4
i:i MtfltC. - f!STflDfl & ØÀCTi f' t 1U( rque1n TOULOUS t: ro : j 5 Ce p U !3 L I c: z T ' r(crs mLa ; 6 c2f tOS O3 Les ar1jstS de Gênes fonl relâche. L destin prbabIe de M. Poincar, 1a'S )YOSitlOfl pQlitique 'qu'il a pise, es écrits Gi4 u govrne.rneJl, serai 0jOUS (jCt13 lfl t!ur . in qui1 se sOit flatte. cins sa con:re verse le harui Tardieu, c;avo.ii tou 'OUÏS c; t.Oci avcc xes J aroies, l'cstiaffier cIemencite n en a a; Pli lui iappeler, toute bonre uerrC, certains ds textej qu il avait si rje aant de reaeve .ident du conseil. AIms. le 15 jnvie.r 1922, M. Poinca écrivait : t II '!'Y a phiS de traite ! Ncus ici ai de hi pefltc saczrnee c!c t n ai CI tiop plc devins c.eux an'; Nous avoflS dernire ncus un irnmee mOnCtau d protoQpls, de déchuatinns collectiV, oc pap1e1S JCfliS, de lettres chiécs de cia. uses abc1es, et, devant POUS qL1øi D. h fu ds n iec des tribres. ii F. Poincsi a commis cjjà beauccup de ce patclt-S n piutctcs Je m çer niCt dcncer cjte, o'fls la plémiquc à quCll il j - ' '-t quelqu çcUe arpCl6 en ni: mettant en cause n prCpQ des incidents de Ffdenau, M. P incai erit rIe placer le final en se re- f;eant 'i faire la peuve ci ses affirme- tiens. Nos amis ttri Laudiei, le député de Bouges et Paii l3cncow ayant signale cu k r avaient pi oberi du gcu%erne rjnt.' à la Coinson de l'arrn6e, con- n c1ton des i ipprt cic la Crn rrns Nilet, M. Poincar a 6prcuv le besoin de due : « Ox' acre toaoars le regiet de V &j; ks ïefusci, psrcC qu ee ne sort pas es rappoxts fançaias, ce sont L!S xappaits d'une Comirsion interal hee. \iis-à-vis. oc nos nlliis. nous na yens pas le elrot de le; divuluer. ê; Qnes-ce à dixe ? N'est-ce pas M. qui a ui m'xne c. ;Vert I eclt.e aux intlsc1'c':;s cri pTlaflt de ces chcees la tribine ? Et n'a-t-il donc pas le e- VOji de fcurnir li preu've de ses affirrn- ;ori i; Prcnicnt ? Et zçi, j'affirme que M. Poincaré a padi imprudemment. S'il ne montre pas \n rapports c'est qu'il ne peut pas tes mciitre1 cans nr&tr'r en rnie terrps 5Oi ;rripiiidenc. Que les rapj:orts ne Psent pas &tr CoflhntUniqus t la Con arne parce quiis sOlit in- ! q;ellc' paisanteïie. Et c.om mtri si le P u1e nt se re-pct;t poul rait-il ccnr;cleeer cette réponse-là con- rn valable ? Ne devrait-il pas exiger que se COm;rssics resportsabies soient avsees au lie d'attendre ses rete.ignC- mes .es in scét;ons cfic;c'es et tnesoc1euses qu ILi apportent certains ses nien-ibres, tel MM. de Cassagnac, ' rie e J'n le 1 efeie , '-tans toutes ces sances, M. Poincari ::5nté gie et sec. et impruient à Ne le fut-il point qianc* il éprcEUva k beso0 de direntror (lu-:' t'Alknsagne lit v au'torjet avqir deux cei nnl. hcsTt'ên- nupes aL )e; de cent ntl-e contéds pa le traits e Vrsajlles ; fallut bien cnsUit re que la Reichswerh -- arne reguj était tc.jou;s rduite. à cent tiO,ile hones que ie.s cent cinquante pille autres étaient des troripes de pcilicc. !and, en ce qui ccncerre celles-ci, 'VI. GInCar avait paru insinuer qu elles SVaeflt fait lohjet 4e ; cwicessiGns s it le ministère Biianc, n etait-il pas Cuge, iin reonit après pice.s en 'ns de ia;ser clatcr que cétait v ilerand, à BouIcgna et à Spa, qu' avait eT1set1 Ces foniations ncuvelks. aileui. imprudent VOi5 dis-je ? t lqh colère ninpo.rte, et qui sUppc s a Piqure de de l'adversaire ! Gela 1w ;e? un flianvais tour. Car il se r Jetait..ce point se &couvrir. lautre ' 1 ersore au rncrrsent cl'exp'liquer le . tressite dune arrne d dix-huit mois re : s ( six mcis de plus ucu eiettrot de prendre sans nichilisa- tL IS gaanj5 qj pourraient no'u-3 c:c necessajres certaines heures. s 1fle ces garanties sapp&ient des 5tiQns M Poincajé avait beau ter ensuite : « Si lon proteste. jaj.ou- ave1 9 flOUe permettront de ne pas a les prendre », la parcle irflpru- raj e avait priincnce, et elle éclai- ti., tOut le débat. D'une part. cn voudrait Per L' . I er ' ' aube part, on craint e soute- me °PtnIO p des mobjlisatjons rué- nPirtieljes - rarci0 e 'fl)4)ftiderte avec laquelle on va de .er çfles !... E-t de ce point liar 1 tout k dsccijrs ne fut qu'une IrJl.;pr ..ê ê. I . ,. 'VI. p0. -.-ee, ii aet que mrnace Ine .. [erl r.o-,, a pas un mornnt -. 'te forces qui, en Akrna- t tOut de forces ds Le Par1ur iij-.uent tLEP4r paix. Mais il n ramassé soigneusein;ent jusque dans l'anonyrrsat, la -b-asse propa- gande anti-française qui se fait en- Aile- magne, comme cri pourrait ramasser chez nous de basces prédicatic-ris de hai- lie et de naticnaljsrne -abject. Si tn pense que c'est avec de telles vu-es que i'o-n poirra faire croire à la bon- ne volonté inteinationale de la Fiance. et qu'on pourra lutter- contre M LIo-yd G-eoi-ge, s'il a de mauvais desseins,- on se trompe. Pencjant tous ces airs de fanfaionnade, o-n- laisse simplement se rsserrer-le cer- de isolant es icultés êiuteur de ta France. En faut-il un exemple à cette heure décisive :1' Arnérique a 'ré.-ciarrsé es frais d'occupation, 1'Agleterre vient deréclamer ce qui lui est dû. - Actes inamicaux-, crient nos p-nrlernen- taiieg chavins, pencnt que leur seryi- teur a,u pou-voir css-ae C: jÏC : ;( Je rais tout en accord avec nies alliés , et pendant qu'il cc-uvre, pai des pareles nsp-ruaentes, la réalité des solutions -auxquelles il lui fan-t bien accéder, de bonne. o-u de mauvaise grâce. M. Poincaré n'eO-ij p-as son tempé- ramment que sa p-clitiqpe et sa situation le co-ncwiiwient à ce cePtraste perma- nent. Le malheur est -que la Franco est ,eule a souffru de ce jeu coi elle fera des e conessions )) nour cilinloyer le gag-e de M. Pc-inc-ar-é, et elle n'en aura manse is aux yeux au m0icle le bénfice moral. --- - - Vier'rc Ancien Direter dc 1' « !-Ïtsuain-U . QUQTE. UNE SIMPLE ERREUR. devenu ut; ders courant de unir uf mail sUPpri,flcr se femme, ou une êipoese l- gime ra;yo du nombre des viCans son -reigneur niottre. L'on y po-re peine ùtenlion : lr fretin des c-rimes. Quelque-s coups de poignsrd, qicIqucs bat1e de tjcn1v;, qu'est-ce q.iie cela - ? Parlez-nous d'une bonne douzainø de darnes grildes dans un fourneau ou d'un vague cjloyen xpd& -en peWs rnoreaux dans une malle, voiM qui peut nons r.,nnuvoir; niais un dam'; domestique - ! Noue n'en senauce plus M f Cvs cc raiso-nnsien que 'tait tenu, sans dôulc, un jeune assassin qui vieni dPrc Vic- urne d'une cre1ic meacnftrc. Cci indfeidu euoi pour. maftre-sse une jcrine dac!gkgraphc. 1_,'on n'ignore pa que ces aimables per&onnc se-nt lrs dem.csndécs depuis leurs succès aux ioCaUs -perisienncs. Mais foui passe, fout casse et tout Iâsse : un jour, hi blcvsde enfant avait cc&s de plaire ... Pan. . . Pan. .. quelques coups de rtvuker. Adieu, gemimcs r,gulires sur ma- chines a Ce n'csl pas plus difficile que ça. I_Se ccrtIfSCb!C es( errci : dans sa prison, il est cafme, il sifÇ1oe, 5urne des cigêxrcUes. Une fem- sac tue ? asL î Draine passionnel. Acquiitr øn certm'n....Fal pas s'en taire Î Le3 urds npit - i -intetfig-enfs ! -Et l'ainssrle -rneurricr at- iaadaU, l'imc srneffic, de ooiq s :auv1ir les parles de la piecei ... e le caair. d'une autre dactirlo f - helaa trer s 5cis 1sefa Ii ri aoart cosnmzs qu'une bjg-rc erreur : il oOait n-jiig (Inc petite JonnaUi ,vcesraire et n'avait j,a.; pousz sa dcttilo ! Hors ic mariage. point de salut f On peut tout ê son aise ir sa femme 1giti- te satts que i'ato-ri1 en prenne ombrage : elle comprend si bien bn, raisons maCufes d'un tel crime, qu'elle trautie touows des circonjtences stfe2vtuantes. Mais, supprimc sa petite catie, qu'on peut si bien p!mtfcr ll saris grabuge, ah f lien, ça, cc n'Cst 9cc de jeu. Et voila pourquoi le nornrn Alexandre An- drieux e f& ces jours defnicrs, condamné par le tirtj de la S-ine aux- travaux fo-rcts a p1ui1é. - - - C'est dommage qu'il soft Cayatine pc'ur plus que lenglez-upe.. C-e-r il- su ptorncftvit beri la pro- chaîne fois d'épouser pr&afulcment. . X -- 1E - MEILLEUR PASSEPORT. Un voyageur, daraircrncat, se prtsèrdait la frontière du pajs des Soviets. - C'est un lieu qui- n'cd pas toujours facile à f ranchir. On le ouilIn ccs-tsciettdcusernenl. On examina ses papiert d'un c.cil soupçonneux. L'hojnnic craignat'i bien de ne pas fsa"ser quand on d6couurit dans ca malle une série de dar tins de H..P. Gescr et de Duccy. On ne lui en demonda pas davantage. Et le voyageur pu continuer sa route sans ficuftss. ENCHERES. Une, deux, trcs,... Adjage ! La r Salit As.scmblg Raon;s -; va être pendue aux cndires. .. . - On va vend,-e cncltàrca une s salle dc l'oms s . Une moi8att de bains. Et elle est fameuse dans toute la ci1 de Londr-es, N'est-cg pas dans cet établissement quc Didcns .a sitw une de la psrtiè de whist âvec Lady Siulph2- la co-c'nî Wu 1': ' '11e -Poj--... - ;; -:' ...-.s ln..a'(st d ki;is ) Nøtre Nouveau Feujikion - " 11 iLLE ORfrt X LaWcu c1 TlcdrC t-ouvcou jouilkten, M. CILLES NOR-MND çt irne aicîrc-vnk palisie,;.;e bièri ciruc à Tc-u- 10USe. Romric2ei-, po&tc, dramaturge, ccjt u-n des esprits les plus actifs et I-e plus ouu-crfs qui scieni. Si prodution,ti /12 Joi& irrcessoite et srie1ILe, fait l'ém-e7- Veiilcrmaflt des letfrs, cri mme temps que celai des économistes a-u premier îor1g desquels il se clase ar ses cIèbres ouvrages sur le cc,rru-mcrce et les devojrs jero-Jessjcnric la. Da3 LES FIANCES DE L'HOCGAR, 'autCcir nous évcq.(-? les Cisi(rni r;iflifai- res de la terre d'iU'-iq-rse qui est czu;si l-a terre de l-ci dLscipzi-re, de ses rninères, de l'expiation de feintes convent jflusc-i- res . .at' d'Ai' cf i'gin?7(ii'53 ec ut rit jcnmi les Arabes dont I'ho-spilalitd est la première des vertus, et ko OLkiCd de i\JCils, ces femmes nomades qui àoni ici pocsie du désert. I! q o de I amour s de la ha-in-e; 1e périudtjes des drames las plus mauemer-trs, de i-u tcndrese ( lc vic1çtice, de la trahison à j'53:55j flot, tiendront cc-nstammert le lecteur en éveil. I Ltj Targui, homme de i'l-Iogga-t o cia que, pour .e'dIecrr, il dcooit être soldat jrari-ç*i-is. Il cst témoin de lent dinjuutices, de tantd'horreurs qu'il luiapparoîf eleite 1TCrif que c'est nous qLli eonu;res le-s bar- bures; lui- es!: - le civiltsc. li a horreur de nc1 flhoeurs, de nos coutumes; la guerre cal pour lu,, uqe absuidit_ n êrr e si on la di 'ainte Dcuv uht1ooph un peu p,. ri itif, il mçrtrera o bien dea b1nc'; 'C cheritn qi ne cocin&t plus ttere, le -O-rai chemin du- -devoir qai n'-est pas tcncs.rrs indiqué ar lc:i i5-c-ra!e tin peu dalse qu'on no-us impose. - Tctis nos lecteurs, et, surtout noa toc- incas, se passionneront pour les ada rite- res ctuTargui cf dc la belle Fdtorr-s-;, f.i-ua riious,ernentdss qi-;c ne le scnt-gtn»csle- matit celles des om-outeu.v de rias prsqs occidentaux. SQCALSTE RGONAL Un comble! ORDRE DE DISSOLUTION A UN SYNDICAT bÉ NON-FONCTIONNAIRES La Boc Na1ina1 et ses amts envoppeiil das une coerisuie hauia deux lois soc..ades au les cepend n ils ri oseri pas toucher de de la jotun-a de -huit heures et cet-le du droit y-n- dical. - - -- C'est ar des modes jésutjquea d'application -par une iterpri.ati-on pe-Çide des teies que -ces messieu;-s errivanS à li-miter l'elLn cia a vton du iégislateux. - - Mai-s, jUsqu'à aujou-rd'Iiui, es di-reetcucs rac- tctnn5-res qui gouvernent la r- .avaierJ con- tet aux eea-ts fonctionna-ires le droit de b- -n,ficie de 1a lOi de 1884. Une edm-iaiIraLon vtnt de. taire un nouveau pus cri avent dans catie offe-nsve. - EIe e dona à des gens qu ne eonl ios Fouc- tionaiaes I'erdre de dissoudre leur ayndcat Cette àdmioisir-ation - est cet-le des ManuFactu-es de Etat. L-e syndicat via est celui des -concer- es et garçons de bureau de ces psanufactures, tri-vaiflerns acta coiuinssinn-is. - Ctose etutieuse, l'heure mme oti Forc1e de d:erohstion- 6tat --donnd,- ta nsinstre- les finn- Ce2.- s-eceva-t u-ne déldgatioa du syndicat dtesté qu gxaupe dessnutiLis de gis-aire. - l\a s I pareit que la drreet'csp izles Ma'ufac tu-rO n'ei,nle -pas ceux ir qui 0M des drotts sur noirs s. C'ait insi qu'e-e omet, d'eu-ire part, - de sguaer trois places ré-snrsi-rs ces vLcti.mes de la grande guerre : une à ta Manu- facture de - M-arseille (vacante depuis arl 1920}, un-e autre ati magasin de traitait de ta mime vil-le (-vacanie depuis ûrtohre 924), une me s la manufacture de Pantin (vacante deus la mime ipoque). . -- Etie craint sans doute d'au-gmeainr le nom- - lire des membres do syndicat, car ces audacieix demandent des miettes du cridit de I.2OI).000 kdncs vot. ricemment. Que testesait-U, grands dieux. pou-r les haun fonctionnaires ? - - CtOFiS CS9S l.a_ signature d'un traité- de commerce eSt prévue pour 1a fin du mois Madrid, 16 avril. - Les négociations cornnierciaks franco-espagflO' es semblent maintenant devoir- être rapidement termi. itées. Le travail des techniciens qui n fwis fin avant-hier, - va être examini par les deùx gouvernements. - articles, sur lesquels l'entente n'a pas été complètê entre uéØoCiaturs, seront dc nOuveau étudiés avant ti turc dii traité. il est évident qu'api'és osa- inca. de-s miniatures franiais et espagnol, certains réajustcm?nts seront nécessaires. Si les gouvernements achèvent et san- tionnent promptement le tràvail de leurs technicièns, le traié pourrait être signé (laits les derniers jours du mois courant. Naus disons traite, car il n'est nullement question de signature de e modus viven di s, tuais bien d'un: accord général d'un tiidté de conmerce, les deux gouverne- ientS s'étant rendu compte que cette so- lution potw:ait seule être avantageuse pour leS drtc PY5' ttttPilOtE : I. ii' i;t au I t_; h'utt t Ou sr --ts'Orripe V-i 0 iseinbiubcuie;i(. cii c - 110111 tot q' i- 1 -, IJL iii tut -. qileSt;oiis 4_t 0110- IllIqur..r., "t ç ut t (solui tu ce n de I's toit- f'itence. Les des C01flflSSi0flS -ont ti Oji iti ui'qu; r ( t Et (J]) tlu tu qus pool iv) t t1t i L il il ne (eut t., iii d;lg t ta alt ut illo; -iIi. t t Poli Iqiti tlt. la eoiif i i rt I t rut lou in ur tteiiit ut cri lai i ut (k I I Ii n:lagiif f t d r lit in I aLt tu- us eflflø. La u Guzelle -de Voss e oc'cupe de-s- diiti- gurs qui iU( flrli "itt I 'S.III i%11,II( S (eI1I.5 t. t stutL, d:it-eli-c, sl'une p;u-f ta bt'rultle in-atuté - di d igii ds Jiani ii-e cl cl tuttu part li I hotu ; L., M Llo\d (u Oig 1° tout ta VOL cl'edk;ttil-ler Mii--, \'jr-ti et Ratlteriau. L;. leu; n l i t (itt qui; li luit g it oui 'illensn- - rie s'e.sL plaode ' ic t;-op ;ntx i2tds de l'Ait- gleterre. - U estime q110 - M. \Virih aurait i-taux fait (hits nout cliscout s d eri)i intel le propre point de La r Zeit s, après avOir rele\'r cjue -les iri-kntion-s- de- la -F-raitce de ne l).as laisse-r - la oo-nftrei;ee tii)0ijir aux résultats d;siris a; la in iio; il( ii ', up;; s tl I &nglel'1&L ttSorteflt clairement, u Mais si la coii:t'd- t aci '-t t -'' flu1tt. iji lui JIi',t1t1 L-, I t Fiatice s'eu-gagc- dans- nue voie daiig;oreu _se. » - CE QU'EN PENSi lA PRESSE Du e Rappel e (ra-die-ai socialiste) e On a tenté hier- dc tenir à Gênes, dans (es cOuliS-5es niérnos d la conférence, une réunion des ministres des tinanc-c-s. ci Ce n'est, lalias! -un secret pour peisort- ni, quo noLrc- -pays n'a pas pt-i-eisdiiwiit la ct>t.'e à Gênes. Ses - caTit-luis -naturels, et nsQ- fil t Or tains de se' 'ti-IOS, font i "iiI lent s toril eu qu'il fautpouu cela.- Dicuk -dans une telit, at-iuiosphère 1-e problt'ne --des tt.para- tions, -auquel pi-us que tous autrt. --noue S-05tnrtea intit (-s,L'; t hit t (i tonti e nous Et le tout etait jour', et I Ailtin igno g t guait sa manclir! - o Mais à -manoeuvre, mnuvr-e etdemie. La tIOutmissiou -dis té-partitions e déjoué le -piige. » - - - De la ' Républiqu.e Franaisc » (mo-déré (C Est réalitt', la conférence de Gènes a ttd inve-nt-éo - p0Ut' peimett-rg à M. LloyU G--orge de s'entl'etenir pubIiquenent avec l'Allemagne et la Ru-esie. Mais comme 1e5 rappôrts -des Alliés- sont i'iglis avec l'Aile- tangue par le traité rie Versailles, la con- crsation ave-e l'A-ll-e-magtie risque d'être brève, car -elle se heurterait à tout instant à cluelciuc stipulation . du trait-é. Avec la Ilus-sie bolcheviste, derrière laque-11e, d'ail- iru'rs l'Allemagne se dissimuic, prudeni-. uie-nt, la manceu-vre est plus facile. Aussï, pour In morne-nt, à Gênes, l'Allemagne se tiil, mais la Rus-sic bolcheviste parle. Elle parle- -même abondamment. u La confdrence de Gênes lui a offert, à -peint nommé, les trét-edux d-ont elle n lie- soin pour étourdir le mon-de du bruit de - ses allirmations et aussi de -I'dclat de Ses mea-songes-. - - - - De I' ii Eclair » (iéae.tionnairé-) (C Nous sommes cii pleine période tique et gouvernés pft des imaginatifs sans frein; la diplomatie secrète. n'a jamais ét4 J)IUS en honneur cites nous. Les gouver- de la d(-mocratie se rejoignent déjà dan-s un c-Onïmun IndiiPis -du peu-pie. Crest pourquoi, évidemment-, M. Poincaré, qui veut vrai- nient rester - républicain, est maintenant, dans la maison à l'envers, trait-é des réac- - tionnaire s. s ' - - Du u Figaro s (rtattionnaire) : - r, Ne cessons pas do I.e prtoclamer sOùS toutes 105 forine.s. Protestons, sans nous las. sec, contre des édiomnies entretenues - pat' la ropagande iilleniandst ét qtii trouvent un écho jusque clatis potr proprê .pays. Quelquefo;s, -par nos nêgligunces et nos d;- visions nous laitsou dénaturer nos intèn- L- u ! 1 t- -t 6 A t.- r t Pyr.fiirkdsus et Lai-sg-ued. '1ri-i et: Ave3rrox l'ulu,sçt et EnvLi'oi A 1301SZ N E M E iJ T5 :as,, imoli s ,,*iit. .1 Calunivi. ;t (r. 24 fr ii% i'. rtrsji1er. i 4 1;. 27 (r. 54 p, u LO %TATOPIId AUX BUFFES DE CÉJLS H vient de faire dissoudre un Syndicat de non fonctonnîrei. Us rUstts se reposent tics fd[Sie tfti FO3i L0. ni-orrtardiei du Pape. - Et où allez-rions, Très Sairst-Père Pie Xl. -- -A -(;dne., très cher fils, cù la Frari-ce m'appelle. - - s l.E %'LNT i'OUtt.NE E' 1'.-%%'EtJR DE L'L.L1ClIGNE ii0rL- le iue.ilieut-es, not-i- fayotions l'byPG.. _e r-j-0- de nius adver-.4;lïr-t et- les doutes de i;s ;;nil-. A lotis - (t,5 l')iiit-S do- -vue, les dé- { I iraton ;ït 'il Bat Ilion '. icatient ,s leur heure et Li ICLI L paCtc. s L'Al'TJTUDE des SO%IETS SIItA i)ICTEE PR LES ID.SULI %TS DE U2E' - T)ragj,c. -16 avriL - La c Prage:r - i'tsse r apprend nue la cern-mission d concessions a.i-geanL à Moscou s reçu jusqu'ici aOxStt- -tir' I)roposfliOEns de. cot-Icessiuris -émanant -pour la-- plupart dOS milieux industriels. ai- -leinands, suédois, anglais, amérkcaiits - et tcliéco-nioi'a-qu-es--qui se -dée.lasic'at jrêts ii établir des entreprises indristriilies eu. Il-rissie. _ - - , La comrniesion des concessions prend-ra des -décisions qui- 'adaptertt aux -résultats de la eonférince Gênes. De la -sorte-, au -Cours rIE l'été, eTie ac-e-or-dôra un -certain nombre de concessions sou-s les auspices cl une coiïipanie CI a,Stii race-s M. IVIRTH RENI'RE EN ?sLLElAGN-E - .- - 5Ri-iEtl't'FA.MMENT - G-ênes, 1' av-rit. L'iiscicleut trlat-if à l'admission cl--e lAllomagite dans la commis- tAon poiitiqtie -est aplani : la délégation française cessera de- s'y oppeSet,- pourvu que - cette Coii.rmission politique -n'ait pas u_ce -duré-e dépassant celle de la coitféi-etice- do Gênes. - On anncsnce e-ii rni?-lue tcarpt que- le cliau- - oelier %Vii.tit va rentrer Li Berlin rIe façon inattendue. Son netour serait en -corrélation a-vo-e la rpoItca 4e la coirirnission des ropa... rations. - - On estime dans -les milieux allemands de la Couféretw.t qu'il y à encore des possibi- lités (le négocie-t' ts e-e sujet.. On attend du retour rie M. W'juth un changement appré- -ciable daius la -s;tuai-ion. Igs lea cotdissa AtIi'O&fl DE BAUEL On tic saurait s'imaginer ta stupeur de dé1éguts italiens -à la vue d'un Lloyd (leor. go différent de celui qu'ils attçenctaient, Cette stupeur, grâce aux nombreux agesltt (le liaison qui peuilent la ville (te Gêne, s'est iinin-édinteu&ent reflétée sur le visasa des didégués allemands, bolchevistes et lieu- tees. - D'une façon générale, en effet, on atten- dait un hornnie décidé à prendte en mains toute la conEn-ence, on croyait que par son autorité, par son prestige, il allait impo- ser dé le-s début de la conférence, et au besoin contre la France, son vaste plan de paix écoliomiqIte où vainqueurs et vaincus frrteriaiseraient eu attendant que s'effa- cciit progressiveinc.nt les conséquences de la guerre. Or, samedi après-midi, M. Facta ayant fait à M. Lloyd George une visite, et lui ayant dit qu'à son avis - on ne pou- vait exclure de la conférence divers sujets brûlants, les réparations, le - désarmement et la reconnaissance inimédiate des Soviets le premier ministre lui répçuttiI sèche- ment que ces sujets-là devaiciit - êtte dii- cutés ttuparavant en compagniE IICS déle. griés français, japonais et belges I Cettti réponse ahurit quelque yen M. Fac- ta, qui avait mandat du Parlement italien de demander à la conféencc, -sans en r&fé. rer à d'autres délégués, la r000ittiaissance des Soviets; or, en parler auparavant awç délégués allié.5, c'était -se. heurter à des luts de non-rece voir - préalables. Les J3olcber'isles, aussitôt prévenus rk l'incident se montrèrent très abattus, el Tchitchérine, dès lors, renonça :'t son plan primitif qui était (le poser dès la première séance, la question de la reconnaissance de son gouvernement. - LE SOURIRE ENTRE LES- DENTS Gênes, 16 avril. Api-ès les vifs inc dents de la séance inaugurale, les jours qui suivent- semblent plats. On -ttayiIle danS - . ----------------- . -- Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Lai-sg-ued. et: Ave3rrox --images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...i:i MtfltC.-f!STflDfl & ØÀCTi f' t 1U( rque1n TOULOUS t: ro: j 5 Ce ' p U !3 L I c: z T r(crs mLa;

