5
La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 Dossier Les incroyables talents du village pages 4-5 La Revue « L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos N°26 - 2017 Focus Parcours d’anciens du village, Linda chef de rang page 6 Brèves Tour d’horizon 2016 page 7 Édito Un monde intérieur à révéler page 3

La Revue - AccueilLa Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 Dossier Les incroyables talents du village pages 4-5La Revue « L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos

  • Upload
    others

  • View
    1

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: La Revue - AccueilLa Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 Dossier Les incroyables talents du village pages 4-5La Revue « L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos

La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017

DossierLes incroyables talents du village pages 4-5

La Revue« L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos N°26 - 2017

FocusParcours d’anciens du village, Linda chef de rang page 6

BrèvesTour d’horizon 2016 page 7

ÉditoUn monde intérieur à révéler page 3

Page 2: La Revue - AccueilLa Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 Dossier Les incroyables talents du village pages 4-5La Revue « L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos

19, rue Sadi Carnot - 92120 MONTROUGEN° SIREN : 419 682 398 - Code APE : [email protected]

Date de création : 9/12/1992 parution au J.O. sous le nom de « Enfance Espérance »Association loi 1901, d’intérêt général

Objet : Initier et développer en France et dans le monde, des projets d’aide à l’enfance défavorisée.

Changement de nom : 29/10/1997 parution au J.O. sous le nom de « Cap Espérance »

Régime fiscal : Par décision du 24/03/2003 de M. le Préfet des Hauts-de-Seine, Cap Espérance voit son statut d’association de bienfaisance renouvelé. En vertu des articles 200-1 et 238 bis-2 du Code Général des Impôts, les dons ouvrent droit à une réduction d’impôt.

Conseil d’AdministrationChristophe ALEXANDRE, présidentJean-Pierre RICHARD, vice-présidentAnne BOYARD, trésorièreSylvie NECTOUX, secrétaire généraleMathilde BLUTEAU, administratriceEmmanuel BORDIER, administrateur Marie-Laure DAMAS, administratriceGéraud de LINARES, administrateurMarie-Hélène RICHARD, administratriceBonabes de ROUGÉ, administrateur

Coordonnées en LettonieVillage d’enfants de GrašiLV4871 Cesvaïne - LettonieTél.: + 371 648 52 702 - Fax : + 371 648 52 081www.grasufonds.lv - [email protected]

Revue Cap EspéranceDirecteur de la publication : J-P. Richard.Rédacteur en chef : Sylvie Nectoux.Rédaction : S. Nectoux, C. Alexandre.Photos : Cap Espérance.Maquette : Sylvie Nectoux et Pierre Mouty.Impression : Société Nouvelle France Ouest

Imprim.Dépôt Légal : juillet 1994.ISSN : 2106-3249

Varsovie

Vilnius

Minsk

Riga

Graši

Stockholm

Copenhague

Tallinn

Berlin

Lituanie

Lettonie

Allemagne Pologne

Danemark

Suède

Estonie

Biellorussie

Russie

Édito

Connectez-vous

Christophe ALEXANDREPrésident de Cap Espérance

La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 20172 3

Macksis dessine

Tout portrait qu’on peint avec âme est un portrait, non du modèle, mais de l’artiste.Oscar Wilde « Le portrait de Dorian Gray ».

Connectez-vous sur le site du village d’enfants www.capesperance.fr Actualités à découvrir au quotidien dans le notre blog www.capesperance.fr/le-blog

Écrivez-nous : [email protected] et demandez à recevoir des nouvelles régulières en provenance du village.

Optimisez votre fidélité à Cap Espérance et optez pour le virement automatique. La gestion du village en sera facilitée.

Virement à établir auprès de votre banque à l’ordre de Cap Espérance. Agence BNP Montrouge Place Gabriel Guerchy. IBAN : FR7630004001620002713737233 - BIC : BNPAFRPPPAK

Un monde intérieur à révéler

La grande crainte des éducateurs est de passer à coté de la souffrance d’un enfant sans la détecter et sans pouvoir y remédier. C’est pourquoi durant l’été, avec le précieux concours d’artistes reconnus, nous avons voulu permettre

aux enfants de s’exprimer autrement.

Ce qui allait sortir de cette expérience, personne ne pouvait l’imaginer.

Vous connaissez peut être cette histoire d’un artiste qui sculpte une crèche. Un gamin le regarde et lui demande : « Mais comment savais-tu que Jésus était caché dans ce morceau de bois ? ». Cette anecdote illustre à sa manière ce que nous attendons des ateliers. Permettre la révélation d’un monde intérieur, à cette nuance près que les enfants sont à la fois modèles et réalisateurs.

