fin, pour n tre qu immanquablement subie.

*

Que considrer ou non, ne change rien ni aux faits, ni ce qui ne sait tre autrement.Le sens mme de toute logique se dconnecte de la ralit, ds qu il se rvle etse canalise dans la pense. L amnsie qui nous guide depuis nos naissances, nous rejoint travers chacune de nos interruptions, en se glissant dans nos habitudes

de transformations, via ce vieillissement que nous reconnaissons avec tout ce dont nous avons hrit. Voici le partiel que nous connaissons !

Avec des croyances que nous n avons pas nous-mmes prononces et, aux quelles nousnous fions, sans prciser auprs de ceux qui nous suivent que :

Finalement nous ne savons vraiment rien de ce que nous leur laissons

Les raisons qui nous occupent sont masques par un Toujours que nul ne connatrajamais et, comme le Temps occulte des directions que nous ne saurions dcrire ;

La formule du Destin dpasse ce Vivant dont nous n avons pas les moyens d tre propritaires.

J envie les trangers que nous sommes, de rester si peu indiffrents de nos impasses Dommage que les distances qui nous sparent tous ce point de la premire detoutes celles-ci, soit si justement : cette Absence qui contraste la prsence et, fonde les souvenirs d une Nature se rendant trop indiscutable pour tre possiblement dcrite.

En dehors de quelques marques d intrts justifiant les effets parcimonieux de certaines complaisances ;

Que faire de cette absence qui nous occupe temps auprs de ceux qui nous sont sichers ?

Que reprendre trop tardivement avec eux, ce que de si loin nous nous sommes permis de voir ?

Beaucoup trop ont peru l amour comme un moyen de l existence, sans regarder autourd eux quel contrat il ne saurait supposer.

Nous sommes surtout des animaux, qu une somme d intrts borne avec une intuition que, nous ne savons que htivement qualifier. Ainsi, la fiert passe d abord par l orgueil pour confirmer ses valeurs De cette faon, la bte tombe l eau et, que restet il ?

-Surtout aprs avoir mis si longtemps en sortir !

Un animal surnageant mal dans la matrialit qui le transforme, malgr tous, sa guise. Alors : attention l eau, parce qu dfaut de celle-ci, saine, en marge d tres propres, nos sentences les plus sches ne pourraient que faire semblant d avoir l air.

J aimerais tant pouvoir te dire, tout ce que tu pourrais entendre au-del de toutce que tu daignerais couter, avec des mots que tu n aurais nul besoin de prjuger


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. Comme-ci, t entendre me dire je t aime devait juste suffire, pour t en dispenser

Quelle hantise

Se savoir proccup par l inattention particulire de quelqu'un, doit-elle en invalider une inverse venant d autrui ?

Au nom de quelle appropriation charnelle ou morale devrait-ce tre le cas ?Spculer sur l attachement : n est-il pas un parallle pervers, pour se donner un moyen d avoir un peu plus de temps pour aller vers des prfrences, ventuellement plus partageable avec quelques autres ?

Honntement : l exprimer de cette faon ou d une autre, supprimerait pour beaucoup tout recours de ngociations.

En fait, la plus belle preuve de drision que l on peut donner quelqu un, est de lui laisser entendre : que ses regards ne peuvent se porter vers toutes choses sans avoir d envies. Ce qui suggre plus encore, de l imaginaire qui le suppose

La o le dpit reste, les bons souvenirs passent et, les mauvais continuent.

Comment avoir de bonnes paroles, avec de mauvaises penses ?

L inverse tant trop rare pour permettre une comparaison, tout rapprochement avecles descripteurs passs ou prsents d une juste tentative, demeure une innocente fiction.

Reste dcouvrir ce que nos rves les plus audacieux peuvent contenir de bon, pour peu que la source vive de nos ambitions ait les moyens d une volont totalement heureuse Il est narquoisement envisageable d imaginer comment dans cette Nature : peut se raliser une solution favorable toute existence.

Le bonheur des uns tant de visu, le malheur des autres : la misre apparat comme une splendeur de rfrences ayant pour unique but d carter les plus chanceux de tous ces pouvantables piges rservs la mauvaise vie .

