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Le lycée Saint-Joseph ouvre ses portes , puis à l’ESMA, école privée à Montpellier où je valide ma licence de pilote profession‑ nel et la licence de vols aux instruments

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Le lycée Saint-Joseph ouvre ses portes

Numéro 11 - mars 2012

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Les filières proposées au lycée.

Pages 4 à 6

Les enseignements d’exploration.

Page 9Stage photos.

Page 14

Les élèves journalistes vous proposent de visiter leur lycée.

avec le soutien de

14 003

www.lycée‑saintjoseph‑lamballe.net

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PRIX OUEST-FRANCE ETONNANTS VOYAGEURS

Vous avez entre 15 et 20 ans, participez au jury du prix littéraire ÉtonnantsVoyageurs et devenez celui qui fera décoller son roman préféré.

Date limite des inscriptions : 26 février 2012.

Renseignements et inscriptions surwww.ouest-france.fr/etonnants-voyageurs.php

Prix parrainé par

Devenez l’oiseau rare

Page de communication JDL

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1. Tu es un ancien élève de Saint‑Joseph.Oui, j’y ai obtenu un BAC Scientif ique option phy‑sique‑chimie en 2000.

2. Peux‑tu nous détailler ton parcours post‑bac ?Au lycée, je rêvais de devenir pilote de chasse. En fait dix ans plus tard, je suis pilote de ligne, voici mon parcours.‑ 2000 : concours EOPN (Élève Officier du Personnel Navigant) de l’Armée de l’Air. J’échoue à l’issue de la première année, mais j’ai une chance inouïe, je tombe dans une courte période où l’on autorise une 2e tentative à ce concours.Je m’inscris en attendant en 1re année de faculté de Pharmacie à Rennes. Malgré des matières très intéressantes, j’étais tou‑jours attiré par une carrière aéronautique.‑ En 2002, j’intègre l’EFSOAA (École de Formation des Sous‑Officiers de l’Armée de l’Air) à Rochefort pour deve‑nir mécanicien sur avion de chasse. Après un an d’étude, je suis affecté sur la base aé‑rienne de Reims où je côtoie les pilotes de chasse au quotidien. Après un an dans la fonction, je tente de nouveau le concours EOPN que je réussis en tant que navigateur et non pilote. Petite déception mais c’est quand même une opportunité exceptionnelle : cette année‑là nous sommes une cinquan‑taine d’élus pour plus de mille candidats.‑ En 2005 et 2006, je suis donc élève officier à Salon‑de‑Provence. J’enchaîne alors les différents stages : sélection en vol, les classes, stage de para‑

chutisme, d’anglais. Je passe ensuite la licence de pilote de ligne théorique, obligatoire même dans l’armée pour des raisons d’équivalence avec le civil. Puis ce sont les pre‑miers vols à l’EFNC (École de Formation des Navigateurs de Combat) où la pression est im‑portante puisque chaque vol est noté et éliminatoire. C’est à ce moment que j’ai choisi de me réorienter, en voici les raisons. Principalement car le métier de navigateur qui m’était proposé ne me plaisait pas au‑tant que pilote. On ne touche jamais aux commandes de l’avion, je trouvais ça frustrant.De plus, la reconversion est beaucoup plus dure car les heures de vol ne comptent pas au même titre que celles d’un pilote.Avec les équivalences théo‑riques et une formation aéro‑nautique de base très sérieuse, je savais que j’aurais des faci‑lités pour me reconvertir dans le civil.‑ 2007 et 2008, je me forme au métier de pilote de ligne. D’abord en autodidacte à l’aéro‑club de Rennes où j’ef‑fectue mon brevet de pilote pri‑vé, puis à l’ESMA, école privée à Montpellier où je valide ma licence de pilote profession‑nel et la licence de vols aux instruments.‑ En 2009, je passe la qualifica‑tion sur Boeing 737 et je trouve mon premier travail en tant que copilote en Turquie où je reste pendant un an basé à Istanbul, une superbe expérience qui a lancé ma carrière.J’enchaîne ensuite un CDD chez Europe Airpost, ancêtre de l’Aéropostale à Paris.

‑ En 2011, j’intègre Transavia France, filiale low‑cost d’Air France basée à Paris en CDI où je vole actuellement en tant que copilote.

3. Parle‑nous de ton métier qui fait rêver un certain nombre de lycéens.Je suis actuellement copilote sur Boeing 737 chez Transavia France, compagnie low‑cost du groupe Air France, basée à Paris Orly.Les horaires sont très variables, avec des vols très tôt le matin, en après midi ou de nuit.On travai l le souvent le week‑end durant l’été où l’activité est importante mais nous avons des repos en conséquence.Une journée type se décom‑pose de la façon suivante : j’ar‑rive généralement 1 heure 30 avant l’heure prévue du vol à la salle des opérations afin de préparer le vol avec le CDB (commandant de bord).Nous étudions les particula‑rités du vol du jour grâce un dossier complet : météo, pré‑vision du nombre de passa‑gers, contraintes techniques, plan de vol.Ensuite nous partons à l’avion et tout va vite. Vérification de l’avion, préparation de l’ordina‑teur de bord, des équipements, briefings, tout est fait pour partir à l’heure sans jamais oublier la sécurité.Pendant le vol, avec l’autre pi‑lote, le commandant de bord, nous nous divisons le travail sur un aller‑retour. L’un pilote sur l’aller, c’est son étape, l’autre surveille ses actions, l’assiste et communique avec le contrôle aérien.

Au retour, nous inversons les rôles. Pendant la croisière, il y a toujours des choses à faire : le plan de vol à remplir, vérifier la météo à destination, gérer le vol. Nous prenons également le temps pour nous restaurer afin de toujours être en forme.L’équipage se compose de 2 pilotes ou PNT (Personnel Navigant Technique) ainsi que de quatre personnels de cabine ou PNC (Personnel Navigant Commercial).J’opère sur un réseau moyen‑courrier avec un modèle éco‑nomique low‑cost. Pour être rentable et enchaîner les vols, nous ne restons jamais sur place et repartons environ 40 minutes après, avec de nou‑veaux passagers.Pas de déca lage ho ‑raire donc, ni de tourisme malheureusement.

4. Les destinations que tu as effectuées.Beaucoup de destinations en Europe, au Moyen‑Orient et en Afrique.Cap vert, Marrakech, Porto, Londres , Copenhague, Antalya, Téhéran sont quelques exemples.

5. Tes meilleurs souvenirs.Dans l’Armée, les 4 vols sur Mirage 2000 que j’ai eu la chance de faire resteront gra‑vés à jamais.Dans le civil, mes premiers « tours de piste » aux com‑mandes du Boeing 737.

Benoît TOTH, Valérie HERAULT.

Que sont-ils devenus ?Benoît Toth, ancien élève, aujourd’hui pilote de ligne

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J’espère que vous prendrez plaisir à découvrir ce numéro spécial du Joséphien en lien avec nos portes ouvertes.

Les jeunes journalistes de seconde, par les enquêtes et les interviews réalisées, ont, j’en suis sûr, découvert bien des facettes de notre lycée qu’ils ne soupçon‑naient pas. Merci à cha‑cun pour l’exercice de leur talent.

Le lycée Saint‑Joseph ac‑cueille aujourd’hui 560 élèves répartis de la ma‑nière suivante :‑ 180 élèves en 6 classes de

seconde générale ;‑ 154 élèves en 1re générale

(L, ES, S) et 1re technolo‑gique ST2S (Sciences et techniques du sanitaire et du social ;

‑ 150 élèves en Terminale générale (L, ES, S) et terminale technologique ST2S ;

‑ 66 élèves en voie profes‑sionnelle Bac Pro ASSP (Accompagnement, Soins, Service à la Personne).

En rappelant les effectifs scolarisés, je saisis l’op‑portunité de féliciter l’équipe pédagogique pour les ex‑cellents résultats obtenus à la session 2011, avec un taux de réussite aux exa‑mens de 94,4 %, et la qua‑lité de la pédagogie pro‑posée et reconnue par M. Steyer, Recteur de l’acadé‑mie de Rennes, lors de son passage au lycée le 24 no‑vembre 2011.

En feuilletant ce numéro vous pourrez y découvrir les diverses filières de for‑mation mais aussi ce qui fait la spécificité de notre lycée dans des domaines aussi variés que.‑ l’accompagnement péda‑

gogique en lien avec la ré‑forme du lycée ;

‑ l’ouverture à la dimension internationale et la culture européenne ;

‑ l’éducation à la san‑té, la citoyenneté et l’environnement ;

‑ sans oublier l’apport de la nourriture spirituelle et… corporelle.

Bonne lecture !

Jean‑Luc DRAPEAU.

Chers lecteurs,

Benoît Toth, ici à droite, au commandes d’un Boeing 737.

