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Un film pour tous 2014 / 2015 Cycle 2 - 1er trimestre La Petite fabrique du monde Un programme composé de six courts métrages (It., USA, Russie, Port., G-B, Suisse, All.) 2013, 42min La Pete fabrique du monde est un programme de six courts métrages en provenance des quatre coins du monde. Il donne à découvrir diverses techniques d’animaon qui représentent avec poésie les mondes imaginaires de person- nages touchants. Faire surgir du sable ou de la neige de drôles de bonhommes, construire avec des objets glanés ici ou là le palais de ses rêves, dessiner la vie avec de la lumière, suivre une drôle de coccinelle dans un grand voyage, admirer dans une féérie de couleurs la naissance de l’univers et de l’Homme... La Pete fabrique du monde est une invitaon vers l’ailleurs. La maère s’y anime comme par magie à la manière de l’enfant qui joue à s’inventer des mondes. Ce programme est l’occasion d’aborder la noon de court métrage avec les enfants, de leur faire découvrir différentes techniques d’animaon et de quesonner ces moyens d’expression et de construcon de mondes oniriques et imagi- naires. SYNOPSIS Documents pédagogiques > sur le site de Ciné32 rubrique « Actions pédagogiques » L’affiche du film Les dossiers pédagogiques édités par KMBO et l’AFCA des extraits sonores des films EN AMONT, avant la projection Affiche, titre et synopsis A parr de l’affiche et du tre de la programmaon de courts métrages, que pensez-vous découvrir ? Savez-vous ce qu’est un court métrage ? EXERCICE : voir fiche élève n°1 DE RETOUR EN CLASSE, après la projection Adapté du livre homonyme de Carlo Fruero, le film réinvente la créaon du monde, du Big bang à l’apparion de l’Homme en passant par celle des poissons et des mammifères, le tout en musique et en couleurs chatoyantes. Crisna Lastrego a fait des études d’architecture à Buenos Aires et à Turin où elle rencontre Francesco Testa. Depuis plus de 30 ans, le couple a écrit et illustré plus de 180 ouvrages. Ensemble, ils ont créé leur propre société spécialisée dans le cinéma d’animaon : Lastrego e Testa Mulmedia. La Créaon est réalisé en ssu découpé, une technique dérivée de celle du «papier découpé» dont la pionnière a été Loe Reiniger dans les années 1920 notamment avec le film Les Aventures du Prince Ahmed. Cela consiste à découper les silhouees, arculées ou non, des personnages et des décors pour ensuite les filmer image par image à plat. L’aspect « papier découpé » peut aujourd’hui être rendu grâce à des logiciels numériques. Dans La Créaon, le ssu est très colo- ré et les marionnees en deux dimensions sont arculées : les membres et le corps sont créés séparément avant d’être reliés pour donner plus de souplesse aux figures et accroître ainsi leur indépendance. Le film est le fruit d’un véritable travail d’orfèvre puisque chaque élément - figures, plantes, animaux jusqu’à la moindre vague - est brodé. La Création [La Creazione] de Crisna Lastrego & Francesco Testa I 2010 I Italie I 10 min I ssu découpé

La Petite fabrique du monde - Ciné 32©es Le film propose une vision simple et festive de la création du monde. Ici, pas de cataclysme dévastateur ni de dino-saure, et une théorie

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Un film pour tous 2014 / 2015 Cycle 2 - 1er trimestre

La Petite fabrique du monde

Un programme composé de six courts métrages (It., USA, Russie, Port., G-B, Suisse, All.)

2013, 42min

La Petite fabrique du monde est un programme de six courts métrages en provenance des quatre coins du monde. Il donne à découvrir diverses techniques d’animation qui représentent avec poésie les mondes imaginaires de person-nages touchants.Faire surgir du sable ou de la neige de drôles de bonhommes, construire avec des objets glanés ici ou là le palais de ses rêves, dessiner la vie avec de la lumière, suivre une drôle de coccinelle dans un grand voyage, admirer dans une féérie de couleurs la naissance de l’univers et de l’Homme... La Petite fabrique du monde est une invitation vers l’ailleurs. La matière s’y anime comme par magie à la manière de l’enfant qui joue à s’inventer des mondes.