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Lai-sg-ued. et: Ave3rrox --images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...i:i MtfltC.-f!STflDfl & ØÀCTi f' t 1U( rque1n TOULOUS t: ro: j 5 Ce ' p U !3 L I c: z T r(crs mLa;

i:i MtfltC. -

f!STflDfl & ØÀCTi

f' t 1U( rque1nTOULOUS

t: ro : j 5 Ce

p U !3 L I c: z T

' r(crs mLa ;

6c2f tOS O3

Les ar1jstS de Gênes fonl relâche.

Ldestin prbabIe de M. Poincar,

1a'S)YOSitlOfl pQlitique 'qu'il a pise,

es écrits Gi4 u govrne.rneJl, serai0jOUS (jCt13 lfl t!ur

. in qui1 se sOit flatte. cins sa con:reverse

le harui Tardieu, c;avo.ii tou'OUÏS

c; t.Oci avcc xesJ

aroies,l'cstiaffier cIemencite n en a

a; Pli lui iappeler, toute bonreuerrC,

certains ds textej qu il avait si

rjeaant de reaeve

.ident du conseil.AIms. le 15 jnvie.r 1922, M. Poinca

écrivait : t II '!'Y a phiS de traite ! Ncusici ai de hi pefltc saczrnee c!c t

n ai CItiop plc devins c.eux an';

Nous avoflS dernire ncus un irnmeemOnCtau d protoQpls, de déchuatinnscollectiV, oc pap1e1S JCfliS, de lettres

chiécs de cia. uses abc1es, et, devantPOUS qL1øi D. h fu ds n iecdes tribres. ii

F. Poincsi a commis cjjà beauccupde ce patclt-S n piutctcs Je m çerniCt dcncer cjte, o'fls la plémiquc à

quCll il j - ' '-t quelqu çcUe arpCl6en ni: mettant en cause n prCpQ desincidents de Ffdenau, M. P incai

erit rIe placer le final en se re-f;eant 'i faire la peuve ci ses affirme-tiens.

Nos amis ttri Laudiei, le député deBouges et Paii l3cncow ayant signalecu k r avaient pi oberi du gcu%ernerjnt.' à la Coinson de l'arrn6e, con-n c1ton des i ipprt cic la Crn rrns

Nilet, M. Poincar a 6prcuv lebesoin de due : « Ox' acre toaoars leregiet de V &j; ks ïefusci, psrcC qu eene sort pas es rappoxts fançaias, ce sontL!S xappaits d'une Comirsion interalhee. \iis-à-vis. oc nos nlliis. nous nayens pas le elrot de le; divuluer. ê;

Qnes-ce à dixe ? N'est-ce pas M.qui a ui m'xne c. ;Vert I eclt.e

aux intlsc1'c':;s cri pTlaflt de ces chceesla tribine ? Et n'a-t-il donc pas le e-

VOji de fcurnir li preu've de ses affirrn-;ori i; Prcnicnt ?

Et zçi, j'affirme que M. Poincaré apadi imprudemment. S'il ne montre pas\n rapports c'est qu'il ne peut pas tesmciitre1 cans nr&tr'r en rnie terrps5Oi ;rripiiidenc. Que les rapj:orts nePsent pas &tr CoflhntUniqus t la Con

arne parce quiis sOlit in-! q;ellc' paisanteïie. Et c.om

mtri si le P u1e nt se re-pct;t poulrait-il ccnr;cleeer cette réponse-là con-rn valable ? Ne devrait-il pas exigerque se COm;rssics resportsabies soientavsees au lie d'attendre ses rete.ignC-mes .es in scét;ons cfic;c'es ettnesoc1euses qu ILi apportent certains

ses nien-ibres, tel MM. de Cassagnac,' rie e J'n le 1 efeie, '-tans toutes ces sances, M. Poincari::5nté gie et sec. et impruient à

Ne le fut-il point qianc* il éprcEUva kbeso0 de direntror (lu-:' t'Alknsagne

lit v au'torjet avqir deux ceinnl. hcsTt'ên- nupes aL

)e; de cent ntl-e contéds pa le traitse Vrsajlles ; fallut bien cnsUit re

que la Reichswerh -- arnereguj était tc.jou;s rduite. à centtiO,ile hones que ie.s cent cinquantepille autres étaient des troripes de pcilicc.

!and, en ce qui ccncerre celles-ci,'VI. GInCar avait paru insinuer qu ellesSVaeflt fait lohjet 4e ; cwicessiGns sit le ministère Biianc, n etait-il pasCuge, iin reonit après pice.s en

'ns de ia;ser clatcr que cétaitv

ilerand, à BouIcgna et à Spa, qu' avaiteT1set1 Ces foniations ncuvelks.

aileui. imprudent VOi5 dis-je ? tlqh colère ninpo.rte, et qui sUppcs a Piqure de de l'adversaire ! Gela 1w;e? un flianvais tour. Car il ser

Jetait..ce point se &couvrir. lautre'1 ersore au rncrrsent cl'exp'liquer le. tressite dune arrne d dix-huit mois

re : s ( six mcis de plus ucueiettrot de prendre sans nichilisa-tL IS gaanj5 qj pourraient no'u-3

c:cnecessajres certaines heures. s1fle ces garanties sapp&ient des5tiQns M Poincajé avait beau

ter ensuite : « Si lon proteste. jaj.ou-ave1 9 flOUe permettront de ne pas

a les prendre », la parcle irflpru-raj e avait priincnce, et elle éclai-ti.,

tOut le débat. D'une part. cn voudraitPer L' . I

er ' ' aube part, on craint e soute-me °PtnIO p des mobjlisatjons rué-nPirtieljes -

rarci0e 'fl)4)ftiderte avec laquelle on vade .er çfles !... E-t de ce pointliar 1 tout k dsccijrs ne fut qu'une!ê IrJl.;pr ..ê ê. I . ,.'VI. p0. -.-ee, ii aet que mrnaceIne ..[erl r.o-,, a pas un mornnt

-. 'te forces qui, en Akrna-t tOut de forces ds

Le Par1ur iij-.uent

tLEP4r

paix. Mais il n ramassé soigneusein;entjusque dans l'anonyrrsat, -la -b-asse propa-gande anti-française qui se fait en- Aile-magne, comme cri pourrait ramasserchez nous de basces prédicatic-ris de hai-lie et de naticnaljsrne -abject.

Si tn pense que c'est avec de tellesvu-es que i'o-n poirra faire croire à la bon-ne volonté inteinationale de la Fiance.et qu'on pourra lutter- contre M LIo-ydG-eoi-ge, s'il a de mauvais desseins,- onse trompe.

Pencjant tous ces airs de fanfaionnade,o-n- laisse simplement se rsserrer-le cer-de isolant es icultés êiuteur de taFrance. En faut-il un exemple à cetteheure décisive :1' Arnérique a 'ré.-ciarrsées frais d'occupation, 1'Agleterre vient

deréclamer ce qui lui est dû. -

Actes inamicaux-, crient nos p-nrlernen-taiieg chavins, pencnt que leur seryi-teur a,u pou-voir css-ae C: jÏC : ;( Je raistout en accord avec nies alliés , etpendant qu'il cc-uvre, pai des parelesnsp-ruaentes, la réalité des solutions

-auxquelles il lui fan-t bien accéder, debonne. o-u de mauvaise grâce.

-

M. Poincaré n'eO-ij p-as son tempé-ramment que sa p-clitiqpe et sa situationle co-ncwiiwient à ce cePtraste perma-nent. Le malheur est -que la Franco est,eule a souffru de ce jeu coi elle ferades e conessions )) nour cilinloyer le

gag-e de M. Pc-inc-ar-é, et elle n'enaura manse is aux yeux au m0icle lebénfice moral. --- -

-Vier'rc

Ancien Direter dc 1' « !-Ïtsuain-U .

QUQTE.

UNE SIMPLE ERREUR.devenu ut; ders courant de unir

uf mail sUPpri,flcr se femme, ou une êipoese l-gime ra;yo du nombre des viCans son -reigneur

niottre. L'on y po-re peine ùtenlion :

lr fretin des c-rimes. Quelque-s coups depoignsrd, qicIqucs bat1e de tjcn1v;, qu'est-ceq.iie cela - ? Parlez-nous d'une bonne douzainø dedarnes grildes dans un fourneau ou d'un vaguecjloyen xpd& -en peWs rnoreaux dans unemalle, voiM qui peut nons r.,nnuvoir; niais undam'; domestique - ! Noue n'en senauce plus M f

Cvs cc raiso-nnsien que 'tait tenu, sansdôulc, un jeune assassin qui vieni dPrc Vic-urne d'une cre1ic meacnftrc. Cci indfeidueuoi pour. maftre-sse une jcrine dac!gkgraphc.1_,'on n'ignore pa que ces aimables per&onncse-nt lrs dem.csndécs depuis leurs succès auxioCaUs -perisienncs. Mais foui passe, fout casseet tout Iâsse : un jour, hi blcvsde enfant avaitcc&s de plaire ... Pan. . . Pan. .. quelques coupsde rtvuker. Adieu, gemimcs r,gulires sur ma-chines a Ce n'csl pas plus difficile que ça.