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La filière ES est caractérisée par la pluridisciplinarité : des cours de sciences écono‑miques et sociales bien sûr, mais aussi des bons niveaux en maths, histoire géographie, langues, ce qui nécessite des aptitudes satisfaisantes pour rédiger, analyser, et synthéti‑ser. Les programmes sont axés sur l’actualité du monde écono‑mique et social, et offrent des opportunités d’ouverture sur l’extérieur. Cette filière, desti‑née aux jeunes qui s’intéressent aux questions d’actualité et aux problèmes économiques et so‑

ciaux, procure une très bonne culture générale, et les bache‑liers ES, qui poursuivent leurs études à l’Université : facultés de droit, d’histoire ou géo‑graphie, de langues, d’AES (Administration économique et sociale), en IUT (commerce, gestion) et BTS (commerce, tourisme) trouvent un emploi dans le commerce, la finance, les assurances, les ressources humaines, le social, le droit, et l’enseignement.

Annie BUREL, Benoît LE BIGOT.

Pour en savoir plus sur la filière L, nous avons interviewé deux élèves de Terminale Charlène et Alexane :

Pourquoi avoir choisi la filière L ?Charlène : J’avais initialement opté pour une filière S. Mais voyant que mes atouts se si‑tuaient davantage en langues, j’ai donc changé d’orientation. Je me sens mieux en TL, je ne regrette pas du tout mon choix.Alexane : Moi aussi, j’ai un profil littéraire. J’aime la littérature et les langues.

Quelles matières y sont étudiées ?Les deux : Nous avons 8 heures de philosophie, 3 heures d’an‑glais, auxquelles peuvent s’ajouter 2 heures de spé an‑glais, plus 2 autres heures pour préparer le diplôme de Cambridge. Nous étudions une autre langue étrangère et la littérature. Nous pouvons aussi choisir l’option théâtre (3 heures). Puis nous avons les matières plus générales communes à toutes les séries.

Quelles qualités sont attendues en L ?Les deux : En L, il faut de la réflexion, chacun donne son

avis, on ne récite pas tout d’un bloc. Il faut également possé‑der des connaissances per‑sonnelles pour comprendre les textes étudiés. On nous de‑mande de lire bien sûr ! Nous avons lu 4 livres dans le cadre de la littérature et 1 livre en an‑glais. Ce sont les lectures im‑posées, mais les professeurs nous en conseillent beaucoup d’autres.

Y a‑t‑il une ambiance spécifique L ?Charlène : Je ne stresse pas en L. On s’entend tous bien, non seulement il n’y a pas de compétition entre‑nous, mais en plus on s’entraide très facilement.

Quels sont vos projets d’avenir ?Alexane : Pour ma part, je me présente aux concours de sciences Po.Charlène : Moi, je souhaite tra‑vailler dans le domaine de la traduction et de l’interprétariat.

Matthias GUILLAUME, Anthony BOUGNAGUE.

J’ai interviewé Adeline et Jean Marie, pour vous présenter la filière ES qui semble être la plus complète des filières. Les matières principales sont les sciences économiques et sociales, les maths, l’histoire géographie où les coefficients sont très élevés. Mais il faut être polyvalent. En effet, les langues ont aussi une place importante.Afin de réussir dans cette fi‑

lière, le travail personnel est in‑dispensable. Pour Jean‑Marie, si vous êtes attentif en cours, « c’est déjà une partie du tra‑vail de fait. Ensuite il faut ré‑viser régulièrement, pour ne pas se laisser déborder ». En ce qui concerne Adeline les bacs blancs sont vraiment un bon entraînement, « ça permet de réviser régulièrement, et ça nous donne le rythme des

épreuves ».Cette filière est aussi basée sur l’actualité qui donne des sujets pour les cours et les devoirs. Elle offre un large choix de dé‑bouchés pour l’avenir. Vous pouvez aller à l’université, en droit, en économie et gestion, en AES (administration écono‑mique et sociale), en langues. Mais aussi en DUT, BTS, école de commerce, sans oublier les prépas… Adeline veut se tour‑ner vers l’université pour prépa‑rer un master Français Langues Etrangères et Jean‑Marie envi‑sage un DUT communication et information ou techniques de commercialisation.Cette année, comme les deux dernières an‑nées, les élèves devaient aller en Tunisie, dans le cadre d’un partenariat avec Gabès. En rai‑son de l’instabilité du pays, le consulat a refusé de délivrer les autorisations nécessaires. Pour Jean‑Marie et Adeline cela a été une grosse déception, d’au‑tant que c’était au moment des élections, un moment historique pour le peuple Tunisien.En conclusion si vous allez en filière ES, vous aurez un large choix de débouchés mais vous devez aussi travailler très régu‑lièrement pour réussir.

Alice RUELLAN.

Le bac L est des‑tiné à ceux qui s’in‑téressent à la littéra‑ture, aux langues, à l’histoire‑géo… Les qualités utiles pour réussir dans cette section sont l’esprit d’analyse et de syn‑thèse, une maîtrise correcte de l’ex‑pression écrite et orale. La filière L fait la part belle au Français (1re), à la Littérature (Tale), à la Philosophie (Tale), aux Langues vivantes et anciennes, à l’Histoire‑Géogra‑phie. En 1re, les élèves choisis‑sent un enseignement obliga‑toire qu’ils pourront poursuivre en Terminale comme enseigne‑ment de spécialitéou d’option : Latin, Langues vivantes (ap‑profondissement en Anglais ou Russe), Mathématiques (le pro‑gramme est d’ailleurs commun à la série ES). L’apprentissage des langues est aussi renfor‑cé : un élève de 1re suivant la spécialité Anglais aura des ac‑

quis très intéressants car il sui‑vra 9 heures d’Anglais par se‑maine, les élèves de Terminale, quant à eux, suivront un cours de Littérature anglaise. Le bac L donne accès à de multiples formations : Lettres, Langues, Droit, Arts, Sciences humaines, Psychologie, Administration, Ressources humaines en en‑treprise, Commerce, concours paramédicaux, Communication, Édition… que ce soit à l’univer‑sité, dans les grandes écoles, les IUT ou les écoles spécialisées.

Elodie BARBIER.

Les Bacs L et ES

La filière ES : une filière équilibrée pour comprendre l’économie et la société

On s’épanouit en filière littéraire

Le bac ES, un bac très complet

La série L pour valoriser son profil littéraire

Les élèves en visite d’entreprise;

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Jean‑Marie et Adeline, jamais sans leur manuel d’économie !

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Alexane et Charlène.

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On ne vient pas en ST2S par hasard ! Ce bac « techno » ouvre des débouchés multiples dans les métiers de la santé (Infirmier, Puéricultrice…), du social (Éducateur, Conseiller en économie sociale et familiale…) mais aussi dans les services administratifs de la protection sociale.Les élèves sont acteurs de leur formation : recherche documen‑taire, analyse, travail personnel sont les atouts de la réussite ! La Biologie permet de com‑prendre le fonctionnement et dysfonctionnements (!.) du corps humain. Les Sciences

et Techniques Sanitaires et Sociales traitent de l’environ‑nement sanitaire et social : l’état de santé et de bien‑être de la population, l’hôpital, la veille sanitaire, l’exclusion… L’enseignement général y est également très présent pour un Bac résolument tourné vers les études supérieures.En bref, une filière passion‑nante et valorisante pour des élèves motivés et curieux qui aiment le concret, l’actualité et les contacts.

Isabelle FERREY, Sandrine GUEGUEN.

Anna et Yves‑Marie se sont prêtés au jeu des questions réponses.

Qu’est ce qu’un bac S, et quels en sont les débouchés ?Le bac S est un bac scienti‑fique, qui repose principale‑ment sur 3 matières : les mathé‑matiques, la physique‑chimie et les SVT (sciences et vie et de la Terre). Avec un bac S, tous les débouchés sont en‑visageables, par exemple une école d’ingénieur, une école de médecine, de journalisme…

Quelles sont les qualités et compétences requises pour faire ce bac ?Pour préparer ce bac, il faut avoir un bon niveau dans les matières scientifiques, être or‑ganisé dans son travail per‑sonnel, savoir travailler de fa‑çon autonome. Il faut surtout être motivé car ce bac n’est pas simple. Cependant, il ne faut surtout pas négliger les matières à coefficients moins importants. Un bon niveau en langues étrangères est devenu indispensable pour les pour‑suites d’études.

Quels examens passe‑on en première ? En terminale ?En Première, nous passons les épreuves anticipées du bac de français (écrites et orales) ainsi que, depuis cette an‑née, l’Histoire‑Géographie. De plus, n’oublions pas les Travaux Personnels Encadrés qui sont présentés et soutenus devant un jury de professeurs au mois de janvier. En Terminale, nous passons tout le reste !

Au niveau des options ?Il y a les options débutées en Seconde, telles que le Russe, le Latin ou le Théâtre, et celles qui

s’ajoutent en Terminale : spé‑cialité mathématiques ou spé‑cialité physique‑chimie ou spé‑cialité SVT. Depuis la Réforme des lycées, les enseignements d’exploration et les accompa‑gnements figurent également dans notre emploi du temps.

Y a‑t‑il des stages ?Non, il n’y a pas de stages dans cette filière, excepté pour les élèves qui ne partent pas en voyages en Première durant la semaine banalisée.