Comment rtablir ce que suppose la faillite technique provenant d une toujours plus grande fuite des capitaux outils, hritages de dveloppements communs, que quelques uns continuent soustraire pour se nantir ailleurs, grces aux pouvoirs que nous leurs confions aujourd hui ?

Avec ce que proposent les sauveurs de nos prochaines Nations no-fondamentalistes,qui nous occuperons des tches plus utiles au dveloppement de leurs privilg

es attenants, bientt ?

Faut-il vraiment nier les symptmes dj vidents d un modle gnralis qu imposeraun revenu rebaptis, devenu minimum pour l ensemble d une population, mute en maind uvre de plus en plus conomique ?

Que deviendront ces associations d aides de toutes sortes, soumises aux chantagesou concomitances de leurs subventions ? Et, cesseront-elles pour autant d tres les informateurs de nos trs prochains fonctionnaires dignitaires, dont les pouvoirs exponentiels se confirmeront graduellement au fur et mesure de l appauvrissement conomique et structurel : des citoyens et de leurs droits ?

La puissance accumule de dissimulations invrifiables parce que omises de notreattention actuellement, n auront d autres rsultats, que l ampleur ferme et tendue d une transformation devenue inluctable d ici peu


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Les accompagnateurs convaincus de cette mystification ne sont jamais que des subordonns salaris qui, s estimant forts de leurs prrogatives, peuvent se permettre de grer indirectement avec leur suffisance la plus dtermine, des dispositions prdfinies en amont, intitules : Conseils, Accompagnements ou Orientations,

masquant l objet rel de leurs consultations, pour chaque cas globalement canalis vers eux

Si ces gens l considrent dtenir une vritable mission de rtablissement social par quelques Ministres ;

Pour leurs instigateurs, annoncs distinctement comme FRANCE D EN HAUT , prtexter un terrorisme vident par exemple, ou un autre danger finalement accommodant

pour un bon nombre, semble cautionner les dispositions trs arrangeantes que nous amnent accepter les jeux d une immunit parlementaire de plus en plus utilisable.

Comment faire accepter un ensemble catalogu de : france, d en Bas ! , que les mfaits pseudo jugs en haut lieux , flottent comme des icebergs sur les considrations

de la Populasse , en condamnant quelques bribes, pour bien montrer qu une vloce surveillance agit thiquement bel et bien !

Surtout, sans montrer pouvoir supprimer, ce que de sjournantes et escamotablesgrosses ressources permettent d exempter, en minimisant leurs objectifs, quand ils

se trouvent recycls dans des enjeux de stratgies politiciennes au sein de leurs adversits d accessions tactiques, financires

Devons nous, seulement attendre que se confirme totalement, les impossibilits que peuvent promettre un dveloppement vou aux convictions possiblement bornesde quelques dcideurs sociaux ? Appuys par une justice temps multiples, avec le

concours d une dlation polyvalente et privilgie ?

Suivant quoi, le choix et les engagements qui lui succderont et nous incomberont, se conditionneront bientt comme des denres prissables, dont les qualits totalement dcrites, devront apparatre clairement avec l tiquette de chacun

Maintenant, il ne nous reste presque plus que le devoir d tres optimistes !

Tout ceci n est ventuellement qu un pur cauchemar

Un peu de dignit, que diable !

L apocalypse Nazi, la dictature Stalinienne ou, les suites et rpercussions de part et d autre de la guerre froide jusqu nos jours, c est inlassablement du pass !

Mme si l aussi, les gens se sont laisss aller croire qu on les trimbalais banalement comme des bestiaux, juste comme , sans arrires penses

quoi bon sombrer dans de tels raisonnements, quand on voit quel point tout est si assurment organis ?

En fait, mes propos ci-inclus, ne sont jamais qu une inversion totalement revisite de : Mein kampf de Adolf Hitler, avec les prceptes actuels d un public supposant toujours les mmes questions, que je tiens contacter pareillement travers ces quelques temps, avec l entremise d une publicit prcisant le titre un peu diffrent (La Lettre l Illusion) de cette seconde version


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Les moyens d ditions se rarfiants avec leurs critres, nous disposeront sans ambigut par la suite, d une information tlmatique post-continentale, potentiellement traductible pour nous cultiver , en supplment d une banalisation mdiatique quinous captive si promptement dj. N y a-t-il pas l l objet d une remarquable et grande nouvelle ?