I_Se ccrtIfSCb!C es( errci : dans sa prison, il estcafme, il sifÇ1oe, 5urne des cigêxrcUes. Une fem-sac tue ? asL î Draine passionnel. Acquiitr

øn certm'n....Fal pas s'en taire Î Le3 urdsnpit - i -intetfig-enfs ! -Et l'ainssrle -rneurricr at-iaadaU, l'imc srneffic, de ooiq s :auv1ir lesparles de la piecei ... e le caair. d'une autredactirlo f -

helaa trer s 5cis 1sefa Ii ri aoart cosnmzsqu'une bjg-rc erreur : il oOait n-jiig (Inc petiteJonnaUi ,vcesraire et n'avait j,a.; pousz sadcttilo ! Hors ic mariage. point de salut f

On peut tout ê son aise ir sa femme 1giti-te satts que i'ato-ri1 en prenne ombrage : elle

comprend si bien bn, raisons maCufes d'un telcrime, qu'elle trautie touows des circonjtencesstfe2vtuantes. Mais, supprimc sa petite catie,qu'on peut si bien p!mtfcr ll saris grabuge, ah flien, ça, cc n'Cst 9cc de jeu.

Et voila pourquoi le nornrn Alexandre An-drieux e f& ces jours defnicrs, condamné parle tirtj de la S-ine aux- travaux fo-rcts a

p1ui1é. - - -

C'est dommage qu'il soft Cayatine pc'ur plusque lenglez-upe.. C-e-r il- su ptorncftvit beri la pro-chaîne fois d'épouser pr&afulcment.

.X --

1E - MEILLEUR PASSEPORT.Un voyageur, daraircrncat, se prtsèrdait la

frontière du pajs des Soviets. -

C'est un lieu qui- n'cd pas toujours facile àf ranchir. On le ouilIn ccs-tsciettdcusernenl. Onexamina ses papiert d'un c.cil soupçonneux.

L'hojnnic craignat'i bien de ne pas fsa"ser quandon d6couurit dans ca malle une série de dartins de H..P. Gescr et de Duccy.

On ne lui en demonda pas davantage.Et le voyageur pu continuer sa route sans

ficuftss.

ENCHERES.Une, deux, trcs,... Adjage !

La r Salit As.scmblg Raon;s -; va être pendueaux cndires. .. . -

On va vend,-e cncltàrca une s salle dcl'oms s

. Une moi8att de bains. Et elle est fameusedans toute la ci1 de Londr-es, N'est-cg pas danscet établissement quc Didcns .a sitw unede la psrtiè de whist âvec Lady Siulph2-la co-c'nî Wu 1': ' '11e -Poj--... -

;; -:' ...-.s ln..a'(st d ki;is )

Nøtre Nouveau Feujikion -

"

11

iLLE ORfrtX

LaWcu c1 TlcdrC t-ouvcou jouilkten,M. CILLES NOR-MND çt irneaicîrc-vnk palisie,;.;e bièri ciruc à Tc-u-10USe. Romric2ei-, po&tc, dramaturge,ccjt u-n des esprits les plus actifs et I-eplus ouu-crfs qui scieni. Si prodution,ti/12 Joi& irrcessoite et srie1ILe, fait l'ém-e7-Veiilcrmaflt des letfrs, cri mme tempsque celai des économistes a-u premierîor1g desquels il se clase ar ses cIèbresouvrages sur le cc,rru-mcrce et les devojrsjero-Jessjcnric la.

Da3 LES FIANCES DE L'HOCGAR,'autCcir nous évcq.(-? les Cisi(rni r;iflifai-

res de la terre d'iU'-iq-rse qui est czu;si l-aterre de l-ci dLscipzi-re, de ses rninères,de l'expiation de feintes convent jflusc-i-res .

.at' d'Ai' cf i'gin?7(ii'53 ec ut ritjcnmi les Arabes dont I'ho-spilalitd est lapremière des vertus, et ko OLkiCd dei\JCils, ces femmes nomades qui àoni icipocsie du désert. I! q o de I amour sde la ha-in-e; 1e périudtjes des drameslas plus mauemer-trs, de i-u tcndrese( lc vic1çtice, de la trahison à j'53:55jflot, tiendront cc-nstammert le lecteur enéveil. I

Ltj Targui, homme de i'l-Iogga-t o ciaque, pour .e'dIecrr, il dcooit être soldatjrari-ç*i-is. Il cst témoin de lent dinjuutices,de tantd'horreurs qu'il luiapparoîf eleite1TCrif que c'est nous qLli eonu;res le-s bar-bures; lui- es!: - le civiltsc. li a horreur denc1 flhoeurs, de nos coutumes; la guerrecal pour lu,, uqe absuidit_ n êrr e si onla di 'ainte Dcuv uht1ooph un peup,. ri itif, il mçrtrera o bien dea b1nc';'C cheritn qi ne cocin&t plus ttere,le -O-rai chemin du- -devoir qai n'-est pastcncs.rrs indiqué ar lc:i i5-c-ra!e tin peudalse qu'on no-us impose. -

Tctis nos lecteurs, et, surtout noa toc-incas, se passionneront pour les ada rite-res ctuTargui cf dc la belle Fdtorr-s-;, f.i-uariious,ernentdss qi-;c ne le scnt-gtn»csle-matit celles des om-outeu.v de rias prsqsoccidentaux.

SQCALSTE RGONAL

Un comble!ORDRE DE DISSOLUTION A UN SYNDICAT

bÉ NON-FONCTIONNAIRES -

La Boc Na1ina1 et ses amts envoppeiil dasune coerisuie hauia deux lois soc..ades aules cepend n ils ri oseri pas toucher de dela jotun-a de -huit heures et cet-le du droit y-n-

dical. - - --C'est ar des modes jésutjquea d'application

-par une iterpri.ati-on pe-Çide des teies que-ces messieu;-s errivanS à li-miter l'elLn cia avton du iégislateux. -

- -

Mai-s, jUsqu'à aujou-rd'Iiui, es di-reetcucs rac-tctnn5-res qui gouvernent la r- .avaierJ con-tet aux eea-ts fonctionna-ires le droit de b-

-n,ficie de 1a lOi de 1884. Une edm-iaiIraLonvtnt de. taire un nouveau pus cri avent danscatie offe-nsve. -

EIe e dona à des gens qu ne eonl ios Fouc-tionaiaes I'erdre de dissoudre leur ayndcatCette àdmioisir-ation - est cet-le des ManuFactu-esde Etat. L-e syndicat via est celui des -concer-es et garçons de bureau de ces psanufactures,

tri-vaiflerns acta coiuinssinn-is. -

Ctose etutieuse, l'heure mme oti Forc1e ded:erohstion- 6tat --donnd,- ta nsinstre- les finn-Ce2.- s-eceva-t u-ne déldgatioa du syndicat dtestéqu gxaupe dessnutiLis de gis-aire. - -

l\a s I pareit que la drreet'csp izles Ma'ufactu-rO n'ei,nle -pas ceux ir qui 0M des drottssur noirs s. C'ait insi qu'e-e omet, d'eu-irepart, - de sguaer trois places ré-snrsi-rs cesvLcti.mes de la grande guerre : une à ta Manu-facture de - M-arseille (vacante depuis arl 1920},un-e autre ati magasin de traitait de ta mimevil-le (-vacanie depuis ûrtohre 924), uneme s la manufacture de Pantin (vacante deusla mime ipoque). . --

Etie craint sans doute d'au-gmeainr le nom-- lire des membres do syndicat, car ces audacieixdemandent des miettes du cridit de I.2OI).000

kdncs vot. ricemment. Que testesait-U, grandsdieux. pou-r les haun fonctionnaires ? - -

CtOFiS CS9Sl.a_ signature d'un traité- de commerce eSt

prévue pour 1a fin du mois

Madrid, 16 avril. - Les négociationscornnierciaks franco-espagflO' es semblentmaintenant devoir- être rapidement termi.itées. Le travail des techniciens qui n fwisfin avant-hier, - va être examini par lesdeùx gouvernements. -

articles, sur lesquels l'ententen'a pas été complètê entre uéØoCiaturs,seront dc nOuveau étudiés avant titurc dii traité. il est évident qu'api'és osa-inca. de-s miniatures franiais et espagnol,certains réajustcm?nts seront nécessaires.

Si les gouvernements achèvent et san-tionnent promptement le tràvail de leurstechnicièns, le traié pourrait être signé(laits les derniers jours du mois courant.Naus disons traite, car il n'est nullementquestion de signature de e modus vivendi s, tuais bien d'un: accord général d'untiidté de conmerce, les deux gouverne-ientS s'étant rendu compte que cette so-lution potw:ait seule être avantageuse pourleS drtc PY5'

ttttPilOtE :

I. ii' i;tau I t_; h'utt

t Ou sr --ts'Orripe V-i 0 iseinbiubcuie;i(. cii c -110111 tot q' i- 1 -, IJL iii tut -. qileSt;oiis 4_t 0110-IllIqur..r., "t ç ut t (solui tu ce n de I's toit-f'itence. Les des C01flflSSi0flS-ont ti Oji iti ui'qu; r ( t Et (J]) tlu tu quspool iv) t t1t i L il il ne (eut t., iiid;lg t ta alt ut illo; -iIi. t t Poli Iqiti tlt. laeoiif i i rt I t rut lou in ur tteiiit ut crilai i ut (k I I Ii n:lagiif f t d r lit in I aLt tu-

us eflflø.La u Guzelle -de Voss e oc'cupe de-s- diiti-

gurs qui iU( flrli "itt I 'S.III i%11,II( S (eI1I.5 t. tstutL, d:it-eli-c, sl'une p;u-f ta bt'rultle in-atuté -di d igii ds Jiani ii-e cl cl tuttu part liI hotu ; L., M Llo\d (u Oig 1° tout taVOL cl'edk;ttil-ler Mii--, \'jr-ti et Ratlteriau.L;. leu; n l i t (itt qui; li luit g it oui 'illensn-

- rie s'e.sL plaode ' ic t;-op ;ntx i2tds de l'Ait-gleterre. - U estime q110 - M. \Virih auraiti-taux fait (hits nout cliscout s d eri)i intel

le propre point deLa r Zeit s, après avOir rele\'r cjue -les

- iri-kntion-s- de- la -F-raitce de ne l).as laisse-r-la oo-nftrei;ee tii)0ijir aux résultats d;siris

a; la in iio; il( ii ', up;; s tl I &nglel'1&LttSorteflt clairement, u Mais si la coii:t'd-t aci '-t t -'' flu1tt. iji lui JIi',t1t1 L-, I tFiatice s'eu-gagc- dans- nue voie daiig;oreu

_se. » -

- CE QU'EN PENSi lA PRESSEDu e Rappel e (ra-die-ai socialiste)e On a tenté hier- dc tenir à Gênes, dans

(es cOuliS-5es niérnos d la conférence, uneréunion des ministres des tinanc-c-s.

ci Ce n'est, lalias! -un secret pour peisort-ni, quo noLrc- -pays n'a pas pt-i-eisdiiwiit lact>t.'e à Gênes. Ses - caTit-luis -naturels, et nsQ-fil t Or tains de se' 'ti-IOS, font i "iiI lent s torileu qu'il fautpouu cela.- Dicuk -dans unetelit, at-iuiosphère 1-e problt'ne --des tt.para-tions, -auquel pi-us que tous autrt. --noueS-05tnrtea intit (-s,L'; t hit t (i tonti e nousEt le tout etait jour', et I Ailtin igno g tguait sa manclir! -

o Mais à -manoeuvre, mnuvr-e etdemie.La tIOutmissiou -dis té-partitions e déjoué le-piige. » - - -

De la ' Républiqu.e Franaisc » (mo-déré(C Est réalitt', la conférence de Gènes a

ttd inve-nt-éo - p0Ut' peimett-rg à M. LloyUG--orge de s'entl'etenir pubIiquenent avecl'Allemagne et la Ru-esie. Mais comme 1e5rappôrts -des Alliés- sont i'iglis avec l'Aile-tangue par le traité rie Versailles, la con-crsation ave-e l'A-ll-e-magtie risque d'être

brève, car -elle se heurterait à tout instantà cluelciuc stipulation . du trait-é. Avec laIlus-sie bolcheviste, derrière laque-11e, d'ail-iru'rs l'Allemagne se dissimuic, prudeni-.uie-nt, la manceu-vre est plus facile. Aussï,pour In morne-nt, à Gênes, l'Allemagne setiil, mais la Rus-sic bolcheviste parle. Elleparle- -même abondamment.

u La confdrence de Gênes lui a offert, à-peint nommé, les trét-edux d-ont elle n lie-soin pour étourdir le mon-de du bruit de

-ses allirmations et aussi de -I'dclat de Sesmea-songes-. - - - -

De I' ii Eclair » (iéae.tionnairé-)(C Nous sommes cii pleine période

tique et gouvernés pft des imaginatifs sansfrein; la diplomatie secrète. n'a jamais ét4J)IUS en honneur cites nous. Les gouver-de la d(-mocratie se rejoignent déjà dan-s unc-Onïmun IndiiPis -du peu-pie. Crest pourquoi,évidemment-, M. Poincaré, qui veut vrai-

-nient rester - républicain, est maintenant,dans la maison à l'envers, trait-é des réac-

- tionnaire s. s ' - -

Du u Figaro s (rtattionnaire) : -

r, Ne cessons pas do I.e prtoclamer sOùStoutes 105 forine.s. Protestons, sans nous las.sec, contre des édiomnies entretenues - pat'la ropagande iilleniandst ét qtii trouventun écho jusque clatis potr proprê .pays.Quelquefo;s, -par nos nêgligunces et nos d;-visions nous laitsou dénaturer nos intèn-

L- u ! 1 t- -t 6 A t.- r t

Pyr.fiirkdsus et Lai-sg-ued.'1ri-i et: Ave3rroxl'ulu,sçt et EnvLi'oi

A 1301SZ N E M E iJ T5:as,, imoli s

,,*iit. .1 Calunivi. ;t (r. 24 fr ii% i'.rtrsji1er. i 4 1;. 27 (r. 54 p,

u LO %TATOPIId

AUX BUFFES DE CÉJLS

H vient de faire dissoudre un Syndicat de non fonctonnîrei.

Us rUstts se reposent

tics fd[Sie tfti FO3i

L0. ni-orrtardiei du Pape. - Et où allez-rions, Très Sairst-PèrePie Xl. -- -A -(;dne., très cher fils, cù la Frari-ce m'appelle.

- - -

sl.E %'LNT i'OUtt.NE E' 1'.-%%'EtJR

-DE L'L.L1ClIGNE

ii0rL- le iue.ilieut-es, not-i- fayotions l'byPG.._e r-j-0- de nius adver-.4;lïr-t et- les doutes dei;s ;;nil-. A lotis - (t,5 l')iiit-S do- -vue, les dé-{ I iraton ;ït 'il Bat Ilion '. icatient ,s leurheure et Li ICLI L paCtc. s

L'Al'TJTUDE des SO%IETS SIItA i)ICTEEPR LES ID.SULI %TS DE U2E'

- T)ragj,c. -16 avriL - La c Prage:r - i'tsse rapprend nue la cern-mission d concessionsa.i-geanL à Moscou s reçu jusqu'ici aOxStt--tir' I)roposfliOEns de. cot-Icessiuris -émanant-pour la-- plupart dOS milieux industriels. ai--leinands, suédois, anglais, amérkcaiits - ettcliéco-nioi'a-qu-es--qui se -dée.lasic'at jrêts iiétablir des entreprises indristriilies eu.Il-rissie. _ - - - , -

La comrniesion des concessions prend-rades -décisions qui- 'adaptertt aux -résultatsde la eonférince Gênes. De la -sorte-, au-Cours rIE l'été, eTie ac-e-or-dôra un -certainnombre de concessions sou-s les auspicescl une coiïipanie CI a,Stii race-s

M. IVIRTH RENI'RE EN ?sLLElAGN-E -

.- - 5Ri-iEtl't'FA.MMENT- G-ênes, 1' av-rit. L'iiscicleut trlat-if àl'admission cl--e lAllomagite dans la commis-tAon poiitiqtie -est aplani : la délégationfrançaise cessera de- s'y oppeSet,- pourvuque - cette Coii.rmission politique -n'ait pasu_ce -duré-e dépassant celle de la coitféi-etice-do Gênes. -

- On anncsnce e-ii rni?-lue tcarpt que- le cliau-- oelier %Vii.tit va rentrer Li Berlin rIe façoninattendue. Son netour serait en -corrélationa-vo-e la rpoItca 4e la coirirnission des ropa...rations. -

- On estime dans -les milieux allemands dela Couféretw.t qu'il y à encore des possibi-lités (le négocie-t' ts e-e sujet.. On attend duretour rie M. W'juth un changement appré-

-ciable daius la -s;tuai-ion.

Igs lea cotdissaAtIi'O&fl DE BAUEL

On tic saurait s'imaginer ta stupeur dedé1éguts italiens -à la vue d'un Lloyd (leor.go différent de celui qu'ils attçenctaient,Cette stupeur, grâce aux nombreux agesltt(le liaison qui peuilent la ville (te Gêne,s'est iinin-édinteu&ent reflétée sur le visasades didégués allemands, bolchevistes et lieu-tees. -

D'une façon générale, en effet, on atten-dait un hornnie décidé à prendte en mainstoute la conEn-ence, on croyait que par sonautorité, par son prestige, il allait impo-ser dé le-s début de la conférence, et aubesoin contre la France, son vaste plan depaix écoliomiqIte où vainqueurs et vaincusfrrteriaiseraient eu attendant que s'effa-cciit progressiveinc.nt les conséquences dela guerre. Or, samedi après-midi, M. Factaayant fait à M. Lloyd George une visite,et lui ayant dit qu'à son avis - on ne pou-vait exclure de la conférence divers sujetsbrûlants, les réparations, le - désarmementet la reconnaissance inimédiate des Sovietsle premier ministre lui répçuttiI sèche-ment que ces sujets-là devaiciit - êtte dii-cutés ttuparavant en compagniE IICS déle.griés français, japonais et belges I

Cettti réponse ahurit quelque yen M. Fac-ta, qui avait mandat du Parlement italiende demander à la conféencc, -sans en r&fé.rer à d'autres délégués, la r000ittiaissancedes Soviets; or, en parler auparavant awçdélégués allié.5, c'était -se. heurter à des lutsde non-rece voir - préalables.