Amélie ROUXEL, Alexia RENOUARD.

1. Vous êtes en filière ST2S. Est‑ce un choix de longue date ?Camille : Au départ, sachant que je voulais travailler dans le social, j’avais choisi la première ES en me disant que ce choix m’ouvrirait plus de portes. Mais le programme de première ES est quand même plus basé sur l’économie que le social, alors j’ai changé d’orientation. Je suis maintenant en terminale ST2S et je ne regrette rien.Manon : Moi, c’est différent, dès la troisième, je voulais devenir infirmière. Quand je suis venue visiter le lycée avec le collège du Sacré‑Cœur, j’ai tout de suite été conquise par la pré‑sentation de la filière ST2S. Je savais que c’était la filière qui me correspondait.

2. Quels conseils donneriez‑vous aux élèves qui choisissent cette filière ?Camille : Il faut s’accrocher. Ca n’est pas moins dur qu’une fi‑lière générale, même si c’est différent.Manon : Il faut travailler très régulièrement, sinon on est vite dépassé, notamment en biologie et physiopathologie

humaine et en sciences sani‑taires et sociales, des matières à coefficient 7.

3. Il y a‑t‑il une ambiance spécifique ST2S ?En chœur : Oui !!! Nous sommes une majorité de filles. On est tous très solidaires et liés. On s’entraide beaucoup. Si quelqu’un semble avoir un coup dur, on s’en inquiète. Il n’y pas de rivalité au niveau des notes. Les professeurs sont également très à l’écoute : nos résultats sont importants pour eux, mais notre bien‑être aussi.

4. Que pensez‑vous des examens blancs qui ponctuent l’année scolaire ?Toutes les deux : Ils nous met‑tent la pression, mais qu’est‑ce qu’ils sont utiles. Les examens nous obligent à revoir nos cours depuis le début de l’année et même depuis le début de la première (le bac ST2S porte aussi sur le programme de Première en STSS et biologie). Ils permettent de repérer les points que l’on doit améliorer et nous rôdent au niveau de l’organisation de notre travail.

Valérie HERAULT.

En Terminale, la vo‑cation scientifique de la série S prend tout son sens : les ense ignemen ts scientifiques repré‑sentent les deux tiers du total des enseignements. Les épreuves du BAC de français et d’Histoire‑Géogra‑phie se déroulent en fin de Première.Des facilités en Mathématiques, physique et chimie, sciences de la vie et de la Terre sont attendues, au vu des forts coefficients de ces matièresLes poursuites d’études pos‑sibles sont nombreuses. Principalement à l’université (50 % des bacheliers) pour une durée moyenne de 5 ans après le bac, en médecine, pharma‑cie, biologie, physique‑chimie, sciences de l’ingénieur, mathé‑matiques, informatique, éco‑nomie, gestion… mais aussi en classes prépa, pour écoles d’ingénieurs, ou de commerce ou vétérinaire (20 %), égale‑

ment en DUT (13 %) ou BTS (6 %) en génie civil, en biolo‑gie, en télécom, en informa‑tique, en optique, électronique, chimie, et en écoles spéciali‑sées comme architecture ou paramédicales (10 %).Les débouchés sont bien en‑tendus aussi très larges : dans la santé, l’enseignement, la finance, l’industrie, l’envi‑ronnement, l’agriculture, la recherche…

Grégory DURAND.

Les Bacs S et ST2S

La série ST2S ? Ton avenir dans la santé ou le social !

Une vocation pour les sciences

ST2S, une filière qui nous correspond !

S comme scientifique

Angélique, Adeline, Lucie et Manon en recherches documentaires.

Yves‑Marie et Anna apprécient les expériences de chimie.

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Manon et Camille, au centre Oscar

Enseignements en TS.On peut y ajouter 3 heures d’option

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Au lycée, depuis cette an‑née, on peut préparer le bac professionnel ASSP (Accompagnement Soins et Service à la Personne), op‑tion « en structure ». Ce bac concerne les élèves qui ont envie d’aider et de faciliter le quotidien de personnes âgées, handicapées, dépendantes tout comme ceux qui ont un projet petite enfance.Le bac professionnel a un enseignement général com‑mun à tous les autres bacs, c’est‑à‑dire, le français, les mathématiques, les sciences physiques, l’histoire géogra‑phie, l’anglais et l’éducation physique et sportive. La seule différence avec les autres bacs, c’est que dans leur emploi du temps, on trouve des activités d’animation, de soins et d’hy‑giène et des activités d’en‑tretien du cadre de vie de la personne.

Un collégien qui envisage un bac Pro, doit être motivé, dyna‑

mique, créatif, travailleur, orga‑nisé et patient. Il doit aimer le contact avec les autres.Un élève préparant ce bac acquiert une bonne expé‑rience professionnelle grâce aux nombreuses semaines de stage réparties sur les trois ans de formation. Ce qui équi‑vaut à 22 semaines de PFMP

(Périodes de Formation en Milieu Professionnel). Mais les élèves stagiaires ne peuvent pas faire leur stage n’importe où, ils ont obligation de le faire dans des structures accueillant des enfants, des adultes dé‑pendants ou des personnes handicapées.Les débouchés après un bac

professionnel sont nombreux; Les élèves peuvent travailler au sein d’établissements sani‑taires, sociaux ou médico‑so‑ciaux (hôpitaux, maisons de retraite, établissements de la petite enfance, centres de réadaptation.).L’évaluation du bac pro s’ef‑fectue par des CCF (contrôles en cours de formation) et/ou en fin de cursus. Pour réussir l’examen, la moyenne à l’en‑semble des épreuves d’ensei‑gnements généraux, techno‑logiques et professionnels est exigée. La formation en entre‑prise est prise en compte dans l’évaluation.Les bacheliers ayant obtenu un bac professionnel peuvent, soit entrer dans la vie active directement, soit préparer et passer des concours ou en‑core, poursuivre des études (BTS) en rapport avec leur bac.

Mathilde LAURENT, Alexia RENOUARD.

Les techniques de Services à l’Usager (SAU) ont pour objectif d’assurer le bien‑être de la per‑sonne tant dans son environne‑ment que du point de vue de son alimentation.Cet enseignement porte à la fois sur le maintien de l’hygiène de l’environnement de la per‑sonne et sur l’alimentation de celle‑ci, toujours avec un souci de qualité du service.Lors des séances de SAU, les élèves sont mis en situa‑

tion professionnelle soit d’en‑tretien soit de réalisation de collation en respectant les modes opératoires, les règles d’hygiène, de sécurité et d’er‑gonomie permettant d’assurer une parfaite qualité du travail exécuté. Cet enseignement est mis en application et complété lors des périodes de forma‑tions en milieu professionnel (PFMP).

Marie‑Claire MORIN.

Cette technique professionnelle permet aux élèves de BAC Pro ASSP d’acquérir des notions sur la mise en place d’activités individuelles et collectives et sur la conduite d’actions d’édu‑cation à la santé.Un travail en partenariat est réalisé avec les structures so‑ciales et médico‑sociales pour permettre aux élèves de mettre en place des activités auprès de divers publics : le jeune en‑fant, la personne âgée et la per‑sonne handicapée.Cette année, les élèves de seconde BAC Pro ASSP ont préparé et animé une activité

sensorielle par groupe de 4, au multi‑accueil « La Farandole » de Lamballe. L’objectif pour les élèves était de concevoir une activité adaptée aux capaci‑tés des enfants de moins de 3 ans et de permettre à l’enfant de développer un ou plusieurs sens. Pendant et après l’ani‑mation, l’éducatrice de jeunes enfants, Aurélie Le Maître, a apporté des conseils et des réajustements aux élèves sur leurs activités et sur les attitudes à adopter lors de l’animation.

Solenn BOUCHER.

Le Bac pro

Julien et Océane posent les bébés dans leur cosy

Un bac pro, au service de la personne

L’animation en structureLes techniques de services à l’usager

Mélanie animant un atelier à la Farandole

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Les élèves en cours de collation.

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« J’ai choisi le bac pro ASSP car je souhaite être aide‑soi‑gnant ou travailler dans un métier du domaine de la santé. Moi, j’avais des diffi‑cultés en enseignement gé‑néral et je trouve que cette année, les cours sont plus faciles. J’ai repris confiance. On a de nouvelles matières en enseignement profes‑sionnel et on fait de la pra‑tique. On a également, dès la seconde, six semaines de stages qui nous permettent de découvrir le monde du travail et mettre en pratique ce qu’on a vu en cours. Je reviens de mon premier stage en école maternelle où j’ai pu m’impliquer en donnant des idées pour les activités d’animation avec les enfants.

F. R.

« J’ai pour projet profes‑sionnel de devenir Aide Médico‑Psychologique. J’ai fait un stage de quelques jours en troisième qui m’a donné envie de faire ce mé‑tier. Je suis venue en seconde professionnelle ASSP car la formation proposée corres‑pond tout à fait à ce projet. On apprend plus de choses concrètes avec les cours de pratique et les stages. On est nombreux mais on travaille beaucoup en demi‑groupes. Ça favorise les échanges entre les élèves et ça permet aussi aux professeurs d’être plus présents pour répondre à nos questions. Je reviens tout juste de stage et je suis encore plus motivée.