Regardez la photo du gamin au ballon prise par un autre enfant : il regarde sur la droite, il y a quelqu’un qui n’est pas dans le cadre, qui manque, qu’il appelle, qu’il espère. Dans ce même regard, la tristesse de la résignation…

Serré sous son bras, le ballon trop gros, qu’il ne veut pas perdre, à la fois comme un trésor ou une bouée de sauvetage, on ne sait pas.

Merveilleuse image qui, comme une fenêtre entr’ouverte, nous révèle une part de la complexité et de la beauté du monde intérieur de cet enfant…

Apaiser, restaurer une image positive de soi même devient possible si l’enfant s’est d’abord exprimé. Souffrance cachée et talent enfoui vont souvent de paire, comme les deux faces d’un même objet. La motivation est donc double. Ce travail de restauration de la personne peut être rapide. Bien souvent, il ne faut pas se leurrer, c’est l’affaire d’une vie.

À chacun de trouver sa voie, avec ses plaies et ses bosses, cahin-caha d’avancer dans la vie. Mais les épreuves sont aussi une force et la résilience est là...

Comment ne pas admirer Linda, 28 ans, dont la vie est désormais marquée par le dynamisme, l’élégance et le raffinement ? Un pied de nez au destin…

numéro 26La Revue

Page 3: La Revue - AccueilLa Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 Dossier Les incroyables talents du village pages 4-5La Revue « L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos

L’atelier photo par Jean-Michel

Thirion

Cap Espérance : Comment avez-vous procédé pour susciter l’intérêt des enfants pour la photo ?

Jean-Michel : Je leur ai proposé chaque jour différents thèmes : balade photographique, autoportrait,

photographier les autres, séance de mode, reportage d’un mariage qui a vraiment eu lieu à proximité, les

métiers du village, variations sur la couleur, travail sur des séries et détecter ainsi les styles photographiques.

Cap Espérance : Quelle est votre impression sur l’investissement des enfants ?

Jean-Michel : Chacun a répondu à sa façon. Certains ont regardé ça de loin, mais d’autres se sont emparés

de l’outil photographique à pleines mains. Il n’était pas question de forcer les enfants, mais d’accompagner ceux

qui le souhaitaient à découvrir leur environnement, leur vie au village, ou leurs émotions. Les plus assidus ont

rapidement utilisé l’appareil photographique comme un moyen d’expression à part entière.

Cap Espérance : Des anecdotes à nous confier ?

Jean-Michel : Chaque image réalisée est une anecdote en elle-même. L’adage dit qu’une image vaut 1000

mots, et des milliers d’images ont été réalisées. C’est un livre complet qu’on pourrait écrire... Ce qui est certain,

c’est que quelques enfants ont décidé de se livrer sans retenue et c’était magique...

Pendant l ’été 2016, deux pro jets ont été menés conjointement : un atelier d’initiation à la photogra-phie et un atelier de peinture.

Ces projets, tout en stimulant les capacités créatrices des enfants, ont pour véritable but de révéler une part encore inconnue d’eux-mêmes et de leur monde intérieur. Pour un

certain nombre d’enfants qui n’arrivent pas à exprimer leurs souffrances avec des mots, une photo ou une toile nous apprennent beaucoup sur la vision qu’ils ont d’eux-mêmes, de leur environnement, du monde.

Un professeur de photogra-phie, Jean-Michel Thirion et une artiste-peintre, Alexandra

de Prinsac, ont partagé leur passion avec les enfants du village.

Cap Espérance donne la parole au photographe, Jean-Michel, et à l’artiste-peintre, Alexandra, pour raconter cette aventure.

Le retour d’expérience des artistes eux-mêmes nous conforte dans l’idée qu’il y a

une ficelle à tirer, il y a chez certains enfants un besoin d’exprimer des choses qu’on aurait tort de ne pas entendre. Ces expériences d’expres-sion non-verbale seront donc poursuivies et approfondies…

Les photos choisies pour ce numéro 26 ont majori-tairement été prises par les enfants.

L’atelier peinture par Alexandra de Prinsac

Cap Espérance : Comment amenez-vous les enfants à appréhender la technique de la peinture ?

Alexandra : Les enfants créent leurs tableaux, leurs propres œuvres à partir de modèles que je leur propose. Le modèle choisi n’en reste pas moins une trame que l’enfant va illustrer, adapter à sa façon. Malgré l’imposition d’un modèle, sa créativité reste intacte et va, d’une façon ou d’une autre, sortir du cadre.

Cap Espérance : Que pensez-vous des capacités créatives des enfants ?