Les J3olcber'isles, aussitôt prévenus rkl'incident se montrèrent très abattus, elTchitchérine, dès lors, renonça :'t son planprimitif qui était (le poser dès la premièreséance, la question de la reconnaissancede son gouvernement. -

LE SOURIRE ENTRE LES- DENTSGênes, 16 avril. Api-ès les vifs inc

dents de la séance inaugurale, les jours quisuivent- semblent plats. On -ttayiIle danS

- . -----------------. --

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Lai-sg-ued. et: Ave3rrox --images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...i:i MtfltC.-f!STflDfl & ØÀCTi f' t 1U( rque1n TOULOUS t: ro: j 5 Ce ' p U !3 L I c: z T r(crs mLa;

L

En attendant le jour où sera définiti-v*TITc:nt ras$e.mhlée toute la piodu9cn13aC de Jean Jaurs, la naison d ed-

ti:m RiedQi offre aujourd"hpi au publicun recucil ce poges choisics, gt'os volu--mc de464 pages, qui ne se coropose pasuniquement d'cxtvaits découps au ha-&-(! d;-ns l'oeuvre inprimée de l'éerivamou de 1'orateu. il est conçu suivant unplan fdit et lcgique. 11 suflt, à hti seul,

familiariser le lccteur avec la pensée dumaître . Le premier chapti, intitulé Phi-1os'phie, rnc.nte su quels solides fon-dernents métaphysiques s'appuyaient lesidécs ctu grand socialiste. Le second, Artci Socidisme, fait entrevcir le prodigieuxdéeloppcm.ent de la beauté dans une sa-Ciét& éconorniqiemcnt mieux équilibréeet Iroralement plus juste. Le trcisiènie,l'Edocoticn du Peuple, indique en quelsens et it quelle poFcndeu doit pén&redars le pruple l'instuction, ainsi que latache attendue db tous les éducateurs.Je quatrime, l'A vceir dc t Humanitc,témoigne de la foi obstinée de Jaursdaos le développement des destinées hu-maines. Le cinquième, Eiudes et Pcr-t?oftJ hisloriqrres, montre dans quelle par-faite connaissance du passéil puisait cet-te prcdigieuse prescience ce lavenir oùquelques Uns vient comme un don pro-phétique. La siixirne, 1'!niencrLicncie, laRuerre et la paix, évcrque ses luttes mm-tenompues contre es menaces de guerre,cette entreprise prodigieuse de la rai-

la farnïne en Crîme

s 1II(iSCS tk Jeail

LIGUE DES DI4O1TS DE L'HOMMEiNTERVIENT

LaLigiic ds i)roiLs de 1'Hoiiiine vient riercevoi d'une source tris sûro des rltai1sprticu1ièrerneut tdifiants sur -la situatijo.pr&sente dc- la Grirnés.

Dans ctte région jadis l'une de plus ii-.civ:s de la Russe la famine fait d'innorn -i).rablc-s victimes. 1)'un million d'habitarrt.en -19W la population se trouve rédulle700.000 affames.

Dans les rues rie Shtstopol chiens(hvoreu1t les cadavres qu'on n'a plus la

4 de i le j et l en owr Y lta ou 1ip- h?., a t' qrr 1ue et ine

itints n e't piu' qu un (IfsertW1l( 'I1U\( sitac a et

' lûfe, la tu tioii es' dijlt"( UI'S ' t i 04)0 utl'nt , OTIt

v'ui- la mot.Les .euvres dc secours dirigées par ali--!fl CL Iioovr nont pas pu re encore oc-.

gaicises. Cependnt, il serait ti rie ravi-tailîer les survivants : les pors do Ciirnôesont !iei a1oénags, dessoris par des voiesfecrés uomljreuses et Constantirieple n'esttF jours et la Franco à cieux semaiaes.

La Ligue Droi ts de l'Hornnc', s'a:les-saut au gouvernement fiançais t au goit-veitieluent des ovjef;s leur dernamie d'in-f"i'veïiir aupri's nu reprsentaiit 3 la FranrC p1 la Crox-1touge internatiara pouqtu-' s affatns reçoivent dc loul urg21u'o

s ('eOurS utcessaireS.

e-.-

Jes couunissions oit I'haLlnonie la ptus IOR-iante ne cesse (le régner; les bolchevikssont des plus sages et toute IC inonde. sefijcile de l'esp'it tic coiuriliation que te-inoigne, en particulier :i. Rako-'ski.

on continue encore z\ s'entrqlenir des de-clarations de Î-1. Barthou, rehitives auaarmcmcnt. 11c lèégué français o térnoi-gn d'une déploroble nervosité. S'il avaitdit iuc la question des désarnienients évo-juée par M. Thilchériiie ne peut être tra:-

tée i (èncs parce qu'elle es pcndante àSociét ics Nations ;ul én est saisie, il n'yaurait rien à rcdir. Mais il n'a pas en cetteprésence desprit et c'est M. Iioyd George_IOi a réparé l'ou'b)i dan son a(Imirnble lin

(le discours.Les itusses continuent toujours exciter

la curiosité des eongessistcs.. M. \larce1(,:(I-i1O DC (jtTi1t( pas d'ine snncUe ?d. fla-ko,s le (jtle), ii la uiaion cte la 1t'esscadsidrable Palace où tOUS les oiirnaIfstesc donnent rendez-vous -- licte dcs conï-

IliUhliqkléS trionipl-.&rtetrrs.Les tlé1tgués ries pays capitalistes » sont

i peu IM'èS unanimes i trouver les bol-chevistes extrneuicnt rnodrijs ; le petitcruplet sur le romninnisuic (tUe contientle discours (le Tebitchéi'jue n'efîriic iluspersonne. &I'eri»cttez_leur de souver ,JesHpp-arenCes, mc disait un déJégué officieJ,il faut bien qu'ils songent ii leur clientèlei1 Moscou. Vous ne voyez krnc pas qu'ilsathuettent tous nos principes bourgeois. »

Au fait, un bolchevik ii ('ui je demandaissi l'uii (1e &perts soviétiques, M. B...,i?était pns k socialiste bien connu en 1917,me riposta : « Nous descendons busd'Adani... »

Voilà où ils en sont ! Mon intpression estnette : Les bolcheviks ont assassiué le sla1isine û Moscoti ; ils soit renus iiiter

Ter ii Gênes . . .

U BON TUYAU POtJR LES SOVIETS

'Ai'tliui Wauteis avait rapporté dr Rus-aie 1l biPets de lcïo.00b} roubls (i.acuu. Ilavait pt1yi là-ha-s miiUon OOOEOOo rou-ks environ 50 fraites. Voici ce qu'il cii aLtt nu en les .-"ndant aux errciiè's ou

cours 4ltt ses co1f4rences sur aC'est \Varirm iie quo l'on btIti l ra-

cet-4 tr 2 billets furent vends our 330 fi'.Fieurus, 3 billets pour 100 fr.; A Saint-

Jesse, 3 bitlet pour 95 fr.; au Syndicat in-lpendant (les employés, 3 biIlet. pour

2t1 fi'.; ii Anderlech$, 3 bidets pour ii5 le.;à Liège, 3 1)111015 pour -lO fr. à houant, 2-biiiet Pu 0 le. Su lstnl -lS'1i francs.

1r*tboe net, vr ( au protit zCs petitsafGtin du'es 1.iit mn 53 ta!e 1.k651r4e. .

Ces bflls f4reut dn 45ndu5 tIï!lltC fOISIen- valeur.

:ij t-z n tyen l prtrpee it taConter'-ne de Oén'rs, IJour reircer les1t41aoc t la flu!Sie

I.Un livre qu il faut Hre

L

p;Ù

son solitaire contre toutes les forces ccc-usées de la fatalité et dc la mauvaise vc-lcnté humaine, cette bataille pour la paixqu'il appelait e le plus grand des cern-bats n et où il ne oevait peut-être suc-comber qu'en apparence.

Les éditeurs se sont attachés à repro-duiie surtout les passages inécuits ou de-vepus introuvables, épars dans d innona-brables discours ncn publiés ou clans desrevues aujourd'hui disppes.

ice livre, crné d'un beau portait gravésur bois par le maîtie R-E. Vibert, doitêtre dans toutes les mains. Il est accessi-bic à tous. Il permettra h ceux qui l'igrio-rent de connaître enfln la vraie figure decet homme si mal connu et calomnié.Il apportera à ceux qui le -connaissent denoulies misons d'admiration ràison-irée et d'amour.

A vrai dire, c'est là le volume attendudepws lcngtemps. Pour la première fois,la vaste pensée de jaurès, avec son an:-pie variété, peut apparaître dans ce choixde pagse, sous tcis ses aspects. Une mu-vre immense et dianersée se trouve enfinmise à la pertée de tous, ù un prix tbor-clable. Ce livre sera lu, tans aucune idéepoiittque, par tous ceux qui attachentquelque prix ù la diffusion de la penséefrançaise.

Un fort volume in-8° carré, 464 pa-ges, couverture en deux culeui's. Prix10 fiancs.

Alexandre nous vientM Millerand r quitté le Maroc. Mais

non sans discours. En effet, il a- adresseà Moulay-Youssef, sultan du Maroc, le té-1-égramnie suivant ;

(( Au monient dc quitter 10 Maroc, jetiens ii exprimer ii Votre i\Iajesté les sen-timents l)rofonds cirie j'emporte rie monséjour dans ses Etats. L'accuei' que j'aireçu (le Volt-e Majesté, les nanifîittionsde la population marocaine, les specta-des ic1rnirab1es que j'ai eu sous les yeux,font que je gardeiai de cette visite unsouvenir inoubliable et la conviction quela Franeeet le Mayoc, étroitement asso-rdés, liers de leru- grand passé et de leurseoniuiune glùires, peuvent atndre de magiiiliques destin-éc.

', ' Je pris \Totrc ilajesié d'rkgré(,E' l'ex.-pression- de mon inaltérable amitié. »- ((t Iflaltéi'Ol)Je )) tu parles !)

Puis, il a pris le train.A leur desenle tlu train, à 8 lieures, le

président (le la République, MM. Bérardcl Le Troquer, le gouverneur général delAlgéric, on été salués par M. Ferlet, pr-fat d'Oran, M. Barisain, maire &!: '!'eu:cen,entourés de la municipalité et (les repre-sentants (tu département au Parlenient. Le6e tirailleurs algériens renduit les hon-fleurs.

Le temps est superbe. les minarets 1ela vieille ville maure dont la Fiance asagement resl)ecté le caractère se (lecou-J)C1t liants (ions le ciel d'un bleu parfai-tement pur. Devant ,la gare, la populationn ebuletiieseinent accIariu le président.

Aux souhaita de bienvenue du itiaire,M. Milierand n ripondti

s En venant ici, je ne remplis pas eu-lement un devoii tie reconnaissanceu etd'admiration enversies lus de l'Algérie quiO1)t fait si vaillamment lent- devoir peu-dont quatre ans et demi, j'apporte aussiaux colons indigènes qui travaillent à tact-tre en oeuvre ce superhe PaYS les en cou-raements e-t le salut dé la France.

« Vous pouvez compter (jUC le gouret-fleinent dc la Bé1)ubliqI1e, après ce voyageplus encore qu'avant si possible, conti-fluera A entourer ce pays de la Çollieitudela PlUS vigilante. s

Puis; il s'est emahrqui._-e -----

Les Icide de TiisTunm5, i avril. - Neus avons tenu

nos lecteurs au courant du mouvementcpJ s'est produit ces ocrs-ci en Tuni-iecri faisant la part nécessaire t l'exagéra-tien.

A h suite de la signature par le beyde la proclamation affirmant son inteir-lion d-e ne p-es abdiquer et sa confiance.dans la France protectrice, le calme étaitrevenu dans la population indigène, iraisdes intrigues se nouaient au p-riais pouramener le souverain i revenir sur 1 affir-fl1tioii si nette qu'il avait donnée de lafidélité aux traités liant la dynastie hus-seinite à la Franc.

Afin oc mettre pn terme à cette situa-tien, Je résident général s est rendu offi-cielienrent au palais de la Marra en uni-forrre et escorté par un peloton de cava-lerie.

Il a fait cennaitre mi bey que le gou-vernuncat fronçais, désireux d'assurerau aouvel.aifi son efitiuc liberté de déci-sien, lui demandait d'écarter de scn pa-

I lais les pe.ree.Ta1aités cana meurfat dontl'attitt;'d* inccrrccte pouvait porter attein-te aux bonnes relations du représentantd ! r:ni:ce avec k prtset,reur du roynu-me de Trmis.

le bey n prris h M. Saint que dessenctioru seraient priaes \ cet effet.

D'ru.tt' part. il n fait çonnaître au ré-5ident -.éra1 qu'il n avnit jamais étédans sel pefiséC dc remettre une liste deconditictn8. TOutO affrisratio relative i

la rni d'un ptgnurimc en tix-huitpCïCt kit donc étl-c considérée conirueinCxaei. Le. bey s'en tient fermementeux irMicua scllêes dans son sceaule avriL

' FMs 1it N ()UVIUEII LBOt'ILL;tNi't DANS UNE

CUVE DE iitIt. II I tagiqur aeelil s'est inOlitit rIr-fabrique fl' Irlts pour la bira,

mt JMos-les-LlJe.li:Jn ()IWXiC, M. Atigiisi i\-ianceier. 25 ans,1nht il Look I t-UI r,l()ilt( 'UL Ont liai t

1}lacLl tai i-'bessus tliine CIiVt contenant CitisUore eu bullitlii k i-iO de-gr(S i)(Yur \lri-fiet' le mécanisme. 5oidaiu. le me.lheoeuxI:tcrdit l'équilibre et tomba dans le liquidebouillant.

Retir inunédiatejiieiit. l)aI 5S CUifltllO -des, témoins do l'accident, l'ouvrier fut conchut ' à l'hôpital de la Charité. oil succonha l'UX heures après son arrivéLES SEPT RECHAL'DS »(J DESESPEREDepuis longtemps, hanté par l'id

suicide, i,t. J)elp1un-lI)e1agnziu, d'Auxtite,vient rie s'asphyxiei cii aloyau lo septcitaiids qail ava' t lJiinté tiaits sa cJtt-bre coucher, après 1(5 avOir bourrés techarbon de bois.

DRAME 11h FtUHLLE-' la suife de rirconsiarices, -eiicor tuai

connues, un ouvta?r h:o nommé OttoEhrhardt, n blessé griévement sa femrn

coups de marteauS n tiré un coup cl.e se-volver- sur son flls, agé de 15 ans, et aprèsavoir. assommé sa fille, l'ajetée par la fe-nêtre. -

NOUEAUX MOTSL'Académie Français a voté l'adniission

au dictionnaire : ingéniosité, inhabituel,inhalateur, inhaler.

Combi,rn d'entre nous se servaient dumoi, (( niiito.i1é > . lus ' ,1- 51 r qu ils 0minttaieit tilt épouvantai)le barbarisme? Ilspourront aitjcurd'hui l'employer sans ces-sel de parler la meilleure langue yrauatse.

LA LEGENDE )ES llELLES-MEtiELa !égrndc des beiles-rnèr5s toucheinit-

elle h Sa fin dais une sublime réconcilia-tion avec les gendres? II faudrait le croire.Et c'est encore l'Amérique que nous vientle mouvement. On y raconte cilsq cas deme décédée'. \iêir:e un soi-disant assassin,IC( iié ria meut lie de son rpois,e fut si

bien dtfendù par su belle-mère que Je juryne trouva d'autre issue que (le l'acquitter.La belle-mère change de nature; clic te-vient un trait d'union séduisant .iitre lesgénérations d'hier et celles d'aitjourdhui.Bravo!

LIffiJHME QUI ASSASSINA SA EEMMIiET SES F\t' (Ni S Vi F 'tRRF i 'ltL'

AVOIR TENTE DE SE SUICIDEIICharles Baysang, le meurtrier de Durlis-

nerf, qui a -tué sa femme et; ses sept en-fants s ct u êt( in r Il Lut t ii h( soutics bottes de paille dans une. grange oi-sine do la eteiii (k on fre ' t I ainvéstics policer, ('harles Btysang to1it dtrancher la g orge av cc un e.outeu, maisne réussit qu't se blesser Igèremeut

On attribue, cii outre, au crimin.cl, uneclizajiic d'incendies clans la conunune,SURPRIS SANS BILLET DANS UN TRMN

t)N VOYAGEUR SE JETTE L'AIt L'tIPOWflEBE ET FE 111E

Le contrùleur de l'express -103 faisant saronde entre Lyon et, Marseillo avait surprisdeux voyageurs dépourvus do billets. 11

averti tics délinquants ClU'il allait les re-mettre entre eS mains du commissaire depolica de Valence. Au même moinen, l'und'oux, ouvrant la tpoi 'rière. sauta survoie. COnVOi roulait. s 70 h iloinètres àl'heure. Le malheureux fut tué sur le coup.On retrouva peu àprès con cadavre, la têteen bmiiblie, 1)rè du passage à niveau tIcla gare de Laroche-Dc)un. C'est une noni-m-é Josepli Augoshi BarthéIiny, 49 ans,origlnairt de Bèsse, canton rie Bourg-d'Oi-sans (Isère).

ar a hat-A voir la formidable croisade dirigée psi

des personnalités appartenant au clergé, aParniée, à la magistrature., à la politique., àlindustrie, à la presse, on porterait quel-quefois cii conclure nue ceux (1Ui forifliC-dit-on, les classes dirigeantes et l'élite de lanation françai.so ont eu des moeurs do la-pinistes et donnèrent l'exemple des fumil-.lC-s nombrauses.

