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L’ECHO DE

SAINT BONNET DE SALERS

Le mot du maire

Une année qui passe, rien n'est plus banal, plus automatique, plus inévitable et pourtant, même les

plus désabusés d'entre nous ne peuvent s'empêcher de voir dans cette arrivée d'un nouveau millésime,

le début d'un nouvel optimisme.

Au quotidien, vos élus, vos entreprises, vos associations agissent pour vous. Nous avons tous à cœur

de donner le meilleur de nous-mêmes pour faire de notre territoire un espace toujours plus agréable à

vivre. Un grand bravo à toutes celles et tous ceux qui s'engagent pour les autres ; il n'est pas de tâche

plus difficile mais aussi plus épanouissante. Un grand merci à toutes celles et ceux qui font vivre le

service public : nos enseignants, les agents publics (cantinière, agents d'entretien, les agents postaux,

les pompiers, notre brigade de gendarmerie, notre factrice toujours si ponctuelle).

Nous souhaitons que ces engagements divers mais complémentaires pour la cause publique perdurent

dans le temps. Un mot plus particulier sur notre communauté de communes dont l'utilité, je crois,

n'est plus à démontrer. Elle est connue et reconnue de tous et il est bien certain que plusieurs dossiers

importants n'auraient pas connu un aboutissement si rapide sans le volontarisme des élus du Territoire

qui ont choisi de construire des projets.

Je voudrais maintenant avec l'ensemble des élus et du personnel communal vous offrir tous nos

meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Que 2018 vous apporte joie, bonheur et santé ; qu'elle soit

pour vous tous, une année d’efforts récompensés et de joie en famille.

Très belle année à toutes et à tous !! Colette Dauzet

Bulletin de décembre 2017 (I.P.N.S. ne pas jeter sur la voie publique) Adresse courriel du journal : journalsaintbonnetdesalers@laposte.net

(Possibilité de consulter l’ensemble des bulletins sur le site de la commune : www.saintbonnetdesalers.fr/ )

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Inauguration du site de méthanisation de St Bonnet de Salers

C'est le samedi 30 septembre qu'a eu lieu l'inauguration de l'unité de méthanisation de notre

commune. En présence d'un important parterre de personnalités* de tous horizons, Mr Jacques

Mézard ministre de la Cohésion des Territoires a procédé à l'inauguration en coupant le Ruban

Traditionnel. « Je suis convaincu que la méthanisation est un des vrais moyens de demain pour

produire de l'énergie mais aussi au point de vue économique pour faciliter le fonctionnement

de nombre de nos exploitations » a déclaré le ministre. Cette structure est la seule existante en

Auvergne. Méthaniser les effluents de l'élevage permet de produire du gaz ensuite transformé en

chaleur et électricité. Elle est alimentée par les effluents des fermes proches, des tonnes d’intrants

issues d'une dizaine d'étables des alentours. Pour chaque tonne traitée par le méthaniseur, les

agriculteurs reçoivent entre 1,5 et 2 €. Le biogaz permet de produire à la fois chaleur et électricité.

La proximité de la coopérative laitière permet une valorisation de la thermie.

La fourniture de cette énergie revient 30% moins chère que le propane ou le fuel et le prix est

prédictible sur 15 ans ; l'objectif est de déployer plus de 1 MW à l'horizon 2019 avec une capacité de

traitement de 50000 tonnes d'effluents d'élevage par an et de déchets verts.

L'investissement global représente près de 3,6 millions d'euros.

Prés de 80% des investissements ont bénéficié à des entreprises locales. Le constructeur Méthajoule

a noué un partenariat industriel avec l'entreprise Matière pour le développement de solutions béton

conçues et réalisées sur le site d'Arpajon sur Cère.

Les premiers travaux ont démarré fin novembre 2015 pour une mise en service courant mars 2017.

*Les personnalités présentes reçues par les partenaires de Méthajoule et Salers Biogaz :

Mrs Jean-Michel Louvradoux et Olivier Bouttes.

Mme Isabelle Sima préfet du Cantal.

Mme Guillot Juin sous- préfet de Mauriac.

Mme Josiane Costes, sénatrice du Cantal.

Mr Jean-Yves Bony Député de la circonscription.

Mr Bruno Faure Président du Conseil départementale et Président de la Communauté de Communes du Pays de

Salers.

Mr Jean-Pierre Audy, Député européen.

Mr Bernard Villaret, président de la chambre de commerce et de l’Industrie du Cantal

De nombreux conseillers départementaux.

Les maires de la Communauté de Communes du Pays de Salers.

Colette Dauzet

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Comice cantonal du pays de Salers

Il s'est tenu cette année à Saint Bonnet le 9 septembre de retour au bout de 3 ans après Anglards et

Salers. Ce fut un comice jamais égalé de par la quantité des animaux présentés, environ 410,

équivalent à un concours national d'il y a 20 ans, et bien sûr la qualité fut remarquée par de nombreux

visiteurs tout au long de la journée. 400 convives ont participé au repas servi sur place. La journée a

été clôturée par le tirage d'un feu d'artifice un peu contrarié par une ondée.

Les éleveurs du cru toujours volontaires pour faire la promotion de la race Salers se sont retrouvés

lors du 143ème Concours National organisé au Stade équestre du Sichon en plein cœur de la ville de

Vichy et enfin, ils furent accueillis le 9 octobre au Sommet de l'élevage à Cournon où ils purent, une

nouvelle fois présenter les meilleurs produits de leurs élevages.

Félicitations aux exposants qui portent haut la renommée de l’élevage Salers communal qui perdure

depuis 1860.

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Baisse des dotations attribuées par l'Etat.

C'est une réalité dont la presse en général et les médias se font largement l'écho de rapporter les

réductions drastiques infligées aux communes.

Voyons ce que cela représente pour notre commune pour les 5 dernières années :

1. 2013 138392 2. 2016 125930

3. 2014 136418 4. 2017 124941

5. 2015 131615 soit une baisse cumulée de 10%.

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ELAGAGE DES ARBRES DEBORDANT SUR LA VOIE PUBLIQUE

Concernant les plantations issues des propriétés riveraines qui empiètent sur des parties de routes

départementales, dès lors qu'elles sont situées en agglomération, c'est le maire, dans le cadre des

pouvoirs de police qu’il détient aux termes de l’article L. 2212-2 du code général des collectivités

territoriales, qui peut imposer aux riverains des voies, de procéder à l’élagage ou à l’abattage des

arbres de leur propriété, menaçant de tomber sur les voies, dès lors que cela porte atteinte à la sûreté

et la commodité du passage.

Le département est le propriétaire et le gestionnaire des routes départementales. Il doit à ce titre

assurer l’élagage des plantations qui sont situées sur leur propre emprise, qu’elles soient situées en

agglomération ou en dehors.