En attendant les aboutissements de ces divers vnements, je nous enjoins clbrer l'accession antrieurement prononce de nos droits et devoirs, avant que par une sorte de sensible principe nouvellement moral, il ne soit plus recevable de participer d autres festivits que celles qui nous attendent.

D ailleurs, pour donner un meilleur timbre aux crmonies, qu accompagne ainsi cettemissive pour un temps indtermin : je suggre de l arpenter voix haute avec unspectre trs martial, afin d entamer son atmosphre d une manire surnomm bonne , voi

re, approprie.

La notion mme de Pouvoir , quel qu il soit, a toujours montr n tre qu une atteinte un dveloppement Intelligent, dviant les moyens collectifs des fins ne concernant que les dangers d une entreprise civile ou militaire, d adversits souvent criminelles, se partageant les patrimoines de toutes natures.

La discorde qu a cultiv ce pouvoir n est momentane que pour les individus par lesquels il sjourne

Est il ncessaire de subir tous les chelons possibles de cette forme ?

Que prtendons nous pouvoir attendre d avantage de cette erreur toujours conventionnelle, dsormais ?

N est-il pas urgent d entreprendre une Ralit libre de cette prpotence archi inutile ?

Que cherchons dans cette alination pour une autorit dresponsabilisant nos choix personnels ?

Qui, une fois dlgus auprs d inconnus mdiatiss avec leurs invectives, montrent immanquablement que nous sommes les premiers fautifs d une confiance vote, si facile dtourner.

Nos comportements individuels sont contamins par des problmes survivants dansnos attitudes, en provenance des entits qui nous ont duques, et que nous continuons plus ou moins consciemment avec nos ractions, pour ceux qui nous suivent. Finalement : nous sommes millnaires, grce notre ducation et, la mosaqueculturelle de ce monde n volue que sur des bases trop anciennes pour engendrer la

relle transformation des authentiques bestiaux que nous sommes : en ces cratures volues, que nous nous targuons aussi ridiculement tre devenus.

l exemple du troupeau pour son matre;

Beaucoup reprochent la prostitution, ce qu ils admettent de leur situation professionnelle ou, de leur condition maritale, dont les prceptes essentiels s valuent avec une jalousie qualifie par tout son principe.

Ensuite, par un jeu d tats d mes secondaires, intituls Ennui : la plus part se permettent de justifier quelques diversions jusqu d autres accommodement, pour orner leur existence maintenant que tous ne s unissent plus que pour le meilleur, il est de


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venu lgitime de tout rompre ds que l on prsume un mauvais pas, en prtextant lepire. Un dicton trs adapt ce genre de situation, stipule;

Quand ton voisin veut se dbarrasser de son chien : il dit qu il est enrag !

Ou bien ;

J aurais aim parcourir avec toi un plus long chemin Mais Cependant, le rituel sacr de l importance associ au regret , prime toujours sur l actn. Comme la ralit semble nous chapper totalement, nos mises en scnes prtendument inconscientes, passent par nos sens avec un lot de rponses dbordant de nos si rassurantes questions toutes faites . C est un peu l que se distingues les individus dits originaux , parce que devenus collectionneurs d anecdotiques scandales faciles et confortables, leur ouvrant les portes d une volution assise dans toutesles m urs, depuis l antiquit.

Nos questions se ponctuent de leurs effacements, simplement parce que trop court

es pour concerner autre chose que des dtails, eux-mmes plus larges qu importants. Et, la mesure de nos raisons, nos explications se perdent dans le recyclagedes considrations ou des raccourcis que nos occupations nous suggrent.

Notre ncessit de vouloir participer, mme violemment, la transformation de l espace, n que ses habituelles et inexorables mthodes de destructions pour vaquer

jusqu l absence, dans un hritage naturel de plus en plus limit. Comment se lasser de le constater continuellement, avec toutes les versions que notre nihilisme

de convaincus aborde sans se soucier vritablement de QUI, ou de QUOI ?

Ds que le mot raison s embouche comme une trompette : tout devient prtexte aux delirium assurs d tres dits de bonne rputation , l gal des saouleries qui suivent les v ux de bonne sant s avrant si gratuits, quand ils font l objet de leur bilan

La notion mme de Pouvoir , quel qu il soit, a toujours montr n tre qu une atteinte une volution Intelligente, dviant les moyens collectifs des fins ne concernant que les dangers d une entreprise civile ou militaire, d adversits souvent criminelles, se partageant les dtentions de toutes natures.

