Le Mag N°3

3LE MAGSEMAINE 3 temps forts DU 16 AU 22 JANVIER 2010

MARDI 19 JANVIER 20.35

Le succès d’une entreprise qui emploie80 % de handicapés

Direction des Richesses Humaines

FRANCE 5 • SEMAINE 3 DU 16 AU 22 JANVIER 20102

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DIMANCHE 17 JANVIER 16.40 ET 20.35

La Belle HumanitaireL’itinéraire du top-modèle Tasha de Vasconcelos, qui a grandi au Mozambique. Cette « aristocrate blanche », restée africaine de cœur, se consacre aujourd’hui àl’humanitaire au travers de son association Amor (Aide Mondiale Orphelins Réconfort).

VENDREDI 22 JANVIER 20.35DIMANCHE 24 JANVIER 07.55

Enki Bilal, au-delà de l’image

Dessinateur, scénariste de BD etréalisateur, Enki Bilal lève le voile surson univers graphique et imaginaire.Portrait d’un homme déraciné qui a sucréer une passerelle entre le monde dela BD et celui de l’art contemporain.

DIMANCHE 17 JANVIER 22.25Ces femmes qui luttentcontre le crime

En France, aux Etats-Unis ou en Italie, elles contribuent, chacune à leur manière, au combat contre la criminalité. Après le gendarmeCéline Nicloux, rendez-vous avec Judicaële Ruby, chef de labrigade criminelle de Lyon.

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La grille des soirées 3-4

Direction des Richesses Humaines 5-6

Empreintes

Enki Bilal, au-delà de l’image 7-8

La Belle Humanitaire 9

Ces femmes qui luttent contre le crime 10

Sur les pas de…

Puccini 11

Le Réveillon des bonnes 12

La grille desprogrammes 13-14

Contacts 15

Temps forts Sommaire

© Crédit photo de couverture : Camera Lucida

long-métragede cinémadocumentaire magazine jeunesse programme

court information


Soirées Semaine 3

documentaire magazine fictionjeunesseprogramme

court

SAMEDI 16 JANVIER

Fiction avec Thomas Hugues

20.35 et 21.30 Le Réveillon des bonnesDécembre 1918. Marcelline, Olympia, Marie et Jeanne habitent dans un même immeuble bourgeois d’une grande villefrançaise. A la veille de Noël, le premier après la fin de laGrande Guerre, alors que le froid et la neige engourdissent la région, ces quatre femmes vont vivre des histoiresincroyables, intimement liées à celles de familles pourlesquelles elles travaillent sans relâche et avec dévotion…

20.35Echappées bellesSophie Jovillard visite la villeonirique de Venise. LaSérénissime n’aura bientôtplus de secrets pour lapétillante globe-trotteuse.

21.35 J’irai dormir chez vousAntoine de Maximy testel'hospitalité des Français au Mont-Saint-Michel, à Strasbourg et dans lacampagne limousine. ©

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Fiction avec Thomas Hugues

20.35Le Doc du dimancheLa BelleHumanitairePourquoi le mannequin Tashade Vasconcelos a-t-elle fondé l’association AMOR(Aide mondiale orphelinsréconfort) ? Rencontre. ©

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21.30La RésistanceA partir de documentsd'époque et de reconstitutions,cette série en quatre épisodesretrace l'histoire de laRésistance durant la SecondeGuerre mondiale.

DIMANCHE 17 JANVIER Le Doc du dimanche avec Claire Fournier /Histoire avec Fabrice d’Almeida

21.45C’est notreaffaire La voiture électrique,les cures détox aprèsles fêtes et la douchesont au sommaire decette émission pilotéepar Claire Fournier.

21.20Silence,ça pousse !Grâce aux précieuxconseils prodiguéspar Stéphane Marie et Noëlle Bréham,avoir la main verte,c’est facile !

20.35QuestionmaisonLe magazine deréférence del'aménagement et dela décoration de lamaison, animé parStéphane Thebaut.

FRANCE 5 • SEMAINE 10 DU 1ER AU 7 MARS 2008

Soirées


Soirées Semaine 3

MERCREDI 20 JANVIER

20.35La GrandeLibrairieFrançois Busnel présente, en direct, ce magazine qui suit de près l'actualitélittéraire, avec pour seul mot d'ordre le plaisir.