En outre, le maire est compétent pour établir les servitudes de visibilité prévues à l’article L. 114-2

du code de la voirie routière, qui peuvent comporter l’obligation de « supprimer les plantations

gênantes » pour les propriétés riveraines des voies publiques.

Enfin, le maire peut aussi, sur la base de l’article R. 116-2 du code de la voirie routière, punir d’une

amende prévue pour les contraventions de cinquième classe ceux qui : « en l’absence d’autorisation,

auront établi ou laissé croître des arbres ou haies à moins de deux mètres de la limite du

domaine public routier ».

Il convient de noter que l’exécution d’office de l’élagage des plantations privées riveraines d’une

voie, aux frais des propriétaires défaillants, est prévue pour les chemins ruraux, en vertu de l’article

D. 161-24 du code rural et de la pêche maritime, ainsi que pour les voies communales, depuis

l’insertion d’un nouvel article L. 2212-2-2 dans le code général des collectivités territoriales par

l’article 78 de la loi n° 2011-525 du 17 mai 2011 de simplification et d’amélioration de la qualité du

droit.

JO de l ‘Assemblée nationale du 20 septembre 2011, n° 106050

Jean louis FRAYSSE

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23 ème session d’Accueil d'actifs en Pays de Salers.

Cette 23ème session s'est déroulée du 18 au 20 octobre en Pays de Salers. Ce type de session est

organisé par le Conseil Départemental, les chambres consulaires, Cantal Destination et, cette année

par la Communauté de Communes du Pays de Salers ; chaque année une vingtaine de participants

extérieurs au Cantal vient s'imprégner et prendre connaissance des opportunités d'installations dans

des domaines aussi divers que l'agriculture, l'artisanat, le tourisme, le commerce... La première

journée a été l'occasion de faire découvrir une partie du Territoire et les réalisations importantes et

structurantes en cours. Le second jour, s’ensuivirent une présentation du parcours d'un repreneur, puis

des rencontres avec des entreprises locales par exemple, la Coopérative laitière de notre Commune

où les visiteurs découvrirent avec enthousiasme le Salers, sa fabrication et un atelier de production

de charcuterie fermière.

Une soirée festive fut organisée au Domaine du Fau et permit une rencontre avec les élus du Pays de

Salers ainsi que l'ensemble des partenaires et des accompagnants.

Chacun des participants présenta son projet puis échangea avec les invités ; au fil des discussions, des

pistes ont été lancées et c'est au cours du forum organisé le lendemain que les professionnels de

l'accompagnement : organismes consulaires, financeurs, S.A.F.E.R., recueillirent les témoignages de

l'efficacité de l'organisation qui a permis de faire mûrir leurs intentions.

La présentation du dernier film produit par l'Equipe de Rad-Cow permit à tous de passer un bon

moment de détente et apporta l'assurance de l'importance de la motivation pour la réussite d'un projet.

Changer de vie peut passer par une installation dans le Cantal.

Colette Dauzet

Le Cantal : Département le plus ensoleillé d’Auvergne Rhône-Alpes.

Il y a 2 ans, le Cantal faisait le buzz en refusant de passer à l'heure d'hiver. Dans un article satirique

le Cantal déclarait ne pas vouloir retrancher une heure à sa montre pour gagner des heures de soleil

et devenir le département le plus ensoleillé d'Auvergne Rhône-Alpes. Cette blague avait à l'époque

fait beaucoup parler dans les médias et elle avait été relayée par près de 10 millions de personnes.

Aujourd'hui, ce n'est plus une blague puisque l'internaute, en s'appuyant sur les données de Météo-

France a classé le Cantal 14ème département le plus ensoleillé de France en 2016 soit le premier de la

région AURA avec 2089 heures de soleil contre 1979 heures pour le Rhône 2ème département de la

Région et 27ème au rang national.

Cantal Destination avait posté sur ses réseaux sociaux en 2016 un classement des villes les plus

ensoleillées de France sur la période estivale classant Aurillac 2ème sur la scène nationale.

Colette Dauzet

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BLANCHE OU L'ENFANT DU PAYS VERT (suite)

Résumé : Blanche et Jeanne ont pris le chemin de Paris, relevant le défi d'un nouveau départ, loin

du pays natal, des proches et du deuil.

IX LA VIE PARISIENNE

Prendre ses quartiers à Paris au printemps relève de la magie : la lumière inonde tout, même les plus

gris des édifices s'égayent, le parc à proximité de l'immeuble est empli du chant des oiseaux et

parsemé de fleurs multicolores, l'appartement lui-même prend la lumière par tous les pores, illuminant

les rideaux d'une teinte irisée et chatoyante, donnant aux meubles une couleur de miel que la patine

du temps embellit. Deux petites chambres douillettes, un salon modeste mais élégant et une cuisine

de poupée sont le cadre de vie de Jeanne et sa fille. Après quinze jours d'effort ininterrompu, elles ont

su transformer cette maison de poupée en cocon chaleureux.

Vient donc le mois de juillet qui laisse place à la découverte de la ville que mère et fille ne voyaient

jusqu'alors qu'à travers les trois modestes pièces de leur appartement et de courtes promenades dans

le parc, histoire de sortir du rangement et de la confection des rideaux et autres parements.

Après un trajet mémorable en métro et plusieurs erreurs de parcours, malgré la bienveillance des

poinçonneurs débordés, cet édifice souvent admiré sur les carte postales qu'est la tour Eiffel, s'est

imposé dans ses dimensions réelles, trônant majestueusement au cœur du parc du Champ de Mars,

laissant Jeanne et Blanche sans voix et nez en l'air, subjuguées.

Prenant de la hauteur, avec une sensation de léger vertige, elles découvrent alors l'horizon parisien et

ses merveilles, toisant de haut les Champs Élysées, de l'Arc de Triomphe à la place de la Concorde,

surplombant de tous côtés les quartiers et bâtiments historiques de la capitale, émerveillées.

S'en suit une longue marche sur les Champs Élysées et leurs boutiques somptueuses qui les laissera

épuisées mais heureuses, avant de s'en retourner dans le petit nid aménagé aux abords du quartier

latin et à deux pas du jardin des Plantes dont elles sont devenues d'assidues visiteuses.

Demain, Jeanne effectue sa « rentrée » dans la maison Lanvin, sa future patronne lui ayant octroyé

quelques jours de répit afin de s'installer sereinement dans sa nouvelle vie.

Elle est à la fois exaltée et inquiète, exaltée à l'idée de découvrir cette grande maison de couture et les

merveilleuses possibilités qui s'y rattachent, et inquiète, tout d’abord à l'idée de laisser Blanche seule

des jours entiers avant que la rentrée des classes n'ait lieu, et aussi de savoir quel accueil lui feront les

petites mains déjà en place.

Jules lui a promis de venir passer quelques jours avec elles durant l'été, et de s'occuper de Blanche

durant son séjour, mais il ne pourra se libérer qu'une semaine au plus et Paris est une ville où il ne

fait pas bon laisser seule une toute jeune fille de bientôt quinze ans.