La discorde qu a cultiv ce pouvoir n est momentane que pour les individus par lesquels il sjourne

Est il ncessaire de subir tous les chelons possibles de cette forme ?

Que prtendons nous pouvoir attendre d avantage de cette erreur toujours conventionnelle, dsormais ?

N est-il pas urgent d entreprendre une Ralit libre de cette prpotence archi inutile ?

Que cherchons dans ce masochisme pour une autorit dresponsabilisant nos pouvoirs personnels ?

Qui, une fois dlgus auprs d inconnus mdiatiss avec leurs invectives, montrent immanquablement que nous sommes les premiers fautifs d une confiance vote, si facile dtourner.

Nos comportements individuels sont contamins par des problmes survivants dansnos attitudes, en provenance des entits qui nous ont duques, et que nous cont


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inuons plus ou moins consciemment avec nos ractions, pour ceux qui nous suivent.

Finalement : nous sommes millnaires. Grce son ducation, la mosaque culturelle de ce monde n volue que sur des bases trop anciennes pour engendrer la relle

transformation des authentiques bestiaux que nous sommes ; Ces cratures volues, que nous nous targuons aussi ridiculement tre aujourd hui.

l exemple du troupeau pour son matre;

Beaucoup reprochent la prostitution, ce qu ils admettent de leur situation professionnelle ou, de leur condition maritale, dont les prceptes essentiels s valuent avec une jalousie qualifie par tout son principe.

Ensuite, par un jeu tats d mes secondaires, intituls Ennui : la plus part se permettent de justifier quelques diversions jusqu d autres compromis, pour orner leurexistence

Notre reconnaissance de l inutile ne dpasse celle de notre prtention, qualified humaine, donc prioritaire ! Subissant un environnement contrari par nos activits Et les surprises que supposent nos tendances, dpassent infiniment toutes les prvisions possibles, dont nous nous fichons perdument de toutes manires. Notretraverse dans l Histoire, si elle doit s imprimer dans le Temps, laissera dans le futur : une image de perdus dans leurs suites , assez crispe.

Comme le prcisent certains chrtiens : entre le Paradis et l Enfer, se trouve unpurgatoire nomm la Terre , autre appellation de cette Permanence , qu enseignent les Bouddhistes.

Tout ceci suppose t il que l esprit entreprend les mmoires par del le temps, la forme et le nant, aussi ?

Nos croyances salutaires semblent nous encourager l admettre, afin de laisser unpeu d Ordre auprs de ceux qui nous suivent.

Finalement, le monde doit tre plat car nos notions cosmologiques, toutes, aussinaturelles que le reste, montrent bien que la dcouverte n a pas l ombre d une dimension. Quand Tout se sera effac, que restera t il ?

Rien n apporte la preuve que quelque chose existe vraiment, sinon une conscienceshrite, de ?

Les transformations que nous touchons, comme nous-mmes, ne laisserons rien d elles dans un prsent toujours plus futur que : Pass ?

Que l on me montre ne serait-ce qu Un sens pour les accorder tous et, je n en doute pas: de toute cette Ralit il ne restera qu une seule chose .

Pendant que les uns s inquitent de la Fin, en considrant que la Mort n est que laconsquence du nant, d autres affirme que celle-ci n est que l lment de transformation de l existence. Maintenant, si l Illumination n est pas le lot de chacun, l incarnation et ses suites, montrent bien que tous les animaux, y compris nous tous, doivent valider auprs de leurs semblables la raison d une foi collective appele : Vie, qui n a nul besoin de s accommoder de rituels ridicules, de distinctions dplaces ou, d apparats inutiles.Tous ces besoins d affirmations soulignent l alination profonde de nos compromis indi


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viduels avec les principes promoteurs de nos conflits personnels.

Face la nature conventionnelle de soi-mme, chacun torture son tre intime avec des notions qui ne sauraient tre les siennes, puisse que ne pouvant les consentir sans se forcer prendre un rle qui n a pas t cr principalement par lui-mme ;

En interprtant un personnage provenant d ego familiaux et culturels adapts unpass trop videmment devenu inapte au prsent !