Cependant, à la lueur des faits, au ne-ard des statistiques, ica conclusions appa-

Laissent tout autre Voiu, l)Orr illutreinotre thèse, là progéniture dc neuf ,person-nagus qui se succédèrent à la prtsideneede la Troisième République :

Arloiphe Tliici's : néant.lylac-Mahon : un fii,juios (lrévy : une tille.Sadi-Carnot : deux fils, une fille,Casirnir-Périer : un fils. une fille.Félix Fanes : deux filles.Ji)niile Jonbe. t : deux li-i, une fille,Arsuanri Falifères : tin fils, une fille.Raymond Poincaré : néant.Quatorze gosses pour neuf coupiesi La

belle leçon de l)Fu1ei pour le piolétairodans la misère, la crasse et

Ces hiimmes, vous les avez élus à la pre-bière fliagietrature du pays parce qu'ils-vous semblaient repréntier le inïeiix lesvertus, la tradition du génic national. Lepeuple suivra sûreiflmt l'enseignementqu'ils donnent.

Et maintenant hurlez à la dépopulation,au danger' que court la Faincel Par la voixde vos orateurs, les colomins d vos jour-naux, inultijiiez aux pauvres écrasés tkijpar trop d'enfants qu'ils n'ont su ivitèr,les exhortOtions à pre-croer aveuglément!

Rien ne prévaudra contre cet oxetuplelE'r NOS RO1

Que les monarthisles et césaricu n r sei-éjouisseut pas outre meSure. Cetb restrTc-tion iiest pas l'apanrgo exclusif t1 moeursdo c-o tempa-cil

Sans remonter bien loin dans l'histoire,nous trouvons - cmrore quo les chargesfamiliales fussent héréditaires, ce qui n'é-Lait pas i dédatner au pobit de vua de lapxoénitu.1e - que Louis XVI a eu troisenfants; Napoléon 1er, un; Louis xvrn,itéant ; Charli deux; NOiDolénn III, un.Seul Loufs-Pbiiipp fait exception li la r-

lo.Au resUo On 18171, cette oxcelTition cûta-

t-elle à la'l!rSnee la bagatelle de naranteraillons qu'il a fal verser à sa progéni-

- Lute

es riieis Gran

Le dernier galop du Stade Toulousainest un loiig cafouillage soés la pluie

La dernière fairtie tPentrahement duStade s'est déroulée sous la 1)ltlie et sousle froid. Ce r'était pas une raison suffisantepont. que les équipiers s'mtuisilsscnt i es-fouiller et à faire (le la fantaisie.

Nous ne parlerons pas dc cette exhibi-ticlil, car nons l'apprécierions avec une sé-vrIrP qui serait disagréable aux intéres-

s.Souhaitons que cette parodie ait niainte-

ail en soufille les quelques équipiers cons-ciencieux qui ont voulu travailler iusqu'auliut. Si la partie n'était pas sérieuse, ileut mieux valu l'annoncer au préalable. Sielle était sr1euse, il eut mieux valuen don-nec au ppbiie pour son argent, jouer avec1'4quipe promise et lotit au illOiflS avecrfïiiinze ommes.

Ce 1i'est pa cette pai'-tie qui aura Tortamélioré la tortue (le l'équipe première duStade Toulousain. 11 faut 'sotihaiter quels -Bayonnais n'aient pas nticux tait au-jom'd'hui.

Quoiqu'il en soit, apprenons au publicque le S. T. (dont on a vu le capitaineiouet' avant troisième ligne, et imis dispa-mitre, laissant sou team joues' à '13 puisà 14) t battu Saint-Gnuden nar 5 peintsun essai (Nougal) transformé à zéro. L'es-soi fut joliinenhi confectionné par FailieNougai-Dournac, apri's I)aSscs du premiertilt second puis (lit secomi au premier.

La même fit par la suite quelques jolieschoses. A l'arrière, Chue brilla pue son ab.sence. 04) ne le vit jamais ts sa place pourlà raison qU'il crut devoir jouer trois-quart, en laissant ses buts à l'abandon, Sic'est ça de l'entraînement..,

Le puhii se montra magnanime. II eutraison en somme, Mais il estima « in

petto » ciu'il faut être sérieux nième etpeut-être surtout - â la veille de la ha-taille décisive.

I3EZIERS ET GRENOBLE FONT MATCH NULGreoble. 16 avrIl. - Sur le-ter rin du F. C.

de Gre,oblc, ISA. 5 BLterrise et le F. C. deCrcoi»I ont faIt mach nul, chaque 5quipe roar-quant cinq PointS (un essai transfo-roté).

Une pluie torrentielle ne cessa de tomber do-rant toute la parte, enlevant ainsi la reTLOfl-ue tot ron attrait. Les deux lignes d'avantsluttèrent cciisciencieustmeni sas ic terrain, traits-formé. en paOneire, qui re»drt le jeu confus etci;ffici è

Un peu prtoutA PIAYONNE. - Avijcn Bayomais bat Ra-

:n.Ciuh de Fssce. nar 18 10.A ldONl AUBAN. - Montauban bat lAsso-

catiafl Sportive Fratrçase, par 9 O.A PERPIGNAN. - Perpgnat bat Stado-

cesSe Taxbais psi 16 5 3.À GRENOBLE. - Grenoble et l'A. S. Biter-

rose forai match nul (5 à 5).BORDEAUX. - S. A. BordeLad bat le C.

A. P&nurdin, par 9 è 0.A BrJRGERAC. - Dergerac bat Limogcs. par

43 5 0.A CASTRES. - Cestrea bat la Section But-

digalienne. par 16 8.A l3AGNl?RiS. - Le Stade Bagnérais bat

l'Avenir Tarbais, par 5 l 0.A TOULOUSE. - Le T. O. E. C. bnixie

bat l'lnr;roe Sposirve Toulousaine, par 5 à 0.A CARCASSONNE. - Cascassoene bot Fa-

raiera, par 9 l O.A l'AV. - Part a battu Dos, pat 16 9

A NARBONNE. - Racirig-Cfub Narbonnaiss battu Voiton, par 15 3.

A PROPOS DU MA TCHLEZIGNA N.NÀREONNE

Lézignn. - Le Comité du Foot-bafl-Ctab Lf-Z5flOfl5i» flouS prie d'née-r la fiOle soivaittequL1 s5ent d'adresser au R. C. Naibonnais

s Le Foodsail-Citrb Léziguanais confiroic auRacing-Cltib N.srbonnais par voie de l-a presse,

Exmcns et. CocurBOtiR1S A L'ECOLE PRATIQUE

DE COMMEILCE ET D'INDUSTRIEDE MAZAMET

M. le Sous-Secrétaire ct'Etat à l'Eflset-guement technique n, par arrêté du 27 mw's1922. fixé 'à deux le nombre de bourses quipourront être attribuées en 1022 a l'FcolePratique de Commerce et d'industrie deMazamet.

L'examen aura lien le mardi 6 jutn pro-hein. Il aura lieu siinultanénient à i\lnzametsiège de I'Eole, et au chef-lieu cia dépar-témenf.

Les candidats doivent être âges de 12ans au moins et de 15 ans au plus au 1eroctobre (le l'année du concours.

Les parents ou tuteurs des candidats doi-vCnt les faire inscrire dans les bureaux dela Préfecture de leur département.

Le registre d'inscription est clôs le 15tuai. A chaque demande sur papier timbré,qui doit indiquer l'école choisie, le lieud'eranien et la nature de la Bours sollicitée : d'internat ou d'entretien, doivent êtrejoints

1. L'acte dc naissance du candidat;2 Son certificat d'études provisoires, s'il

est age de nioinsde 13,ans;Un certilicat dc bonite conduite, signé

par le chef de l'établissement o ii n faitses études;

Un certificat de rcvaecivatïiï';Un extrait du rôle des contributions

tayés par les parents du candidat;.

6. candidats qui se destinent Li la Sec-lion incitistejelle aurort, en outre, à fOUI'UIPtin certifient médical attestait qû'ils CiiVt55

La Vi Spø1

s la1ehesque depuis samedi amès-midj, ilque Léziansa serait Narbon le3si Nar.bonne s'engageat7 niai, Comme cela avait été convenu , no;. e30 a-viii. e

Le F; C. L. attendra la répon50 .. Rarj05c1u:au 18. »

La p.role e-et donc au, diigean , pChtb Narboitoas et sur Trette dernièreblic ugeiv,

Cyc1jii1LA COURSE PARISROUBAIX

Pars 16 avril. ç- Ce matin a ttSraesnes, à 5 h. 30, le cbpatt de I.course Pars-Roubaix, dont la premit.' -remonte aC'est la prubjère rad COUiSe

pour 1922 et son s,ecd,s d'engagera.200) éte io garant de cciui demême qui ceait-ple tin parcoute de 263 içet dans lactuelle étsieflt enpspés nCOoieU"s , Hensi Péfissier,liicegluat, Thys, etc.

Le temps e favorisé la coinse.de la route il a été beau, quoique COt5tLe peloten de tête est passé l, s h. 37 a-vais, où Chevaher et Henayet or,Il est arrivé à 10 h. 25 i, Arnica»,tutatt premier ot où Verixarde), Tbyl-iulation ont déclaré abonde-osier.

Larrivé i, Rouba;x 'est fsiits data baedreSwvoflt t

b. Dejonthe, 2 h. 17; 2. Reasiu3, à 1 b. 53;3. Masson è asic Iciagueire; 4 Deison, 2 h. 25;5. Lacqudhsiye, it 2 h. 27; 6. Edloni, t 2 h. _l;7. \,ao Hee-k, ii deux loagosusa; 8 Sdeex, à2 h. 30; 9. Getlart, 2 h. 40; 10. Fiancis P.lissiet, à detits lonE Il, Mcttat, en 8 h 12;

12. DetretIle, en 8 h. 14; 13, Chrstchc en8h. 15; 14. Crasdn, une longueur; 15. Sar.

th.demy, h trne longueur; 16. H. Hasiahets ens h. 21; 17. H,nei, S une haguetu: 15 Delin, ea B h. 20; Ne.rnixtn, en 8 h. 23; 21, t2rtcè une iongueun; 22. Lents-ra, en B h 53; 23

DLh' en 8 b. 29; 24. Alancorat, en S h. 25:2. Jeqninct, en 8 h. 38; 26. Rteh, Irna

rL'e U ; 27, Vandacic, is un-e longotar; 28. Pn

touille, Cii $ h 39; 29. Loew, en B h. 4; 30.

AJ aine, On & h. 44; 31. L. Heassiiem, it une

longueur ; 32. j. C-tosse. en 8 h. 44; 33.lt une iong'eusi 34. Lacolie, en B h. 48; 5). Fait

tan, en 8 h. 48. è deés leageaurs; 36. A. JOT'

des, en C h. 52; 37. lleague, en 8 h )l; 3Normond, en 8 h. 55; 39 Marrehaod, ers 8 h. 37:

40. Beekraasin, h une ionueur; 41. M- St5C

,in 9 baieras.

LA PREM!ERE DU PARC DES pRiNCES

Paris. 16 vti1. -'- La téuflisiit de iOIj5e5tUT

do Parc de Puincea n'avait at.tn'r qu'ait PCh

reutueint, rn»îeé le temps lavrabe.Le dots do prarumsne consistat Cli

;na.c

de vitesse, avec Moe4tops, &htlTeO.S5xcicer, e

La victoire revint è Schi1ic qui s ancra.la éraIe une demi-longueur sut SpettC5. 12-

que ?Skeskops devait ce conteSter de ta tt

sièrne. net 4 surLe raatch eire Brocce, Giefl1lt ' '

kiior-ièttes, ne pas se disPU' rsuet.nt r aLde tandrr que BrSXSO na te

l'u.rithue misrxle pour proudïe le dP

se livrer sans aucun doniCt aU 1r5'°mt1:1

miel.

ASSJSTANCE PUBLIQUE EN

-Coneours (l'.Sdrnutsi0.

n l'emploi de commis d'ass3St

Un eoneours pour Cii1(t pinces dedes Services d'Àssistance è l'AIgé5lieu au siège de chaque préfeCtt2rh 1

juin 1922.Un cinquième des places sont rés

aux anciens sousoffiCièt' 9grêés PGouvernent' général de 'Algér,au moins dix années de se.i'VC t

et qui ont obtenu an cOflC°' lC mtU1"'1

des 1)OintS exigés pour ladnuSSb0ùi dehors tIcs anciens sØUS0ffkn»

plissant s confitioess eideSSUS et

(lilels aucun titre univertitaiit n'e5

nul nO peut se présenter ailjustifie de la possessiOfl de l'90

tilicats ci-après':bi'evet sliPei'Yt!C

de

jicat d'études 41e législatiOfl algeteeesdroit mustiinian et de cOUtUIflCS

10gc t

prentiète partie du boccalaWéat. idLe progratuifie tics épreuveS CO11P,flt

une compûsitiOti comportant ;'tabb .

(pua tablcan, de problèt11CS d'ar1

(lue, de géométrie et dalitèhrc é1tiossune composition franaiSC SUI' (les O

d's5istanc.. , - ,

5-or

Pom' tous i.ense1gneTt5 »''la Prfectm'C (Cal)iOCt du préfet). le te

La liste deS cnddet5 5i' close

juin.=-.---- 'e

Voir en quafriême P')

!1EZ DNIEt

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Lai-sg-ued. et: Ave3rrox --images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...i:i MtfltC.-f!STflDfl & ØÀCTi f' t 1U( rque1n TOULOUS t: ro: j 5 Ce ' p U !3 L I c: z T r(crs mLa;

ç

JjyT&)IJtqUC de j OUlot!se-

upitolllle

.111Ofl&( P1)U1 J fllOS pOChifl hi ve-

t;roulouse tIC ?iI. Porncaré. I! viendrait

.' : -jugurcl' 18 statUe de Jnne d'Arc.OU1( e[t

surprC11at qu'il ne fut pas me-! C

une maflifCStatb0 qui sent la guerre.tais réa1ité le président du Conseil

,i .rlIionaleux vifli ici porteur de médail-iubauS. qu'il veut épingler lui-mûme

t J)OUt0flfl' dc nos l)IUS averés natiett's.

l0irjrait la rosette à M. Feuga etic ru-

I à (::Irére, J)Ofl leur dévouement ni,ucelk' ri aU Bloc National. QaeI beaueetaele ce ser8 que cette remise tIc déco-

itOliS au Chef des pseudo-radicaux et au;1cf des

1histe5 de Hotehde-ViUe par

la111

main,, po.uI le meme motif et sousrne befledictJon de I archevêque.

i;t «Au nOlfl de la Réaction, au nni dc(l'Arc brûlée vive et livrée à Satan,

aSléc1fl'e, moi, Raymond, en vertu

.)ouVOirS qui me sont cO1)férês par Daut Pic XL champions (les bonnes causes,

utus ave". bien mérité de I'Eglise. Et c'est;;t11.quoi VOUS octroye la Légion (l'llOfl-

Que IC saint nom du Seigneur soit hé-. » s'écriera M. Carrère;

n1_, Que iehaflte la Pucelle pous protè-e ». répçudra M. Feuga.

-Puis, tous deux eneflblC : ( -Vive le Roi,

vjVC laJlpubliql1e )) , pendant qte l'arche-

que traçant dans l'espace le geste deardon onctuera : (C AIÏCØ )).

Puis O ira voter quelques nouvelle taxe,j 1ssure1' la COmpO4.fliC des tramways luela 1jsjOU des l)1X 'e:i pas encorerhoIizoa.Fatba pas manquer celle xiiasquaradc.il se pourrait que ce fut aussi fameux

(UC celle du Dante.fcste à Voi eonuuen sera reçu ici,

('dri ClU en 192, Toalouse manifesta toutson flléJ)riS, comme si elle avait eu la pres-trace (lU niai qu'il allait faire au pays.

Un arrt ma'encontreux

Orn0us cril de ïaban1i ne iestrès jus-te:; obscVaficits ci-dcssous

L'aïrêté préfectoïul fixaat la fei'turedes étabIiseinents pubiics a ét6 unditabk tuilc pcu lLPtlflS subur-banes; de telle façon que les campa-gnarcb se sont dcm.ancls . s'il n'y avaitPI,, de ' qulitS e han h ) rianceLes grandes aggIcsn*kns peuvent

Jk nu cafe qi d 24 hfL es et 1eco;irures rurales jsctuà 23 Iwures. Cesdnièr ne ceînaissert ni la journede huit heures, pi la seniaine anglaise.Depuis 5 heures du iratin jusqu' 9 heu-cs du scir heue «été), et du lunai ma-ini au dimanche soir, cej que I on ap

pelle les paysans sont courbés sur le tra-\ril. lIS n'4mt ni spectacle, ni attraction,RI dancing, pas mme les be1ls de jourou les belles de nuit, et leur seul plaisir

nsate, le samedi et diiianche, tlier fsie une nwdeste prtie de cartes.

.Rentrant à 21 heures, il est tojoursheures quand ils ont mungé oi scgné

je letal, et comme il leur faut parfoisern heure pcur se rendre chez le bistro,

ï ¶;t natriellemcnt ii'rpubie de'r I unique plaisir qu:ils ont. Cepen-

aat ces paysans mn fait, coTïst les au-;Ïes frariças leur devoir e ccntiruent àeJi.o. L'jmt dsang, comm.e l'im-Pot fmancje ils l'eut p.ay ou, le payent,

du mcment monsieur le Préfet, qu'ilssac4uttent de 'eurs deveirs, ils vou-dracr.t 'blCfl pouvoir bnéfcier de leurs

1-a Ici doit être irne et indivisible »E HauteGamonne çà change, ce n CSt

as ç lraflce.

i Bpotoir Jean JaursPau,re allces Lafayette-JcanJuyès l, voilà Qevenues le dépotoir tes n

cats les plus hétéroclites et cj1sgra.. Le marchand de chichifngi et lesCnols re u{frnt plus an des allé. oi ostruit deux

1isaense5 et iobs Jaraques. Con-tZ_VOu h;t85 &s ailSe.s, ce ncrterde ce qui se rni;ctc. Les lau-

'Arc empêchant de dom-n

kuniciral't' vous êtes nena-cesStahCéqnestre l\/I. Feuga5te djstj, et ainabYe M. Caubertteflost la bride.