Alexandra : Les enfants ont beaucoup de choses à dire au bout de leur pinceau et j’ai été étonnée par leur approche instinctive de la peinture. On le constate dans le travail d’ombres et de relief, dans les solutions trouvées comme, par exemple, celle de faire sortir directement la peinture du tube et l’étaler avec ses doigts. L’inspiration est immédiate, l’angoisse de la toile blanche n’existe pas pour eux.

Cap Espérance : Avez-vous détecté des talents et des envies de continuer à peindre ?

Alexandra : En effet, certains sont doués et inventifs, d’autres minutieux et appliqués. Chacun son approche mais on sent un véritable travail de construction et d’envie de traduire son imaginaire.

Depuis plusieurs années, nous avons sollicité des artistes pendant l’été pour proposer aux enfants des ateliers qui laissent libre cours à leur créativité : initiation à l’art du graffiti, improvisation théâtrale, initiation à la musique, atelier d’écriture… un éventail d’activités qui nous permettent de comprendre autrement les enfants.

Photographier et peindre pour se révéler ?

Les incroyables talents du villageDossier

La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 20174 5

Page 4: La Revue - AccueilLa Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 Dossier Les incroyables talents du village pages 4-5La Revue « L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos

Brèves

1 - En mai, les partenaires de Cap Espérance – entreprises, associations, écoles et particuliers – sont venus en Lettonie. Un voyage à la rencontre des enfants du village, qu’ils soutiennent soit financièrement soit par un partenariat scolaire ou en étant famille d’accueil. Ces quelques jours leur ont permis de vivre à l’heure du village, de nouer des contacts plus personnels avec certains enfants. Des échanges concrets et précieux, notamment avec le personnel éducatif, pour ces « ambassadeurs » de notre projet.

Parcours d’anciens du village - n° 2

Linda, chef de rang sur les Bateaux Parisiens

Linda est arrivée à l’âge de dix ans au village et y est restée jusqu’à

sa majorité. Après son baccalauréat en Lettonie, elle a choisi de partir en France pour suivre une formation en hôtellerie-restauration. Son diplôme en poche, après avoir hésité entre la France et son pays auquel elle reste très attachée, elle a décidé de faire ses armes dans de grands restaurants français.

Depuis quelques années, elle occupe le poste de chef de rang sur les Bateaux Parisiens renommés pour leurs programmes haut de gamme de croisières sur la Seine. Bravo pour l’enthousiasme et le professionnalisme de Linda. Son parcours original est un exemple de réussite pour nos enfants et un encouragement pour les éducateurs.

Cap Espérance : Tu parles letton et russe, ces deux langues représentent-elles un avantage dans ton métier ?

Linda : Sur les bateaux, les serveurs parlent tous plusieurs langues. Lorsque ça arrive mais c’est assez rare, on me confie d’office l’accueil de clients venus de mon pays. Ils sont bien entendu ravis de pourvoir échanger dans leur langue et en profitent pour poser de multiples questions. En revanche je suis sollicitée chaque semaine pour accueillir la clientèle russe beaucoup plus nombreuse à Paris.

Cap Espérance : Comment vois-tu la suite de ta carrière ?

Linda : Je suis passionnée par ce que je fais et j’aime mon métier pour la variété et la qualité des contacts qu’il m’offre. Je suis fière de porter, à travers un service et une gastronomie, l’image de l’entreprise dans laquelle je travaille. Mon objectif est de gravir les échelons et de gagner en responsabilités. À court terme je voudrais devenir assistante maître d’hôtel et diriger une équipe.

1993 Fondation du village d’enfants

sur le site de Graši. Début des travaux de rénovation.

1995 Inauguration officielle

(premier orphelinat privé des Pays Baltes).

1998 Graši accueille désormais une trentaine d’enfants

en provenance de toute la Lettonie.

2003 Lancement

du projet de la ferme pédagogique.

2006 Accueil des premiers enfants

souffrant d’un handicap mental léger.

2009 La crise économique a frappé de plein fouet la Lettonie. Nous avons dû prendre des mesures

drastiques pour préserver l’existence du village.

2012 Nomination de Sandra Stade,

nouvelle directrice du village d’enfants

2015 Le village d’enfants

a 20 ans.

2 - En juin, pour le remercier du travail accompli, Cap Espérance a invité en France le personnel du village. Éducatrices, cuisinières, assistante sociale, toutes se sont retrouvées à Paris puis à Royan, rejointes par une quinzaine

de jeunes, anciens du village, arrivés d’Allemagne, d’Angleterre et des quatre coins du pays. Quand certaines éducatrices retrouvaient « leurs petits », d’autres plus récentes constataient en échangeant avec ces jeunes combien le sentiment de faire partie d’une grande famille les habitait. Côtoyer ces jeunes épanouis et équilibrés fut à la fois rafraîchissant et dynamisant… Émotions garanties.