Et surtout ; une personne qui est entirement autre

La nature animale de chaque individualit, par l intermdiaire son tre intime, tente bien souvent d harmoniser ses diffrences avec le personnage conventionnel qu il se reprsente devant tout autre. Hlas, les conflits qu engendrent dj certaines parts intimes avec sa personnalit conventionnelle, peuvent contraindre sa nature

principale (animale) se retrancher dans des comportements dpassant largementtoute forme de contradiction.

Comme le personnage conventionnel ne reprsente que la partie montre de l individu,bien des couples se dcouvrent dans une intimit plus ou moins partageable avecla ralit animale et parfois objective : de l autre . Prouvant plus loin encore, qu

e le partage d une solitude personnelle associe une autre dans un espace, avecles agissements plus ou moins coordonnables de chacun, peut s avrer assez immanquablement difficultueux Voire, mortelle.

Comment considrer tous ces tre si chers ? Qui nous aiment, qui on besoin de nous ! Pour les laisser nous regarder, nous atteindre par notre principal ennemi,soi mme ! Nous meurtrir si fatalement, avec sa fume empoisonne par exemple ?

Pourquoi acceptent ils de participer sans rien dire l intrusion d une torture si vive, elle ?

Place l, comme des barres de fer travers le thorax, qui se distinguent presque nettement au dessus des dhanchements fragiles et raides d une dmarche difficile, laissant s poumoner une douleur immatrisable, tel un brasier, rouge, retraant son chemin d horreur et de peur d avoir si mal la prochaine inspiration

Au nom de quelles sensibleries devons nous nous atteler pour nous permettre de l ignorer jusqu ce point ?

Ce que se permet de nous faire ressentir cette fin l, doit il se faire vraimentattendre aussi horriblement avec autant de participant ?

Non

Comment imaginer un tel Projet ?

Quitte vouloir crever si intensivement de cette manire, ayons piti de ceux qui nous aiment, et de ceux qui ont besoin de nous !

Allons sans attendre nous fracasser n importe o, nous prendre ou, mieux peut tre;

-Partager avec d autres mme s ils ne l ont pas choisi, le chantage d une prsence libre de qui ?

Quel soucis de participation, nous pousse subir et faire subir soi disant sansy croire, ce qui nous montre finalement se passer aussi totalement d amour, d amiti et : de vie ?


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Le prochain rpondant par son silence : a gagn de se taire avant d accepter que le choix d ignorance, dans ce cas aussi, signifie de considrer Tuer , bien au del de mourir

Pour ne reprendre que ta mort, ou la mienne, par quel chemin ncessaire devons nous offrir le spectacle si peu utile d une certitude aussi ignore, pour que finalement bien retranch chacun se conforte ou pire encore, se confonde, uniquementdans ce qui le concerne ?

Partant de cela, comment prsumer quelle fragmentation personnelle est elle ncessaire en socit ?

Il faut croire que les acceptations qui nous mnent,ne prolongent qu une ignorance si nuisible mais, que chaque individu subit avec tant de conviction, pour n arranger que les circonstances dites inconscientes de nos propensions .

Tout ceci, avec le sens totalement double nous engageant prjuger que :

- La Libert n a pas de prix, parce que la vie est si chre ! L intgralit de toutes les Valeurs s arrte l.

Cette forme de mythomanie que revt toute personnalit fige, considre comme particulire par la plus part, traduit bien la dpendance un schma global de strotype normalis correspondant sa situation propre ds lors qu elle distingue l apparence d une telle autre personne comme trop diffrente d elle-mme. Cela signifie

entre autre, que la tolrance gnrale dj du mal supporter les doubles personnages que certains peuvent avoir, sans parler des triples occupations sous jacentes de leurs ventuelles pluri activits par exemple !

Cet tat de fait, apparat chez beaucoup comme insupportable de contradiction !Voire : tre louche ! Et, disons le leur place, impossible ! .

Comment des gens dits normaux, pourraient ils bien faire le peu qu ils font dj ens encombrant pourquoi pas, d un spectacle d opra en distribuant le courrier de leur public, tout en plongeant dans une piscine amnage pour l occasion ?

Qui pourrait bien trouver cela, ne serait ce qu amusant ?

Hors mis moi-mme bien sur et ;

Certainement bien d autres.