« Tu ne sors qu'au beau milieu de la journée, pas plus loin que le quartier, si tu as un souci tu peux

demander secours à la gardienne, madame Lebon, elle est prévenue, et ne parle pas aux inconnus,

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surtout ! J'espère que tu ne vas pas trop t'ennuyer toutes ces journées, toute seule...tu as bien noté

l'adresse de mon travail, le numéro de téléphone, en cas d'urgence uniquement, bien-sûr, tu... »

« Maman, calme-toi, tout va bien se passer, je ne suis plus un bébé, je prendrai soin de moi et serai

prudente, j'ai de la lecture et le parc pour prendre l'air, pars tranquille et profites bien de ta journée,

allez, s'il te plaît, va t'en !!!

Le cœur serré, Jeanne pris le métro en direction des beaux quartiers, prise d’une sensation de vertige

intense qui ne passerait pas ce jour-ci.

Merveilleux Faubourg Saint Honoré...Madame, comme l'appelaient les employés, l'avait confiée aux

bons soins de la première d'atelier, une femme d'apparence sèche et froide dont le pouvoir sur les

petites mains ne souffrait aucune contestation, mais dont elle découvrit vite les grandes qualités

professionnelles et humaines.

Elle fut brièvement présentée aux ouvrières et prit sa place aux côtés de celle qui était chargée de sa

formation, une certaine Geneviève, une petite femme replète au sourire indétrônable qui fit preuve de

beaucoup de bienveillance auprès de son élève tout au long de la journée et dans les semaines à venir.

Jeanne apprenait vite et se sentit tout de suite dans son élément. Elle commençait bien-sûr au bas de

l'échelle, pour ne pas éveiller la jalousie de ses nouvelles collègues, mais Marie-Blanche de Polignac,

fille de Jeanne Lanvin, lui avait promis une ascension à la hauteur de son talent et ne doutait pas

qu'elle se fasse rapidement.

Cette première journée de travail se déroula sans que Jeanne ne la sente passer tant elle se sentait dans

son élément. Ses compagnes étaient toutes très talentueuses et d'agréable compagnie.

Ce n'est que quand sonna la fin de la journée qu'elle eut une pensée inquiète pour sa fille. Elle n'eut

alors qu'une envie : la retrouver.

Blanche était sagement assise sur le canapé du salon, un livre à la main, et vint enlacer sa mère en la

faisant joyeusement virevolter dans la pièce.

Les deux jeunes femmes se racontèrent leur journée respective et Jeanne, rassurée, ne pensa plus

qu'au lendemain et à ses surprises.

Blanche s'était fait une camarade au parc, une fille de son âge qui répondait au joli nom de Bérénice.

Une belle amitié allait naître, de celles que seule la mort peut séparer.

A suivre … Patricia MASSON

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Les Gentianes

C’était programmé… le mardi 5 septembre : sortie d’une journée en autocar. Quatre personnes

n’étant pas adhérentes, ont souhaité profiter du programme prévu, pour notre plus grand plaisir.

Après le petit déjeuner à l’aire de Garabit, c’est Saint Chély d’Apcher qui nous accueillait.

Visite du musée de la métallurgie… quand on entend le mot musée, on s’attend à voyager dans le

passé, à une époque complètement révolue. Si cela est vrai pour les matériels utilisés et les méthodes

pratiquées autrefois, on apprend que l’activité continue à St Chély. Quand on sait que la plupart des

régions sont sinistrées faute d’avoir pu conserver leurs usines, Et bien non ! Fondée en 1917, l’usine

sidérurgique de Saint-Chély d’Apcher (Lozère) a fêté son centenaire ce samedi 23 septembre. Elle est

aujourd’hui la spécialiste en Europe des aciers électriques pour ArcelorMittal.

Détails non négligeables pour la population de St Chély, à compter de 2018,

plus de 1000 logements seront chauffés par cette activité métallurgique et 200

personnes travaillent encore dans cette usine. La production part un peu partout

dans le monde par le seul mode de transport possible : le chemin de fer ; ce qui

a permis de conserver la voie ferrée à St Chély.

Notre déjeuner fort apprécié, (les cuisses de en particulier !) nous a été servi à l’Oustal del

Faou à Fau de Peyre, toujours en Lozère.

Sur le retour, c’est Coltines qui nous a reçu

ensuite, petit village rural un peu comme Saint

Bonnet mais avec une église coiffée un peu

différemment.

N’oublions pas : Bien que nous soyons revenus

dans le Cantal, nous sommes encore dans le

berceau de la race Aubrac…

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La visite du musée, dans l’Oustal de la Marissou, a passionné tout le

monde. Les quatre saisons y sont représentées. Il faut dire que nos

voyageurs ont connu l’époque où étaient encore utilisés pour les différentes

activités des champs et de la ferme, tous les objets, ustensiles et matériels

rassemblés dans cet endroit…

…et mis en valeur de façon très artistique

- - - - - - - - - - -

Le 26 septembre, nous nous sommes retrouvés à « l’Ecu de France » à Mauriac pour notre repas

d’automne. Une partie des participants décida ensuite d’aller au plan d’eau pour une balade digestive.

L’autre partie, a préféré revenir à Saint Bonnet pour du sport cérébral, tout aussi respectable et

nécessaire : la belote.

- - - - - - - - - - -

Mais après toutes ces belles journées de détente, place au travail.

Cette année, les châtaignes, fruit de saison tant apprécié, ont été suffisamment abondantes pour que

notre soirée récréative du 14 octobre puisse être annoncée comme « soirée châtaignes ». Quoi de plus

joyeux que de les déguster et de danser !

Un grand merci à tous les participants.

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Dimanche 12 novembre, notre concours de belote a rassemblé soixante équipes (d’où l’entraînement

utile et préalable dont j’ai parlé plus haut !) Notre soupe au fromage a toute sa place dans cette

réussite.

Dimanche 10 décembre, c’est le repas de Noël offert conjointement par la Municipalité et notre

club qui nous rassemblera ; déjà !

Au nom de tous nos adhérents, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année et vous transmets nos

meilleurs vœux pour 2018.

Jacqueline Chazoule

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GYM DETENTE

Bonjour à tous et à toutes.

L’association « gym détente » a repris ses activités (gym, aquagym) dès la mi- septembre.

26 adhérents (es) sont présents(es) tous les mardis de 20h30 à 21h30 à la salle polyvalente pour la

gym.

18 adhérents(es) pour l’aquagym tous les lundis de 20h15 à 21h15 à

la piscine de Mauriac.

Vous pouvez encore venir nous rejoindre, n’hésitez pas vous serez

les bienvenus.