Fabien ROBINAULT.

Tanguy, 16 ans

Sandra, 16 ans

Tanguy

Sandra

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Tout est parti d’un constat : l’énorme consommation de pa‑pier dans nos écoles. Il nous fal‑lait agir. Un groupe de pilotage, constitué d’élèves et d’adultes de la communauté éducative, a alors réfléchi aux actions à mettre en place. L’opération « Soit malin, trie bien » était née (création d’un logo, fabri‑cation de bacs pour récupérer le papier encore utilisable au verso, mis en place du tri dans les classes, mis en place d’un point tri dans le hall).Mais il nous fallait aller plus loin dans notre travail de sen‑sibilisation et aborder d’autres thèmes. Nous nous sommes alors inscrits au programme Eco École. Celui‑ci nous in‑vite à traiter 6 thèmes, à raison d’un par an, les déchets, l’ali‑mentation, la biodiversité, les solidarités, l’énergie, l’eau. La seconde année, c’est à l’opéra‑tion « Soit malin, mange bien » de voir le jour. Nous avons li‑mité le jetable, les emballages individuels… Nous avons éga‑lement mis en place un jardin de plantes aromatiques (thym, laurier, menthe…) pour que le cuisinier puisse agrémenter

ses plats.L’an passé, nous avons choi‑si de travailler les solidarités, « Soit malin, tends la main » ! Une collecte pour les Restos du cœur a été mise en place et un voyage solidaire et culturel

au Burkina Faso a lieu. Onze élèves de premières ont donc embarqué en avril 2011, des‑tination Bonyolo, village situé à une centaine de kilomètres de la capitale Ouagadougou. Dans leurs bagages plus de

300 kg de dons pour les villa‑geois (vêtements, livres, pro‑duits de premier secours). Ils avaient également pour mis‑sion de repeindre une salle d’alphabétisation et bien évide‑ment d’aller à la rencontre des

Burkinabés. Ce fut un voyage riche en émotions.Cette année, c’est au thème de la biodiversité que nous nous at‑taquons, c’est l’opération « Soit malin, prends en soin ». Nous avons déjà installé des nichoirs à oiseaux, un hôtel à insectes, planté un pommier. Nous allons mettre en place une exposition photos sur la biodiversité qui nous entoure au lycée.Pour prétendre au label Eco‑École, s’il est primordial de mettre en place des actions, la façon de le faire est tout aus‑si importante. Les opérations ne doivent pas être isolées, mais doivent s’inscrire dans une démarche collective de l’ensemble de la communauté éducative. Elles doivent faire lien avec le programme sco‑laire. Par exemple, les ensei‑gnantes d’anglais s’appuient sur le thème de l’année pour travailler en cours.Nous avons déjà été récom‑pensés deux années de suite pour notre travail, cette année encore nous espérons obtenir le label, réponse en juin 2012.

Stéphanie LEON.

Sur le temps du midi, vous pou‑vez bien sûr vous adonner aux activités habituelles comme :‑ aller au foyer, faire une partie de billard ou vous acharner à gagner un match de baby‑foot,‑ vous découvrir un avenir au BDI,‑ lire un roman ou un manga au CDI (ou y faire certaines re‑cherches aussi).Mais plusieurs autres activi‑tés existent dans l’enceinte du lycée. Un groupe de mu‑sique est né au sein du lycée récemment. Maxime, Suzanne et Auriane, élèves en 2nde B vous invitent à rejoindre leur groupe. Des concerts seront sûrement organisés et les ré‑

pétitions auront lieu tous les midis au bâtiments D (si vous souhaitez rejoindre le groupe, il faudra vous adresser à l’un des adhérents). L’association spor‑tive, gérée par M. Radenac et Mme Hillion (et les élèves pour les animations), invite tous ceux qui désirent faire du football, du volley‑ball, du basket‑ball, du badminton, de la musculation ou du ping‑pong, à se joindre aux autres adhérents.Alors vous aussi, proposez votre propre activité auprès de Mme Hamon pour vous sortir de la monotonie.

Anthony BOUGNAGUE.

Le BDI est ouvert le lundi, mardi et vendredi midi de 12 h 30 à 13 h 30. M. Drapeau, directeur du lycée et deux parents d’élèves bénévoles (Mmes Bouvrais et Sevin) conseillent les élèves durant ces temps d’ouverture.Il est aussi possible de prendre un rendez‑vous avec Mme Hamon, CPE, afin d’obte‑nir de plus amples informations concernant l’orientation et les

formations. Les parents peu‑vent être présents lors de ces rendez‑vous.Les élèves peuvent égale‑ment y venir de façon plus in‑formelle pour approfondir leurs recherches concernant leur orientation.Sont proposés aux élèves dif‑férents supports d’information sur :‑Support papier grâce aux res‑sources de l’ONISEP (Office

National d’Information Sur l’En‑seignement et les Professions) et le CIDJ (Centre d’Informa‑tion et de documentation Jeunesse). De plus, de nom‑breux documents sur présen‑toirs peuvent être consultés.‑Support numérique. Trois logi‑ciels sont proposés :*Le métier qui me plaît : est un logiciel de tests d’intérêts pro‑fessionnels et d’aide à la re‑cherche documentaire qui ren‑voie aux documents ONISEP.*GPO lycée : offre trois axes de recherche : moi, le lycée et après.*Potentiel éducation : pour dé‑couvrir sa personnalité, ap‑prendre à mieux communiquer et s’orienter vers les métiers les plus adaptés.‑ D e s D V D t e l s q u e Planet’métiers, les vidéos d’école, des témoignages de professionnels.‑Via Internet : www.onisep.fr ; www.nadoz.org ; www.cidUn accompagnement orien‑tation est également proposé par Mme Hamon aux élèves de seconde.

Matthias GUILLAUME.

Éco-École

Les pionners de l’aventure fièrent de leur drapeau.

L’éducation au développement durable, un enjeu au quotidien

Vous aussi, organisez votre temps du midi !

Un espace pour l’orientation

A chacun sa pause !

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Mmes Sevin et Bouvrais, parents responsables du BDI

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Le travail de cet accompagne‑ment s’appuiera sur des films espagnols, mexicains, abor‑dant des thèmes tels que l’en‑fance maltraitée, l’immigration, la réalité sociale et humaine en Amérique Latine. Cet atelier s’adresse aux élèves qui ont envie de se perfectionner en espagnol (vocabulaire, gram‑maire) en travaillant sur les 5 compétences du cadre euro‑péen : compréhension orale (film en VO), compréhension écrite (article de presse sur le film),

expression orale en continu, expression orale en interaction (travail sur la bande‑annonce et des extraits de film+organisation d’un débat) et expression écrite (bilan) de 10 lignes.

Marie‑Claire DORNADIC

L’atelier journal du lycée consis‑tera à réfléchir avec les élèves au contenu du journal du lycée, « le Joséphien » (4 parutions dans l’année scolaire). Il s’agira de les aider à préparer des in‑terviews, de les conseiller dans la rédaction de leurs articles, leur apporter des conseils dans la prise de photos.Ils pourront rencontrer des jour‑nalistes, des photographes pro‑fessionnels, partenaires de notre journal, qui témoigneront de leurs expériences.Les élèves peuvent coopérer

au journal par l’écriture d’ar‑ticles, la prise de photos, le dessin, l’écriture de poèmes.

Valérie HERAULT.

Un approfondissement en an‑glais qui peut aller jusqu’à se présenter à un examen de Cambridge. L’examen, le PET « Preliminary English Test » que l’université de Cambridge organise est reconnu par les grandes écoles, universités et bon nombre d’entreprises. Il évalue les capacités de com‑

munication des élèves en : lec‑ture compréhension, expression écrite, compréhension orale et expression orale à un niveau B1.La participation au cours ne rend pas l’inscription à l’exa‑men obligatoire. Vous pouvez venir pour travailler votre an‑glais et l’approfondir.

Annie RAYMOND‑LEMEE.

C’est une approche interdiscipli‑naire (histoire, géographie, littéra‑ture, arts) en langue anglaise avec en point d’orgue la concrétisation de ce travail lors d’un voyage culturel à Londres du 3 au 8 avril prochain. Il s’agit d’étudier les réa‑lités historiques et géographiques

d’une métropole mondiale. Le deuxième volet de l’approche concerne les représentations de Londres dans les arts.Le travail des élèves devrait aboutir à la réalisation d’un guide touristique, in English of course !

Johann PECHEUR.

Cet accompagnement per‑met aux élèves de mieux se préparer au bac de français, tant à l’oral qu’à l’écrit. Il per‑met d’approfondir la métho‑dologie dans la rédaction de dissertation, l’étude de texte. Il apporte des connaissances dans l’étude des textes à pré‑

senter à l’oral et enfin aide à se perfectionner à l’épreuve orale.L’enseignant peut également apporter de précieux conseils dans la gestion du stress que peut susciter une épreuve orale.