La reconnaissance d autrui passe d abord par le chantage relationnel d un consentementlargit, appel libre sous rserve de ne pas apparatre soi mme comme exub

rant aux gots dplacs, en acceptant de ne pas outre passer la permission consultative des personnes qui subordonnent moralement les bons choix qu il est prfrable d avoir. Autrement dit ;

- Tu n as que le Droit pour toi, si tu t carte trop de ce qu il sous entend -

Comme ci c tait vrai !

Sauf que l, les diffrences culturelles de tous bords s accordent toutes sur un point : tout ce l on ne connat pas, est mauvais ! . Donc, les bons accords sont

forcment ratifis, pour que les correspondances d intrts traduisent des quivalences de principes admissibles, que seuls les vainqueurs de guerres avaient laparticularit d imposer antrieurement.


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Par dclinaison, le phnomne de mondialisation montre bien que les voyages importants de transactions ont un rle dterminant sur l humain global, via la manipulation de ses besoins, sans avoir se ruiner dans la participation de conflits trop importants, trop dmonstratifs et, surtout, peu concluants.

Le marketing, tout de mme !

Et la bourse ?

travers elle la puissance des prtextes politiques et religieux reste la clefde toutes les raisons donnes en surfaces, afin de ne pas laisser s ouvrir des dbats sur le fond, que seuls les destinataires de grand mouvements financiers aident dvier pour viter une prise de conscience trop largie, risquant par dcoulement de les destituer substantiellement de tout ce qu ils s attribuent avec les Moyens des pouvoirs en place .

Les complicits s achtent et, jusque dans le moindre dtail, la cupidit est un vritable Sens pour des milliards d individus. ce titre, comment ne pas tre huma

in ?Tout rduire de simples phrases est ambitieux mais, de compliques, tout aussi inutiles

Malgr cela, bien des dangereux ont obtenu du pouvoir grce leurs effets de convictions et, bien avant de s imposer par la force : ils ont d d abord, PARLER ! videmment

Aujourd hui encore, il suffit d ajouter un troupeau de dangereux faciles convaincre un auditeur assez tar pour aimer des assassinants, pour qu un dcor de viande,de dchets vgtaux, de btiments retourns, avec des rjouissances du mme acabit se manageassent tout azimut autour de slogans tous plus exemplaires les uns que les autres ! mon humble avis, tant que ce genre de scne ne fera pour beaucoup que l objet d une vague discussion autour d un cran de tlvision, il passera encore pas mal de jus de viande sur des ponts bombards. Dans un style reprsentatif du mme genre,

la misre de ce monde figure parmi les omissions internationales, qui, ne sontjamais que des potentiels optimiss dtruits par des conflits d intrts maquills.

Convenons en : la seule tristesse que la foule s arrache, c est celle de Gudule la popStar, avec ses dboires minimalistes et coteux ! Pas celle de (Anonyme), que tou

t le monde vite intgralement, surtout si il a de gros problmes.

Le vrai bon truc , c est de briller grce des gens reconnus qui nous redore notre blason juste en se posant cot d eux. Un bon coup de notorit bien plac , n a jamais fait de mal qu ceux dont les connivences se font trop vite oublier.

Nos efforts intellectuels transmutent collectivement dans une mouvance socitairequi n a pas la moindre ide des dcisions qui recyclent les concepts qui en dcoulent. Comme tout travail mrite salaire, toute transaction achte fortune ! Les hannetons de ce type ne manque pas, car nos notions de transactions appartiennent

forcment d autres. L agglomration des capitaux dans des espaces appropris prouve toutefois que tenons tous normment savoir qu ils existent bien et, que ce que nous gagnons laborieusement ne relve pas d un quelconque jeu d change virtuel que seul quelques uns tiennent sans jamais avoir le pouvoir de le dilapider

Tu ne pouvais rien deviner.


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permettre de nous prolonger, afin de produire auprs des suivants des formes etdes sources dsenclaves de toutes prfrences ancres dans un pass qu il faut t

oujours totalement transformer et ne surtout pas reproduire.

Aucune alination profonde ne quittera ce monde tant que les hritiers de l existence reprendront le processus de prolongation ou de rplication que tout principe

rvolu engendre dans une radaptation du pass contrevenant une volution du prsent.

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LA LETTRE A L’ILLUSION