Notre logo gym > >

Contacts :

Monique : 04/71/69/13/58 - Evelyne : 04/71/69/15/16 - Germaine : 04/71/40/77/65

Monique Veyrière

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U.C.L.A. l’association culturelle de SAINT BONNET DE SALERS

Comme à l’origine, les activités proposées sont ouvertes à tous et toutes sans distinction aucune, du

novice au chevronné, du plus jeune, huit ans cette année, au plus ancien.

Chacun, selon les orientations choisies, doit se munir du nécessaire à la poursuite de son activité.

Dessin, il est facile de se

fournir dans les commerces de

Mauriac, ou, à défaut, par

correspondance chez « LE

GEANT DES BEAUX ARTS,

GERSTAECKER »,

interlocuteur au rapport qualité

prix reconnu.

Informatique, les propositions

sont foison sur Mauriac comme

sur Aurillac. Pour ce faire, il est

juste nécessaire de bien

identifier, si besoin avec notre

aide.

Vous avez toute liberté de pousser la porte, passer quelques heures avec des adhérents, et seulement

ensuite, de prendre votre décision.

Votre présence n’est pas obligatoire à chaque séance ; nos activités sont suspendues lors des congés

scolaires.

Le tarif annuel est de 20 €, inchangé depuis le début de nos activités en 2007.

Informations pour le dessin : Madame MAIQUEZ ANNIE : Téléphone fixe 04.71.69.14.87

Horaires : Le jeudi de 17h00 à 18h30, salle du rez de chaussée de la mairie, à droite.

Informations pour l’informatique : Madame VEYRIERE MONIQUE : Téléphone fixe

04.71.69.13.58.

Horaires : le jeudi de 15h30 à 16h30, au domicile des différents adhérents.

Reprenant nos bonnes habitudes, nous aurons l’occasion de vous proposer deux projections de films

durant ce printemps (à condition de trouver le financement nécessaire pour faire venir Jean-Louis et

Roselyne Doucet, professionnels du cinéma itinérant…) :

« LES QUATRES SAISONS DU BERGER », tourné dans la vallée du Louron dans les Pyrénées.

« HIVER NOMADE », sur la transhumance hivernale dans les Alpes Suisses, au tarif unique de 6 €.

Jean Louis FRAYSSE

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DEMARCHES ADMINISTRATIVES

Carte d’identité :

Les cartes d’identité ne font plus partie des compétences de votre Mairie depuis mars 2017.

Désormais, tout comme pour les passeports, il faut prendre rendez-vous auprès des Mairies équipées

d’un dispositif de recueil informatisé, soit à proximité : Mauriac, Aurillac, Ydes, Arpajon s/Cère,

Riom-ès-Montagne.

Vous pouvez gagner du temps en faisant une pré-demande en ligne sur le site : www.ants.gouv.fr

Pour rappel : les cartes d’identité sont désormais valables 15 ans.

- Si la date de validité de votre carte est expirée et si elle a été délivrée après le 1er janvier 2004 : votre

carte est en réalité valable 15 ans après sa délivrance ;

- Si la date de validité de votre carte est expirée et si elle a été délivrée avant le 31 décembre 2003,

vous devez la renouveler. Prenez rendez-vous dans une des Mairies indiquées ci-dessus muni de :

1. votre ancienne carte d’identité

2. 2 photos d’identité

3. un justificatif de domicile de moins de 6 mois (eau, EDF, téléphone fixe, impôts)

4. une copie récente de votre acte de naissance

Si vous êtes né sur la commune, la Mairie est disponible pour obtenir une copie de votre acte de

naissance.

Carte grise :

Depuis le 6 novembre 2017, les demandes de carte grise se

font uniquement en ligne sur le site : www.ants.gouv.fr

Un dispositif de conseil avec un poste informatique est toujours

accessible en Préfecture. Toutefois, si vos problèmes sont

purement informatiques, le secrétariat de Mairie est disponible

pour vous aider à faire vos démarches en ligne. Venez

simplement muni de vos identifiants impôts.gouv.fr ou ameli.fr si vous n’avez pas de messagerie

informatique.

P.A.C.S.

Depuis le 1er novembre 2017, il est possible d’enregistrer un PACS en Mairie

suite à la fin de la compétence du Tribunal d’Instance.

Le pacte civil de solidarité (Pacs) est un contrat. Il est conclu entre 2 personnes

majeures, de sexe différent ou de même sexe, pour organiser leur vie commune.

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Ce contrat influe sur les obligations du partenaire, le régime fiscal, la gestion du patrimoine, et plus

largement sur la vie administrative du Pacsé. Ainsi, cet acte peut nécessiter conseils auprès d’un

notaire pour en mesurer toutes les conséquences. Les communes n’ont qu’un rôle

d’enregistrement.

Vous souhaitez vous pacser ?

Les deux requérants doivent se rendre en Mairie munis des pièces suivantes :

Convention de Pacs (Convention personnalisée ou formulaire complété cerfa n°

15726*02) ;

Déclaration conjointe d'un pacte civil de solidarité (Pacs) et attestations sur l'honneur de

non-parenté, non-alliance et résidence commune (formulaire cerfa n° 15725*02) ;

Acte de naissance (copie intégrale ou extrait avec filiation) de moins de 3 mois pour le

partenaire français ou de moins de 6 mois pour le partenaire étranger né à l'étranger ;

Pièce d'identité en cours de validité (carte d'identité, passeport) originale + 1 photocopie.

Vos démarches en Mairie

La Mairie de Saint-Bonnet-de-Salers permet également de faire vos demandes en ligne. Si vous

ne pouvez pas vous rendre aux permanences du secrétariat de Mairie, rendez-vous sur :

www.service-public.fr

Rubrique « Services en ligne et formulaires » en haut à droite

Vous pourrez alors directement transmettre à la Mairie vos demandes concernant :

- le recensement citoyen obligatoire pour les jeunes de 16 ans

- les copies d’acte d’Etat Civil

- les changements d’adresse ou de coordonnées

- les inscriptions sur les listes électorales

Le secrétariat de Mairie reste à votre disposition pour toutes les demandes de la vie quotidienne et

associative :

- photocopies

- demande de publication d’annonce dans les journaux

- création d’affiches et aide aux associations

- renseignements administratifs divers

Le secrétariat de Mairie vous accueille du lundi au vendredi de 10 h 30 à 12 h.

04.71.69.12.56 - mairie.saintbonnetdesalers@wanadoo.fr

Marion Viallemonteil

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NOUVEAU SERVICE

A compter du jour de la distribution de ce bulletin

Mise à disposition gratuite de matériel informatique :

Pour consultation Internet et messagerie, saisies et impressions de vos documents.

Coût par feuille éditée : 0.25 centimes.

Modalités : simplement s’adresser au secrétariat pour en disposer.

INFORMATION IMPORTANTE !

LE SENTIER DE RANDONNEE

passant à Roche sera impraticable jusqu’au 1er mai, suite à des coupes de bois privées.