Ce programme est l’occasion d’aborder la notion de court métrage avec les enfants, de leur faire découvrir différentes techniques d’animation et de questionner ces moyens d’expression et de construction de mondes oniriques et imagi-naires.

SYNOPSIS

Documents pédagogiques > sur le site de Ciné32 rubrique « Actions pédagogiques »

L’affiche du filmLes dossiers pédagogiques édités par KMBO et l’AFCAdes extraits sonores des films

EN AMONT, avant la projection

Affiche, titre et synopsis

A partir de l’affiche et du titre de la programmation de courts métrages, que pensez-vous découvrir ?Savez-vous ce qu’est un court métrage ?

EXERCICE : voir fiche élève n°1

DE RETOUR EN CLASSE, après la projection

Adapté du livre homonyme de Carlo Fruttero, le film réinvente la création du monde, du Big bang à l’apparition de l’Homme en passant par celle des poissons et des mammifères, le tout en musique et en couleurs chatoyantes.

Cristina Lastrego a fait des études d’architecture à Buenos Aires et à Turin où elle rencontre Francesco Testa. Depuis plus de 30 ans, le couple a écrit et illustré plus de 180 ouvrages. Ensemble, ils ont créé leur propre société spécialisée dans le cinéma d’animation : Lastrego e Testa Multimedia.

La Création est réalisé en tissu découpé, une technique dérivée de celle du «papier découpé» dont la pionnière a été Lotte Reiniger dans les années 1920 notamment avec le film Les Aventures du Prince Ahmed. Cela consiste à découper les silhouettes, articulées ou non, des personnages et des décors pour ensuite les filmer image par image à plat. L’aspect « papier découpé » peut aujourd’hui être rendu grâce à des logiciels numériques. Dans La Création, le tissu est très colo-ré et les marionnettes en deux dimensions sont articulées : les membres et le corps sont créés séparément avant d’être reliés pour donner plus de souplesse aux figures et accroître ainsi leur indépendance. Le film est le fruit d’un véritable travail d’orfèvre puisque chaque élément - figures, plantes, animaux jusqu’à la moindre vague - est brodé.

La Création [La Creazione] de Cristina Lastrego & Francesco Testa I 2010 I Italie I 10 min I tissu découpé

Une narration par association d’idées

Le film propose une vision simple et festive de la création du monde. Ici, pas de cataclysme dévastateur ni de dino-saure, et une théorie de l’évolution assez sommaire. Le film fait preuve d’une certaine logique et fonctionne par asso-ciation d’idées et progressions. De l’obscurité naissent de petites particules lumineuses et colorées, qui, de plus en plus nombreuses éclatent en vagues bleues, envahissent le cadre puis laissent découvrir le ciel et une petite colline, etc. Le film nous entraîne dans un mouvement continu, emmené par la partition musicale, et ne prendra fin qu’une fois la création terminée.

Une Bouteille à la mer [Bottle] de Kirsten Lepore I 2012 I Etats-Unis I 6 min I stop-motion en prises de vue réelles

La Création est un film rythmé et chorégraphique. L’espace tourne un mouvement circulaire, les personnages appa-raissent au premier plan, de l’arrière vers l’avant, de droite à gauche dans un effet de surprise exagéré par un mou-vement de caméra latéral. Le déplacement des personnages réalise une chorégraphie que la musique vient appuyer.

Sur une plage, un bonhomme de sable reçoit une bouteille pleine de neige venant de la mer. Il la remplit de sable avant de la rejeter à l’eau. Dans un paysage enneigé au bord de l’eau, un bonhomme de neige récupère la bouteille et la renvoie, non sans y avoir introduit un nouvel élément. Echange après échange, les deux personnages, curieux de se rencontrer, décident de se retrouver à mi-chemin.