Sensibilisation aux dangers d’internet : réfléchir avant de cliquerComme tous les jeunes, les enfants du village surfent sur internet et communiquent sur les réseaux sociaux. Images choquantes ou amis mal intentionnés sur FaceBook : une sensibilisation aux dangers qui menacent les enfants a été organisée cet été avec l’intervention de deux policiers spécialisés dans le domaine.

Soutien psychologiqueDepuis septembre 2013, une psychologue lettone se rend au village chaque semaine pour recevoir les enfants individuellement. Cette année, nous avons doublé son temps de présence de façon à répondre au cas par cas aux problèmes et assurer un soutien dans la durée.

Focus

Cap Espérance : Tu es lettone, tu as choisi de partir en France pour faire tes études et asseoir ta vie professionnelle, es-tu toujours sûre de ton choix ?

Linda : La vie parisienne me convient bien, même s’il m’arrive d’avoir quelque fois le mal du pays. J’ai pris mes habitudes en France, c’est ma deuxième patrie, j’ai adopté sa culture et j’y ai construit ma vie d’adulte.

Cap Espérance : Depuis combien de temps travailles-tu sur les Bateaux Parisiens et en quoi consiste exactement ta mission ?

Linda : Je travaille dans cette entreprise depuis bientôt quatre ans. J’accueille les clients et suis à leur service pendant la durée de la croisière : je les conseille sur le menu, les vins et parfois même je les renseigne sur les monuments. J’ai la chance de travailler dans un cadre exceptionnel, au sein d’une équipe dynamique et soudée.

Devenir famille d’accueil pendant l’étéSi vous souhaitez accueillir un enfant l’été, les formalités à remplir sont à consulter sur le site internet : www.capesperance.fr rubrique Comment nous aider / Devenir famille d’accueil.

La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 La Revue Cap Espérance · numéro 26 - 20176 7

Deux événements phares pour fêter les 20 ans du village

Page 5: La Revue - AccueilLa Revue Cap Espérance · numéro 26 - 2017 Dossier Les incroyables talents du village pages 4-5La Revue « L’espérance est un risque à courir » Georges Bernanos

Mme, Mlle, M. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Société . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E-mail (écrire en MAJUSCULES) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

fait un don à Cap Espérance - 19, rue Sadi Carnot - 92120 MONTROUGE

❏ Par virement à établir auprès de votre banque à l’ordre de Cap Espérance Agence BNP Montrouge Place Gabriel Guerchy IBAN : FR7630004001620002713737233 - BIC : BNPAFRPPPAK

❏ Par chèque à établir à l’ordre de Cap Espérance

❏ Souhaite que Cap Espérance adresse la revue de votre part à :Mme, Mlle, M. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Société . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E-mail (écrire en MAJUSCULES) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Déduction fiscaleParticuliers : déduction de 66 % du don dans la limite de 20 % du revenu imposable.Entreprises : déduction de 60 % du don dans la limite de 5 pour mille de votre chiffre d’affaires.

L’association Cap Espérance est habilitée à recevoir des dons et des legs.

Bulletin de soutien

Heureux évènementsEdgars, voir Focus de la revue 25, a épousé Zane à Riga le 17 septembre 2016. Ils attendent un heureux événement pour le début de l’année 2017. Comme Roberts et Noélia à Marseille ou Silvija en Angleterre, les familles s’agrandissent. Les anciens du village ont pris leur vie en main, et comme beaucoup de jeunes, fondent une famille et construisent l’avenir.

Le village en deuil En 2015 et 2016, deux tragédies sont venues endeuiller la grande famille du village.

Adultes et enfants qui ont connu Rodions ou Sigita se souviennent de leur sourire et de leur générosité.

Rodions, 26 ans pour l’éternité, victime en janvier 2015 du conflit armé en Ukraine, a vécu au village de 1996 à 2004,

Sigita, 19 ans pour l’éternité, décédée tragiquement le 1er novembre 2016, a vécu au village de 2007 à 2015.

Nous les savons maintenant dans la lumière à veiller sur le village…

Travaux en cours Les murs de la nouvelle maison d’accueil sont sortis de terre cet été. L’ouverture est prévue pour la rentrée 2017 pour héberger huit nouveaux enfants.Système de chauffage et équipement restent à financer.Pour en savoir plus sur le financement du projet : www.capesperance.fr/la nouvelle maison

Brèves