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INFORMATIONS HIVERNALES

Des tas de gravillons ont été déposés aux endroits les plus susceptibles d’être verglacés sur la

voirie communale. Ils sont mis à disposition pour palier à toutes difficultés liées à la période hivernale.

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NOS COMPLIMENTS à :

Kévin Lacombe résidant au Bourg,

classé à la 2ème place du trophée mondial

de l'accordéon se déroulant à Onet le

Château en Aveyron.

Il est le fils d’Edith et Jean-Michel

Lacombe.

Colette Dauzet

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Les chiens aboient, la caravane passe

Alors que la taxe d'habitation va disparaître pour certains d'entre

nous…

Le gouvernement de Napoléon III fait voter le 2 mai 1855 une loi qui

établit une taxe municipale sur les chiens.

Il s’agissait d’une taxe perçue par les communes, le tarif allant d’1

franc à 10 francs par chien selon les communes et selon qu’il s’agisse

d’un chien d’agrément ou de chasse, dit de 1ère catégorie, ou d’un

chien servant à guider les aveugles ou à garder les troupeaux et les

habitations, dit de 2ème catégorie. Les propriétaires de chiens doivent

faire une déclaration en mairie. Seuls les chiots nourris par leur mère

ne sont pas pris en compte et ainsi exonérés.

L’intérêt est financier bien entendu, mais la raison avancée est

officiellement de lutter contre les chiens errants et le fléau de la rage :

après avoir payé une taxe pour son animal, autant bien s’en occuper.

Pour les chiens de compagnie, elle reste une taxe somptuaire perçue par l’État comme la contribution

sur les chevaux, voitures, mules et mulets (chevaux de selle et attelages des véhicules hippomobiles),

la taxe sur les billards ou encore la taxe sur les vélocipèdes ; ces dernières instaurées après la taxe sur

les chiens.

Un document issu des archives communales de Brageac présente le premier rôle de la taxe sur les

chiens, pour l’année 1856. Sur la première page apparaît le tarif : 5 francs pour les chiens de 1ère

catégorie et 1 franc pour ceux de la 2ème. Onze foyers ont déclaré onze chiens en 1856 dans cette

commune qui compte alors 430 habitants, ce qui semble dérisoire pour cette commune rurale.

Y aurait-il eu quelques résistances ? Le montant de la taxe annuelle est de 11 francs, puisque les

chiens déclarés sont uniquement des gardiens de troupeaux et d’habitations, et non des chiens de

chasse. Face à ces chiffres, il serait intéressant de savoir si le maire contrôlait ses administrés, et ce,

comment.

Le rendement de cette taxe sur les chiens étant de plus en plus faible et sa perception de plus en plus

difficile, elle a été abrogée par la loi 71-411 du 7 juin 1971 : ce qui n’est pas très éloigné de nous et

peut-être ignoré de beaucoup. Le rétablissement de cette taxe a été remis plusieurs fois sur la table

ces dernières années, mais n’est encore pas d’actualité à ce jour…

N.B : Il n'y a pas de trace de cette taxe sur les registres municipaux de notre commune.

François Venon

Archives départementales du Cantal

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Médiathèque départementale

Une nouvelle rubrique est arrivée dans votre bulletin municipal ! Désormais vous retrouverez chaque

semestre une sélection des films et livres disponibles au relai de la médiathèque départementale

auprès de Sébastien.

Ceci ne sera bien sûr qu’un échantillon, alors si vous ne trouvez pas votre bonheur, n’hésitez pas à

nous contacter afin d’effectuer une réservation. Les livraisons ont lieu une fois par mois et le

catalogue de la médiathèque regorge de références aussi diverses que variées : dernier film primé au

festival de Cannes, romans policiers, séries de Canal +, l’intégralité de la littérature locale, dessin

animé, etc.

17

Bon anniversaire

A la Société Nationale des Chemins de fer Français

Voilà 80 ans naissait la Société Nationale des Chemins de fer Français ou la SNCF

En effet, le décret-loi du 31 août 1937, entérinait une convention entre l’État et les différentes

compagnies privées de chemins de fer (1) auxquelles va s'ajouter le réseau de l'état.

Le 1er janvier 1938, la nouvelle société est une entreprise chargée de l'exploitation du transport ferroviaire en

France ; et prend le contrôle d'un réseau de 42500km, dont 8% sont à énergie électrique, ainsi que 515000

cheminots.

Donc à partir du 1er janvier 1938, il va se dessiner une nouvelle réorganisation des réseaux, ainsi qu'une

coordination des transports.

C'est une société d'économie mixte où l’État possède 51% du capital, les autres 49% des parts, étant détenus

par des actionnaires privés des compagnies 'absorbées'. A l'époque, l'endettement cumulé des différentes

compagnies à l'égard de l’État atteignait 35 milliards de francs.

Les compagnies transféraient à la nouvelle société nationale le droit d'exploiter leurs concessions. Elles se

transformaient en compagnies financières, et restaient chargées d'émettre les obligations nécessaires aux

dépenses de la société en ce qui concerne la construction de matériel et autres travaux sur le réseau. Elles ont

reçues près de 700 millions de francs en actions (à 6%) en guise de dédommagement pour leur nationalisation.

Cela pour une durée de 45 ans : soit jusqu'en 1982, date à laquelle l’État devient l'unique propriétaire de la

société.

En 1983, la SNCF devient un établissement public à caractère industriel et commercial. En 1997, la directive

européenne 91/440/CEE sur la libéralisation du transport ferroviaire fait naître 2 structures indépendantes : la

SNCF (transport-billetterie-etc.), et les infrastructures ferroviaires-voies relèvent d'un autre établissement

public industriel et commercial : le réseau ferré de France (RFF). Ces deux établissements sont soumis au

contrôle de l’État, et sont placés sous l'égide du conseil supérieur du service public ferroviaire. Celui-ci est

supprimé en 2009.

Depuis le 1er janvier 2015, la SNCF est constituée de trois établissements publics

à caractère industriel et commercial : l'EPIC de tête « SNCF » chargé du pilotage

stratégique du groupe,

« SNCF Réseau » propriétaire et gestionnaire du réseau ferré national et « SNCF Mobilités » chargé de

l'exploitation des trains.

A cette date, seuls 30 000km sont exploités, dont 15687 km électrifiés avec 2024 km de lignes à grande vitesse.

Les effectifs ne sont que de 149500 salariés.

1- compagnie(s) du Nord, de l'Est, Paris-Orlèans, du Midi, dite Paris-Lyon-Méditerranée (PLM), etc.

François Venon-sources personnelles

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LE SIETOM DIT STOP AUX DEPOTS SAUVAGES DE DECHETS

AUX ABORDS DES POINTS D’APPORT VOLONTAIRE

Face à la recrudescence des dépôts

d’ordures devant les colonnes de tri,

le S.I.E.T.O.M. tient à rappeler qu’il

est interdit de déposer des objets de

quelque nature que ce soit à côté ou

au pied des containers mis en place

pour la collecte sélective.

Le Syndicat en appelle au CIVISME de tous.

Le dépôt sauvage de déchets au-delà de son

interdiction est passible d’une amende.

Aux abords des colonnes de tri, rien ne doit être

entreposé.

Seuls, les recyclables ont leur place dans les

containers : verre, journaux, emballages.

Ne transformons pas les abords des points

d’apport volontaire en dépôts sauvages !

Jean Louis FRAYSSE

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Graines d'écrivains, graines de metteurs en scène, graines d'acteurs...

En octobre dernier, les élèves de l'école ont fait la rencontre de Cécile Demaison, comédienne de la

compagnie Les Cailloux brûlants lors d'une séance de T.A.P. autour du conte, de la musique et du

dessin.

Ce fut l'occasion pour nos petits de faire un voyage dans une Afrique rêvée, inventée à l'issue du

spectacle « Le Pétrichor » auquel ils avaient assisté le 5 octobre à St Illide, en partenariat avec la

Communauté de Communes du Pays de Salers.

Lors de cette séance, ils ont utilisé comme support leur imaginaire commun à partir d'un tableau du

Douanier Rousseau qu'ils avaient choisi : « Nègre attaqué par un jaguar ». Qui sont les personnages

de l'histoire ? Que leur arrive-t-il ? Quelles ambiances musicales créer avec nos instruments de

musique traditionnels africains.... ?

C'est ainsi qu'est née l'histoire de Jean-Bart, jeune homme qui habite dans une grande ville. Il part un

jour se promener dans une forêt et s'y perd...

Chut ! Nous n'en dirons pas plus, pour les curieux, ce conte est disponible à l'école de Saint Bonnet

de Salers, dans un recueil regroupant tous ceux des écoles du secteur ayant participé à l'opération.

Alors passez nous voir, on vous le prêtera !

Victor Lafarge

20

LE HAUT DEBIT DANS LE CANTAL

Vous trouverez tous les détails sur : http://www.auvergnetreshautdebit.fr/

Comment bénéficier des offres Très Haut Débit ?

Les offres auxquelles vous avez accès dépendent du type de réseaux auquel votre domicile est (ou pourra être) raccordé et de la disponibilité des Fournisseurs d’Accès Internet (F.A.I.).

Comment bénéficier de l’accompagnement sur les offres satellites ?

La Régie Auvergne Numérique prend en charge à hauteur d’un montant maximum de 400 € TTC* le coût du Kit satellite vendu par les Fournisseurs d’Accès Internet par satellite, partenaires d’Auvergne Très Haut Débit.

(* Dans l’hypothèse où le prix public du Kit satellite serait inférieur à la Participation publique, cette Participation ne pourra excéder le prix public du Kit satellite.

Les conditions d’accès

L’équipement Kit Satellite est implanté sur le périmètre géographique de la région Auvergne

(départements de l’Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy de Dôme) dans la zone

d’action d’Auvergne Très Haut Débit.

La ligne de l’habitation n’est pas éligible à une offre permettant un accès internet à 8 Mbit/s

d’ici le 31/07/2021.

Le dispositif est limité à une Participation par Utilisateur Final Éligible et par adresse

physique.

Le Kit satellite est attaché au domicile et ne peut être enlevé en cas de déménagement.

Comment en bénéficier ?

Il suffit de remplir les conditions ci-dessus et de prendre contact avec un Fournisseur Satellite

Partenaire.

www.nordnet.fr

www.ozone.net

Jean Louis FRAYSSE

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COMMENT VERIFIER LES INFORMATIONS ISSUES DU NET ET EVITER LES FAKE

NEWS

QU'EST-CE QU'UN « HOAX » ?

Un « hoax » est un canular. Il contient des informations qui sont fausses ou invérifiables. Le but du

hoax est de propager une fausse information à très grande échelle.

Il est facile de repérer la majorité des « hoax », ils présentent souvent des caractéristiques

communes.

Voici des critères qui permettent de repérer un « hoax ».

Incitation à transférer le message à de nombreuses personnes. L'objectif est de propager la

rumeur.

Un ton alarmiste : Le but est d'inciter le lecteur à diffuser l'information rapidement (virus

extrêmement destructeur).

Affichage de références connues : Le but est de donner de la crédibilité à l'information.

Insistance sur la véracité des informations : On vous indiquera dans le message qu'il ne s'agit

pas d'un canular, que l'information a été vérifiée.

Autres caractéristiques :

Orthographe et grammaire incertaines : Les « hoax » circulant dans les messageries

francophones ne sont généralement que la simple traduction (avec parfois quelques

adaptations).

Promesse de gains faciles et rapides

Que faire en cas de réception d'un « hoax » ?

Toujours garder un esprit critique vis-à-vis des informations reçues. Ce n'est pas parce

que le mail provient d'une personne que vous connaissez que l'information est véridique.

Faire une recherche rapide au sujet de l'information : Parfois, une simple recherche permet

de mettre en avant la supercherie et donc, permet d'éviter de propager de fausses

informations.

Prévenir l'expéditeur (si bien sûr vous le connaissez personnellement) que l'information

qu'il diffuse est un canular.

Supprimer le message et ne pas le diffuser.

Où trouvez des informations sur les « hoax » ?

Il existe des sites spécialisés dans la détection de « hoax » :

Hoaxbuster, Hoaxkiller.

Si vous recevez un message qui contient certaines

caractéristiques que nous avons décrites précédemment,

n'hésitez pas à consulter ces sites pour obtenir des

informations.

Jean Louis FRAYSSE

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La guerre de Vendée Le contexte

En 1789, la Révolution éclate ; pour la région vendéenne, elle apporte l’espérance dans un

monde rural asservi par les lois seigneuriales. Il faut attendre 1790, pour que la population paysanne

devienne hostile au nouveau pouvoir. L’Assemblée constituante va voter une loi déclarant « hors la

loi » les prêtres qui ne signeraient pas cette Convention1. L’ouest France reste très catholique et

manifeste son désaccord. De nombreux prêtres vont refuser de jurer fidélité à leur nouveau statut et

l’arrestation d’un bon nombre d’entre eux va aggraver les tensions. En Vendée et en Bretagne2 les

populations font corps pour protéger leur curé et leurs habitudes de vie3. En janvier 1791,

l’intervention des gardes nationales provoque les premiers morts de la Vendée4.

Les chefs vendéens 1 - Jacques Cathelinaux : mortellement blessé pendant le siège de Nantes le 29 juin 1793.

2 - Henri de la Roche Jacquelin : blessé mortellement le 28 janvier 1794 près de Nuaillé.

3 - Maurice Gigost d’Elbée : blessé à Hanau, décédé le 6 janvier 1794 à l’île de Noirmoutier.

4 - François Athanase de Charrette : fusillé place Viarmes à Nantes le 9 avril 1796.

5 - René Bernard de Marigny : arrêté et fusillé le 10 juillet 1794 à Combrand (79).

6 - Jean-Nicolas Stofflet : exécuté au Champs de Mars à Angers le 23 février 1796.

7 - Charles Melchior Artus : blessé mortellement à Cholet le 17 octobre 1793.

Début de l’insurrection Vendéenne

Le 27 mai 1792 est votée la loi d’exil prescrivant la déportation de tous les prêtres réfractaires.

Ces derniers sont déportés en masse ou sont obligés de se cacher. Les nouveaux prêtres assermentés

ne sont pas acceptés par la population. Le 21 janvier 1793, a lieu l’exécution du Roi Louis XVI. Pour

les habitants des Mauges, le Roi prend figure de martyr. Bientôt les Vendéens se soulèveront pour

« Dieu et le Roi ». Le soulèvement débutera dans les Mauges, puis enflammera le sud de la Loire

Atlantique et le nord de la Vendée, qui lui donnera le nom de Soulèvement vendéen5.

Les principaux chefs Républicains : Louis Alexandre Berthier, Jean Baptiste Bessières, Jean-

Michel Beysser, Joseph Crouzat, Louis Davout, Georges Dufour, Thomas Dumas, Charles

Dumouriez, Armand Biron, Louis Grignon, Nicolas Haxo, Louis Hoche, Joseph Hugo, François

Kellermann, Jean-Baptiste Kléber, Antoine Santerre, Pierre Laclos, François Marceau, Jacques

Menou, Antoine Rossignol, Antoine Santerre, Jean Travot, Louis Tureau, François Westermann, etc..

1) En novembre 1789, la Convention civile du clergé est votée ; le décret d’application sera publié en novembre 1790.

Signé par le roi le 26 décembre, elle oblige les prêtres à accepter la confiscation des Biens ecclésiastiques. 2) Coté

Bretagne, on l’appellera la guerre des Chouans. 3) Surtout pendant les enterrements. 4) Le conflit ne va pas dégénérer,

du moins pas encore. 5) La région poitevine perdra 20% de sa population passant de 1190 habitants en 1790, à 954 en

1801.

23

Carte de la région ouest (1793)

L’émeute de Saint-Florent

Le 12 mars 1793, les jeunes gens originaires du canton sont convoqués pour être soumis au

tirage au sort permettant de constituer une levée de 300 000 hommes. Les jeunes gens refusent le

tirage au sort6. Une émeute éclate, des coups de feu sont tirés, les gardes nationaux ripostent avec le

canon. Dès le lendemain, 13 mars, Jacques Cathelineau rassemble les habitants du Pin en Mauges et

marche sur Jallais. Avec 27 hommes, il enlève Jallais défendu par une quarantaine de gardes

nationaux. Très rapidement cette petite armée va grossir et, constituée de 1000 volontaires, elle

s’empare de Chemillé. Ces hommes vont former l’embryon de la grande Armée Catholique et Royale

d’Anjou7. La prise de Cholet8 le 14 mars 1793, capitale du pays des tisserands est réalisée par Stofflet

et Barbotin. La garnison est commandée par le marquis de Beauvau avec 400 hommes ; ils se battront

jusqu’au dernier. La révolte gagne le Marais, le Pays de Retz. Le 11 mars 1793, Machecoul en Loire-

inférieure est prise, les paysans exaspérés massacrent plusieurs gardes nationaux9 ainsi que quelques

bourgeois connus pour leurs sympathies républicaines.

Une guerre idéologique se met en place pour justifier l’intervention de la force armée en Vendée.

Très rapidement les insurgés et les paysans s’organisent. Certains se placent sous le commandement

d’anciens officiers nobles de l’armée royale comme Sapinaud, Bonchamps ou Charrette. D’autres se

rallient à des chefs plus modestes comme Cathelineau, Stofflet, Pajot. Avec l’effet de surprise, les

insurgés vont contrôler la totalité du bocage du Marais et des Mauges. Les armées Républicaines sous

les ordres de Berruyer et de Beaufranchet d’Ayat sont défaites mais les Vendéens ne profitent pas de

leur avantage, car après quelques jours de campagne, les paysans rentrent chez eux.

6) Ce tirage défavorise la classe paysanne. 7) Ce nom est créé par une certaine noblesse royaliste et une partie du clergé.

8).L’occupation de Cholet durera jusqu’au 15 octobre 1793. 9) On compte une quarantaine de personnes.

(à suivre)

Pour connaître les sources : s’adresser à Gérard Pinski - 04 71 6313 62 – Courriel : gerard.pinski@wanadoo.fr

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Ça… c’est du boudin !

On tuait toujours le cochon fin novembre, début décembre car il

fallait que le climat nous aide à conserver notre cuisine ; pas de

réfrigérateur ni de congélateur…

De l’abattage au conditionnement final, il fallait compter 5 jours

(les jambons demandant plus de temps : massage, salage et

suspension dans la cheminée).

Je ne parlerai que du premier jour.

Petite anecdote au passage : Notre petite chienne ratière qui s’appelait Musique avait une patte arrière

un peu folle ; cela ne l’empêchait pas, lorsqu’elle voyait mon père aiguiser les couteaux pour

l’événement, de courir dans tous les sens en aboyant, pour chasser les moindres insectes ou mouches

qui auraient l’audace de s’inviter à table.

Le sang de l’animal était recueilli précieusement, additionné d’un peu de vinaigre et remué

constamment pour éviter qu’il caille.

Notre premier repas de la mi-journée : viande prélevée à la gorge du goret, grillée, accompagnée de

mogettes et d’une salade de doucette. Quel régal !

C’est aussi la viande prélevée à la gorge qui était destinée à réaliser les boudins. Elle cuisait dans une

marmite avec un bouquet garni, un oignon piqué de clous de girofle, puis moulinée grossièrement, le

sang était ajouté à la fin. Nous coupions quelques petits dés de gras ajoutés au mélange afin de

« fleurir » nos boudins.

L’intestin grêle après avoir été parfaitement nettoyé (pendant de nombreuses années sans eau

courante) était ensuite rincé à la gnôle… Désinfection garantie !

Afin de parfaire l’assaisonnement (gros sel, poivre, quatre épices), il fallait faire cuire une petite

quantité du mélange, goûter, et rectifier si nécessaire.

Et là, arrivait la tâche que je détestais le plus… Maman faisait glisser dans la tripe à l’aide d’une

« ouillette » (entonnoir à large embouchure) un peu du mélange, conditionnait à la main la longueur

de chaque boudin (suffisamment pour qu’ils n’éclatent pas). Et moi, je devais lier l’intersection avec

un petit bout de fil de coton blanc, (prélevé sans doute sur les pompons d’un dessus de lit au rebus).

Ca me collait aux doigts ! Les chapelets obtenus, partaient ensuite dans la marmite restée sur le feu

pour la cuisson finale.