Stéphanie LEON

Espagnol en seconde et pre‑mière, Allemand et Anglais en première. Il s’adaptera au (x) besoin (s) de chacun : révisions de bases de conjugaison et de grammaire, et/ou exercices en fonction des difficultés rencon‑trées face aux différentes com‑pétences langagières.

L’objectif de cet accompagne‑ment est d’apporter une aide à l’élève qui en ressent le besoin. L’avantage du petit groupe est de pouvoir répondre aux demandes individuelles des élèves. Le soutien est préparé en fonction des demandes et besoins de l’élève.

Français (en seconde), Mathématiques, Histoire/Géo (en seconde et première), SES, SVT, Sc Physiques, (en première.L’accompagnement soutien a pour objectif de s’adapter aux besoins de chaque élève, pallier les difficultés et mettre l’élève en confiance vis‑à‑vis de ses aptitudes.Méthodes : identifier les la‑cunes, l’origine (méthode de travail, manque de travail, la‑cunes.) puis faire un travail de re‑médiation adapté.

Les accompagnements en pre‑mière renforcent l’acquisition de compétences propres à chaque voie de formation.

Il s’agira d’écrire des textes de dif‑férents genres dans le but de créer un livre à éditer en fin d’année ou dans la perspective d’un travail à publier et partager sur Internet.Cet atelier a pour objectif d’ai‑der l’élève à développer de fa‑çon détournée et plus ludique son expression écrite dans le but d’être lu. Dans le cas d’ex‑pression plus personnelle, il s’agit d’apprendre à mieux se connaître et d’étoffer ses res‑sources langagières.

Elodie BARBIER.

Le programme s’adaptera aux besoins des élèves présents mais il aura pour but de dé‑velopper les compétences du B2I (Brevet Informatique et Internet) lycée. Dans ce der‑nier, cinq domaines sont éva‑lués : savoir s’approprier un en‑vironnement informatique de travail, savoir adopter une atti‑tude responsable, savoir créer, produire, traiter, exploiter des données, savoir s’informer, se documenter et savoir commu‑niquer, échanger.

Cet accompagnement permet‑tra aussi de découvrir et utiliser les différentes fonctionnalités de l’ENT (espace numérique de travail) du lycée.

Jérôme JAN

Les accompagnements personnalisésCinéma espagnol (en 2nde et 1re)

Journal du lycée (en 2nde)

Examen de Cambridge (en 2nde et 1re)

Londres, réalités et représentations (en 1re L et ES)

Français oral / écrit (en 1re)

Soutien en langue (en 2nde et 1re)

Soutien (en 2nde et 1re)

Atelier d’écriture (en 2nde)

Accompagnement TICE (en 2nde)

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Depuis la rentrée 2010, un nouveau concept a fait son apparition dans l’emploi du temps de nos élèves : l’ac‑compagnement personna‑lisé. À raison de deux heures par semaine en moyenne, c’est un temps d’enseigne‑ment différent des heures de cours traditionnelles.Il peut s’agir de soutien aux élèves qui rencontrent des difficultés, d’approfondisse‑ment des connaissances ou une aide à l’orientation, qui s’appuie sur le parcours de découverte des métiers et des formations.En classe de seconde, l’ac‑compagnement personnali‑sé aide les élèves à s’adap‑ter aux exigences du lycée, à acquérir des méthodes de travail et à construire leur projet d’orientation.En classe de première, il fa‑vorise l’acquisition de com‑pétences propres à chaque voie de formation.En classe terminale, à partir de la rentrée 2012, les activi‑tés portent en priorité sur les enseignements spécifiques de chaque série, pour aider les élèves à se préparer aux méthodes de l’enseigne‑ment supérieur.

Stéphanie LEON.

Les AP, de la 2nde à la terminale !

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L’enseignement d’explora‑tion « littérature et société » est adapté aux élèves qui ai‑ment lire. Ceux qui souhaitent s’orienter en filière littéraire y trouveront tout particulièrement leur bonheur. J’ai moi‑même choisi cet enseignement et ce choix m’a beaucoup aidé. En début d’année scolaire, nous avons visité l’exposition « Regards sur les arts » à la collégiale de Lamballe. Puis M. Éric Chopin, journaliste à Ouest France, est venu de Rennes nous présenter les différents aspects de son métier. Nous avons également eu l’opportu‑nité d’effectuer des recherches

en lien avec cet enseignement au BDI. Lors de nos cours, nous travaillons plus particu‑lièrement l’image. Tout d’abord nous avons étudié la composi‑tion des peintures puis après notre visite à l’exposition, nous avons dû décrire notre œuvre préférée. Puis, nous avons réa‑lisé un diaporama par groupe sur la caricature. En ce mo‑ment, nous étudions l’histoire du cinéma à l’aide des docu‑ments du CDI. Grâce à cet enseignement, je me suis dé‑couvert une filière et un projet professionnel.

Matthias GUILLAUME.

L’enseignement d’exploration Santé Social est un cours de 1 h 30 par semaine. Les objec‑tifs de cet enseignement sont d’explorer les métiers du sec‑teur paramédical et social et de découvrir les liens entre la santé et le bien‑être social.E n d é b u t d ’ a n n é e , Mme Boucher a abordé le thème de la petite enfance, en nous présentant les différentes structures d’accueil du jeune enfant, les différents profes‑sionnels travaillant auprès de lui. Enfin nous avons abordé les maladies infantiles.En ce moment, nous étudions la notion du handicap. Nous avons ouvert ce thème avec l’intervention d’une Éducatrice spécialisée travaillant dans un foyer pour déficients intellec‑tuels de Saint‑Brieuc. Ce té‑moignage nous a apporté des précisions appréciables sur le travail qu’elle exerce. Puis nous avons travaillé par groupes de 4 à la réalisation de différentes diapos sur les types de han‑dicap, leurs causes et les dif‑férents moyens pouvant être proposés à la personne han‑dicapée pour lui faciliter son quotidien.D’autres thèmes d’études nous serons proposés comme l’or‑

ganisation d’un hôpital, les jeunes et le monde associa‑tif. Cependant pour tous les thèmes abordés, la pratique utilisée en classe privilégie le travail de groupe et l’initiative des élèves par l’exploitation d’articles, de documents pro‑fessionnels, la rencontre avec des professionnels, des visites de structures.Cet enseignement d’explora‑tion offre la possibilité de tester un projet d’orientation vers des poursuites d’études dans les secteurs médical, médico‑so‑cial et social.Cet enseignement me permet de conforter mon souhait de devenir Auxiliaire de puéri‑culture et pour d’autres : infir‑mier, puéricultrice, éducateur spécialisé.

Vanessa MONVOISIN

L’enseignement d’exploration sciences économiques et so‑ciales permet aux lycéens, à raison d’une heure trente par semaine d’aborder des no‑tions d’économie et de so‑ciologie liées aux problé‑matiques de notre temps. À travers cinq grands thèmes : « Ménages et consomma‑tion », « Entreprises et pro‑duction », « Marchés et prix », « Formation et emploi », « Individus et cultures », les élèves adoptent une posture de chercheurs, formulent des hypothèses explicatives aux phénomènes économiques et sociologiques contemporains.

Cet enseignement a pour ob‑jectif d’apporter des notions de cultures générales qui peu‑vent être bénéfiques quelle que soit la filière qui sera choisie en Première.

Les élèves peuvent profiter de ce cours pour poser au pro‑fesseur des questions liées à l’actualité économique et so‑ciale. Pour confronter la théo‑rie au terrain, ils ont visité diffé‑rentes entreprises lamballaises : Rozen, Calipro, TFE, Asserva, Grand Ouest étiquettes, Labbé et Centigon.

Valérie HERAULT.

Depuis l’année dernière, les en‑seignements d’exploration se sont ajoutés dans l’emploi de temps des secondes. Ces en‑seignements d’exploration se poursuivent en première. MPS signifie : Matières et Pratiques Scientifiques. Même si cet en‑seignement est davantage ré‑servé aux élèves désirant s’en‑gager dans une série S, il est ouvert à tous.

Que fait‑on en MPS ?Durant la première période de l’année, nous avons commen‑cé par résoudre une enquête. Cette démarche d’investigation nous a permis de découvrir les différentes manières d’exploi‑ter les preuves et également d’appréhender le quotidien des personnes dont le métier est de résoudre les enquêtes. Nos re‑cherches nous ont aussi éclai‑rés sur certains composants

du corps humain : nous avons réalisé des analyses de sang et d’empreintes. Nous avons élargi notre travail à la décou‑verte des métiers en rapport avec la justice ou la police

Pourquoi choisir cet enseignement d’exploration ?Cet enseignement peut nous conforter dans le choix de notre filière ou de notre projet profes‑sionnel. C’est également un plus, pour la pratique des expériences scientifiques. La MPS offre aussi un excellent entraînement pour les TPE (épreuves de première comptant au bac) puisqu’à l’is‑sue de chaque travail de re‑cherche, on nous demande de réaliser un diaporama ou une autre production capable de pré‑senter aux autres nos résultats.