Kirsten Lepore a suivi des études à CalArts (Etats-Unis), l’école de cinéma d’animation créée par Walt Disney et par laquelle passa notamment Tim Burton. Spécialiste du stop-motion (animation image par image), elle est également illustratrice et a réalisé plusieurs films publicitaires parallèlement à ses travaux personnels.

Bottle est intégralement réalisé en stop-motion. L’originalité de ce projet est de n’utiliser que des matériaux naturels dans des décors naturels. Les deux personnages sont constitués de sable et de neige, conçus à l’endroit même où ils sont filmés. Ce choix peut compliquer le tournage puisque les éléments climatiques sont difficilement maîtrisables. Le passage de nuages fait parfois varier la lumière, les vagues n’ont pas toutes la même ampleur, la pluie peut ajourner le tournage… Kirsten Lepore cadre ses plans relativement large car ses personnages sont de grande taille, contraire-ment aux marionnettes généralement utilisées en stop motion. Le sable et la neige induisent une dimension poétique, puisque leur matière peut être dense ou légère, voire se dissoudre jusqu’à disparaître.

Une mise en scène dynamique

Une histoire d’amour tragique

La mer est le décor et l’élément central du film : elle est le trait d’union entre les deux personnages mais aussi ce qui les sépare. L’échange de la bouteille leur permet de communiquer, de se construire, de se connaître, chacun livrant à l’autre un élément représentatif de son environnement : algue, crabe, coquillages, aiguilles de pins, bogues de châ-taignes, branches. Les deux personnages entretiennent une correspondance quasi épistolaire, la bouteille faisant office de lettre. Ils aimeraient se rencontrer, vivre l’amour mais, malheureusement, leurs univers ne peuvent cohabiter.

Comment les personnages entrent-ils dans le cadre ? Comment les choix de mise en scène rendent-ils le film dynamique ?

EXERCICE : voir fiche élève n°2

Chinti de Natalia Mirzoyan I 2012 I Russie I 8 min I feuilles de thé, peinture

Une fourmi vit dans une décharge et ramasse un jour un timbre-poste représentant le Taj Mahal. Emerveillée par le monument qu’elle ne pourra jamais voir en vrai, la fourmi décide de consacrer sa vie à l’édification d’une réplique avec des éléments trouvés dans la décharge. Après de multiples tentatives, elle y parvient enfin, sans savoir qu’elle vit en fait au pied même du véritable Taj Mahal.

Poétique des éléments

Née en 1982 dans l’ancienne Arménie socialiste de la République Soviétique, Natalia Mirzoyan a étudié à l’Académie des Arts H. Danielyan, à l’Université d’Etat de Yerevan et à l’Institut des Arts Décoratifs Appliqués à Saint-Pétersbourg. De 2003 à 2004 elle travaille comme animatrice dans plusieurs studios d’animation arméniens. Elle vit et travaille à Saint-Pétersbourg comme animatrice et réalisatrice depuis 2004.

Chinti a été réalisé en animation « de poudre », à partir de petites particules de feuilles de thé de différentes couleurs. Il s’agit d’animation « sous la caméra » : l’animateur fait évoluer petit à petit ses personnages et son décor comme s’il animait une marionnette - contrairement au dessin animé pour lequel une feuille correspond à une image. Ici, c’est la même surface que l’on fait évoluer pour un plan de plusieurs images. Cette technique permet d’utiliser une multitude de matériaux : le papier découpé, le sable, la peinture, la pâte à modeler… Le dispositif consiste à disposer son matériau sur une table (lumineuse ou non), la caméra venant se placer au-dessus de la table, à la verticale, afin de photographier toujours selon le même angle de vue. Contrairement au cinéma en images réelles ou à l’animation en volume, les changements d’angles de prise de vue ne se font pas en déplaçant la caméra, mais en faisant évoluer le matériau lui-même. Il en résulte une animation souvent fluide, dans laquelle le spec-tateur assiste à la transformation progressive des personnages et des décors.