21.30Café PicoulySoixante-dix minutesconsacrées à l'actualitéartistique et à la révélation de nouveaux talents encompagnie de Daniel Picouly.

VENDREDI 22 JANVIER

Le Monde en face avec Carole Gaessler

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21.40Un soir avec…Adoré par le public, estimé de ses pairs mais détesté parles critiques, pourquoiGiacomo Puccini a-t-il suscitéautant d’avis divergents ?Enquête dans un nouvelépisode de Sur les pas de…©

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courtinformation

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Enki Bilal : au-delàde l’imageCelui qui a réussi à créer une passerelle entre la BD et l’art contemporain seconfie devant la caméra de Gloria Campana.

Le Monde en face avec Carole Gaessler

JEUDI 21 JANVIER Arts et culture avec Laurence Piquet

20.35Direction des RichessesHumainesImmersion dans l’entrepriseBretagne Ateliers qui emploie80 % de handicapés. Gros plansur ses efficaces méthodes de management participatif.

21.351, 2, 3… Sommeil !En questionnant parents,chercheurs et psychologuessur le sommeil des enfants, ce film dresse la carte d’uncontinent mystérieux etpoétique : les bébés endormis.

MARDI 19 JANVIER Le Monde en face avec Carole Gaessler


DOCUMENTAIREDURÉE 52' AUTEURE-RÉALISATRICE CAROLE TRESCAPRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS/CAMERA LUCIDA PRODUCTIONS/ILOZ PRODUCTIONS ANNÉE 2009

MARDI 19 JANVIER 20.35

Bretagne Ateliers est devenu une référence pour les entreprises.En constante croissance, ce sous-traitant automobile résiste à lacrise. Sa particularité : 80 % de ses salariés sont handicapés. Ce film propose de découvrir son fonctionnement, fondé sur lemanagement participatif.

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Direction des Richesses Humaines

Chaque année, des dizaines d’en-treprises européennes et japo-naises visitent Bretagne Atelierspour s’inspirer de ses méthodes

gagnantes. Car, malgré la crise, le groupecréé en 1975 ne licencie pas et poursuitson développement. Avec quatre sitesimplantés dans la région de Rennes, c’estl’une des plus grandes entreprises fran-çaises adaptées : sur ses 650 employés,80 % souffrent de handicaps physiques oumentaux, lourds ou légers. En France, où letaux de chômage des personnes handica-pées est deux fois plus élevé que celui dureste de la population, Bretagne Ateliers faitfigure de pays de cocagne pour les sala-riés. « C’est la seule entreprise où j’ai réussià me stabiliser nerveusement, à trouver unéquilibre, à ne pas avoir la boule au ventreen me levant pour aller au boulot, témoignel’opérateur David Nicole. Nos difficultéssont prises en compte. Ça fait avancer. »Dans le monde du travail, le handicap faitpeur et la plupart de ceux qui sont arrivésici ont connu les difficultés sociales quiaccompagnent souvent les problèmesphysiques. A l’image de l’opérateur YannickLe Puec’h : « Quatre ans de chômageparce que le dos bousillé, donc pas de tra-vail… On n’est pas pareils qu’eux, donc onn’a pas notre place dans la société. » Bretagne Ateliers a fait le pari de consi-dérer les personnes handicapées nonpas sous l’angle de leurs faiblesses, maissous celui de leurs richesses. « Notremission est double, explique Gérard Tous-

saint, le coordinateur de projets. D’unepart, elle est technique et économiqueparce qu’il faut de la technicité et rentrerdu chiffre ; d’autre part, elle consiste aussià faire progresser les hommes… C’est lecentre de notre entreprise. » Un choix quirepose sur du management participatifinspiré des méthodes appliquées par lesJaponais pour améliorer la productivitédes grands groupes industriels. « Tout doitvenir de la base… commente HervéAbgrall, responsable de l’accompagne-ment social. L’entreprise, c’est d’aborddes gens qui y travaillent… L’attentionqu’elle leur porte va lui permettre d’êtreadaptée aux personnes. »