Est‑ce une matière comme une autre ?Non, c’est une matière très dif‑férente. Elle n’est pas notée, mais évaluée en fonction des compétences du B2I. D’autre part, nous n’avons MPS qu’une fois dans la semaine (1 h 30).

Alexia RENOUARD.

Les enseignements d’exploration

Littérature et sociétéSanté et social

Sciences économiqueset sociales

En MPS, le suspense est le mot maître…

M. Besnier apporte des explications.

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Vanessa et Amélie exposent le résultat de leurs recherches.

Scène de crime

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Cet enseignement d’ex‑ploration doit permettre à l’élève de découvrir les notions fondamentales de l’économie et de la gestion par l’observation et étude de structures concrètes et proches des élèves (entre‑prises, associations…)Les PFEG offrent aussi l’oc‑casion aux élèves de décou‑vrir les métiers en lien avec la finance, les banques, la gestion…Cet enseignement prend la forme d’exploration de thèmes limités en nombre mais carac‑téristiques de l’activité écono‑mique et de la contribution des organisations à celle‑ci, comme par exemple « Quels acteurs créent la richesse ? » ou encore « Qu’est‑ce qu’une entreprise » , « Développement durable : contrainte ou opportunité pour l’entreprise ? »

Stéphanie LEON.

Si vous êtes curieux, désireux d’en apprendre davantage sur la physique‑chimie, alors l’enseignement d’exploration Sciences et laboratoire est parfait pour vous. Nous y faisons des expériences en tous genres comme l’étude des énergies. Les panneaux photovoltaïques et les sys‑tèmes hydroélectriques ont plus particulièrement fait l’objet de notre attention. Nous avons démontré d’où proviennent les différences de goûts de l’eau, puis nous avons mesuré l’intensité d’un courant électrique et en avons découvert la nature. Nous avons même converti l’énergie lumineuse en éner‑gie électrique. Tout cela par le biais d’expériences lu‑diques et intéressantes.

Anthony BOUGNAGUE.

PFEG (Principes Fondamentaux de

l’Économie et de la Gestion)

Sciences et laboratoire

M. Le Bigot répond aux questions d’actualité.

Baptiste fait un prélèvement.

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« Le Croq’Jo » Bon et ten‑dance… Oui, ce slogan se confirme car ce restaurant scolaire est l’un des rares dans le département à avoir un tel mode de fonctionnement et les élèves l’adorent ! En effet, il a été conçu pour que les jeunes eux‑mêmes, puissent choisir et composer leur menu.Ce dernier se fait en plusieurs étapes, tout d’abord le choix très varié d’entrées, essentiellement des crudités, salades, verrines. Puis, le comptoir chaud où une multitude de plats « faits mai‑son » sont présentés : une grillade, un plat traditionnel, un plat snacking, et une pasta chaque jour. Sans oublier le bar à légumes, où chaque midi nous pouvons choisir 3, 4 légumes différents. Et enfin les desserts avec soit les desserts du jour, là encore « faits maison » (tartes, cookies, smothies, crêpes…), soit, des fruits frais, yaourts.Ce système, apprécié de tous, a pour but de manger équilibré et de limiter le gaspillage. Sa réali‑sation s’inscrit dans la démarche

du label éco‑école obtenu par le lycée en 2010 et 2011 : par exemple, les emballages indivi‑duels ont été bannis (sel, poivre, sauce ketchup, mayo…).Plusieurs élèves ont accepté de répondre à quelques questions :

Que pensez‑vous du Croq’Jo en général ?« C’est génial, comme le dit le slogan, « c’est bon, et ten‑dance » ! « En plus, le person‑nel est vraiment gentil. »« C’est trop classe ! Le décor

est d’actualité, moderne et adapté à notre goût. »« C’est TOP ! »

Et au niveau nourriture, qu’en pensez‑vous ?« On mange à notre faim, et ce

qu’on aime ! »« C’est très équilibré, un très grand choix de plats, d’entrées etc. et les smothies sont déli‑cieux ! [rire] ».« On compose à notre guise notre menu, ce qui permet de l’adapter en fonction de nos besoins alimentaires. Le choix est très grand surtout dans les entrées ! Et surtout, nous, en‑fin moi, je gaspille beaucoup moins, car je me sers la quan‑tité de nourriture que je veux ! »

Avez‑vous quelque chose d’autre à rajouter au sujet du Croq’Jo ?« Le seul point négatif, c’est qu’il est trop petit, et lors des horaires de passages intensifs, le self est trop plein. »« Le croq’jo est trop petit quelques fois »

Pour conclure, je dirais que tous les élèves aiment le Croq’jo mais regrettent sa pe‑tite taille.

Mathilde LAURENT.

Le lundi 19 mars les élèves du lycée célébreront la Saint‑Joseph toute la journée. La fête débutera par une heure de vie de classe pour tous. Ensuite, chacun devra s’inscrire à une conférence parmi une vaste proposition. Toutes les confé‑rences seront animées par des associations caritatives régio‑nales ou mondiales. Atheol qui prend en charge des per‑sonnes en situation de han‑dicap ou Crayons de couleur qui apporte son aide à la sco‑larisation des enfants d’un vil‑lage du Mali, seront présentes. L’après‑midi, quant à lui, sera

festif. Chaque classe pourra se déguiser par thème et présen‑tera son spectacle. C’est tou‑jours un grand moment ! Puis la journée se terminera par un goûter constitué de viennoise‑ries et de jus de fruits. « Le but de cette fête est de créer un esprit de convivialité et de profiter d’un moment festif pour mélanger les classes et les différentes filières. Le thème de cette année est la fraternité et l’ouver‑ture sur le monde » explique Mme Hamon, la CPE.

Simon DORE.

Le lycée Saint‑Joseph est un établissement catholique d’en‑seignement au service des jeunes :« Pour l’Enseignement catho‑lique, le défi demeure plus que jamais de conjuguer l’école du savoir avec l’école de l’intelli‑gence de l’homme, comment aider en effet des enfants et des jeunes à devenir des personnes équilibrées, res‑ponsables, libres, engagées, respectueuses de l’autre, sen‑sibles et habitées par une vé‑ritable générosité, si on ne leur a transmis que des connais‑sances livresques ?C’est pourquoi l’Enseignement

catholique, fidèle à la vision chrétienne de l’Homme trans‑mise par l’Évangile, attache une importance si grande à former des jeunes ouverts sur le monde, enracinés dans une culture et une histoire qui ou‑vrent, dans un dialogue entre foi et raison, à l’accueil de Dieu dans la vie de chaque homme. Des éducateurs les accompa‑gnent dans la recherche d’une orientation qui réponde à leur vocation humaine. À cette fin, ils veillent à leur donner une véritable capacité à question‑ner et à discerner, le goût de l’émerveillement qui ouvre à l’espérance et ce désir si parti‑

culier d’inscrire leur action dans leur temps, avec tous ceux qui œuvrent pour une société tou‑jours en construction.»(extrait du Manifeste de l’En‑seignement catholique, Éric de Labarre janvier 2012)Des propositions sont ainsi faites aux lycéens pour favo‑riser cette dimension humaine et spirituelle.‑ Temps de célébrations, de ré‑flexions à Noël, Pâques…‑ Temps d’échange avec di‑verses associations carita‑tives et participation à leurs actions lors de la « Saint‑Jo » notamment.‑ Partenariat avec les aumône‑ries d’hôpitaux‑ Solidarité avec les personnes malades et handicapés ; ac‑compagnement des malades au pèlerinage de Lourdes par de jeunes lycéens.‑ Ouverture aux pays en voie de développement : séjour au Burkina FasoQuelle joie nous communique ces jeunes lorsqu’ils revien‑nent nous partager leurs expé‑riences de rencontre et de ser‑vice. C’est un encouragement à renouveler ces propositions car elles contribuent véritable‑ment à l’éducation humaine et chrétienne de ceux qui y pren‑nent part.

Jean‑Luc DRAPEAU.

Les plus du lycée

Un midi au Croq’Jo

« Bon et tendance », le Croq’Jo, apprécié par tous !

La Saint-Jo : Un vent festif souffle sur le lycée

Pastorale : dimension humaine et spirituelle

Une chorégraphie très rythmée

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Des lycéens aux JMJ.

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Le latin est une option que l’on peut débuter au collège et poursuivre au lycée. Les chan‑gements du collège au lycée ne sont pas énormes. On étu‑die l’histoire de Rome, les ba‑tailles, la mythologie et bien sûr la grammaire. Il faut savoir qu’il y a un point positif à conti‑nuer le latin, c’est qu’au bac, on passe une épreuve où seuls les points au‑dessus de la moyenne comptent, ce qui est loin d’être pénalisant ! Moi‑même, faisant du latin depuis la 5e je trouve que cette option m’est béné‑fique pour les autres langues. Ensuite niveau travail en latin on

n’est vraiment pas débordé, ce n’est pas un cours comme les autres, c’est un cours un peu plus détendu. Et en cette année de seconde, on part plus sur des analyses de textes qui sont très intéressants. Même si cer‑tains se disent que cela fait des heures de cours en plus, dites vous que dans un dossier la mention latin est toujours un plus pour les poursuites d’études. Et pour motiver ceux qui auraient la volonté de continuer le latin, un voyage à Rome est organisé tous les deux ans, dont un nor‑malement l’année prochaine !