L CabCsfrd . . J

ors tgiU Irot

de O(Cjdl laflieflant 66 rcueilsh aa dé3ateru,ejt arri:verand15

de le nrer-3 'J aVl h. 45.T,Cercuil. crt destiné à la ville cie

s.i '5c et 4' ccnm "ne çi-aprs.Lefle5 seront &l;sig.s... .

OEe-1_uh0 el- Reve recc-' . rene troi, ccucu;iIs; C.atanct

rcewcnt chacuac...1 . e-.:'"', 1e jfU( M I )L?:/lsrItnac, Auei've,

,*, ÇnC4zères (!a'-

itiIc, G.ar(letcl,t (b-eJ, HM3S, Lahstt-

. rj..::mn1r., ManA,?¼itntgiscard..,

'-urflF 1;'.a.aueJ, p.0 let, ()U.flt,_t s:r !tLc Saint-Lys, Saint-Les lieiis Va-

:'i v,llru(lvk. rcrt chacunejeJ 20 922. 3ka'ite(1 recevra eerueil k'ari1.

n&NDAG;s -¶I.f;c. :,J,_,

Une Confrcrice sur la RusieLe flWrcredj 19 courait. da ' Ïa i .

'ifl(CilflC .lâCult4 des Let,t.ie, iuc tu -fléchai. à 21 heures, une.l)1iJeCtOns iuflieUs fa:.:. plusL_ro erp1ora1ut le tlO(lfur Monta

« La. Itussie telle qu'1l est », t.1 -Lt itre 41e cette conlreii.roiit. le n1o1ld( voudra connajti -sur c mallicureux Iias f)Ut. iff»11

tristesse et ravagé par 1 T1O .

Entrée libre. Jue quèl e ra fa t1is I)eLitS affamés de flussie.

C&init inii à .. !vs 1

(rtrertx de POl)1latiPn tOa5flC. Ique la souscription ra Jilan 'eracJrs; mais nous sÛmins hri .rjiiflCre à. nos ('Ct.3UPs qu'à hue artuoi!i,. toïnité de 'i'(}U!OIlSP a- ''s b

$5.000 fianes et que l Comilé er-a1 o puenvocr près de 2 millions . 1rau .ç

aux Cantnes de seeour.(_)n sou.srit au buïiité. 2. ri ï.AiiH -

nLou!oh!e.

Coui'se de taureaux renvoJ.a Iir&tiou .ts Aièuesa 1i regrtL d'au

none.r au publie qu'en raiso». le i'étaf dolapiste, la course qui devait avi lieu le!6 O\riJ. sera doruée le 17 avrI.

Les billets (klivrés pour h oue u J8avril seront valables pour celle 'in 17 avriL

invitations ii.s seront viIahe. qni sielles portent la date du 17 a

Tiss Pqs,lre.9e sans , p E'

tOjTnhJée hici .rt a fovtra&n[. 'troux qui avaient pro,Ieté de vr io c plai.sh. J:;atmosphère rlroidie pa tt 1jPeincessante était p.eu propice à 'in grue-tian. des modes estivales, et iaagvé rh,plus d'une élégante s eu le t!cliLionFp icourago d'étrenner un cliap.rei neuf pr'a-.babloment rouge) , voire une r:e ieuve. Ceii'était guère de saison. Le mystè cumauvais t.rmnps, certains l'cxpliqu par efait que c'est e.1Core la « lune de mar »possible, mais c'est bien cnnuyeri-..rons que la jourfl d'aujourd liai ameilleure et compensera. la mélanoPed'hier.

Riglementation de la circulationLè Maire, par arrêté mun.icipil, vient de

-tjlencntr l criculktjon k terztoire(k I i llt (Je 'J oulouse I n ois les pi nici-p.le dr,poslion.

Les eondueteirs de tous véhicules sonttem.,, de tenir leur droite, ic donhlci lesautres véhicules à gàuche sauf en ce quiconcerne les tramways. Quand ils oecu-peut le milieu de la chaussée, la manu-vre s'exécutera alors à droite.

Les véhicules à allures rapides devrontêtre munis d'avertisseurs. L'éclairage dc-\Ta êtie observé conformément l'article24 du Code (le la route. Les. wtos devrontavoir leurs p]ures en veilleuse mi ville.

Avant do tourner, les conducteurs de-vront. en étendant le bras, indiquer la di-reclion qu'jl -vont prendre.

La plus grande prudence leur est recoin-mandée.

Fête Champêtre tin Lundi dc I'âquesLe Comité des fêtes de I'A.G. des Etu-

diants ,appelle au public Toulousain quec'est cet après-midi qu'aura lieu. au Fron-ton4ark, la Fête champêtre organisée àl'occasion du lundi de Pâques. Chaque bil-.let d'entrée donnera droit à participer àla tombola gratuite dont le gros lo estun magni&ue cochon vivant.

Bal des EtudiantsCe soir, aux Jacobins, bal Mimi-Pinson.

Orchestre symphonique, j azz-band, buffet.

Nouveaux tarifs des CoiffeursConformémént à sa nouvelle règlemen-

talion, le Syndicat des patrons coiffeursde Toulouse e l'honneur d'informer le pu-bile qu'à partir due 1er mai, les tarifs ci-dessous seront mis en -vigueur dans lesquartiers : avenue de Lyon et Faubourgflonnefoy :

Barbe, t) fc. O; taille de cheveux, 1 fr. 50;taillé et barbe 2 francs.

Les sa'ons de coi{i'nre des quai-tiers enon-cés seront fernés aux heures des repas,(10 midi et demi à I heure, En outre, tousles soirs à 8 heures et le samedi à heu-res.

Le dimanche et le lundi, feriineture cons-piète à midi. .

Pour les autres. quartiers, le Syndicatfera connaître au fur et à mesure les déci-sions prises.

Mari, 18 avril, réunion du bureau, auSyndicat, café 6aulois, à 9 heures.

Courrier artistiqueConcert des Jeines Aveugles

Ai)iS& quo nous i'avioiis déjà annoncé, lareprésentation traditionnelle au profit doI'int.itut (les Jeunes Aveugles aura lieu 10eamdi 28 avril n matinée, au Théàtre desVariités.

Notre oinpatriot I\I. }tomuiId .Joubé, dela Coi&1ic Franaisc, qui e obtenu cet biver de si grands sueèe sur notre scè.neviendra donnr « Hernani », ]e draine c-IN)rO d Victor Jiugo.

n ssra accomn»agn d'une troupe d'élite,qni COnprenl.ra notamment MI le J.anueItérny. do li Comédie Fyanaise, Mile Man-.froy, ?FM. Meivau4 et Dmares, do l'Odéou,ainsi que d'autn?s artistes des principauxt!'àtr do Paris.

La m4inti4 du 2 avril sera bien une fête(le l'art, dc l'intelhgence .t 5e la chanté, etn0,s 5Ofl4flOS convaincus qirun nombreuxpib1;c 1ontlDai'apeldcs organisah'ur.

Earne*is et ConcoursC,iean+u peur l'admissions aux Ecoles

Coiimerce11 «mcoui.s pour l'ajinission dans ks

tcoes pratiqUeS le commerce et d'industrieaur i:ieu à Toulonse le mardi 6 juin.

Les inscriptions seront reçues à la l'ré-fectuî 3e division) jusqu'au 15 mai, der*1er dêM1 .

JïlariH ia ;vi! 8E lilk la seliifleOCCASIONS SPECIALES

(i[ 1IS 1.Ifl t)S beau cio> de

Rideaux Covre4its1 uHe grec. lihwc, 8O.........

Tulle point despit, (Il 180 9Q

I. «filet, waIli ctrée, en 180,

I a bT»ii- eit, eiit1ein-sr..:h.f de ure, non bn, uflwîe-

,-. I IlI(M peit e or6 e es b5s-a . . J

0"ro vitrages, ti1Iegice,b:»-Cli , d.rie lino,, . . .

C navT_li tulle gt'GC, 1SeaU lin,. n:prea.3n mon avec ec:,t.

Nous sonjnies tiCs bleu assortis (fanstous les tiSSLIS!(lC la Maison : TENTURES.F/DEAUX et LINGE, clans les .enrenioclernes. '

_&u. 1:' étaçye

NOUVEAUTÉS ÉLÉGAN-r10, Rue d'AIsc TijO$

t- =:,tr---'thé1re des Varétés

LA VEUVE JOYEUSE.Nous avons d.t h .r cri qt',ique mct tout

! sccis qu'a obenu la pre de Lr VcwcJ oyÇu:e. Nous voulons y ,sverpeur nsstcr iur le ch,rme d0 la nouvelle ve-dette quo les hèas Audouy ent .eu la boncefcTsem 1e pouvoir e.ngar. Quelle que soit 10-pnion des e connaiSseun » su la valeur in-trins&ue de l» pièce, t sur l'a qualité de lainusque, il y n im fait dc constatation : 1»

grand publ Toulouse, a tujotu-s aitné, ton-jours cette opet.te, sans s'in.quiénr d'oàelle venait. Il li a sufli qu'elle eus de l'eatra.in,de l'exotame, de jolis cadras, d'.gabies vi-siens de luxe, et aussi il faut bien le dire ulivret ntoins banal, ptus soucieux .le psyc}oloie,nue nos autres opirettes contompornines, \'isi-blerneat conçues pas des cerveaux vides.

Mais il faut nous mettre en selief tout cela,une artiste qusipar.feiie. Si elle y cat, La Veuve.ïocitse est un enchantement. Et il sea,t injustede le vouloir niei

Or, Miba Liiane Coliy nest pas une a:.tistecusi-padate : elle est pa r faite puernent etSinp1emeDf ('hVte te orve6 emseep& fl1flte jd:e &nfle JeLae gsad vecono howhe , ,., aJOrni* kte i 4' sou ,t quelo -u i'5 Çcu Iauc e la rnon !.a iiouve!vetc e - od nou 1 ,t» f e »bher la ear:ced La V-twc n ,To use Mile Marre le Suil

Un coafrre e eu l'air de rercciau hiet-Mile Colty dc trop la;sseS l'irneecubiiit.i ci»ses formes et l'éclat de ses dents naturelles. 11

a injuste. Mile Colty n tsb tss correcte daiisa tenue, dans ses estes, clans son jeu et dansses toilettes. Et si elle nous iasse psendre aut-r,td plaisir i la regarder qu'a Péuier, il fautFen fCliciter et la remercier. Une artiste qu nerehaussa as ses qo»lits snéxques de su beaut.pasti.que n'est point coTnplle. Il est peaqnenécessake is trac étoile d'op&ette d'Itre usieb»lle famsne. Cet vvai suttout pous L VeuveJoiicsssc. Vol pourquoi l'ocuvre viennoise se-trouvera. ici, son xnmesable suecès davant-guerre. Les Toukusains n'ainîent pas mess!» lesycu, dans leurs poches au thtse. lis peuventles sortir lorscue Mile Ldiane Coity est enseèn.e. Rien né les offusquera, tout les :biouis».une d1ieatesse inigaiCS jusqu'ici.

A eSté delle, M. Caruso na peint pesa écnssé.Le jeu de cet excellent artiste. jaci ': st choyé deliotse pubPc, na rien perdu de sa finesse asvox na rien perdu de sa souplesse, ni sien desa sûreté. Elle na pas tout de mnso gané eneinpleu.r. Et dans les notes basses, M. Ca,uaofait songer M. Dennay. Mais il iucexne si bionle dépit aznou.retrx T...

Autour d'eux, la Ixoue nidentaire - .ra»foseéede l'inimitable et su.btl Dtitours, au comique is-rasti-ble et de fort bon aloi s est dépenseeavec beaucoup cia bonheur. M. Pannssl1e s'estmontré pesticuliirreinent l'aise dans son sSle eta dutaillé l'air du pavlkn avec une clarté etune souplesse inga.ies jusqu'ici.

Le suecs de tous y compris la ccjy.ps . deballet fu trJs vif samedi scr, O» non a triSS. Bsef, ce fut un r&o5r lsosu.pial.

- LGs Soc-sSoci6 de Sccncrs snuinda s L'Ari,lenise s.

Le CcneiI -dA&suinistsaiiosi de la SocsétLArgeoce pour Var.ne 1922 est cornpos cons-me sut

Pr,sideat , M. Franck Beisanger, avocai laCour dAppd, maire de Sain-Pail-de-Janut,place Saisst-Sernin ; vice-prsidents : MM. Char-les Roussol, rue des Paradowc, 18; Jearr Galy,propriétaire, route de Losnbez. 2; l&s,dca» La-ha-die, rue Saint-Heneat, 1; secrtrsire géniiMl?vTM. Eue Sguuias, me des Paradotsx 18; tC-sorier g,ntral Akxis Senearre, rasmsy, 23 ; secrétare-adjoint : Jesn-Beptste Lor-bet, rue Saint-Bernas, 16; ti-isesier-n.djcrestJ ests Aspe, rue Rerap.ari-Saiist-Etennn, 49 ; Re-ceveurs : MM. Léepold Bo-aas (Sud), rue î'eyrc-liirres, 27 ; Pierre Lainy (entrc). rue de la Ce-losubette, 73 Pierre Fosaat (Novd), rue du Prin-tefll.ps, 13 ; Jean Amihat OueaI). rue de la Ré-publique, 17: Visiteurs : MM. Jules Labeur.(Sud) , place Esquirol. 4 Josepis Den.jea (Ccnse)Chie-Pavée. 30; Jean Authier. (No'd). rue Plia-raon, 7; E1e Carninat (Ouest), rue Saint-Niec-las, 50; Administrateusa : MM. Pierre CabanT-ne Compans, 21 bis François Ledtsv, boir1.-v.rd do la Case, 11 ; Jean-Pierse Sabra. tsr» l)n-temps, 20; Edmûnd Delrfen, allée de Cugaaua.39: Archiviste : el Peare Peg&s, rue des Coutelie.rs, 4.

Coloint'opIiilic. Lies délégués des soeiét(uis La s et s Le Toulousains s.

rupis en as,enblée gér.éusie le samedi 8dans le but de réosanbser la Fédsratio» Cv-km-berhi1e de l'eulosse et cl» départeme't do laF-kuteGaroino, ont nemmé le ccmté direotemcomme ssilt Pé5;&1)L d'honneur, M. l:toiriRatnon viee-pséidess 4uionneur. M. Abten-mCarrirc; président actif, M. Jean Dssbois; vice-présdent, M. Jean Batailic trésorier. M. Lajotrsfils: aecrétaie, M. Mot1 Gejan; -niissside concossrs J'.IM. Laouasolas, Cousgné bis,Batai1e bl. Sajcsi-s père

La Fdésation des siéts coIomophiies deTeuloe aforme tous les cooiubojdes du -

parteifle1t l» la Haute-CtronnC nantis d'une ar-torsation préectosak duils peuvest faije par-tie de k dite Féd°

Pour les rcnseignesntT5 s adrésser au Secr-sP:ah M. c;;jan, sue Gu1lben&y, 4.

GROUPp, 0ES

'C&TELS &9I'icoles du Camt,,sj5 et du Douakis.

.PLA OEME.N- Tusine Ire tr5nche 1e I5Ooo OL!6tT/f.mS de Q Fr.

la-t,. slinsp}., ,I ,s,i;,jist la

GARANTIE rE L'ÈTATPi'jx dFinissi0n : -.' Francs

jvussance au t 5 Avri' I P22

"Vie spertiveGRAND MA TCH FEMININ DE FOOT-BALI.

C'est aujou-rdhui undi, à 14 h. 30 qu'auralieu la renço:i.l,e sensationrseI.e que nous avonsdéjà arinorscée, entre l'équpe parsienne leCrdeites de Gascogne vt la première équipe tou-l-ousane do Fé:nina-To}oa-Sports.

Ce match clevunt être très dspué 50:-a sur-tout une démonstration psar:que de s-po-t lésai-fin et se joue-ra ps-.- fl'iln.pouie quel temps.

L'équpe touloussine, admirablement entraînéeesOère vaincre la !e&uta-be équipe parisienne.Cola nous promet une be1e snanfestaton spor-ive peu banale et toute faite c-r d'adresse et

du grive.Le mach sera précédé de divs exercices eé-

ctéa par les deu, équipes scia que lancementdu dque, du javelot et course de 60 nlr5s.

Coup d'envoi à 15 heures.

Frs hypothécairesCapitaux pour Constmuclious

Acbalsc - Emprunts, Long CréditMESPOULET

20, Place du Capitoic, '20Téléphone S-75.

:tt-civ-iPublications de Mariage

Dii 10 avril 1922Ducasse Jean, zsgociani, rvenue de Paris, 63.

et An'èle Carteil, s. p.. ii Enea»see'-les-Bains,Gaussens Hippolyte, employé Usine h Gaz,

laciolevaxd d'AsrtlT»ie, 20, ci Feignis Jeanne, em-5iioyée. sse des Litas, 22.

-Ncsuguèa Paul, sergirni rengaé, a-u 166e R. I.,et F'.uré Anna, dactylo, irAuvth,

Clanet François, ajusteur, rue Péiisié, 3, etIsala Pinaud, mécanicienne, boulevard de la Ge-le, 25-

LaÇant Fernand, étudiant en msdetine, houie-yard de Staiibousg, 64. e Fi:latié Paule, b-ottie-va-r d de Sti-rsbousg., 64.

Rasai Philippe, voyageur de commerce, ruePharaon, 50, et Ledeer Ga-briebile, cO5turxe, rueVdtor-Hugo,- 3. .

Geaton Achas emeloyL MSds rue Nruv'St-sylve, 5. cl Crsmille Aiurs1le, etapioyée Midiive du IOs-Aviil, 15. .

Du 11 avril 1922Lnps Jrtann-e. 'nliicanicivnnc, r uc Saint-!3eri:and,9-

iiarrau Emije, industriel, rue Rempart-Saint-Eticune, 55, et Jeanne Pélissié, s. p., sûc Saint-Rom», 21.