Pour Chinti, la réalisatrice a opté pour le multi-plan : le décor fixe est posé sous la plaque où sont animés les person-nages et quelques éléments de décor. Ainsi, le mouvement des personnages et le décor n’interfèrent pas et l’image acquiert une profondeur de champ.

Créer sa propre voie La fourmi, protagoniste de Chinti, vit avec ses congénères et obéit aux lois qui régissent la vie des fourmis. Un jour, elle décide de s’écarter de ce chemin tout tracé pour créer une œuvre d’art, quelque chose de fou mais de grand. A l’instar des plus grands artistes, elle y sacrifiera sa vie. La mise en scène, par le jeu de disproportions et d’échelle (grand/petit), par le choix des formes, incarne cette idée du dépassement de l’artiste.

Que parvient à réaliser la fourmi par amour de l’art ?A votre avis, pourquoi la protagoniste est-elle une fourmi ?

Dodu, l’enfant en carton [Dodu, o rapaz de cartão] de José Miguel Ribeiro l 2010 l Portugal l 5 min l carton, peinture

En suivant une mystérieuse coccinelle, Dodu, un enfant des villes, plonge dans un univers onirique et coloré.

Un conte décroissantNatalia Mirzoyan propose une réflexion sur l’art et sur l’usage des objets dans nos sociétés de consommation. En optant pour le recyclage comme moyen d’expression, elle propose de créer à partir de l’usagé. Sous forme de conte, la cinéaste délivre un message métaphorique sur le rapport à l’environnement, tant par le fond que par la forme choisis. Dans le cinéma expérimental, on trouve une démarche semblable - le found-footage (images trouvées) - qui consiste à faire des films à partir de rushes existants. Jean-Gabriel Périot (200 000 fantômes, Eût-elle été criminelle) et les italiens Gianikian et Ricci Lucchi sont des cinéastes adaptes du found-footage.

José Miguel Ribeiro est né en 1966 à Amadora, près de Lisbonne. A 15 ans, il commence à utiliser une caméra et apprend ainsi à donner vie à ses dessins et à ses personnages. Diplômé de l’Université des Arts de Lisbonne, il étudie le dessin et l’animation de marionnettes en Bretagne. En 1999, il termine le film Le soupçon qui obtient le Cartoon d’Or 2000.

Dodu, l’enfant en carton est réalisé en stop-motion (image par image). Le garçon ainsi que les décors sont fabriqués à partir de carton ondulé peint et la coccinelle magique a le corps d’une capsule de bouteille. Les matériaux sont rendus visibles et mettent en valeur l’aspect artisanal de la technique d’animation utilisée.

Une animation artisanale

Une réécriture d’Alice au pays des merveilles

Ce court métrage est issu d’une série de courts métrages d’animation dans lesquels Dodu et la coccinelle découvrent chaque fois un univers différent. Il s’inspire du conte Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll. Dans Dodu, la rêve-rie ne se fait plus dans la nature, mais en pleine ville, dans un immeuble ; le lapin blanc est remplacé par une sorte de coccinelle et un carton vide fait office de terrier (ou de miroir). Par ce biais, Dodu sera envoyé dans un monde parallèle et magique et, comme Alice, traversera différents mondes.

Feu follet [What light] de Sarah Wickens l 2009 l Grande-Bretagne l 4 min l lumière animée en stop-motion

Du lever au coucher du soleil, la lumière qui entre par la fenêtre d’un petit appartement joue avec les obstacles qu’elle rencontre, se transformant en un personnage lumineux indépendant.

Sarah Wickens a suivi des études d’Arts et design en Grande-Bretagne. En 2007, elle réalise le court métrage d’anima-tion The Elephant in the Room. Passionnée d’animation depuis qu’elle a réalisé son premier flip-book, elle aime tester différentes techniques. Feu follet est son film de fin d’études.

Comment le son donne-t-il vie à l’image ?Quel sentiment vous inspire ce fantôme lumineux ?