Alexia RENOUARD.

Cette année, les élèves ont choisi de jouer des petites pièces de théâtre mises en scène par eux‑mêmes avec l’aide de Jeanne François, une intervenante du théâtre de la Folle Pensée de Saint‑Brieuc. Celle‑ci les conseille afin de rendre leurs pièces plus réelles. Ils ont eu la chance de la voir sur scène à la Passerelle dans la pièce « Portraits for‑mat paysage ». Les élèves se retrouvent donc deux fois par semaine pour préparer leur spectacle de fin d’année qu’ils joueront le 3 mai au Quai des Rêves lors du festival «Tous

en scène», puis une nouvelle fois, en soirée devant un pu‑blic d’invités. En ce moment, ils effectuent des recherches pour présenter des exposés sur différentes pièces faisant partie de notre patrimoine littéraire, telles Fin de partie de Samuel Beckett, Britannicus de Racine, Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux, Le mariage de Figaro de Beaumarchais. Ces exposés seront présentés à toute la classe sous formes théâtrales libres qui souligne‑ront leur créativité d’acteurs.

Simon DORE.

Aux racines du français : le latin !

L’option théâtre

Explication latine

Une étoile d’artistes…

Que signifie DNL ?Discipline Non Linguistique. Pratiquer une langue étran‑gère à travers une discipline non linguistique.

Pourquoi avez‑vous accepté d’enseigner la DNL ?C’est un projet qui me tenait à cœur. Quelque chose de nou‑veau, qui correspondait éga‑lement aux attentes du lycée. Cela me permet également de renouer avec la pratique d’une langue étrangère que j’avais délaissée.

Quelles sont vos attentes de la part des élèves ? Les compétences à atteindre ?Je voudrais qu’ils s’expriment plus librement, sans crainte de faire des fautes, de l’ac‑cent qu’ils adopteront, que les élèves ne considèrent pas ce cours comme un cours d’an‑glais traditionnel.

Qu’est ce que la DNL apporte aux élèves ? Et pour vous au niveau du travail ?Cela leur permet de pratiquer

un peu plus la langue anglaise, même pendant une heure par semaine. Ils peuvent enrichir leur vocabulaire, aborder l’His‑toire‑Géographie dans une vi‑sion anglaise, comme dans un pays anglophone.Cette option demande un grand temps de préparation, mais c’est un véritable enrichis‑sement, notamment par la redé‑couverte de sujets de manière anglophone.

Cette option est‑elle bénéfique pour les élèves à l’embauche, et pour vous lors de mutation ?C’est un plus pour les profes‑

seurs lors de mutations. Le cours de DNL apparaît sur le bulletin des élèves : notes et appréciations sur le travail, sans pénaliser les élèves où leur mettre une quelconque pression.

Êtes‑vous prêt à vous engager de nouveau dans cette option l’année prochaine ?Si c’est dans les projets, j’espère en être l’année prochaine. En tous cas, je proposerai l’option DNL également en Première.

Mathilde LAURENT.

Depuis maintenant 10 ans, Mme Tsvetkova enseigne le russe au lycée. C’est avec plaisir qu’elle y vient, « pour transmettre son amour du pays et de la lan‑gue », tout comme ses élèves de seconde, première et terminale qui qualifient ce cours « d’ins‑tructif, agréable et génial ».Le russe, avec ses 33 lettres est une langue aussi bien intéres‑sante qu’enrichissante. C’est une option facultative pour le bac, seuls les points au‑dessus de la moyenne compteront. Pour le bac L, le russe peut être une épreuve obligatoire, dans ce cas, c’est un coefficient 4. L’épreuve facultative de russe correspond à un commentaire de texte étu‑dié en cours. L’examinateur choisit un texte, l’élève le lit, le commente puis ensuite une discussion s’engage. L’épreuve dure environ 20 minutes.En cours, à raison de deux heures par semaine, nous ap‑prenons grammaire, vocabu‑laire, conjugaison, déclinaisons mais aussi la culture de cet im‑

mense pays. L’année dernière, un voyage à Moscou a eu lieu et c’est avec « impatience » que tous les élèves pratiquant le russe attendent celui de l’an‑née prochaine qui aura lieu dans l’une des plus grandes villes du pays !

Mathilde LAURENT.

Les options

M. Pécheur, Aurore et Solène.

Pose autour du traditionnel samovar.

DNL, une nouvelle option

Pусский язык в лицее,Du russe au lycée !

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Interview de M. Pécheur, professeur d’Histoire‑Géographie et enseignant en DNL.

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Comme si créer une BD animalière n'était pas assez original, lePhilippin Gerry Alanguilan a imaginé une mutation génétique quia rendu poules et coqs aussi intelligents que les humains.Maintenant, il va falloir faire cohabiter les deux espèces... Celadonne, sous un trait précis, soigné, efficace, une belle parabole surla différence, la tolérance, l'acceptation de soi et des proches.

Çà et là, 144 pages, 14 €

ÉvénementPrix de l’album 2011Ouest-France - Quai des Bulles

Page de communication JDL

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Les travaux personnels enca‑drés constituent la première des épreuves anticipées du baccalauréat.Cette nouvelle « discipline » fi‑gurant dans l’emploi du temps des élèves de Première et d’eux‑seuls, n’est donc pas à prendre à la légère. Elle peut désarçonner quelques lycéens pour deux raisons principales : des recherches en semi‑au‑tonomie doublées d’un travail au long court. En effet, les TPE débutent en septembre et ne s’achèvent qu’à la fin du mois de janvier. Durant cette pre‑mière partie de l’année, à rai‑son de 2 heures par semaine, les élèves se retrouvent au CDI, en salles informatiques ou aux laboratoires de sciences pour mener leurs investigations. Le travail s’effectue par groupe de 2 ou 3 élèves et nécessite

donc une bonne entente et une répartition équitable des tâches. En début d’année, les professeurs proposent plusieurs thèmes issus d’une liste officielle (les thèmes diffèrent en fonction des séries). À partir du thème qu’il a choisi, chaque groupe réfléchit à un sujet puis à une problématique. Quand celle‑ci est validée, les recherches peu‑vent commencer. C’est la phase la plus longue. Les élèves uti‑lisent le logiciel documentaire du Centre d’Information et de Documentation afin de trouver des réponses à leur probléma‑tique dans les documents pré‑sents au sein du CDI du lycée : revues, journaux, livres docu‑mentaires et DVD. Parfois, cet outil ne suffit pas. Il faut alors étendre ses recherches sur le Net. L’écueil des TPE survient souvent à ce moment. En effet,

les élèves ont de grandes diffi‑cultés à évaluer la pertinence et le niveau de difficulté des informations qu’ils trouvent sur Internet. S’ajoute à cela, une dé‑rive que chacun d’entre‑nous

avons souvent constaté : quand on navigue sur Internet, on ne voit pas le temps passer et on peut facilement se trouver en difficulté pour rendre son tra‑vail dans les temps imposés !

Heureusement, les professeurs sont là pour rappeler à chaque groupe la date butoir de resti‑tution de la production. Celle‑ci peut prendre différentes formes : dossier, diaporama, vidéo, ex‑périence, site Internet. Les élèves sont libres et peuvent donc faire preuve de créativi‑té aussi bien dans le choix de cette production que lors de sa soutenance orale devant un jury constitué de deux professeurs. Un zoom sur le détail de la note : l’attitude, le sérieux, l’implica‑tion de l’élève pendant ses re‑cherches est noté sur 8, la pro‑duction sur 6 et la soutenance orale sur 6. À noter ; même si c’est un travail de groupe, la note est individuelle ! Au même titre que les autres options, les points au‑dessus de la moyenne comptent double.

Valérie HERAULT.

Dans le cadre du salon du Roman Noir qui se tenait à Lamballe les 12 et 13 novembre 2011, l’association la Fureur du Noir, en partenariat avec la SNCF a lancé un concours d’écriture « Des mots sur les rails. ». À partir de photos re‑présentant la gare de Lamballe, tous les élèves de 2de F étaient invités par leur professeur de français à écrire un texte com‑mençant par « Il y a 15 ans dans cette gare. »Sept élèves de la classe ont souhaité s’inscrire à ce concours. Il s’agit de Marie

Loncle, Clément Turbin, Malo Nicol, Ophélie Seguin, Pierre Maitralain, Cynthia Robert et Noémie Carlo. L’exercice les a inspirés, chacun a fourni un texte original et de qualité. Les résultats du concours ont été annoncés juste avant les vacances de Noël : les sept élèves ont remporté le premier prix de la catégorie lycée ! Ils ont ensuite été conviés par l’as‑sociation pour la remise des prix durant laquelle chacun d’eux a reçu un roman.