Sévis Losenjo, ruolier, risc Tavcii?rr riesChîleis, 17, et iviaurctte Jearine, cuisinière, rueTrave-rsitse des Chîlcis, 17. -

Lac-er Ensile, hcn-nger, rue Victor-Hugo. 3,et Monge Madeleine, s. p., -rue Lafaile. 3.

Caston Louis, n'gont, sue Benjamin-Cous-tau, 8, et Béneeh Paule, s. p.. rue Saint-l-lonest.

.Ad-oas.be.st Loui, ferbi-antie .., menue de Muret,86, et Cap-dev1a Ana, ouvrière eu chaursuriis, rueSaint-Nitclas, 21

NaissancesDu 10 avril 1922

Marthe Rouquier, quai de Tennis, 50. - Jr:n-ne Reclus. pepite rue St-Syive, 6. - (lb»rtAgnrct, rue Mdbee, 6. - Marie de MaLziosse,sue Ozen-ne. 10. Marg'uesite Pipo. allées Char.-Jea-de-Fitte, 27. - Emile Sos-rsbsrd, boulevard deSteasboure, 74. - Hem-i Famé, rue du Gorp,- 6,

Du Il avril 1922Lacroix Andrée, rue Berthelot. 12. Phillpp5

Goinez, rue du CnaI, 22. Pierre Dupi-an, uedes Récoiiet, 70, -- Jeasine Salué, i-ne Tresser-abère-Saint-Caorges, 24. -. Raysnond Bégué, rueRiquet, 10. - Pierre amey. me Laganne', 25. -Yves Viala, rue de Castres, 22. '- Désiré Dan-piez, i-ne des liland'exs, I.

DécèsDu 10 avnb 1922

Dukasg Rayrnonde, veuve Laconabe, 3i ans,bonlevar4 Bonaepss, 4. Eyehen.n-e Pernard,68 ans, chemin Fontaine'Lestarsg. -'-- Baqui6 Ma-aie, 74 ans, rue Velade, 7. Lesrrvde Ae,ain-drisse, épeuse Dupent, 44 ans, s Lafôssrgnette. -si_te Sant-NicoTae, 29. Deinont Marguerite,52 ans, nie Den&es't-Rodser,eau, 36. --- Py 1-Lerre,an mois, rue Fa1nire, 9, - Hospices : 3.

Du Il avril 1922'ur,an Victosiae, veuve Fontan, 80 ses, rue

Mon.ossiieu. Peaquié Jean, 76 ans, rue de Bel-fort, 15 - Cazeneuve Vietom. C . rue de-s36-Ponte, 8. O]émenr:u Prd-ré, 5 innis, rueNestos-Brun, 21. Msr-eors Vidorie, 73 eus,-place int.éieu-re Sain1ypr'-rs, 3. - Ddmas Ma-rie, veuve Deii'sc, 65 ans, z-ne Pésigord, 2.Bosmarie Auguste. 53 ans, rue Bayard, 48. Saba-thé Jean. 54 ans, place du P yrou, 2. - EscrbeSaxnin, 76 ass, J Lardenne. 1-IpitrEl mIlitaire

. ' W

-y,s 13E ESÉCÈSLes familles DUS-lAS. SAUVAGE, HOBSON,

CALVET et MACNE ont la douleur de fairepart îi leurs amis et coanaisaancee de la perteOSUClÎC qu'ils viennent d'éproavar en la personnede

Madame Veuve Zoé DUMASler mare, grantl-mre. soeur, tante et cousine.'dé'e&dée le 16 avril 1922, l'î,e de 73 ans e lespreist d'assater à ses obrquea qvi entent lieuaajourd'hui lundi. 17 avril 1922, ît 3 h 30 dusoir, en l'-ise N-D. dc la Da-arede.

Oa se réunira rue Tempsr%.z. 14.U -ne sera pas f» d'at,tre invrt'ors.

Psnit Pun. Mtnteip., 3. r. arvtsniis4i1.r. -11143

t:oL'RoE.s O8F1J.JRE.A L1MWRJELL r de Rné L

NC.A5EDEÇ40nj toufe dtnoxchca

S'odreuer dreciemetilAUX P3VES FUN8E3 ENRLES

Qui ,'occzpenS de toutBL.'HEAVZ PANS TOVS LES .iA1TI$

-. n'-irIRtS g5/1

THLATRE DES VARIETES,lu'urli de Pqura, en ma8ire à 2 h. Ci i ê . 43.le triomphal succès Le l'eau» Joyeuse. avec uned:Mr.butioa d'élite et une snse en CCno desp5ss bxiiantes. Damai-n es merca-ei :srêma r-pc-tade. Lcca.t-:on ouverte.

THEATRE DES NOUVEAUTES.d'htsi, peur les adieux de la troupe, dens enn-des représentations en mateée i 2 h. et ensoirée S h. 45. rvec les merveilleuses atlsuc-tians : les 5 Baasis. le tri Pcper.cu. la iMecereRencr,cosvrt, le caricaiurst Lue CyI, te-s dan-seu,rs Alvira-Silas. Que les rettsrdataiTe qui i'Cntpas vu» cette trctspe se hétent,

GAUMONT PALACE TOULOUSAIN- En£eirs'ie, s 8 h. 45, r Kisme e : Pars-atte

\7,atissée à 3 havres.AMERICAN COSMOGRAPH. A S h. 45,

(s L'Etrange Aventuc r, avec Jes Hauusan.Matinées à 2 h. 30 et 4 h. 30GRAND-ROND CINEMA. - Aujourd'hui,

matinées e 2 heures et à 4 heures; snitde8 h. 45 : t.cs Demi-Vierges, desme; Faiy cdmpour. hziinême, comique. -

SAINT-CYPRIEN CINEMA.matinées, de 2 heurss s 4 heures. et de 4 heures

6 heures; Sajiée, S h. 45.ARNAUD-ERNARD C!NEMA. ---

dhu i 2h, 30 et S h. 4 : s Le Fila tic l-n-5urdère, s dranre en 4 parties et e Lra tMotsaruetai-res », bu chaptre (Le bal rsrsvins).

SAI I F. DE DANSES. 4, rue Auhe. - Au-jcurd'hui. l'occasion ci05 f&es de Pisqicrs. &(5 heures et 21 heures. grand b'l avec orchestre.

L 1t;

Allée de Zéphirts10 Jours sculcmeal-

Aujourd'hui et jours snivailte ,.

huée à :1-1 h. 30; soire is 20 h. 30.N. UANCY, pretuiei' CiÏqtsi -do

Francie, f&n1é cii p53, prdento asATTRACTIONS de premier ori1r-.

Rien n'est. négligé daus ce mnnrvcil-leux prog-ranime qui est présenté altpublic toulousain à des prix notok'-ment inférieurs it ceux des cirri - -sprécécients.

PRIX DES PLACES : Secondeî, fr.Premières, Is fr. Chaises, 6 fi'. Réser'-'rées, 8 francs.

Servic rie Tsamwerjs la sorle riaspccumlc clv sør

llAUTEGARONNELIGUE DE DRFEN-SE 13Es INtii1U''

J si QUA[ITLI'?I L L -,Ut 1" fl'I t

des tntsrête ticitou,, ont re qui uiL

Vi atment on ni do :I I CJ

'tnlM'trtsfliti_'1ottcli Iii t p ri tu ou i.--gioniération toulousaine. No-Ire ban!ieut srttomplèt.et-nent délaissée-, s-oit }fl)Ur les tra-ways-, soit pot.tr le gaz, s'oit pour I'é!i.tr-cihi, e'tc. .

Nous avons recours à votre estiniahiejournal pour .si'iialei' l'état révolLant ci-malpropreté datte lequel se trouvu leiid de la Route nationale I 2r's tic 'Jou1oitr--

à Hayonne, depuis tes écoles, t O il drrinntsouterrain, ,jus-qu5à la limite de Colciuin'.

Conitue toujours il doit y avin' It t :

cliltis les diers services.-ii)t prirrie abord il seurb1rai1. ql1t-i l:iti

Hr'ii incunthe à l'Et;at, puisqu'il r'ag4t Pu ;!r'.L':llte nationale; d'autre parI., slsr l'ae5-1 ---tuent é::'. cette voie cL 5. eèt(c du fus.n..Clt1fSti0t, est installée la voiu du L "tToulouse-Colomiors. A cnspt er'feottnt 1 tnttrtten du dit fo-, "t,h:i qUstOrt! u

La 1srïode chaude va arri\ser'. J ,'si, :n'à ni'ain-dt'e que I'oau putride oecasiunne il's

J)itbértties. i\flais nous or'cy-oius qio I) 'lI suffli'a -t1.o ,si,gnakt le fait. P0t41 qu .

?riait'o de Toulouse, dsfoitst.ii'-rré tins. u I

rts des habitants do Saiul-Martin rssauprès de l'adnuinistration ntéi'esse.quo le cur'u-ge soit :fi'eituéc.

Ç(Jti- i:SjLOrl-i- être eiitné.is. ---- t'. P.

AiH-6'EGIIANDE FA2HLL.E A.1tlI--GEOlF.

Ciao grande nsantfestat.ion dt is'opagrle,aec ssaneo récréative t emféreasu5 n'-rvroehaii'ieenl. Iotmo ir Saint-GPons, nirro-fit, de la naisse - do. la Oi'andc' !'iYsnili0

niêgeOise. . .,

U 'ia en imc t iisps j Ic Is h. ulorganisalion d'ana snctioit pu-ui l'in-cc-u-(tsSCIt1Cflt du Sainl-Gii'otiî.

A t 4 RtICJIE - ra Ruche "-'aict.sitir.-ttaise a c-oir1posc corniste tiul son nau\lcaubureau : lU. Fraak éguéla, prési'dent; M.Clan-sIre, i'nLi'aiti., vic°-pr&:hictit;rori, sécrétaire-; M. Laffont 'du Uaz),tairr-.adjoitit ; :\1. ,j, Dupent (de la lO',IPréfccti ire) , trésorier.

PcUtes illHH1CS(t iij. ti a iisct, T:yais;3

srisesu iee h)'dI, snercsù st are*BELLE SITUATION partout, lienimes, dames,

sen_s quitter empui e Journal Ccunn-mres1 s,rue Héliot. Torsicuse.

LA MAISON FRECHOU-MOUCH-ET. 6,Denfert-Rechereau , desnandn ouvrières lim*-iste.et m»nteuses coeronnea m,rrtuoises.

IMMEUBLE iNDUSTRIEL vendre. peincfltye, Toubosise. Tout usage, maison ivailre.1.200 tac. j - iOO couvert. libre de suite. S'ad ses-

LA MAISON DE VERRE, achat t vent- stetoutes boutei!le, 14, Heliot, Toulo',tst ra,les allées Jean-Jau?rs).-MARGEUSES UTHO, TYPO. levcues de

feuilles et apprentes, densandcrrs par Impeilsiesi.Snle-Petcl. 4. tise Riqaet.

BONS DEFENSE N.AT IONALE. litreaachetés moiu4erree condil,csns, L'Eciair, rue deLais. Touicuse.

DEUX BONS OUVRIERS rlENUlSlERS con-n,rïvrlit bien iétier, -doet un capable de sup-14,ie le patron, sont desnaedés chez Galibert.menuisier, I, rue Pascal, ii Cette (Hér»nts. Dors-nos ,énusces si possible.

0M t3MA DES MM!S et des se.-fis-in:rrL-5 a l'Asile d'aiinénés d'Auch. S'as.besisersa Dii'e'citeer.mn4decin . -

BONS MAÇONS D PIERRE sont dmsivdé.peur l'Algérie. S'adresser 1'Entresrise i3asdin.J Mcntcsuban.

MAISON LIBRE, place Busc», quatre pièceset petit jardin. Psix : 15.000 fs. Eciirc pour dé-tals : j- C&tslDe.sd, defeicseur',c'o'neefl, Tcirlouse--Ç&*, -

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: Lai-sg-ued. et: Ave3rrox --images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...i:i MtfltC.-f!STflDfl & ØÀCTi f' t 1U( rque1n TOULOUS t: ro: j 5 Ce ' p U !3 L I c: z T r(crs mLa;

Lui:M tsIls ont rècours a S. O. N.

&Igacie, 16 avril. - Le cn3ei1 desrniniTes a examina les rpperts envoyespar M. Nntchich, ministre des affairesétraflgère, sur ses corveisatiofls au sUjet de Baroche-Zadr avec ies repr.sen-tant QTI gouvernement italien.

Il a- envcy& ensuite de nouvelles iris-tructions i M. Nintchich qui a remis àM . Contarini dc nouvelles pro-positions.o_n attend une réporie du gcuvernementitalien. Si 1 accord ne pouvait se faire,1 governc1nent yougo-slave porterait lelitige devant la Societé de Nations.

L presse ycugo-slave adjure unanim-errtent le gouverne1rent d'exiger l'ap-plication stricte du traité de Rapailo.

L'EvaauationderÀnatoIe

Can--aïit.inoi.e. Tniits eitnitiis-sai-tS a11is ont remis hier au repr-seutan duOuv.erneinent d'Angota à (onsLi1iupe.

J)OUC la trausuiettre au rninisLrc\de4 :itai-es étrangères clAugoia la :tose des gc.u-

vernernents alliés à la cleriiièru fiOLe du gou.vêr'nem.nt au sujel. de la conclusion d'ui-armistice en Orient. La itote clii que lespuisnces alli e eco-icut pas pouvoira-i300pter l'évacuation iinrnsliato de "Aria-oIi.r, I'ou le gouvernement voudrait faiec

d&pendre la conclusion d'un armistiec, cara Grèce refuSi?rait de souscrire à une pa-.

reill coiditfo -avant I11rne que les iugociati-ons ne soient eomm.encées. D-ail1eurs;

-elle acceptait, il serait impo.ssibk d'om-pécher le bransport de troupes oit Theacequi peurraient recominencer -éventueIeinen a guerre. Mais clsireux dc -donnerdans la plus large mesure possible satis-

un on flttoyage de votre cstona eC ''otre intestin. Utes -rafrajçiiin

aussi vofte Sang, siu1agr*at voReins ctdécongestionacroxt votre Fo.

La cure de propreté ainsipraiqaeest }a meilleure garantie powsoigner, Combattre ou supprim.rles TroubLes digestifs, la Dyspesie,a Constipation, les Maux de tète,igaines, sreEtjges, Congestioa k-s

Trbes nerveux, les Afectios du1ok, la fatigue des Reins, les maladiesde la Peau, les accideots de tAriliri-tisme et toutes les inaladies ii nais-sent ou s'aggeavent d'un fontionne-n-ent dtfeetaeu de liøtiii.

OANS TOUTES LES 1'iA5MCSh bsttes de 2 f. liupit en su et au g pt

. BAILrUIL, eet riermsco9, uie Liori-Gambt LL5j

Ifeefl pir lç'awwfl Lhv t qrc; Ouvrage de Mrucofl de Bcndca. paraîtra prccktarmcen. F'ulidt dans ses pgcs reçus, 8, eue

haiII1iltdemandoz a

YLLLLETON )U u t.

Ie ssstw Le reLL Iu1set

>û L'Mg

- T&eb{eu 1 isait-il à p-art lui. M. lede Gonzagte fait bien ies choses.

t ce coquin de Peyrolles est décidémentn homrn de goftt.II était là, ce bou. depuis lentrée dena &uz. Sans dute, il attendait M. ce

Laardère.Auxore était fille 'Eve. A la vt.e de

tous ces splendides chifkns, son çoeuravait battu. Cela venait de son amilo.eble joie I Aurere ne fit rnme pas cet-

te é4lexion qui était venue à don.a Cruzelle n'essaya pGint de supputer ce que

es royaux atours cîevaient cctîter à sonam. Ui-e se donnait tout entière au plai-sir. Elle était heureuse et cette émotionqui prend les jeunes filles au m-ornent de

araîtTe dans je tpcnd, lui était ccuce.N'aflait-elle pas avoir là-bas son ami pourprotecteur ! Une chose lernbarrassaitelle n'avait pas de chambrière, et la bon-ne Françoise était meilleure pour la cui-sine que pour la toilette.

Deux de eunes filles savancrentcomme si elles eussent deviné son d6sir.

faction à la emanile dAngoia.nements alliés sont clisposes iL ayaeer ladate d'évacuation cl l'Aiia101ieeotnoencée dès I'a-eèeptatioll le- eo il ionsde paix, sous iser'e de di- uter e itainspoint-s particuliers.

t Laits MjçseiIit e Mis tsParis, 16 avril. -- M. Laurent Eynac,

sous-secrétaire d' itat 1e l'aéronautique,avait quitté ce matin Villacoublay à 8 h. 40par avion 1)0U1 Se rendre à -M ar seule, natterci t l'a&odrome (le Istres, près dc Mur-seule le 15 h. 30. L'avion a donc effectuéle parcours Paris-Marseille en moins dejeu:! heures. Ce résultat ohtenu i)rr unpareil du tyje commercial est d'auIant plusremarquable que le voyage n été crnitrariél).r des rafales de pluie et de ieige.

--.-

La PoUtiaue u laitLE RAVITAiLLEMENT EN lLT

DES GIANDS CENTtESM. Henry Chéron, niinistre de l'qrie

tare, n reçu hier matin une importante (I.legation de la Confédération octetirs de lait et des coopératives laiti&-res. - -

Les délégués ont demandé au minisiri-d'adopter une politique (lu tit telle quepuisse être assuré le ravitaillenient nor-nial des grands centres et notanmcnt deParis, ravitaillement qui pourrait être côm-promis par une trop brusque diniintitiondu prix du lait à la production.

1n effet, le 5 mars dernier. les pioduc-teurs avaient consenti une jremière(le (lIX centimes par litre, et, le 10 avril

.

n - nnee nouvelle réçuction dO dix ecu-tinies, (iUOiqLie l'on ne ut pus encore ai-

-ii e saiion (l'herbage s . époqite (1ii,

erairi36, uc oitsclai

brochures d Propagande caUste

LUM. - Pou, re Socidi(e (rita).l'ezeneplsire, D h. 30 ra . O h. 35

COMPERE-MOREL. -- -Le Seiciczlisrae,1 Terre. Leempiaiee O Ix. 40ce,. O Çr,45. - Li Poiitiqeee aartinr dParti So4iIits. Lecemplaire, O fi. 50frarao, O Le. 53. Le deux hrochiesci-de&ui, tnembk frtnco, O Ir. 9)

. COMPERE MOREL. - Socicdiims et Bol.chevsms. Lexeinpiaire, O h. 30 : lran.co.Ofr.35. .-

Paul r\LPE - La Susson SoiealnfsLe,cenwiaire, O h. 45 ; fxsnco O Ir 50

.-. Le Bo1chiviern en Frince (farce etirnposiurt). Leeni,lare. O h. 75franco, O fr. 80.