Mais après, quel régal ! Suspendus au plafond de la cuisine, ces boudins se conservaient plusieurs

semaines. Il faut dire que dans cet endroit, la température maximum était de… 13, 14°.

Paulette Fricard

25

La légende du barrage de l'Aigle

Autrefois, les vallées giboyeuses du Cantal étaient survolées par des aigles. Il n'y a pas si longtemps

encore que ces rapaces étaient venus se nicher sur l'immense rocher qui surplombait le barrage. La

vallée semblait endormie. Seules, les bêtes se livraient dans le ciel et sur terre à leur implacable lutte

pour la vie.

L'aigle du rocher était le maître incontesté de toute cette faune qui volait, courait, bondissait ou

rampait.

Un jour, les hommes vinrent dans la vallée. L'aigle les vit s'agiter, minuscules, à des centaines de

pieds en dessous de lui et l'inquiétude commença à faire frissonner ses ailes.

Puis il en vit d'autres. Et la vallée, s'éveillant brutalement, s'emplit des échos des coups de mine, plus

angoissants que le véritable tonnerre et la mitraille rageuse des marteaux pneumatiques qui déchirent

les tympans.

Dans les airs, jusqu'à son niveau, le rapace suivit la montée des tours d'acier enchaînées de cordages,

qui ressemblaient à des filets tendus pour la capture d'oiseaux d'un autre âge.

Un va et vient infernal dans la vallée grouillait dans le rugissement des eaux déjà partiellement

asservies. L'oiseau comprit que la nature n'était pas seule maîtresse de ses destins. Dans la révolution

qui la secouait, allait sombrer sa liberté pour le profit de l'homme, son tortionnaire de tous les temps.

L'aigle avait compris, pris son envol et ne revint jamais.

Texte extrait du livre : 36 Debout - Le Cantal dans le front populaire.

François Venon

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Association pour la sauvegarde de la chapelle du Doux et la mémoire de

l’œuvre du duc de la Salle de Rochemaure

Une chapelle oubliée, sa crypte....

Dans cette chapelle, à Yolet, repose Marie, une des trois sœurs Pollalion de Glavenas. Qui est-

elle ? Pourquoi évoquer aujourd'hui Marie et la crypte de la chapelle oubliée ? Tout simplement parce

qu'elles sont toutes deux un des liens historiques reliant Saint-Bonnet-de-Salers à Yolet.

Marie, née en 1818, avait un frère aîné habitant avec sa famille près de Lyon et deux sœurs

Marguerite, Etiennette, Hélène, née en 1816, et Louise, Marguerite, dite Charlotte, née en 1822.

La première à se marier est Marguerite. Elle épouse à Yolet en 1841 Pierre de la Tour

d'Auvergne, né en 1821.

C'est ensuite le mariage, toujours à Yolet, en 1842 de Charlotte avec Ernest Tyssandier

d' Escous, né en 1813. Il sera maire de Saint-Bonnet-de-Salers de 1848 à 1865. Et Charlotte a été la

marraine de mon grand-père, né le 10 août 1876.

Marie, née en 1818, épouse à Yolet le 26 novembre 1850 Louis, Bernard, Désiré de la Salle.

Ils auront un fils unique Félix de la Salle, né le 3 avril 1856 à Aurillac.

Ce dernier fait bâtir une chapelle consacrée en 1887. Sa mère Marie de Pollalion de Glavenas,

sa femme Alphonsine de Forceville et lui y reposent.

Ainsi, par son mariage, Marie Pollallion de Glavenas a durant toute sa vie resserré les liens

entre Yolet et Saint-Bonnet-de Salers puisque sa sœur Charlotte et son mari Ernest Tyssandier

d' Escous avaient une demeure au lieu-dit la Roche où sont nés trois de leurs enfants 1.

Les lieux, les noms renferment notre histoire. Nous appartenons à ces villages, à ces bourgs.

N'oublions pas les noms des familles qui ont illustré le Cantal. Yolet se situe à quelques kilomètres

d'Aurillac. Le château du Doux a vu se dérouler de nombreux mariages. Il est en ruines à présent. Sa

chapelle est le seul monument architectural témoin de ces unions, de ces célébrations. Merci à ceux

qui par leur action, leur intérêt et leurs dons aident à préserver ce patrimoine oublié.

Nicole Férard

née Nicole de la Tour d'Auvergne

Présidente

www.chapeldudoux.wixsite.com/chapelledudoux

1 Louis, Anne, Paul, né le 15 novembre 1846 ; Louise, Hélène, née le 6 janvier 1848 ; Marie, Hélène, Elize,

Athénaïse, née le 17 février 1856 et décédée le 27 février 1856.

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ETAT CIVIL

26 juillet 2017 : Naissance de Noé 2ème enfant au foyer de Julien Chambon et Stéphanie Pradel

domiciliés au Communal de Verlhac à Mauriac.

Nous adressons nos meilleurs vœux au bébé, ainsi que nos félicitations aux parents et grands-

parents Philippe et Annie Chambon originaires de Ruzolles.

Décès : Madame Andrée MARTROU de Bournazel (à l’âge de 90 ans) - le 22 septembre 2017

Madame Lucienne MEYNIAL de Pailhès (à l’âge de 94 ans) - le 10 octobre 2017

Nous présentons nos sincères condoléances aux familles.

Colette Dauzet

DEUX QUESTIONS POSEES AUX ADMINISTRES

1. Accepteriez-vous l’extinction de l’éclairage public sur la plage horaire de minuit à 05 h 00 ?

2. Fabrication d’une croix en bois ou en fer par un propriétaire de résidence secondaire du

village de Tougouze souhaitant l’implanter sur un support actuellement entreposé à l’arrière

du calvaire du village. L’emplacement dédié est à la discrétion des habitants du village.

Prière de nous tenir informés de votre opinion en Mairie. Colette Dauzet

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Dans le but de vous proposer un bulletin au plus près de vos préoccupations quotidiennes et

le plus complet possible, merci par avance de bien vouloir nous faire partager les informations locales

vous paraissant pertinentes. Dans le même état d’esprit, veuillez nous pardonner nos éventuels oublis

totalement involontaires, la meilleure parade étant de les communiquer à la Mairie.

Pour rappel, Mairie : 04.71.69.12.56 - mairie.saintbonnetdesalers@wanadoo.fr

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Entente Anglards-Salers-Saint-Bonnet

M. Sébastien Borne a été élu représentant départemental à la ligue Auvergne-Rhône-Alpes pour

représenter les clubs du Cantal.

Correspondant

Daniel Trémée

Le Bourg 151380 Anglards-de-Salers

0643141641

Président

Matthieu Lombard

Chez Mme Bissarège Marie-Josée

Espinassolles 15380 Anglards-de-Salers

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Nouveau prêtre dans notre paroisse

Nous souhaitons la bienvenue au père Jacques Madjan et nos meilleurs vœux de retraite au père Jean

Rieu.

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Youpi ! Vive 2018