Charlotte LE BONNIEC.

Les Activités Interdisciplinaires ou AI sont spécifiques aux classes de Premières et Terminales ST2S. Trois se‑maines non consécutives sont consacrées à ces activi‑tés. Elles sont menées sur les heures de cours de mathéma‑tiques, sciences physiques, biologie et physiopathologie humaine et sciences et tech‑niques sanitaires et sociales. Les élèves, par groupe de 2 ou 3 doivent choisir un thème, puis une question (« En quoi les TOCS constituent‑ils un han‑dicap quotidien ? », « en quoi la prévention, permet‑elle de réduire le taux de mortalité dû au cancer du sein ?») liés à ces quatre disciplines. Pour

y répondre, ils doivent mener un travail de recherche, de sé‑lection et d’organisation des in‑formations qu’ils ont collectées aussi bien au CDI, qu’à l’exté‑rieur. Lucie, élève de Terminale ST2S, apprécie l’opportunité qu’offrent les AI, de prendre soi‑même contact auprès de professionnels et de structure afin de les rencontrer sur le terrain. Les professionnels de santé sollicités : neurologues, diététiciennes, psychologues, infirmières apportent leurs compétences pour éclairer les élèves. Durant ce temps d’in‑vestigations, les professeurs des disciplines concernées apportent une aide précieuse pour organiser et structurer les

plans, « En AI, la relation avec le prof est différente, plus proche. Les professeurs in‑terviennent vraiment au cas par cas, c’est rassurant » confie Estelle. Le travail abou‑tit à une production présentée sous la forme d’un dossier, en‑richi à l’oral par des documents pouvant associer aussi bien l’écrit, l’oral que le visuel. Même si cette soutenance orale peut être source de stress, Lucile accorde que c’est un entraîne‑ment efficace aussi bien pour le bac de français que pour les oraux de concours.

V. H.

Une autre façon de travailler

Laura et Laura présentent leurs TPE

Zoom sur les TPE

Des élèves de 2ndeF remportent le concours « Des mots sur les rails. »

Les AI : Un temps dédié à la recherche en ST2S

Les heureux lauréats

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Pendant les AI, les élèves utilisent le CDI

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Une nouvelle destination pour la semaine banalisée en pre‑mière : la Finlande. Ce pays de la Scandinavie, sera l’objet d’un échange entre des élèves de Première et des élèves fin‑landais. Au programme de ce voyage original, découverte des villes d’Iitti et de Lahti, où résideront les élèves français dans des familles d’accueil. Ils suivront les cours avec leur cor‑respondant, se familiariseront avec le finnois. Ils découvriront aussi des sports qui sont, pour

eux, loin d’être ordinaires : le ski de fond et le patin ! Un bon voyage en perspective.

Mathilde LAURENT.

Ce voyage est en lien direct avec l’accompagnement : Londres, réalités et représen‑tations. Il s’agira d’une concré‑tisation du travail réalisé lors de cet accompagnement. Après avoir étudié les réalités histo‑riques et géographiques d’une métropole mondiale, Londres, les élèves se rendront sur les sites qu’ils ont étudié : La City pour la puissance écono‑mique et financière, Greenwich Millenium Village, un modèle d’écoquartier, le site des JO, aménagé dans le cadre de la rénovation urbaine dans une perspective durable, le multi‑

culturalisme londonien (Soho, Chinatown). Mais également à la National Gallery, au National Maritime Museum pour la re‑présentation de Londres dans les arts.

Johann PECHEUR.

Cette année, à partir du 18 juin pour une semaine ou plus, un stage est proposé aux élèves de Seconde.Les stages peuvent s’effectuer dans tous les domaines de mé‑tiers possibles : en entreprise, chez un artisan, un notaire, un kiné, dans une école… Les élèves doivent trouver leur lieu de stage eux‑mêmes en se déplaçant directement dans l’entreprise où le stage est souhaité. Une convention de stage, signée conjointement par le lycée et l’entreprise, of‑ficialise le stage et protège les deux parties.Le stage est choisi par les élèves en fonction de leur pro‑jet professionnel, ou bien tout simplement, par envie de dé‑couvrir un métier ou un secteur d’activités.Voici quelques témoignages d’élèves de Seconde relatifs à l’intérêt qu’ils portent au stage.« Le stage nous offre la pos‑sibilité de découvrir plusieurs métiers et de voir leurs côtés positifs et négatifs. »« Il nous donne un indice sur la filière pour laquelle on op‑

tera l’année prochaine (série L, ES, S ou ST2S). »« C’est bien, le maître de stage nous explique en quoi consiste son métier, les études qu’il a suivies pour y parvenir. Il nous ouvre les yeux sur le monde du travail. À la fin du stage, on sait géné‑ralement si le métier auquel on rêvait est toujours le mé‑tier de nos rêves ! »À noter : les élèves doivent prendre de nombreuses notes durant la période du stage, car il leur est demandé de restituer un rapport de stage à leur pro‑fesseur principal.

Vanessa MONVOISIN.

Lundi 16 janvier, Alain Bihel, journaliste à la rédaction Ouest France de Saint‑Brieuc, nous a dévoilé ses secrets pour faire de vraies photos de pro. Les impéra‑tifs pour une photo réussie, sont :‑ l’angle, car un bon angle donne du vivant à la photo, lui donne toute son importance,‑ la luminostié : un contre‑jour peut défavoriser votre cliché. Il est fortement conseillé de tou‑jours utiliser le flash (surtout en extérieur) pour éviter les photos trop sombres.‑ le rapport t itre/photo,

puisqu’une une photo doit révé‑ler au premier coup d’œil le titre.‑ la disposition des éléments (per‑sonnes, matériaux, etc.), ne pas mettre par exemple le sujet prin‑cipal caché derrière d’autres per‑sonnes « moins importantes ».Mais la chose sans aucun doute la plus difficile dans la photo, c’est de faire s’exprimer ses sujets. Un individu va se laisser interroger ai‑sément mais va se cacher face à votre objectif. La seule façon de décrisper une personne est de la mettre à l’aise.

Anthony BOUGNAGUE.

La biodiversité, sera abordée sur le terrain dans différents mi‑lieux. Plusieurs sites locaux pré‑sentent un grand intérêt et ce sera l’occasion de côtoyer des membres d’associations impli‑qués dans les sciences partici‑patives : comment déterminer la qualité d’un cours d’eau en fai‑sant l’inventaire des invertébrés que l’on y trouve, comment se répartissent les algues et les animaux marins le long de l’es‑tran (comptage de certains ani‑maux pour un inventaire lors de la marée). Quelles plantes originales poussent dans les landes de la Poterie ? Une jour‑

née est prévue à l’Université de sciences de Rennes (ou à la station biologique de Roscoff) ainsi qu’une observation du ciel avec Erquynox.

Thérèse BAUDET.

Un voyage en Espagne est organisé durant la semaine banalisée de première. Ce voyage se tiendra dans la ville de Salamanque, une ville archi‑tecturale où l’espagnol pratiqué est pur, c’est‑à‑dire sans accent. Le but principal de ce voyage est bien évidemment, la pra‑tique de la langue au sein des familles principalement. Durant ce séjour, plusieurs activités se‑ront proposées, notamment un jeu de piste dans la ville, des visites (musées, parcs, villes.)

Mais aussi, la visite d’un stade de foot, et d’un élevage de tau‑reaux. Et bien sûr, les élèves s’essaieront au Flamenco !

M. L.

La semaine banalisée

La ville de Lahti

Au cœur de la City.

Alain Bihel initie les élèves à la photo.

Mélanie lit un conte aux enfants.

Les landes de la Poterie

La plaza Mayor de Salamanque

La Finlande, un nouvel horizon

Voyage au cœur de Londres

Une semaine sur le terrain Stage photos pour les journalistes du lycée

Une semaine Biodiversité

Bienvenido a Salamanca

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Pour les élèves de Première qui ne souhaitent ni partir en Finlande, ni à Londres, ni en Espagne, ni en décou‑verte de la biodiversité, le lycée a mis en place une semaine de stage à visée « découverte profession‑nelle ». Cette semaine pré‑cédent les vacances de Pâques est alors dite ba‑nalisée pour ce niveau. Les cours pour les classes de Seconde et Terminale sont quant à eux maintenus et les emplois du temps par‑fois réaménagés en fonction des professeurs accompa‑gnateurs des voyages de Première. Regrouper tous les voyages pédagogiques sur une seule et même se‑maine constitue un confort de travail et d’organisation pour ceux qui restent.

Valérie HERAULT.

Une semaine banalisée en

Première

Association pour le développement du Journal des Lycées10 rue du Breil35 051 Rennes CedexTél. : 02 99 32 61 [email protected]

Lycée Saint‑Joseph

63 rue MouëxignéBP 90 46522404 Lamballe CedexTél. : 02 96 50 11 20Fax : 02 96 31 93 75st‑[email protected]://www.lycée‑saintjoseph‑lamballe.net

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