L’homme acteur de l’entrepriseAinsi, chaque personne handicapéebénéficie d’un accompagnement indivi-dualisé. Des systèmes informatisés ontpour but de lui éviter le stress. Le travail enéquipe est favorisé et des espaces deparole permettent à chacun de proposerses idées et d’exprimer ses inquiétudes. Car la crise qui touche le secteur automo-bile n’a pas épargné le groupe. Une partiedu personnel s’est ainsi vu affecter des

périodes de chômage partiel. Alors,lorsque la société Alstom Transport apassé commande d’un ensemble depièces pour des rames de train, laconfiance est revenue. D’autant plus que,pour leur fabrication, les opérateurs volon-taires devront suivre une formation qui leurpermettra d’obtenir un diplôme reconnu.Dans le marché concurrentiel de la sous-traitance, Bretagne Ateliers a construit saréputation sur ses savoir-faire et sur sonefficacité. Mais pas seulement. KoulmigCheney, responsable des ressourceshumaines qui se veut rassurante et trèsprésente auprès des employés, est régu-lièrement sollicitée pour du conseil : « Onnous demande de démystifier le handi-cap… Comment faire pour intégrer les personnes handi capées, comment lesmanager, comment réussir à montrer qu’onva en retirer du bénéfice. » Parce qu’elleemploie des personnes handicapées, l’en-treprise bénéficie d’aides importantes del’Etat. Mais, pour Daniel Lafranche, direc-teur général depuis dix ans, le plus impor-tant est ailleurs : « Ça donne un autre sensà la vie collective en entreprise. »

Anne-Laure Fournier

« Tout doit venir de la base… L’entreprise, c’estd’abord les gens qui y travaillent. L’attention qu’elleleur porte va lui permettre d’être adaptée aux personnes. »

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Enki Bilal Au-delà de l’image

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Filmé à Belgrade où il a passé les dix premières années de sa vie, ainsi qu’à Paris, sa ville d’exil, l’auteur et dessinateur de renom Enki Bilal a accepté de se livrer devant la caméra de Gloria Campana. Portrait tout en finesse d’un créateur déraciné et prolifique.

COLLECTION DOCUMENTAIREDURÉE 52’ RÉALISATION GLORIA CAMPANA PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS / BO TRAVAIL ! ANNÉE 2010

VENDREDI 22 JANVIER 20.35DIMANCHE 24 JANVIER 07.55

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Enki Bilal, au-delà de l’image

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Quand Philippe Druillet est arrivé, il a fait exploser tous les cadres. Tout d’un coup, il a imposé un univers de pure science-fiction. Et ça a été aussi une passerelle pour découvrir lalittérature anglo-saxonne, comme Ray Bradbury d’abord, puis ensuite Lovecraft, et plus tard Zelazny et Asimov. A l’école, je découvre évidemment aussi les grands classiques de lalittérature française. D’emblée il y a un auteur, un poète, qui me happe littéralement : Baudelaire.

La langue française va compter énormément dans la genèse de macarrière de dessinateur. Quand j’entre au lycée, je découvre Pilote, Tintin,Spirou, les Giraud, Mézières, Uderzo, puis Mandryka, Gotlib, Reiser…

Mon père avait été le tailleur de Tito,deux ou trois ans après la guerre. Il s’était battu à ses côtés pendant la Seconde Guerre mondiale. Nikopol est mon antihéros préféré. Emblématique, il représenteun peu l’homme mal à l’aise, pas à sa place dans une société du futur (…). C’est le prototype de l’humain dépassé par desévénements qu’il n’arrive pas à contrôler parce que le systèmeest trop fort, manipulateur, pervers.

Le cinéma m’a libéré du mouvement de l’enchaînement des plans. Ma bande dessinée est demoins en moins classique, elle est de plus en plus écrite, elle va plus vers le roman graphique.

Pour être dans la prospective, je me sers des outils et desinformations d’aujourd’hui, mais aussi de la mémoire d’hier.C’est ainsi que, par exemple, j’ai développé l’aspect religieuxdu conflit des Balkans, parce que c’est l’une de mes grandesphobies. J’ai très peur de l’extrémisme religieux.

Je ne suis pas un auteurdu réel et je ne cherchepas à le représenter.C’est plutôt une visionparanoïde du monde à travers mes filtrespersonnels.

[A propos de son arrivée à Paris au début des années 1960] C’est la traversée,la découverte de Paris, sous la pluie, dans la nuit, des lumières, mais aussi de la banlieue. C’est l’arrivée dans un appartement — enfin je n’ose pasemployer ce terme pour l’endroit dans lequel on est arrivés à ce moment-là — et puis c’est le début de notre intégration.

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A vec une émotion visible, Tasha de Vasconcelos déroule lessouvenirs de son enfance en faisant visiter la maison où elle

a grandi, à Beira (Mozambique), au bord de l’océan Indien. Lemême sentiment l’envahit lorsqu’elle retourne dans les bureauxde l’entreprise de son père, ingénieur, aujourd’hui disparu. Ouencore lorsqu’elle retrouve un ancien employé de la maison,qu’elle croyait mort durant la guerre civile, comme tous ceuxqu’elle a côtoyés dans ses années africaines. Pour ce paysqu’elle avait dû fuir à la hâte en pleine nuit, Tasha garde un atta-chement presque charnel. Elle a 13 ans lorsqu’elle quitte le continent africain avec sa famille,direction le Canada. Très tôt, la « blanche aristocrate » entameune carrière de mannequin. A 19 ans, elle fait partie des figuresde proue d’une profession à laquelle colle toujours aussi forte-ment une image de superficialité.Aujourd’hui confortablement installée à Monaco, celle qui, dansson cœur, est restée africaine, se sent très vite portée par un

autre destin : aider, soulager le peuple africain. Engagée dansl’humanitaire depuis dix ans, d’abord auprès de l’Unicef puis del’Unesco, Tasha de Vasconcelos, nommée par l’Institut Pasteurambassadrice auprès des sponsors, fonde en 2006 sa propreassociation, Amor (Aide Mondiale Orphelins Réconfort). Sa pre-mière réalisation : une maternité qui, au Malawi, accueille desfemmes séropositives. Dans ce pays riverain du Mozambique,l’un des plus pauvres d’Afrique, le sida a fait tomber l’espérancede vie à 37 ans et le taux de mortalité maternelle est l’un des plusélevés du continent. Le prince Albert de Monaco vient inaugurerla nouvelle aile de la maternité réservée aux interventions, mater-nité dont il faut maintenant financer le fonctionnement. Et l’enfantchérie des podiums continue de se battre pour construire desponts entre deux mondes.

Françoise Payen

LE SITE DE L’ASSOCIATION : www.amorinternational.org/


DOCUMENTAIRE DURÉE 52’ RÉALISATION STÉPHANIE GILLON PRODUCTION FTV/MAXIMAL PRODUCTIONS ANNÉE 2009

DIMANCHE 17 JANVIER 16.40 ET 20.35

Le top-modèle international d’origine anglo-portugaise Tasha deVasconcelos retourne sur les terres de son enfance, au Mozambique. Etfait découvrir au téléspectateur l’origine de l’engagement humanitaire quil’a amenée à créer une association, Amor, et à ouvrir au Malawi unematernité pour femmes séropositives.

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SÉRIE DOCUMENTAIREDURÉE 5 X 52’ RÉALISATION FRANÇOIS SALTIEL (2E ÉPISODE) PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS PÔLE FRANCE 5/PHARE OUEST PRODUCTION ANNÉE 2008

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Ces femmes qui luttent contre le crime

A Lyon, le patron, c’est elle. JudicaëleRuby, 32 ans, dirige la BCRB, la bri-

gade criminelle et de répression du ban-ditisme de la troisième ville de France. Uneéquipe composée de vingt-neuf hommeset… d’une seule femme. Pas de quoiimpressionner la jeune commissaire depolice qui, à peine sortie de l’école, a faitses armes dans la prestigieuse Divisionnationale antiterroriste de Paris. Cinq anspassés à traquer les séparatistes corseset basques aux côtés de personnageshauts en couleur, comme le célèbre juged’instruction Gilbert Thiel, lui ont en effetpermis de tester son endurance et d’ac-

quérir la maîtrise nécessaire à l’exerciced’une profession pour le moins difficile.

Un rêve réalisé Souriante, élégante, enceinte de sondeuxième enfant, Judicaële semble à l’aisedans ses baskets de femme et de flic.Peut-être parce que ce métier, elle enrêvait depuis l’enfance, qu’elle le vit désor-mais dans sa région d’origine et qu’ellepeut compter sur le soutien indéfectible deson mari. Alors, heureuse ? Cela paraît évi-dent, à la voir évoluer chez elle ou dans soncommissariat. Pourtant, au quotidien, elleest confrontée aux braquages, aux trafics

d’armes, aux homicides ou aux affaires depédophilie. Confrontée à l’horreur de cer-tains crimes, la commissaire Ruby expliquequ’elle «essaie de prendre du recul, mêmesi ce n’est pas évident, et de matérialiser leschoses », seule manière de les rendre sup-portables. Malgré la pression constante,les horaires aléatoires, la fatigue, on sentchez elle la passion pour ce «boulot où lamonotonie n’est pas de mise ». Un boulotauquel elle s’adonne corps et âme, mêmesi elle affirme, un regard attendri sur sonnouveau-né, que « finalement la famillepasse avant!».

Beatriz Loiseau

Elles se sont imposées dans un milieu encore quasi exclusivement masculin et contribuent àleur manière au combat contre la criminalité. Cette semaine, portrait de Judicaële Ruby, unecommissaire de police au caractère bien trempé.

Judicaële Ruby — L’Instinct de protection


SOIRÉE ARTS ET CULTUREDURÉE 12’ PRÉSENTATION LAURENCE PIQUET PRODUCTION MFPDOCUMENTAIREDURÉE 52’ AUTEURS ALAIN DUAULT ET MATHILDE DESCHAMPS RÉALISATION MATHILDE DESCHAMPSPRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS/ECLECTIC PRODUCTION ANNÉE 2009

JEUDI 21 JANVIER 21.40

Un soir avec…

Puccini

Laurence Piquet propose un nouveau volet de la collectionSur les pas de… consacré àGiacomo Puccini (1858-1924).Considéré comme l’un des plusgrands compositeurs italiens de la fin du XIXe siècle, il a offertà l’art lyrique plusieurs opérascélèbres, de La Bohème àTurandot. Itinéraire d’un artisterévélé à travers les lieux où il a vécu, étudié et travaillé.

A vant lui, à Lucques, sa ville natale en Tos-cane, quatre générations de Puccini

furent compositeurs de musique sacrée. C’estnaturellement que Giacomo a commencé parmettre ses pas dans ceux de ses ancêtres.Initié à l’orgue par son père, il a 10 ans lorsque,devenue veuve, sa mère l’inscrit à l’Institutmusical Boccherini. Il en a 18 quand l’un deses professeurs lui conseille d’aller découvrirAïda, l’opéra que fait donner Verdi dans la villevoisine de Pise. Pour Puccini, le choc musicalest tel qu’il lui inspirera sa première création,La Missa di Gloria, et le poussera, diplôme decomposition en poche, à poursuivre sesétudes musicales à Milan. Admis à 22 ans auconservatoire, il va dès lors s’affranchir de lacarrière de musicien d’église à laquelle il étaitpromis. Même si, comme le souligne GiulioBattelli, bibliothécaire de l’Institut, « musiqueprofane et musique sacrée seront mêléesdans toute son œuvre ». Pris sous contrat parl’influent éditeur Ponchielli, Puccini voit vite sacarrière assurée. Le Villi, Edgar, Manon Les-caut, La Bohème, La Tosca, Madame Butterfly,Turandot… les opéras vont s’enchaîner. Dans ce portrait mené par le musicologueAlain Duault, la petite-fille du compositeurouvre l’album familial. Des spécialistes,comme son biographe français Marcel Marnat,et des interprètes, parmi lesquels OksanaDyka et Ruggero Raimondi, commentent sacarrière et son univers. Entre Lucques etBruxelles, où il s’éteint en 1924, se dessine lafigure d’un homme à femmes, passionné demécanique et de chasse. D’un artiste ancrédans la vie, dont la musique, les personnageset les tragédies n’ont jamais cesséd’enchanterles scènes lyriques du monde entier.

Christine Guillemeau

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FICTIONDURÉE 8 X 52’ SCÉNARIO JEAN-LUC SEIGLE ET VIVIANE ZINGG RÉALISATION MICHEL HASSANPRODUCTION FRANCE 3/TELFRANCE/BE-FILMS DISTRIBUTION NADINE ALARI (MARCELLINE), CHRISTINE CITTI (MARIE), ANNELISEHESME (OLYMPIA), CHLOÉ STEFANI (JEANNE), SOPHIE DE LA ROCHEFOUCAULD (SOLANGE), GÉRARD DESARTHE (SEVRAN-CHABOT)ANNÉE 2006

LUNDI 18 JANVIER 20.35 ET 21.30

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Le Réveillondes bonnes

En décembre 1918, la domesticité qui s’affairedans un immeuble bourgeois est au cœur d’unesaga romanesque* où s’entremêlent dur labeur,trahisons, secrets de famille, amours cachées,grands bonheurs et grands chagrins. Entretienthématique avec Michel Hassan, le réalisateur.

Une histoire qui parle à tous…« Il était important pour moi de pouvoir séduire toutes les généra-tions de téléspectateurs avec cette série d’époque, qui, même sielle se passe en d’autres temps, n’en reste pas moins très actuelle.Toutes ces vies qui se croisent dans cet immeuble, au rythmeeffréné d‘une vie bien remplie, pleine de ses secrets et de ses joies.C’est ce rythme que j’ai voulu impulser au film… Comme la vraie vie,mais en plus avec la magie de Noël. »

Des héroïnes sur tous les fronts…« Je voulais installer l’idée d’un mouvement perpétuel, jamais arrêté.Un mouvement qui avance toujours et qui ne cesse d’être actif,comme le rythme de la vie des bonnes. Souvent, elles commen-çaient leur journée à cinq heures du matin pour la finir à minuit. Dulever au coucher, elles ne cessaient jamais de s’activer. Le ton denotre série en est de même. »

Un univers visuel bien dessiné…« L’histoire se déroule dans un immeuble haussmannien et dansquatre familles. Comme dans un tourbillon de neige qui tombe, nousévoluons d’un étage à l’autre, d’une histoire à l’autre, d’un monde àl’autre. Comme nous suivons ces quatre familles en même temps, ilfallait pouvoir les identifier tout de suite. Dès la première image,savoir où nous étions, à quel étage et dans quelle famille. C’est pour-quoi il était très important que nos quatre dynasties aient un universpropre. Une image forte et très représentative de leur histoire et deleur état d’esprit. Nous nous y sommes attachés, avec le décorateur[Pascal Deprée] et le directeur de la photo [Alain Ducousset], encréant un univers graphique et visuel autour de chacune. »

* Diffusion des épisodes 1 et 2/8 le lundi 11 janvier.


06.35 Cyclades sud, bleublanc, noir

07.25 Silence, ça pousse !

07.55 Empreintes :Hubert Nyssen, à livreouvert

08.55 La Grande Librairie

09.55 J’irai dormir chez vous

10.55 Echappées belles

12.00 Les Escapades de Petitrenaud

12.35 Médias, le magazine

13.40 Superscience

14.45 Dans les brumes de Majuli

15.45 Explora

16.40 Le Doc du dimanche :La Belle Humanitaire

17.40 C politique

19.00 La Traversée du miroir


20.25 Avis de sorties

20.30 Mes années 60

20.35 Le Doc du dimanche :La Belle Humanitaire

21.30 La Résistance

22.25 Ces femmes qui luttent contre le crime

23.20 Japon, l’ouest éternel

00.15 Au cœur de la canopée

01.00 Homo sapiens

SAMEDI 16 DIMANCHE 17 LUNDI 18

Grille 24 / 24S

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05.45 C dans l’air

06.50 Ludo Zouzous

10.00 C’est notre affaire


11.10 Question maison

12.00 C à vous

13.00 Les Escapadesde Petitrenaud

13.30 Talents des cités

13.35 Sept minutes pour une vie

14.05 Le Stress, portrait d’un tueur

15.05 Qatar, perle d’avenir

16.00 Les Routes de l’impossible

16.55 Empreintes

17.00 Charlotte et les grands singes

17.55 Cinémas

19.00 Revu & corrigé

20.30 Mes années 60


21.35 J’irai dormir chezvous

22.30 L’Œil et la main

23.00 Rendez-vous en terreinconnue avec Zazie

00.45 Superstructures

01.35 Zoo Nursery

02.25 Les Gardiens de la forêt

05.50 Trois familles en Inde

06.45 L’Emploi par le Net

06.50 Ludo Zouzous

08.25 L’Œil et la Main

08.55 Les Maternelles

10.00 Allô Rufo

10.10 Esprit de collections

11.10 Lobo, le loup indomptable

11.55 Ludo

13.30 Le Magazine de la santé

14.25 Allô, docteurs

15.05 Fourchette & sac à dos

15.30 L’Air du temps :Johnny Hallyday

16.30 Israël rêve d’avenir

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.55 Gang de macaques

20.25 C à dire ?!

20.35 Le Réveillon desbonnes


23.40 Des montagnes et des hommes

00.30 La Grande Muraille de Chine

01.20 Les Dix Plaies d’Egypte


Emission sous-titrée par télétexte pour les sourds et les malentendants.


courtinformation



06.50 Ludo Zouzous


10.00 Allô Rufo


10.20 L’Air du temps : Patrick Bruel

11.15 L’Ile aux faucons

12.10 Ludo




15.30 Le chef est une femme

16.30 Expédition Nouvelle-Guinée

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous


20.25 C à dire ?!

20.35 Direction des Richesses Humaines

21.35 1,2,3... sommeil !



23.45 Los Angeles

00.35 Camus, la passion du journalisme

01.30 Zoo Nursery



MARDI 19 MERCREDI 20 JEUDI 21 VENDREDI 22



06.50 Ludo Zouzous


10.00 Allô Rufo

10.10 Tics et maniesdes hommes politiques

11.10 Faune d’Europe

12.00 Ludo



15.00 Fouchette & sac à dos

15.30 Argentine, le tangodu gaucho

16.30 Zoo Nursery

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous


20.25 C à dire ?!

20.35 Question maison


21.50 C’est notre affaire


23.25 L’Air du temps :Johnny Hallyday

00.15 A la poursuite des pierresprécieuses

01.10 Le Vieux Lion



06.50 Ludo Zouzous


10.00 Allô Rufo

10.10 Docteur Beligté, la nomade des steppes

11.10 Madagascar : un monde à part

12.00 Ludo




15.30 La Forêt enchantée

16.30 La Belle Humanitaire

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.55 Fourchette & sac à dos —Autour du monde

20.20 C à dire ?!

20.35 La Grande Librairie

21.40 Un soir avec...Puccini


23.50 Explora

00.40 Comme chez nous

01.35 Zoo Nursery




06.50 Ludo Zouzous


10.00 Allô Rufo

10.10 Cyclades sud, bleublanc, noir

11.10 Un élan d’audace

11.55 Ludo



15.00 Empreintes


15.35 Au cœur de la canopée

16.30 Les Dix Plaies d’Egypte

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.55 Fourchette & sac à dos —Autour du monde

20.25 C à dire ?!

20.35 EmpreintesEnki Bilal : au-delà de l’image

21.30 Café Picouly


23.50 La Résistance

00.45 Expédition Nouvelle-Guinée

01.35 Zoo Nursery


Grille 24 / 24 documentaire magazine fictionjeunesseprogramme

courtinformation


ContactsDIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DU MARKETING

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Ont participé à ce numéroStéphanie Chaix, DelphineGhosarossian, Christine Guillemeau,Gaël Nivollet, Anne-Claude Paré,Françoise Payen, Stéphanie Thonnet

Coordination / AbonnementsNelly Berne 92 [email protected]

Direction artistique / maquetteAntoine Vu Dinh Khiem 92 [email protected]

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10, rue Horace-Vernet92785 Issy-les-Moulineaux Cedex 9ISSN 1761-9211 N° AIP 0000471

Directeur de la publicationPatrick de Carolis

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Relations téléspectateurs0 890 71 05 05 (0,15 ¤ TTC/min)