EXERCICE : Ecoutez l’extrait sonore de Feu follet mis en ligne sur le site de Ciné32. A votre avis, quels matériaux le réalisateur a-t-il utilisés pour fabriquer le son ?

Une main filmée en prises de vue réelles dessine deux personnages sur une feuille de papier. Alors qu’elle en esquisse un troisième, la sonnette et le téléphone sonnent tour à tour, les laissant seuls prendre vie. Les deux premiers jouent et se moquent du troisième personnage qui n’est pas terminé. Le dessinateur poursuit peu à peu la création de celui qui deviendra finalement Le Grand frère.

Le Grand frère [Der grosse Bruder] de Jesús Pérez et Elisabeth Hüttermann l 2010 l Allemagne - Suisse l 6 min l dessin animépixilation

Quels outils le cinéaste d’animation utilise-t-il? A votre avis, combien de dessins a-t-il créé pour réaliser son film de 6 minutes ?

EXERCICE : voir fiche élève n°4

En quoi les matières et les couleurs utilisées participent-elles de la création d’un monde onirique ?Quelles différences observez-vous entre la ville et le monde magique ? Justifiez votre réponse par des éléments de mise en scène.

EXERCICE : voir fiche élève n°3

Un film de fantômes

Animer de la lumièreLa lumière et le son en sont les personnages principaux. Sarah Wickens s’est aidée d’un miroir de poche pour donner à la lumière les formes souhaitées et a utilisé la technique du stop-motion (image par image) pour faire évoluer le rayon lumineux à sa guise.Le son joue un rôle essentiel dans Feu follet, donnant à la lumière et au mouvement un aspect presque matériel.

Feu follet s’apparente à un film fantastique, et plus précisément à un film de fantômes, dans lequel un esprit s’incarne-rait en forme lumineuse. Telle un vampire à l’envers, celle-ci n’existe qu’à la lumière du soleil et disparaît à la nuit tom-bée. Cette vie indépendante est pourtant rattrapée par le temps qui passe : la lumière décline peu à peu, le personnage se fait moins éclatant, puis est happé par l’obscurité, le néant.

La petite fabrique d’un film d’animation

Un hommage aux débuts de l’animation

La technique apparaît en tant que telle dans Le Grand frère, puisque le cadre, réduit dans les dessins animés tradition-nels aux dimensions du décor est ici élargi. On y découvre le corps et les outils du créateur (table à dessin, les crayons, gomme, pages blanches). Le numéro des pages visible en haut à droite de la feuille à dessin dévoile au spectateur ce qui lui est normalement caché : alors que le mouvement des personnages semble fluide, on s’aperçoit que le nombre de pages est extrêmement élevé puisqu’il faut 24 images pour créer une seconde d’animation.

En mettant en scène la technique du dessin animé, Le Grand frère rend hommage aux débuts du cinéma d’animation et notamment au personnage de Koko le Clown créé par les frères Fleischer en 1919.

Jesús Pérez est né en Bolivie en 1954. Il commence sa carrière en 1975 comme illustrateur puis s’intéresse au cinéma d’animation, et plus particulièrement au dessin animé. Il a réalisé 16 courts métrages d’animation. Elisabeth Hütter-mann est née en Suisse en 1943. Dessinatrice de formation, elle est également productrice. Elle a créé le magazine pour enfants « Chaski » avec Jesús Pérez en 1983.

Les photogrammes suivants sont extraits des 6 courts métrages. Regroupez-les par film. Attention, il y a un piège !

FICHE ELEVE N°1 / A la découverte des films

FICHE ELEVE N°2 / La chronologie de Bottle

Reconstituez l’histoire de Bottle en plaçant les photogrammes dans l’ordre du film.

FICHE ELEVE N°3 / S’initier au «montage»

Découpez les photogrammes suivants et inventez une nouvelle histoire en les plaçant dans l’ordre de votre choix.

FICHE ELEVE N°4 / Les coulisses du cinéma d’animation

Analysez ce photogramme. Quels éléments techniques propres au cinéma d’animation l’auteur nous livre-t-il ?

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