Kd MARX et F ENCF-LS - lvhini5esiedu Parti Cornnwniit trééditirtt.Lexora*laixca O e. 5O franco. O h. 53.

Les ep bohures n3ernbre harico.31-i.50. .

E-p&tiOoi dè réception d'en nundtpar chèque postal Toulotse 5272.

- No-us so-mmc.. aux ordre- c t:acic- -n.c-irelle, dirent-clic:. -

Sur un signe qu'elles firent, pc.teursetporteuces s'éloignèrer.t upTde espe.c-tuew saluts. Dna Qu piçi l brascVAurore; - .

-.. Est-ce que tu vas te mettre entre ten:asns de cs ciéatuies - dxra'wa c 1h.

- Pourquoi non ? - -

Est-ce que tu vas revêtir cette robe?-.- Mais sans doute.- Tu es brave I tu es bien brave I

muiura la gitana. Au fait, se icpritelle,ce diable et d'une exquise galriiterie.Tu as raison, fais-toi belle, cela ne peutjamais nuire.

Aurore, doua Cruz et les deux caméristes qui faisaient partie de la corbeilleentrèrent clans la chambre à coucher, Da-me Françcise resta seule dans la r-ellebasse avec Jean-M-crie BeHchco, s,n p-tit-fils .

- Qu'est-ce que e est que cette efho-n-tée ? demanda la bonne femme..

- Qu'elle eftrce-ntéc, grand'itiaman.-. Celle qui a un domino rose..- La petite briiie ?Ele a de.s ycu>.

qui sont tout de même pas mal reluisantsgrand'rnarnean.

- Las-tu vue entrer- Non. elle était liDarne Françoise tira

poche et se mit à réfléc--- Je vais te dire , cep

la plus grave et la pluaeom.p-rends rien de rienpasse.

- Vouez-vous que jgrand'maman ?

)avant moi.son tricot de sa

hir .rit-elle de sa VOIXsolennelle; je net tout ce qui se

voJ1s eXplique Ça

avan la aue 'e. lna;jilait le point de dé-1)aI't des s 1)i: i':t - tti tCIl.

Pour é\-itcr 1 e-uéfeecLion tic (e produit(lares les :rend' (rl iCS, les Icli4US oiitété u cmiii tues déchirer (JUC le 1)riX t laP1O(iU(tiW OC (teaitpetS descendre au-de:,-sans dc -15 eentitete.

Pijocih a (jtUfle liSSC nouvelle rie 5

centimes Jelii encoic l;t Cuvistiitéc ppurtaillants liC .VCLIIIVC le lait i 1) fr. 85.la saison (l'été ce qui peiïnettrait aux (lé-

Ces prix s'entendant pour Paris, natte-rellejent,-----.-- ----------.--- ----

à eilg!Ocan. ---- 31. lilleraud n reçu clans la so -

de dimanche. la Pr6ectuee, les Cii-CIS5S peisouealIts et notandités d

vit-4e. A il) ieeuee3 tin dînir a servi S

Un dte1 conjugal

But, ,ertl (lu 'letuple, entre I t heweset iei le U ii, Mette tittii1fliflv Evezart cencon-tic Oil atari qu'elle abandonna réecinueeitaprès etc violentes discussions. Pensantsaus (lQtiLc que le ressentinw.ut de sonéIxmx est (;alI}1(, elle l'aborde avec. le usdoux (les sourires. Mais, lui, répond à cetteavance par der; flots d'ieejtires.

(I 3iei-e ! .s 1iemiCr cOuj) dd I'CU. C'estl\iiue Iivei.ari (Iii jure avec un utignon ie-volver. Uue seconde détonation. C'est E-ve-zart qui répond avec son hro,vniiig. E4alc-citent ipalaticoits, les duellistes ne se fontat'.cun nul Cl, PiC hOohCfl, aucLul pasn;ntii'est blessé. Cela na pas cuepêché le ciin.-i1eiSsCire du quatLien dc gaidet' A sa disto-sition les époux Eve.iat t et de Confisquerleurs aimes.

2a7t-- - .

ii Sociaiise, 6 TO-ULOiiS

Ovre ers,

ALBERTINI !Qocud. -d'Àmcw. -

Jean iTiERNlLR. _ L Pr'eele Lpce1920); - - -

jcqwu CONSTAN'T. . Le Troreetdn d&tfregeUc.

Max et -ez FtSCHER. -- Revue d'Eu.GALLUS et flOIVERt -- Les Fajsr

.-- - d'Ange4. -

J..M. GROS. - Le Mouvement 1dérair- .occililc dr'pui3 1830. -

Heni RAYN.\L.DY. .-. La Vi1! Folle.

Gebecet SEAIUE5. -. La usrec et ta f4.pu ibqece,

An&4 MARTOREL. - Cu ci Con.cerecc -

MEZJERES. :- Sous 1'Ombrelle.

Ces v&:roe sonl venclu en hbrade6 f-r. 75, Nous es cédoen ao lecteurs suprîx.cle 5 hans ïen f canco.

Nota. - Nus abonnés ont droit, clin que 'triniestre et gratnitement, it ciuqfrancs de livres it leur choix. .Joine-Ire O fr. 75 pour l'envoipar !a voste.

Nos abonururs ont droit à la nine prhne.

---.- 15i, tn-ai 5i tu - icc aitc unpl-d;ir. . . -

.Ah I rIed'm-ffn; VÔUS plaisentcz;

ti _je 'va'e jç,:: iiCT lin piauar. . .-.-. Ce5t de.-tetnccs quand j-prl'. us-

t. . e;t L li'-rn C t n. nit p-; lid qLt'il y ado micnssc i-do;-

sa-as. ,

rv:in-s- de. toç-t, recdrr-ansn!-:- Nous avons eu tc-t cm sort3r. Le

mon-de ert m-chant, Qui sait si- cette Ba-.labnult ne rions s pas enduits ?---- Ah ! -gnnam:ae-mtn. une si hr3ve

fonme citad si bonne angélique. I - -

- Enfin, jaixse y voir clair, moi, --pc-tict, e totte cette hisoueIà ne me va35;).

- Cce.t po.ntsCrit sinspie colï;nSC ho-n--jesu:, grond'monn. Nc't-re - dem -:'avait regcrd tcojtela jeurné les voitu-r e dc fleurs Ot d-e feuillages qui arri-vaient au Palais-Royal. Et, d:mne ! ellel:craet de fies-e soupirs en i-egaedant ça,la pauvre mignonnette. Donc, elle s re-tc'rné maitre Louis dans tous les -x'ai qu'il lui achète une invitation. Ça SC

vènd. les invitations, grand'rn:arçean; MineBa!rhault en avait eu une par le valet degarde-robe dont elle est parente par sadostCstequa, (la domestique du yak-t degarde-robe), qui se fc-urnjt de tabac chezMmc Balaltau-It la jeu-ne, de la rue oiesBons-Enfants. dometaique avait eu lacarte poui 1' avoir trouvée sur le bureasrde son maître, Il y a eu trente louis à par-tager entre les àeux Balahault et la domestique. C'est pas voler, ça, pas vrai grand'maman

Darne Française était la plus honnête

La rort mystérieuse &u apitaneUNE FEMME COUPABLE EST MELEE

A L'AFFAIREOn se- préoccupe beaucoup (le la mort

mystérieuse du capitaine Bobinot-Marcy,trouvé le Il itiars dernier, dans sa chant-bre, la teic droite trouée par une hallede revolver. ,

On avajt cru tout (l'abord - et nousl'avons (lit Cl même - qu'il s'était tué.aT'.iis aujourd'hui, ois cii doute fort. En ffet,on sait- maintenant grec te capitaine Ho-hinot-Marcy avait depuis plusieurs annéesune liaison avec une femme du monde,marié croitQn, Ligée d'une quarantaine d'an-nées, qui venait le voir fréuemment rue()udinot. - -

Le 11 itsars en I)articcl]iel, tci dtibut del'après-midi, -il attendait cette (lame. L'ap-iartemeit avait été, p0111- la circonstance,ot.né de -lieues. L'amie. du capitaine vint-elle au rcndev-vous? On n'a, à ce sujet,aucune certitude. Le capitaine n'avait pasetc dnisiestique t -la concierge de l'hmneu-bIc n'a pas dc-- souvenir précis. Celle-clio_- souvient seuIinent (jue, - à l'heure du(liante, cm grave ae(idout d'automobile ve-iait tIC SC produire rue - Oudinot et rete-unit l'attentiôn. -

La justice ne 1eut donc, à l'heure ac-tuelle, retnir cousine indices que le témoi-guage (le l'It irenière, Mmc Susith, qui en-tcnclit avant et après le bruit (le la déto-itation, des 1)5S (le femmes s facilement re-connaissables, (lit-elle, au martellement destillons , et la trouvaille à côté du corpsexsangue du capitaine, d'un gant de femme,truie v aille qui fut laite par la mère de , lavic-tinie, laquelle n'attaèha pas d'impor-

-tance à la découverte et jet-a le gant auxordtires,

AICISI tioric, ii parait formellement établiqu'au ictoment oie le capitaine mourut, ily aveit auprès de lui Une femme. - -

LIaS SSLOIr, isiu rne,eur,. t e,teiilat. odcee. dune aeu tçxs ci,rmetatnt (le ,aert 53 priAtC55 i5tO t iCI Iot5s lc atiiCs Ce;

eécentsi ou ehroeiue's,, rtii d vetiaie à ;oa es tr&ttomnt. r.conlen,isa. oe'see eetstrtuorehgti. Cye4a. clrt5iarim. ti,itnte. eis- t oets, le, atfeetin uiuett. cs i,eOiHez donisst ietIe:et 55h5-ci3 ou l (ae Daee soue eaa eca otce1iit -tss coStre k wetadtei ie' 15 V-.aa, iastCflseis

e. - -

t v:oo ttnptM Ccfc) ' I"t war-

PlL4e . Zup'ta. Ietste rr$_s*9 ç5iitn, tts Aejs, 'nt5ea: aenee Pl: it5a. c5 Ieinr4 Glurrt, ?ia. C-ni : Cttc:ai-'.' : tuqie. k': Zntts : Ca5- : igsrc : TiÀac, SLOdni - C,IUb"' Ct!5

9,

ça ac jraiatÇ- a

ass de- prix ur l'EclairageA pcerffr de lr sied 922

AVIS IMPORTANT. - Pour être, servi iap-(isrncnt n'ittcade pas i'hivcr oi le peaeon-ne.l

est surhatni, mais adesssz dès maintenant vc.dornands d'abonnement la

EeC11TÉ TOULOUSAINE -DU BAZACLIe,- Ça-ai Sit-F're - 7p S C

eat-.:e un serent e

I'"t"JAPle n1-i1!i iili,ieiilin,1:,

1 f tocja c 5oii 't li-,4-, -t1 aru 'I (? fsetetiie '-5i:{s. Gué5.e

c-la, t c,_e i&._ ,i i s , i ' :

Lceeia.

CI,fluiIl tit I) l 1'Jl

Ceeii:ierns5 qs!tt, 1øa -- : ) :ii ica e pr

Iton Lfroit chaque trimestre

CINQ francsde -oinsnes à 1oiir dans u-uL,'-c

CatiIo,gue de t, fbr fric, praL-sin tCl Quiitduie page

Etn-'oyer (1 (r. 75 pour fiis d'eue-ci

-s-i,,--- ----------- - -.----

,snière.-- Pard-i I n-cri. patio-t, rrpondit-clle,

(, est/ pas vc-ier, un mchant chiffon depapier) - - - . - -- -

--- 4 a donc prit B'ru bon que mattL L'. e'tt I -'.' etF15ObtflT et alt Il

e L 4 pout aer achet r ws cartn Ent('C41.. il a ricarci -tride oe aru -uu pou'dan-es. ci1 iI a envote tout ça, - tout chaud.

----- M5 il y. en n pour une sommeéncame! fi la vieille femme en s'arrtant de tricoter. :

Berrichon haussa as paides.

-- - Ah I que vo-us êcs dc-nc jeune, allezgean1'1Tam-an I se ecria-t-il du vieux Sa-tin brodé c-n faux et eV:? petits morceaude verte I

On frappa doucement à la porte de larue .- Qui no-u-s vient encore là ? ccemand-aFrançoire avec mauvaice humeur; mets

: la barre.--Pourquoi mettre la barre ? No-us ne

joua-na p-lus cache-cache , grand'ma-utian.

On frappa un. peu plus fort.-- Si cétaient pourtant des voleurs ?

pénsa tc-ut haut Berrichon, qui n'étaitl)3S brave.

Des voleurs T fit la ho-une femmequand la ue -est éclairée comme en pleinjour et pleine de mande ? Va ouvrir.

- Réflexion faite, gxand'marnan,me mieux rnektre la barre.

Mais il n était plus temps; on était lao-e frapper. La porte s'ouvrit discrètement, et une male figure, or-née de mouS-taches énormes, se montra sur le seuil.

- V

. . Quelle était la 'Visiteuse ?i\iais voici qui eo.tnj)ljqcle étran.,11.circonstances du drante : " uI)epuis une heure t peille on ava,j jle cadavre du capitajue (luandfemme, ti'es clegante, se présent5 Che-, 'concierge, à que- elle dI (lue le ea»itRobinot-Mai-cy venait de In télépnt

venir d'urgence. .

Cette tomette venait pour la pr5ièrerue ' Oudinot. La Concierge ne Se(lUe P14'S tard qu'elle fl'avajt donnécnn moment la communîeatjo téhq-q10

U

(ILCC chez le capitaine, et elle iuforinlement la visiteuse (la dranie.ne manifesta vas une biengrajjet comiice elle demandait a voir

COFDSdu (téfflflt, la Onc1erge, accédant à esir, la conduisit à l'appartementPrécisément, le commissaire de

PûIikvenait, à ce moment, pi'Ocider eptations. il s'inquiéta des raisolis de jSeflec de- li jeune feniine, et luison idendité, La s'Lsiteuse S'eX(CuL5 si;n%dilTiculté; mais deux joui. plus leer8 as'aperçut (ILS'elle avait dÔnn auun faux nom et unefausse adtesse.-

De l'examen dés faits c-jdcs 0t)Ot,il résulte qu'une- seule hypoths pitenvisagée, ét c'est celle qui, jUSrIU'iei

SetiC.hIe retenir l'attention des magisiattructeurs.

Le capitaine aurait été tué au COCu5scène de- jalousie par sa..niiîfresse

celle.ci, ne sachant pas si elle l'avait tué oe sin1.pieutent blessé, aurait enoyé une- de seaches s'inforinei- (les suites du draine

Toït8 !e; Sffids, 7 c-iil.

FLO!EALfDITLON HE300MADAIRE

ILLUSTRTRAVAU.. - SCtENCES LETTaES ARTS

Tt-s d,. SVCttiNC. J. H. cOSNY ,t ,iLC'\S ' :i. e S ts?4AI'1ek1TrECos : lYGCL5; Ci. Vi5D&AC,

gdtur1-siOe5siesu ds H. P. cpsatiehie h-piu-8-tT- l-s s:iifl '- la riiessiustat

ca otii MrJ) EST - 1u'i5eTUiL- ._-_. ,, .j-ç,.ç

i5t3 2' 5ii, f( O-- s.;.

LDiT-1)'4 4NsuaLF

LlLa1iziNE iLLU3TRl- : LA FAMLiE

i-t CaC-v i. ' fa3C- t'ap 4e

Tc,o s',tuttC'etiCflS r, o,r o CCC

5 a6.c.00it-stes d: u d,i 3:qîc)Ct,;. F;55- Pi5Z; dila ttt,i- eC d-es -(ati iii d i5ii 5.

L i.atisi tt r tts, u ; tJi-d L 5D5

si ',';)'s ni Oi'? -3 }'r,oIrI&-t.. d-t veeec c-: .-''-C i-,li edi; i

PÉcÏNENs GRATUITSritiil -sst it4t555

q u.J.elzi r'

CA 3T LL'ÏNTERIM DU MINISTERE DE LA MAR1

Paris. M Dor, min-Litre du Cernsse,sa-mea i'ieet3ôrn du m:nistaee de ta Marje p.ddflt l'absence de M. Rabet. -

- ,%GR1

-. - - ;--- - . -

cissnière de I '[n..pe, ninie elle était COi- lo i)io-pri:tairr de ces tm'cst3C°la

un apfd cc'up d'oeil eUt V1

ChetT7bCe. .

- - As pas peur ! fit-il, CC

le nid de' hi nbe s neu

F\tss, ac tonina ver-iaeauta - - - --

c:.. t-trr a pitC d - -

bon ;il n'y a quunusPec31et s-a bagasse de petit poulet. Nc-. .00''

prendre langut.En mêm tetTttYs, il 5'riÇa le flC

vent, le poing sur 1 hnche. fi5° 0C

1er avec majesté les plis de sII avait appelé e mort bore- ' pIU

tour. C'était aussi iu han'oneniais moins terrible t vni li était

coup plus tyCtjt. t15 rnaigre, ettache indigente fjsait de va5 er3pour figurer ce redutable crOcse bien au visage des héros. (L aVait

lement un paquet sous le b'.t ,l

conime acre chef de file, un regaro

Je la chambre, nrais ce. regard fUt °

co-up plus long t p'uS attentif.(4 80,te)

-

6INST5TtT

SÉIOTffÊ1FrQtrII.abaraWt et CItUI'

Ele'etrOlYSe, SéC'-°Ogvert 1O' â

: MIDI corn .ar

p otwrfeti andWUé °'38.

Imp..

f G,(S: DA

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés